
Des Français ont cru en 2017 intelligent de confier la conduite de la France à un homme jeune et “brillant” qui allait assainir la vie politique, restaurer l’autorité de l’Etat et la verticalité du pouvoir autour d’un projet transcendant le jeu des partis, et rassemblant la gauche et la droite pour réformer et moderniser le pays. Ceux qui font preuve d’une modeste lucidité savent désormais qu’ils ont confié le destin du pays à un affairiste arriviste venu de ce PS tendance caviar qui a déjà effacé notre nation ringarde dans son esprit en lui préférant l’Europe fédérale et le mondialisme anglo-saxon. Pour tenir son rang dans le monde, la France avait besoin d’une économie solide. Désindustrialisée, son énergie nucléaire mise entre parenthèses pendant des années, nombre de ses entreprises liquidées, elle est aujourd’hui la lanterne rouge de l’Europe avec une dette écrasante, une croissance en berne et une dépense publique qui tient de l’addiction suicidaire.






