La peine de mort fédérale a été rétablie aux États-Unis la première exécution depuis dix-sept ans vient d’avoir lieu. On pouvait penser que les médias allaient se déchainer contre Trump. Il y a eu un frémissement mais immédiatement étouffé. Et pour cause : le condamné à mort qui clamait son innocence n’était autre qu’un suprémaciste blanc. Pas de pitié, donc, pour cette engeance de « la main droite du diable ». On attendra pour l’indignation l’exécution d’un criminel noir dont la vie alors vaudra quelque chose. Pour le moment, deux Blancs ont été exécutés au niveau fédéral.
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USA : les vies blanches valent-elles moins que les vies noires ?
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Une leçon du Covid-19 : le mondialisme est mort !, par Christian Vanneste.
Et si dans la guerre des civilisations, le vainqueur était l’Extrême-Orient ? L’idée que le monde convergeait vers une civilisation universelle et pourquoi pas un jour vers un gouvernement planétaire, vers la fin de l’Histoire avec l’avènement d’une démocratie éclairée fondée davantage sur le règne conjoint du droit et du marché que sur celui de la volonté populaire, avait séduit au lendemain de l’effondrement du bloc soviétique. La liberté s’était montrée plus forte que le centralisme étatique, miné par ses contradictions et écrasé par son propre poids.
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Sylvain Cypel : « Malgré leur énorme supériorité, les Israéliens ne peuvent pas gagner »
Dans son nouveau livre, le journaliste Sylvain Cypel interroge l’Israël contemporain, entre ethnicisme, culte de la force et lois liberticides.
Au-delà de l’impunité dont semble jouir Israël, le journaliste Sylvain Cypel interroge dans son nouveau livre, L’État d’Israël contre les juifs, la fascination que cet État semble exercer sur des dirigeants nationalistes tels l’Indien Narendra Modi, le Hongrois Viktor Orbán ou encore l’Américain Donald Trump.
À travers les principes de « guerre préventive », « ethnicité de la citoyenneté », « guerre contre le terrorisme », mépris du droit international au profit du culte de la force, l’auteur retrace ce qu’il appelle l’« israélisation du monde », à savoir « la soumission progressive des Israéliens à un État sécuritaire où l’abandon, imposé ou volontaire, de tout ce qui fait l’État de droit devient la norme ».
Or, selon le mot de l’anthropologue Jeff Halper, que rappelle l’auteur, « l’israélisation des États et de leurs forces militaires et policières, c’est notre propre palestinisation à tous ».
Autre point longuement abordé dans l’ouvrage, celui du fossé, voire du schisme, qui se creuse entre le judaïsme israélien et le judaïsme américain. Le soutien des juifs américains à la politique d’Israël n’est plus inconditionné et aveugle, tandis que des voix dissidentes et fortes se font entendre au sein de la jeune génération.Lien permanent Catégories : actualité, entretiens et videos, géopolitique, international 0 commentaire -
Les vidéos de Ghislaine Maxwell font trembler le gotha
Ghislaine Maxwell, fille d'un agent du Mossad et complice de Jeffrey Epstein, retrouvé pendu en prison sous des caméras curieusement hors service, possède des vidéos censées montrer des VIP ayant des relations sexuelles avec des mineures. Une bombe d'une énorme puissance explosive est sur le point d'envoyer en l'air le gotha international.
Le Figaro qui retrace dans son récit le vie d'une femme mondaine britannique, qui parlant plusieurs langues, possède trois passeports, « l’imaginait réfugiée en Israël, recluse dans le sud de la France, intégrée au programme de protection des témoins du FBI, ou exilée dans un pays sans accord d’extradition avec les États-Unis ».
Pendant un an la police fédérale se posait des questions sur le refuge de la jet-setteuse de haute volée depuis l'arrestation le 6 juillet 2019 de son ami milliardaire, Jeffrey Epstein, mis en prison ayant été pris dans un trafic de mineures. Le milliardaire, lui, mourait pendu dans des circonstances mystérieuses cinq semaines après son arrestation sous des caméras posées dans sa cellule mais en état de hors service ce jour là. -
Des militants antiracistes français recrutés et formés par le Département d’Etat américain ?
VA – Le New York Times révèle qu’après le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont commencé à tendre la main aux minorités ethniques et raciales en France, par le bais de l’ambassade américaine à Paris.
Avec la mort de George Floyd aux Etats-Unis, le mouvement antiraciste s’est rapidement propagé dans le monde entier. En France, il a eu un écho particulier, porté par la famille d’Adama Traoré, qui a profité de ce regain pour remettre l’affaire de la mort du jeune homme au centre des débats. Plus largement, depuis de nombreuses années, l’Hexagone voit émerger de nombreux figures se prévalant de l’antiracisme et du décolonialisme, Rokhaya Diallo en tête. D’après le New York Times, cette nouvelle politique raciale en France est en fait directement importée des Etats-Unis, parfois même par l’entremise du Département d’Etat, le ministère des Affaires étrangères américain.
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Ordo ab chaos par la pandémie et le Nouvel Ordre Mondial
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Alexis Cossette – Le coup d’État mondial confirmé
Source : Radio-Québec
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La fin de l’hégémonie américaine, par Antoine de Lacoste.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
De la conquête inspirée du monde au repli prudent, les États-Unis ont fini par douter de leur rôle historique. Mais aucune nation ne peut vivre isolée : d'autres impérialismes émergent et menacent le Nouveau Monde.
Depuis la création de leur pays par des protestants européens rigoristes, les Américains sont convaincus d’être missionnés pour une « destinée manifeste ». Dieu leur a donné un rôle particulier, celui d’être le nouvel Israël. L’Angleterre, entre autres, avait décidé de se débarrasser de ces encombrants illuminés et leur avait demandé, dès le XVIIe siècle, d’exercer ailleurs leurs talents messianiques. C’est ce qu’ils firent dès leur arrivée sur la nouvelle terre promise.
Si l’on veut comprendre l’histoire des États-Unis et leur volonté d’hégémonie, il ne faut jamais perdre de vue ce point de départ historique, toujours très présent dans la culture américaine. Sa conséquence a rapidement été théorisée, par George Washington et bien d’autres : un jour l’Amérique dominera le monde parce que c’est sa destinée. Et cette domination devra s’accompagner d’une conversion des dominés aux valeurs chrétiennes, démocratiques et économiques qui ont fondé la constitution américaine.
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«Au Pakistan, les jeunes filles chrétiennes vivent à la merci des extrémistes»
En 2013, la commission «Justice et Paix» du Pakistan publiait un rapport dénonçant l’enlèvement de force de jeunes filles chrétiennes pakistanaises, converties pour être mariées. Une situation qui ne s’est pas améliorée depuis, dans le pays où la charia prévaut sur le droit normatif, s’inquiète Sylvain Dorient.
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Vertus du protectionnisme (2011)
C’est un sujet extrêmement délicat si l'on sort des dogmes des instances internationales. Tout est en sous-entendu, hypocrisie, partie de poker-menteur En période de crise, qu'on le souhaite ou qu'on le déplore, le protectionnisme va fatalement se développer dans chaque pays, même si les dirigeants, la main sur le cœur, proclament dans les réunions internationales qu'ils ne le pratiquent pas.
Dans un cadre de libre-échange mondialisé, il y a bien sûr des pays gagnants et des pays perdants. Ces derniers ont donc plus intérêt à pratiquer un certain protectionnisme. La problématique n'est pas un choix entre une absence totale de protectionnisme ou un protectionnisme total coupé de l'extérieur. Tout est dans le dosage, les secteurs que l'on protège ou non dans le but de garantir l'emploi, une industrie qui est la preuve d'un savoir-faire technologique, la nation étant encore une réalité économique et historique.