Au moment où notre allié chrétien historique russe livre une bataille décisive pour défaire le potentiel militaire de l’Ukraine et sécuriser ses frontières face à la poussée expansionniste des pays membres de l’OTAN, quelle est la capacité réelle de nos forces à être engagées sous bannière otanienne dans cette « guerre » ? Emmanuel Macron, le chef de la « province France » depuis son élection de 2017, attise les braises de l’incendie qu’il a contribué à entretenir en soutenant la révolution sanglante du Maïdan initiée en 2014 sous la Présidence de François Hollande. Enfin, sommes-nous en capacité de mener une offensive de cette envergure, sommes-nous du bon côté du conflit ?
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Ukraine : la grenouille française face au bœuf russe
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Tyrannie à la canadienne
La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol
Au moment où le monde entier se focalise avec raison sur le sort de l’Europe orientale, des politiciens occidentaux plus ou moins gâteux traitent leurs homologues de « dictateurs » alors qu’une authentique tyrannie s’établit en silence au Canada.
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Viktor Orbán sur la guerre en Ukraine : apaisement avec la Russie et besoin d’une Europe-puissance
Dans ce conflit sanglant entre la Russie et l’Ukraine, la position de Viktor Orbán est intéressante. Constatant d’un côté que la Russie intervient à cause de l’OTAN, le Premier ministre hongrois soutient malgré tout le peuple ukrainien… tout en appelant à la paix et en refusant l’escalade contre la Russie. Une position qui montre que les implications de cette guerre sont loin des déclarations simplistes de certains responsables occidentaux.
Voici la traduction d’un article paru dans le Magyar Nemzet le 3 mars 2022 réalisée par le Visegrád Post. -
Ukraine : des couloirs humanitaires sans issue
Les premières négociations entre Kiev et Moscou avaient pour but de mettre en place des couloirs humanitaires pour évacuer les civils de Kiev, Marioupol, Soumy et Kharkiv, quatre villes qui subissent des bombardements et qui s’attendent à une attaque au sol. Mais même cette mesure tourne à l’épreuve de force, car quatre des six couloirs proposés par Moscou conduisent à Moscou et à la Biélorussie.
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Prix du gaz et du pétrole : “Ce n’est pas de notre faute », affirme Vladimir Poutine, « Nous respectons toutes nos obligations en matière d’approvisionnements énergétiques »
Le président russe Vladimir Poutine a précisé ce jeudi que la Russie maintenait la totalité de ses livraisons d’hydrocarbures en dépit de la guerre qu’elle menait en Ukraine et des sanctions occidentales, estimant que son pays n’était donc pas responsable de la flambée des cours mondiaux. Selon le président russe, « tous les volumes » étaient livrés à l’Europe comme ailleurs et même le « système de transport de gaz de l’Ukraine est rempli à 100% »
“Ce n’est pas de notre faute », « Nous respectons toutes nos obligations en matière d’approvisionnements énergétiques », a-t-il précisé lors d’une réunion gouvernementale.
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Macron et l'imposture de sa politique extérieure
Dès le 9 février, il n'était pas exagéré de le remarquer : Poutine avait bel et bien humilié Macron. Aucune marque protocolaire due à un chef d'État ne lui avait été concédée. Le président de la république française était traité comme un bouffon.(1)⇓
Un mois plus tard, ce 8 mars et alors que les négociations en vue d'un cessez-le-feu, évidemment désirable pour les malheureuses populations ukrainiennes comme pour leurs courageux défenseurs, on pouvait découvrir les véritables acteurs : le chancelier allemand Scholz et le premier ministre israélien Bennett. Et bientôt Erdogan. Pas Macron.
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Ces histoires incroyables de laboratoires en Ukraine. Accusations chinoises. Inquiétudes américaines !
par 10 Mar 2022 | |
Cette histoire de laboratoires en Ukraine est totalement surréaliste.
Ce qu’il faut savoir, en dehors du fait que l’Empereur du mal est le méchant Palpoutine, tandis que nous, nous sommes dans le camps des gentils-forcément avec Biden à la tête de la république du Bien, Biden surnommé également waliking-dead tant il sucre les fraises. Il a même déclaré que Palpoutine (le méchant) avait envahi la Russie au lieu de l’Ukraine et parlait des Iraniens à la places Ukrainiens…
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Anne-Laure Bonnel, la journaliste qui dérange
Anne-Laure Bonnel était inconnue au bataillon du grand public et elle commence à se faire un nom, même s’il sent le soufre dans les cénacles de la bien-pensance.
Être citée en exemple par le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov n’est sans doute pas un bon canal de publicité.
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Union européenne – Afrique : en finir avec l’assistanat généralisé, par Clément Martin
Récemment, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, avait promis lors d’une visite à Dakar que l’Union européenne comptait investir 150 milliards d’euros en Afrique dans les années à venir[1]. C’est désormais devenu un refrain connu : l’Union européenne n’existe que pour transférer les richesses européennes vers l’Afrique. Emmanuel Macron, quant à lui, avait en janvier promis d’y acheminer 100 millions de doses vaccinales anti-Covid[2] ou encore d’organiser un sommet euro-africain visant entre autres à élargir le partenariat de défense européen au continent noir[3].
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Evacuation laborieuse des civils, combats au sud-est de Kharkov et dans Marioupol
Lors d’une audition parlementaire américaine mardi 8 mars, Victoria Nuland, sous-secrétaire d’État à l’Europe et à l’Eurasie, a confirmé que «l’Ukraine dispose d’installation de recherche biologique, et nous sommes de fait à présent assez inquiets par la possibilité que les forces russes tentent d’en prendre le contrôle».
Cette information avait été évoquée par Nicolas Hellemme, dans l’une de ses chroniques quotidiennes sur la situation en Ukraine vue par les officiels russes. Voici celle du jour