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international - Page 503

  • «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    «Les pays occidentaux doivent tenir tête à l’impérialisme d’Erdogan»

    La décision du président turc de transformer l’ancienne basilique Sainte-Sophie en mosquée confirme sa fuite en avant et son agressivité envers les pays occidentaux. Ceux-ci doivent en tirer, enfin, les conséquences et s’opposer à Erdogan sans faiblesse, argumentent Charles de Meyer et Benjamin Blanchard, dirigeants de SOS Chrétiens d’Orient, dans Le Figarovox.

    Les provocations se multiplient envers la Grèce, désormais en alerte complète après que la Turquie a envoyé un bateau d’assaut près de l’île grecque de Kastellorizo. Les sous-marins patrouillent pour contrer toute attaque. La Turquie a déployé un navire de recherche sismique, escorté par des bâtiments militaires, dans une zone riche en gaz et appartenant à la Grèce.

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  • Erdogan rassemble des milliers de mercenaires djihadistes en Libye encadrés par des militaires turcs

    Les services de renseignements français – et bien d’autres – s’inquiètent du développement en Libye de l’armée de mercenaires encadrée par des militaires turcs.

    Sur base d’un accord signé le 22 novembre 2019 entre le gouvernement libyen et son homologue turc, Erdogan avait aussitôt commencé à déployer des militaires turcs en Libye avec un équipement important (blindés, avions de combat, hélicoptères).

    Aujourd’hui, ce sont environ 16.000 mercenaires qui se trouvent sur le sol libyen, encadrés par 3.000 militaires turcs. Et ces mercenaires qu’encadre l’armée turque sont des djihadistes. Beaucoup ont combattu précédemment parmi l’Etat Islamique. Il y a parmi eux des Syriens, des Algériens, des Tunisiens, des Soudanais,…

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  • Les Femmes Iraniennes Défient les Mollahs ; les Féministes Occidentales Regardent Ailleurs

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    De courageuses femmes iraniennes sont à la pointe du soulèvement contre le régime iranien. Elles nous remémorent l'avant de la révolution islamique de 1979, quand le voile n'était pas obligatoire. Elles en connaissent le prix : nombre de celles qui ont participé aux manifestations contre le régime ont été violées et torturées en prison. Photo : des femmes voilées apparaissent dans une émission de propagande à la télévision publique iranienne, le 12 juillet 2014. (Photo de Behrouz Mehri / AFP via Getty Images)

    • Avant 1979, les femmes iraniennes étaient libres. Elles veulent le redevenir.
    • Les féministes iraniennes qui refusent le hijab sont courageuses. Mais leurs homologues occidentales qui portent un chapeau rose et les abandonnent sont des misérables.
    • Pourquoi la barbarie iranienne est-elle si facilement tolérée en Occident ?
    • Il y a trente ans, le mur de Berlin tombait parce que des citoyens ordinaires voulaient recouvrer leur liberté de mouvement. Aujourd'hui, le mur du régime iranien pourrait être abattu par ces femmes ordinaires qui veulent retrouver la liberté de porter ce qu'elles aiment, qui refusent courageusement de marcher sur les drapeaux d'Israël et des États-Unis - et entendent jouir à nouveau du vent dans leurs cheveux.
    En octobre 1979, l'ayatollah Ruhollah Khomeiny a donné l'une de ses rares interviews à feu la journaliste italienne Oriana Fallaci. 
    A la question : le voile est-il le symbole de la ségrégation que la révolution islamique impose aux femmes, Khomeiny a répondu : « nos coutumes ne vous regardent pas. Si vous n'aimez pas le vêtement islamique, vous n'êtes pas obligé de le porter parce que le voile islamique est fait pour les jeunes femmes honnêtes et convenables. »
    « Merci de votre réponse, » a répondu Fallaci. « Et puisque vous m'en donnez la permission, j'enlève ce stupide chiffon médiéval à l'instant ».
    Fallaci retira son voile et quitta la pièce sans ajouter un mot.
    En retrouvant le geste de Fallaci, les femmes iraniennes sont à la pointe du combat contre le régime.

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  • Le chaos libanais.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
    Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 

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  • « Rehoming » : les enfants d'occasion

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    Aux États-Unis, quand on désire adopter un enfant, vite fait bien fait, et pour pas cher, on se tourne vers le marché de l’occasion, un quart des adoptés y finissent entre troubles psychologiques, prédateurs sexuels et marchandisation, la réadaptions, c’est horrible.

    Paru/Vendu ou Le Bon Coin, aux États-Unis, ne sont pas que pour les automobiles de seconde main ou les appartements pas chers. Dans le pays où tout s'achète et se vend, les enfants adoptés ont aussi droit à leur marché de l'occasion. Un marché florissant, avec agences spécialisées, catalogues et petites annonces sur Internet. Certains s'inspirent même des méthodes des sites de rencontre, avec défilé des enfants devant les potentiels parents puis « speed dating » pour décider de l'adoption en deux heures de conversation avec l'enfant et un éducateur.

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  • Les mots de trop d’Emmanuel Macron au Liban

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     a vraiment un problème avec la question de la souveraineté. Nous en avons encore eu un exemple lors de sa visite à Beyrouth, jeudi 6 août. Qu’ ait été le premier chef d’État à marquer sa solidarité par sa présence sur les lieux de la catastrophe est une excellente chose. Les liens historiques entre la France et le  le commandaient. Mais ce Président a vraiment le don de tout gâcher, de transformer l’or en plomb.

    Ainsi, était-il obligé de tenir des propos qu’aurait pu prononcer un chef d’État administrant un protectorat ? Certes, des propos tenus à brûle-pourpoint, dans un contexte très particulier, dans la chaleur d’une rencontre avec une population sous le choc après la terrible catastrophe et excédée par l’impéritie de ses gouvernants, « Je vais leur proposer un nouveau pacte politique cet après-midi. Et je reviendrai pour le 1er septembre, et s’ils ne savent pas le tenir, je prendrai mes responsabilités avec vous. » Qu’est-ce que cela veut dire ? Concrètement ? Que s’ils n’appliquent pas ce pacte, il se pointera en rade de Beyrouth avec une armada pour imposer ce pacte ? Il est vrai, aussi, qu’Emmanuel Macron aime bien se payer de mots et l’on aimerait bien connaître la teneur de ce « pacte ».

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  • Zoom – Gérald Olivier : Donald Tump vs Etat profond, dernière ligne droite

    L’expérience Trump : aberration ou révolution ? A moins de 4 mois de l’élection présidentielle américaine, le locataire de la Maison Blanche est aux prises avec des forces invisibles : l’Etat profond. Les victimes du covid-19 et l’agitation autour de la lutte raciale lui font perdre des points dans les sondages d’opinion mais rien n’est perdu. Gérald Olivier, journaliste spécialiste des Etats-Unis et auteur d’un dictionnaire intitulé « Sur la route de la Maison Blanche », revient sur le bon bilan économique et social de « l’expérience Trump » et décrypte les enjeux de ce nouveau scrutin. Pour Gérald Olivier, les choses tourneront mal quelque soit le vainqueur de l’élection…


    https://www.tvlibertes.com/zoom-gerald-olivier-donald-tump-vs-etat-profond-derniere-ligne-droite

  • Macron était à Beyrouth. Pas la France.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    A Beyrouth où il s'est rendu ce jeudi - non comme le Président d'une Nation historiquement intéressée à la survie du Liban, stratégiquement et spirituellement liée à lui, et protectrice, depuis presque huit siècles, des chrétiens qui le peuple et en sont l'âme, mais comme une sorte d'agent spécial dépêché en urgence par les organisations internationales - Emmanuel Macron a invité les Libanais à une réforme politique profonde "avec les responsables en place".
    Les responsables en place sont ceux qui ont ruiné le pays et l'ont conduit, une fois de plus, au bord du gouffre.
    Les responsables en place sont ces féodaux corrompus et dépravés qui tiennent le Liban comme un vautour tien sa proie.
    Les responsables en place sont tous, y compris et surtout le Président Aoun, maronite traître a son camp, des marionnettes du Hezbollah, force politique chiite a vocation de parti unique, secte apocalyptique, armée d'Allah et de l'Imam caché, financée et entièrement contrôlée par l'Iran, dont l'engagement auprès du régime Syrien dans sa juste résistance à l'islamisme sunnite et au nouvel ordre mondial ne peut faire oublier nos 58 paras morts au Drakkar. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Et le Hezbollah fait peser sur le Liban chrétien une menace mortelle.
    La foule en colère qui, dans les rues du quartier chrétien de Gemmaysé dévasté par les explosions et ravagé par la crise économique, a fustigé Aoun et interpellé Macron aux cris de "Aidez-nous ! Révolution !", et "le peuple veut la chute du régime", devra attendre que la France fasse elle même sa révolution nationale pour lui venir en aide.
    En espérant qu'il ne sera pas trop tard.
  • Beyrouth : la catastrophe est due à la criminelle indigence des véritables maîtres actuels du Liban.

    Beyrouth : la catastrophe est due à la criminelle indigence des véritables maîtres actuels du Liban.

    Bernard Antony, président de Chrétienté-Solidarité, communique :

    Au nom de tous les militants de l’Amitié Française et chrétienne pour le Liban, j’exprime d’abord toute notre compassion à nos amis libanais pour la multitude des victimes du désastre qui a frappé Beyrouth et particulièrement le « centre-ville » et le proche quartier chrétien d’Achrafieh à l’héroïsme légendaire.

    J’exprime à notre ami Samy Gemayel, président des Kataëb, toutes nos condoléances pour le rappel à Dieu de Nizar Najarian, le secrétaire général du mouvement.

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  • Une nouvelle Sainte-Sophie en Syrie pour damer le pion à Erdogan ? Le projet du syrien Nabel Alabdalla

    Nabel Alabdalla, le commandant des Forces de défense nationale de la ville chrétienne syrienne d’Al-Skeilbiyyeh, dans la province de Hama, aime la terre dans laquelle il vit. En Syrie, il est considéré comme un héros car, au cours de ces dix années de conflit, il a pu arrêter l’avancée des terroristes d’ Al Nusra. Il n’a même pas abandonné un mètre et cela a suffi pour sauver cette ancienne cité chrétienne.

    Nabel, chrétien orthodoxe, envisage de construire une petite version symbolique de « Hagia Sophia », Sainte-Sophie de Constantinople, dans sa ville sur le terrain que lui et ses soldats ont défendu pendant 10 ans contre « les gangs terroristes dominés par Al-Qaïda et parrainés par la Coalition américaine, y compris la Turquie (un État membre de l’OTAN) ».

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