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international - Page 752

  • Révélations WikiLeaks sur Clinton : l'Equateur restreint l'accès d'Assange à internet

    L'Equateur a admis avoir restreint l'usage d'internet dans son ambassade de Londres, où depuis 2012, se trouve Julian Assange, après la publication par WikiLeaks de documents qui auraient eu un «impact sur la campagne électorale américaine». Le ministère des Affaires étrangères équatorien communique :

    «Le gouvernement équatorien respecte le principe de non intervention dans les affaires d'autres pays, ne s'immisce pas dans les processus électoraux en cours, ni ne soutient un candidat en particulier. En ce sens, l'Equateur, dans l'exercice de sa souveraineté, a restreint temporairement l'accès à une partie de son système de communications dans son ambassade au Royaume-Uni».

    «Cette restriction temporaire n'empêche pas que l'organisation WikiLeaks mène à bien ses activités journalistiques».

    «La décision de publier ce type d'information est de la responsabilité exclusive de l'organisation WikiLeaks»

    La coupure de l'accès à internet de Julian Assange a eu lieu dans la soirée du 16 octobre. WikiLeaks venait de publier trois tweets avec des liens inutilisables et incompréhensibles, mais qui mentionnaient John Kerry, l’Equateur et le ministère britannique des Affaires étrangères du Commonwealth.

    Michel Janva

  • De la démocratie américaine en période électorale

    Bonjour, c'est lundi. Première semaine d'une période électorale agitée. Les primaires se suivent et se ressemblent : un seul mot, séduire ! Par tous moyens même loyaux, scabreux ou franchement dégueulasses, l'extraction de voix est un métier de mineur où tous les coups de grisou sont permis. Ne restent propres sur eux que certains "petits" candidats impatients de sauver le pays mais qui vont se résoudre bientôt à limiter leur propagande au témoignage de bonnes idées invendables, car la presse n'en met aucune en rayon. Parmi ces moines prêcheurs nous saluons le candidat de l'Alliance royale, Monsieur de Prévoisin. Qu'il accepte ici les encouragements qu'il mérite.
    Reste le saut dans l'inconnu. Un des meilleurs essayistes vivants de ce temps avait pondu jadis un livre remarquable sur notre atlanticité sous le titre de L'Edit de Caracalla (chez Fayard, 2002), dans lequel il était question de donner la citoyenneté américaine à tous les ressortissants de l'Occident. Cette chimère de Régis Debray nous aurait conduit aujourd'hui à voter à la présidentielle américaine pour départager le brillant charlatan républicain - mais qui a fait ses preuves dans le béton banché - et la Dinde de l'Arkansas qui me rappelle furieusement notre Ségolène Royal nationale, mais en plus cupide, moins belle, même carrément mégère ! Arrêtons-nous un instant sur leurs programmes qui fatalement changeront les nôtres à l'échéance :

    Celui de la candidate de l'establishment démocrate, Hillary Clinton, se résume pour nous en une phrase : plus de social-démocratie contre le chien fou capitaliste de New York. A lire ses propositions (clic), on les croiraient sorties des cuisines de Solférino. Le programme affronte trente-neuf défis essentiels - ce que nous ne disputerons pas - mais qui semblent trop nombreux et trop lourds pour la future administration Clinton H. A la fin, cela tourne au racolage démagogique, même si le candidat républicain fournit lui-aussi à forte dose ; c'est la loi du genre.
    Voici pour mémoire les trente-neuf chapitres comme sur un tapis-roulant tels que les présente le site démocrate. Nous connaissons toute cette logorrhée socialiste chez nous, donc développer serait oiseux, à la limite pénible :
    (i) Aggravation de la pression fiscale sur les plus riches ;
    (ii) Lutte contre les narcotiques et l'alcool ;
    (iii) Une économie au service de tous ;
    (iv) En finir avec l'Alzheimer ;
    (v) Aider les autistes ;
    (vi) Réforme du financement des campagnes électorales ;
    (vii) Harcèlement sexuel sur les campus ;
    (viii) Réchauffement climatique et création de la superpuissance énergie propre ;
    (ix) Combattre le terrorisme et rendre le pays plus sûr ;
    (x) Réforme judiciaire en direction des minorités les plus contributives au crime ;
    (xi) Soutien aux handicapés ;
    (xii) Ecole maternelle ;
    (xiii) Réparer les infrastructures américaines en capilotade ;
    (xiv) En finir avec les attaques armées ;
    (xv) Sécurité sociale universelle pour tous les Américains ;
    (xvi) Lutte contre le SIDA ;
    (xvii) Politique du logement des travailleurs pauvres ;
    (xviii) Réforme du système immigratoire et régularisations ;
    (xix) Augmentation des emplois bien payés ;
    (xx) Réforme de l'Education nationale et de la carte scolaire ;
    (xxi) Amélioration des droits syndicaux ;
    (xxii) Droits égaux pour les LGBT ;
    (xxiii) Réforme des droits d'inscription dans les collèges et universités ;
    (xxiv) Fabriquer américain ;
    (xxv) Soigner les fous ;
    (xxvi) Maintenir le niveau et la puissance des armées américaines ;
    (xxvii) Améliorer la sécurité intérieure ;
    (xxviii) Créer un congé parental ;
    (xxix) Protéger la vie sauvage, les animaux et interdire la viande de cheval ;
    (xxx) Déracialiser la justice ;
    (xxxi) Soutenir les communautés rurales ;
    (xxxii) Soutenir les PME ;
    (xxxiii) Développer l'assistance publique à la santé (Medicare gratuit) ;
    (xxxiv) Privilégier la technologie et l'innovation ;
    (xxxv) Soutenir les anciens combattants et leurs familles ;
    (xxxvi) Défendre le droit de vote et les droits civiques ;
    (xxxvii) Réformer Wall Street ;
    (xxxviii) Egalité des droits des femmes ;
    (xxxix) Formation professionnelle pour tous.
    Voilà !
    N'avons-nous rien oublié ? Qui saurait le dire. Peut-être le moteur à l'eau de mer qui libérerait les automobiles des énergies fossiles. Il nous semble que le programme est faible à l'international, et pourtant c'est un ancien Secrétaire d'Etat aux affaires étrangères qui se présente aux suffrages du peuple américain. Mais c'est un point discuté contre elle, qui n'a pas imprimé sa marque sur la diplomatie américaine, comme le firent Madeleine Albright ou Condoleezza Rice dans cet emploi.

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  • Journal du Mercredi 19 Octobre 2016 : Sécurité / La Police entre révolte et épuisement

  • Trump : « L’élection sera truquée »

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    De notre correspondant permanent aux Etats-Unis. – Depuis quarante-huit heures, Donald Trump tempête devant tous les micros et derrière tous les podiums. Il vient de lancer la plus énorme des « bombes » de la dernière ligne droite avant le vote du 8 novembre : « L’élection présidentielle, affirme-t-il, sera entachée de fraudes. » Il poursuit : « Non seulement le ministère de la Justice et la police fédérale ont empêché Hillary Clinton d’aller en prison malgré tous ses scandales, mais ils lui ont permis de briguer la Maison Blanche. Tout le système est manipulé à son bénéfice. L’élection elle-même sera truquée. Mais nous ne laisserons pas faire. »

    D’autres bombes de moindre calibre ont éclaté presque en même temps. Les démocrates auraient engagé des perturbateurs afin de semer la violence dans les réunions du New-Yorkais ; celui-ci a réclamé que le troisième et dernier débat – qui aura lieu ce soir, mercredi, à Las Vegas – soit précédé d’un contrôle sanguin afin de savoir si Hillary Clinton n’est pas « dopée » comme un athlète avant une course ; enfin, le Qatar a donné récemment un million de dollars à l’ex-First Lady.

    Un meeting à Bangor

    Surexcités par ces quatre bombes dont les médias étaient encore remplis, plus de 4 000 supporters de Trump l’applaudirent à tout rompre la semaine dernière à Bangor, petite ville du Maine nichée au flanc d’un vaste territoire à 55 % fidèle au milliardaire. Il surgit sur scène comme un coup de vent alors qu’une salle chauffée à blanc scandait U-S-A et America First (l’Amérique d’abord), le slogan de l’aviateur Charles Lindbergh pendant ses tournées anti-guerre en 1938. A 78 ans de distance, les deux combats ont plus d’un point commun. Et d’abord l’anti-interventionnisme. « Désormais, affirma Trump, l’Amérique ne fera la guerre que si ses intérêts sont menacés. » Suivit, durant près d’une heure, un mélange d’attaques contre sa rivale et de promesses au pays : une réindustrialisation de l’Amérique, la fin de l’immigration illégale, la défense des armes à feu. Trump termina par un avertissement qui pourrait résonner encore longtemps dans les mémoires : « Si je perds, l’Amérique aura raté sa dernière chance de redevenir elle-même. »

    Témoignages

    « Notre dernière chance ? C’est sûr », reconnaît Bob, 30 ans, qui a voté deux fois démocrate. « Cette fois-ci, c’est Trump. J’ai changé de parti au début des primaires dès qu’il a dit : le système est corrompu. » Shelley, 24 ans, a été séduite aussi : « Lorsque Trump s’adresse à quelqu’un, dit-elle, il le regarde droit dans les yeux. Pas comme Hillary, toujours fuyante – une menteuse. » Pour Noreen, 48 ans, la vraie menace vient de la Cour suprême. « Si Hillary passe, prévient-elle, elle livrera l’institution aux gauchistes et alors notre Constitution deviendra un rouleau de papier hygiénique. » Codey, 19 ans, arbore un T-shirt avec « Lock her up ! » (Enfermez-la derrière les barreaux). Pour lui, la justice aurait dû empêcher Hillary de se présenter à l’élection. « Elle est corrompue. Elle manipule tout ce qu’elle touche. On le sait depuis trente ans. »

    Gary, 50 ans, s’en tient à l’immigration. « C’est notre plus gros problème, note-t-il. Les illégaux à l’intérieur, des frontières poreuses, les réfugiés qui attendent. Et en plus, le terrorisme. Seul Trump a montré ce qu’il fallait faire. » Scott, 31 ans, s’exclame : « Un troisième mandat d’Obama ? Ce serait la fin de l’Amérique. Hillary serait encore pire que lui. Un désastre en perspective. » Randall, 66 ans, s’indigne : « Comparer Trump à Bill Clinton au sujet des femmes, c’est idiot. Bill est un prédateur. Cent témoignages le confirment. Trump parle trop. Ça lui joue des tours. » Brianna, 19 ans, ne s’en laisse pas conter : « Trump a bossé toute sa vie. Il n’a rien trouvé dans une pochette-surprise. Ses entreprises emploient 35 000 personnes. Hillary serait bien incapable d’en faire autant. »

    Christian Daisug

    Article paru dans Présent daté du 18 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/201116/trump-lelection-sera-truquee/

  • Zoom - Pierre-Emmanuel Barral : "Quel avenir pour la Syrie ?"

  • Même au Québec, ils ne sont pas les bienvenus...

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    Des militants du mouvement Atalante et de la Fédération des Québécois de souche cliquez ici ont déployé des banderoles pour manifester leur hostilité à l'implantation de l'islam dans leur pays...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Journal du Lundi 17 octobre 2016 - Edition speciale "La Manif Pour Tous"

  • Hillary Clinton et la Fin du Monde

    Internet et la culture libertaire du web ne peuvent rien contre la télé, ni contre la bêtise humaine. 90% des gens restent rivés toute leur vie devant leur télé, gobant ses messages et ses ordures, pendant que leurs gosses sont rivés nuit debout devant leur Pokémon-Go, transformés en marionnettes des Annunaki ou d’on ne sait quelle sub-agence de la CIA ou de la NSA. Et quand ils sont sur le web, les 90% cherchent à commander un sushi aux hormones, à consulter un site porno, à rechercher entre deux attentats une piaule de bonne à mille euros.

    Le fascisme médiatique exercé contre Donald Trump va faire élire l’épouse cocue Clinton. Elle aura été élue par les médias, les oligarques US et par la plèbe (je reprends le mot utilisé par Todd) multiraciale, obèse et gavée de télé. Peter Brimelow la décrit très bien dans son Alien Nation, quand en 1992, le mari Clinton fut élu pour promouvoir ces différents agendas : liquidation démographique de son pays ; destruction de l’Europe ; programmation de la guerre éternelle pour la paix éternelle, pour parler comme l’historien Charles Beard.

    Clinton-femme élue, elle fera en premier lieu la guerre à la Syrie et à la Russie. Si Erdogan est alors allié de Poutine, nous aurons une guerre européenne comme celle de quatorze, avec notre destruction à la clé. La Russie et la Turquie seront les nouveaux empires centraux, les nouvelles puissances de l’axe pour nos éminents imbéciles. Feront l’affaire les éternels idiots utiles polonais, mais aussi les nationaux-traîtres Hollande et Merkel, qui salueront béats la guerre contre les nouveaux Hitler, guerre destinée à « faire du monde lieu plus sûr pour la démocratie ». Le week-end suivant la destruction de la vieille Europe, la grosse impératrice Clinton, en femme pourpre de cette Apocalypse, déclarera sa guerre à la Chine pour préserver trois îlots et son allié vietnamien ; ces communistes se seront pris un milliard de bombes pour finir inféodés au capital.

    La folie de Clinton est claire et nette ; l’abrutissement de la masse aussi. La masse répète ce que disent les médias tout en se convainquant qu’elle est libre et pense par elle-même. La plèbe de Clinton représente cinquante millions de ploucs multiraciaux gavés aux Food Stamps. On est nourris pour regarder la télé, pour voter Hillary et pour déclarer la guerre à la Russie. C’est l’empire romain d’occident à l’échelon (clin d’oeil à la NSA) terrestre, et tant pis pour les gaulois que nous sommes et que nous resterons.

    Que Clinton soit une psycho bonne pour le bagne n’est ici que secondaire. Car on a créé le monde d’imbéciles et d’invertis universels dont ont rêvé depuis toujours les élites les plus dégénérées. Tout ce qu’on peut espérer, quand leur candidate luciférienne aura appuyé sur les petits boutons rouges, c’est que les russes mettront le paquet et que les sagouins y passeront aussi.

    Et vous verrez que déjà morts, comme cet électorat moribond, ils ne s’en rendront même pas compte.

    Nicolas Bonnal

    http://www.voxnr.com/4591/hillary-clinton-et-la-fin-du-monde

  • Pologne et Russie : double peine pour Hollande

    En quelques jours et sur deux dossiers différents, la France a réussi le tour de force de se fâcher avec deux pays traditionnellement opposés l’un à l’autre. Sans précédent.

    Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a déclaré, lundi sur France Inter, que si Vladimir Poutine vient en France la semaine prochaine, ça ne sera pas pour des « mondanités » - l’inauguration de la cathédrale orthodoxe - mais pour parler de la crise syrienne et de la situation en Ukraine. Jean-Marc Ayrault a aussi confirmé que la France entendait saisir la cour pénale internationale sur les crimes de guerre commis, selon Paris, à Alep, où la Russie participe activement à l’offensive contre les quartiers rebelles.

    Se fâcher en même temps avec la Pologne et la Russie, les deux sœurs ennemies, « c’est un doublé sans précédent historique », soupire Georges-Henri Soutou, historien des relations internationales. La séquence diplomatique française de ces derniers jours restera sans doute dans les annales du Quai d’Orsay. « Une fin de cycle, sans ressort ni autorité », tranche un vieux routier de ces affaires.

    Les deux dossiers, polonais et russe, sont extrêmement différents, mais ils se soldent par le même résultat  : une forte montée de la tension dans les relations entre la France et chacun de ses deux pays, à la fois rivaux et importants pour la sécurité en Europe. « Dans l’Histoire, la France a toujours hésité et balancé entre la Pologne et la Russie  : aujourd’hui, elle est fâchée avec les deux », résume Arnaud Dubien, directeur de l’Observatoire franco-russe. [....]

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Pologne-et-Russie-double-peine

  • Ce que Poutine a dit à TF1 et ce que la chaîne a préféré taire

    Dans un entretien attendu à la chaîne TF1, le président russe Vladimir Poutine a donné franchement son avis sur plusieurs sujets, mais le choix des journalistes de la chaîne surprend, beaucoup de points chauds importants sur le plan international ayant été omis. Qu'est-ce que TF1 a passé sous silence ? Sputnik publie les parties qui manquent.

    Entretien de la chaîne TF1 avec le président russe Vladimir Poutine le 12 octobre 2016 : (la traduction en français est assurée après chaque réponse de Vladimir Poutine)

    Le nom du président russe Vladimir Poutine a été évoqué durant cette dernière semaine en France un nombre assez impressionnant de fois en raison de sa visite annulée à Paris et ce qui a précédé : le désaccord concernant la situation dans la ville syrienne d'Alep et la résolution française sur Alep qui s'est heurtée au veto russe. M. Poutine ne vient toujours pas en France, mais il accepte de parler aux journalistes français de TF1 et leur parle franchement et sans éviter les questions délicates.

    Or, alors que l'intégralité de l'interview en russe se trouve sur le site de TF1, les journalistes de la chaîne ont choisi de diffuser, pour le journal de 20 heures, une sélection de sujets assez chaotique. Certes, ils n'ont pas négligé les thèmes tels que la visite du dirigeant russe annulée à Paris, sa réaction aux accusations de crimes de guerre et les bombardements à l'est d'Alep. Cependant, bien qu'il y ait bien d'autres questions à soulever, la chaîne a vite passé… à ce que Poutine pensait de Donald Trump.

    Donc, le reste de l'interview a-t-il paru moins important aux journalistes de TF1 ? Vladimir Poutine dit savoir qui a frappé le convoi humanitaire près d'Alep, et il dit que ce serait un groupe terroriste et que les États-Unis seraient au courant… Pas intéressant ! Il explique pourquoi la Russie n'est pas responsable de la crise migratoire que l'Europe a subie, en réponse à ces nouvelles idées circulant dans des médias occidentaux depuis quelques temps. Il dévoile une proposition extraordinaire qui a été faite à la Russie pour protéger la route avec des soldats russes ou le convoi humanitaire passera. Il revient sur le dernier cessez-le-feu en Syrie, il explique pourquoi et par qui, selon lui, il n'a pas été respecté. Intéressant ? Assez, si on a envie de connaître le point de vue du président russe sur une question sensible plutôt que savoir s'il aime bien Trump…
    Pour les curieux, Sputnik vous présente les extraits qui ne sont pas parus sur TF1 au journal de 20 heures.