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  • Les objectifs de l'ONU n'incluent pas l'avortement dans les critères de bonne santé maternelle

    Le démon se déchaîne à l'ONU contre l'enfant à naître, par le biais des groupes pro-mort, qui veulent impérativement que soient liés dans tous les pays la santé maternelle avec le prétendu "droit" à l'avortement. En effet, ces gens prétendent que là où l'avortement n'est pas permis, c'est la santé des mères qui en prend un coup (les avortements illégaux, qu'ils appellent "non sécurisés", feraient selon eux énormément de morts. Ils n'en feront cependant jamais autant que les avortements légaux, qui déciment les populations !)

    C'est ainsi que pour les avortueurs, le critère de réussite des pays dans le domaine de la santé maternelle devrait être lié à l'accès à l'avortement "sécurisé" dans les Objectifs de Développement Durable – un nouvel accord de l’ONU avec des objectifs sociaux, économiques, environnementaux universels, qui contrôleront des milliards de dollars dans l’aide au développement ces dix prochaines années.

    Facio-Zilinska-Raday(Mmes Facio, Zilinska et Raday, féministes gauchistes avortueuses de l'ONU, venues faire de la propagande pro-mort aux Etats-Unis, et contre lesquelles Austin Ruse pousse un "coup de gueule" bien mérité)

    Or, les Objectifs de Développement Durable de l'ONU n'incluent toujours pas l'avortement "sécurisé" comme condition impérative de la santé des femmes, tout simplement parce qu'il n'en est pas une, les conclusions de nombreux groupes de recherche dans le monde le prouvent. Ces groupes proposent que la lutte pour la santé des femmes s'oriente plutôt contre l'anémie dûe à une mauvaise nutrition, et vers des soins prénataux souvent inexistants, l'accès à des sages-femmes qualifiées, les soins obstétriques en cas d’urgence, la nutrition et l'hydratation.

    Le démon peut se rouler par terre de rage : le bon sens commence à prévaloir même à l'ONU, où l'on admet que l'accès à l'avortement légal ne change rien à la santé des femmes, qui s'améliore lorsque les bons investissements en matière de santé maternelle sont faits.

    Marie Bethanie

  • Canada – Mary Wagner, militante pro-vie, arrêtée pour la 6eme fois

    Canada – Il s’agit de sa sixième arrestation depuis qu’en 2000, elle s’est consacré à plein temps à essayer de sauver des vies en prévenant les avortements. Mary Wagner est l’une des militantes pro-vie les plus connues du Canada et du monde. Elle est de retour en prison après y avoir déjà passé quatre ans avec Linda Gibbons, une autre militante pro-vie en attente de procès. Cette fois, l’arrestation a eu lieu le 12 décembre quand Mary Wagner est allée à la clinique d’avortement située dans le complexe commercial de Bloor West Village au centre-ville de Toronto. Comme d’habitude, la militante est venue avec l’intention de persuader une mère de ne pas tuer son enfant, mais rapidement deux agents de police sont intervenus pour indiquer que si elle ne se retirait pas, ils l’arrêteraient de nouveau. Mary Wagner est restée près de la clinique, malgré la menace, ce qui lui vaut un nouveau séjour en prison et une accusation de dommages de près de 5000 $ (soit environ 4500 euros).

    Pendant le procès, Mary Wagner, qui a refusé l’avocat commis d’office et décidé de se défendre elle-même, a reconnu que la date choisie pour intervenir à la clinique n’avait pas été accidentelle, puisque c’était la fête de la Vierge de Guadalupe, qui est pour beaucoup la sainte patronne de l’enfant à naître.

    Beaucoup de gens ne comprennent pas l’attitude constante de l’activiste, qui pourrait, en restant plus éloignée des cliniques d’avortement, éviter la prison. Mary Wagner a clarifié sa position dans une lettre publiée dans divers médias:

    «Les gens me demandent souvent si je ne peux pas simplement rester en dehors de la zone qui m’est interdite et ainsi, éviter l’arrestation. Mais en soulevant cette question, on oublie quelque chose: c’est que les enfants de ce jour seront tués sans que personne ne puissent aller se battre pour eux. Allons-nous cesser d’aller dans les cliniques et les abandonner ainsi que leurs mères pour obéir à une restriction immorale imposée par les autorités? « .

    http://www.medias-presse.info/canada-mary-wagner-militante-pro-vie-arretee-pour-la-6eme-fois/45673

  • Les sanctions contre Moscou ruinent les agriculteurs européens

    Les représentants de l’élevage français se sont rendus en Russie pour soulever la question de la levée des sanctions qu'ils subissent de plein fouet.

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    Les éleveurs français veulent reprendre les livraisons de leur production en Russie.

    L'intention des éleveurs français de revenir aux livraisons de leurs produits a été annoncée ce lundi par le Service fédéral russe de contrôle vétérinaire et phytosanitaire (Rosselkhoznadzor), suite aux négociations du chef du service Sergueï Dankvert et du président de la Chambre d'agriculture des Côtes d'Armor Olivier Allain.

    http://fr.sputniknews.com/caricatures/20151222/1020485768/sanctions-russie-ue-agriculteurs.html#ixzz3vSFcrx8h

  • Une opinion sur la globalisation

    Ce ne sont plus les gouvernements qui sont les véritables maîtres du monde mais les dirigeants des groupes multinationaux financiers ou industriels et ceux des institutions financières opaques (comme le FMI, la Banque mondiale, l'OMC, les banques centrales, etc.). Ces responsables n'ont pas été élus par le peuple mais leurs décisions ont un impact, direct ou indirect, sur la vie de chacun de nous.
    Le pouvoir de ces organisations s'exerce sur une échelle planétaire, alors que le pouvoir des Etats se limite à une dimension nationale. De plus, le poids des sociétés multinationales sur les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des Etats. Sur le plan international, ces organisations, plus riches que les Etats eux-mêmes mais qui sont aussi les principaux commanditaires des partis politiques de toute tendance et dans la majorité des pays, sont, en réalité, au-dessus des lois et du pouvoir politique, et par conséquent au-dessus de la démocratie.
    Le champ d'action des Etats finit toujours par se réduire à des accords économiques internationaux sur lesquels les citoyens ne sont ni consultés ni informés (si ce n'est a posteriori). Tous les principaux traités élaborés ces dernières années (dont le GATT, l'OMC et d'autres encore) n'ont qu'un seul objectif : le transfert du pouvoir des Etats vers des organismes non élus par les citoyens. Suspendre officiellement la démocratie aurait entraîné une révolution et c'est la raison pour laquelle il a été décidé de maintenir une démocratie de façade et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres. Et c'est précisément pourquoi il n'y a plus à décider entre programmes politiques de « droite » ou de « gauche » qui souvent se ressemblent dans tous les pays occidentaux. Pour résumer, on peut dire que nous n'avons pas le choix du plat principal mais que nous pouvons choisir la sauce. Le plat s'appelle « le nouvel esclavage », avec sauce de droite piquante ou sauce de gauche aigre-douce.
    Depuis le début des années 1990, l'information a progressivement disparu des médias destinés au grand public. Tout comme pour les élections, les journaux télévisés continuent d'exister mais ils sont vidés de leur substance. Un journal télévisé contient un maximum de 2 ou 3 minutes de réelles informations ; le reste est constitué de sujets de « magazines », d'anecdotes et de faits divers inhérents à la vie quotidienne. Les analyses réalisées par des journalistes spécialisés ainsi que les programmes d'information ont été quasiment totalement éliminés. L'information est désormais réduite à la presse écrite, qui est lue d'ailleurs par une minorité de personnes.
    La disparition de l'information est le signe tangible que notre régime politique a déjà changé de nature. L'argent, aujourd'hui, n'a plus une base intangible comme au temps de l'étalon or. Aujourd'hui l'argent est essentiellement virtuel. La majeure partie du commerce mondial se fait sans papier-monnaie et 10% seulement des transactions financières quotidiennes correspondent à des échanges économiques du « monde réel ».
    Les marchés financiers eux-mêmes constituent un système de création d'argent virtuel, de gain non fondé sur une création de richesses réelles. Grâce au jeu des marchés financiers (qui permet de transformer en bénéfices les oscillations des changes), les propriétaires d'actions peuvent être considérés comme plus riches du seul fait de la circulation d'électrons dans des ordinateurs.
    Cette création d'argent sans création de richesses économiques correspondantes est la définition même de la création artificielle d'argent. Ce que la loi interdit aux faussaires et que l'orthodoxie économique libérale interdit aux Etats est par conséquent possible et légal pour un nombre restreint de bénéficiaires.
    Les responsables du pouvoir économique font presque tous partie de la même sphère, proviennent des mêmes milieux sociaux : ils se connaissent, se fréquentent, partagent les mêmes objectifs et les mêmes intérêts ; ils partagent par conséquent la même vision de ce que devrait être le monde futur idéal. Il est donc naturel qu'ils s'accordent sur la stratégie à adopter et qu'ils synchronisent leurs actions vers des objectifs communs, en créant des situations économiques favorables à la réalisation de ces objectifs, c'est-à-dire :
    a) Affaiblissement des gouvernements. Libéralisation. Privatisation des services publics. Désengagement total des Etats de l'économie, y compris des secteurs de l'éducation, de la recherche et, d'ici peu, de la police et de l'armée, destinés à devenir des secteurs gérés par des entreprises privées. b) Précarisation des emplois et maintien d'un taux élevé de chômage, et ce grâce aux délocalisations des entreprises et à la mondialisation du marché du travail. En conséquence, la pression économique sur les salariés s'en trouve accrue et ces derniers n'ont malheureusement pas d'autre choix que d'accepter les salaires ou les conditions de travail qui leur sont proposés.
    c) Réduction des aides sociales, pour accroître la motivation du chômeur à accepter n'importe quel travail à n'importe quel salaire.
    d) Empêcher le déclenchement de revendications salariales dans le tiers-monde en y maintenant des régimes totalitaires et/ou corrompus. Si les travailleurs du tiers-monde devaient être mieux rétribués, cela romprait le principe même de la délocalisation et du levier que celle-ci constitue sur le marché du travail et sur la société occidentale. C'est là un nœud stratégique essentiel qui doit être maintenu à tout prix. La fameuse crise asiatique de 1998 a été déclenchée précisément dans le dessein de maintenir cet équilibre.
    En fait, dès les années 1990, les revendications salariales s'étaient largement développées en Corée du Sud, pays de pointe de ce qu'on a appelé « le miracle asiatique ». Les manifestations en faveur de la démocratie et des conditions salariales s'y multipliaient en menaçant de contaminer l'ensemble des pays du Sud-Est asiatique où étaient concentrées les délocalisations. Souvenons-nous que la crise asiatique a commencé exactement en Corée à la suite d'un krach boursier à la Bourse de Séoul. Du jour au lendemain on s'est aperçu que les dettes accumulées par les entreprises privées coréennes étaient trop considérables, ce qui déclencha un mouvement de panique à la Bourse. Le krach coréen se propagea ensuite à d'autres Bourses asiatiques par un effet dominos. On sait que les krachs boursiers sont les événements économiques les plus faciles à provoquer et à manipuler, il suffit d'être dans une position suffisamment influente dans le domaine des flux financiers et/ou des informations financières. Quoi qu'il en soit, à partir de ce moment-là en Corée et en Asie on ne parle plus de revendications sociales mais on parle seulement de baisse des salaires, de chômage et de sans-abri.
    Les organisations multinationales privées s'emparent progressivement de tous les leviers de force des Etats : réseaux de communication, satellites, services d'informations, fichage des personnes, institutions judiciaires (établies par l'OMC, accord grâce auquel une multinationale pourra traîner un Etat devant une cour de justice internationale spéciale).
    L'étape suivante, et dernière, que visent ces organisations sera d'obtenir la part de pouvoir militaire et policier correspondant à leur nouveau pouvoir, en créant leurs propres forces armées puisque les armées et les polices nationales ne sont pas adaptées à la défense de leurs intérêts dans le monde. D'ici peu, les armées seront destinées à devenir des entreprises privées, des prestataires de travail sous contrat aussi bien pour un Etat que pour quelque client privé en mesure de payer leurs services. Mais, en dernière analyse, ces armées privées serviront les intérêts des grandes multinationales et auront pour mission d'attaquer les Etats qui ne se plieront pas aux règles du nouvel ordre économique.
    Nous atteignons maintenant le point de non-retour écologique. Il est évident que nous sommes près d'atteindre les limites écologiques dues à l'activité économique de l'homme. Un système économique libéral dont le but est la recherche du profit à court terme pour des intérêts privés ne peut pas prendre en compte les conséquences à long terme, comme la dégradation du milieu. En outre, les modèles économiques actuels ne sont pas adaptés pour évaluer avec précision la « production » de la nature indispensable à notre survie : production d'oxygène, d'anhydride carbonique provenant des forêts et des océans, régulation de la température, protection contre l'irradiation solaire, recyclage chimique, distribution des pluies, production d'eau potable, production des aliments, etc.
    Il semble que la disparition de la nature soit inévitable parce que voulue par le nouveau pouvoir économique. Mais pourquoi ? Pour trois raisons :
    1) la disparition de la nature et l'augmentation de la pollution rendront les individus encore plus dépendants, pour leur survie, du système économique, ce qui permettra la création de nouveaux profits comme la vente d'oxygène en aérosols, de dispensateurs d'oxygène dans les villes, l'augmentation de la consommation de médicaments et de prestations médicales ;
    2) d'autre part, la nature constitue un repère appartenant à un monde différent, celui de l'univers ; la contemplation de la beauté et de la perfection de cet ordre est subversive ; elle porte l'individu à refuser la laideur des milieux urbains et à douter de l'ordre social qui est censé rester la seule référence ;
    3) enfin, la contemplation de la nature incite au rêve et intensifie la vie intérieure des individus, en développant leur propre sensibilité et par conséquent leur libre arbitre. A partir du moment où ces individus cessent d'être fascinés par les biens de consommation ils évitent les programmes télévisés destinés à les abrutir et à contrôler leurs esprits. Libres de tout lien, ils se mettent à imaginer une société différente, possible, fondée sur d'autres valeurs qui n'ont rien à voir avec le profit et l'argent.
    Tout ce qui peut porter les individus à penser et à vivre par eux-mêmes est potentiellement subversif. Le plus grand danger pour l'ordre social est la spiritualité, parce qu'elle porte l'individu à bouleverser son système de valeurs et du même coup son comportement, au détriment des valeurs et des comportements implantés précédemment par le conditionnement social. Pour la stabilité du « nouvel ordre social » tout ce qui peut stimuler le réveil spirituel doit être éliminé. S'ils ne veulent pas être exclus définitivement du jeu, les contre-pouvoirs au pouvoir économique (Etats, syndicats, associations de consommateurs, mouvements patriotiques) doivent répondre en se positionnant sur le même niveau organisationnel, au niveau mondial et non plus national, en unifiant et en synchronisant leurs actions de manière à avoir un poids suffisamment incisif sur les flux économiques mondiaux.
    Il nous reste peu de temps pour réagir vu que tous les éléments nécessaires à une future dictature économique mondiale sont déjà en place.
    Durant les deux derniers millénaires, la civilisation a traversé quatre périodes, marquées par quatre formes de pouvoir politique :
    1/ L'ère des chefs de tribu :
    Le pouvoir s'exerce par la force (et plus rarement par la sagesse ou la connaissance) ; comme chez les animaux, le pouvoir va au « mâle dominant » ;
    2/ L'ère des empires et des royaumes :
    Le pouvoir est héréditaire. Naissance de la notion d'Etat ;
    3/ L'ère des Etats-nations :
    Cette période s'ouvre avec la monarchie constitutionnelle en Grande-Bretagne en 1689, avec la Révolution française en 1789 et avec la fondation des Etats-Unis. Dans un Etat-nation, le pouvoir n'est plus héréditaire mais il est exercé par des dirigeants représentant le peuple et désignés au moyen d'élections (Etat-nation démocratique) ou par un système de cooptation au sein d'un parti unique (Etat-nation autoritaire ou totalitaire) ;
    4/ L'ère des potentats économiques :
    Cette période a commencé en 1954, a fonctionné au cours des années 1970 et 1980 et elle est complètement opérationnelle à partir des années 1990. Le pouvoir n'est plus de type représentatif ou électif et il n'est plus situé géographiquement (contrairement aux tribus, aux royaumes et aux Etats-nations) mais il est exercé directement par ceux qui contrôlent le système financier et la production des marchandises. Les instruments de ce pouvoir sont le contrôle de la technologie, de l'énergie, de la monnaie et de l'information. A titre de pouvoir entièrement nouveau, il s'érige en remplacement du pouvoir précédent qui, lui, est destiné à disparaître. Enfin, ce nouveau pouvoir est global, planétaire. Il n'y a donc ni alternative, ni moyen d'y échapper ; il constitue un nouveau niveau organisationnel de la civilisation, une sorte de super-organisme. Pour ce nouveau pouvoir, la solution des problèmes à dimension planétaire passe malheureusement par l'avènement d'une forme de pouvoir global. L'unification du monde au moyen de l'économie et le déclin des Etats-nations ont été décidés de manière à rendre impossible toute rébellion contre le nouvel ordre mondial mais aussi pour amener à l'état d'esclave le nouveau citoyen consommateur.
    Il y a bien longtemps, une certaine bourgeoisie préparait la Révolution française et la conséquence en fut l'arrivée, à cette époque, des susdits potentats économiques et la destruction du principe d'indépendance nationale.
    Il est temps de désigner ouvertement les responsables. Dans cette bataille, attendre ne ferait qu'amener notre civilisation au suicide : rien ni personne ne viendra à notre aide si nous ne créons pas nous-mêmes les conditions de notre survie.
    Les principales organisations du pouvoir planétaire sur le banc des accusés sont :
    – Le FMI (Fonds monétaire international) et la Banque mondiale :
    Ce sont eux qui définissent l'économie et l'environnement de la planète au moyen de prêts accordés aux Etats du tiers-monde à condition que ces derniers appliquent une politique économique d'inspiration ultra-libérale, souvent au détriment des réalités humaines et écologiques.
    – L'OMC (Organisation mondiale du commerce) :
    Cet organisme fixe les règles du commerce mondial, en réduisant de manière considérable les marges décisionnelles des Etats dans le domaine économique ou environnemental.
    – Le Forum économique mondial :
    Cette organisation réunit les hommes les plus puissants et les plus riches de la planète. Le critère d'entrée dans ce milieu est le niveau de pouvoir, de richesse et d'influence du candidat dans le monde de l'économie, de la politique internationale, de la technologie ou des médias. La principale réunion du Forum économique mondial se tient annuellement à Davos, en Suisse, à la fin du mois de janvier. Tout au long de l'année les membres les plus importants de cette organisation sont reliés entre eux par un super-réseau de vidéo-conférences, du nom de « Welcome », qui leur permet de prendre à tout moment des décisions importantes au niveau mondial. Exactement comme dans le film « Rollerball » qui décrit un monde futur dans lequel les cartels économiques ont pris le pouvoir et où une élite planétaire prend ses décisions au cours de simili vidéo-conférences.
    – La Commission Trilatérale :
    C'est un organisme de réflexion international fondé en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski (ex-conseiller du président Jimmy Carter). Il réunit les dirigeants des principales zones économiques : Amérique du Nord, Europe occidentale et Japon.
    – Le CFR - Council on Foreign Relations (Conseil des relations étrangères) : C'est une organisation américaine qui réunit les dirigeants politiques et économiques de haut niveau (comme le président Bush, Henry Kissinger ou David Rockefeller).
    – Le Club de Rome :
    C'est un « club de réflexion » de dirigeants politiques et économiques, principalement européens.
    On n'oubliera pas, en outre, les nombreuses sociétés fondées ces dernières années (surtout aux Etats-Unis), spécialisées dans la récolte d'informations individuelles, officiellement à des fins commerciales. Mais ces dossiers privés commencent à recueillir des millions de profils individuels très précis des consommateurs répartis sur l'ensemble des pays occidentaux. Les informations de ces « files » sont vendues à qui désire les acquérir.
    Gian Franco Spotti, 16 décembre 2007
    Traduction de l'italien par Y.F.
    http://archives.polemia.com/article.php?id=1592

  • La Russie de Poutine : notre seul allié sérieux

    La politique de Vladimir Poutine serait-elle la seule chance pour la France et l’Europe ? Contre le chaos. Que ce soit au Moyen Orient ou dans les solutions qu’il faudrait apporter au sein de nos sociétés ? L’axe choisi par la nouvelle Russie post-soviétique et post-eltsinienne, tant décrié, ne pourrait-il pas être un modèle ? La position russe semble être la plus sage et la plus forte, comme le révèle la victoire de la diplomatie russe au Conseil de Sécurité de l’ONU le 18 décembre. 

    La stratégie russe est pensée, celle de l’Occident est improvisée

    Pour le politologue Fedor Loukianov, président du Conseil pour la Politique étrangère et la politique de Défense de Russie,  l’engagement de la Russie en Syrie « a porté un coup inattendu au monopole des États–Unis dans leur rôle de ”gendarme du monde”. Monopole que Washington détient depuis 25ans. Dans un monde unipolaire, les guerres ”au nom de la paix” ne sont menées que par les États–Unis soutenus par leurs alliés. En intervenant militairement, Moscou a rebattu les cartes d’un conflit international majeur  ». (Rossiyskaya Gazeta)

    1. Poutine et son gouvernement ont entrepris en Syrie plus que la lutte contre Dae’ch et le terrorisme islamique et l’interdiction du renversement du régime d’Assad qui mènerait à un chaos encore pire qu’aujourd’hui ; ils ont voulu, par une intervention beaucoup plus musclée et efficace que celle de la coalition occidentale, mettre un terme à l’unilatéralisme américain et montrer que la Russie redevenait une grande puissance, notamment militaire et diplomatique, avec laquelle il faudra compter.

    Au Moyen Orient, les buts géopolitiques de la Russie de Poutine sont aussi : faire une prudente alliance régionale avec l’Iran chiite, sans se faire manipuler par lui comme les Américains le sont par l’Arabie saoudite ; maintenir une stabilité et une présence militaire russe permanente dans la Syrie utile côtière ; contrôler une zone historiquement explosive et instable qui est assez proche des frontières de la Russie méridionale. La Russie, par l’emploi de la force intelligente, veut restabiliser une région que  les Américains ont déstabilisée.

    Les frappes aériennes françaises (ou britanniques, très faibles) n’ont aucune efficacité militaire. Elles ne sont qu’un moyen de politique intérieure et n’ont aucune dimension stratégique. C’est de la communication. À l’inverse des Russes, nous n’avons pas d’objectifs efficaces et réfléchis. On fait du spectacle. Les Rafales et les Super Étendards qui décollent du porte-avion nucléaire Charles de Gaulle, c’est de la vidéo, pas de la stratégie.     

    La politique tordue et dangereuse de l’administration US

    Au Moyen-Orient, face à la montée de l’islamisme, vis-à-vis de l’Europe et de la Russie, la politique de Washington n’est pas claire et ambiguë. L’ensemble du jeu est très trouble.

    Le premier objectif de Washington est de neutraliser et de dominer par une ”alliance” de dupes l’Union européenne ; le second  est d’encercler, d’affaiblir et de contenir la Russie pour l’empêcher de redevenir un rival de type URSS. La crise ukrainienne et les ”sanctions ”économiques anti-russes en sont des épisodes.

    Le troisième objectif est de jouer un double jeu avec l’islamisme, par l’intermédiaire de la Turquie d’Erdogan (membre de l’OTAN) et du vieil allié depuis 1945, l’Arabie saoudite. Mais le but principal de Washington n’est pas l’élimination de Dae’ch, d’autant que c’est sa créature indirecte, résultat de l’invasion et de la destruction de l’Irak. L’Arabie saoudite (ainsi que le Qatar, ce bon ami de la France) est à l’origine de l’idéologie wahhabite fondamentaliste de retour aux sources islamiques , qui a donné le djihad soufiste qu’appliquent Dae’ch, Al–Qaida , AQMI, Al-Nosra et Boko-Aram en Afrique noire. L’Arabie finance en sourdine et inspire les mouvements islamiques terroristes. Quant à la Turquie du sultan islamiste ”modéré” Erdogan, elle aide objectivement Dae’ch (trafic de pétrole, aides logistiques, frappes anti-Kurdes, etc.). (1) Ses deux ennemis principaux sont l’Europe (le régime d’Erdogan veut entrer dans l’UE pour la détruire de l’intérieur) et la Russie : son aviation a abattu un appareil russe, sans se préoccuper des sévères sanctions économiques de Moscou.

    L’Arabie a aussi provoqué, par une politique cynique de surproduction pétrolière au moment même de l’affaiblissement de la demande chinoise, un effondrement du prix des hydrocarbures – divisé par deux. Cette politique lui a été suggérée par Washington afin de faire gravement chuter les recettes pétro-gazières de la Russie. En échange, l’Arabie a exigé de Washington que l’administration US ferme les yeux sur son aide internationale à l’islamisme. La Russie était déjà handicapée par les sanctions économiques (illégales) suite à la crise ukrainienne.(2)On cherche donc à créer une crise économique, financière et budgétaire en Russie afin de casser ses efforts pour redevenir une grande puissance, notamment militaire.    

    Comme toujours, la politique étrangère US est déstabilisatrice et très dangereuse, y compris pour les États–Unis eux-mêmes. Dans ce noeud de vipères, elle joue un jeu trouble, Mais dans tous les cas, la Russie est considérée par Washington, la Turquie et l’Arabie (qui déteste l’Iran, Assad, etc.) comme une puissance hostile. La russophobie est ce qui les rassemble. Les Européens sont hors jeu. On dirait qu’ils adorent sortir de l’histoire.

    Le réveil russe est fondamental pour l’Europe

    Pourtant la Russie, restaurée par Vladimir Poutine depuis 15 ans, devrait présenter pour les Européens un facteur de stabilité, d’alliance et d’exemple. Mais elle est détestée par l’oligarchie et son idéologie dominante (mais très minoritaire numériquement), parce que le régime de Poutine ne correspond pas à ses dogmes. Comparé aux chefs d’État et dirigeants de l’UE – qui ne sont que des politiciens, des businessmen de la politique – Vladimir Poutine est le seul à posséder une vision à long terme pour son pays et pour l’Europe (3), le seul à envisager une géostratégie, le seul homme politique au sens aristotélicien.       

    La stratégie de Poutine, qui a été parfaitement comprise et décrite par Frédéric Pons, journaliste et grand reporter àValeurs actuelles et auteur d’un livre intitulé « Poutine », pourrait se résumer ainsi.

    Comme Napoléon ou De Gaulle, Poutine veut faire la synthèse entre plusieurs traditions politiques russes, en conservant les meilleurs aspects de chacune. Le traiter de ”nouveau Tzar” est faux puisqu’il a été démocratiquement élu à la tête d’un régime présidentiel de type démocratique. Il est apprécié dans les sondages et les suffrages par une proportion de citoyens qui font pâlir les dirigeants occidentaux.

    En rupture complète avec l’idéologie marxiste–léniniste et trotskiste, utopique et totalitaire , comme avec l’anarchie de la parenthèse Eltsine, le nouveau régime russe opère une ” révolution conservatrice nationale et démocratique ”. Entente avec l’Église orthodoxe, respect des traditions, défense de la famille traditionnelle et naturelle, encouragement de la natalité, patriotisme. Toutes ces valeurs vitales sont partagées par 90% des peuples du monde mais sont détestées par les intellocrates occidentaux qui monopolisent les médias. Les Russes, avec bon sens, les plébiscitent.

    La Russie, difficilement restaurée dans sa puissance et ses valeurs par le régime de Vladimir Poutine, affronte évidemment d’énormes problèmes internes à résoudre. Tout le monde en a. Mais, sur le plan de la politique étrangère, de la coopération militaire, stratégique, commerciale et technologique, l’Europe et surtout la France auraient tout intérêt, dans un monde de tempêtes, à considérer la Russie comme notre allié principal.

    Victoire de la diplomatie russe et suggestions

    Le 18 décembre, au Conseil de Sécurité de l’ONU, la proposition russe sur la Syrie a été admise à l’unanimité. Il s’agit d’un texte de compromis pour un règlement politique du conflit. L’hypothèse dangereuse et stupide de l’éviction inconditionnelle d’Assad a été rejetée. Les Etats-Unis et la France ont cédé face au bon sens en béton de M. Lavrov  et face à la force des faits; la reculade de MM. Kerry et Fabius signifie que la Russie à repris la main dans le poker international. La Russie, en dépit de toutes ses faiblesses internes, est en train de redevenir un acteur majeur de la sécurité et des équilibres internationaux.

    La ”menace russe” imaginaire sur l’Europe de l’Est (Pologne, pays baltes, etc.) est un point clé de la propagande occidentale – décidée à Washington – contre Moscou ; c’est un fantasme entretenu qui fait des dégâts dans les opinions publiques des pays anciennement membres du Pacte de Varsovie, afin d’entretenir la peur et la russophobie. Ce mensonge, d’une stupidité déconcertante, laisse entendre que la Russie de M. Poutine risque d’attaquer l’Europe orientale. C’est pourquoi il faudrait que le gouvernement et la diplomatie russes s’emploient à contrer, à déconstruire cette propagande. Ce devrait être une priorité pour le Kremlin.

    (1) Erdogan, héritier de l’idéologie islamo-ottomane, vise à détruire l’héritage d’ Attaturk qui voulait européaniser la Turquie.

    (2) Ces sanctions, comme les mesures commerciales de rétorsions russes, ne nuisent qu’aux économies européennes.

    (3) La Russie est plus européenne qu’asiatique. Les Russes ont conquis une partie de l’Asie (Sibérie) mais la culture russe est fondamentalement européenne.

    http://www.gfaye.com/la-russie-de-poutine-notre-seul-allie-serieux/

  • Histoire du retour de la Crimée à la Russie – 3 Documentaires commentés par Vladimir Poutine

    En trois documentaires, la télévision russe a décortiqué à l’aide d’images d’actualité et de reconstitutions, le dessous des cartes du retour de la Crimée à sa mère-patrie. Film dont la projection a été interdite par les mairies de Nice, Strasbourg, Cannes et Bordeaux. Ce dont elles ont été félicitées par l’Ambassade d’Ukraine, pour le plus grand bonheur des mondialistes, mais certainement pas pour celui des tenants de la liberté d’expression. Il s’agit d’une entrave à la manifestation de la vérité par un débat public. Ce documentaire en trois parties pourrait un peu contrebalancer la version officielle diffusée en France sans la moindre contradiction, du rattachement de la Crimée à la Russie qui a été le prétexte à la déclaration de guerre du régime de Kiev -soutenu par les USA et par l’Union européenne-, à la population de la Novorossiya (Donbass). Une version officielle et obligatoire  diffusée en France par toutes les chaines de télévision et les gros médias en général, sans la moindre contradiction. Le choix des Criméens de rejoindre à une majorité plébiscitaire la Russie a aussi été le prétexte aux sanctions économiques qui ont frappé la Russie et par contre-coup l’Union européenne. 

    Un grand documentaire en trois parties de la chaîne Rossiya 1 sur les évènements qui ont eu lieu au printemps 2014 en Crimée, commentée par le président de la fédération de Russie:


    Crimée. Le retour à la Patrie (2015) [Partie 1/3] par boubliktv


    Crimée. Le retour à la Patrie (2015) [Partie 2/3] par boubliktv


    Crimée. Le retour à la Patrie (2015) [Partie 3/3] par boubliktv

    http://www.medias-presse.info/histoire-du-retour-de-la-crimee-a-la-russie-3-documentaires-commentes-par-vladimir-poutine/46221

  • Croissance démographique et réchauffement climatique

    La 21e conférence mondiale sur le climat (COP21), a accueilli du 30 novembre au 12 décembre au Bourget, près de Paris, 195 Etats qui se sont engagés à contenir « l’élévation de la température moyenne de la planète nettement au-dessous de 2 °C », en un traité dénommé L’Accord de Paris. A en croire les médias, la tâche fut laborieuse, mais finalement « le président François Hollande, le ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, la secrétaire exécutive de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) Christiana Figueres et Laurence Tubiana posent main dans la main, les bras levés en signe de victoire. »

    Tout va pour le mieux dans le meilleur de la planète, à ceci près que, l’homme ayant été déclaré le premier responsable du réchauffement climatique, la question démographique n’a pas été abordée.
    Yves Marie Laulan traite cette question.
    Polémia


    La lutte contre la pollution est une priorité comme l’atteste la récente conférence COP21 et il faut s’en réjouir.

    Mais elle a laissé dans l’ombre un paramètre essentiel de cette équation qui est la croissance démographique au plan mondial. Elle va passer de 7,3 milliards à plus de 11 milliards en 2100. Mais cette expansion se vérifie surtout au niveau de l’Afrique dont la population va quasiment quadrupler en passant de 1,2 milliard à 4,2 milliards.

    Ce constat se démontre aisément. Si la pollution générant l’effet de serre est réduite de 20% mais que la population mondiale croît dans le même temps de 20%, toutes choses égales par ailleurs, le niveau de pollution restera rigoureusement identique. Si la pollution est réduite de 50% (hypothèse clairement hypothétique) mais que la population de la planète augmente de 50% en même temps, le niveau de pollution et le réchauffement climatique resteront inchangés. Or la population mondiale va passer de 7,5 milliards à environ 10/11 milliards fin 2100 et celle de l‘Afrique va quadrupler.

    Il ressort de ce qui précède que ce que l’on pourra faire en matière de lutte contre le réchauffement climatique ne sera pas efficace si l’on n’agit pas en même temps sur le paramètre démographique. Car il existe une liaison étroite entre réchauffement climatique et la croissance démographique.

    Or il n’est pas question, jusqu’à présent, de réduire les effets de serre mais simplement d’en limiter la progression de façon à cantonner le réchauffement climatique dans une fourchette de 1,5 à 2 degrés. Nous sommes loin du compte. On voit bien que les résultats obtenus à l’issue de la COP21 sont illusoires et les sonneries de trompe qui ont salué la fin de cette rencontre sont parfaitement dérisoires. Car elles négligent l’essentiel : l’explosion démographie de l’Afrique. Dès lors, vouloir limiter le réchauffement climatique à 2 degrés d’ici la fin de ce siècle est un objectif parfaitement irréalisable. Le facteur crucial serait de prendre les moyens d’amener l’Afrique à contrôler les naissances. Or on connaît les chiffres, avec un pic de 8 enfants par femme au Niger !

    Jusqu’ici tous les efforts menés dans ce sens se sont révélés parfaitement vains. C’est que l’on se heurte ici à un double obstacle :

    -en premier, l’extrême sensibilité des gouvernements africains en matière de souveraineté, lesquels de toute façon ne considèrent nullement le contrôle de la natalité comme une priorité, à l’inverse du gouvernement chinois il y a un demi-siècle ; outre que les gouvernements africains, même s’ils le voulaient, seraient bien en peine de mettre en œuvre une telle politique face à une population rétive et mal informée ;

    -en dernier lieu, la religion musulmane, qui gagne progressivement la moitié du continent africain, loin de la décourager, tend à encourager la natalité où elle voit un instrument de conquête et de domination politico-religieuse.

    On ajoutera que les institutions d’aide à l’Afrique, l’Agence française de développement au premier chef, la Banque africaine de développement, les Agences de l’ONU, n’osent guère s’aventurer sur ce terrain qu’elles estiment miné et préfèrent tranquillement, et aveuglément, continuer à financer des routes, des logements, des marchés-gares ou des hôpitaux. C’est plus sûr, même si cela ne règle rien : ni le problème africain ni celui du réchauffement climatique.

    Le mirobolant plan d’électrification de l’ancien ministre Borloo, qui espère peut-être, à l’occasion de cet ambitieux programme, relancer une carrière politique défaillante, tombe dans le même travers. On ne voit pas en quoi le fait que l’Afrique aurait l’électricité dans tous les foyers pourrait en quoi que ce soit réduire la natalité… à moins d’espérer que les Africains ne préfèrent regarder la télévision plutôt que de faire des enfants.

    En fait, le seul moyen réaliste de promouvoir dans la démocratie le contrôle des naissances en Afrique serait d’améliorer la condition féminine qui laisse fortement à désirer. La libération de la femme africaine est la clef du développement du continent africain. C’est aussi le seul moyen de prévenir la catastrophe démographique qui se profile à l’horizon – et d’empêcher les effets de serre d’exploser et donc de contenir le réchauffement climatique dans des limites raisonnables.

    C’est bien parce qu’il s’agit d’une solution raisonnable et efficace que personne n’en parle. Normal.

    Yves Marie Laulan 21/12/2015

    http://www.polemia.com/croissance-demographique-et-rechauffement-climatique/

  • Irak : la bataille de Ramadi se poursuit

    Si l’appui américain pourrait permettre une victoire rapide dans cette ville, il est peu probable que Daesh lâche la capitale de la plus grande province irakienne, Al-Anbar, sans se battre férocement. Les combattants de l’EI auraient creusé un réseau de tunnels sous la ville pour mener de petites escarmouches contre les forces loyalistes irakienne. L’armée aurait perdu plusieurs parties du centre-ville après les avoir repris…

    http://www.contre-info.com/

  • Ce que l’Etat Islamique doit à la Turquie et aux pays du Golfe (exposé de Frédéric Pichon)

    Frédéric Pichon, expert en géopolitique, parle des responsabilités de la Turquie et des monarchies du Golfe dans le développement de l’Etat Islamique.

    http://www.medias-presse.info/ce-que-letat-islamique-doit-a-la-turquie-et-aux-pays-du-golfe-expose-de-frederic-pichon/46168

  • Des nouvelles de La Rébellion cachée

    Daniel Rabourdin envoie ce message aux lecteurs du Salon Beige :

    "Chers amis de La Rébellion Cachée et du Salon Beige

    Je vous envois mes meilleurs vœux de Noël depuis la Californie où la production tente de finir cette dernière ligne droite. Je partage avec vous une nouvelle séquence du docudrame. Dans la version Anglophone, le texte entendu est inspiré de lettres vendéennes de l’époque. Il le sera aussi dans la version Française. Vous y entendrez un chant que vous reconnaitrez surement et que nous faisons ainsi découvrir au monde Anglophone. Cet extrait est l'une de nos touches de spiritualité.

    Pour remplir notre mission d’évangélisation qui fait aussi partie de cette production, la voie que nous suivons est de placer la spiritualité comme une partie organique de la vie de nos deux « héros ». Les spectateurs de tous genres seront ainsi témoins d’une prière Catholique sous la forme d’un show attrayant et non pas sous la forme d’une œuvre ouvertement d’évangélisation. Nous avons une autre bonne nouvelle à partager.

    Pour la première fois nous avons pu montrer d’affilée les 80 minutes du docudrame a un petit public. Celui-ci a ensuite été interviewé et nous intégrons maintenant ses réactions. Après, viendra la correction des couleurs et le mixage des sons. Bien sûr, la production survie d’un mois à l’autre et bien des fois le compte est vide. A chaque fois, de bons samaritains en France comme en Amérique prennent le relais du soutien. J’épaule cet effort avec des petits boulots sur le côté et en vivant, il faut le dire, comme un vagabond. Je serais tres heureux que vous choisissiez de soutenir ou de soutenir à nouveau. Vous pouvez cliquer ici : J’aide La Rébellion Cachée.

    Actuellement, nous demandons à financer la traduction en Français à la fois aux Américains et aux Français. Comme vous le savez, nous sommes l’une des seules productions internationales qui prenne la défense des Catholiques dans l’histoire. Nous le faisons à la fois artistiquement pour intéresser le plus grand nombre et sans honte quant aux valeurs Catholiques et traditionnelles de la Vendée. Ce travail est difficile et souvent ingrat. Néanmoins, et avec vous, nous n’avons jamais reculé.

    Dans un mois, nous espérons commencer la traduction en Français et l'aventure de la distribution. Car au fond du cœur, c’est cela qui nous avons : renforcer la cause de la Vendée en France et reconnaitre le génocide de Vendée, premier génocide de l’histoire moderne opéré par un gouvernement athée contre une population Catholique. Après, il faudra aller plus loin pour le droit des Chrétiens de France mais c’est une bonne étape. En attendant, je vous présente donc le clip : Rébellion Cachée, clip de Noël Saint Noël dans l’Esperance et en union avec les martyrs de Vendée.

    Daniel Rabourdin, Producteur

    Michel Janva