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islamisme - Page 233

  • La fin du califat de Daesh

    La proclamation du califat par l'Etat islamique le 29 juin 2014

    3034693255.pngPar Antoine de Lacoste

    La dernière ville tenue par Daesh en Syrie a été reprise par l'armée syrienne il y a quelques jours : elle s'appelle Abou Kamal et se situe le long de l'Euphrate, près de la frontière irakienne. Cet évènement n'a été, à de rares exceptions près, que peu souligné par les médias. Il est vrai que ces derniers ont traité la guerre en Syrie de façon assez particulière depuis son déclenchement...

    Pourtant, l'événement est d'importance.

    La proclamation du califat par l'Etat islamique le 29 juin 2014 a été un événement considérable car dans le monde musulman, le califat a une portée symbolique très forte. Il rappelle les grandes puissances que furent les califats de Damas, de Bagdad, du Caire et bien sûr le califat ottoman tout au long des siècles. Age d'or de l'islam, parfois très amplifié, mais qui continue à séduire et à susciter des engagements fanatiques comme l'a prouvé la guerre en Syrie.

    Ce vieux rêve d'une unification musulmane qui abolit les frontières, héritage pour beaucoup de la colonisation occidentale, a repris corps lorsque Abou Bakr al-Baghdadi a proclamé le califat et exigé un serment d'allégeance des musulmans du monde entier.

    Cet acte symbolique a eu un retentissement tel que des dizaines de milliers de volontaires sont venus en Syrie accomplir un devoir considéré comme sacré, car prélude à la conquête mondiale du monde par l'islam.

    Les islamistes syriens se sont pourtant divisés sur cette question. Une partie des militants d'Al Nosra, affiliés alors à Al Quaida, étaient hostiles à cette proclamation car ils pensaient qu'une concrétisation territoriale avant la victoire en Syrie ne pourrait qu'aider le régime. En effet, un acte aussi symbolique risquait de faire basculer beaucoup d'indécis sunnites dans le camp de Bachar.

    C'est en effet ce qui s'est passé tant la perspective de vivre sous la loi de l'Etat islamique était peu attrayante pour l'élite sunnite syrienne qui s'était toujours accommodée du régime alaouite.

    Elle a également renforcé la volonté des alliés de la Syrie, Iran et Hezbollah libanais en tête, de ne pas laisser les islamistes sunnites gagner la guerre. La perspective de se retrouver avec un califat islamiste à leurs portes ne les enchantait pas vraiment...

    En suscitant des milliers de volontaires caucasiens, elle a également aidé à l'intervention russe, guidée par bien d'autres raisons il est vrai. Mais la perspective de pouvoir éliminer l'élite islamiste tchétchène, ouzbeke ou turkmène a intéressé Poutine comme il l'a lui même déclaré.

    Et pourtant l'Etat islamique a failli gagner : si la France et les Etats-Unis avaient effectivement bombardé la Syrie comme François Hollande et ses conseillers en rêvaient en août 2013, nul doute que cela aurait accéléré la déliquescence d'une armée syrienne assez démoralisée.

    Al Nosra, d'où sont issues les forces vives de Daesh, était alors le mouvement islamiste le plus puissant et la proclamation de l'Etat islamique aurait pu se faire non à Raqqa mais à Damas...

    Mais aujourd'hui Daesh est vaincu et il faut saluer cette bonne nouvelle.

    Il faut la saluer mais il ne faut pas se faire d'illusion : de nombreux militants de l'Etat islamique sont dans la nature et, pour certains, déjà en Europe.

    De plus, Al Nosra a profité des derniers mois exclusivement consacrés à la lutte contre Daesh pour se renforcer. Ce mouvement a beau s'appeler maintenant Fatah al Cham et ne plus être affilié à Al Quaida, il est exactement le même et ses militants sont aussi sanguinaires que ceux de Daesh. Seule la question tactique divisait ces deux organisations.

    Les Syriens sont encore loin d'en avoir fini avec les islamistes.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Donald Trump cible l’immigration après l’attentat terroriste à New York

    L’auteur de l’attentat est arrivé aux Etats-Unis en 2011, au titre du regroupement familial. Le président américain a dit vouloir stopper “l’immigration en chaîne“.

    Le suspect est un homme de 27 ans identifié comme Akayed Ullah. Il portait attaché au corps “un engin explosif rudimentaire”, a précisé le chef de la police, James O’Neill.

    La police n’a rien dit pour l’instant sur les motivations du suspect, mais l’homme était “influencé” par les groupes jihadistes et avait cherché sur internet comment fabriquer la bombe, a déclaré Andrew Cuomo.

    L’individu avait émigré aux Etats-Unis il y a six ans, au titre du regroupement familial (visa F43). Un système que Donald Trump a qualifié “d’immigration en chaîne” et qu’il a dit vouloir stopper.

    Cette attaque “illustre une nouvelle fois l’urgente nécessité pour le Congrès de voter des réformes législatives pour protéger les Américains“, a déclaré le président américain.

    Si cette politique avait déjà été mise en place, cet attaquant n’aurait pas été autorisé à entrer dans le pays“, a ajouté Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison Blanche, lors d’une conférence de presse.

    https://fr.novopress.info/208822/donald-trump-cible-limmigration-apres-lattentat-terroriste-a-new-york/

  • Financement de Daech: l'ex-PDG de Lafarge Bruno Lafont mis en examen

    La direction française de Lafarge pouvait-elle ignorer le pacte conclu par sa filiale syrienne avec l'Etat islamique (EI)? L'ex-PDG Bruno Lafont et un autre dirigeant ont été mis en examen ce vendredi 8 décembre pour "financement d'une entreprise terroriste", tout comme l'ex-directeur général Eric Olsen jeudi, une première pour de grands patrons français. 
    Bruno Lafont, PDG du cimentier Lafarge de 2007 à 2015, et Christian Herrault, ex-directeur général adjoint chargé notamment de la Syrie, ont également été mis en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui", a-t-on appris de source judiciaire. 
    Ils ont été placés sous contrôle judiciaire et devront s'acquitter d'une caution, a ajouté cette source, sans en préciser le montant. Les deux dirigeants avaient été placés en garde à vue mercredi dans les locaux du Service national de douane judiciaire (SNDJ) avec Eric Olsen. 
    Ce dernier, DRH puis directeur général adjoint du groupe à l'époque des faits, avant de devenir directeur général après la fusion du cimentier français avec le Suisse Holcim en 2015, a été mis en examen jeudi pour les mêmes chefs et également soumis à un contrôle judiciaire. Il devra s'acquitter d'une caution de 200.000 euros, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier. 
    L'affaire est hors norme: la filiale syrienne (Lafarge Cement Syria, LCS) de la société est mise en cause pour avoir pactisé avec l'EI entre novembre 2013 et septembre 2014 afin de maintenir son usine de Jalabiya dans une zone de conflit tenue notamment par l'organisation jihadiste. 
    Elle lui a fait remettre, via un intermédiaire, plus de 500.000 dollars et lui a acheté des matières premières, dont du pétrole, en violation d'un embargo de l'Union européenne, selon un rapport rédigé à la demande de LafargeHolcim par le cabinet américain Baker McKenzie. 
    Lafont "régulièrement informé"? 
    Les enquêteurs tentent de déterminer si la direction à Paris était au courant de tels agissements. Les contradictions entre les trois responsables sont nombreuses. 
    Christian Herrault, qui a reconnu début 2017 que le groupe avait été victime d'une "économie de racket", a de nouveau assuré en garde à vue, puis devant les juges vendredi, "avoir régulièrement informé Bruno Lafont de la situation", a relaté une source proche du dossier à l'AFP. 
    D'après le rapport Baker McKenzie, l'ex-directeur adjoint opérationnel a aussi affirmé avoir adressé un courriel à Bruno Lafont en juillet 2014 pour l'informer que l'usine était à l'arrêt, le temps de trouver un accord "clair" avec l'EI. 
    Mais l'ex-PDG, entendu en janvier en audition libre par le SNDJ, a démenti avoir eu connaissance de tels faits. "Pour moi, les choses étaient sous contrôle", avait-il affirmé. 
    "Mon client assume toutes ses responsabilités. Une seule question se posait pour lui: fallait-il abandonner l'usine au main de l'ennemi ou se soumettre au racket pour pouvoir résister", a réagi l'avocate de Christian Herrault, Solange Doumic. 
    Il est aussi reproché à Lafarge de ne pas avoir assuré la sécurité de ses employés syriens, restés seuls sur place alors que la direction de l'usine avait quitté la Syrie et que les expatriés avaient été évacués. 
    Outre les trois responsables, trois cadres de Lafarge, dont deux ex-directeurs de l'usine, ont été mis en examen dans cette enquête menée au pas de charge par les juges d'instruction. Placés sous contrôle judiciaire, "ils rejettent la responsabilité de la poursuite de l'activité de la cimenterie sur la maison-mère", d'après une autre source proche du dossier. 
    Quant à Eric Olsen, il a affirmé devant les juges "n'avoir cessé d'alerter les dirigeants opérationnels, notamment Chistian Herrault, sur la situation dans l'usine, relevant qu'il n'avait pas le pouvoir de la fermer", d'après cette source. Il a démenti avoir eu connaissance de tout versement litigieux. 
    "Mon client va former un recours contre sa mise en examen et ne souhaite qu'une chose: que toute la lumière soit faite sur cette affaire le plus vite possible", a déclaré à l'AFP son avocat, Pierre Cornut-Gentille. 
    Des organisations non gouvernementales, dont Sherpa, partie civile dans ce dossier, souhaitent aussi que les investigations fassent la lumière sur ce que savaient les autorités françaises de l'époque sur les activités de Lafarge en Syrie.

  • Wauquiez, la droite "dure" avec des élus qui aident les mosquées dans toute la France

  • Bombe dans le cœur de New-York. Attentat islamique.

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    La peur revient à New-York : une bombe a explosé à Manhattan dans le métro à côté de Time Square vers 7.30 ce matin. Trois lignes de métros ont été évacuées. Deux individus ont été arrêtés dont un Bengalis de 27 ans.

    Quatre personnes ont été blessés mais aucune n’est dans un état grave. Bill De Blasio, le maire, a admis le premier ce que tout le monde pense : c’est un « attentat islamique ». La police a arrêté un suspect, Akayed Ullah, 27 ans originaire du Bangladesh qui depuis 7 ans vit aux États-Unis, et réside pour le moment à Brooklyn. Il a été transféré à l’hôpital Bellevue après que l’engin artisanal qu’il avait sur lui a explosé dans un passage piéton, le blessant. Bill Bratton, l’ex-chef de la police new-yorkaise, interviewé par la Msnbc, a expliqué que le jeune aurait provoqué l’explosion au nom de l’État islamique.

    Une photographie postée par le New-York Post montre le jeune à terre, menotté, avec des blessures et des brûlures sur le corps. Interrogé brièvement par les enquêteurs, le suspect a déclaré avoir réalisé la bombe dans les locaux de l’agence d’électricité où il travaille. Le gouverneur de New-York Andrew Cuomo a rappelé que cette ville des États-Unis est « un objectif international ».

    La décision de Donald Trump de transférer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, a redoublé la colère des pays musulmans. Le monde mahométan gronde et le pseudo état islamique, dans une vidéo, a appelé les djihadistes à tuer les juifs. Or New-York a une forte communauté juive…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/bombe-dans-le-coeur-de-new-york-attentat-islamique/84694/

  • En France, le djihad base son efficacité sur l’expérience

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    Romain Caillet, ancien proche du milieu djihadiste, vient de sortir un livre intitulé “Le combat vous a été prescrit”. Il s’agit d’une longue enquête qui retrace l’histoire du djihad en France depuis 30 ans.

    Dans un entretien accordé à Spoutnik, il y explique ceci :

    Mérah est le premier projet terroriste qui réussit depuis les années 90. (…) Là, des jeunes de banlieue ont une expérience de la criminalité et c’est ça qui fait leur force. Dans ceux qui ont réussi à commettre des attentats, c’est quasiment toujours le même profil : un jeune issu de l’immigration avec un gros passé judiciaire. Pourquoi ? C’est plus simple quand on a une expérience de la criminalité, de vous procurer des armes sans attirer les soupçons. Dar El-Islam, l’ancien magazine en langue française de l’EI, disait “faites-vous passer pour des jeunes qui veulent préparer un casse”. Ils connaissent déjà les codes, les réseaux pour se procurer des armes, et une semi-expérience de la clandestinité. Il y a une certaine efficacité de ce profil… 

    https://fr.novopress.info/208820/en-france-le-djihad-base-son-efficacite-sur-lexperience/

  • Pourquoi la condamnation des 5 de Poitiers est scandaleuse ?

    Damien Rieu répond en vidéo

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « JE SUIS ABASOURDI ! LE TRIBUNAL A DONNÉ RAISON AUX FRÈRES MUSULMANS… »

    La décision du tribunal de grande instance de Poitiers vient de tomber : les cinq identitaires de Poitiers écopent de 40.000 euros d’amende, cinq ans de privation des droits civiques, un an de prison avec sursis.

    Leur avocat, Maître Frédéric Pichon, compte bien sûr interjeter appel mais est sous le choc de ce jugement clairement politique. C’est, selon lui, une victoire des islamistes. Il fait, bien sûr, le parallèle avec l’incroyable impunité dont ont bénéficié les Femen à Notre-Dame et dénonce une justice à géométrie variable, tournée vers la destruction de la France et de son identité.

    Il fait un appel aux dons, non pas pour payer l’amende car la loi l’interdit, mais pour les frais de procédure.

    Maître Pichon, la décision du tribunal de grande instance de Poitiers est tombée. La sanction est salée : 40.000 euros d’amende, un an de prison avec sursis, cinq ans de privation des droits civiques pour les cinq identitaires de Poitiers. Que pensez-vous de ce verdict ?

    Je suis un peu abasourdi par cette décision. Je n’avais néanmoins pas trop d’illusion. Non que nous avions fait valoir des arguments pertinents dans le cadre de nos plaidoiries, mais nous connaissons aussi la Justice de notre pays. Cette décision est allée au-delà du réquisitoire pourtant assez sévère du ministère public, notamment sur les cinq ans de privation des droits civiques et le sursis avec mise à l’épreuve. Dans le cadre de ce sursis, mon client va être obligé de régler les 24.000 euros, avec ses camarades, de dommages et intérêts au titre des prétendus tapis qui auraient été dégradés. En réalité, ils ont en fait juste été déplacés du chantier jusqu’au toit. S’ils n’exécutent pas cette décision de remboursement des tapis, ils iront en prison.
    Je suis sous le choc de cette décision manifestement politique. C’est une victoire des Frères musulmans. Il faut le rappeler, le recteur de cette mosquée était le n° 2 de l’UOIF, c’est-à-dire la branche française des Frères musulmans, organisation qui est classée comme terroriste par plusieurs dizaines d’États dans le monde.
    Le tribunal a donc donné raison à une organisation classée terroriste. 

    S’agit-il, pour vous, d’une décision politique ?

    Je ne peux m’empêcher de faire la symétrie avec l’incroyable impunité dont, parallèlement, bénéficient les Femen lorsqu’elles vont à Notre-Dame. La mosquée de Poitiers était en construction, ce n’était donc pas encore un lieu de culte mais un simple chantier, contrairement à Notre-Dame de Paris. Non seulement elles ont été relaxées, mais les agents de sécurité qui ont voulu les évacuer ont été, pour l’un d’entre eux au moins, condamnés à une amende (sauf erreur de ma part) pour soi-disant violence alors qu’ils voulaient simplement les interrompre.
    Nous assistons donc à une Justice à géométrie variable, incroyablement tournée vers tout ce qui porte à la destruction de la France et de notre identité, et à une répression politique de plus en plus sévère des opposants à ce nihilisme ambiant.

    Dans quel état d’esprit sont vos clients ?

    Mon client était surtout très choqué par les cinq ans de privation des droits civiques. C’est leur droit de vote et donc leurs idées politiques qu’on a voulu ici sanctionner. Les gens qui pensent comme cela n’ont plus le droit de cité. C’est ce que veut dire cette décision. Le tribunal considère qu’aujourd’hui, être un identitaire en France doit vous amener à être un citoyen de seconde zone qui, en quelque sorte, doit avoir ses droits civiques et son expression politiques retirés.
    Il est évident que l’on va faire appel. Ce n’est qu’une première partie, nous irons jusqu’au bout. Je fais donc un appel aux dons, non pas pour payer l’amende puisque la loi l’interdit, mais au moins pour payer les frais de procédure afin de permettre à ces jeunes gens courageux de se défendre en Justice.

    http://bvoltaire.com/suis-abasourdi-tribunal-a-donne-raison-aux-freres-musulmans/

  • Pascal Bruckner : «Aujourd’hui, l’antisémitisme vient d’une partie de l’extrême gauche et des musulmans»

    Pascal Bruckner (romancier, essayiste) : «Aujourd’hui, l’antisémitisme d’extrême droite est très minoritaire, il vient d’une partie de l’extrême gauche qui déteste les juifs par anticapitalisme et d’une bonne partie aussi du monde arabo-musulman, puisqu’on a vu que les 10 citoyens français de confession juive qui ont été tués, d’Ilan Halimi à Sarah Halimi, l’ont été par des extrémistes musulmans.»
    – LCI, 7 décembre 2017, 19h38

    http://www.fdesouche.com/917919-pascal-bruckner-aujourdhui-lantisemitisme-vient-dune-partie-de-lextreme-gauche-musulmans
  • Collard dénonce les laïcards qui s’en prennent à la Croix mais «pas à Hidalgo qui fête Ramadan à la Mairie de Paris» (+ autres vidéos)

    Gilbert Collard (Député Front National) : «Il y a 20 ans, on ne nous emmerdait pas à propos des crèches. Les laïcards sont des propagandistes du communautarisme. Ils ne font la guerre qu’à la croix ou la crèche. Je ne les ai jamais vus s’émouvoir qu’Anne Hidalgo fête à la Mairie de Paris une fête musulmane (le Ramadan) (…) J’ai jamais vu une crèche emmerder la voie publique, empêcher les gens de circuler, faire du bruit, empêcher l’accès à des commerces. Une crèche, ce n’est pas très grand. Une prière de rue, c’est une rue.»
    – LCI, 7 décembre 2017, 8h26

    Autres extraits …

    Gilbert Collard : «Je soutiens la décision de Trump de reconnaître Jérusalem capitale d’Israël. Israël est un Etat qui a le droit de choisir sa capitale (…) Doit-on toujours céder au chantage et à la menace ? Macron doit avoir le courage de faire comme Trump.»

    Gilbert Collard sur Jérusalem : «Macron est dans la demi-mesure, incapable de dire les choses comme elles sont. Je trouve désolant qu’on n’ait pas d’homme d’Etat courageux. Des mauviettes. Comment Israel peut-il vivre si on ne lui permet pas de choisir sa capitale ?»

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