Six personnes ont été arrêtées lundi dans les Yvelines dans le cadre de l’enquête sur l’attentat de Magnanville, au cours duquel deux fonctionnaires de police avaient été tués à leur domicile le 13 juin 2016, a appris LCI de source judiciaire.
islamisme - Page 233
-
Attentat de Magnanville : six personnes, dont une policière, interpellées et placées en garde à vue
-
La LICRA lors du procès de Nicolas Dupont-Aignan : « Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! »
LICRA : « Monsieur Dupont-Aignan n’est pas raciste, ce n’est pas le sujet. Le problème n’et pas ce que dit Monsieur Dupont-Aignan mais la façon dont il le dit. Peu importe s’il dit la vérité, ce n’est pas une défense valable ! ».
REQUISITOIRE : « Il faut interpréter le tweet en se mettant au niveau, à la portée du Français et de l’électeur moyen. 48% des Français sont racistes, j’en suis désolé. M. Dupont-Aignan parle d’invasion barbare et veut faire une France d’hommes blancs catholiques ».
Lire la suite sur ContreInfo -
Zoom : Coupeurs de têtes et coupeurs de langues, le duo terroriste
-
Radicalité islamiste : lorsque des sociologues donnent raison à Robert Ménard… , par Silvio Molenaar
Alain Finkielkraut l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. »
Les lecteurs de Boulevard Voltaire ont pu se réjouir de la relaxe en appel de Robert Ménard, mis en accusation pour avoir formulé une réalité : « Dans une classe du centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Évidemment que ça pose problème. » Sept associations antiracistes, dont l’inévitable SOS Racisme, se sont donc vues débouter de l’accusation de « provocation à la haine et la discrimination » à l’encontre de Robert Ménard. Ces officines, dont le fonds de commerce consiste généralement à combattre une réalité incompatible avec leurs postulats idéologiques, ciblent volontiers le cuistre l’ayant formulée – devant un tribunal, de préférence.
Alain Finkielkraut, dans l’une des fulgurances dont il a le philosophique secret, l’avait déjà noté : « Avec SOS Baleines, il faut sauver les baleines. Avec SOS Racisme, il s’agit de sauver le racisme. » Pas de lien de cause à effet, me direz-vous, entre une classe à majorité musulmane et la violence islamiste, mais un dénominateur commun, toutefois, que l’on nomme, à tort ou à raison, islam. Que « la violence islamiste touche majoritairement les musulmans » (lieu commun) ne change rien à l’affaire d’ailleurs, mais attesterait précisément d’une guerre civile ravageant l’islam. Alain Finkielkraut (et il n’est pas le seul) s’est toujours attaché à contredire l’idée de facteurs exclusivement socio-économiques pouvant expliquer cette violence. Et si le « Ministre-Macron » adhérait encore à cette thèse, il semble que le « Président-Macron » ait modifié son approche, suite notamment à l’égorgement d’Arnaud Beltrame, ainsi qu’au massacre de Mireille Knoll. Ce qui permet au philosophe de se réjouir, dans Le Figaro du 4 avril : « Islamisme, le règne du déni touche peut-être à sa fin. »
Reste l’idiotie utile et sa colossale puissance inertielle, magistralement illustrée ces temps-ci par quelqu’un comme Romain Goupil, épanchant sur tous les plateaux sa détestation de l’idée de patrie, de nation ou de frontière. Révulsé, en conséquence, à l’idée de consentir quelque vertu patriotique, et encore moins chrétienne, au sacrifice d’Arnaud Beltrame : ce ne peut-être, dit-il, qu’un fonctionnaire assumant honnêtement le « job » (sic). Lorsque l’on y songe, ce n’est pas sans une certaine ironie. Ce qui insupporte tant notre Romain constitue l’objet de détestation même du djihadiste lambda : la nation France ainsi que les compatriotes français. Quant aux frontières, nous savons nos amis égorgeurs aux anges lorsqu’elles sont passoires, et en extase lorsqu’elles disparaissent…
Et voilà que Libération du 5 avril publie un article sur le travail de deux chercheurs, Anne Muxel et Olivier Galland, dont l’étude statistique fut menée durant trois ans auprès de 7.000 lycéens de 15 à 17 ans dans 23 lycées (La Tentation radicale, PUF). « La radicalité religieuse ne semble pas être principalement la fille de l’exclusion socio-économique, et sa racine spécifiquement religieuse semble forte », concluent les auteurs, selon Libération. Olivier Galland, co-auteur, sociologue, « note aussi un effet “ségrégation” : quand le taux d’élèves musulmans est très important dans un lycée, ceux-ci sont plus radicaux qu’ailleurs. Mais partout, les élèves musulmans sont plus radicaux religieusement que les autres. » Question de Libération : « Cette radicalité a-t-elle des causes sociales et économiques ? » Réponse : « L’effet “islam” explique bien mieux la radicalité que des facteurs socio-économiques. » Dont acte…
Silvio Molenaar
Tribune reprise de Boulevard Voltaire
-
DEUX DJIHADISTES LOURDEMENT CONDAMNÉS PAR LA COUR D’ASSISES DE PARIS. NE NOUS RÉJOUISSONS PAS TROP VITE
Une peine de quinze ans de réclusion criminelle assortie d’une période de sûreté des deux tiers. C’est la sanction que vient de prononcer la cour d’assises de Paris à l’encontre de Mounir Diawara et Rodrigue Quenum, deux Toulousains partis faire le djihad en Syrie entre mai et août 2013.
Ces deux jeunes Français de 23 et 22 ans, issus des quartiers populaires de la ville rose, avaient rejoint les groupes Front al-Nosra et État islamique au sein desquels ils avaient pris part à des actions armées et s’étaient livrés à de graves exactions. Parmi les pièces à charge présentées lors du procès figurait une photo représentant Rodrigue Quenum brandissant une tête coupée. Si l’on ne peut qu’approuver le verdict rendu, après trois heures seulement de délibéré, par la juridiction parisienne, il faut néanmoins rester lucide. Tout d’abord parce que la peine encourue par ces meurtriers était de vingt ans, ce que les charges retenues justifiaient largement. Et qu’avec le jeu des aménagements de peine, une fois la période de sûreté terminée, ils retrouveront vraisemblablement rapidement la liberté.
Se posera alors la question du suivi de ces deux individus toujours dangereux, qui auront eu tout le temps voulu, en milieu carcéral, grâce à leur « aura » de combattants du prophète, de se radicaliser davantage, voire de faire des émules. Ensuite, parce que le signal envoyé aux autres revenants par cette sanction peut avoir un effet pervers. En effet, menacés de se retrouver en prison pour de nombreuses années, on ne peut exclure que les combattants de Daech, qui ont perdu la guerre au Levant soient tentés par la clandestinité et la poursuite du combat en Europe. Par ailleurs, un autre théâtre d’opération est déjà en train de prendre une nouvelle ampleur : celui de la bande sahélienne. D’ores et déjà, les militaires français engagés sur zone dans le cadre de l’opération Barkhane ont pu remarquer une nette augmentation du nombre des groupes terroristes, et donc des combattants qui les composent. Ils ont également observé une sophistication grandissante des armements et munitions utilisés par ces mêmes groupes, lesquels empruntent désormais des techniques de combat proches de celles utilisées en Irak et en Syrie. De là à imaginer une reconversion des djihadistes sur ce secteur, il n’y a qu’un pas que l’avenir devrait nous confirmer rapidement.
Enfin, ce message fort de fermeté envoyé par les juges ne doit pas faire oublier que c’est en premier lieu aux autorités politiques qu’il appartient de prendre toutes les dispositions nécessaires pour protéger les populations. C’est ainsi que les mesures de surveillance mises en œuvre dans le cadre de la lutte antiterroriste doivent être revues pour être adaptées à cette nouvelle menace des revenants, et à une future évolution inéluctable de cette guerre qui, aux dires des spécialistes, est appelée à se développer sur notre sol. Et cela commence par le fichage de celles et de ceux qui représentent potentiellement un réel danger pour la sécurité intérieure de notre pays. Les fiches S actuellement utilisées sont insuffisantes à préserver la paix publique, et les moyens mis en place pour en assurer le suivi sont notablement inefficaces. Sans doute faut-il, désormais, un fichage spécifique aux terroristes islamistes – qui pourrait être libellé « T » -, mais surtout, des mesures drastiques d’isolement et de neutralisation pour les individus concernés. Il est, en effet, inconcevable qu’un fiché S, dans le cadre de la lutte contre le terrorisme islamiste, puisse circuler librement sur notre territoire. La cour d’assises de Paris nous montre le chemin. Suivons-le.
-
Plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien
Extrait d'un entretien d'Alexandre Del Valle, dans Valeurs Actuelles :
Que vous inspire l’attentat islamiste de Trèbes ?
L’attentat du 23 mars m’inspire deux réflexions. Tout d’abord, comme je l’explique dans mon livre, la chute de Dae’ch ne veut pas dire que la menace islamo-terroriste va s’estomper. L’ex-porte-parole de l’État islamique, Abou Mohamed al-Adnani, l’a lui-même parfaitement expliqué : « Ceux qui croient que la perte de territoires en Syrie ou en Irak signifie notre défaite n’ont pas compris que tant que la charia et le Coran progressent dans les coeurs des musulmans, nous serons vainqueurs. » Plus Dae’ch suscite des attentats, plus l’adhésion à l’idéologie islamiste progresse. La seconde observation est que nous avons assisté, avec l’attentat de Trèbes et le sacrifice de l’héroïque Arnaud Beltrame, à un “choc des martyrs” : ceux qui perdent leur vie pour la mort face à ceux qui meurent pour sauver des vies. Il s’agit là d’un échec imprévu pour Dae’ch, qui veut faire croire que seuls les cavaliers d’Allah sont capables d’offrir leur vie…
Vous évoquez la paranoïa : quelles sont les déclinaisons de la stratégie d’intimidation islamique qui fait l’objet de votre ouvrage ?
Pour mettre en oeuvre un plan d’islamisation mondiale de type suprématiste et irrédentiste, la première méthode, très efficace, est l’intimidation physique : par des assassinats ciblés, des actes terroristes, des attroupements ou des menaces de mort. La plus grande erreur de l’Occident consiste à croire que l’islamisme est un nihilisme : tuer au nom de l’islam est une stratégie élaborée par des cerveaux, souvent issus de milieux bourgeois comme Carlos ou Ben Laden, très conscients de leurs objectifs et il est erroné de réduire la stratégie très efficace du terrorisme à ses petits soldats aux profils marginaux. En réalité, l’action de terreur physique des “coupeurs de têtes” djihadistes est bien plus ample et efficace qu’on le pense : en effet, lorsque les “coupeurs de langues” ou “islamistes institutionnels” veulent faire taire ceux qui interpellent sources coraniques et chariatiques du djihadisme, leurs requêtes sont d’autant plus prises au sérieux par les mécréants que ceux-ci ont une épée de Damoclès terroriste au-dessus de la tête… La violence djihadiste introduit ainsi un effet de dissuasion et de persuasion extrêmement efficace. Comme le disait cyniquement Al Capone : « On peut obtenir beaucoup plus avec un mot gentil et un revolver qu’avec un mot gentil tout seul. » Ces fameux coupeurs de langues instrumentalisent, en effet, l’antiracisme et entretiennent au sein de la communauté musulmane un sentiment victimaire. Ils déclarent, par exemple, souffrir d’un racisme antimusulman d’État ! Cette double dissuasion explique le paradoxe selon lequel plus on tue au nom d’Allah, plus on combat l’islamophobie et plus on parle de l’islam en bien. D’ailleurs, depuis l’attentat de Charlie Hebdo, quels sont les caricaturistes qui osent se frotter à l’islam ? Quels sont les candidats qui traduisent les oeuvres de Salman Rushdie ?
Je constate empiriquement dans mon livre que, depuis les années 1990, plus on tue au nom de l’islam, plus celui-ci bénéficie de la sorte d’une publicité autour d’une civilisation et d’une religion sans tache, sans aucune remise en question des textes sacrés, qui pourtant clairement justifient le djihad. On s’empare ainsi de la volonté de “lutte contre l’amalgame” pour empêcher toute interrogation en ce sens. L’islam en tant que texte et les musulmans en tant que civilisation n’auraient aucun travail d’autocritique à faire. Au final, les attentats terroristes, qui devraient être l’occasion d’interpeller sur le totalitarisme islamiste, permettent de faire taire tout blâme. Les djihadistes sont de ce fait des génies en communication. [...]
On distingue cinq principaux pôles : les Frères musulmans, matrice de l’islamisme radical général ; la Ligue islamique mondiale, pilotée par l’Arabie saoudite, qui diffuse un islam wahhabite-salafiste ; la Turquie néo-ottomane, réislamisée par Erdogan ; l’islam indo-pakistanais, notamment l’association Tabligh ; et le Qatar. Ces pôles alimentent 80 % des instances de représentation de l’islam en Occident. S’ils ont l’air divisés, ils convergent toutefois dans l’Organisation de la coopération islamique (OCI), qui réunit 57 pays musulmans, et dans l’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (Isesco),respectivement l’Onu et l’Unesco du monde musulman, qui se réfèrent notamment à une “Déclaration islamique universelle des droits de l’homme” opposée à celle des Occidentaux et qui pose le primat de la charia, laquelle doit à terme régner sur la planète. Ces organisations panislamiques uniques en leur genre et qui ont pour objectif avoué d’empêcher l’intégration des musulmans dans les sociétés non musulmanes (“désassimilation”) agissent de façon très efficace par l’argent et l’exercice de pressions au sein des instances internationales et onusiennes. Elles représentent donc une sorte de “superlobby suprématiste islamique mondial”, qui avance de façon subversive au moyen d’une stratégie victimaire visant notamment à pénaliser toute critique de l’islam sous couvert de lutte contre l’islamophobie. L’instrumentalisation de l’antiracisme, qui fait désormais de la critique d’une religion un nouveau racisme, notamment par le biais du Mrap, du CCIF ou des Indigènes de la République, comme on le voit en France, est ainsi la déclinaison d’un travail de sape d’ampleur planétaire qui a été méthodiquement planifié. [...]"
-
12 avril à Paris : conférence d'Alexandre Del Valle
A l’occasion de la sortie du dernier ouvrage d’Alexandre Del Valle La stratégie de l’intimidation, l’Institut de Formation Politique, Damoclès et les éditions l’Artilleur organisent une rencontre exceptionnelle autour de l’auteur le 12 avril prochain.
Il viendra présenter son livre dans lequel il « apporte la preuve que le djihadisme et l’islamiquement correct fonctionnent de concert ».
Expert international reconnu, Alexandre Del Valle est spécialisé en géopolitique et s'intéresse principalement à l'islamisme, aux relations entre l'Europe et la Turquie et au monde arabo-musulman.
Il viendra présenter et dédicacer son ouvrage le jeudi 12 avril à partir de 19h à la brasserie Le Cardinal au 1, boulevard des Italiens 75002 Paris.
Inscription obligatoire (5 € l’entrée et une boisson gratuite). Places limitées.
-
Société • Vu du Québec : La provocation par le voile
Dans cette tribune du Journal de Montréal [7.04] Mathieu Bock-Côté traite du voile comme provocation. Une provocation qui correspond à un programme politique. C'est vu du Québec mais c'est tout aussi applicable à la France et à l'Europe. Et tout aussi vrai. LFAR
Avant-hier, Le Devoir consacrait un papier incroyablement louangeur, presque une infopub, à Eve Torres, une militante que plusieurs jugent islamiste, mais qui cherche à se faire passer pour féministe. Elle sera candidate pour Québec solidaire.
Islamisme
La dame est voilée et on comprend bien que jamais elle ne se dévoilera. C’est une question de principe. Très bien. Mais ce qui est amusant, c’est qu’elle présente cela comme un non-enjeu. Elle veut se voiler à tout prix, mais nous interdire de réfléchir à la signification politico-culturelle de son geste.
Mieux : elle a le culot de nous dire qu’elle veut en finir avec la question identitaire dans le débat public. Comme si le fait de revendiquer le droit au voile en toutes circonstances et de militer pour cela n’avait rien « d’identitaire ». Comme si cela ne consistait pas à faire la promotion active du multiculturalisme, une idéologie soutenant que la société d’accueil doit s’effacer pour accueillir la diversité.
On l’oublie souvent, mais le voile, loin d’être une stricte marque de spiritualité personnelle, est un symbole utilisé par les islamistes pour marquer leur présence dans l’espace public et l’occuper selon le principe de la visibilité maximale.
Étrangement, derrière la promotion du voile, les médias ne veulent pas voir une stratégie identitaire militante, mais le simple éloge de la « diversité ». Les minorités ont toujours raison ! En d’autres termes, nos élites médiatiques ne peuvent pas s’imaginer de « crispation » identitaire ailleurs que dans la société d’accueil.
Hypocrisie
C’est toujours elle qu’on suspectera de fermeture à l’autre. On se pose trop rarement la question suivante : est-ce que l’autre veut s’ouvrir à nous ? S’il ne le veut pas, sommes-nous en droit de manifester notre insatisfaction ?
Qu’on en soit bien conscient : vouloir imposer le voile à tout prix dans l’espace public n’est pas anodin. Cela correspond à un programme politique. La moindre des choses est de le reconnaître.
Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada. Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. Il est l'auteur d'Exercices politiques (VLB éditeur, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois (Boréal, 2012) de La dénationalisation tranquille (Boréal, 2007), de Le multiculturalisme comme religion politique (éd. du Cerf, 2016) et de Le Nouveau Régime (Boréal, 2017).
-
Attentat à la voiture à Münster en Allemagne
Trois personnes ont été tuées et plusieurs autres ont été blessées, après qu'un homme leur a foncé dessus, avant de se suicider par balle, ce samedi 7 avril à Münster, ville du nord-ouest de l'Allemagne.
Un homme a foncé en voiture dans la foule avant de se suicider, ce qui porte le bilan provisoire à quatre mort si l'auteur de l'attaque est compté. Le conducteur s'est tué lui-même par balle. La piste de l'attentat est envisagée avec beaucoup de sérieux, celle d'un acte personnel est également largement étudiée par les enquêteurs.
-
JUSQU’À L’AFFAIRE RAMADAN, EDWY PLENEL AVAIT INSPIRÉ AUX JOURNALISTES UNE SORTE DE CRAINTE RÉVÉRENCIEUSE
Le soutien d’Edwy Plenel aux terroristes palestiniens, qui tuèrent onze athlètes israéliens en 1972, lors des Jeux olympiques de Munich, a refait surface la semaine dernière sur les réseaux sociaux. Pourtant, l’affaire était connue depuis longtemps, comme le rappelle Gilles-William Goldnadel au micro de Boulevard Voltaire.