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islamisme - Page 234

  • Le ministère de l’Intérieur donne son accord aux islamistes pro-charia et pro-niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains

    Voir l'image sur Twitter 

    L’Intérieur donne son accord aux islamistes pro charia et pro niqab pour la réouverture de la mosquée de Stains. Ils peuvent traiter la police de raciste et être reçus à @Place_Beauvau !! > http://islamisation.fr/2017/12/06/linterieur-donne-son-accord-aux-islamistes-pro-charia-pour-la-reouverture-de-la-mosquee-de-stains/ 

    https://fr.novopress.info/

  • Berlin : le tueur du Bataclan Ismaël Omar Mostefaï au Musée des Martyrs !

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    9002-20171206.jpg[Dans ce Musée des Martyrs], on trouve Socrate, Martin Luther King, saint Maximilien Kolbe, saint Sébastien, sainte Apolline, Jeanne d’Arc et… Ismaël Omar Mostefaï, djihadiste, l’un des trois auteurs du massacre du 13 novembre à Paris.  Il s’agit de l’une de ces « installations artistiques » d’art contemporain si bien épinglées dans le film The Square, qui, généralement, allient le vaste foutage de gueule au scandale. Pari totalement réussi donc, cette fois encore. 

    Œuvre de deux artistes danois, Ida Grarup Nielsen et Henrik Grimbäck et présenté à la maison des artistes de Béthanie à Berlin, le « Musée des martyrs » est une installation d’environ 4 mètres de large sur 8 mètres de long et 4 mètres de haut. Le public pénètre obligatoirement déchaussé (tiens ?) dans une pièce délimitée par deux grands rideaux bleus, où figurent au total 20 portraits de « martyrs », accompagnés de 20 textes descriptifs et d’objets (reconstitués) liés aux individus présentés.

    Durant une demi-heure, assis sur un cube, le public écoute grâce à l’audioguide la présentation de cinq « martyrs » sur les vingt, dans l’ordre suivant : le frère franciscain Maximilien Kolbe mort à Auschwitz. Le leader de la secte Heaven’s Gate, Marshall Applewhite. La kamikaze des attentats du métro de Moscou en mars 2010, Dzhennet Abdurakhmanova. Le bonze vietnamien qui s’était immolé par le feu en 1963, Thich Quang Duc. Et enfin l’un des terroristes islamistes du Bataclan, Omar Ismael Mustafaï. Puis, durant une dizaine de minutes, il peut se déplacer dans la pièce pour s’approcher religieusement des portraits et observer les reliques reconstituées.

    Le texte consacré au djihadiste explique au spectateur qu’il s’est « sacrifié pour sa cause, la lutte contre la culture occidentale ».

    Une description défendue par Ricarda Ciontos, responsable de l’association Nordwind qui a installé l’expo : « Les artistes ont cherché à élargir le concept du martyr ». Ajoutant qu’ils souhaitaient présenter des personnalités « au-delà de tout jugement de valeur » et aider les spectateurs « à se glisser dans la peau des martyrs pour un bref moment ».

    […] L’ambassade de France a fait part de sa « consternation ». Rappelons qu’il n’y a pas si longtemps, Sonia Nour, la collaboratrice communiste du maire de la Courneuve, avait qualifié de « martyr » l’égorgeur de Mauranne et Laura.

    Nicolas Dupont-Aignan a fustigé cette « injure aux victimes de l’islamisme », tandis que le député LR Eric Ciotti a jugé le procédé « honteux ». En Allemagne, un cadre de l’AfD, a décidé de porter plainte contre les créateurs de l’exposition. Alain Jakubowicz, qui vient de quitter la présidence de la LICRA, a dénoncé ce « relativisme triomphant où tout égale tout » :

    « Dans ce cas précis, l’art a bon dos et je soupçonne des arrière-pensées politiques. »

    Le député FN Sébastien Chenu rappelle que cette monstruosité est « financée par le Fonds culturel de la capitale et la Fondation pour la culture de la République fédérale, donc par les impôts payés par les Allemands eux-mêmes ».

    Il demande à la ville de Berlin et aux autorités allemandes de « prendre leurs responsabilités au plus vite » : « pour la mémoire des victimes du Bataclan et le respect dû aux familles et pour la France qui ne cesse de payer un lourd tribut au terrorisme islamiste ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 6 décembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • DANS CERTAINS COINS DE FRANCE, ON A LE CHOIX ENTRE LE HALAL… ET RIEN !

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    Pendant qu’une certaine France laïcarde frémit d’angoisse face à « l’invasion des crèches profanatrices de laïcité », le communautarisme musulman, tranquille comme Baptiste, use les nerfs de la nation.

    Jugez plutôt : « La justice doit en effet trancher un litige opposant l’office de logement social de Colombes (Hauts-de-Seine), Colombes Habitat Public, au magasin d’alimentation Good Price, installé au pied des tours de la cité des Grèves, dans l’ouest de la ville. L’office, présidé par la maire Les Républicains de Colombes, Nicole Gouéta, reproche au commerce et à son gérant de ne pas respecter le contrat de location stipulant que le local doit être occupé par un “commerce général d’alimentation”. Or, Good Price est de facto une épicerie halal où le porc et le vin sont proscrits. Et l’office HLM attaque pour non-respect d’une clause du contrat dans l’intention affichée de ne pas permettre une “communautarisation” des commerces de la ville » (Le Figaro).

    Mais comme l’a expliqué le gérant de l’enseigne incriminée, sa clientèle ne raffole pas du cochon et de l’alcool. Toutefois, la justice a tranché en ordonnant « la fermeture de l’épicerie halal qui ne vend pas de vin [estimant] que le commerce ne correspond pas à la “notion large d’alimentation générale” » (20minutes).

    Ne boudons pas notre plaisir, pour une des rares fois que la justice décide de sonner la fin de la récréation à l’égard de ces exigences, pour la plupart incompatibles avec notre société. 

    Ces restrictions alimentaires islamiques s’invitent quelquefois violemment. En juin 2016, à Nice, une serveuse s’était vue menacée et giflée par un Tunisien – en situation irrégulière – parce qu’elle servait de l’alcool en période de ramadan. L’agresseur avait écopé de huit mois de prison ferme, au lieu d’être expulsé du territoire manu militari

    Des violences qui ne datent pas d’hier. Déjà en 2010, un boucher-charcutier portait plainte suite à une énième agression subie au marché de Sarcelles (Val-d’Oise) parce qu’on trouvait de la viande haram sur son étal, « le seul endroit dans la ville où on peut acheter des côtes de porc », soupirait à l’époque une cliente (Le Parisien).

    Pourtant, en 2012, Le Monde, avec son sens aigu du déni, parlait d’« un passage de témoin en douceur » lorsque le dernier boucher traditionnel de Pantin prenait sa retraite, ce dernier reconnaissant « la disparition des bouchers “traditionnels” et l’essor des “halal” ». Son successeur a ouvert une boucherie confessionnelle musulmane.

    Au-delà des quartiers à forte présence musulmane – où les commerces traditionnels de bouche jettent massivement l’éponge et cèdent la place au halal –, il suffit de se promener dans les rayons des enseignes de la grande distribution pour constater que le halal s’est installé confortablement sur l’ensemble du territoire, ce qui pose de sérieux problèmes de vivre ensemble, cette antienne qu’on nous sert pourtant matin, midi et soir !

    http://bvoltaire.com/certains-coins-de-france-on-a-choix-entre-halal-rien/

  • JEAN-JACQUES WALTER : « LES TERRORISTES SONT AUJOURD’HUI DES MUSULMANS QUI APPLIQUENT UNE DES INTERPRÉTATIONS POSSIBLES DU CORAN »

    Dans un livre présenté comme un abécédaire, Jean-Jacques Walter va sereinement et factuellement aux sources – le Coran – pour détailler tout ce que prescrit véritablement l’islam sur les grands « sujets-qui-fâchent » ou ceux qui fâchent moins mais sur lesquels circule, avec passion, tout et son contraire : les femmes, les autres religions, le travail, le djihad, le paradis, l’argent, etc.

    De la conclusion de cet exposé – les terroristes sont aujourd’hui des musulmans qui appliquent une des interprétations possibles du Coran -, il tire un plaidoyer : les musulmans désireux de s’intégrer en Occident doivent nécessairement, pour partie, prendre leurs distances avec le Coran.

    Qui sont les terroristes aujourd’hui ?

    Les terroristes sont aujourd’hui des musulmans qui appliquent une des interprétations possibles du Coran. Ce ne sont pas des gens qui nient le Coran ou qui le défendent, ce sont des gens qui l’appliquent.
    Par exemple, le verset 89 de la sourate 4 dit : « Si quelqu’un abandonne l’islam, assassinez-le tout de suite. »
    Le verset 5 de la sourate 9 de l’épée dit : « Les polythéistes (c’est-à-dire les chrétiens) saisissez-les et tuez-les partout où vous les rencontrerez. »
    Le verset 29 de la sourate 9 dit : « Ceux des juifs et des chrétiens qui ne veulent pas devenir musulmans, asservissez-les et humiliez-les. »

    Selon vous, les attentats ne sont donc pas le fait de déséquilibrés mentaux ?

    Non, je ne pense pas qu’ils soient déséquilibrés.
    On a tendance à dire qu’Hitler et les terroristes étaient des fous pour exonérer l’humanité de cette tendance destructrice. Malheureusement, ils ne sont pas fous, ils sont pervers. Un pervers choisi d’être mauvais. Il l’accepte et il le veut.
    Les musulmans ont un dicton très répandu chez eux et que Mohammed Merah avait répété :
    « Nous gagnerons parce que nous aimons plus la mort que vous aimez la vie. »
    C’est l’instinct de destruction sur lequel se fonde une des interprétations possibles du Coran.

    Pouvez-vous nous expliquer ce que signifie, en philosophie, l’instinct de destruction ?

    Freud a mis douze ans avant d’admettre que l’instinct de mort existait. C’est un instinct qui ne vise pas la mort, il vise la destruction psychologique du moi.

    Les gens qui en sont victimes essaient de s’en débarrasser. Lorsqu’ils le rejettent à faible distance parce qu’ils sont faibles, cela tombe sur leur corps propre et cela se manifeste en masochisme. S’ils sont plus forts, ils le jettent sur les voisins, cela se manifeste en sadisme. S’ils sont encore plus forts, ils le jettent sur l’étranger, celui qu’on ne voit pas.

    Tout cela est la faute des Blancs, des Noirs, des Jaunes, des francs-maçons, des juifs, des chrétiens et des n’importe quoi.

    Cet instinct-là vise la destruction du moi. C’est lui qui donne les valeurs à un certain nombre de commandements islamiques, par exemple celui qui prescrit d’assassiner tout musulman qui ne croit plus à l’islam ou d’asservir ceux qui ne veulent pas se convertir ou de faire le djihad. Le djihad, c’est tuer et être tué sur le sentier d’Allah. Les seuls qui peuvent prétendre au paradis avec certitude sont ceux qui sont tués ou qui tuent sur le sentier d’Allah. Les autres musulmans qui n’ont pas été partenaires dans le djihad iront peut-être au paradis si Allah veut bien. Quant aux non-musulmans, peu importe qu’ils n’aient jamais connu l’islam ou qu’ils aient mené une vie morale parfaite, ils iront de toute façon en enfer.

    Cette insistance sur la guerre est un des éléments caractéristiques de l’islam.

    Peut-on dire, comme certains, que ce sont nos sociétés qui fabriquent ces « fous d’Allah » ?

     

    Elles ne les fabriquent pas, elles l’admettent et l’acceptent.
    Deux études sérieuses ont été faites sur ce que pensent les musulmans en Europe.
    L’une vient du plus célèbre institut de sociologie allemand financé par la ville de Berlin et l’État fédéral, et l’autre de l’Institut Montaigne, qui a fait faire des études par l’IFOP.

    En conclusion, sur les cinq millions de musulmans en France, un million acceptent totalement l’Occident. Quand il y a contradiction entre ce que disent les lois de la République et l’islam, ils choisissent systématiquement l’Occident. Ceux-là refusent une partie du Coran, ils ne tentent pas de réinterpréter.

    Puis un million et demi sont à cheval et acceptent une partie du Coran et une partie de l’Occident. Par exemple, ils acceptent que les femmes soient dévoilées, mais ils trouvent légitime qu’on les brutalise physiquement et qu’on exerce le maximum de pression si elles prétendent abandonner l’islam.

    Enfin, environ deux millions et demi sont totalement inféodés à l’islam et disent que les lois d’Allah, c’est-à-dire le Coran, sont supérieures aux lois des hommes. Ils disent donc que la peine de mort doit être appliquée si possible à tous ceux qui abandonnent l’islam, que les femmes sont inférieures, qu’elles ont une demi-part en héritage, qu’il faut deux femmes disant la même chose devant un tribunal pour valoir un seul homme et beaucoup d’autres choses de cette sorte.

    C’est en lien avec le titre de votre livre, Les 2 islams. Pouvez-vous préciser ?

    Le premier, c’est le million de musulmans qui ont choisi d’être compatibles avec la République. Ils ont choisi un islam qui rejette une partie du Coran. Ils ne réinterprètent pas mais rejettent une partie du Coran. Par exemple, le Coran indique que la Terre est plate. Ces musulmans le rejettent et disent que ce n’est pas Allah qui dit cela. Il y a donc une partie du Coran qui ne vient pas d’Allah, il est donc légitime de rejeter une partie du Coran. Cet islam-là est parfaitement compatible avec la République.
    Il y a ensuite l’autre islam qui prend le Coran au pied de la lettre. Ces musulmans-là déclarent que le Coran a été écrit pas Allah il y a quatorze milliards d’années avant la fondation du monde en langue arabe parce qu’Allah parle l’arabe classique avec les anges depuis quatorze milliards d’années. Ceux-là ne veulent rien réinterpréter. Cet islam-là est incompatible avec l’Occident.

    Pourtant, théologiquement et d’après certains légistes, quiconque rejette un verset du Coran n’est plus considéré comme un musulman.

    C’est effectivement ce que disent les légistes de l’islam. Mais les musulmans qui rejettent une partie du Coran disent que les légistes se trompent et qu’on peut parfaitement rejeter une partie du Coran sans cesser d’être musulmans. Ils sont donc en opposition avec les légistes, mais en conformité avec l’Occident.
    Cet islam-là est totalement acceptable en Occident.

    Quel est l’objectif de votre livre ?

    Il vise la connaissance, c’est-à-dire montrer ce qu’est l’islam, tel qu’il est défini par les légistes et tel qu’il résulte du Coran. Mais je souhaite aussi montrer l’islam des Lumières, c’est-à-dire l’islam qui rejette une partie du Coran et qui est acceptable pour l’Occident.

    Ne craignez-vous pas que votre ouvrage soit taxé d’islamophobe et qu’en pointant le Coran, vous portiez préjudice aux musulmans modérés?

    Les pires islamophobes, ceux qui rejettent le plus violemment l’islam, ne sont pas du tout les Occidentaux, ce sont des musulmans qui n’acceptent plus une partie de l’islam.
    J’ai cité, dans le livre Les 2 islams, un certain nombre de musulmans qui restent musulmans mais qui rejettent très violemment les sociétés musulmanes beaucoup plus violemment qu’aucun des Occidentaux qui critique l’islam.

    http://bvoltaire.com/terroristes-aujourdhui-musulmans-appliquent-interpretations-possibles-coran/

  • Esclaves en Libye : les larmes de la manipulation (redif)

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    18 novembre, le monde découvre grâce à une vidéo de CNN l’existence de marché d’esclaves en Libye. Le parallèle avec le petit Aylan est vite fait. La presse et le monde pleurent. Les coupables sont tout désignés l’Europe et sa politique migratoire.

    Une émission présentée par Jean Yves Le Gallou et Hervé Grandchamp.

  • La Russie se prépare à l'idée d'affronter une Europe devenue musulmane au-delà de 2050

    6a00d83451619c69e201b7c93924f1970b-800wi.jpgC'est en substance une des vérités dérangeantes énoncées par les invités russes des Assises nationales de la recherche stratégiques, qui ont eu lieu ce 30 novembre à l'École Militaire.

    Organisé par le Conseil supérieur de la formation et de la recherche stratégique ce colloque avait pour thème les menaces "hybrides", c'est-à-dire en novlangue militaire, celles représentées par la stratégie d'acteurs, étatiques ou non, recourant à l'ensemble des leviers d'action à leur disposition, et pas seulement à l'emploi de la force, ou à la menace de celui-ci, pour arriver à leurs fins. Un peu ce que font les États-Unis sur l'ensemble du globe depuis la fin de la 2ème guerre mondiale...

    Parmi les invités, plusieurs russes dont des généraux et un ancien ministre de l'Intérieur, ainsi que des commentateurs de l'actualité (leur identité figure au lien ci-dessus). Ils n'y sont pas allés par quatre chemins pour décrire la décadence française et européenne, évoquant sans détour l'invasion migratoire extra-européenne, l'abandon des valeurs traditionnelles, et les évolutions sociétales mortifères. Leur propos a suscité de fortes réactions d'un public habituellement policé, divisé entre applaudissements nourris et sifflets soutenus.

    Saluons une fois n'est pas coutume Alain Bauer, co-organisateur de cette journée, qui a su ramener le calme en soulignant l'intérêt qu'il y a à écouter des voix discordantes. Un souci de pluralité qui l'honore.

    Surtout, guettons avec impatience la parution des actes de ces assises!

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une affiche de l’État Islamique évoque un prochain attentat à Rome

    Une nouvelle affiche pro-attentat diffusée par la Wafa Media Foundation (agence de propagande de l’État Islamique), menace de perpétrer des attentats terroristes à Rome à l’occasion des fêtes de Noël.

    Elle montre un djihadiste avec à ses pieds un loup et sac à dos dont émerge un fusil lance roquette. Ce sont les chrétiens qui sont la visés, ainsi il est inscrit : «La fête des Croisés approche, montrez-leur le sens du terrorisme, ne retiens pas ton sang, la récompense est le paradis».

    L’affiche appelle donc les “loups solitaires” à passer à l’attaque et à tuer les chrétiens sans épargner son propre sang dont l’effusion mènera directement au paradis d’Allah…

  • I-Média#178 : Esclaves en Libye, les larmes de la manipulation.

  • NOS UNIVERSITÉS SONT ISLAMISÉES : EN DEHORS DE CÉLINE PINA, QUI OSERA LE DÉNONCER ?

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    Les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques.

    « Pourquoi l’université est une cible privilégiée des islamistes et de leurs faux-nez, les Indigènes de la République ? », s’interroge ingénument, sur son blog, l’élue socialiste de la région Île-de-France, Céline Pina, par ailleurs auteur, en 2016, d’un brûlot remarqué intitulé Silence coupable et éloquemment sous-titré « Islamistes : ils ne sont grands que parce que nos élites sont à genoux ». Sa dénonciation d’un Salon de la femme musulmane à Pontoise l’avait sortie de l’anonymat puisqu’elle avait dû endurer les griefs bilieux des responsables de son parti.

    Et la même de répondre : « Si l’Université est aussi massivement investie, c’est pour la même raison que Tariq Ramadan, qui n’est pas universitaire, se présente comme professeur à Oxford : le titre universitaire notabilise, renforce et donne autorité autant à l’homme qu’à l’idéologie. C’est une arme de légitimation massive », ajoutant que « c’est ainsi que pour crédibiliser leur idéologie, la hisser à la hauteur d’un savoir et lui donner les apparences de la science, les islamistes tentent de noyauter le monde universitaire ».

    C’est un fait éminemment constatable que, depuis une vingtaine d’années, nombre d’universités en France sont progressivement investies par un islam à visage voilé. Les modus operandi sont divers, de la petite association étudiante à vocation cultuelle dont on finit par découvrir qu’elle abrite une salle de prière clandestine – comme ce fut le cas, il y a quelques années, à l’IUT de Saint-Denis – à l’intégration, au sein des équipes pédagogiques, de maîtres de conférences dont, pour certains profils, un observateur avisé se demanderait, perplexe – mais finalement peu dupe –, comment l’impétrant a-t-il pu décrocher et sa thèse et sa qualification par le Conseil national des universités (CNU) et son poste au sein de l’université ?

    Le phénomène n’est pas seulement local, puisque le ministère de l’Enseignement supérieur, qui est seul habilité à délivrer les diplômes autant qu’à certifier les formations dispensées au sein des universités, doit faire face à la concurrence effrénée et pullulante des instituts mahométans privés de formation (tels l’Institut européen des sciences humaines, émanation des Frères musulmans, l’Institut d’études islamiques de Paris, l’Institut international des sciences islamiques, l’Institut méditerranéen d’études musulmanes d’Aix-en-Provence ou encore l’Institut Avicenne des sciences humaines basé à Lille). 

    Résultat : l’État se laisse tranquillement déborder, faible de sa résignation comme de son aboulie. Un DU de finance islamique finira par ouvrir à Paris-Dauphine en 2010 quand, un an auparavant, l’Institut européen des sciences humaines de Saint-Denis précité avait obtenu, par arrêté du recteur d’académie de Créteil, la reconnaissance de ses formations initiales en langue arabe et en théologie musulmane.

    Le phénomène n’est pas seulement national puisqu’en Suisse, l’université de Fribourg accueille un Centre suisse pour l’islam et la sociét et que l’Institut d’études de la culture et de la religion musulmanes a été créé au sein de l’université Goethe de Francfort, portant ainsi à cinq (avec Erlangen-Nuremberg, Tübingen, Osnabrück et Münster) le nombre d’universités allemandes dispensant des cours de théologie islamique.

    Pendant ce temps, comme une bombe explosant en silence, les Étudiants musulmans de France (EMF) viennent de décrocher leur premier siège au sein du conseil d’administration de l’université de Lille. Une victoire idéologique incontestable pour ces islamistes à peine pubères qui ne craignent pas de s’afficher aux côtés des racistes anti-blancs des Indigènes de la Républiques, d’apporter leur soutien au Secours islamique de France ou aux anti-islamophobes du CCIF jusqu’à même faire partie, encore récemment, du bureau national de l’UOIF.

    Une chose est certaine : les musulmans ont compris que la conquête politique se gagne d’abord par les batailles idéologiques. La porosité intellectuelle de l’université française permet ce gramscisme islamique.

     Docteur en droit, journaliste et essayiste