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islamisme - Page 229

  • La Grande-Bretagne, en état d’islamisation avancée, interdit de séjour à vie le leader autrichien de Génération Identitaire

    martin-Sellner-generation-identitaire-241x300.jpg« Je transformerai la capitale en un phare de l’islam » tel était le slogan électoral du socialiste Ken Livingstone en 2012.

    Après la France et l’Allemagne, la Grande-Bretagne a la troisième plus importante communauté musulmane d’Europe. Les adeptes du Coran ne se sont pas « intégrés » ni « assimilés » à la société britannique mais occupent la place en important et imposant leurs coutumes et mœurs, leur loi coranique, la diffusion de la charia étant de plus en plus inéluctable dans certains quartiers des grandes villes du Royaume-Uni. Du nord au sud, les « no-go-zones » interdites aux femmes se multiplient, Londres étant devenue la capitale mondiale des défigurations par l’acide. Ne parlons pas des viols de jeunes-filles et de l’exploitation sexuelle d’enfants britanniques par des gangs islamiques, l’affaire la plus connue étant celle des viols collectifs de Rotherham commis sur plus de 1500 enfants par des « nombreux hommes majoritairement pakistanais » écrivait l’Express en 2014; de la multiplication des prêches islamiques par des imams ayant pignon sur rue, dont l’un affirmait en 2014 à la télévision italienne « se battre pour l’application de la charia comme forme alternative de vie » et ne pas vouloir aller à l’étranger « ainsi quand la Grande-Bretagne sera sous l’État islamique, moi je serai déjà ici en première ligne pour diffuser l’islam ».

    Dans ce contexte d’islamisation avancée du Royaume-Uni, de changement de son ADN génétique, les autorités britanniques ont décidé d’interdire de séjour à vie l’autrichien Martin Sellner, leader de Génération Identitaire dans son pays et un des organisateurs de la mission en méditerranée Defend Europe. Vendredi dernier, Sellner et sa fiancée, Brittany Pettibone, journaliste américaine, ont été arrêtés à leur descente de l’avion à l’aéroport de Londres. Détenus pendant trois jours, déclarés « dissidents politiques », ils ont été ensuite expulsés et bannis à vie de Grande-Bretagne.

    Les deux identitaires devaient se rendre à une manifestation à Hyde Park où ils devaient rencontrer Tommy Robinson, autre militant politique considéré d’extrême-droite par les autorités de l’île.

    « Le gouvernement a décidé que le discours de Martin sur la thématique de la liberté d’expression est trop dangereux pour être entendu » écrit dans un communiqué Génération Identitaire.

    Dans le document de refus de permis d’entrée sur le sol britannique remis à Brittany Pettibone, il est spécifié que selon les autorités anglaises les activités planifiées du couple à Londres constituent

    « une sérieuse menace envers les intérêts de la société et avec beaucoup de probabilité seront cause de tension entre les communautés locales et le Royaume-Uni ».

    « Votre fiancé, lit-on dans l’acte d’expulsion, a admis dans un colloque d’être le co-fondateur de la branche autrichienne de Génération Identitaire qui est considérée en Grande-Bretagne comme une organisation de droite. »

    Morale de l’histoire : en Grande-Bretagne l’islam est bienvenu ! L’identité européenne bannie !

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/la-grande-bretagne-en-etat-dislamisation-avancee-interdit-de-sejour-a-vie-le-leader-autrichien-de-generation-identitaire/88807/

  • Grand remplacement et enfants musulmans : Robert Ménard encore une fois relaxé !

    Après l'affaire des affiches sur Midi libre, Robert Ménard est à nouveau relaxépour ses propos sur les musulmans dans sa ville de Béziers :

    "La cour d’appel de Paris a relaxé, mercredi 14 mars, le maire de Béziers, Robert Ménard, proche du Front national, condamné en 2017 pour avoir déclaré qu’il y avait trop d’enfants musulmans dans les écoles de sa ville. La cour a ainsi infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné M. Ménard à 2 000 euros d’amende pour « provocation à la haine et la discrimination ».

    Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent « une exhortation éventuellement implicite » à la haine ou à la discrimination pour que le délit de « provocation » soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.

    L’élu était poursuivi pour avoir publié sur Twitter, le 1er septembre 2016, le message suivant : « #rentréedesclasses : la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe. » Il était également jugé pour avoir déclaré sur LCI, le 5 septembre 2016 : « Dans une classe de centre-ville de chez moi, 91 % d’enfants musulmans. Evidemment que c’est un problème. »"

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  • Ignorance abyssale de l'islam

    6a00d8341c715453ef01b8d2e21ba9970c-320wi.jpgOn entend chaque jour parler de nouvelles futures réformes. Celle qu'on annonce le lundi cède la vedette, le mardi, à une suivante et on ne parlera plus des deux précédentes quand arrivera la promesse du mercredi. Et nous commençons à comprendre que ce quinquennat risque fort de poser plus de premières pierres qu'il n'inaugurera d'ouvrages achevés.

    Il s'est écoulé un mois depuis le 11 février. Ce jour-là, paraissait dans le Journal du Dimanche un entretien avec le chef de l'État. Or, celui-ci affirmait son intention de "poser les jalons de toute l’organisation de l’islam de France." Il se fixait même une échéance, celle du premier semestre de l'année en cours, ce qui lui laisse désormais moins de 4 mois pour aboutir, s'il s'en tient à ses intentions affichées.

    Or, pour commencer, ce n'est pas tant sur l'effet d'une nouvelle organisation rêvée d'un islam français que l'on doit s'interroger. C'est plutôt d'abord sur les conséquences du débat, purement théorique lui-même, qu'il convient de se pencher.

    On a ouvert une bonde. S'y sont déjà engouffré, au gré de tribunes publiées par Le Monde, trois intellectuels musulmans : Rachid Benzine, présenté comme islamologue et chercheur associé au fonds Ricoeur, Houari Bouissa, professeur d’histoire, et le sociologue Tarik Yildiz. Leurs textes étaient mis en ligne ensemble le 6 mars, le journal les regroupant sous le titre du premier incluant un avertissement opportun "Islam de France : gare aux fausses bonnes idées".

    Or, l'expression "une fausse bonne idée" doit être comprise comme un euphémisme pour désigner une intention erronée, vouée à l'échec ou contre productive.

    Pas besoin d'être étiqueté islamologue, ni associé au fonds Ricoeur, pour découvrir, dans le texte quelque peu confus, et très confusionniste, de Rachid Benzine que tous les technocrates qui prétendent réformer l'organisation de l'islam ne connaissent le sujet que d'une manière très superficielle, et ne l'abordent que d'un point de vue laïciste.

    Cela ne date pas d'hier. Les ministres de l'Intérieur successifs, à droite comme à gauche, s'y sont essayés. En 1990, Pierre Joxe avait lancé un Conseil de réflexion sur l'islam de France (Corif). En 1993 Charles Pasqua avait créé le Conseil représentatif des musulmans de France (CRMF), présidé par Dalil Boubakeur. Ce médecin officiait, depuis l'année précédente, en tant que recteur de la Grande mosquée de Paris. Or, ladite institution, édifiée en 1926 a été financée par l'État français, en vertu d'une loi de 1920. Elle dérogeait en Métropole, de fondation, à la loi dite de Séparation de 1905. Mais elle allait être désignée, en 1995, par le gouvernement comme l'unique représentant de ce que l'on commence alors à considérer comme la deuxième religion de l'Hexagone.

    En 1999, Jean-Pierre Chevènement, déjà lui, croit pouvoir miser, au contraire, sur la diversité des fédérations, y compris les plus proches des frères musulmans, du tabligh, etc.

    En 2002, Nicolas Sarkozy, à son tour, reprend le dossier du CFCM, Conseil français du culte musulman, salué comme un succès au départ mais dont la faillite désormais n'est plus à démontrer.

    Toutes ces politiques successives ont échoué pour des raisons faciles à identifier. Procédant de la culture dominante des dirigeants français, aveuglées par le laïcisme de ceux-ci, elles ignoraient tout du phénomène politico-religieux de la foi mahométane.

    Leurs interlocuteurs musulmans se sont eux-mêmes employés à les désinformer, manipulant habilement les conceptions laïcistes.

    Dès 1956, André Malraux observait avec juste raison : "c’est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l’islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine." Et il ajoutait alors que "les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles."

    Aujourd'hui la logique politico-religieuse de cette poussée islamique échappe encore à nos responsables. Issus eux-mêmes de la haute administration, on les soupçonne de ne guère connaître la France réelle elle-même, dès lors que sa réalité franchit la frontière du boulevard périphérique parisien.

    Comment s'étonner par conséquent de leur ignorance abyssale de la réalité islamique ?

    JG Malliarakis 

    À lire en relation avec cette chronique

    les deux livres de Henri Lammens à commander sur la page catalogue de l'éditeur, ou, par correspondance, en adressant un chèque de 35 euros pour les deux volumes [20 euros pour "Islam croyances et institutions" ; 15 euros pour "Qui était Mahomet ?"] aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/

  • Yassine Belattar, un nouveau conseiller d’Emmanuel Macron aux relents islamistes et anti-Blancs

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    Mardi, à l’Elysée, a été organisée la première réunion du Conseil présidentiel des villes, lancé en faveur des « quartiers populaires » par Emmanuel Macron.  Selon le Bondy Blog, l’humoriste Yassine Belattar fait partie des personnalités sollicitées pour faire partie des membres de ce Conseil présidentiel.

    Selon le cabinet présidentiel, ce conseil est censé « créer et rassembler des personnes issues des quartiers populaires, de tout âge, de tout profil et animées par un engagement et reconnues pour leur expertise. Elles seront chargées de nourrir la réflexion du président de la République sur la politique de la ville ».

    « J’aurai une quinzaine d’engagés auprès de moi dans ce Conseil présidentiel de la ville qui suivra un peu l’action faite au quotidien, m’alertera, sera également un relais et participera à ces réunions trimestrielles », avait déclaré Emmanuel Macron, à Tourcoing, en novembre dernier. « Tous les trois mois il y aura ces réunions de chantier pour être pragmatique et je veux que nous nous concentrions sur une dizaine de quartiers de ville particulièrement en difficulté pour là avoir des engagements d’ici deux ans. »

    Mais cet humoriste Yassine Belattar recruté par Emmanuel Macron est-il vraiment un exemple à suivre pour les « quartiers populaires » ? Cet individu avait été interpellé, le 20 février, aux Mureaux, dans les Yvelines, tout près de la médiathèque où le président de la République était en déplacement avec la ministre de la Culture Françoise Nyssen. Il avait alors été placé en garde à vue pendant quelques heures pour avoir insulté un policier.

    Relents islamistes et anti-Blancs

    Yassine Belattar avait affirmé « il n’y a pas de modération dans une religion : on est musulman ou on ne l’est pas ».

    Parmi ses déclarations, il y a aussi celle-ci très révélatrice de son mépris à l’égard des Blancs : « ces hommes blancs de plus de 60 ans sont peut-être la clé du problème ».

    Selon le magazine Marianne, peu suspect d’être une presse réactionnaire, Yassine Belattar véhicule « le déni de l’islamisme comme le discours sur “les Blancs” et les autres ». Suite à ces propos de Marianne en décembre dernier, Yassine Belattar avait envoyé ce SMS à son « frère » (sic) Macron : « Visiblement, c’est une nouvelle guerre que lance ce journal, je suis au fond du trou. » à quoi le président de la République avait répondu : « T’obsède pas. Continue. Les critiques suivent le talent. »

    Habitué à multiplier les insultes sur Twitter, ce Yassine Belattar avait d’autre part animé un gala de soutien du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), organisation considérée comme islamiste.

    http://www.medias-presse.info/yassine-belattar-un-nouveau-conseiller-demmanuel-macron-aux-relents-islamistes-et-anti-blancs/88749/

  • LES ISLAMISTES DE LA GHOUTA BIENTÔT VAINCUS

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    Les jours passent et l’étau de l’armée syrienne se resserre inexorablement sur les 20.000 combattants islamistes de la Ghouta orientale. Après deux semaines de bombardements puis deux semaines d’assauts terrestres, les positions islamistes sont aujourd’hui coupées en trois, c’est-à-dire en autant de groupes islamistes. Ces trois tendances ne s’aiment guère et se sont même violemment affrontées à de nombreuses reprises pour la suprématie de la Ghouta.

    De cela les médias occidentaux ne parlent guère, préférant, à l’unisson, dénoncer par une obligatoire litanie « les crimes de l’armée de Bachar », comme si ce n’était pas l’armée syrienne ! On se demande à quoi sert la pluralité de la presse en France, tant celle-ci ne parle que d’une seule voix, avec les mêmes bilans non vérifiés de l’OSDH (Observatoire syrien des droits de l’homme), les mêmes slogans (Bachar, « l’homme qui tue son propre peuple ») et les mêmes indignations de circonstance.

    Aujourd’hui, les trois groupes islamistes rivaux tiennent chacun leur ville : Douma pour l’Armée de l’islam, soutenue par l’Arabie saoudite, Arbine pour Faylaq al-Rahmane, soutenue par le Qatar, et Harasta pour le Front al-Nosra, que plus personne ne soutient.

    Depuis cinq ans, ces groupes tenaient un territoire en continu qui a compté jusqu’à 15.000 km2. Aujourd’hui, ils se partagent à peine 50 km2. Le morcellement de ce territoire en trois parties empêche maintenant toute alliance, même de circonstance, entre islamistes. Elle rend également vaine toute contre-attaque éventuelle. L’issue est donc inéluctable.

    Pour l’assaut final, les Russes ont fait venir des renforts : des Palestiniens favorables à Bachar, issus des camps de réfugiés, et des chiites afghans, rapatriés du front de Deir ez-Zor. Les Iraniens sont tenus à l’écart : ils sont trop autonomes et les Russes ne veulent pas s’en embarrasser. Ils veulent garder la main pour d’éventuelles négociations suivies de redditions et d’évacuations qui éviteraient plusieurs jours de sanglants combats.

    D’ailleurs, une dizaine de combattants d’Al-Nosra se sont rendus avec leurs familles le 10 mars et ont été, comme d’habitude, évacués vers la province d’Idleb, le grand fief islamiste, au nord-ouest de la Syrie.

    Quant aux civils, ils sont toujours pris en otage par les islamistes. Plusieurs ont été tués ces derniers jours en tentant de s’enfuir et de forcer les barrages des combattants. D’autres sont passés et ont pu témoigner de leur quasi-impossibilité de quitter la Ghouta, tant les tirs des snipers sont redoutables.

    Le rétrécissement du territoire tenu par les islamistes ne les empêche cependant pas d’envoyer quotidiennement des obus sur Damas. Une dizaine de morts sont à déplorer ces derniers jours. Mais ce ne sont pas des « rebelles », alors cela n’intéresse pas nos médias.

    http://www.bvoltaire.fr/islamistes-de-ghouta-bientot-vaincus/

  • Pierre Cassen : « J’ai décidé de rendre publiques les intimidations et menaces dont nous sommes l’objet »

     

    Pierre Cassen Riposte laïque cliquez ici

    Sur cette vidéo de 10 minutes, tournée le 8 mars, quelques heures après que ma voiture ait été brûlée dans la nuit (la seule sur cinquante véhicules stationnés dans la rue), j’ai décidé de rendre public,  et de dévoiler un ensemble de faits troublants qui me sont arrivés depuis près de trois ans… date à laquelle Cazeneuve a donné l’ordre au Parquet de diligenter une enquête sur le fonctionnement de Riposte Laïque.

    Je ne suis pas paranoïaque, ni complotiste, pour reprendre le mot à la mode. Sans doute quelques événements survenus n’ont-ils rien à voir avec mes activités. Mais l’accumulation de ce que je révèle est tout de même très troublante.

    J’évoque la pression de nombreux amis, qui nous supplient, devant les risques qui s’aggravent, de quitter la France, et je précise où nous en sommes de notre réflexion, sur cette question.

    J’explique enfin, à la fin de cette vidéo, le contexte liberticide dans lequel nous évoluons, avec une grosse offensive de ce régime contre les sites de la réinformation, avec l’alibi fallacieux de lutter contre la haine.

    Véritable imposture de ce pouvoir et des antiracistes qui le somment d’aller plus loin, puisque la haine, dans ce pays, est véhiculée par un livre, Le coran, et une religion, l’islam, qui demandent juste à leurs fidèles d’islamiser le pays et de tuer tous les infidèles, dans ses textes sacrés.

    Je remercie encore, pour finir, tous les donateurs de Riposte Laïque, qui nous ont permis de voir l’avenir de manière moins sombre, et de nous donner les moyens de poursuivre le combat.

    Vous verrez, dans les prochains jours, que ce ne sont pas des paroles en l’air.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Affaire Ramadan : l’usurpation de titres universitaires par l’islamologue était connue depuis 2009

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    C’est une affaire dans l’affaire. Après les accusations de viols dont il fait l’objet depuis quelques mois, Tariq Ramadan est au centre d’un nouveau scandale : avant d’être nommé professeur à Oxford, l’islamologue suisse s’est présenté en tant que professeur de philosophie et d’islamologie à l’Université de Fribourg. De faux titres, comme le précise un récent communiqué de l’université de Fribourg.

    Le système fait semblant de découvrir que Tariq Ramadan est un usurpateur, alors que cette fraude avait été dénoncé dès 2009 devant une commission parlementaire française. En vain : à l’époque, Ramadan et ses soutiens qataris étaient intouchables.

    Les malheurs de Frère Tariq pourraient indiquer une inflexion du rapport de force à l’intérieur de l’islam sunnite entre les wahhabites soutenus par l’Arabie Saoudite, et les Frères musulmans soutenus par le Qatar.

    Alors que le royaume saoudien peut s’appuyer sur ses traditionnels alliés américains et israéliens, son rival qatari semble quant à lui de plus en plus isolé sur la scène internationale.

    https://fr.novopress.info/

  • LA SYRIE NOUS FAIT HONTE !

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    Il semble qu’il n’y ait plus aucune limite à l’indécence du parti pris des médias occidentaux, et français en particulier, dans le drame syrien. La plus grande partie du pays et une très grande majorité de la population sont aujourd’hui sous la protection du gouvernement légal de ce pays. Quelques poches rebelles subsistent à l’intérieur, notamment celle de la Ghouta, à l’est de Damas. La plupart des autres zones dissidentes se trouvent, comme par hasard, le long des frontières – israélienne et jordanienne au sud, turque au nord -, ce qui permet le soutien en armes et en hommes des groupes hostiles à Damas, lesquels sont divisés et ne représentent aucune alternative politique crédible.

    Il est probable qu’on exagère le nombre des civils encore présents dans les villes de ce secteur, comme on le faisait systématiquement pour Alep-Est. Mais les informations qui nous sont données proviennent systématiquement de sources favorables aux « insurgés », c’est-à-dire aux miliciens de moins en moins syriens qui prennent les populations civiles en otages. C’est le cas de l’OSDH (Observatoire syrien des droits de l’homme), avec des ficelles bien usées, qui consistent à aligner les morts civils, et plus encore les enfants, que les « bombes du régime » semblent viser particulièrement, ou encore en utilisant comme « témoin privilégié », et sans doute fabriqué, une fille ou un garçon. Les tirs des islamistes sur Damas sont ignorés.

    Les Occidentaux font tout pour que la guerre se prolonge, tout en multipliant les mises en garde envers le gouvernement syrien et son allié russe, au nom d’un « humanisme » dont nos médias ne permettent pas de mesurer le cynisme. Qui, donc, a favorisé et armé le prétendu « Printemps arabe », si ce n’est l’alliance honteuse entre les « démocraties occidentales », les régimes féodaux islamistes gorgés d’hydrocarbures et une Turquie de moins en moins fréquentable ? La Russie a le mérite, dans cette affaire, d’avoir joué cartes sur table en soutenant son allié qui, durant ce long conflit, est toujours resté maître de la Syrie « utile ». Elle propose, d’ailleurs, d’exfiltrer les combattants qui souhaiteraient quitter la Ghouta orientale.

    Certes, la Russie de Vladimir Poutine agit dans le sens de ses intérêts, mais elle ne le cache pas et défend la solution objectivement la meilleure pour la Syrie. Les Occidentaux et leurs riches alliés du Golfe, aujourd’hui divisés, sont responsables d’un drame syrien qui a mis ce pays à genoux. Mais les agresseurs n’entendent pas faire cesser le drame.

    Pendant que nos médias se concentrent sur les « bombardements du régime » sur la Ghouta, deux autres secteurs de combats sont cachés derrière cet écran.

    C’est d’abord l’invasion turque au nord, vers Afrine. Comment accepter qu’un membre de l’OTAN viole ainsi sans raison la souveraineté d’un voisin ? À lire nos journaux, il semblerait moins légitime à un État de reconquérir son territoire qu’à un autre de l’envahir ! Qui plus est, cette incursion se fait contre les YPG kurdes, ceux-là mêmes qui ont permis à la coalition de libérer Raqqa de l’État islamique. Afin de venir au secours des Kurdes d’Afrine, 1.700 FDS, des YPG essentiellement, qui continuaient à se battre dans le troisième secteur, celui de l’Euphrate, où subsistent des zones soumises à Daech, se sont déplacés. En conséquence, les alliés des YPG, c’est-à-dire les Occidentaux, et les Américains en particulier, ont annoncé une pause opérationnelle contre Daech ! Est-il besoin d’expliquer davantage qui est le véritable adversaire en Syrie ? Plus que l’État islamique, c’est le seul capable de finir la guerre et donc de rétablir la paix, le « régime » que nos médias pourfendent depuis sept ans !

    La politique menée par les Occidentaux, et par le gouvernement français notamment, est absurde. Elle est condamnée à l’échec et elle devrait faire honte aux Français en raison des malheurs qu’elle à entraînés et qu’elle fait perdurer pour le peuple syrien.

    http://www.bvoltaire.fr/la-syrie-nous-fait-honte/

  • Ces conseils régionaux qui soutiennent l’anti-France

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    Dans Causeur de cette semaine, on apprend qu’en 2014, La Fabrique, qui a publié le livre d’Houria Bouteldja « Nous sommes les indigènes de la République » aux relents racistes antiblancs, a reçu de la région Île de France à l’époque présidée par le socialiste Jean-Paul Huchon, la somme de 30.000 euros.

    De son côté, en 2016, Saïd Bouamama, auteur de « Nique la France », a reçu l’aide de la Région Nord-Pas de Calais-Picardie, dirigé par le Républicain Xavier Bertrand.

     A la Une de @Causeur ce mois-ci: l'islamisme à visage citoyen - Associations: quand la France finance sa contre-société > http://bit.ly/2FhrWsx 

    https://fr.novopress.info/

  • « Djihad silencieux » : la France, première étape d’un califat mondial

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    INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) : 
    L’échec de la restauration du Califat par Daesh en Syrie et Irak occulte un autre projet islamique, autrement plus insidieux, et ambitieux.

    C’est ce que montre une série de vidéos du journaliste israélien Zvi Yehezkeli, ancien membre des services secrets de l’Etat hébreu, série intitulée « Fausse identité, le djihad silencieux ». En 2012, Yehezkeli avait déjà produit un documentaire retentissant sur le djihad européen, intitulé « Allah Islam », infiltrant les milieux djihadistes en Belgique, France et Grande-Bretagne. Il vient de récidiver avec ce documentaire appliquant les mêmes techniques d’infiltration, mais cette fois-ci dans le milieu des Frères musulmans, en Europe et tout particulièrement en France, considérée par l’organisation comme la première étape du Califat mondial
    Cette série est née d’une commande de l’Etat français

    Sans préciser de date, Yehezkeli indique que les services du renseignement français ont commandé, auprès d’une société privée israélienne composée d’anciens membres des services secrets de l’Etat hébreu, un rapport sur l’activité des Frères musulmans en France et de leurs pseudopodes que sont l’UOIF et le CCIF. La série prend directement appui sur ce rapport. Deux ans et demi de préparation pour plusieurs mois d’immersion en milieu islamique : incontestablement, un travail de pro du renseignement.

    Quels sont les enseignements principaux de ces vidéos

    Pour Yehezkeli, dans la conscience planétaire islamique, l’échec de la restauration du califat par Daesh en Syrie-Irak prouve les limites du djihad armé. Du moins dans l’état actuel du rapport de forces entre le « Dar al Islam », la maison de l’islam, et le « Dar al Harb », autrement dit toute partie du monde non encore soumise à la charia. Les temps ne sont pas encore mûrs pour le djihad armé. C’est donc vers un autre type de djihad que s’oriente l’islam dit politique, le djihad de la prédication, également appelé « djihad silencieux ». Lequel s’appuie sur le « consentement au djihad » des élites européennes, consentement, voire complicité. Il s’appuie en même temps sur la naïveté des opinions publiques européennes, largement entretenue par des médias aux ordres du Qatar.

    Conclusion de Yehezkeli : les Français n’ont pas encore compris qu’ils sont sous la menace d’un « djihad silencieux », dont la réussite, hélas à peu près certaine, ouvrira la porte au véritable djihad, celui des armes…

    https://fr.novopress.info/