Dans Monde & Vie, l’abbé de Tanouärn met en rapport l’actualité en Arménie, en Palestine et chez nous. Extrait :
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Dans Monde & Vie, l’abbé de Tanouärn met en rapport l’actualité en Arménie, en Palestine et chez nous. Extrait :
Tranquilles :
Voyez comme ils mentent : les politiques et les faiseurs d’opinion feignent de découvrir l’affreux visage du Hamas antijuif et anti-occidental. En réalité, les couards n’ont jamais voulu dire la vérité sur l’islamisme conquérant qui se déchaîne contre Israël. Depuis trente ans, les « élites » aplaties trompent les Français en récitant l’ode d’une « religion de paix et de tolérance ». Mais le sabre a toujours été l’allié de la « Pax islamica ». Pour avoir supporté avec d’autres le pilonnage des empêcheurs de dire, j’ai pu mesurer la lâcheté de ceux qui dénoncent des racistes et des islamophobes chez les lanceurs d’alerte. Si Boualem Sansal ou Malika Sorel avaient seulement été entendus, la nation n’en serait pas à craindre un scénario à l’israélienne dans ses cités islamisées. « Tous collectivement, nous avons été faibles », a dit Gérard Larcher, président du Sénat, le 11 octobre sur Europe 1, en se fondant dans la masse.
La mécanique des réseaux sociaux est celle de la partition ethnique et religieuse, de l’exacerbation des différences et des haines. Seuls des individus qui auraient reçu les anticorps à cette logique abrutissante et mortifère avant de s’y retrouver confronté peuvent se protéger de leurs effets pervers. Mais les sociétés occidentales ne semblent pas encore décidées à en tirer les conclusions qui s’imposent pour préserver ce qui reste de démocratie et de paix civile.
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Source : Marianne 2/11/2023
Interpellé par les policiers dimanche, l’individu incriminé a profité de son hospitalisation pour s’enfuir. Retrouvé, il a été placé à nouveau en garde à vue. Il devrait être jugé jeudi dans le cadre d’une comparution immédiate.
Les messages envoyés via un téléphone portable étaient pour le moins explicites. Dimanche, les policiers de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) ont interpellé et placé en garde à vue un individu pour menaces de mort envers… son colocataire. La situation a été prise d’autant plus au sérieux que le suspect a illustré certains contenus par des images faisant référence à l’État islamique.
Il était 15 heures ce mardi 31 octobre, quand un individu armé d’un hachoir s’est présenté au portail d’une entreprise de Chasse-sur-Rhône. L’homme aurait menacé de mort plusieurs employés de l’entreprise au nom de l’Islam selon un salarié rencontré sur place. Prévenus, les gendarmes sont parvenus à interpeller l’individu armé après avoir été maîtrisé d’un tir par les militaires.
Deux enquêtes ont été ouvertes : l’une confiée à la police judiciaire de Paris « pour apologie, menaces de mort et acte d’intimidation sur un dépositaire de l’autorité publique pour l’empêcher de conduire sa mission ». L’autre va être menée à l’IGPN pour « violences volontaires avec arme par personne dépositaire de l’autorité publique (sur l’usage de l’arme à feu) ».
27/10/23
Le traitement du conflit a donné lieu à l’envoi mardi dernier d’une note de service de la direction de l’AFP intitulée « consignes éditoriales sur la couverture de la guerre entre Israël et le Hamas » à laquelle Le Figaro a pu avoir accès. On y lit notamment que le Hamas peut être désigné comme un « mouvement islamiste palestinien », mais qu’il faut parler de « combattants du Hamas » et pas d’ « islamistes du Hamas ».
Le qualificatif « terroriste » est « proscrit » s’agissant du mouvement palestinien pour les journalistes de l’AFP, dont la « mission », précise la même note, est de « rapporter les faits sans jugement sur des groupes ou des individus ». Les rédacteurs sont autorisés à mentionner que l’organisation palestinienne est « qualifiée de “terroriste” par les États-Unis, l’Union européenne et Israël ». Si les circonstances les conduisent à utiliser le terme « crimes de guerre », il leur est conseillé de « rappeler que selon des experts juridiques interrogés par l’AFP les deux camps pourraient être accusés de crime de guerre ».
Joint par Le Figaro Phil Chetwynd, directeur de l’information de l’AFP, a justifié le non-emploi du qualificatif de terroriste en nous expliquant que le « mot a perdu son sens ». Selon lui, « tous les gouvernements autoritaires du monde utilisent le mot pour parler de leurs opposants, par exemple. Nous privilégions les faits dont nous pouvons témoigner nous-mêmes. La description détaillée des attaques atroces en Israël est claire pour le lecteur ».