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islamisme - Page 313

  • Kosovo : les chrétiens persécutés par les musulmans

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "Des centaines d’hommes albanais ont violemment manifesté dans plusieurs villes du Kosovo-et-Métochie – République autoproclamée du Kosovo – et lancé des slogans appelant à « brûler les Serbes et leurs églises » le dimanche 28 août, jour où les Serbes orthodoxes célèbrent la « Dormition » de la Vierge Marie (Assomption chez les catholiques). Des orthodoxes ont été empêchés de se rendre dans leurs églises pour cette fête, leurs véhicules caillassés… Le bureau du représentant spécial de l’Union européenne de Pristina, en Kosovo-et-Métochie, s’est dit « préoccupé par ces incidents »… La République autoproclamée du Kosovo (musulmane à 95 %) est candidate à l’adhésion à l’Union européenne."

    Voilà ce qui se passe lorsque les musulmans deviennent majoritaires.

    Michel Janva

  • La laïcité face à l’impasse multiculturelle

    Par Gabriel ROBIN - @gabirobfrance
    Qu’est ce que la « laïcité » ? En France, le principe de laïcité s’incarne positivement en la loi de 1905 qui régit son application. Cette loi s’articule autour de deux grands axes : la liberté de conscience qui s’accompagne du libre exercice des cultes ; la séparation des cultes et de l’Etat. Tout le monde a déjà entendu au moins une fois les passages les plus célèbres de la loi : « La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes (…) » et « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. » Par la suite, le principe de laïcité a été confirmé à deux reprises, tant par la constitution de 1946 que par la constitution de 1958 qui dit que : « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale. ». La vision française de la laïcité s’inscrit dans un lent processus de sécularisation de l’Etat entamé dès l’ancien régime, et poursuivi sous la révolution française puis tout au long du XIXème siècle. Elle s’inscrit aussi dans une conception libérale de la société. Longtemps d’ailleurs, les marxistes auront reproché à Jules Ferry sa tiédeur.  Pour ces derniers, la loi de 1905 n’est qu’un pis aller. Jules Ferry, considéré comme l’un des « massacreurs de la commune », aurait inventé l’école républicaine en répondant à un double objectif : former a minima une masse d’ouvrier dont la bourgeoisie avait besoin, empêcher le développement des écoles du mouvement ouvrier. C’est en tout cas un discours régulièrement tenus par les idéologues du matérialisme historique. Il faut dire que l’école communale est alors un monde fermé, idyllique, coupé du monde extérieur et de ses antagonismes sociaux. Jules Ferry ne s’en cachait pas, déclarant à l’époque : « Je clos l‘ère des révolutions. » La Laïcité a donc aussi pour objectif second de couper les jeunes esprits de l’église, ou, selon les marxistes, de les couper de la lutte des de classes. À l’origine, la laïcité n’a été pensée que par rapport à l’église catholique. D’ailleurs, l’étymologie du mot renvoie clairement au christianisme. Le « laïc », homme du commun, profane en théologie, s’oppose au « clerc », connaisseur des textes bibliques. Pourtant, c’est bien parce que notre pays est de tradition chrétienne catholique, que la laïcité a pu si bien s’appliquer. Dans l’évangile selon Marc (12 : 17), il est rapporté que Jésus dit qu’il faut « Rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu ». Aristide Briand, rapporteur de la loi de 1905, y fit souvent référence, estimant, avec certains historiens de son temps, que les chrétiens et les stoïciens (notamment le célèbre empereur-philosophe, Marc-Aurèle) imaginèrent en premier la distinction à opérer entre les lois forgées par les hommes et les lois forgées par Dieu. Pour ses concepteurs, les débats originels sur la laïcité auront été l’occasion idoine d’affiner ce qu’est la République, la chose publique. De leur point de vue, la religion relevait du strict domaine privé.
    C’est bien parce que notre pays est de tradition chrétienne catholique, que la laïcité a pu si bien s’appliquer
    Où en sommes-nous aujourd’hui ? Depuis quarante ans, la France n’est plus strictement catholique. Une autre religion, par la grâce de l’immigration massive de peuplement, a pris une place importante dans le paysage national : l’islam. L’islam ne distingue pas le domaine spirituel, du domaine temporel. Dans cette religion, les deux concepts se confondent entièrement. La loi de Allah étant même supérieure à toutes les lois que les hommes pourraient édicter. Il existe pourtant un pays musulman qui a entrepris, il y a 100 ans, une réforme laïque. Il s’agit de la Turquie de Mustapha Kemal Atatürk. La vision de la laïcité de ce dirigeant politique, largement inspiré par les idées de la révolution française, était très différente de celle qu’en avaient Jules Ferry et Aristide Briand. Mustapha Kemal Atatürk n’avait pas une idée libérale de la société turque. Il a soumis le religieux au politique, et s’est même opposé à l’installation d’autres religions dans son pays. En pratique, Kemal mit fin au califat, puis réforma drastiquement l’islam turc. Preuve de sa radicalité, Kemal interdit le voile islamique et le port de la barbe, sans oublier d’autoriser la consommation de l’alcool. Il fit aussi, par la suite, adopter l’alphabet latin en lieu et place de l’alphabet arabe, ce qui finit par entrainer l’usage du turc dans les mosquées. Presque reconstructiviste (une pensée qui trouvait alors un écho chez Theordor Herzl), Atatürk encouragea les Turcs à ne plus dire Allah pour désigner Dieu. Il préférait le nom turco-mongol Tengri. La laïcité kémaliste correspondait donc à l’émancipation nationaliste des Turcs par rapport à l’islam, et à la culture arabe. En outre, la volonté de Kemal était de faire de la Turquie une nation occidentalisée ; ayant plutôt pour références privilégiées la philosophie grecques et le droit romain, que le Coran. En 2016, la Turquie a définitivement balayé les idées kémalistes, s’abandonnant à une forme d’islamo-nationalisme, selon la volonté de Recep Tayyip Erdogan. Sorte de concordat autoritaire, la laïcité kémaliste ne pouvait aboutir que dans un pays à majorité musulmane. C’est donc une solution impropre à la France, pays spirituellement catholique depuis le baptême de Clovis. Notre pays est rempli d’églises et de monastères, qui peuplent notre inconscient collectif, y compris celui des non croyants. Quid de la laïcité dans une France multiculturelle, fortement islamisée ? Dès 1989, date des premiers débats sur le voile à l’école, les dirigeants politiques se sont contentés de réagir aux différentes attaques, sans proposer une idée forte et prospective. Désormais, la France n’est plus vraiment catholique, ni même laïque. Notre état présent est bâtard, inédit dans l’histoire. La laïcité s’est, en effet, progressivement transformée en un syncrétisme festif, où toutes les religions se vaudraient, sans même juger de leur impact historique ou de leurs croyances.
    La France subit des pressions monstrueuses de la part des nouvelles souverainetés
    En France multiculturelle, il est de bon aloi de dénoncer publiquement, au nom de la laïcité, les maires qui placent une crèche dans leurs mairies lors des festivités de Noël, mais il est parfaitement bien vu d’organiser une « Nuit du Ramadan » aux frais de vos impôts, comme le fait la mairie de Paris chaque année. Pourtant, placer une crèche dans une mairie est beaucoup plus culturel que religieux. Une laïcité bien pensée ne doit pas avoir pour objectif de détruire notre fonds commun. Elle doit savoir distinguer ce qui relève du strict plan spirituel, ou cultuel, de ce qui relève de l’héritage indivis national sécularisé. Le Ramadan n’appartient pas à l’héritage indivis national sécularisé. Point à la ligne. La loi de 1905 ne le prévoit pas parce que la situation n’existait pas à l’époque. Pire, la France subit des pressions monstrueuses de la part des nouvelles souverainetés, notamment les administrations transnationales. Récemment, le Conseil de l’Europe, s’inquiétait de la « banalisation des discours racistes en France », estimant notamment que la France aurait une « conception restrictive de la laïcité » qui pourrait entraîner des décisions « perçues comme sources de discrimination ». Dans le viseur de cette organisation, figurent par exemple les « discriminations » qui seraient faites aux mères voilées accompagnantes lors des sorties scolaires… La laïcité à la française serait-elle donc farouchement « islamophobe » ? Allons plus loin : tous les débats autour de l’islam seraient « islamophobes », de même que l’interdiction du voile dans les institutions publiques ? Non, au contraire. Mais céder un jour revient à toujours céder. Quand la France s'agite autour de questions qui ne devraient pas faire débat, elle laisse un espace au projet politique des Frères musulmans. Quant aux organismes mondialistes, ils sont les idiots utiles de la destruction des nations européennes par le multiculturalisme, et son corollaire, l'islamisation. 
     
    La moraline fonctionne. Notre pays abandonne car il est culpabilisé. Face à l’islam, la France renie progressivement la part laïque de ses institutions républicaines, et se voit obligée d’en faire plus contre l’église catholique. Nos politiques pensent « compenser ». Que faudrait-il donc faire pour que la France reste aussi française que laïque ? Défendre les traditions populaires, c’est-à-dire le sens commun, mais aussi oser affirmer la supériorité du fait politique sur tous les faits religieux. Il ne faut plus tolérer de petits aménagements dans les cantines scolaires, dans les entreprises ou dans les administrations. La laïcité sera réellement respectée quand la France aura dit non au multiculturalisme.

  • Menace d’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie

    Alors que nos gouvernants inconscients veulent accueillir les "migrants", le directeur d’Europol, Rob Wainwright, a déclaré au journal The Standard, vendredi, que le continent européen et le Royaume-Uni sont sous la menace de l’arrivée d’une nouvelle vague de djihadistes depuis la Syrie alors que l’Etat islamique vient de prendre la « décision stratégique » d’envoyer de nombreux « combattants » vers l’Europe. Il assure que les guerriers d’Allah utilisent de plus en plus souvent des documents falsifiés pour leur permettre de pénétrer dans l’Union européenne, des passeports syriens notamment.

    La décision de l’Etat islamique fait suite, selon lui, aux défaites essuyées sur le terrain en Syrie. Rob Wainwright a ajouté qu’un nombre modeste mais croissant de ces combattants se font passer pour des réfugiés pour pénétrer sur le sol européen. 

    Selon le directeur d’Interpol, il existe des éléments qui laissent penser que des extrémistes tentent de radicaliser des migrants dans les points d’accueil des réfugiés en Grèce et dans les Balkans. Le journal italien La Stampa vient ainsi de révéler que de faux passeports fabriqués à l’intention de militants de l’État islamique ont été mis au jour dans des camps de réfugiés en Grèce.

    Michel Janva

  • Le coup de gueule de Joe Walsh suite à l'attaque islamique à Roanoke en Virginie

  • La mauvaise foi des laïcistes

    L’islamisation de notre société n’a pas manqué de provoquer le débat cet été. Les polémiques sur le Burkini, l’agression antifrançaise de Sisco, les injonctions de l’Etat islamique et les milliers d’immigrés – légaux ou non – parvenant sur notre sol révèlent l’exaspération identitaire qui tenaille notre pays. A ce titre, l’installation de Jean-Pierre Chevènement comme président de la Fondation pour l’islam de France permet de désigner trois écueils dans le traitement fait par le politiquement correct de cet effet du Grand Remplacement. Par souci de précision, je rappelle que j’ai demandé à l’assemblée nationale la suppression de cet organisme qui milite pour l’imposition d’une partie des civilisations musulmanes dans notre pays à l’occasion d’une question au gouvernement et de ma proposition de loi instaurant un moratoire sur la création de mosquées en France.

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    La première analyse tient en l’incapacité de monsieur Chevènement à proposer une solution nouvelle devant l’islamisation. Ainsi, justifie-t-il aujourd’hui dans le Figaro son appel à la discrétion des musulmans : « J’ai recommandé la discrétion dans l’espace public de débat qui est un espace commun à tous les citoyens et ou j’incite non seulement les musulmans mais toutes les religions à s’exprimer de manière argumentée plutôt que par la proclamation de leur Révélation. » Cette explication est grotesque. D’abord, parce que la laïcité dont se prévaut l’ancien ministre veut s’établir, elle, comme une religion révélée alors qu’elle n’est, dans son acception actuelle, que la résultante d’une lutte politique des radicaux et des libéraux de la IIIème République contre l’Eglise. Une relecture de l’ouvrage, Mon ministère, du petit père Combes, permettrait à chacun de comprendre quelle fut l’ambiance à l’époque. La Révélation est l’Argument des religions, c’est ce qui fait d’elle non pas des émotions partisanes mais des promesses de Salut. Je ne doute pas que Druides ou moines préfèreront prêcher le Salut plutôt que diffuser la bonne parole des conseillers d’Etat. Ensuite, parce que l’Etat, du fait de sa captation par les idéologies et les partis, n’a plus du tout la légitimité nécessaire pour que les corps sociaux, religieux ou non, s’obligent à suivre ses diktats. Enfin, cette fondation servira de fait à diffuser les outils de transmission du Coran et de ses interprétations en promouvant la langue arabe, les centres culturels, et autres espaces d’expression de l’islam.

    La Seconde c’est la perpétuation d’une vue de l’esprit : le développement d’un islam de France. Sur quoi repose cette conviction ? Sur un état de fait bien réel : l’islam se métamorphose en fonction de ses terres de conquête. Avant et après le FLN, l’islam algérien ne fut ni le même dans sa pratique, ni le même dans son enseignement. De même, l’islam pratiqué en Oman est bien moins velléitaire que celui promu par les rebelles syriens tant choyés par les médias français. Mais ces pays, arabisés ou islamisés il y a longtemps, ont ceci en commun de ne pas participer du génie européen, et de ne pas appartenir à la civilisation française. Comment oublier le poids du temps long de l’Histoire, comment oublier que l’unification européenne par Charlemagne, les croisades ou les réseaux monastiques du Moyen-Age ont façonné nos manières d’être au monde ? Comme à l’habitude, Chevènement et les siens veulent l’arasement des fondements de ce que nous sommes au profit d’un nivellement relativiste de notre Histoire. Les moins malins, comme Florian Philippot, proclameront le danger majeur constitué par les grandes croix ostensibles. Les plus pernicieux, à la Rachid Nekkaz, se présenteront comme des « citoyens épris de liberté » (Valeurs Actuelles ) pour financer la résistance à la loi contre le port de la burka. Finalement, nous en arrivons à une situation ou les fossoyeurs de l’identité française se prennent à inventer un fantasme de définition de la France pour continuer à monnayer leur camelote.

    La troisième analyse, c’est la grave erreur commise par les communautaristes musulmans eux-mêmes. Aveuglés par le rendu médiatique de leurs actions, ils conçoivent de la France ce que leur en montre les agents du politiquement correct. Une France honteuse d’elle-même, culpabilisée, désireuse de s’offrir aux influences étrangères. Mais, à chaque confrontation avec le pays réel, cette conviction déchante. A Tremblay en France, à Sisco, ailleurs, ils remarquent que les Français sont exaspérés devant l’islamisation de leur pays. Ils n’acceptent pas que de fille aînée de l’Eglise, la France en vienne à se faire meilleure élève du cosmopolitisme matérialiste. Alors qu’ils pensaient imposer tranquillement des territoires perdus de la Nation, faire la loi dans des quartiers, comme avec la police de la charia à Avignon, voire instrumentaliser l’administration du pays pour soutenir le djihad international, ils se confrontent aux faits. Et ces derniers disent : nous ne sommes pas Chevènement, pas Hollande, par Laurence Rossignol, nous sommes un pays fier, dont vous réveillez des corps intermédiaires qui ne laisseront jamais la France être abandonnée à la charia. A ceux-là, je veux dire qu’une porte est ouverte : la ré-émigration.

    https://www.jacquesbompard.fr/mauvaise-foi-laicistes/

  • Douarnenez : Les organisateurs de la baignade “pro-burkini” croulent sous la rage populaire

    Les organisateurs du festival du cinéma de Douarnenez, proches de l’extrême-gauche, qui avaient organisé une “baignade pro-burkini” ont subi un torrent de protestations les obligeant à faire profil bas.

    Le journal socialiste Le Télégramme, ouvertement favorable aux islamistes, s’en émeut (source) :

    Relayée lundi dans nos colonnes et chez nos confrères des médias presse, télé et radio régionaux [La presse d’État pro-musulmane, NDLR], l’opération « Douarnkini » a suscité un raz de marée de réactions, donnant un écho démesuré à ce qui ne se voulait qu’un pied de nez un peu potache.

    « Je me doutais bien que les grincheux habituels allaient réagir. Je ne suis pas naïve mais un tel déferlement, j’avoue que je ne l’avais pas imaginé », commentait, lundi, Monique Prévost, responsable du Planning familial, à l’origine de ce rassemblement sur la plage des Dames, dimanche après-midi. Une opération imaginée la veille, lors de la soirée de clôture du Festival de cinéma. « Notre idée – nous baigner en jupes longues, foulards ou combinaisons de plongée – ce n’était surtout pas de défendre le burkini. Au contraire ! C’était un pied de nez pour dénoncer ce débat grotesque qui a tout de même conduit des élus à prendre des arrêtés et le Conseil d’État à trancher. À nos yeux, c’est un sujet ridicule, dont on a trop parlé au lieu de s’intéresser aux vrais problèmes ».

    Pour décrypter brièvement la phraséologie de l’organe de désinformation qu’est le journal socialiste Le Télégramme, nous résumerons : une poignée de gauchistes sexagénaires – frappés d’autisme et passablement saouls – ont, samedi soir, décidé de se livrer à une énième provocation “antifasciste” au profit des islamistes.

    Organisée par quelques vieilles biques ménopausées du planning familial – jadis adepte du droit des femmes à se libérer du “patriarcat” blanc et catholique – celles-ci ont trempé leur graisse flageolante devant des photographes de la presse d’État, présents pour l’occasion.

    Pensant marquer des points, c’est au contraire à un torrent de rage que se sont exposés les provocateurs d’extrême-gauche et les plumitifs complices de l’opération. Il ne fait pas de doute que si la foule avait été présente, la vingtaine d’anarcho-communistes précitée aurait été lynchée physiquement et probablement noyée.

    Une leçon à retirer

    Ce que les archéo-marxistes de Bretagne n’ont pas encore compris, c’est que le degré d’exaspération face à l’invasion migratoire et à l’islam radical a atteint un niveau qu’ils ne soupçonnent même pas.

    Se solidariser publiquement de l’islam comme de l’immigration afro-islamique, c’est faire le choix de s’opposer aux masses autochtones. Et s’exposer dès à présent à des conséquences dévastatrices dont nos ennemis vont devoir progressivement faire l’expérience.

    Source Breiz Atao cliquez ici

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Grand Remplacement : la France menacée sur tous les fronts

    En ces jours de rentrée, un nouvel article est proposé par Clairefontaine : des cahiers d’écriture arabe.

    La communauté musulmane en France compterait entre 6 et 9 millions d’individus. Mais en 2014 déjà, selon un sondage Ipsos, les Français estimaient en moyenne la proportion de musulmans dans la population totale à 31 %. Et pas seulement en Seine-Saint-Denis ou dans certains quartiers de Lyon ou de Marseille.

    On pourrait déduire de cette surestimation colossale que les Français sont d’affreux racistes. On peut aussi se demander si cette perception erronée de la réalité ne provient pas de la multiplication de faits objectifs qui donnent aux Français l’impression qu’ils ne seront bientôt plus chez eux en France.

    Sans parler des attentats islamistes et autres crimes et délits en tous genres, les Français subissent quotidiennement des incivilités intolérables, qui vont de la musique arabe et des voitures poussées à fond à l’insulte raciste anti-français. Certains membres de la communauté musulmane crachent violemment, parfois au sens propre, leur mépris et leur haine de la France. Des Français ont dû déménager pour retrouver un peu de paix. Récemment, la chaîne ZDF diffusait un reportage sur des Allemands qui vont jusqu’à fuir leur pays pour échapper à l’invasion migratoire. À quand notre tour d’émigrer ? La politique migratoire de la France n’est, après tout, pas très éloignée de celle d’Angela Merkel.

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  • Il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane

    Jean-Marie Le Pen compte investir près de 60 candidats aux prochaines élections législatives. Les marques "Front National Libre" et "Front National Français" auraient même d'ores et déjà été déposées. Comment évaluer le potentiel de nuisance d'une telle décision ? Bruno Larebière explique surAtlantico :

    "[...] A ma connaissance, la constitution en association de "Front National Libre" n’est encore qu’au stade de projet, et, de toute façon, l’agenda judiciaire lui impose d’attendre encore un peu. Car pour l’heure, Jean-Marie Le Pen, exclu du FN en août 2015, se considère toujours membre du Front national et même toujours président d’honneur du FN. Or ce n’est que début octobre que sera plaidée sur le fond, devant le tribunal de grande instance de Nanterre, la contestation de son exclusion. Les dépôts de marque à l’Inpi ayant été effectués par un tiers, il peut toujours arguer qu’il n’y est pour rien. En revanche, il ne peut pas ne pas apparaître dans la nouvelle structure associative. Disons qu’il a anticipé par procuration sur un jugement qui lui serait défavorable mais il ne peut pas encore aller jusqu’au bout, sauf à offrir un argument juridique à la partie adverse.

    Ce "Front National Libre" est le prolongement des Comités Jeanne (ou comités Jeanne au secours selon l’intitulé officiel déposé à l’Inpi). Jean-Marie Le Pen est un politique mais c’est aussi un communicant. Il sait très bien que les Comités Jeanne, ça ne dit rien à personne, tandis que "Front National Libre" atteindrait rapidement un taux de notoriété important. Il est d’ailleurs vraisemblable que la direction du Front national ne manquerait pas de lui intenter un procès pour parasitage de marque.

    Ce "Front national Libre" – ou tout autre intitulé que Jean-Marie Le Pen déciderait de lui substituer – n’entend pas être un parti politique au sens classique. Jean-Marie Le Pen a bien précisé qu’il n’entendait pas mener "une action de développement national". Ce sera un peu comme une franchise, que Jean-Marie Le Pen accordera selon son bon vouloir à des candidats qui pourront s’en prévaloir pour les élections législatives de 2017. Mais comme l’a précisé Jean-Marie Le Pen, "investir, cela ne veut pas dire présenter des candidats", du moins pas nécessairement. Investir, c’est soutenir. Investir, c’est autoriser le candidat à se réclamer de la formation qui lui a accordé son investiture.

    [...] Cette annonce d’une "franchise Le Pen" pour les législatives de l’an prochain est à rapprocher de la volonté du Parti de la France (PDF) de Carl Lang, ancien secrétaire général du FN, de présenter des candidats à ce scrutin, ainsi que je vous l’avais indiqué en mai dernier, avec l’espoir d’atteindre les critères requis pour bénéficier du financement public : obtenir 1 % des suffrages dans au moins 50 circonscriptions. Il est probable que les candidats du PDF bénéficieront de ce label, qui peut les aider à obtenir de meilleurs résultats qu’aux législatives de 2012. A l’époque déjà, une soixantaine de candidats issus du PDF, du MNR et de la Nouvelle Droite populaire s’étaient présentés aux législatives, regroupés sous un intitulé commun et éphémère, à vocation purement électorale, Union de la droite nationale, et seuls une vingtaine d’entre eux avaient dépassé les 1 %.

    Je ne vois personne pouvant "sérieusement concurrencer" un candidat FN, mais cela ne veut pas dire que des candidats labellisés par Jean-Marie Le Pen seront dépourvus de tout pouvoir de nuisance. Je vais vous donner un exemple.

    Aux législatives, se qualifient pour le second tour les candidats ayant recueilli 12,5 % des suffrages des électeurs inscrits – ou, à défaut, les deux candidats arrivés en tête, quel que soit leur score. En 2012, dans la 6e circonscription de Moselle, Florian Philippot avait obtenu 26,34 % des voix au premier tour, mais il ne s’était qualifié pour le second tour que parce qu’il était arrivé deuxième (juste devant le candidat UMP, avec 25,02 %). Ses 26,34 % ne représentaient que 12,40 % des électeurs inscrits ! Or, à ce scrutin, il y avait un candidat dissident, soutenu par l’Union de la droite nationale, qui avait obtenu 4,09 % des voix, soit 1,92 % des électeurs inscrits ! Comme quoi de petites candidatures peuvent avoir de grands effets, mais cela, on le sait depuis la présidentielle de 2002 et les moins de 200 000 voix qui ont manqué à Lionel Jospin pour se qualifier pour le second tour du fait de la candidature de Christiane Taubira. [...]

    Dans le climat anti-islam que nous connaissons, et alors que le Front national vient de réitérer son désir que toutes les religions, y compris le christianisme, soient traitées de façon égale, au nom de la laïcité, il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane– ou, de façon positive, un traitement privilégié pour la religion chrétienne, consubstantielle à notre civilisation – et à défendre "la France éternelle", menacée de "submersion". C’est d’ailleurs ce que disait en substance Jean-Marie Le Pen ce jeudi sur LCI, en refusant d’entrer dans la polémique sur le burkini, qui n’est pour lui qu’une "petite conséquence" de l’ "immigration massive qui peut être mortelle pour notre pays". [...]"

    Il est certain qu'avec des déclarations comme celles de Florian Philippot (directeur du FNJ et membre du bureau politique du FN) ou Eric Domard (conseiller spécial de Marine Le Pen, membre du Bureau Politique du FN), qui se définit comme "laïc intransigeant- la République pour seule religion", le FN fait tout pour favoriser ses concurrents.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/il-y-a-un-espace-politique-pour-des-candidats-r%C3%A9solus-%C3%A0-r%C3%A9clamer-un-traitement-diff%C3%A9renci%C3%A9-de-la-rel.html