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islamisme - Page 312

  • Cette idéologie, ce n'est pas DAESH, ce n'est pas l'islamisme. C'est l'islam

    Drieu Godefridi, juriste, écrit dans Le Vif à propos du burkini :

    "[...]  Le problème est ailleurs, il git dans l'idéologie dont ces accoutrements ne sont que l'une des manifestations qui bourgeonnent sur le continent européen. Il est tellement plus facile de s'en prendre à un vêtement qu'à l'idéologie dont il procède !

    Car, cette idéologie, ce n'est pas DAESH, ce n'est pas l'islamisme. C'est l'islam. Trente années d'éducation contre "la discrimination", "le racisme" et ses variantes ont si bien conditionné nombre de nos intellectuels -- pour ne rien dire de nos politiques -- que le simple fait de désigner l'islam comme problème leur est inconcevable.

    En effet, nous disent-ils, l'islam est une religion. Allons-nous discriminer une religion ? Empêcher des hommes et des femmes de vivre librement leur foi ? À moins que ces velléités de discrimination ne cachent, plus grave !, une sorte de racisme latent et refoulé ?!

    Cette disposition d'esprit, que je me suis permis de qualifier de "trahison des clercs" dans un essai récent, il est facile de montrer qu'elle procède de l'ignorance.

    Car l'islam est plus qu'une religion. À l'opposé du christianisme, l'islam définit un projet politique et un droit complets, régissant tous et chacun des aspects de la vie des individus. L'islam est une doctrine, que l'esprit des Lumières, précisément, nous oblige à traiter comme toute autre doctrine, avec esprit critique et sans déférence (inutile d'y ajouter le mépris, qui aveugle le jugement).

    "Vous n'allez pas nous reservir le couplet sur l'islam opposé à l'égalité entre hommes et femmes ?" Non. Car l'incompatibilité de l'islam et de l'Occident -- en fait, de l'islam et de l'idée même de démocratie -- est plus fondamentale. L'islam définit non seulement un ensemble de normes, mais un droit qui se veut complet et immuable, car il prend sa source dans la parole d'Allah. C'est dans la complétude divine de son droit, le fiqh, que réside la différence ontologique entre islam et christianisme. On ne réforme pas la parole de Dieu, on ne discute pas la volonté de Dieu dans une assemblée médiocrement humaine telle qu'un parlement. Abroger une sourate du Coran, ce serait abroger Dieu.

    Ainsi les questions vestimentaires sont-elles remises dans une juste perspective, celle du symptôme de la diffusion, en Europe, d'une doctrine islamique radicalement opposée aux fondements de notre civilisation (ie, toute norme est questionnable et réformable).Voici la vraie question : celle de l'avenir, en Europe, de la doctrine islamique, et non de "l'islamisme", "des musulmans" ou de tel ou tel vêtement. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des lois et de leur plasticité en Hollando-Vallserie

    Bernard Plouvier

    Il y a cinq semaines, une pourriture de l’islam barbare saluait à sa façon la Fête nationale d’une France à laquelle lui et ses semblables ne songent que pour la dominer : il tuait 84 personnes et en blessait plus de cent autres.

    En, cet été de l’An 2016, sous le règne lamentable de gras Président, de son très excitable Premier ministre et d’un ministre de l’Intérieur et des Cultes au bilan impressionnant (titulaire de la médaille d’or européenne du nombre des victimes d’attentat, cela force le « respect »), l’islam révèle ses aspects médiévaux et grotesques, en lançant cette merveille dénommée burkini (après tout, si c’est pour cacher les rondeurs très adipeuses de certaines Marocaines, c’est plutôt une bonne chose). Depuis le 26 août 2016, ce machin est considéré, par les « sages du Conseil d’État », comme non-attentatoire à la Loi de 1905.

    Cette Loi avait été conçue par la racaille radicale-maçonnique de l’époque comme une arme anticatholique. Il était urgent de sourire aux omnipotents financiers juifs, furieux de la seconde condamnation d’Alfred Dreyfus, et, pour ce faire, on s’en prenait aux catholiques qui composaient alors la majorité de la population (les protestants et les juifs abritaient leur culte dans leurs temples et synagogues).

    De nos jours, avant les deux échéances électorales de 2017, il est urgentissime de baisser le pantalon et de baiser les babouches des sponsors islamo-pétroliers. De ce fait, le burkini ne contrevient pas à la Loi de laïcité… et nul doute que le voile islamique ne fasse un retour en force, les jours à venir, en écoles et en universités. Nos « chefs » laisseront faire : leur Parti en déconfiture a besoin d’énormément d’argent.

    Pourtant, ils nous bassinent, à longueur de discours démagogiques, avec Dame Égalité. Or, c’est devenu une évidence pour tous ceux qui ont des yeux et des oreilles : les fous furieux de l’islam conquérant sont passés à l’attaque depuis environ un lustre… comme c’est curieux : ça correspond à peu près au règne de gras Président ! Les musulmans ne conçoivent qu’une seule Égalité, une Liberté, une Fraternité : celles de la oumma (pour les non-initiés à la langue arabe – après tout, un Européen n’a pas obligatoirement envie de parler comme s’il vomissait - : la oumma est la communauté des fidèles de l’islam… où il y a quantité de schismes, comme chez les chrétiens).

    Pour les musulmans qui suivent très strictement leur coran – réputé avoir été dicté à l’illettré Mahomet par l’archange Gabriel -, les Français ne sont dignes de continuer à vivre en France que s’ils se convertissent à l’unique « vraie foi ». C’était bien la peine de s’être débarrassés du fanatisme chrétien pour en arriver à une telle déchéance intellectuelle et spirituelle.

    Ces individus, demeurés à la belle époque du Haut-Moyen Âge, n’ont toujours pas compris que la vie spirituelle était affaire de choix individuel. On aurait pu penser que les francs-maçons du parti qui détient les apparences du Pouvoir, si nombreux dans nos palais ministériels, dans la préfectorale et la haute magistrature, protègeraient les Français d’une résurgence de fanatisme religieux.

    C’est oublier un peu vite que la magistrature « assise » est, en fait, couchée – voire vautrée – devant la politicaille qui distribue places et décorations, que les préfets aboient comme leur maître l’ordonne et que le (très) petit monde des palais gouvernementaux – on ferait mieux de parler de « demi-monde » - vit dans la terreur de perdre les prochaines élections, faute d’argent pour financer la propagande.      

    Que pèsent, en regard de cette haute conception de l’État, les Lois de la République et la protection de la Nation ? RIEN !

    Français, si vous ne voulez pas de l’islam, il va falloir que vous le montriez clairement et fermement. Esclaves ou victorieux, c’est le choix des années à venir. Pour l’heure, les Français ne sont que le très pâle reflet de ce qu’étaient leurs ancêtres.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Burkini : Les causes profondes de l’alliance entre la gauche et l’islamisme

    Ce qui frappe le plus, vu de l’extérieur, quant à la situation française actuelle, c’est le traitement médiatique général autour de la guerre contre le monde musulman qui est désormais engagée en Europe. J’utilise volontairement les mots “islam”, “guerre” et “en Europe”.

    Négation de la guerre en cours

    Ce traitement ultra séquentiel, privé de toute profondeur historique et culturelle, aboutit à l’annonce quotidienne “d’incidents” dont l’industrie politico-médiatique cherche à cacher, précisément, l’unité spatiale et temporelle. Formulé différemment, la guerre n’est pas présentée comme telle précisément parce que chaque affrontement est décrit comme limité à lui-même.

    C’est là le but même du fameux slogan “Pas d’amalgame”. Il s’agit de convaincre les masses qu’il n’y a pas de guerre en arguant du fait que les confrontations et incidents ne sont pas liés les uns aux autres.

    Comme l’a dit à ce sujet le ministre français de la Défense, le socialiste Jean-Yves Le Drian, les djihadistes en France sont considérés comme “des criminels”. Sous-entendu, des bandits de grand chemin devant être traités comme des criminels de droit commun.

    Une telle approche reviendrait à dire qu’il n’y avait pas de guerre en mai et juin 1940 parce que “l’Allemagne” ou “l’armée allemande” ne constituait pas une totalité dirigeant les actes de chaque soldat de la Wehrmacht. Ceux-ci seraient plutôt des “criminels” agissant isolément. Des sujets indépendants. Moyennant quoi, on aurait du faire comparaître des millions de soldats allemands devant les Assises pour chacun de leurs actes.

    Subjectivisme

    Cette individualisation radicale du conflit actuel traduit une vision du monde dominante en Occident : celle d’un environnement qui est soumis à l’individu, vieux résidu de la pensée cartésienne et kantienne. La perception subjective de son milieu par un individu devient la seule échelle de mesure de la réalité.

    On comprend mieux le slogan de Mai 68, “l’imagination au pouvoir”. Littéralement. La subjectivité définissant désormais la réalité vécue, l’optimisme, la bonne volonté et la créativité sont tenues pour les piliers d’une politique pertinente.

    Cette vision du monde – rendue effective par l’anonymat de l’urbanisation, l’athéisme qui prive de toute rapport profond à la mort et au temps, l’économie de service hyper spécialisée où l’action isolée domine l’expérience sociale dans le domaine professionnel -, aboutit à cette altération profonde de la perception du réel. Cette gestion du stress par la “bulle de confort personnalisée” pourrait également s’appeler “la méthode Coué”, sans s’y limiter.

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  • Le FN demande une enquête parlementaire sur le financement de l’Islam en France

    Les députés Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard ont déposé une proposition de résolution tendant à la création d’une commission d’enquête parlementaire sur le financement de l’Islam en France et sur les conséquences liées à l’apport financier d’États tiers cherchant à implanter la pratique d’une version fondamentaliste de l’Islam en France. Exposé des motifs de cette commission :

    "Les récents attentats perpétrés sur notre territoire par des musulmans radicalisés situent l’Islam au centre des débats. Deuxième religion du pays, l’Islam connaît de graves dérives qui conduisent à s’interroger sur sa place au sein de la société française, son mode de fonctionnement, ses influences. Des réponses précises ne peuvent que mieux aider à distinguer nos compatriotes musulmans des dérives djihadistes en forte progression ces dernières années.

    Fort d’un nombre croissant de pratiquants dans notre pays, l’Islam cristallise des enjeux considérables d’ordre économique, culturel, géopolitique. En effet, de nombreux États étrangers participent activement à l’organisation du culte musulman. Plus de la moitié des imams salariés exerçant en France sont rémunérés soit par l’Algérie, le Maroc, l’Arabie Saoudite ou la Turquie. Les mosquées sont financées par des pays étrangers ou par des « mécènes » privés dont on ne connait pas les identités. L’Islam devient l’objet d’une lutte d’influence entre divers pays musulmans, au risque d’instiller une ingérence étrangère préoccupante tant pour la cohésion nationale que pour le respect du principe de laïcité. Le circuit de la viande halal, aux financements très opaques, est lui aussi source de trafics dont les fonds peuvent bénéficier à des associations culturelles et cultuelles intégristes.

    Les actuelles organisations se targuant de représenter les musulmans de France sont elles-mêmes les leviers de pression d’États étrangers. Ainsi, l’UOIF est l’obligée du Qatar tandis que la Grande Mosquée de Paris est gérée par l’État algérien. Cette infiltration étrangère dans le quotidien des musulmans de France nuit au développement de la religion musulmane en accord avec le cadre républicain et pose un sérieux problème de souveraineté nationale et d’ordre public.

    Malgré l’emprise croissante des pétromonarchies islamistes sur l’Islam en France et l’essor d’un Islam de plus en plus rétif à la loi française, aucune réforme de grande ampleur n’est engagée par le Gouvernement. C’est pourquoi il apparaît nécessaire de créer une commission d’enquête parlementaire pour faire le jour sur le financement des mosquées, des associations cultuelles et culturelles animant l’Islam dans notre pays ainsi que pour mesurer les conséquences de l’influence exercée par les États étrangers instillant une vision fondamentaliste dans l’organisation de l’Islam en France."

    Résolution :

    "En application des articles 137 et suivants du Règlement de l’Assemblée nationale, est créée une commission d’enquête de trente membres pour étudier le financement de l’Islam en France et mesurer les conséquences de son financement par des États tiers cherchant à implanter la pratique d’une version fondamentaliste de l’Islam.

    1. Elle s’attachera à mesurer l’influence des États tiers sur l’organisation et le financement de l’Islam en France et identifiera les modalités par lesquelles les États tiers exercent leurs influences sur les Musulmans de France.
    2. Elle identifiera les États tiers qui favorisent le financement des lieux de cultes, associations cultuelles et culturelles propageant une idéologie islamiste.
    3. Elle contribuera à identifier le rôle des États tiers dans l’incitation aux atteintes à la loi de 1905 et les lois de 2004 et 2010 encadrant le port de signes religieux dans les établissements scolaires et l’espace public.
    4. Elle tentera de mesurer le rôle des États tiers dans la connexion entre les mouvements terroristes et certains acteurs de l’Islam de France.
    5. Elle proposera de renforcer l’arsenal juridique afin d’empêcher le financement de lieux de culte par des États tiers.
    6. Elle proposera éventuellement des mesures pour geler les avoirs des pays tiers et de leurs ressortissants dont il est fait preuve d’un soutien logistique ou financier de mouvements terroristes agissant sur le sol français."

    Michel Janva

  • Interdiction du port d'un vêtement : selon que vous serez LMPT ou musulmane

    Pour bien comprendre comment fonctionne la justice en France, rien de mieux que deux images.

    Sur la première, un père de famille verbalisé pour le port d'un sweat :

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    Cet autre vêtement est autorisé par le Conseil d'Etat car 

    "L’arrêté litigieux a ainsi porté une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle."

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    Michel Janva

  • Une dizaine d'enseignants fichés S suspendus de l'Éducation nationale

    Rappelons le scandale de la fiche S qui concerne des gens qui n'ont à priori pas nécessairement été condamnés pour leur action. On entre ici encore en plein dans le délit d'opinion. Rappelons évidemment si il en était besoin qu'il n'y a pas que des islamistes fichés S, mais aussi des militants de la droite nationale ou de la gauche radicale, des militants de clubs de foot... Encore une fois, on est en plein dans le règne de l'arbitraire et dans la volonté de mort sociale pouvant assez rapidement se retourner -si ce n'est déjà le cas, contre tout opposant au gouvernement
    La ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem a confirmé que plusieurs agents ou professeurs avaient été suspendus « en vue d'une exclusion définitive ».
    Sur Europe 1 jeudi 25 août, la ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud Belkacem a admis que plusieurs enseignants avaient été suspendus car ils étaient fichés S. Il s'agit d'«une dizaine de cas» nous indique vendredi le ministère. «Depuis janvier 2015, nos procédures et nos méthodes de travail entre ministère de l'Éducation nationale et ministère de l'Intérieur n'ont cessé de s'améliorer» a affirmé la ministre. «Les informations nous sont automatiquement transmises par le ministère de l'Intérieur et notre réponse est simple: suspension immédiate et procédure disciplinaire engagée (…) en vue d'une exclusion définitive». «Nous mettons tout en œuvre pour que les choses se passent le mieux possible», a dit la ministre.
    Les agents de l'Éducation nationale suspendus jusqu'à présent l'ont été parce qu'ils étaient fichés S et que «des faits tangibles font penser qu'ils peuvent être dangereux pour les élèves», précise l'entourage de la ministre.
    À la question «y-a-t-il des lycéens ou des collégiens fichés S?», la ministre a répondu: «Cela peut arriver aussi». C'était le cas par exemple du beau-frère de Chérif Kouachi Mourad Hamyd, lycéen fiché S depuis 2014. «L'Éducation nationale, que ce soit parmi les élèves ou les personnels, est représentative de l'ensemble de la société. Il ne faut pas s'étonner […] s'il y a des fichés S dans la société, qu'il y en ait chez nous», a expliqué la ministre.

    600 cas de signalements

    La circulaire du 29 juillet sur les mesures de sécurité dans les écoles et établissements scolaires évoquait «le suivi des élèves et personnels dans un processus de radicalisation». «Les autorités académiques seront informées par les préfets de tout signalement» concernant un enseignant ou un agent au contact avec des élèves, «afin de prendre des mesures appropriées». Pour les élèves soupçonnés de radicalisation, Najat Vallaud-Belkacem a rappelé le chiffre de 600 signalements de la rentrée 2015 au printemps 2016, donné précédemment.
    La fiche S est une sous-catégorie du fichier des personnes recherchées qui répertorie aujourd'hui les personnes potentiellement menaçantes pour la «sûreté de l'État». Pour rappel, il y a 20.000 fichés S en France. La présence de «fichés S» dans des secteurs sensibles ou des entreprises publiques revient souvent dans l'actualité. Le Parisien avait ainsi révélé que la RATP était l'une des entreprises qui employaient le plus de fichés.
    http://www.oragesdacier.info/


    Lu ici
  • Une dizaine d'enseignants fichés S suspendus de l'Éducation nationale

    Rappelons le scandale de la fiche S qui concerne des gens qui n'ont à priori pas nécessairement été condamnés pour leur action. On entre ici encore en plein dans le délit d'opinion. Rappelons évidemment si il en était besoin qu'il n'y a pas que des islamistes fichés S, mais aussi des militants de la droite nationale ou de la gauche radicale, des militants de clubs de foot... Encore une fois, on est en plein dans le règne de l'arbitraire et dans la volonté de mort sociale pouvant assez rapidement se retourner -si ce n'est déjà le cas, contre tout opposant au gouvernement
    La ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud-Belkacem a confirmé que plusieurs agents ou professeurs avaient été suspendus « en vue d'une exclusion définitive ».
    Sur Europe 1 jeudi 25 août, la ministre de l'Éducation nationale Najat Vallaud Belkacem a admis que plusieurs enseignants avaient été suspendus car ils étaient fichés S. Il s'agit d'«une dizaine de cas» nous indique vendredi le ministère. «Depuis janvier 2015, nos procédures et nos méthodes de travail entre ministère de l'Éducation nationale et ministère de l'Intérieur n'ont cessé de s'améliorer» a affirmé la ministre. «Les informations nous sont automatiquement transmises par le ministère de l'Intérieur et notre réponse est simple: suspension immédiate et procédure disciplinaire engagée (…) en vue d'une exclusion définitive». «Nous mettons tout en œuvre pour que les choses se passent le mieux possible», a dit la ministre.
    Les agents de l'Éducation nationale suspendus jusqu'à présent l'ont été parce qu'ils étaient fichés S et que «des faits tangibles font penser qu'ils peuvent être dangereux pour les élèves», précise l'entourage de la ministre.
    À la question «y-a-t-il des lycéens ou des collégiens fichés S?», la ministre a répondu: «Cela peut arriver aussi». C'était le cas par exemple du beau-frère de Chérif Kouachi Mourad Hamyd, lycéen fiché S depuis 2014. «L'Éducation nationale, que ce soit parmi les élèves ou les personnels, est représentative de l'ensemble de la société. Il ne faut pas s'étonner […] s'il y a des fichés S dans la société, qu'il y en ait chez nous», a expliqué la ministre.

    600 cas de signalements

    La circulaire du 29 juillet sur les mesures de sécurité dans les écoles et établissements scolaires évoquait «le suivi des élèves et personnels dans un processus de radicalisation». «Les autorités académiques seront informées par les préfets de tout signalement» concernant un enseignant ou un agent au contact avec des élèves, «afin de prendre des mesures appropriées». Pour les élèves soupçonnés de radicalisation, Najat Vallaud-Belkacem a rappelé le chiffre de 600 signalements de la rentrée 2015 au printemps 2016, donné précédemment.
    La fiche S est une sous-catégorie du fichier des personnes recherchées qui répertorie aujourd'hui les personnes potentiellement menaçantes pour la «sûreté de l'État». Pour rappel, il y a 20.000 fichés S en France. La présence de «fichés S» dans des secteurs sensibles ou des entreprises publiques revient souvent dans l'actualité. Le Parisien avait ainsi révélé que la RATP était l'une des entreprises qui employaient le plus de fichés.
    http://www.oragesdacier.info/


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  • Le burkini n'est pas un problème de laïcité mais une tentative de banalisation du totalitarisme islamiste

    Catherine Kintzler, philosophe, spécialiste de la laïcité, professeur émérite de l'Université Lille-III, déclare au Figarovox :

    "Je ne suis pas juriste, mais tout le monde sait que le principe de laïcité au sens strict vaut pour ce qu'il est convenu d'appeler «la sphère publique». Par exemple, un fonctionnaire ne peut pas porter un signe religieux lorsqu'il est en fonction, un local administratif ne peut afficher aucun signe religieux, un magistrat ne peut pas invoquer un motif religieux dans ses interventions publiques. En 2004, devant les nombreux problèmes posés par des affichages très visibles et générateurs de conflits, la loi a étendu l'exigence de neutralité aux élèves de l'école publique en leur interdisant le port de signes religieux ostentatoires dans les établissements - on pourrait d'ailleurs penser à le faire à l'université dans les situations d'enseignement, comme l'avait suggéré le naguère le HCI.

    Mais dans les espaces ordinaires accessibles au public (rue, transports, etc.), l'expression des opinions est libre, dans le cadre du droit commun. Donc, je pense que le port du «burkini» sur une plage publique, pas plus que celui d'une soutane ou d'une kippa dans la rue, ne relève d'une question de laïcité: c'est une fausse question laïque. D'ailleurs en 2010, l'interdiction du port de la cagoule dans ces espaces n'est pas fondée sur la laïcité, mais sur un motif de sécurité publique. En revanche, qu'on ait affaire ici à une «fausse question laïque» ne veut pas dire que ce «burkini» ne soulève aucun problème, ni qu'il soit anecdotique.

    [...] Le port du «burkini», à l'évidence, relève du communautarisme: c'est une tentative de stigmatisation envers toutes celles qui, de confession musulmane, le refusent et refusent le port du voile, refusent l'uniformisation de leur vie. 

    [...] D'autre part, il ne suffit pas de ramener le port du «burkini» à un simple geste communautariste au sens social. Cela va bien plus loin et touche le domaine politique: un jalon s'ajoute à tous ceux posés par une version ultra-réactionnaire et totalitaire de l'islam politique depuis une quarantaine d'années. La forte coïncidence chronologique avec les attentats tragiques de ces derniers mois - et tout particulièrement le massacre du 14 juillet à Nice - le situe comme une provocation politique. Laurence Rossignol a raison de parler d'un «étendard»: on est bien au-delà du moment d'expression religieuse! Ce qui compte ici n'est pas un événement isolé, mais la série, sa continuité et sa cohérence. Une fois de plus, dans un contexte aggravé, on a affaire à une tentative de banalisation du totalitarisme islamiste. Ce «burkini» est très récent, personne ne s'y trompe - on se demande même ce que les islamo-totalitaires vont encore inventer pour pourrir la vie des gens. [...]"

    Michel Janva

  • Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam

    « Vivre ensemble » : telle est l’ardente obligation que la propagande officielle veut imposer aux Français ! Discours politiques et associatifs, chartes d’entreprise, (dés)informations médiatiques, séries télévisées, films, publicités : tout doit y concourir, tout y concourt !

    « Vivre ensemble », c’est l’injonction politiquement correcte pour faire accepter aux Français de vivre dans une société multiraciale et multiculturelle.

    Seulement voilà : le « vivre-ensemble » avec l’islam est impossible. Pour une raison simple : le « vivre-ensemble » exige la réciprocité dans les relations (le don/le contre-don) et l’islam ignore la réciprocité.

    Ainsi, si vous invitez un pieux musulman chez vous il sera courtois de ne pas lui proposer du cochon et de l’alcool. Mais si vous êtes invité chez lui vous n’aurez pas d’autre solution que de manger halal.

    Lorsqu’une union rapproche un homme et une femme de confessions différentes, chacun peut garder sa religion ou l’un ou l’une adopter la religion de l’autre. Mais un non-musulman qui veut épouser une musulmane doit se convertir au préalable, tout comme la non-musulmane qui voudrait épouser un musulman. Avec l’islam la conversion est toujours à sens unique. Tout comme l’instruction religieuse des enfants. C’est l’islam qui impose sa loi !

    Il en va de même pour la vêture des femmes : l’Européen individualiste et tolérant sera tenté d’accepter, au nom des libertés individuelles, le voile islamique, la burka et le burkini, sans voir que le voile islamique rabaisse au statut de proies les femmes habillées plus légèrement. Le voile et la minijupe ne sont pas compatibles, comme on le voit dans les quartiers islamisés. Le burkini et le bikini ne sont pas davantage compatibles, comme on l’a vu sur les plages corses. Tolérer l’expansion des mœurs musulmanes c’est, à terme, renoncer à notre mode de vie. L’Orient musulman et l’univers européen s’opposent radicalement sur la conception des rapports hommes/femmes comme sur la représentation de la figure ou du corps humain.

    Dans une société urbaine policée chacun se préoccupe du bien-être de son environnement. Il est d’usage, quand on organise une fête amicale ou familiale, de prévenir son voisinage et de limiter le bruit produit tant dans l’intensité que dans la durée. Mais un maire qui a voulu rappeler ces règles de bon sens (et de droit sur le tapage nocturne) lors du ramadan s’est vu accusé d’ « islamophobie ». Le carême catholique est un choix individuel qui ne s’impose pas aux autres ; le ramadan est une fête collective que chacun doit pratiquer ou subir pendant un long mois lunaire.

    Le crime de Saint-Etienne-du-Rouvray est emblématique des relations entre l’islam et le catholicisme. Dans un esprit œcuménique le bon curé avait proposé un terrain à côté de l’église pour construire une mosquée. Démographie et ardeur militante ont fait le reste : Saint-Etienne-du-Rouvray est devenue une commune à majorité musulmane, terre d’islam, en quelque sorte, d’où il est logique, comme en Orient musulman, d’évincer les catholiques : l’égorgement du prêtre par des terroristes de l’Etat Islamique n’est rien d’autre que la traduction symbolique de ce constat.

    Encore une fois l’islam ignore la réciprocité : le Coran reconnaît la terre d’islam où la loi islamique (la charia) doit d’appliquer, et la terre de la guerre où le « djihad », sous une forme ou sous une autre, doit être mis en œuvre. Le Coran enseigne le combat contre les autres religions, non le respect mutuel.

    En conflit partout dans le monde – contre les chrétiens, les bouddhistes, les hindouistes, les païens, les animistes – l’islam ignore l’œcuménisme, la tolérance et le dialogue avec les autres.

    Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam. La résistance est la seule alternative à la soumission.

    Vivent les Corses !

    Jean-Yves Le Gallou, 18/08/2016

    Nota bene :
    Il est possible que certains organismes parasitaires subventionnés ou financés par Soros trouvent matière à poursuivre cet article. Il est possible que des parquetiers serviles les suivent. Qu’ils sachent qu’ils ne seraient pas déçus du voyage !

    http://www.polemia.com/il-ny-a-pas-de-vivre-ensemble-possible-avec-lislam/