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islamisme - Page 315

  • "Burkini", Tremblay-en-France : Les réseaux occultes de l'islamisme

  • Une « victoire » claironnée

    Qui osera dire, un jour : «Je ne savais pas» ?

     

    Kamel Kabtane est recteur de la mosquée de Lyon. En d’autres termes, il est le personnage le plus important de l’islam dans la deuxième ville française, un homme de poids dans sa communauté. À la suite de l’arrêt du Conseil d’État dont tout le monde parle, il n’a pas pu s’empêcher de plastronner : il appelle les musulmans à être « fiers de la France et de son État de droit ». La décision de la haute juridiction administrative apporte « un démenti cinglant pour ceux qui affirment que l’islam n’a aucune place en France, en Europe, en Occident ». Et de conclure : « L’islam a toute sa place dans la République et il a droit aujourd’hui au cadre juridique dans lequel s’exerce la liberté de conscience du musulman, qu’il prie dans cette mosquée ou qu’il se baigne dans la mer. »

    Décryptons.

    D’abord, si monsieur le recteur était un adepte forcené, car intéressé, du « vivrensemble », attitude que prônent avec régularité ceux qui souhaitent que les rapports s’apaisent, il aurait choisi la modération, la pondération, la « discrétion » chère à Jean-Pierre Chevènement. Au lieu de cela, il claque des bretelles, il klaxonne, il s’époumone, il hurle « victoire ».

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  • Décision du Conseil d’Etat sur le burkini : la laïcité ne suffit pas pour protéger l’identité française de l’islamisation

    Par une décision du juge des référés du 26 août 2016, le Conseil d’Etat a suspendu l’arrêté du maire de Villeneuve-Loubet qui interdisait du 15 juin au 15 septembre, sur les plages de la commune, « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes mœurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité des baignades adaptées au domaine public maritime » et « le port de vêtements, pendant la baignade, ayant une connotation contraire aux principes mentionnés ci-avant ».

    Le Conseil d’Etat a jugé que le maire, aux fins de maintenir l’ordre dans sa commune, ne pouvait édicter des restrictions aux libertés qu’en cas de « risques avérés d’atteinte à l’ordre public ». Or la formation collégiale de trois juges a estimé que l’interdiction du port de tenues de baignade qui manifestent de manière ostensible une appartenance religieuse portait une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle, sans que la commune de Villeneuve-Loubet ne justifie que le port de burkinis ait effectivement causé des risques d’atteinte à l’ordre public. Le principe de laïcité, pas plus que les inquiétudes que pourraient faire naître la présence de personnes en burkini dans le contexte post-attentats, sont insuffisants pour justifier l’interdiction. Selon le Conseil d’Etat, le port de burkinis ne serait pas non plus contraire à l’hygiène ni à la décence.

    Les juges ont donc donné raison à la Ligue des droits de l’homme, qui mettait en avant la liberté religieuse, tant des musulmans que d’autres confessions, et à l’organisation islamique qu’est le collectif contre l’islamophobie en France, qui se plaignait de la discrimination à l’égard des musulmans et du fait que l’arrêté entérinerait le « racisme » et la « xénophobie » des habitants de la commune.

    En l’absence de réglementation nationale régissant le port du burkini, la tâche des juges était certes difficile. Mais relevons quelques points :

    1) L’ordonnance du Conseil d’Etat dénie aux maires le droit et même le devoir de prendre des mesures de police préventive, destinées à éviter que n’apparaissent des troubles à l’ordre public. Les juges étaient moins regardants dans l’affaire Dieudonné, où ils ont présumé que l’organisation d’un spectacle de l’humoriste troublerait certainement l’ordre public.

    2) Pour le Conseil d’Etat, le burkini ne pourrait être interdit que s’il était avéré qu’il déclenche des troubles à l’ordre public, telle une rixe. C’est reconnaître que le port de ce voile islamiste est parfaitement légitime en France ; qu’il ne constitue pas la manifestation du prosélytisme d’une religion qui dénie aux femmes la liberté de se vêtir légèrement sur la plage. C’est croire que le port du burkini est l’usage d’une liberté individuelle alors qu’il s’agit de l’observance du système juridique concurrent au nôtre qu’est la charia. Que dira demain le Conseil d’Etat quand un maire prendra un arrêté anti-bikini sous prétexte que l’apparition d’une femme en bikini sur une plage peuplée de femmes en burkinis déclenchera un risque – qui sera sûrement avéré – d’agression ? Les juges ont accrédité l’idée que la femme en burkini serait la victime alors qu’elle participe de la menace qui pèse sur nos libertés individuelles.

    3) La décision du Conseil d’Etat a été prise par un collège de trois juges certes éminents, dont le président de la section du contentieux du Conseil, mais ne comportant aucune femme, ce qui est étonnant au vu de l’objet et de l’enjeu de l’affaire. Par ailleurs, l’un des membres de la formation de jugement, qui a laissé entendre à l’audience que l’arrêté n’était pas justifié par un risque avéré d’atteinte à l’ordre public, est un immigrationniste convaincu et militant. Thiery Tuot, qui appelle par ailleurs à remplacer le concept d’intégration par celui de société inclusive et estime que les cultures d’origine des populations immigrées doivent pouvoir s’exprimer, au point de revenir sur les « outrances » de la laïcité telle la neutralité religieuse des cimetières municipaux (*), a trouvé dans le burkini matière à donner corps à ses engagements en faveur du communautarisme musulman.

    Le burkini est un défi à l’identité française. La réponse à ce défi nécessitera davantage que des arrêtés municipaux. Dans l’immédiat, sauf pour la population à troubler l’ordre public en présence de burkinis de manière à justifier des arrêtés d’interdiction, la décision du Conseil d’Etat invite le législateur à prendre ses responsabilités. Mais, plus fondamentalement, les opposants au burkini doivent cesser de se voiler la face en espérant concilier immigration musulmane massive et liberté de la femme : la laïcité républicaine n’est pas un rempart suffisant pour s’opposer à l’islamisation.

    Carl Hubert, 26/08/2016

    (*) Cf. Thierry Tuot, La Grande Nation/ Pour une société inclusive, rapport au premier ministre sur la refondation des politiques d’intégration, 1er février 2013.

    http://www.polemia.com/decision-du-conseil-detat-sur-le-burkini-la-laicite-ne-suffit-pas-pour-proteger-lidentite-francaise-de-lislamisation/

  • Les Loups Gris laminent Da’ech !

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    « Törküyem Gelmis
    Dayes Gaçcmistir
    Allah Törk Esgeri Gorusun »

    « Ma Turquie est arrivée,
    Da’ech à fui,

    Que Dieu soit le témoin de ses Turcs libres ».

    Une photo, ornée du slogan ci-dessus, vient de faire le tour du monde en illustration de la via factis que vient d’effectuer la Turquie d’Erdoğan sur la République arabe syrienne (RAS).

    Entendons frémir le cœur des salopes germanopratines s’indigner du peu de cas fait des gentils membres de l’opposition modérée syrienne (sic) supposés avoir arraché de haute lutte ces lambeaux de terre syrienne aux gros vilains d’Al-Dawla al Islāmiyya fi al-Irāq wa al-Chām(DA’ECH)1, et aux à peine plus fréquentables – c’est selon la saison et l’humeur (variable, à l’évidence) des chancelleries – combattants kurdes des Yekîneyên Parastina Gel (YPG)2.

    La preuve nous disent nos catins effarouchées : contemplez le visage mâle et buriné par les ans de cet aimable combattant de l’opposition modérée syrienne.

    À cela près que l’homme dont la photo est en train de faire le tour du monde, n’est, en l’espèce :

    1- ni opposant,
    2- ni modéré,
    3- ni encore moins syrien !

    Or, quelques éléments sont à prendre en compte :

    1- le treillis, type BDU centre -Europe est similaire à celui de la Türk Silahli Kuvvetleri (TSK)3.
    2- la chasuble de combat que l’homme porte est la copie conforme de celles développées pour la TSK, telles que répandues dans les années 80 et 90.

    Bon, tout se copie, se détourne ou se pille en cet Orient compliqué qui nous occupe l’esprit.

    Ce qui, en revanche, se copie beaucoup moins, ou plutôt pas du tout, est le signe de reconnaissance des Boz Kürtlar4 que notre homme esquisse de sa main libre5.

    En usage au sein des Boz Kürtlar ou repris par les groupies (hommes et femmes) duMilliyetçi Hareket Partisi (MHP)6, y compris dans les boites de nuit ou les restaurants branchés des rives du Bosphore, il permet aux membres et sympathisants du MHP de se reconnaître en tous lieux et en toutes circonstances.

    Ce geste symbolise la tête de loup qui est l’animal éponyme des nationalistes-identitaires pantouraniens qui constituent le socle du MHP.

    Un peu à la manière ou le salut romain était celui des Arditi des Corps francs et des Chemises noires de Mussolini, ce geste n’a aucune chance d’être repris par quelqu’un qui ne partage pas la doctrine idéaliste du MHP et de ceux qui s’en réclament. À peu près comme si vous demandiez à un membres des Brigades internationales de la Guerre d’Espagne de lever le bras au lieu du poing serré !

    À l’évidence, ce sont bien des Boz Kürtlar qui, parmi d’autres, font le travail de troupes au sol permettant à Erdoğan, de concrétiser ses visées territoriales sur la Syrie voisine.

    Notes

    [1] Ou ÉIIL pour Émirat islamique en Irak & au Levant.
    [2] Unités de protection du peuple.
    [3] Armée de terre turque.
    [4] Loups gris.
    [5] L’autre tenant un AK47 de facture classique.
    [6] Parti d’action nationale, nationaliste et pantouranien.

    http://www.voxnr.com/1080/loups-gris-laminent-daech

  • Rudy Salles, adjoint au maire de Nice, veut interdire la présence des prêtres et des religieuses sur les plages

    Ce fait a été relevé par Daniel Hamiche dans l’Observatoire de la Christianophobie.

    Rudy Salles, adjoint au maire de Nice, chargé du tourisme, et député UDI des Alpes Maritime, a fait des déclarations inacceptables au journaliste anglais Edward Stourton surBBC Radio 4 dans un direct diffusé le 25 août. Partisan de l’interdiction du Burkini non seulement comme tenue de bain mais comme tenue de plage, Rudy Salles a été interpellé par Edward Stourton :

    – Et pour les religieuses ? Seraient-elles autorisées à être sur la plage revêtues de leur habit ?

    – Non, c’est la même chose.

    Cette réponse très claires a deux avantages :

    • elle montre que la laïcité républicaine, qu’elle soit dite de droite ou de gauche, est nécessairement anti-chrétienne, et sous couvert de lutter contre l’islamisme, la république maçonnique en profite pour détruire un peu plus la religion chrétienne, destruction qu’elle a commencé en 1989 par ses massacres de masse.
    • elle permet de rappeler que si le burkini doit être interdit c’est parce qu’il est un vêtement signe de conquête musulmane. Ce qui est chrétien en France a droit de cité, ce qui relève de l’Islam doit être limité voir interdit. Il est nécessaire pour cela de sortir de cette loi de 1905 qui fait de l’Etat un Etat neutre : l’Etat ne peut plus être neutre, il doit être chrétien et défendre l’identité chrétienne de la France.

    Et aussi, cela permet de rappeler à cette Eglise conciliaire que l’habit religieux est une nécessité apostolique et de visibilité sociale. Et en la matière, la révolution conciliaire a réussi là où la laïcité avait échoué : faire disparaître du paysage l’habit religieux catholique.

    http://www.medias-presse.info/rudy-salles-adjoint-au-maire-de-nice-veut-interdire-la-presence-des-pretres-et-des-religieuses-sur-les-plages/60188

  • LE PRIX DE LA LÂCHETÉ

    Les Allemands payent, lourdement, le prix du sang. Dont la responsable s’appelle Merkel. Merkel et sa folie idéologique, suicidaire pour le peuple allemand. Mais cette fille de pasteur, employée longtemps par la Stasi avant de s’acheter un passeport d’honorabilité en passant au service des chrétiens-démocrates, ces larbins du Vatican et de la Maison Blanche, n’a que faire du peuple allemand. Qui doit expier pour tous les péchés qu’il a commis, comme le dit l’enseignement de la Bible. Mais il faut, paraît-il, aimer ses ennemis, si l’on en croit les chrétiens. Et ceux-ci doivent ouvrir grands leurs bras à leurs frères musulmans, car l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. En a fait l’expérience le malheureux prêtre catholique égorgé le mardi 26 juillet, au cri de « Allah Akbar », alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Normandie. Il avait 86 ans. Bel exploit de ses courageux assassins. Le pape exprime « sa douleur ». Pauvre type. S’il était digne de sa fonction il appellerait à la croisade. Mais il préfère se joindre au chœur des lamentations, qui fait bien rire les fous d’Allah. Tandis que les « autorités musulmanes » dûment estampillées par la République française versent des larmes de crocodile. En serrant quand même un peu les fesses : des fois que les Gaulois finiraient par se réveiller et par appliquer la loi du talion… Mais il faudrait, pour cela, qu’ils s’émancipent de la chape de plomb du politiquement correct, mise en œuvre par les autorités officielles et les media aux ordres. Hollande découvre la lune et déclare, effaré, qu’on est en guerre. Bien.

    Alors il faut faire la guerre. La vraie. Celle qui frappe sans faiblesse, sans hésitation. Mais pour cela il faut avoir quelque chose dans le ventre – et plus bas. Les occidentaux payent leur lâcheté et leur bêtise. Tant pis pour eux. Mais la colère monte contre les incapables et les traîtres censés protéger la population. Aux Européens qui méritent encore ce nom de savoir ce qu’ils ont à faire. En envoyant se faire pendre les pleurnicheurs et les donneurs de leçon de morale.

    Pierre VIAL

    http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1431-le-prix-de-la-lachete.html

  • Daesh-Gate : le dossier Clinton prend forme

    La réorganisation de la campagne de Trump autour des rebellesBreitbart News et Stephen Bannon semble articuler trois messages afin que David puisse gagner contre Goliath.

    Dans le premier message, les Clinton sont corrompus. C’est le travail du récent livre devenu film Clinton Cash, de Peter Schweizer, qui décrit la fondation Clinton comme un État dans l’État, créé à la fois pour financer un gouvernement en attente (sous couvert de minuscules activités caritatives)… et pour enrichir les Clinton comme leurs amis en vendant des faveurs. Au point que le Boston Globe, le Washington Post et, maintenant, USA Today demandent aux Clinton de « fermer » la fondation, dans un contexte où l’agence AP (Associated Press) vient de produire une enquête décrivant une troublante symbiose entre la fondation Clinton et le secrétariat d’État, contrairement à l’engagement de démarcation des frontières signé par Hillary à la demande d’Obama, lors de sa prise de fonction. Ce message de corruption n’est cependant que « de l’histoire ancienne » pour la plupart des électeurs, qui pensent que la vielle dame est victime de harcèlement.

    Survient un deuxième message, plus facile à saisir, qui renforce le premier : les Clinton sont vendus aux islamistes. C’est un message, neuf, qui prend du poids, et de deux façons.

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  • Cette idéologie, ce n'est pas DAESH, ce n'est pas l'islamisme. C'est l'islam

    Drieu Godefridi, juriste, écrit dans Le Vif à propos du burkini :

    "[...]  Le problème est ailleurs, il git dans l'idéologie dont ces accoutrements ne sont que l'une des manifestations qui bourgeonnent sur le continent européen. Il est tellement plus facile de s'en prendre à un vêtement qu'à l'idéologie dont il procède !

    Car, cette idéologie, ce n'est pas DAESH, ce n'est pas l'islamisme. C'est l'islam. Trente années d'éducation contre "la discrimination", "le racisme" et ses variantes ont si bien conditionné nombre de nos intellectuels -- pour ne rien dire de nos politiques -- que le simple fait de désigner l'islam comme problème leur est inconcevable.

    En effet, nous disent-ils, l'islam est une religion. Allons-nous discriminer une religion ? Empêcher des hommes et des femmes de vivre librement leur foi ? À moins que ces velléités de discrimination ne cachent, plus grave !, une sorte de racisme latent et refoulé ?!

    Cette disposition d'esprit, que je me suis permis de qualifier de "trahison des clercs" dans un essai récent, il est facile de montrer qu'elle procède de l'ignorance.

    Car l'islam est plus qu'une religion. À l'opposé du christianisme, l'islam définit un projet politique et un droit complets, régissant tous et chacun des aspects de la vie des individus. L'islam est une doctrine, que l'esprit des Lumières, précisément, nous oblige à traiter comme toute autre doctrine, avec esprit critique et sans déférence (inutile d'y ajouter le mépris, qui aveugle le jugement).

    "Vous n'allez pas nous reservir le couplet sur l'islam opposé à l'égalité entre hommes et femmes ?" Non. Car l'incompatibilité de l'islam et de l'Occident -- en fait, de l'islam et de l'idée même de démocratie -- est plus fondamentale. L'islam définit non seulement un ensemble de normes, mais un droit qui se veut complet et immuable, car il prend sa source dans la parole d'Allah. C'est dans la complétude divine de son droit, le fiqh, que réside la différence ontologique entre islam et christianisme. On ne réforme pas la parole de Dieu, on ne discute pas la volonté de Dieu dans une assemblée médiocrement humaine telle qu'un parlement. Abroger une sourate du Coran, ce serait abroger Dieu.

    Ainsi les questions vestimentaires sont-elles remises dans une juste perspective, celle du symptôme de la diffusion, en Europe, d'une doctrine islamique radicalement opposée aux fondements de notre civilisation (ie, toute norme est questionnable et réformable).Voici la vraie question : celle de l'avenir, en Europe, de la doctrine islamique, et non de "l'islamisme", "des musulmans" ou de tel ou tel vêtement. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Des lois et de leur plasticité en Hollando-Vallserie

    Bernard Plouvier

    Il y a cinq semaines, une pourriture de l’islam barbare saluait à sa façon la Fête nationale d’une France à laquelle lui et ses semblables ne songent que pour la dominer : il tuait 84 personnes et en blessait plus de cent autres.

    En, cet été de l’An 2016, sous le règne lamentable de gras Président, de son très excitable Premier ministre et d’un ministre de l’Intérieur et des Cultes au bilan impressionnant (titulaire de la médaille d’or européenne du nombre des victimes d’attentat, cela force le « respect »), l’islam révèle ses aspects médiévaux et grotesques, en lançant cette merveille dénommée burkini (après tout, si c’est pour cacher les rondeurs très adipeuses de certaines Marocaines, c’est plutôt une bonne chose). Depuis le 26 août 2016, ce machin est considéré, par les « sages du Conseil d’État », comme non-attentatoire à la Loi de 1905.

    Cette Loi avait été conçue par la racaille radicale-maçonnique de l’époque comme une arme anticatholique. Il était urgent de sourire aux omnipotents financiers juifs, furieux de la seconde condamnation d’Alfred Dreyfus, et, pour ce faire, on s’en prenait aux catholiques qui composaient alors la majorité de la population (les protestants et les juifs abritaient leur culte dans leurs temples et synagogues).

    De nos jours, avant les deux échéances électorales de 2017, il est urgentissime de baisser le pantalon et de baiser les babouches des sponsors islamo-pétroliers. De ce fait, le burkini ne contrevient pas à la Loi de laïcité… et nul doute que le voile islamique ne fasse un retour en force, les jours à venir, en écoles et en universités. Nos « chefs » laisseront faire : leur Parti en déconfiture a besoin d’énormément d’argent.

    Pourtant, ils nous bassinent, à longueur de discours démagogiques, avec Dame Égalité. Or, c’est devenu une évidence pour tous ceux qui ont des yeux et des oreilles : les fous furieux de l’islam conquérant sont passés à l’attaque depuis environ un lustre… comme c’est curieux : ça correspond à peu près au règne de gras Président ! Les musulmans ne conçoivent qu’une seule Égalité, une Liberté, une Fraternité : celles de la oumma (pour les non-initiés à la langue arabe – après tout, un Européen n’a pas obligatoirement envie de parler comme s’il vomissait - : la oumma est la communauté des fidèles de l’islam… où il y a quantité de schismes, comme chez les chrétiens).

    Pour les musulmans qui suivent très strictement leur coran – réputé avoir été dicté à l’illettré Mahomet par l’archange Gabriel -, les Français ne sont dignes de continuer à vivre en France que s’ils se convertissent à l’unique « vraie foi ». C’était bien la peine de s’être débarrassés du fanatisme chrétien pour en arriver à une telle déchéance intellectuelle et spirituelle.

    Ces individus, demeurés à la belle époque du Haut-Moyen Âge, n’ont toujours pas compris que la vie spirituelle était affaire de choix individuel. On aurait pu penser que les francs-maçons du parti qui détient les apparences du Pouvoir, si nombreux dans nos palais ministériels, dans la préfectorale et la haute magistrature, protègeraient les Français d’une résurgence de fanatisme religieux.

    C’est oublier un peu vite que la magistrature « assise » est, en fait, couchée – voire vautrée – devant la politicaille qui distribue places et décorations, que les préfets aboient comme leur maître l’ordonne et que le (très) petit monde des palais gouvernementaux – on ferait mieux de parler de « demi-monde » - vit dans la terreur de perdre les prochaines élections, faute d’argent pour financer la propagande.      

    Que pèsent, en regard de cette haute conception de l’État, les Lois de la République et la protection de la Nation ? RIEN !

    Français, si vous ne voulez pas de l’islam, il va falloir que vous le montriez clairement et fermement. Esclaves ou victorieux, c’est le choix des années à venir. Pour l’heure, les Français ne sont que le très pâle reflet de ce qu’étaient leurs ancêtres.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Burkini : Les causes profondes de l’alliance entre la gauche et l’islamisme

    Ce qui frappe le plus, vu de l’extérieur, quant à la situation française actuelle, c’est le traitement médiatique général autour de la guerre contre le monde musulman qui est désormais engagée en Europe. J’utilise volontairement les mots “islam”, “guerre” et “en Europe”.

    Négation de la guerre en cours

    Ce traitement ultra séquentiel, privé de toute profondeur historique et culturelle, aboutit à l’annonce quotidienne “d’incidents” dont l’industrie politico-médiatique cherche à cacher, précisément, l’unité spatiale et temporelle. Formulé différemment, la guerre n’est pas présentée comme telle précisément parce que chaque affrontement est décrit comme limité à lui-même.

    C’est là le but même du fameux slogan “Pas d’amalgame”. Il s’agit de convaincre les masses qu’il n’y a pas de guerre en arguant du fait que les confrontations et incidents ne sont pas liés les uns aux autres.

    Comme l’a dit à ce sujet le ministre français de la Défense, le socialiste Jean-Yves Le Drian, les djihadistes en France sont considérés comme “des criminels”. Sous-entendu, des bandits de grand chemin devant être traités comme des criminels de droit commun.

    Une telle approche reviendrait à dire qu’il n’y avait pas de guerre en mai et juin 1940 parce que “l’Allemagne” ou “l’armée allemande” ne constituait pas une totalité dirigeant les actes de chaque soldat de la Wehrmacht. Ceux-ci seraient plutôt des “criminels” agissant isolément. Des sujets indépendants. Moyennant quoi, on aurait du faire comparaître des millions de soldats allemands devant les Assises pour chacun de leurs actes.

    Subjectivisme

    Cette individualisation radicale du conflit actuel traduit une vision du monde dominante en Occident : celle d’un environnement qui est soumis à l’individu, vieux résidu de la pensée cartésienne et kantienne. La perception subjective de son milieu par un individu devient la seule échelle de mesure de la réalité.

    On comprend mieux le slogan de Mai 68, “l’imagination au pouvoir”. Littéralement. La subjectivité définissant désormais la réalité vécue, l’optimisme, la bonne volonté et la créativité sont tenues pour les piliers d’une politique pertinente.

    Cette vision du monde – rendue effective par l’anonymat de l’urbanisation, l’athéisme qui prive de toute rapport profond à la mort et au temps, l’économie de service hyper spécialisée où l’action isolée domine l’expérience sociale dans le domaine professionnel -, aboutit à cette altération profonde de la perception du réel. Cette gestion du stress par la “bulle de confort personnalisée” pourrait également s’appeler “la méthode Coué”, sans s’y limiter.

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