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islamisme - Page 310

  • Douarnenez : Les organisateurs de la baignade “pro-burkini” croulent sous la rage populaire

    Les organisateurs du festival du cinéma de Douarnenez, proches de l’extrême-gauche, qui avaient organisé une “baignade pro-burkini” ont subi un torrent de protestations les obligeant à faire profil bas.

    Le journal socialiste Le Télégramme, ouvertement favorable aux islamistes, s’en émeut (source) :

    Relayée lundi dans nos colonnes et chez nos confrères des médias presse, télé et radio régionaux [La presse d’État pro-musulmane, NDLR], l’opération « Douarnkini » a suscité un raz de marée de réactions, donnant un écho démesuré à ce qui ne se voulait qu’un pied de nez un peu potache.

    « Je me doutais bien que les grincheux habituels allaient réagir. Je ne suis pas naïve mais un tel déferlement, j’avoue que je ne l’avais pas imaginé », commentait, lundi, Monique Prévost, responsable du Planning familial, à l’origine de ce rassemblement sur la plage des Dames, dimanche après-midi. Une opération imaginée la veille, lors de la soirée de clôture du Festival de cinéma. « Notre idée – nous baigner en jupes longues, foulards ou combinaisons de plongée – ce n’était surtout pas de défendre le burkini. Au contraire ! C’était un pied de nez pour dénoncer ce débat grotesque qui a tout de même conduit des élus à prendre des arrêtés et le Conseil d’État à trancher. À nos yeux, c’est un sujet ridicule, dont on a trop parlé au lieu de s’intéresser aux vrais problèmes ».

    Pour décrypter brièvement la phraséologie de l’organe de désinformation qu’est le journal socialiste Le Télégramme, nous résumerons : une poignée de gauchistes sexagénaires – frappés d’autisme et passablement saouls – ont, samedi soir, décidé de se livrer à une énième provocation “antifasciste” au profit des islamistes.

    Organisée par quelques vieilles biques ménopausées du planning familial – jadis adepte du droit des femmes à se libérer du “patriarcat” blanc et catholique – celles-ci ont trempé leur graisse flageolante devant des photographes de la presse d’État, présents pour l’occasion.

    Pensant marquer des points, c’est au contraire à un torrent de rage que se sont exposés les provocateurs d’extrême-gauche et les plumitifs complices de l’opération. Il ne fait pas de doute que si la foule avait été présente, la vingtaine d’anarcho-communistes précitée aurait été lynchée physiquement et probablement noyée.

    Une leçon à retirer

    Ce que les archéo-marxistes de Bretagne n’ont pas encore compris, c’est que le degré d’exaspération face à l’invasion migratoire et à l’islam radical a atteint un niveau qu’ils ne soupçonnent même pas.

    Se solidariser publiquement de l’islam comme de l’immigration afro-islamique, c’est faire le choix de s’opposer aux masses autochtones. Et s’exposer dès à présent à des conséquences dévastatrices dont nos ennemis vont devoir progressivement faire l’expérience.

    Source Breiz Atao cliquez ici

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  • Grand Remplacement : la France menacée sur tous les fronts

    En ces jours de rentrée, un nouvel article est proposé par Clairefontaine : des cahiers d’écriture arabe.

    La communauté musulmane en France compterait entre 6 et 9 millions d’individus. Mais en 2014 déjà, selon un sondage Ipsos, les Français estimaient en moyenne la proportion de musulmans dans la population totale à 31 %. Et pas seulement en Seine-Saint-Denis ou dans certains quartiers de Lyon ou de Marseille.

    On pourrait déduire de cette surestimation colossale que les Français sont d’affreux racistes. On peut aussi se demander si cette perception erronée de la réalité ne provient pas de la multiplication de faits objectifs qui donnent aux Français l’impression qu’ils ne seront bientôt plus chez eux en France.

    Sans parler des attentats islamistes et autres crimes et délits en tous genres, les Français subissent quotidiennement des incivilités intolérables, qui vont de la musique arabe et des voitures poussées à fond à l’insulte raciste anti-français. Certains membres de la communauté musulmane crachent violemment, parfois au sens propre, leur mépris et leur haine de la France. Des Français ont dû déménager pour retrouver un peu de paix. Récemment, la chaîne ZDF diffusait un reportage sur des Allemands qui vont jusqu’à fuir leur pays pour échapper à l’invasion migratoire. À quand notre tour d’émigrer ? La politique migratoire de la France n’est, après tout, pas très éloignée de celle d’Angela Merkel.

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  • Il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane

    Jean-Marie Le Pen compte investir près de 60 candidats aux prochaines élections législatives. Les marques "Front National Libre" et "Front National Français" auraient même d'ores et déjà été déposées. Comment évaluer le potentiel de nuisance d'une telle décision ? Bruno Larebière explique surAtlantico :

    "[...] A ma connaissance, la constitution en association de "Front National Libre" n’est encore qu’au stade de projet, et, de toute façon, l’agenda judiciaire lui impose d’attendre encore un peu. Car pour l’heure, Jean-Marie Le Pen, exclu du FN en août 2015, se considère toujours membre du Front national et même toujours président d’honneur du FN. Or ce n’est que début octobre que sera plaidée sur le fond, devant le tribunal de grande instance de Nanterre, la contestation de son exclusion. Les dépôts de marque à l’Inpi ayant été effectués par un tiers, il peut toujours arguer qu’il n’y est pour rien. En revanche, il ne peut pas ne pas apparaître dans la nouvelle structure associative. Disons qu’il a anticipé par procuration sur un jugement qui lui serait défavorable mais il ne peut pas encore aller jusqu’au bout, sauf à offrir un argument juridique à la partie adverse.

    Ce "Front National Libre" est le prolongement des Comités Jeanne (ou comités Jeanne au secours selon l’intitulé officiel déposé à l’Inpi). Jean-Marie Le Pen est un politique mais c’est aussi un communicant. Il sait très bien que les Comités Jeanne, ça ne dit rien à personne, tandis que "Front National Libre" atteindrait rapidement un taux de notoriété important. Il est d’ailleurs vraisemblable que la direction du Front national ne manquerait pas de lui intenter un procès pour parasitage de marque.

    Ce "Front national Libre" – ou tout autre intitulé que Jean-Marie Le Pen déciderait de lui substituer – n’entend pas être un parti politique au sens classique. Jean-Marie Le Pen a bien précisé qu’il n’entendait pas mener "une action de développement national". Ce sera un peu comme une franchise, que Jean-Marie Le Pen accordera selon son bon vouloir à des candidats qui pourront s’en prévaloir pour les élections législatives de 2017. Mais comme l’a précisé Jean-Marie Le Pen, "investir, cela ne veut pas dire présenter des candidats", du moins pas nécessairement. Investir, c’est soutenir. Investir, c’est autoriser le candidat à se réclamer de la formation qui lui a accordé son investiture.

    [...] Cette annonce d’une "franchise Le Pen" pour les législatives de l’an prochain est à rapprocher de la volonté du Parti de la France (PDF) de Carl Lang, ancien secrétaire général du FN, de présenter des candidats à ce scrutin, ainsi que je vous l’avais indiqué en mai dernier, avec l’espoir d’atteindre les critères requis pour bénéficier du financement public : obtenir 1 % des suffrages dans au moins 50 circonscriptions. Il est probable que les candidats du PDF bénéficieront de ce label, qui peut les aider à obtenir de meilleurs résultats qu’aux législatives de 2012. A l’époque déjà, une soixantaine de candidats issus du PDF, du MNR et de la Nouvelle Droite populaire s’étaient présentés aux législatives, regroupés sous un intitulé commun et éphémère, à vocation purement électorale, Union de la droite nationale, et seuls une vingtaine d’entre eux avaient dépassé les 1 %.

    Je ne vois personne pouvant "sérieusement concurrencer" un candidat FN, mais cela ne veut pas dire que des candidats labellisés par Jean-Marie Le Pen seront dépourvus de tout pouvoir de nuisance. Je vais vous donner un exemple.

    Aux législatives, se qualifient pour le second tour les candidats ayant recueilli 12,5 % des suffrages des électeurs inscrits – ou, à défaut, les deux candidats arrivés en tête, quel que soit leur score. En 2012, dans la 6e circonscription de Moselle, Florian Philippot avait obtenu 26,34 % des voix au premier tour, mais il ne s’était qualifié pour le second tour que parce qu’il était arrivé deuxième (juste devant le candidat UMP, avec 25,02 %). Ses 26,34 % ne représentaient que 12,40 % des électeurs inscrits ! Or, à ce scrutin, il y avait un candidat dissident, soutenu par l’Union de la droite nationale, qui avait obtenu 4,09 % des voix, soit 1,92 % des électeurs inscrits ! Comme quoi de petites candidatures peuvent avoir de grands effets, mais cela, on le sait depuis la présidentielle de 2002 et les moins de 200 000 voix qui ont manqué à Lionel Jospin pour se qualifier pour le second tour du fait de la candidature de Christiane Taubira. [...]

    Dans le climat anti-islam que nous connaissons, et alors que le Front national vient de réitérer son désir que toutes les religions, y compris le christianisme, soient traitées de façon égale, au nom de la laïcité, il y a un espace politique pour des candidats résolus à réclamer un traitement différencié de la religion musulmane– ou, de façon positive, un traitement privilégié pour la religion chrétienne, consubstantielle à notre civilisation – et à défendre "la France éternelle", menacée de "submersion". C’est d’ailleurs ce que disait en substance Jean-Marie Le Pen ce jeudi sur LCI, en refusant d’entrer dans la polémique sur le burkini, qui n’est pour lui qu’une "petite conséquence" de l’ "immigration massive qui peut être mortelle pour notre pays". [...]"

    Il est certain qu'avec des déclarations comme celles de Florian Philippot (directeur du FNJ et membre du bureau politique du FN) ou Eric Domard (conseiller spécial de Marine Le Pen, membre du Bureau Politique du FN), qui se définit comme "laïc intransigeant- la République pour seule religion", le FN fait tout pour favoriser ses concurrents.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/il-y-a-un-espace-politique-pour-des-candidats-r%C3%A9solus-%C3%A0-r%C3%A9clamer-un-traitement-diff%C3%A9renci%C3%A9-de-la-rel.html

  • L’actuelle diversion des socialistes aux abois : l’affaire du burkini...

    Bernard Plouvier

    En quatre années et demie de pseudo-exercice du Pouvoir par l’équipe de notre vénéré Président, les Français ont entendu énormément de sottises, énoncées sur un ton doctoral ou démagogique, mais - en cet été de l’An 2016, où un assassin issu de l’islam djihadiste a tué plus de 80 personnes et ruiné la vie de plus de cent blessés, sans compter celle des proches des victimes – le ténébreux Cazeneuve vient de dépasser ce que, dans le Canard enchaîné, l’on nomme le « mur du son de la connerie ».

    Selon notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes (médaille d’or de l’inefficacité face au terrorisme islamique : respect !), une « loi sur l’interdiction du burkini serait illégale, parce qu’anticonstitutionnelle ». Elle serait surtout ridicule, traitant l’énorme problème de l’islam en France par le tout petit bout de la lorgnette… d’autant qu’ôter de la vue des Européens les bourrelets adipeux de certaines musulmanes est plutôt une mesure esthétique qu’une manifestation d’ostentation cultuelle.

    Reportons-nous donc à ce texte que devrait connaître parfaitement tout ministre de la Ve République française : la Constitution du 4 octobre 1958.

    Dans l’article 2 du Titre premier, il est écrit : « La France est une République indivisible, laïque et démocratique »… ça commence mal pour les agités de la propagande islamique. La République « respecte toutes les croyances », mais « dans la stricte égalité de tous, sans distinction devant la loi ». Autrement dit : pas de particularisme religieux ou sectaire (qu’il soit islamique ou maçonnique), d’autant que la Loi de 1905, séparant l’État de tous les cultes et qui est toujours en vigueur, exige une stricte neutralité publique en matière religieuse, sans ostentation provocatrice (qu’elle soit chrétienne, juive, musulmane, maçonnique, etc.).

    Il est évident que nos très honorables compatriotes appartenant à la communauté juive (dont certains membres ont tant fait pour favoriser, puis accroître l’immigration africaine) feraient bien de réfléchir longuement avant d’arborer une kippa dans certains quartiers ou dans certaines rues de ce qui n’est plus une terre de liberté et tranquillité : la France. Il est des erreurs stratégiques, voire des vengeances qui se paient très cher.

    L’article 3 de ce même Titre premier spécifie : « Aucune section du peuple ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté »… autrement dit, pas de Diktat (comme l’on dit en allemand) d’origine communautaire ou sectaire. L’islamo-pétrodollar est extrêmement puissant, mais la Constitution de 1958 se moque éperdument de son pouvoir corrupteur.

    Ce n’est pas tout, loin de là ! Dans son Préambule, la Constitution de 1958 se recommande des célébrissimes Droits de l’homme, « tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789,… confirmée et complétée par le Préambule de la Constitution de 1946 ».

    Or ce texte du 27 octobre 1946 est dépourvu de la moindre ambiguïté, même pour les amateurs de finasseries juridiques : « La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme ».

    Enfin, il est bon de rappeler qu’à partir de la IIe République (soit depuis l’An 1848), l’esclavage est interdit sur l’ensemble des territoires administrés par l’État français.

    La conclusion s’impose d’elle-même. On se moque du burkini, incident mineur et grotesque de cette année pré-électorale, diversion pitoyable des politiciens qui font semblant de nous gouverner et des meneurs, plus ou moins légitimes, de la multitude des mahométans installés sur le sol français. Le problème de fond est infiniment plus grave.

    Prônant ouvertement l’inégalité des droits entre les sexes et la pratique de l’esclavage, le coran et ses commentaires (les hadîths) sont anticonstitutionnels.   

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Au lendemain du carnage à Nice et de l'égorgement d'un prêtre, l'affichage identitaire musulman est indécente

    Jean-Louis Harouel, professeur émérite d'Histoire du Droit à l'Université Paris Panthéon-Assas, qui vient de publier Les Droits de l'homme contre le peuple, déclare au Figarovox :

    "[...] Le Conseil d'État s'est abstenu de prendre en compte le fait quela population était choquée de voir s'exhiber les burkinis sur les plages alors que de terribles massacres venaient d'être commis en France par des musulmans au nom de leur Dieu. Au lendemain du carnage de la promenade de Nice et de l'égorgement d'un prêtre dans l'exercice de son ministère, toute montée en puissance de l'affichage identitaire musulman en France est proprement indécente.

    Le Conseil d'État s'est abstenu de prendre en compte le fait qu'est actuellement en cours une conquête silencieuse de l'Europe occidentale. Cette conquête est inscrite dans le Coran où l'on peut lire qu'Allah a promis aux musulmans de leur donner en butin la terre des infidèles. Cette conquête est parfois avouée par certains dignitaires musulmans. C'est ainsi que le cheikh Yousouf al Quaradawi, l'un des dirigeants de l'UOIE (Union des organisations islamiques européennes) — dont la branche française est l'UOIF (Union des organisations islamiques françaises) — avait déclaré: «Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques, nous vous dominerons».

    Le Conseil d'État s'est abstenu de voir que la conquête de nos plages par les burkinis n'est qu'une étape de l'appropriation de la France par l'islam politique. Le Conseil d'État s'est gardé de voir que les porteuses de burkini — de même que les porteuses de toute autre forme de voile islamique — sont les militantes convaincues ou dociles d'un djihadisme civilisationnel en train d'opérer la conquête feutrée de notre pays. [...]"

    Michel Janva

  • L’intervention turque en Syrie annoncerait-elle un nouveau bouleversement dans les alliances ? Analyse

    Les excuses d’Erdogan à la Russie suite à l’affaire de l’avion russe abattu ont entrainé un nouveau rapprochement des deux pays qui a des incidences très importantes en Syrie et une fois de plus Poutine apparaît comme le maître du jeu moyen-oriental tandis que Washington est embourbé dans ses contradictions.
    Lorsque l’armée turque a franchi la frontière syrienne peu après la réconciliation Poutine/Erdogan qui a eu lieu à Saint-Pétersbourg le 9 août, on pouvait se demander ce que cette armée allait faire en Syrie et quels seraient ses objectifs puisque Erdogan soutenait il y a peu encore l’État islamique ainsi que tous les groupes islamistes, notamment ceux qui sont officiellement alliés de la coalition américaine.  Il est vrai que l’armée turque a pénétré en territoire syrien suite, également, à des attentats très meurtriers sur le sol de la Turquie, revendiqués par le PKK, branche politique de l’armée kurde en Syrie.
    Il semble bien, même si cela n’a été reconnu par aucune des deux parties, qu’une entente soit intervenue entre Poutine et Erdogan sur la Syrie à Saint-Petersbourg, il suffit de prendre connaissance de la déclaration courroucée de Washington aujourd’hui pour s’en convaincre :
    Les affrontements entre la Turquie et les forces arabo-kurdes soutenues par les États-Unis en Syrie sont « inacceptables », a annoncé le Pentagone américain, appelant toutes les parties à « cesser » les combats.

    « Nous suivons de près les informations faisant état de combats (…) entre les forces armées turques, des groupes de l’opposition (pro-Ankara, ndlr) et des unités affiliées aux Forces syriennes démocratiques (FDS) », « Nous voulons préciser que ces combats sont inacceptables et suscitent notre profonde inquiétude », a annoncé le quartier général du département américain de la Défense dans un communiqué obtenu par l’AFP lundi, il  se référait aux FDS, une alliance antidjihadiste soutenue par les Américains et dominée par les Kurdes mais qui comprend également des combattants arabes. Rapporte la Radio-Télévision Suisse.

    Brett McGurk a ajouté: « Les FDS ont montré qu’elles étaient une force fiable et compétente. Notre soutien aux FDS dans leur lutte contre le groupe EI est toujours d’actualité, et nous allons continuer à les appuyer. Ils se sont battus et se sont sacrifiés pour essayer de débarrasser la Syrie de ce groupe haineux », a encore souligné le Pentagone.« Les États-Unis ne sont pas impliqués dans ces activités (…) nous ne les soutenons pas », a-t-il affirmé, avant d’appeler les différentes parties « à prendre des mesures appropriées pour cesser les combats. »

    Opération Bouclier de l’Euphrate

    En effet les lignes de combats ont explosé la semaine dernière avec l’entrée de l’armée turque sur le territoire syrien du nord où se battent les Kurdes et l’Armée de Libération Démocratique, cette dernière étant une nouvelle émanation des USA et s’ajoute aux autres groupes islamistes prétendument modérés soutenus par les États-Unis. L’armée turque dispose actuellement d’une cinquantaine de chars et de centaines de soldats sur le sol syrien. Or les troupes turques se battent contre les alliés Kurdes et arabes des Américains et déclare avoir pénétré sur le sol syrien pour combattre à la fois l’ État islamique (EI) et les forces autonomistes kurdes. Mais comme rien n’est simple dans cette histoire les troupes de l’ Armée Syrienne Libre (ASL) ont fait alliance contre les Kurdes et l’Etat islamique dans le cadre de l’opération Bouclier de l’Euphrate des Forces armées turques. La formation Armée Syrienne Libre a été le premier allié des Occidentaux contre Bachar el-Assad. Mais la Turquie n’a pas dans son viseur, du moins actuellement, les troupes syriennes loyalistes, car s’en prendre aux troupes gouvernementales syriennes serait s’en prendre à la Russie et cela entrainerait immédiatement, pour le moins, les effets désastreux que l’avion russe abattu avait eu et qu’Erdogan a eu tant de mal à se faire pardonner.
  • Le choix de l’ennemi ne doit pas forcément être le nôtre

    Bernard Plouvier

    Dans une Guerre, il est fort dangereux de ne pas fixer son but essentiel. De 1914 à 1918, les Européens ont avancé à l’aveuglette, changeant constamment de « buts de guerre », et ce des deux côtés. Au combat, il est nécessaire de ne pas se tromper de cible.

    Depuis la fin des années 1980 (où ils n’avaient que l’expression « putain de ta race » à la bouche), nos envahisseurs ont déclenché une guérilla, en France et dans de nombreux pays européens où l’opinion publique était aveulie par la propagande tiers-mondiste au point d’importer en masse ces « travailleurs » exotiques qui devaient « payer les retraites des Européens » vieillissants, alors qu’il aurait été plus intelligent d’assurer le renouvellement autochtone de la population du continent.

    Le combat de l’immigration-invasion était alors mené pour assurer le triomphe de la race africaine, dans toutes ses variantes. Et l’on pariait sur la différence des courbes de natalité entre Européennes de souche et Africaines, noires et maghrébines, pour obtenir la domination politique et sociale au bout de deux générations.

    Or, Noirs et Maghrébins ne s’entendaient guère et, assez vite, la fraction la plus évoluée des immigrées a modifié son comportement matrimonial. Avec ou sans l’accord du seigneur et maître, nombre d’Africaines ont adopté la contraception hormonale (qui n’est pas sans risques, lorsqu’il existe une obésité ou un tabagisme).

    En outre, les sauvageons de l’immigration étaient pressés : ils ne voulaient pas attendre la substitution de population majoritaire pour s’assurer la domination dans les grandes cités où leur médiocrité les faisait végéter. Il existait toutefois une faille dans cette pratique : les actes criminels n’étaient pas réellement punis (du moins en France), mais la violence stupide écartait une majorité d’immigrés de la guérilla. Il fallait trouver autre chose - un mythe fondateur - pour justifier le passage à la guerre ouverte.

    Les théoriciens tentèrent de changer de registre, pour souder ces innombrables Noirs, Maghrébins et Proche-Orientaux que l’État français, par bêtise, veulerie ou corruption de ses « chefs », accueillait en énorme quantité (idem en Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne etc.). Depuis les années 2010, grâce en partie aux stupidités made in USA et à la rouerie du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama, c’est désormais pour le triomphe de l’islam que s’agitent les immigrés.

    C’est une motivation parfaitement adaptée au fanatisme de sujets primaires. Elle peut, en outre, être présentée comme un noble objectif aux sujets moralement exigeants. Elle sert surtout de reconversion aux voyous de banlieue sans perspective d’avenir et d’agent fédérateur de communautés qui, jusqu’alors, se haïssaient autant que les peuples européens se sont haïs jusqu’au début des années 1950.

    Il serait stupide de ne pas comprendre le jeu de nos ennemis, qui sont des roublards d’exception, et de les suivre dans leur apparent délire religieux. La guerre déclenchée en Europe occidentale et scandinave est une guerre de races, une guerre traditionnelle pour la domination de terres d’expansion démographique et de conquêtes des richesses d’autrui. Les peuples danubiens, longtemps soumis à l’immonde tyrannie turque, l’ont parfaitement compris, contrairement aux Occidentaux et aux Scandinaves moralement avachis.

    Les Européens doivent défendre leur continent, leur civilisation, leur race face aux envahisseurs. C’est une évidence. Mais la notion de foi ne doit intervenir que de façon individuelle ; non comme motivation, mais comme aide spirituelle pour celles et ceux qui ne peuvent se passer de téléfinalité et d’assurance-vie éternelle.

    Il ne doit en aucun cas s’agir d’une croisade des chrétiens contre les mahométans… pour un athée, il n’existe pas plus d’allah que toute autre essence supérieure : appelons les fous furieux d’entre nos ennemis de façon juste, soit des fanatiques, intoxiqués par les textes du sieur Mahomet.

    Il ne peut s’agir d’un retour à une religiosité de type médiéval, où tous les États d’Europe étaient officiellement « chrétiens », ce qui permettait aux souverains de se réclamer d’un droit divin. L’histoire réelle de cet « Âge des Ténèbres » (l’expression « Dark ages » est classique dans la littérature britannique) prouve que les maîtres des sociétés utilisaient la religion pour asservir ou justifier des mesures fort peu « chrétiennes ». Seuls des saints se mettaient au service de la foi – et de façon rarement raisonnable. Or, le saint, à toute époque et en tout continent, a toujours été l’exception.

    Combattons pour notre civilisation européenne et notre race. C’est un assez bel objectif en soi.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/08/29/le-choix-de-l-ennemi-ne-doit-pas-forcement-etre-le-notre-5841200.html

  • Bernard Antony : "C'est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger"

    Extrait de la réaction de Bernard Antony à propos du burkini :

    "(...) L’affaire du burkini islamique, ignominieusement donc réservé aux seules femmes, aura en fait déplacé la question fondamentale qui est celle de l’expansion de l’islam en France et dans toute l’Europe occidentale et hélas encore dans bien d’autres pays. Avec Mohamed-Christophe et autres convertis au Christ venus de l’islam, nous n’avons cessé de le rappeler, c’est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger.

    Elle ne cesse de progresser avec la mortelle dialectique de « l’islam mains rouges » et de « l’islam patte blanche », ce dernier se présentant comme la pacifique alternative à l’abomination de l’islam jihâdiste. Et elle avance avec le piège pour les gogos ignorants du « pas d’amalgame » massivement matraqué par les médias, les politiciens et tant de religieux, diversement à la fois trompeurs et trompés, tous aux cerveaux plus ou moins lessivés par la constante instillation de l’idéologie de l’antiracisme. 

    Le burkini est au moins un révélateur. Les analphabètes politico-médiatiques de la réalité de l’islam, le présentent comme un signe religieux. Combien de fois faudra-t-il redire et répéter que l’islam n’est pas principalement une religion mais un totalitarisme politico-religieux culturel et moral ? Sa visibilité n’est pas pour l’heure le pire danger mais au contraire un avertisseur de sa rapide avancée qu’il faudrait coûte que coûte conjurer. 

    Car dès que l’islam, sans attendre d’être majoritaire, devient une forte minorité alors l’histoire enseigne que très vite, il impose sa domination, l‘avancée de la charia et la soumission à la dhimmitude pour « les gens du livre ».Or justement, tout le problème de l’islam réside dans ses livres, le Coran et les hadîths, qui ne sont ni des livres de paix ni de tolérance mais la source de l’exemplarité cruelle du prophète. Nous aurons hélas l’occasion d’en reparler."

    Philippe Carhon

  • Le parti de Geert Wilders veut désislamiser les Pays-Bas

    Geert Wilders, le président du Parti de la Liberté, n'est visiblement pas un adepte du vivre-ensemble et encore moins du politiquement correct. Il ne considère pas l'islam comme une simple religion mais comme "un totalitarisme politique"  :

    "Le parti néerlandais d'extrême droite PVV, en tête des sondages pour les législatives de mars 2017, veut "fermer toutes les mosquées" et "interdire le Coran", selon son programme électoral publié jeudi par son président, le député Geert Wilders.

    "Toutes les mosquées et écoles musulmanes fermées, interdiction du Coran", indique, sans plus de détails, le document d'une page intitulé "Projet - Programme électoral PVV 2017-2021" publié sur le compte Twitter du député qui écrit: "les Pays-Bas à nouveau à nous".

    Le parti pour la liberté (PVV) souhaite "désislamiser" le pays, annonce-t-il, notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile ainsi qu'en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie (...)

    Les sondages prédisaient l'année dernière au PVV jusqu'à 38 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du Parlement (...)"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html