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islamisme - Page 335

  • Le terrorisme a pris racine dans une immigration imposée de force

    Si c’est bien la droite qui a fait entrer en France les immigrés, c’est la gauche qui a instillé la haine entre les deux communautés

    Le terrorisme ne se confond pas avec l’islam ni avec l’immigration, mais il n’en est pas moins vrai que tous les terroristes se revendiquent de l’islam et tous sont issus, directement ou par leurs parents, de l’immigration. Qu’on le veuille ou non, l’immigration maghrébine a donc bien été le terreau sur lequel a poussé cette mauvaise graine.

    L’immigration maghrébine a débuté dans les années soixante, à l’époque où la France connaissait le plein-emploi. Notez bien que faire venir de la main-d’œuvre étrangère n’était pas une fatalité, loin de là, car selon la théorie classique, en situation de plein-emploi, les salaires doivent augmenter et, en retour, la production monter en gamme. C’est ainsi que s’explique le miracle japonais. Encore faut-il des patrons avec une mentalité d’entrepreneur et non de rentier. Or, le patronat français, sous l’impulsion des puissantes branches du bâtiment et de la construction automobile, a préféré forcer la main des hommes politiques pour faire venir du bled une main-d’œuvre qui présentait à la fois l’avantage d’être docile et dépolitisée. Pour certains économistes, cette stratégie à courte vue est à la base du lent déclin de compétitivité de toute l’industrie française. À l’époque, la question de demander leur avis (sur l’immigration) aux Français ne se posait même pas. Ils y étaient si résolument hostiles que, pour isoler ces nouveaux venus de la population française, on avait créé les fameux foyers SONACOTRAL (avec un L, pour Algériens).

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  • Être minoritaires en terre d’islam : entretien avec la photographe Katharine Cooper

  • Attentat de Nice : déclaration de Marine Le Pen (16 juillet 2016)

  • A propos de l’attentat de Nice

    Un bon communiqué du mouvement nationalisteRenouveau français :

    « COMMUNIQUÉ SUITE À L’ATTENTAT DE NICE :
    ENGAGEZ-VOUS !

    L’odieuse attaque islamiste de Nice signe définitivement la fin du rêve cosmopolite en France.

    Chacun sait ou sent que ce n’est qu’un début et que notre pays est entré dans une nouvelle ère, de peur et de mort.

    Et ce n’est pas de la faute de « déséquilibrés » épars, comme veulent nous le faire croire honteusement les gros médias. Ce n’est même pas, en dernier ressort, de la faute de l’État islamique.

    Cette situation catastrophique est bien sûr due à l’immigration massive, de peuplement, de remplacement, que notre pays subit depuis des décennies et qui engendre un flot continuel d’agressions, de meurtres antifrançais, de viols, de déprédations en tout genre, et désormais, de plus en plus fréquemment, de massacres.

    L’état de la France va devenir comparable à celui du Liban ou de l’Irak, à moins d’un sursaut vigoureux et d’une remise en cause radicale de la politique française.

    Cette évidence ne sera naturellement pas énoncée par les médias et les politiciens du Système.
    Et c’est logique, puisque ces derniers sont responsables des tragédies récentes, en cours et à venir.

    Les hommes et les idéologies qui ont mené la France à ce degré de décadence et de fragilité ne seront évidemment pas en mesure de nous offrir un avenir meilleur.

    Suite aux attaques du Bataclan et de Nice, que proposent-ils d’ailleurs ?
    Pas grand chose, si ce n’est une restriction toujours plus grande des libertés des Français, une répression des mouvements de résistance nationale, une surveillance généralisée de la population, des moments d’émotion collective hypocrites et vains comme tout le monde a pu le constater. Rien qui ne touche au cœur du problème.

    Le Premier ministre Manuel Valls déclarait lui-même au Figaro l’année dernière : « il faut s’habituer à vivre avec le terrorisme ». Les Niçois peuvent lui dire merci aujourd’hui.
    Voilà où nous en sommes, voilà où nous a menés le Régime.

    Alors que le Système nous pousse à la résignation et à la docilité, les Français qui refusent les perspectives de déshonneur et de mort pour notre pays n’ont pas le choix : ils doivent s’engager pour que changent les institutions, les hommes, les mentalités, les valeurs qui incarnent la politique française.

    Le combat crucial qui se présente aux Français n’est pas qu’un combat contre le terrorisme islamique. C’est d’abord un combat contre le Régime, contre l’individualisme, contre la résignation, contre le politiquement correct distillé par les médias.
    C’est un combat dont l’enjeu est beaucoup plus vaste que la lutte contre un terrorisme qui n’est qu’une tragique conséquence.
    L’enjeu est de nous assurer un avenir de paix, de dignité, où la civilisation et l’identité françaises seront rétablies et défendues.

    Engagez-vous !

    Thibaut de Chassey
    Directeur national du RF »

    http://www.contre-info.com/a-propos-de-lattentat-de-nice#more-42446

  • Attentat de Nice : L'heure est venue d'éliminer l'islam en Europe

  • Nice, 14 juillet 2016. L’attentat parfait ?

    A l’heure où ces lignes sont écrites, le bilan n’est que provisoire. A 03H00 du matin, le 15 juillet, nous en sommes à environ 77 tués (NDLR: 84 personnes à 'heure de la publication).

    Cette attaque sauvage et, il faut le dire, efficace, soulève plusieurs interrogations (terroristes impliqués, préparation logistique de l’attentat etc). L’enquête apportera son lot de réponses.

    Néanmoins des constations à chaud peuvent être faites. Des constations lourdes de sens et qui révèlent à la fois l’intelligence tactique (ce qui se passe dans le cadre de l’action, sur le terrain) et stratégique (ce qui se passe à un niveau plus global) des combattants du jihad.

    Le choix de la date

    Il s’agit de la constatation la plus évidente. C’est au soir de la fête nationale que l’attentat s’est déroulé. Ce choix est loin d’être anodin et révèle beaucoup sur l’intelligence stratégique de nos ennemis.

    C’est d’autres endroits, présentant de fortes similitudes avec le lieu visé (foule compact, cadre festif), qui auraient pu être visés lors de l’Euro de football. Or rien de majeur ne s’est déroulé à l’encontre des fans zones ou des stades. La très forte présence policière a pu dissuader. Les jihadistes ont préféré patienter et atteindre une « cible molle », et surtout bien plus forte sur le plan symbolique.

    Revenons sur le 14 juillet proprement dit.

    Beaucoup, dans les mouvances patriotiques, regardent cette date avec méfiance. Elle porte en effet une charge forte, liée à la Révolution, à la fin de la France Eternelle ou encore au terrible défilé d’allégeance face aux autorités coupables sur les Champs Elysées.

    Néanmoins ce point de vue ne concerne qu’une infime partie de la population française. Pour la majorité des citoyens de ce pays, il s’agit d’une journée estivale de fraternité, de pétarades, de bals populaires, de fierté devant les superbes uniformes des soldats et des pompiers etc. C’est la fête des forces armées et du drapeau. C’est la fête de l’Arc de Triomphe et du Soldat Inconnu. C’est la fête du soulèvement populaire et de la Marseillaise. C’est la fête de la France.

    L’immense majorité des Français se sent concernée, de près ou de loin par le 14 juillet. Nos ennemis le savent parfaitement. C’est là qu’il fallait frapper (ou dans une église, voir article précédent).

    Les raisons qui expliquent le choix d’une cible « identitaire » s’expliquent parfaitement. Le Califat, et plus largement une bonne part des salafistes, souhaitent ardemment un conflit ouvert sur le territoire européen. Ils veulent ce conflit non seulement pour vaincre et soumettre l’Europe, mais aussi et surtout pour fédérer l’ensemble du monde islamique autour de leur doctrine, qui n’est pas la encore majoritaire au sein du sunnisme.

    Leur désir profond est de voir des attentats sanglants être perpétrés contre des mosquées ou des femmes voilées par des « bons Gaulois », ce afin de radicaliser les populations musulmanes vivant en Europe et ainsi devenir le courant majoritaire dans le monde islamique (ce qu’ils sont en passe de réussir).

    La vague d’attentats que nous vivons n’est pas directement un acte de conquête (la conquête se fait par les maternités) mais plutôt une tentative de provocation.

     Le choix du lieu

    Nice, Promenade des Anglais, le 14 juillet après le feu d’artifice. Vous avez la certitude de trouver des dizaines de milliers de personnes assemblées en foule compacte.

    Une cible évidente pour un 14 juillet aurait pu être un des nombreux défilés militaires se déroulant partout dans le pays. Particulièrement celui de Paris.

    Néanmoins l’objectif étant de faire un maximum de victimes parmi les populations civiles, le choix de frapper des militaires n’allait pas de soi. La mort d’un militaire, même spectaculaire et devant les caméras, est dans une certaine mesure naturelle.

    Le choix du lieu découle de cette réflexion, tuer aveuglément des hommes, des femmes et des enfants afin de provoquer la rage féroce du peuple français. Nice, lieu où l’enracinement est marqué n’est pas non plus un choix anodin.

    Le mode opératoire

    La méthode était connue : prendre un véhicule et tracer à travers foule. Employer le véhicule comme un bélier. Le cas s’est présenté à plusieurs reprises ces deux dernières années.

    Le choix judicieux de la cible et du véhicule (un poids lourd) vient décupler l’effet. Même si des tirs sont partis du camion, l’essentiel des victimes a été tuée par l’engin motorisé.

    Le choix de l’arme a valeur de message. Message pour nous, les populations autochtones. Et message pour les jihadistes, isolés ou non, et en passe de sauter le pas.

    Avec un simple véhicule, seul et sans armes à feu (armes qui peuvent être complexes à acquérir quoiqu’on en dise), vous pouvez tuer 80 personnes sans grandes difficultés.

    Le choix d’un banal véhicule est une invitation pour d’autres projets plus ambitieux.

    Jacques Thomas pour le C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Réaction de Marine Le Pen à l’attentat de Nice

    Communiqué de Marine Le Pen

    J’adresse mes condoléances aux familles et proches des victimes de l’attentat qui a frappé Nice. Mon soutien va aussi à toutes celles et ceux, notamment aux enfants, qui, blessés ou épargnés, ont vécu l’horreur et seront durablement marqués.

    Le 14 juillet, jour de la célébration de notre patrie, de sa liberté, jour de fête pour les Français s’est transformé hier en un jour d’épouvante, d’immense affliction.

    Nous ne devons voir se succéder les attentats terroristes et compter les morts sans désormais agir.

    La guerre contre le fléau du fondamentalisme islamiste n’a pas commencé, il est urgent maintenant de la déclarer. Nous l’engagerons vraiment en mettant en place une série de mesures que j’ai déjà détaillées et sur lesquelles j’aurai l’occasion de revenir, qui visent à s’attaquer à la source du phénomène.

    A la sidération et la compassion doivent désormais s’ajouter l’action, les nécessaires mesures de prévention et de répression, et la détermination la plus totale à éradiquer le fléau du fondamentalisme islamiste. C’est ce jour la volonté profonde du peuple meurtri de France, je mettrai toute mon énergie à ce qu’elle soit entendue et les combats enfin menés.

    http://fninfos.fr/?p=38271

  • Marie-Christine Arnautu : « Christian Estrosi, comme le gouvernement, doit rendre des comptes »

    Marie-Christine Arnautu, députée européenne, présidente du groupe Front national au conseil municipal de Nice, répond aux questions de Boulevard Voltaire, après l’attentat islamiste de Nice.

    http://www.bvoltaire.fr/mariechristinearnautu/christian-estrosi-comme-le-gouvernement-doit-rendre-des-comptes,271859

  • L’attentat de Nice est l’œuvre de l’immigration, du laxisme judiciaire et de l’ambiance anti-France

    Pour comprendre l’attentat de Nice, il faut s’interroger sur son auteur, un certain Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, et il en ressort 24 heures après les faits qu’il y a trois responsables : L’immigration, le laxisme judiciaire et la haine entretenue par les migrants contre le pays hôte.

    L’immigration : Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est né le 3 janvier 1985 à M’Saken (Tunisie), est donc un immigré, sa présence en France n’est que la conséquence de la politique pro-immigration mise en œuvre depuis 40 ans. Tous les hommes politiques successifs qui l’ont encouragée ont donc une part de responsabilité dans le carnage niçois, puisque si une autre politique migratoire avait été menée, ce personnage n’aurait pas été sur le sol français. De plus, sa carte de séjour avait été obtenue le 15 janvier 2009 et n’avait pas été révoquée suite à ses démêlés judiciaires. Car, on en arrive au deuxième point, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait eu maille à partir avec la justice, ce qui ne l’a nullement inquiété pour rester en France.

    Le laxisme judiciaire. Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été condamné pour violences conjugales, menaces, vol et dégradations et, en mars dernier, pour violence avec armes contre Jean-Baptiste Xiemenes, en l’agressant à coups de batte de baseball. Selon ce dernier, qui est dépité, il devait faire 6 mois de prison, qu’il n’a évidemment pas faits. Donc si Mohamed Lahouaiej-Bouhlel avait été là où il aurait dû être -en prison-, cet attentat n’aurait pas eu lieu. Le terroriste peut dire merci au juge d’application des peines qui lui a permis de réaliser sa tache, tout comme à M. Sarkozy qui a abrogé l’expulsion des étrangers condamnés car paraît-il, cela était une double peine, et était donc discriminatoire par rapport aux Français de souche.

    La haine entretenue par les allogènes -et nullement combattue voire encouragée- contre le pays hôte. Vingt-quatre heures après les faits, il semble qu’il n’y ait pas de motivation religieuse à cet attentat : L’auteur était un piètre musulman : (Selon son cousin, il ne faisait pas ses prières, ne respectait pas le ramadan, n’allait pas à la mosquée, buvait de l’alcool et, -impensable pour un musulman- mangeait du porc). Quoiqu’il en soit, Daesh n’a, à cette heure, pas revendiqué l’attentat (l’auteur ne semble pas avoir enregistré de vidéo de mise en scène avant de commettre son forfait), il n’était pas fiché S par les services du renseignement et n’était donc pas considéré comme radicalisé. Certes, pour agir, il s’est servi des conseils de Daesh, mais, semble-t-il, uniquement comme modus operandi, nullement à des fins religieuses. Se pose alors la question du pourquoi ?
    En réalité, nombre d’immigrés s’estiment discriminés en France, encouragés en cela par le gouvernement qui ne cesse de répéter qu’il existe des discriminations voire du racisme dont ils seraient victimes, évidemment sans en apporter la moindre once de preuve. Cela crée un ressentiment chez ces allogènes qui expliquent leurs échecs non à cause des décisions qu’eux-mêmes prennent, mais à cause des supposées discriminations ou du supposé racisme. Par ailleurs, certains partis, tel le PIR (parti des indigènes de la république) utilisent ces discours officiels pour entretenir un discours raciste anti-Blanc et haineux à l’égard de la France. L’hypothèse selon laquelle Mohamed Lahouaiej Bouhlel, dont la vie n’était pas épanouie, ait pu nourrir une haine du pays hôte paraît crédible, son acte s’apparentant comme une vengeance vis à vis du pays qui l’a accueilli, mais pas rendu heureux.

    http://www.contre-info.com/lattentat-de-nice-est-loeuvre-de-limmigration-du-laxisme-judiciaire-et-de-lambiance-anti-france

  • Agressions sexuelles à Cologne : cette tragédie que l’on n’a pas voulu voir

    Six mois après les faits, la police allemande révèle que 1200 femmes ont été sexuellement agressées outre-Rhin le 31 décembre dernier. Pour Laurent Bouvet, cette tragédie collective illustre l’ampleur du déni médiatique, intellectuel et politique.

    C’est le décalage entre les témoignages directs, précis, de femmes agressées, qui ont été rapidement disponibles et le refus de traiter du sujet de certains médias qui a créé la polémique car il était possible de voir dans ce refus d’autres raisons que la précaution journalistique – précaution qui n’existe pas, notons-le au passage, sur d’autres sujets. Ces raisons étant bien évidemment liées à l’origine imputée aux agresseurs: des hommes jeunes d’origine étrangère laissant supposer qu’ils sont arabes et musulmans.

    (…)

    Ces précautions sémantiques, ce refus de dire et de montrer les choses telles qu’elle apparaissent pourtant clairement à nos concitoyens, voilà aussi une des raisons de la défiance que ceux-ci éprouvent vis-à-vis des élites et des institutions de toutes sortes.

    http://fr.novopress.info/202439/agressions-sexuelles-a-cologne-cette-tragedie-lon-na-voulu-voir/