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islamisme - Page 334

  • De renoncements en compromissions, la France devient islamique

    La France de Manuel Valls serait fin prête pour pactiser avec l’islam ? L’urgent, c’est de changer de gouvernants ! 

    « Il y a urgence à bâtir un véritable pacte avec l’islam », annonçait Manuel Valls dans une tribune du JDD.

    Urgence, mais de quelle urgence s’agit-il, quand la question de l’islam en France, puis de l’islam de France, se fait récurrente depuis les années 80 ? C’est-à-dire après 40 ans d’immigration de travail, puis de regroupement familial, et maintenant d’immigration de masse. À quelle urgence fait-il allusion, qu’à cette question capitale de la solubilité de l’islam dans un pays aux racines chrétiennes, démocratique et laïc, les élus de droite ou gauche n’ont jamais souhaité répondre honnêtement ? Pire : ils l’ont glissée régulièrement sous le tapis et se la sont lâchement refilée.

    Sous la présidence de François Mitterrand, l’islam, en 1990, devenant de moins en moins invisible et de plus en plus revendicatif, sera créé le Conseil de réflexion sur l’islam de France. Des batailles de chapelles multiples régnant au sein même de l’islam, le Conseil a tôt fait de se déliter.

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  • 120 salles de prières liées à la mouvance salafiste bientôt fermées ?

    Le ministère de l'Intérieur a listé 120 salles de prières liées à la mouvance salafiste. Des fermetures administratives sont programmées dans les jours à venir partout en France.

    Nous verrons si la jurisprudence "Ste Rita" sera mise en oeuvre avec la même efficacité...

    Michel Janva

  • Ce n'est pas le tout de s'offusquer de l'implantation de minarets, encore faudrait-il sauver nos clochers...

    Philippe Randa

    Paru dans Présent du 9 août 2016

    En été, toute la France est en vacances. Toute ? Non ! À Kerhir (Côtes d’Armor), dans le Trégor, une petite communauté d’irréductibles catholiques résiste encore et toujours à… la fatalité ! Soit à la chute, une nuit de tempête, de la cloche de la petite chapelle dédiée à Saint Nicolas.

    Datant de 1480, elle fut construite par Pierre de Trolong, époux de Peronnelle Arrel de Kermarquer : leurs armoiries, en haut du pignon de la chapelle, permet de dater très précisément l’époque de sa construction.

    La chapelle, régulièrement desservie depuis lors, exceptée lors de la Révolution française – désaffectée, puis saisie comme bien national et laissée dans un « état déplorable », elle fut remise en état par de nouveaux propriétaires et Saint Nicolas de nouveau célébré régulièrement, notamment lors des rogatons dont se souviennent les paroissiens de Trédarzec…

    Les actuels propriétaires, la famille de la Brosse, ayant fait évaluer les frais pour faire remonter la cloche, désespérait de parvenir à réunir les fonds… Mais grâce à l’initiative de Pierre Foata, bouquiniste à Tréguier, et du bâtonnier Yves Avril – sur une suggestion d’un proche voisin perrosien qui n’est autre que Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale, bien connu des lecteurs de Présent –, une « garden-chapelle » pour réunir la somme nécessaire, a été organisée sur place le dimanche 7 août, suivi d’un buffet-campagnard, particulièrement bien garni (j’en atteste !) ; la quarantaine de participants, non seulement passèrent une excellente journée, mais permirent de réunir par leurs dons la somme nécessaire, sous l’œil bienveillant du Père Guillaume, curé de Tréguier. La cloche sonnera donc à Pâques prochain, après restauration.

    Comme quoi, il n’y a pas de saison pour aider Saint Nicolas à être entendu ! Et fort bien !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Déradicalisation : tout et n’importe quoi !

    Dans Le Figaro daté du 9 août, le candidat à la présidentielle Geoffroy Didier, LR, se soucie de détecter les « radicalisés » à l’école.« De façon précoce », dit-il. On se demande si le petit garçon et la petite fille qui ne veulent pas s’échanger une Dinky Toys contre une poupée Barbie entrent dans cette précocité. On pourrait songer, aussi, à des dépistages prénataux… Si le garçon est en position de la prière, hop ! Une IVG vite fait, ni vu ni connu. Envisage-t-il même de stériliser de force tout barbu méditerranéen ou toute voilée du ciboulot ? Il faudrait lui poser la question.

    La stupidité des tests proposés par ce jeune vice-président du conseil régional d’Île-de-France interpelle sur le bon sens de ces gens. On veut« observer les comportements » – ça donnera du travail aux délateurs… Celui qui ne voudrait pas jouer au foot avec les filles serait taxé de… de quoi, au fait ? De tendance radicale ? Radical de gauche ou radicalement homosexuel ? Ah non, j’ai dû me tromper. Puis on passerait un test de radicalisation. Comme celui d’une matière islamique enseignée en Seine-Saint-Denis, ou combattue à Versailles – je ne sais pas trop.

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  • Réserve opérationnelle, garde nationale : pourquoi tout cela n'est pas sérieux

    Le colonel Michel Goya explique en quoi les annonces présidentielles ne sont pas sérieuses et ne relèvent que de la communication électoraliste :

    "Il existe fondamentalement deux approches du rôle des citoyens dans la défense de la nation. La première, reprenant la vieille équivalence tribale entre homme libre et guerrier, considère que la guerre est l’affaire de tous, au moins de ceux qui ont quelque chose à défendre. La seconde estime au contraire qu’il s’agit d’un monopole d’Etat assuré par ses services professionnels. Hormis les volontaires pour intégrer ces services, les citoyens sont démilitarisés et contribuent indirectement à la défense par le biais de l’impôt. La France relève plutôt de cette deuxième tradition (...)

    Et voilà maintenant que l’on se pose quelques questions en constatant les limites opérationnelles, sécuritaires et même sociales de ce modèle alors que nous sommes en guerre contre les organisations djihadistes. On pourrait se demander pourquoi avec un budget annuel de 31 milliards d’euros et 209 000 militaires, nous avons un impact aussi limité sur des organisations de quelques dizaines de milliers de combattants légèrement armés. On préfère s’interroger sur la densité de protection des sites et des personnes en métropole. Pour (...) résoudre ce problème, le Président de la République lance un appel à l’engagement dans les réserves opérationnelles et évoque même le retour à une garde nationale. Tout cela ne paraît pas pour l’instant pas très sérieux, si on appelle sérieux quelque chose à la hauteur de ce que l’on annonce. Cette « levée en masse » est très probablement une levée en masse en plastique.

    Rappelons-le, il y a deux manières de faire la guerre : avec les moyens actuels ou en mobilisant massivement de nouvelles forces. Dans le premier cas, on considère que le rapport de forces est suffisant pour ne pas avoir à changer notre modèle, hors quelques ajustements, et donc par voie de conséquence la société. Dans le second, on considère qu’on ne pourra l’emporter sans monter grandement en puissance et se transformer.Nous sommes actuellement dans le premier cas mais avec un discours qui laisse croire que nous sommes dans le second. On fait semblant de tout changer pour que rien ne change vraiment. Si l’ambition est d’augmenter le budget des réserves de quelques dizaines de millions d’euros (l’opération Sentinelle coûte à elle seule trois fois le budget des réserves militaires) et de faire passer, en 2019, le nombre de réservistes présents chaque jour sur le terrain ou dans les états-majors de 500 à 1000,il ne s’agira que de l’augmentation de la taille de la goutte d’eau.

    Maintenant si l’objectif est d’assurer une capacité de réaction en quelques minutes, voire quelques secondes, sur toute attaque sur le territoire national, alors il faut changer radicalement de regard sur le rôle des citoyens dans la défense de la cité. On peut accélérer les procédures des unités d’intervention et en augmenter le volume, cela restera forcément insuffisant. La seule solution est d’augmenter considérablement le nombre de citoyens armés (et évidemment compétents) et donc, le maître mot est là, de leur faire confiance, ce qui va à l’encontre des habitudes françaises. Cela passe par un meilleur équipement de tous les policiers et gendarmes, sans doute aussi par une meilleure formation au tir. Cela passe forcément par l’emploi d’agents de sécurité armés. Cela passe enfin par l’autorisation du port d’armes à tous ceux qui présentent des garanties de compétence et de fiabilité.

    En regardant une plage du Sud-Ouest de la France cet été, je n’ai pas pu m’empêcher de constater qu’il n’y avait strictement rien (ou alors c'était bien dissimulé) qui pourrait couper court à une attaque du type de celle de la plage tunisienne de Sousse en juin 2015 (et là pas d’excuse de la surprise, cela a déjà été fait). Dans le secteur, nous étions sans doute un certain nombre à avoir l’expérience du combat sans avoir le droit de porter une arme (...). Pourquoi donc ne pas accorder cette autorisation de porter et d'utiliser des armes, outre les policiers et gendarmes hors service, aux militaires en activité ou membre de la réserve opérationnelle n°1 et même n°2 (les « rappelables », 98 000 anciens soldats et 28 000 gendarmes) et au-delà. On m’a fait confiance pendant des dizaines d’années avant de me la retirer d’un seul coup. Je suis même prêt, dans l’esprit des citoyens romains, à payer moi-même mon équipement. On évoque le cas d’Israël mais il y a dans ce pays, un civil adulte sur dix qui dispose d’une autorisation de port d’armes.

    Tout cela a bien sûr un coût, pas forcément très important pour l’Etat, l’appel aux citoyens volontaires et motivés étant toujours historiquement la formule du meilleur rapport coût/efficacité. Bien sûr, il y aura sûrement quelques accidents, pertes et vols d’armes, voire des meurtres (dont la plupart aurait eu lieu de toute façon, avec ou sans arme à feu). On tolère bien cela avec les armes de chasse (car paradoxalement du fait de la chasse la France est aussi un des pays au monde où on tolère le plus d’armes à feu par habitant), pourquoi ne le tolère pas pour assurer la sécurité ? Parce que nous sommes prisonniers de la méfiance de l’Etat envers les citoyens. Il ne s'agit pas de laisser s'armer n'importe qui comme aux Etats-Unis avec les résultats que l'on connait mais de faire confiance envers des citoyens à la compétence reconnue et contrôlée. Précisons que cette compétence, qui induit la capacité à tuer au milieu d'une situation complexe, va bien au-delà de la simple technique de tir.  Encore une fois, on peut considérer que la menace est mineure et gérable. La guerre fait finalement moins de morts que la moyenne annuelle de 800 meurtres. Dans ce cas-là, on continue à lentement améliorer les choses sans rien changer fondamentalement. La réduction du déficit budgétaire reste prioritaire sur la guerre. C'est un choix possible, qu'il faut assumer.

    Maintenant, si on souhaite effectivement comme l’a promis le Président de la République « mettre en oeuvre tous les moyens pour détruire l'armée des fanatiques » alors il faut accorder les actes aux paroles, et pas simplement changer les mots lorsqu’on ne veut pas changer les choses."

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/r%C3%A9serve-op%C3%A9rationnelle-garde-nationale-pourquoi-cela-nest-pas-du-tout-s%C3%A9rieux.html

  • Violence islamique : Bergoglio prend les Chrétiens – et les autres – pour des imbéciles

    L’occupant de la chaire de Saint Pierre, Jorge Bergoglio, est certainement celui des pontifes qui restera, pour la période moderne, comme le plus médiocre intellectuellement, le moins docte dogmatiquement mais aussi comme le plus dangereux politiquement et spirituellement.

    Tout son discours transpire chez lui la démagogie féminine.

    Ce que dit le “Pape”, ou du moins celui qui occupe actuellement le Saint-Siège, compte de par la place que la Papauté romaine occupe dans l’histoire de l’Occident. Fût-on agnostique ou athée, cette réalité spatiale et temporelle, mais aussi spirituelle, ne saurait être niée. Et donc ignorée.

    Aussi quand François Ier, relativement aux attaques djihadistes, répond ce qui suit lors de son retour de Pologne (source), la stupidité du propos ne peut que sidérer le lecteur :

    Je crois qu’il n’est pas juste d’identifier l’islam avec la violence, ce n’est pas juste et ce n’est pas vrai. J’ai eu un long dialogue avec le grand imam de l’université Al-Azhar et je sais ce qu’ils pensent. Ils cherchent la paix, la rencontre.

    Nul n’est besoin d’être versé en jurisprudence islamique pour savoir que l’islam intègre parfaitement la violence dans sa conception historique de la “communauté des croyants”. Plus exactement, la violence est consubstantielle à la parole de dieu qu’est, pour les musulmans, le “coran”.

    Citons, parmi d’autres, quelques versets de la sourate 8 du coran intitulée “Le butin” (sic) :

    57. Donc, si tu les [les non-musulmans, NDLR] maîtrises à la guerre,inflige-leur un châtiment exemplaire de telle sorte que ceux qui sont derrière eux soient effarouchés. Afin qu’ils se souviennent.

    59. Que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous [aux musulmans, NDLR] ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher (de les rattraper à n’importe quel moment).

    60. Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d’effrayer l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous ne serez point lésés.

    65. Ô Prophète, incite les croyants au combat. S’il se trouve parmi vous vingt endurants, ils vaincront deux cents; et s’il s’en trouve cent, ils vaincront mille mécréants, car ce sont vraiment des gens qui ne comprennent pas.

    Le combat armé contre les non-musulmans n’est pas, pour l’islam, un sujet de débat mais un commandement divin proclamé par la parole directe d’allah. Il est ici nécessaire de rappeler qu’à la différence des évangiles du Nouveau Testament, le coran n’est pas une collecte humaine de témoignages, mais la somme fidèle – du point de vue des mahométans – des paroles qu’allah aurait “révélé” à mahomet.

    La dialectique historique et eschatologique de l’islam se résume à l’affrontement entre le “Dar al-Islam” – la “Maison de la Soumission” où s’applique la loi islamique – et le “Dar al-Harb”, la “Maison de la Guerre”, où dominent les non-musulmans. Entre les deux, le “Dar al-Suhl”, la “Maison de la Trêve”, où les mahométans doivent transiger en attendant de remporter la victoire.

    La notion de “paix” islamique est donc transitoire dès lors qu’il s’agit des rapports entre musulmans et non-musulmans. Elle doit être entendue comme “trêve”. Cette dimension transitoire conditionne la psychologie des mahométans qui s’inscrivent dans la conception islamique du monde, les faisant naturellement adopter une attitude d’hypocrisie permanente.

    Pour résumer, la nature fondamentalement guerrière et expansionniste de l’islam ne saurait être contestée. Non plus que la posture mensongère du “pacifisme” de façade des mahométans en terre non-islamique. Aussi, quand Bergoglio tient des propos aussi extravagants à l’adresse des Chrétiens comme des Occidentaux en général, il ment et il sait qu’il ment.

    Dans le christianisme

    La différence fondamentale avec le Christ se situe dans la vie même de ce dernier qui, de par sa nature divine, est inaccessible au péché. La violence utilisée par le Christ est essentiellement symbolique, comme lorsqu’il chasse les marchands du Temple à coups de fouet. Le Christ ne tue pas et limite le plus souvent sa juste colère à des sermons retentissants.

    Mais, dans sa sagesse pratique, l’enseignement chrétien distingue le Christ des hommes, victimes du péché originel. Pour le christianisme, il ne s’agit donc pas d’écarter la violence comme instrument de gouvernance, mais de la resituer dans son contexte terrestre et humain. L’usage de la force est donc une contrainte, rendue parfois inévitable par l’action du malin contre le Bien. Ce principe moral de bon sens est d’ailleurs admis universellement : il ne viendrait à l’idée de personne de ne pas combattre le crime.

    La guerre ne peut à aucun moment être le véhicule de la conversion au christianisme puisqu’il ne peut y avoir de conversion réelle qui soit contrainte. La foi chrétienne ne peut pas se décréter. La guerre est cependant permise, à la condition d’être défensive et de dernier recours. L’Église se contente donc d’acter d’une réalité humaine empreinte d’imperfection, tout en cherchant à en limiter les effets négatifs. C’est ce qui explique d’ailleurs le rôle historique de la Papauté dans la résolution de conflits au sein du monde chrétien.

    Quand les Chrétiens ou leurs états sont attaqués, la légitime défense est naturellement permise. Et il appartient au Pape, s’il le désire, de “rétribuer spirituellement” – ou non – des Chrétiens qui résisteraient les armes à la main à une agression.

    Ces exemples sont rares, mais édifiants. Ainsi, lors de son discours à l’occasion du Concile de Clermont en 1095, le Pape Urbain II appelle à les Chrétiens de France à la Croisade contre les musulmans qui ravagent alors les terres chrétiennes d’Orient :

    Ô fils de Dieu ! Après avoir promis à Dieu de maintenir la paix dans votre pays et d’aider fidèlement l’Église à conserver ses droits, et en tenant cette promesse plus vigoureusement que d’ordinaire, vous qui venez de profiter de la correction que Dieu vous envoie, vous allez pouvoir recevoir votre récompense en appliquant votre vaillance à une autre tâche. C’est une affaire qui concerne Dieu et qui vous regarde vous-mêmes, et qui s’est révélée tout récemment. Il importe que, sans tarder, vous vous portiez au secours de vos frères qui habitent les pays d’Orient et qui déjà bien souvent ont réclamé votre aide.

    En effet, comme la plupart d’entre vous le savent déjà, un peuple venu de Perse, les Turcs, a envahi leur pays. Ils se sont avancés jusqu’à la mer Méditerranée et plus précisément jusqu’à ce qu’on appelle le Bras Saint-Georges. Dans le pays de Romanie, ils s’étendent continuellement au détriment des terres des chrétiens, après avoir vaincu ceux-ci à sept reprises en leur faisant la guerre. Beaucoup sont tombés sous leurs coups ; beaucoup ont été réduits en esclavage. Ces Turcs détruisent les églises ; ils saccagent le royaume de Dieu.

    Si vous demeuriez encore quelque temps sans rien faire, les fidèles de Dieu seraient encore plus largement victimes de cette invasion. Aussi je vous exhorte et je vous supplie – et ce n’est pas moi qui vous y exhorte, c’est le Seigneur lui-même – vous, les hérauts du Christ, à persuader à tous, à quelque classe de la société qu’ils appartiennent, chevaliers ou piétons, riches ou pauvres, par vos fréquentes prédications, de se rendre à temps au secours des chrétiens et de repousser ce peuple néfaste loin de nos territoires. Je le dis à ceux qui sont ici, je le mande à ceux qui sont absents : le Christ l’ordonne.

    À tous ceux qui y partiront et qui mourront en route, que ce soit sur terre ou sur mer, ou qui perdront la vie en combattant les païens, la rémission de leurs péchés sera accordée. Et je l’accorde à ceux qui participeront à ce voyage, en vertu de l’autorité que je tiens de Dieu.

    Quelle honte, si un peuple aussi méprisé, aussi dégradé, esclave des démons, l’emportait sur la nation qui s’adonne au culte de Dieu et qui s’honore du nom de chrétienne ! Quels reproches le Seigneur Lui-même vous adresserait si vous ne trouviez pas d’hommes qui soient dignes, comme vous, du nom de chrétiens !

    Qu’ils aillent donc au combat contre les Infidèles – un combat qui vaut d’être engagé et qui mérite de s’achever en victoire –, ceux-là qui jusqu’ici s’adonnaient à des guerres privées et abusives, au grand dam des fidèles ! Qu’ils soient désormais des chevaliers du Christ, ceux-là qui n’étaient que des brigands ! Qu’ils luttent maintenant, à bon droit,contre les barbares, ceux-là qui se battaient contre leurs frères et leurs parents ! Ce sont les récompenses éternelles qu’ils vont gagner, ceux qui se faisaient mercenaires pour quelques misérables sous. Ils travailleront pour un double honneur, ceux-là qui se fatiguaient au détriment de leur corps et de leur âme. Ils étaient ici tristes et pauvres ; ils seront là-bas joyeux et riches. Ici, ils étaient les ennemis du Seigneur ; là-bas, ils seront ses amis !

    Il n’est pas ici question d’utiliser la guerre pour convertir, mais de défendre des populations chrétiennes en voie d’extermination. Au surplus, comme l’ennemi est motivé religieusement et vise à explicitement détruire ces Chrétiens en raison de leur foi, le Pape souligne que cet assaut est donc d’essence spirituelle, en l’occurrence démoniaque.

    Car, c’est l’évidence pour un Chrétien, seul Satan et ceux qu’il inspire veulent détruire la foi chrétienne, surtout en usant de moyens génocidaires. C’est ce à quoi nous assistons aujourd’hui en Orient où les Chrétiens autochtones sont éradiqués, comme il y a mille ans, par les sectateurs de mahomet. Qu’ils se défendent face à une agression caractérisée est parfaitement logique et légitime.

    Si la violence armée est consubstantielle au texte coranique comme aux moyens offerts à l’islam pour dominer le monde, elle est contingente dans le christianisme où elle simplement articulée, de façon très codifiée, dans son enseignement moral.

    Une nouvelle fois, le christianisme distingue nettement le spirituel et le temporel, subordonnant le second au premier.

    http://borislelay.com/

  • Qui a créé l’Etat Islamique ? Donald Trump accuse Hillary Clinton et Barack Obama !

    Au cours d’un meeting à Fort Lauderdale, en Floride, Donald Trump est revenu sur les véritables responsables du développement du terrorisme djihadiste. Trump a accusé Barack Obama d’avoir semé le «chaos» au Proche-Orient, ajoutant que l’Etat Islamique fait «honneur au président Obama».

    Ensuite, Donald Trump a affirmé qu’Hillary Clinton a «co-fondé» l’Etat Islamique.

    «Il (Obama) est le fondateur de l’Etat Islamique »

    «Il est le fondateur de l’Etat Islamique, d’accord? C’est lui le fondateur! Il a créé l’Etat Islamique»

    «Je dirais que la co-fondatrice est cette tordue d’Hillary Clinton»

     

    http://www.medias-presse.info/qui-a-cree-letat-islamique-donald-trump-accuse-hillary-clinton-et-barack-obama/59506

  • Déjà 30.000 attentats au nom de l’islam depuis septembre 2001 !

    Cette guerre est maintenant en voie d’implantation sur le sol français. 

    Pouvait-il en être autrement d’un journal comme Libération(Observatoire des actes islamophobes), qui nous libère essentiellement de notre bonne humeur, pour dresser un tableau des « actes islamophobes en France depuis le 14 juillet » (au moins 20, rendez-vous compte !) sous l’intitulé « Racisme » ? Nous compatissons donc avec les musulmans, et espérons que les catholiques, protestants, bouddhistes ou autres manifesteront la même solidarité à l’égard de la religion musulmane que celle-ci n’en manifesta à leur égard lors des divers massacres commis à Nice ou au Bataclan au nom de cette théologie. Notons, sur ces 20 « actes », une seule agression physique, à laquelle survécut sans trop de problèmes l’infortuné représentant de la communauté musulmane, contrairement aux 32 morts des attentats de Bruxelles (mars 2016), des 130 morts des attentats de Paris (novembre 2015) ou encore des 85 morts de Nice (juillet 2016).

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  • Annulation des fêtes populaires sous pression du djihadisme : De la capitulation à la soumission

  • L’imposture Trévidic : Le gauchisme judiciaire, allié objectif de l’offensive islamique

    C’est probablement l’une des boursoufflures les plus prisées du moment par la presse progressiste. “L’expert” indispensable qui permet aux doctrinaires de l’irénisme de continuer à s’enfoncer joyeusement la tête dans le sable, quand ce n’est pas ailleurs. Je veux parler du “juge” antiterroriste Marc Trévidic. Il est partout. Il parle. Il a surtout l’air de ne pas digérer le fait de devoir passer la main.

    Dans un entretien au journal communiste L’Humanité – titre qui, au passage, n’existerait plus sans les subventions du gouvernement et du patronat -, l’intéressé livre une série de considérations personnelles sur le djihadisme et ses militants. Des propos particulièrement édifiants sur lesquels il est nécessaire de revenir.

    Premier extrait (source) :

     

    “De la matière humaine”. “Il faut faire attention”.

    Première observation : Trévidic s’est trompé de profession, il a l’âme d’une assistante sociale. Il le dit sans fard : il n’est pas au front, à combattre l’ennemi. Non, il veut sauver les bourreaux. On verra plus loin que le magistrat, usant d’un lapsus on ne peut plus révélateur, assimile d’ailleurs la fonction du juge à celle d’un “bourreau” dans une inversion masochiste de la réalité particulièrement parlante.

    Il n’y a donc pas d’ennemi. Il n’y a que des victimes, à différents degrés. Il y a “les enfants de l’immigration” selon l’expression consacrée chère aux femelles en mal de maternage.

    En somme, vous n’aviez pas regardé avec assez d’attention. Les frères Kouachi, malgré leurs AK-47 et leurs tenues de combat, étaient en fait des adolescents influençables et influencés, tombés dans le djihadisme par hasard. Pour Trévidic, les bouchers sont des victimes au même titre que les personnes exécutées en janvier 2015. Raisonnement d’autant plus commode et politiquement utile qu’il résout la question de l’ennemi comme du conflit, externalisant la cause de la crise et la résumant à une sorte de mauvais génie éthéré évoluant quelque part dans les déserts d’Afrique ou d’Orient, à l’exception notable des “Français de souche” qui semblent, eux, ne pouvoir esquiver aussi aisément les décrets d’accusation.

    Il nous le dit : en fait, nous sommes tous du même camp. Fort de ce qui ressemble à de l’autosuggestion, le magistrat se propose alors de faire dans l’humanitaire, la guerre n’existant pas, faute de combattants.

    Mais qu’en est-il de tous les “Kouachi” de banlieues, amateur de tournantes à base de blanches, de braquages, de coups de lame pour une cigarette, qui depuis 40 ans se livrent à toutes les horreurs imaginables sans jamais que tous les Trévidic de France et de Navarre ne cessent de s’émouvoir de leur sort ?

    Syndrome de Stockholm au cube.

    Autre commodité : elle évacue la question du mal. “L’homme naît bon, c’est la société qui le corrompt”. C’est du Jean-Jacques Rousseau et cela remonte à 1762. Soit 254 ans d’une absurdité convaincue de démence qui continue plus que jamais de ronger une France ravagée par la religion du messianisme socialiste.

    Si la “société” – française, autochtone – n’avait pas autant “tourmenté” ces chères victimes – les islamo-djihadistes donc – jamais ils n’auraient pris les armes contre des civils. Et quels tourments : naturalisation, égalité de droits, éducation gratuite, valorisation “culturelle” à base de rap laïc et obligatoire. Et en cas de déprédations de ces chers petits : animateurs sociaux bardés de rappels mémoriels post-coloniaux sans oublier les commissaires politiques des LICRA, MRAP, SOS Racisme et autre LDH pour servir à la louche du racisme antiblanc et anti-occidental pasteurisé “parce qu’antiraciste”.

    Rien n’y fait. Récurrence gauchiste : l’irresponsabilité le disputant au déni. Le réel ennuie les prélats du progressisme depuis qu’ils sont apparus sur terre. C’est précisément pour dépasser un réel jugé trop limitatif qu’ils sont précisément en croisade. La seule qu’ils admettent.

    Si l’homme naissait bon, la “société” – qui n’est qu’une production humaine -, le serait également. Ce mythe manichéen d’un être humain inaccessible au mal par nature et seulement diminué par la “société” – dominée par les possédants, évidemment – constitue le socle psychologique et idéologique de l’internationale victimaire européenne depuis près de trois siècles. Un poison incapacitant que distille des magistrats démocrates-chrétiens à la sauce Bayrou-Juppé, non sans le concours des incendiaires trotskistes de tous les parquets de l’Hexagone.

    On relèvera l’inévitable baratin marxisant du magistrat : la pauvreté engendre le djihadisme. Trévidic ne brille pas par son originalité : on a même le droit au pauvre nègre malien. Ce qui revient à dire que le pauvre est moralement plus enclin à la barbarie tandis que le riche, de par sa condition, serait lui forcément plus moral et imperméable au phénomène. On peine à croire qu’un juge de l’antiterrorisme évolue dans des catégories aussi molles.

    Que faire alors des innombrables diplômés de l’internationale djihadiste qui rejoignent la lutte pour l’édification du califat planétaire ? Ben Laden était-il un RMIste paumé de Vaulx-en-Velin ou un fils de milliardaires saoudiens ?

    Poussons la logique.

    Lénine était-il un raté de la banlieue de Moscou et Marx un illettré ? Staline fut-il toute sa vie limité à sa condition de petit délinquant géorgien ? Ou bien étaient-ils les tenants d’une lutte révolutionnaire assise sur une vision du monde ? Quand il évoque le “jeune de Tombouctou” (sic) qui n’aurait jamais lu le coran et ce en dépit de son engagement djihadiste, il oublie que les millions de soldats du communisme chinois ou soviétique n’avaient pas davantage lu l’œuvre entière de Karl Marx.

    Trévidic nous expliquerait sans doute, selon sa logique, que ni le “Capital” non plus que le communisme n’auraient de liens avec le bolchevisme. Et que les gardes rouges menés par Trotsky ne seraient, au fond, que des égarés errant sans but dans les plaines de Russie. Les millions d’esclaves engloutis dans les mines du Goulag se verraient soulagés d’apprendre de la bouche du brave homme que nul ne pouvait véritablement être tenu pour responsable. Que Staline, lui aussi, était une victime de quelque chose d’indéfinissable. Mis à part de la “société” tsariste, bien entendu.

    Un raisonnement si anti-historique confine à l’absurde.

    Trévidic démontre paradoxalement un profond ethnocentrisme de facture typiquement gauchiste où le monde fonctionne selon sa propre grille de lecture, laquelle prive d’autonomie le sujet allogène et extra-européen. Trévidic croit que les “enfants de l’immigration” sont à son image. Non, ils sont radicalement différents et le resteront. Eux aussi ont un imaginaire et des références, en l’occurrence archaïques et vieilles de treize siècles, qui contemplent avec un mépris amusé ce genre de bon Samaritain certifié conforme par l’église républicaine.

    Cet ethnocentrisme est également géographique, comme si le djihadisme était lié à l’intégration de populations allogènes dans l’Hexagone. Le djihadisme serait un phénomène hexagonal ? Que faire du Yémen ou de l’insurrection indonésienne en ce cas ? Abu Bakr al-Baghdadi zonait du côté des Buttes Chaumont avant de devenir le commandeur des croyants de Mésopotamie ?

    Outre la démonstration par l’intéressé de sa profonde incompréhension de l’islam au point de le confondre avec la réforme protestante – comme s’il fallait maîtriser le texte coranique pour être musulman ! – Trévidic ne connait tout simplement pas la culture dont il parle. Pas plus en termes historiques que raciaux, géographiques ou ethniques. Ce ne sont que des poncifs moraux issus des salons bourgeois du XVIIIème siècle transposés sur la planète en son entier depuis un pauvre bureau francilien.

    N’en déplaise à Trévidic, le monde ne commence pas à son pas de porte.

    Citons un autre extrait de cet entretien :

    Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?

    Marc Trévidic Non, mais sérieusement, quel est l’intérêt de ce truc ? La déchéance de nationalité est une peine pour faire plaisir au bourreau. Or, la philosophie de la peine doit être de punir, pas de faire plaisir à celui qui l’inflige. La déchéance de nationalité est une mesure qui vise à contenter l’opinion publique et à exorciser notre mauvaise conscience. Son sous-texte revient à dire : « C’est tellement dégueu ce qu’ils ont fait, ils ne peuvent pas être français. »Or, ils le sont. Et puis, qu’on y réfléchisse une minute, que se passera-t-il si les autres pays commencent à faire la même chose ? On commencera alors à se refiler les djihadistes d’un pays à l’autre ? Cela n’a aucun sens. C’est le complexe de Guantanamo : une fois que l’on s’engage sur cette voie, il est très difficile d’en revenir. Les débats sur cette question sont une perte de temps… La question est de savoir comment un Français peut arriver à commettre des actes de terrorisme et à tel point détester la France. Ça, c’est une question fondamentale, qu’on ne résoudra pas en disant : « C’est pas grave, il n’est plus français. » Ça n’est pas sérieux.Il faut être responsable de nos jeunes Français criminels. Poussons plus loin : un tueur en série ou un grand trafiquant de drogue n’est pas très sympathique non plus

    L’utilisation du terme “bourreau” est tellement insoutenable ici qu’il devient évident que Trévidic s’identifie au moins partiellement à la vermine dont il parle. Et on comprend pourquoi : dès lors qu’il croit religieusement en la nature fondamentalement bonne de l’être humain – et à la sienne au passage -, quelques arguties socialisantes suffiront à rendre l’empathie possible envers ces “damnés de la terre” pour reprendre la prose rouge d’antan.

    Dans cet extrait, il pousse ce raisonnement jusque dans ses applications pratiques en affirmant que les égorgeurs du Maghreb et autres subsahariens “sont français”. En fait, le terme “français” est ici parfaitement contingent. Trévidic ne raisonne pas en termes de nationalité mais selon sa conception flageolante et niaiseuse d’une humanité homogène et indivisible. Ces “français de papiers” que sont les Kouachi ou Coulibali ne sauraient être à ses yeux déchus de leur nationalité, non pas tant parce que Trévidic tient en haute estime la nationalité précitée que parce qu’il entend lui faire conserver un caractère internationaliste.  C’est pour que la nationalité française demeure une “non-nationalité”, multiraciale et ouverte à la pénétration islamique, qu’il proteste contre “ce truc” qu’est la déchéance de nationalité.

    Il va même au delà : c’est la possibilité de voir le refoulement massif de la prédation allogène qui le terrorise. Aussi l’affirme t’il : “Il faut être responsable de nos jeunes criminels français”.

    Autant dire qu’une telle stupidité est féconde de meurtres de par l’impunité qu’elle confère à l’ennemi.

    Il développe ensuite sa pensée et pointe du doigt de façon révélatrice le “véritable” coupable : “notre mauvaise conscience”. Le “nous” désignant dans sa bouche les Français de race blanche et de culture ou de confession chrétienne.

    Pour ma part, je n’ai pas mauvaise conscience. Bien au contraire.

    En réalité Trévidic, en fait de parler pour les autres, parle de lui-même et de cette gauche sidaïque qui veut nous faire crever en bloc, nous les Blancs. Il s’agit, encore une fois, de cette tyrannie du masochisme narcissique au nom duquel une serpillère occidentale use de l’autoflagellation pour s’offrir son shoot de nihilisme.

    “Il faut être sérieux”, comme dit Trévidic : les agents démoralisants comme lui constituent à ce stade un appui objectif à l’ennemi envahissant l’Europe. Trévidic a choisi son camp. Sa névrose suicidaire tente de s’articuler pompeusement en un verbiage moralisant pour légitimer ce qui ne relève, au mieux, que d’une trahison en bonne et due forme.

    Qu’un tel nuisible ait pu avoir à traiter l’avant-garde du djihad global agissant en France permet de mesurer le degré de subversion idéologique joué par les forces socialo-communistes depuis un siècle, pour ne rien dire du jacobinisme révolutionnaire.

    Ses appréhensions antiracistes démontrent aussi à quel point la guerre raciale, ethnique et religieuse et la définition du “nous” est le véritable enjeu. Définition indissociable de celle de l’ennemi.

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