Quand LCI interroge le "mauvais" témoin sur le drame de Nice, à une heure de grande écoute :
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Quand LCI interroge le "mauvais" témoin sur le drame de Nice, à une heure de grande écoute :
Source : Boulevard Voltaire
Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.
Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.
D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.
Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.
Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.
Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.
À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.
Nicolas Gauthier
http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524
A Paris des militants de l'Action française ont brulé des emblèmes islamiques
et sur la route du Tour de France des patriotes ont réagi aussi...
Sur l'A 20, c'est le Renouveau français
A la suite de l’attentat de Nice, Marion Maréchal-Le Pen, présidente du groupe FN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, a effectué une déclaration solennelle. « Si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est lui qui nous tuera », affirme-t-elle, avant de livrer un implacable réquisitoire contre ceux qui mènent une politique multiculturelle, devenue « un véritable cauchemar pour les Français ».
Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.
Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.
Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.
Dr Bernard Plouvier
Cela fait un peu plus de huit mois que la France Holando-Vallso-Cazeneuvienne vit sous le régime de « l’état d’urgence » !
En novembre 2015, ce fut, comme toujours avec les mous qui font semblant de gouverner, une pseudo-décision, prise à la va-vite sous le coup de la panique. Nos soi-disant dirigeants ont eu peur de devoir rendre des comptes au Peuple Souverain pour leurs fort nombreuses sottises, qui sont autant de manifestations de faiblesse face à des envahisseurs, dont ils n’ont semble-t-il pas remarqué qu’ils sont aussi des fanatiques religieux.
Gras Président, excité Premier ministre et très sectaire titulaire de l’Intérieur ont toléré la poursuite d’une immigration musulmane massive, dans un pays comptant déjà 5 millions de chômeurs, toutes catégories confondues, et 13 ou 14 millions d’immigrés africains – noirs et maghrébins - et proche-orientaux, en comptant les rejetons, nés sur le sol français et considérés comme des Français… alors qu’eux-mêmes proclament urbi et orbi qu’ils se sentent algériens, marocains, maliens, etc. quand bien même ils n’ont jamais mis les pieds sur le sol de leurs ancêtres.
Nos « chefs » ont toléré la création d’un réseau de petites souverainetés musulmanes au sein de l’État français. Ils ont mis en scène un ridicule engagement de notre Armée en Syrie, contre l’État légal de ce pays, pour le seul profit d’une opposition musulmane soutenue par le crypto-islamiste Obama. Les opérations n’ont, d’ailleurs, démontré que notre impréparation à la guerre, en plus d’être coûteuses et totalement dépourvues d’intérêt pour la Nation française, soit Le critère interdisant l’engagement de l’Armée.
Nos non-gouvernants font preuve d’une tolérance étonnante pour la délinquance et même la criminalité des fruits pourris de cette immigration exotique, musulmane à 90%, que la « Justice » poursuit rarement et condamne, de temps en temps, à des peines symboliques… c’est l’héritage de la Taubira, qui en maintes occasions a clamé sa haine des Blancs et fut néanmoins ministresse française !
En dépit de toutes les complaisances de « nos chefs » pour le « monde arabo-musulman », de leurs compromissions avec les cheikhs islamo-pétroliers (qui furent longtemps de généreux sponsors) et le sultan turc, et malgré le « dispositif d’urgence », plus de 80 morts à Nice, dans la nuit du 14 juillet 2016, démontrent la nullité (on ne peut même plus parler d’amateurisme) des individus qui paradent dans les couloirs et bureaux des ministères et des palais gouvernementaux.
Les attentats ont débuté (Joué-les-Tours) dès la fin de l’An 2014. L’année suivante, ils ont fait près de 200 morts en comptabilisant les attaques collectives et les assassinats individuels de Français de souche européenne par d’immondes sectateurs d’allah. En ce 14 juillet, anniversaire de la Fête de la Fédération de 1790, une crapule perverse a donné libre expression à sa joie raciste de tuer du Blanc, à prouver au monde que la joie de nuire des musulmans était toujours grandiose.
Étant donné qu’il n’existe aucun moyen de différentier le musulman non-fanatique du djihadiste, une évidence s’impose : séparons-nous radicalement des musulmans. L’Europe est le continent de la race blanche. La France est un État où existe une absolue séparation des Églises et de l’État. Tirons la conclusion de ces deux faits.
Tant que l’islam s’avèrera conquérant et terroriste, cette religion de haine et de guerre devra être interdite sur le sol français. L’intolérance doit être totale envers les fanatiques, notamment les femmes voilées, qui extériorisent davantage leur hystérie que leur foi en se nippant comme elles ne le font pas à Alger ou à Tunis.
La répression doit être extrêmement rude à l’encontre des crapules et des canailles dans nos deux milliers de cités de non-droit. La peine de mort doit être restaurée pour mettre hors d’état de nuire tous ceux et toutes celles qui sont complices d’attentats. Tout musulman condamné pour délits répétés ou pour crime doit être renvoyé dans son gourbi d’origine.
Enfin, dans notre pays durement touché par le chômage, il est évident qu’aucun immigré ne doit être titulaire d’un emploi tant que le dernier Français de souche européenne n’en aura pas. Il est non moins évident qu’un immigré sans emploi est un parasite et doit être réexpédié d’où il vient.
La notion de droit d’asile doit être révisée. Trop de sang de Français a coulé ces dernières années pour que l’on soit stupidement charitable. Tout excité faisant de la politique en son pays sait à quoi il doit s’attendre s’il joue à l’opposant en pays de dictature : les Français n’ont pas à supporter les conséquences de ces choix exotiques.
Notre solidarité doit être continentale et raciale : elle ne doit s’exercer qu’envers des individus de la race européenne et dans le but de former une authentique Europe unie des Nations de souche européenne.
Les musulmans doivent retourner dans le Dâr al-Islam. Nous devons bien comprendre que pour ces fous furieux de mentalité médiévale, notre France (et d’une manière générale notre Europe) fait partie du Dâr al-Harb : le Domaine de la Guerre religieuse. Si les Français sont trop sots pour comprendre ces notions, pourtant simples, alors ils sont mûrs pour l’esclavage ou la conversion à la foi la plus obscurantiste et barbare que l’on puisse trouver sur le marché spirituel.
Communiqué de Jean-Marie Le Pen, Président d'honneur du FN :
Le langage de la guerre ne suffit plus, il faut désormais déployer tous les moyens de la guerre.
La nation française est menacée dans son existence par le terrorisme islamiste. Considérerons-nous en état de légitime défense !
Agissons, dans la voie, s’il le faut, de l’union nationale, au sens politique et militaire.
Si c’est bien la droite qui a fait entrer en France les immigrés, c’est la gauche qui a instillé la haine entre les deux communautés
Le terrorisme ne se confond pas avec l’islam ni avec l’immigration, mais il n’en est pas moins vrai que tous les terroristes se revendiquent de l’islam et tous sont issus, directement ou par leurs parents, de l’immigration. Qu’on le veuille ou non, l’immigration maghrébine a donc bien été le terreau sur lequel a poussé cette mauvaise graine.
L’immigration maghrébine a débuté dans les années soixante, à l’époque où la France connaissait le plein-emploi. Notez bien que faire venir de la main-d’œuvre étrangère n’était pas une fatalité, loin de là, car selon la théorie classique, en situation de plein-emploi, les salaires doivent augmenter et, en retour, la production monter en gamme. C’est ainsi que s’explique le miracle japonais. Encore faut-il des patrons avec une mentalité d’entrepreneur et non de rentier. Or, le patronat français, sous l’impulsion des puissantes branches du bâtiment et de la construction automobile, a préféré forcer la main des hommes politiques pour faire venir du bled une main-d’œuvre qui présentait à la fois l’avantage d’être docile et dépolitisée. Pour certains économistes, cette stratégie à courte vue est à la base du lent déclin de compétitivité de toute l’industrie française. À l’époque, la question de demander leur avis (sur l’immigration) aux Français ne se posait même pas. Ils y étaient si résolument hostiles que, pour isoler ces nouveaux venus de la population française, on avait créé les fameux foyers SONACOTRAL (avec un L, pour Algériens).