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islamisme - Page 337

  • Journal du Mardi 19 Juillet 2016 : Terrorisme / Bataclan : l’antre de la torture ?

  • Paris, Bruxelles, Magnanville, Nice : des multirécidivistes fichés d’origine étrangère tolérés par l’idéologie droit-de-l’hommiste

    Connus pour faits de délinquance ou liens évidents avec l’islamisme radical, ils n’ont pas été expulsés et/ou déchu de la nationalité française (lorsqu’ils l’ont acquise par le droit du sol ou une naturalisation). La fin de l’automaticité de la « double peine » décidée en 2003 par Nicolas Sarkozy alors à l’Intérieur, fait que nombre de délinquants étrangers restent en France malgré une condamnation pénale. La Cour européenne des droits de l’homme  (CEDH) interdit l’expulsion des terroristes dans leurs pays d’origine car ils y risquent des mauvais traitements, notamment au Maroc, Algérie et Turquie. Ce laxisme conduit à des attentats à répétition.

    Voici les profils des terroristes ayant frappé la France et la Belgique depuis le début 2015 :

    • Mohamed Lahouaiej Bouhlel : Tunisien de 31 ans ayant bénéficié d’un titre de séjour de 10 ans en 2009, époque où le gouvernement Sarkozy décida de porter à 80 000 le nombre de visas annuels pour les tunisiens. Condamné pour vol, puis agression d’un automobiliste avec une planche cloutée en janvier 2016 (6 mois avec sursis), il a pu rester sur le territoire à cause de la fin de l’automaticité de la « double peine » décidée par Sarkozy en 2003, permettant aux délinquants étrangers condamnés de rester en France.
    • Larossi Abballa, 25 ans, célibataire et né à Meulan (Yvelines), était connu pour de nombreux faits de droit commun (vol, recel, violences). Surtout, il avait déjà été condamné à trois ans de prison, dont six mois avec sursis en 2013 pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes ». Mis en examen en 2011 par les juges d’instruction antiterroristes Marc Trévidic et Nathalie Poux aux côtés de sept autres personnes originaires de la banlieue parisienne, Larossi Abballa était accusé d’avoir recruté des candidats, de les avoir endoctrinés et de s’être préparé physiquement avec eux pour aller mener le djihad dans la zone tribale entre le Pakistan et l’Afghanistan. Entre le 5 décembre 2010 et le 26 février 2011, les huit hommes s’étaient retrouvés régulièrement en fin de semaine pour s’entraîner physiquement dans les parcs de La Courneuve (Seine-Saint-Denis) et d’Argenteuil (Val-d’Oise).
    • Les frères El Bakraoui : En octobre 2010, Ibrahim avait été condamné par le tribunal correctionnel de Bruxelles pour avoir tiré sur des policiers à la kalachnikov. Avec un complice, Ibrahim commet alors un braquage chez un agent de change. Ibrahim reste dans la voiture et fait le guet. Une fois le braquage commis, les auteurs s’en vont, à trois, dans la voiture. La police tente de les intercepter mais Ibrahim El Bakraoui fait feu à plusieurs reprises sur les agents et blesse l’un d’entre eux de trois projectiles. Ibrahim avait été reconnu coupable et condamné à une peine de 9 ans de prison. En février 2011 cette fois, c’est Khalid El Bakraoui qui s’est retrouvé devant la justice. Il a été condamné à 5 ans de prison sans sursis pour des car-jackings. Lors de son arrestation à l’époque, il détenait des kalachnikovs avec ses complices. Pourquoi les deux frères sont libres en mars 2016 pour commettre leur massacre ?
    • Samy Amimour Le Figaro du 23 novembre dernier notait à son endroit : « c’est le symbole de l’inertie judiciaire et administrative qui confine à la cécité ». Ce tueur du Bataclan a été inculpé en 2012 pour un projet de départ au  Yémen, base arrière bien connue d’Al Qaida. Son passeport et sa carte d’identité lui sont retirés. Mais il a suffit à un de ses complices de  déclarer la perte de ses papiers à sa place, et on lui a réédité des originaux. Aussi, Amimour « devait » pointer au commissariat chaque semaine, chose qu’il ne faisait plus depuis septembre dernier. Ce qui n’a pas interpellé la « vigilance » des policiers chargés de le suivre.
    • Omar Ismael Mostefai : Il fait partie des terroristes du Bataclan. Condamné 8 fois pour des délits de droit commun entre 2004 et 2010, sans jamais être incarcéré! Fiché S pour radicalisation depuis 2010, sa fiche fut renouvelée un mois avant les attentats de Paris ! C’est la Turquie qui a prévenu la France en septembre 2013, qu’il serait en Syrie probablement. La police savait qu’il avait coupé les ponts avec son entourage, qu’il priait dans les mosquées tablighi de Lucé et Chartres. Mais laissé sans surveillance…
    • Abdelhamid Abaoud: Dès 2014 , ce belgo-marocain est repéré dans un vol Cologne-Istanbul, les policiers le soupçonnent d’aller faire le djihad. En janvier 2015, il échappe au démantèlement de la cellule terroriste de Verviers, la police belge est certaine qu’il en fait partie. Il a traversé les frontières européennes depuis la Syrie, en passant par Athènes où son portable est géolocalisé, pour revenir tranquillement dans sa ville natale de Molenbeek. A cause du refus idéologique de contrôler les frontières par les gouvernements eurofédéralistes, il peut aller à Paris et en revenir après avoir tué des dizaines de parisiens, victime du sans-frontiérisme.
    • Mohammad Al Mahmod et Ahmad Al-Mohammad: Le premier a  été contrôlé en Grèce le 3 octobre 2015 sur l’ile de Léros. Autorisé à entrer en Europe comme des centaines de milliers d’hommes seuls en provenance de Syrie, d’Afghanistan, du Soudan et d’Erythrée. Alors que l’Etat Islamique se vante d’infiltrer les migrants, il est entré dans l’espace Schengen de manière formelle tout comme son comparse Ahmad Al-Mohammad, lui aussi Syrien.
    • Jawad Bendaoud: Condamné en 2008 à huit ans de prison pour avoir tué au hachoir un adolescent de 16 ans, il sort déjà en septembre 2013 pour reprendre son activité de caïd.
    • Fabien Clain Condamné en 2009 pour être le chef d’un groupe de djihadistes voulant se rendre en Irak, il est condamné à 5 ans de prison mais ressort déjà en 2012. Il s’envole aussitôt pour la Syrie où il dirige la communication francophone de l’Etat islamique.

    http://islamisation.fr/2016/07/18/paris-bruxelles-magnanville-nice-des-multirecidivistes-fiches-dorigine-etrangere-toleres-par-lideologie-droit-de-lhommiste/

  • André Bercoff : « On est en guerre, on est en guerre, on est en guerre! Et on fait comme si… »

    Le journaliste et écrivain André Bercoff réagit au micro de Boulevard Voltaire après l’attentat islamiste de Nice.

    http://www.bvoltaire.fr/andrebercoff/on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-on-est-en-guerre-et-on-fait-comme-si,271767

  • Pour une réaction de fond !

    Publié le 15.11.2015, à la suite des tueries du 13 - Actualisé le 18.07.2016

    Hormis la vision concrète de l'horreur, la vague terroriste qui vient de submerger Paris ne nous a rien appris que nous ne sachions déjà. Rien, ni sur le nombre des victimes, ni sur le mode opératoire des terroristes, qui n'ait été prévu, analysé, annoncé. L'on savait que de nouveaux attentats se préparaient. On le sait aujourd'hui aussi pour demain, ou après-demain... Qu'ils puissent prendre une encore plus grande ampleur, mettre en œuvre des moyens plus terrifiants encore que ceux utilisés hier, on le sait aussi. Et que cette guerre, fût-elle asymétrique, ou précisément parce qu'elle l'est, soit faite pour durer, qu'elle ait la possibilité d'enrôler pendant longtemps encore de nouveaux combattants à travers le vaste monde islamique, qu'elle puisse donc s'étaler sur plusieurs décennies, n'est hélas pas une hypothèse absurde.

    La France est-elle humainement, moralement, intellectuellement, techniquement, militairement et politiquement - nous voulons dire institutionnellement - armée, pour la mener, la soutenir, y triompher ? Comment ne pas se poser ces questions de fond lorsqu'on observe la société française, la vie politique française ? C'est à dire, en bref, lorsqu'on constate notre extrême fragilité ? Quelques jours de sursaut, quelques discours martiaux, lorsque tout semble s'effondrer, ne peuvent cacher le vide sidéral du continuum politique et social français.

    Si l'on n'a pas conscience de cette question de fond, rien n'est possible. On pourra toujours attendre et réclamer de nos dirigeants des actes forts, un regain d'autorité, une inflexion majeure de notre politique étrangère, ou de notre politique d'immigration, comme Nicolas Sarkozy l'a fait hier matin, le passage à l'acte se fera attendre, sera d'apparence, sera fait de demi-mesures.

    Réclamons donc sans illusion cette réaction de l'immédiat. Acceptons-en l'augure improbable. Tout ce qui pourra être décidé de positif pour la sécurité de la France et des Français sera malgré tout bon à prendre.

    Mais tentons surtout d'envisager ce que pourrait, devrait être une réaction de fond. Sur le double plan moral et politique.

    Au lendemain des attentats de janvier, la préoccupation du pays légal tout entier - politique et médiatique - fut d'abord de préserver la communauté musulmane de toute réaction hostile. On s'est dits Charlie et l'on ne s'est pas battu pour la France, pour le peuple français, mais pour une très contestable et, au sens plein, dérisoire liberté d'expression. La réaction nationale qui était possible fut ainsi fourvoyée. Ce fut l'esprit Terra Nova qui nous a valu presque un an de matraquage permanent, multiculturaliste, universaliste, antiraciste (c'est à dire anti-blancs), immigrationniste, sansfrontiériste, etc. Ce corpus idéologique, utopique et destructeur, où l'identité nationale est moquée, la fierté nationale tournée en ridicule, l'Histoire de France oubliée, la repentance, la culpabilisation érigées en méthode pédagogique, ce corpus idéologique omniprésent doit être pourchassé, combattu, abandonné, si l'on veut avoir quelque chance de gagner la guerre qui nous est faite. On ne mène pas à la bataille, encore moins à la victoire, un pays dont on sape le moral, les racines, la fierté, l'identité. Nous savons que toute identité évolue, s'approprie, s'enrichit d'apports extérieurs pour les incorporer à ce qu'elle a de substantiel et de pérenne. Il sera temps, secondairement, de chanter les louanges des dits apports extérieurs. L'urgence est aujourd'hui, prioritairement, de rendre aux Français le sens et la fierté de leur identité pérenne. Ce pourrait être la mission, d'ailleurs déjà heureusement entreprise, de ce courant d'intellectuels qui s'opposent aujourd'hui avec  pertinence - mais encore trop faiblement - à la déconstruction du pays, de sa culture, de son essence. Nous pensons en particulier à ce courant de journalistes, écrivains, historiens, universitaires et politiques, que l'on nomme néo-réacs ounéo-conservateurs.  De nombreux Français, aujourd'hui, attendent beaucoup de leur action.   

    Au delà de la lutte idéologique pour le moral français, pour l'identité française, la seconde question essentielle qui se pose est celle de la validité ou non de notre Système politique et institutionnel, de son adaptation ou inadaptation aux temps dangereux dans lesquels nous sommes entrés. Quelques jours d'union nationale cèderont vite la place dans le monde politicien aux obsessions électorales, à l'esprit de parti. Aux grands enjeux nationaux, oubliés aussitôt le danger passé, vite oublié lui aussi, succèdera l'obsession des échéances électorales, les régionales, qu'elles aient lieu ou non à la date prévue, la présidentielle de 2017 et, pourquoi pas ?, de 2022. L'existence de la nation se retrouvera sacrifiée aux intérêts de parti et à l'ambition des personnes. L'activité politique se ramènera à leurs jeux et à leurs luttes. La question du régime a été posée à de multiples reprises ces derniers mois dans la presse, dans le débat public. Par de nombreuses personnalités. Y compris par un ministre de la République en exercice. L'un des principaux. Le plus jeune et le plus brillant. Oui, notre devoir de Français responsables est de poser, de rouvrir la question du régime qu'il faudrait à la France.

    C'est cela qu'en d'autres temps eût proposé la grande voix de l'Action Française. C'est cela qu'à notre plus modeste échelle, nous proposons aujourd'hui. 

    Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/07/18/pour-une-reaction-de-fond-5827285.html

  • Tareq Oubrou sera-t-il ministre d’Alain Juppé ?

    Lu sur Infos Bordeaux :

    "Omar Djellil est actuellement responsable associatif à Marseille et par ailleurs très impliqué au sein de la communauté musulmane de la ville. Avant son installation sur la canebière, ce dernier a longtemps milité dans la région bordelaise. Responsable local de SOS Racisme, militant pendant dix ans au Parti Socialiste, il fréquenta assidument la mosquée de Bordeaux et son imam Tareq Oubrou.

    En janvier 2016, celui-ci publiait une lettre ouverte à son ancien mentor dont nous avions publié de larges extraits (« Ce sont tes enseignements qui nous avaient poussés à haïr le Juif » (…) « C’est de tes propres mains que nous recevions des magazines faisant l’apologie d’un certain Ben Laden que tu nous présentais comme un milliardaire islamiste charismatique »).

    Suite aux attentats de Nice, et à la réaction du maire de Bordeaux, Omar Djellil vient d’écrire une lettre ouverte à Alain Juppé où il évoque notamment des tractations entre son entourage et l’UOIF (branche issue des frères musulmans) afin de donner un poste ministériel à Tareq Oubrou !

    « Alors que je venais à peine de me remettre du témoignage bouleversant et poignant d’un père dont la fille avait été tuée lors de l’attentat de Nice, qu’elle ne fut pas ma surprise de vous entendre, vous, l’actuel maire de Bordeaux et candidat déclaré à la primaire « Les Républicains » briser le silence de mort qui entoure le deuil des Niçois pour donner des leçons de morale à la nation et au gouvernement socialiste de François HOLLANDE.

    Accusant le gouvernement d’avoir perdu du temps face à la menace terroriste et le sommant de passer à la vitesse supérieure, vous avez indécemment, comme d’autres, tenté d’instrumentaliser le drame tragique qui s’est joué à Nice. La palme de l’indécence revenant à cette désunion nationale qui s’est transformée en cacophonie politique où chacun expliquant à l’autre qu’il aurait mieux fait en matière de lutte contre le terrorisme.

    Alors que l’identification des corps n’est même pas terminée et que nombre de familles continuent à chercher leurs proches disparus, votre prise de position s’inscrit plus dans l’optique de votre course à la présidence du parti « Les Républicains » plutôt que dans une véritable démarche compassionnelle à l’égard de nos compatriotes. 

    Vous avez certes raison de pointer les carences de nos services de renseignements, faudrait-il encore que vous assumiez le fait que c’est le gouvernement SARKOZY qui a fait fendre les effectifs comme neige au soleil. Vous avez certes raison de rappeler que la menace reste persistante et qu’il faut réévaluer le niveau de vigilance. Mais faudrait-il encore que vous soyez prêt à reconnaître que le langage ultra-sécuritaire du gouvernement SARKOZY ne reposait que sur des effets d’annonce sans lendemain ?  

    Même si la douleur qui a frappé les habitants de Nice est mienne, ce n’est pas le propos de mon interpellation. En fait, Monsieur Alain JUPPÉ, avant de fustiger les uns les autres, vous devriez expliquer aux familles des victimes comment vous êtes devenu le premier soutien de l’Union des Organisations Islamiques de France, organisation qui exhorte les musulmans à rejeter vos valeurs républicaines, qui exalte l’esprit du Jihad en direction des masses musulmanes et qui banalise les attentats-suicides dans le monde arabo-musulman. Vous pourriez dire aux familles endeuillées que votre protégé Oubrou continue de mener conjointement des conférences avec Tareq Ramadan que vous ne cessez de dénoncer comme un ennemi de la République et un extrémiste religieux. Vous devriez rappeler que c’est avec beaucoup d’insistance auprès du Premier ministre Manuel VALLS, que vous avez fait obtenir à Tareq Oubrou, maître à penser de l’UOIF, sa légion d’honneur. Pourquoi ne dites-vous pas que l’un de vos élus, Marik Fethou, fait dans un mélange des genres douteux (conflit d’intérêts) en étant élu municipal, secrétaire général du CAPRI, centre de « déradicalisation » initié par Tareq Oubrou, et attaché de presse improvisé de l’autoproclamé Grand Mufti de Bordeaux.  

    Pourquoi ne reconnaissez-vous pas que des tractations sont menées actuellement entre certains de votre entourage et l’UOIF afin, qu’en cas d’élection à la présidence française, des membres de cette organisation radicale puissent obtenir des postes décisionnaires voir un poste ministériel pour Tareq Oubrou ? Pourquoi ne dites-vous pas aux Bordelais que, malgré vos déclarations publiques, vous continuez secrètement à défendre la construction d’une grande mosquée cathédrale UOIF à Bordeaux ? "[...]

    [Lire la suite sur Infos Bordeaux]

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un migrant afghan de 17 ans attaque les passagers d’un train à la hache

    19/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un migrant afghan âgé de 17 ans a attaqué hier soir les passagers d’un train régional à hauteur de Wurtzbourg (Würzburg en allemand), en Bavière. Cinq personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, par des coups de hache et de couteau. Le ministre de l’Intérieur bavarois a confirmé qu’il avait lancé « Allah Akbar » au moment d’attaquer les passagers.

    Agé de 17 ans, le terroriste était arrivé en Allemagne dans le flot de réfugiés et y avait été enregistré comme « mineur non accompagné ». Il y avait demandé l’asile politique et avait été hébergé dans une famille d’accueil.

    « Après l’intervention des forces de l’ordre, il a tenté de s’enfuir et a été abattu par une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK) qui était postée non loin. »

    Refugees Welcome Allemagne

  • A-t-on le droit de critiquer l’islam ?

    Un communiqué de Grégor Puppinck, directeur de l'ECLJ, sur la condamnation en Autriche d'une conférencière ayant osé parler de pédophilie au sujet de Mahomet :

    "La Cour européenne des droits de l’homme est appelée à se prononcer sur l’étendue du droit de critiquer l’islam à l’occasion de la condamnation pour blasphème d’une conférencière ayant mis en cause les mœurs de Mahomet.

    La conférencière qui saisit la Cour de Strasbourg a été reconnue coupable d’avoir publiquement « dénigré une personne qui est un objet de vénération », à savoir « Mahomet », le prophète de l’islam, d’une manière « susceptible de susciter une indignation justifiée », en violation de l’article 188 du Code pénal autrichien.

    Les propos litigieux ont été tenus durant un cycle de conférences intitulé « Connaissances de base sur l’Islam » à l’Institut d’éducation du Parti autrichien de la liberté (FPÖ) devant une trentaine de participants.

    Il est reproché en substance à la conférencière d’avoir dit que Mahomet avait des tendances pédophiles (il « aimait le faire avec des enfants ») car il s’est marié avec une fille de six ans (Aïcha) et a consommé ce mariage lorsqu’elle n’avait que neuf ans. La conférencière notait que cela posait problème dans la mesure où « le plus haut commandement pour un homme musulman est d’imiter Mahomet », ajoutant plus généralement que « les musulmans entrent en conflit avec la démocratie et notre système de valeurs ».

    Suite à une plainte de journalistes, la conférencière fut condamnée à payer 480 euros ou à purger une peine de soixante jours d’emprisonnement en cas de défaut de paiement. Les juridictions autrichiennes avait jugé ainsi dans le but de protéger la sensibilité religieuse des fidèles musulmans ainsi que « la paix religieuse » en Autriche.

    La conférencière a porté l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme qui devra juger si la liberté d’expression peut céder le pas devant le respect de Mahomet et de la « sensibilité religieuse » des musulmans.

    L’ECLJ a été autorisé à soumettre des observations écrites à la Cour.

    Pour l’ECLJ, seule la diffusion d’obscénités gratuitement offensantes et inutiles au débat ainsi que les propos incitant à la violence immédiate peuvent être restreints. Tout autre propos –surtout lorsqu’il est appuyé sur des faits réels- devrait être toléré au titre de la liberté d’expression ; cela résulte d’ailleurs de la jurisprudence de Strasbourg.

    Dans son mémoire, l’ECLJ expose notamment la tentative menée au plan international par l’Organisation de la Conférence Islamique pour intégrer au sein du droit international un délit de blasphème sous l’appellation de « diffamation de l’islam ». L’ECLJ s’est opposé à cette initiative au sein des Nations Unies depuis plusieurs années, estimant que les libertés de religion et d’expression sont complémentaires et qu’il n’existe pas de droit pour des croyants (pas plus que pour des non-croyants)  à ne pas faire l’objet de critiques. Plus généralement, la recherche sincère de la vérité devrait toujours être encouragée et bénéficier de la liberté d’expression.

    En l’espèce, pour l’ECLJ, le droit à la liberté d’expression de la conférencière a été violé, celle-ci ayant été condamnée pour avoir dénigré une croyance en elle-même, c'est-à-dire pour blasphème,alors même que ses propos s’appuyaient sur des faits historiques avérés dont la diffusion, dans un contexte politique, participe au débat public."

    Voir ici les observations écrites de l’ECLJ

    Voir ici l’exposé des faits (en anglais)

    Marie Bethanie

  • Les électrons libres du Djihâd

    Dr Bernard Plouvier

    L’on comprend fort bien le désarroi de nos sublimes dirigeants devant l’attentat niçois de la soirée du 14 juillet 2016.

    Pacha Ier (et dernier, espérons-le) et ses ministres avaient assez donné de gages aux roitelets islamo-pétroliers d’Arabie et du Qatar, aux ulémas du milieu musulman grassement établi en France, au sultan turc (dont le trône est plus mal assuré qu’on ne le croyait), pour espérer le calme intérieur avant les présidentielles de 2017. Des tractations avec l’État Islamique établi sur le sol du Kurdistan et avec l’entourage du calife de Mossoul avaient même été débutées.

    Nul en effet, chez les stratèges de l’islam conquérant, n’a intérêt à ce que la Nation française, molle et aveulie, ne se réveille subitement et ne mette en selle un Pouvoir populiste qui entreprendrait le grand rembarquement, c’est-à-dire organiserait le retour massif des musulmans en Dâr al-Islam (en moins beau langage : dans leurs gourbis).

    Seulement, la réalité est là et bien là ! Les attentats se poursuivent, et sont même particulièrement meurtriers : 84 morts et 200 blessés dont une cinquantaine grièvement, c’est un score bien supérieur à n’importe quelle explosion de kamikaze musulman ou de voiture piégée pour la plus grande gloire d’allah. L’inventivité des crapules islamiques de France est d’un rendement bien supérieur à celle des amateurs du Tiers-Monde.

    Comme à l’accoutumée, l’entourage nous présente l’honorable assassin comme un parangon de vertu civique, et l’on nous ressort le couplet – devenu ritournelle obligée depuis l’An 2015 - : il était indifférent à la religion !!! Bref un Djihadiste qui, comme d’autres, n’aurait même pas lu le coran. On nous a déjà joué le scénario et on s’en moque totalement.

    Tout Français teinté de culture islamique – l’on est bien obligé de se pencher sur cette sous-littérature puisque l’on est envahi par les sectateurs d’un allah qui se rapproche dangereusement de la notion de satan – connaît la Taqiya. On savait déjà que le serment d’un Juif n’a de valeur talmudique que s’il est prononcé kippa en tête en se référant à la Torah, étant préférentiellement émis devant un rabbin. La Taqiya, c’est la dissimulation institutionnelle du brave muslim en terre d’infidèles, soit dans le Dâr al-Harb – le Domaine de la Guerre des musulmans contre tous ceux qui ne sont pas musulmans.

    On peut donc tenir pour nulles et non avenues toutes les déclarations de musulmans – des proches de l’assassin jusqu’au recteur honoraire de grande mosquée. Un tueur est un tueur, soit, dans l’exemple des attentats commis depuis 2014 en France, un sociopathe voulant assouvir sa joie de nuire en tuant des « infidèles », un raciste se faisant une joie de tuer du Blanc pour punir la France de ne pas l’avoir fait PDG d’une grande société ou haut-fonctionnaire.

    Comment devient-on un tueur d’allah ? De deux façons. Soit en se convainquant de la justesse de la notion du Djihâd, ce qui définit le fanatique religieux sincère. Abou Bakr II a simplifié le problème en autorisant tout muslim, quels que soient ses âge et sexe, à participer à la féérie du meurtre pour allah, en n’hésitant pas à tuer sans discernement, dans le style : « dieu reconnaîtra les siens ».

    Soit en recyclant sa propre joie de nuire aux autres et à la société, sa haine de minus et de rebut de la société. C’est pourquoi l’on voit quantité de délinquants et de criminels de droit commun se lancer dans le Djihâd, histoire de se donner le beau rôle aux yeux des sauvageons de banlieues, des abrutis des cités de non-droit et des pasionarias du voile coranique. Quand on est une nullité sociale, quand on est incapable de faire quoi que ce soit de positif pour la communauté dans laquelle on vit, on devient un criminel pour allah.

    Ça pose un homme (ou une femme) ; ça ne demande guère d’intelligence, seulement quelques contacts dans le milieu de la drogue pour trouver l’argent nécessaire à l’achat d’armes et d’explosifs… les trafiquants d’armes sont aussi nombreux parmi nos merveilleux immigrés musulmans que les trafiquants de haschich.

    Et l’on introduit l’électron-libre du terrorisme. De même qu’en 1966-68, les gauchistes ont organisé la chienlit occidentale, puis le terrorisme, sans demander l’avis des chefs du Kremlin, les islamistes débiles et ultra-violents de France, de Belgique (en attendant l’action des paumés de Scandinavie ou de Grande-Bretagne) tuent sans être manipulés par les imams djihadistes.

    On en est revenu aux joyeux temps de l’anarchie. On ne tue plus pour mettre fin à l’exploitation capitaliste des peuples, mais pour passer du statut de petite frappe de banlieue à celui de héros et martyr de la cause d’allah le tout-puissant… il y a belle lurette qu’il n’est plus miséricordieux !

    On conçoit que Hollande- Valls-Cazeneuve soient désarçonnés. Les contacts diplomatiques même sulfureux, les concessions aux islamistes, le pire laxisme judiciaire ne servent de rien, face aux électrons-libres et à leur désir de gloriole.

    Il faut revoir la copie ! De même que les « gentils noirs des USA qui sont les victimes des vilains racistes de policiers blancs » représentent 40% de la population carcérale des States (alors que leur poids démographique n’est que de 13%), les « gentils islamistes de France » ne sont peut-être pas nos amis. Peut-être bien que l’immigration-invasion n’est pas réellement une bonne chose et qu’importer des fous furieux venus tout droit du haut-Moyen Âge n’est pas vraiment ce qu’il faut à la Nation française.

    Ohé, les bisounours, il faudrait peut-être ouvrir les yeux ! Et fissa !

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les policiers municipaux et nationaux doivent être armés d'armes lourdes

    Pierre Martinet est un ancien de la DGSE Service Action. Il travaille aujourd'hui comme directeur associé en charge des opérations pour Corpguard, une société spécialisée dans la prévention et la gestion des risques en France et à l'international. (Nous avons posté ici à plusieurs reprises des interventions de David Hornus, le directeur de Corpguard). Pierre Martinet ne mâche pas ses mots sur la légèreté de la France en "état d'urgence" :

    "Lyoncapitale.fr : Un camion qui fonce sur la foule à Nice, que vous inspire ce mode d'action ?

    Pierre Martinet : Ce mode d'action existe depuis des années, notamment en Israël. Un véhicule lourd ou léger est une arme aussi efficace si ce n’est plus efficace qu'une kalachnikov. Le porte-parole de l'Etat islamique a appelé tous les Musulmans qui adhèrent à leur projet à frapper tous les mécréants avec tout ce qu'ils trouvent sous la main. La première fois, ça a été avec un couteau contre un commissariat du 18e arrondissement de Paris. Le couteau aussi contre deux policiers égorgés à leur domicile, pareil pour l'attaque contre un militaire à La Défense. Ne faisons pas comme si c'était nouveau. La seule différence à Nice, c'est que la personne, plutôt que d'utiliser une voiture, a utilisé un 19 tonnes lancée à une vitesse assez élevée qui fait qu'avec le poids et l’inertie, c’est très difficile à stopper. Surtout pour des primo-intervenants qui ne sont pas équipés comme ils devaient l'être en état de guerre.

    "Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses."

    Les forces de police ne sont pas assez armées selon vous ?

    Ils ont du 9 mm : sur un pare-brise, on l'a vu contre le camion à Nice, ça ne sert à rien. Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses. On fustige toujours les Etats-Unis sur cette question, sauf que eux sont en menace permanente et que les policiers sont équipés d'armes lourdes. On ne met pas des 9 mm en face de kalachnikovs ! Les policiers municipaux et nationaux doivent être armés d'armes lourdes. Ça n'arrêtera pas les terroristes mais ça permettra de les ralentir quand ils entrent en action.

    Comment un camion de 19 tonnes a pu rentrer sur la Promenade des Anglais ?

    Il n'est pas rentré puisque ce n'était pas fermé ! On ne peut pas autoriser ce genre de rassemblement quand on est en état d'urgence et en état de guerre. Les « fan zones » lors de l'Euro de foot, c'était très sécurisé, il y avait des fouilles pour entrer, des forces de sécurité aux abords. Sur la voie publique, c'est impossible d'avoir une telle organisation. Il y a un moment donné, il faut prendre des mesures en adéquation avec cet état d'urgence.

    "238 morts depuis les attentats de janvier 2015... Israël ne l'a pas ce décompte macabre"

    Changer nos comportements notamment ?

    Evidemment. Un rassemblement à Nice, je vous le répète, on ne peut pas l'autoriser. Le camion n'est jamais rentré car il n'y a jamais eu de secteur limité et sécurisé. Il y a 238 morts depuis les attentats de janvier 2015 et près de 400 blessés... Israël ne l'a pas ce décompte macabre. Il faut être vigilant au quotidien. Ça doit être l'affaire de tout un chacun. Est-ce qu'on est en état de guerre ? Oui ! Mais avez-vous vu des changements dans notre quotidien ? Moi non. Il n'y a par exemple pas plus de contrôles...

    "Les militaires de la force Sentinelle qui ont pour ordre de ne pas ouvrir le feu sur l'ennemi, on marche sur la tête !"

    On a vu que les militaires de la force Sentinelle qui étaient présents aux abords du Bataclan, lors des attentats, ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu. Est-ce encore possible que ces militaires n’interviennent pas ?

    Là, on marche sur la tête. Les militaires ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu, vous rendez-vous compte ? Nos militaires n'ont pas de mission claire. Ils sont là pour rassurer la population. Ça ne sert à rien s'ils ont pour ordre de ne pas intervenir, à rien. On doit leur dire clairement d'ouvrir le feu face à l'ennemi. Il faut un changement dans les ordre à donner.

    "On est trop laxiste avec les Frères musulmans et les salafistes"

    N'y-a-t-il pas en toile de fond les gueguerres entre les services?

    Il y a toujours eu des accrochages mais quand je vois le rapport Fenech (président de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de Paris et conseiller municipal de Lyon, NdlR) qui dit que la France n'est pas prête face à la menace terroriste, je tombe de ma chaise. On est prêt depuis 1995, à l'époque j'étais encore dans la DGSE. Le problème c'est qu'on a laissé monté cette idéologie de l'islamisme radical en France qui, aujourd'hui, est incontenable. On a été trop laxiste avec les Frères Musulmans, avec les salafistes et toutes les revendications religieuses, au sein des entreprises, au sein des écoles publiques, avec le voile. Une partie du monde musulman se sent attaquée par l'Occident qui refuse le voile. Une partie de l'islam politique en France adhère au projet de l'Etat islamique.

    Quel recul a-t-on sur nos actions militaires en Libye, en Syrie, en Irak ?

    L’efficacité de nos actions militaires sur le front ne se mesurent pas sur une décennie mais sur 30 ou 40 ans. Ben Laden, quand il a frappé le 11 septembre, voulait attaquer les États-Unis pour créer une coalition de certains pays musulmans contre les États-Unis : le principe du terrorisme islamiste est de créer des clivages communautaires. C'est ça le grand risque : l’émotion , la psychose et la déstabilisation d'un pays."[...]

    [Lire la suite sur Lyon Capitale]

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Erdogan et son régime auraient été sauvés par l’aviation US

    La tentative de renversement du régime d’Erdogan à Ankara, aurait été menée, non par des islamistes plus radicaux encore que le Frère musulman qu’est Erdogan, -comme l’affaire est présentée en France-, mais par des soldats nationalistes-kémalistes, c’est-à-dire anti-islamistes. Ceux-ci ont annoncé vendredi la prise de pouvoir par l’armée. Leur but aurait été de dénoncer la dérive dictatoriale du frère musulman Erdogan et son alliance implicite avec les terroristes islamistes dont il recyclait le pétrole volé en Irak et en Syrie:

    « De nombreux Turcs sont sortis dans les rues pour manifester leur satisfaction de se débarrasser de leur tyran, alors que les affrontements faisaient rage entre les militaires nationalistes-kémalistes et les loyalistes aux Frères musulmans.

    Après 18 heures d’affrontement et d’incertitude, le basculement s’est produit avec l’intervention de l’aviation de l’OTAN qui a bombardé les positions des rebelles nationalistes. Au moins 100 personnes, dont 17 policiers à Ankara, ont été tuées durant ces affrontements. Des tirs depuis des hélicoptères ont été rapportés, et des bombes ont touché le Parlement.

    Des tirs et des explosions ont été également entendus dans la capitale Ankara durant toute la nuit du vendredi à samedi, alors que les grandes artères d’Istanbul et les ponts enjambant le Bosphore ont été bloqués par les militaires nationalistes.

    Un total de 1563 militaires ont été arrêtés en lien avec cette tentative de renversement du régime islamiste. En outre, cinq généraux et 29 colonels ont été démis de leurs fonctions. (…)

    Rassuré par ses amis Américains, Recep Tayyip Erdogan, qui était en vacance, a atterri à Istanbul juste avant l’aube et a déclaré que le gouvernement restait maître de la situation. 

    Le boucher d’Istanbul se savait menacé d’où sa récente tentative de rapprochement avec Poutine, son opération de charme à l’égard d’Israël et sa tentative de réconciliation avec l’Égypte à laquelle le président Abdelfattah Al-Sissi a répondu par une fin de non recevoir. Le renversement du régime islamiste que les Américains ont installé en Turquie il y a près de quinze ans a certes échoué. Mais le Frère musulman Erdogan est incontestablement fragilisé. » (Source)

    Une version diamétralement différente de celle présentée par Erdogan, –l’ami d’Angela Merkel–  et reprise en boucle par les gros médias français.

    http://www.medias-presse.info/erdogan-et-son-regime-auraient-ete-sauves-par-laviation-us/58098