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islamisme - Page 361

  • Génération identitaire dans la rue le samedi 28 mai à Paris

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    Les militants de Génération identitaire seront dans la rue le samedi 28 mai à Paris. Génération identitaire appelle en effet à une manifestation autour du mot d’ordre : « On est chez nous ! »

    Dans un communiqué, l’organisation explique :

    « L’année 2015, entre attentats islamistes et invasion migratoire, a marqué un tournant dans l’histoire contemporaine de notre pays. Depuis trop longtemps, les Français se taisent, sont petit à petit remplacés, et meurent sous les balles d’enfants de l’immigration. Il est temps d’afficher notre détermination à continuer à vivre sur notre terre, selon nos lois, nos valeurs, dans le respect de notre identité. Face à l’urgence, l’heure n’est plus à l’attentisme. Montrons au pouvoir socialiste que les Français sont toujours là, et que l’on est encore chez nous ! »

    Le rendez-vous est fixé le 28 mai place Monge, à partir de 15 heures.

    http://fr.novopress.info/

  • Attentats du Bataclan : “Je suis dégoûté, les Français ne blâment pas l’islam, ils ont plus peur que je promeuve la xénophobie” (Chanteur des Eagles of Death Metal)

    Jesse Hughes, le chanteur du groupe qui se produisait au Bataclan lors de l’attaque terroriste du 13 novembre,  se déclare catholique, il est pour le port d’arme, pour Trump et pour le droit à la vie.
    Ne s’embarrassant pas de politiquement correct, il se livre dans une interview sans fard (et dans un langage très fleuri) à Takimag, dont voici quelques extraits :

    « Un jour après, au stade, les musulmans ont sifflé la minute de silence et nous n’en avons pratiquement pas entendu parler dans la presse. J’ai vu des musulmans faire la fête dans la rue pendant les attaques. Je l’ai vu de mes propres yeux. En direct ! Comment savaient-ils ce qui se passait ? Il devait y avoir une coordination. » […]

    « J’ai été à Paris après les attaques et j’étais dégoûté de voir le manque de colère. Ils ne blâmaient pas l’islam. En fait, beaucoup blâmaient les juifs. Ils semblaient beaucoup plus inquiets à notre sujet, de peur que nous fassions la promotion de la xénophobie, que blâmer les terroristes. » […]

    « Ils savent qu’il y a tout un tas de gosses blancs là qui sont stupides et aveugles. Vous avez ces jeunes blancs qui vivent bien, qui ont grandi dans un environnement gauchiste depuis la maternelle, inondés de notions pompeuses qui ne sont que du vent. Regardez où ça les mène maintenant.»

    Par ailleurs, Jesse Hughes renouvelle ses assertions selon lesquelles les terroristes ont bénéficié de la complicité d’agents de sécurité du Bataclan, et ont cherché à épargné les musulmans présents.

    Traduction et entretien complet : Breizatao

    http://www.contre-info.com/attentats-du-bataclan-je-suis-degoute-les-francais-ne-blament-pas-lislam-ils-ont-plus-peur-que-je-promeuve-la-xenophobie-chanteur-des-eagles-of-death-metal

  • Ménard, Lemoine et Raufer réunis pour parler des « Molenbeek français »

    « La réalité des Molenbeek français » : tel est le thème retenu pour le prochain dîner-débat de La Droite libre qui réunira, le 15 juin à Paris, le maire de Béziers, Robert Ménard, le maire de Montfermeil (Seine-Saint-Denis), Xavier Lemoine, et le criminologue Xavier Raufer

    Tous trois, promet La Droite libre dans l’annonce de cet événement dont l’intitulé, inspiré de la campagne de Génération identitaire Paris, risque de faire couler beaucoup d’encre, « feront part de leurs analyses et des réponses à apporter au cancer qui ronge […] beaucoup de quartiers d’une France qui n’a rien à envier à la Belgique, avec ses zones de non-droit où règne […] l’islamisme le plus radical.

    Christian Vanneste, président de La Droite libre, a par ailleurs annoncé sa présence au Rendez-Vous de Béziers organisé par Robert Ménard.

  • Les bus londoniens afficheront "Gloire à Allah" pendant le ramadan

    Cela n'a rien à voir avec l'élection d'un maire musulman à la tête de la capitale britannique  puisque ces publicités à la gloire d'Allah se multiplieront sur les 640 bus de Londres, Birmingham, Manchester, Leicester et Bradford où la communauté musulmane est importante (3 millions rien qu'à Londres) :

    6a00d83451619c69e201b7c85d3022970b-320wi.gif«Subhan Allah». «Gloire à Allah». Ces mots seront affichés pendant deux mois sur les fameux bus rouges londoniens. Une campagne de publicité lancée par la branche londonienne de l'association Islamic Relief (Secours islamique en français), la plus importante ONG islamique britannique, qui collecte des fonds pour venir en aide notamment aux victimes de la guerre en Syrie, et a déjà envoyé 178 millions d'euros là-bas.Le début de la campagne coïncidera avec le mois de Ramadan qui se tient en juin (...)

    Cette campagne aux tonalités religieuses n'est pas du goût de tout le monde. Si les Britanniques n'ont pas la même conception de la laïcité qu'en France, et que les religions occupent sans problèmes l'espace public, certains s'offusquent d'un deux-poids, deux mesures. En effet, pendant la période de Noël, une publicité de l'église d'Angleterre qui faisait la promotion d'un site internet cherchant à inciter les gens à prier, Just pray, avait été proscrite de plusieurs cinémas. On y voyait l'archevêque de Canterbury réciter le Notre Père avec plusieurs autres fidèles. Le spot publicitaire devait être projeté avant le film Star Wars, mais il avait été bloqué par la Digital Cinema Media, l'agence qui contrôle la publicité dans les plus grandes salles de cinéma du pays.

    «Si nous autorisons cette publicité en faveur de l'islam, nous devons aux Chrétiens plus de liberté pour s'exprimer» a ainsi affirmé Andrea William, directrice de l'association Christian Concern. Dans le Daily Mail, Simon Calvert, directeur de l'Institut chrétien, affirme quant à lui que cette publicité «indique le début d'une nouvelle ère d'expression de la foi chrétienne, qui est devenue persona non grata».

    Philippe Carhon

  • En Allemagne, Merkel accusée d’exposer l’UE à un chantage turc

    La politique étrangère de la chancelière est critiquée à la fois par ses adversaires mais aussi par certains de ses alliés.

    La chancelière allemande Angela Merkel écoutant le président turc Recep Tayyip Erdogan, lors d’une conférence de presse à Berlin, le 4 février 2016. Crédits photo : Axel Schmidt/AP

    Plusieurs responsables allemands ont accusé ce week-end Angela Merkel de trop mettre l’Europe dans les mains de la Turquie. Et d’exposer l’Union européenne à un chantage du président Recep Tayyip Erdogan. « Je ne suis pas contre des discussions avec la Turquie, mais je crois qu’il est dangereux de devenir aussi dépendant d’Ankara », a ainsi déclaré Horst Seehofer, chef de file de la CSU, le parti conservateur bavarois allié de la CDU d’Angela Merkel.

    Des membres du SPD (Parti social-démocrate, partenaire de coalition de la CDU), de la gauche radicale ou des Verts, ont aussi exprimé leur préoccupation. Cem Özdemir, codirigeant des Verts, le parti écologiste allemand, et fils d’immigrés turcs, a ainsi déclaré à Welt am Sonntag que l’accord avec Ankara exposait l’Europe au risque d’un chantage, en jugeant qu’Angela Merkel était en grande partie responsable de la situation. Sahra Wagenknecht, membre du parti de gauche radicale Die Linke (La Gauche) a aussi évoqué le risque de « chantage », estimant qu’Erdogan « se sent nettement renforcé pour piétiner les droits de l’homme ». [....]

    La suite sur Le Figaro

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?En-Allemagne-Merkel-accusee-d

  • Guerre en Syrie : un conflit appelé à durer ?

    PARIS (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Nous nous étions réjouis de la nouvelle de la récupération de Palmyre par les troupes syriennes. Voilà qu’hier, on apprend que Palmyre est encerclée de toute part par Daesh. Ce conflit terrible, qui a déjà fait plus de 260 000 morts, semble donc ne jamais devoir s’arrêter.

    Mais quel est donc l’état actuel du conflit ? Il faut savoir quels sont les principaux belligérants. La Syrie d’el‑Assad doit faire face à l’Etat islamique, mais aussi aux opposants à son régime, bénignement appelés « rebelles », qui sont souvent des dérivés d’Al‑Nosra et Al‑Qaeda. Daesh, ou état islamique on l’a compris, est l’ennemi de tout le monde. Assad est quant à lui soutenu par ses alliées, à savoir la Russie, l’Irak, l’Iran et le Liban. Les autres ennemis de Daesh, ce sont la coalition US, qui rassemble les pays européens dont la France et les pays du golfe. Cette coalition frappe Daesh, mais soutient aussi les rebelles.

    On comprend donc mieux pourquoi l’armée syrienne peine face à Daesh. « Cela fait cinq ans que le peuple syrien meurt » s’écrit Riad Hijab coordinateur de l’opposition, « Nous voulons des actes, et non plus des paroles, de la part de nos amis ». La complexité de ce conflit, dû à la multiplication toujours croissante du nombre d’acteurs, prolonge le conflit, et donc le nombre de morts et de destructions de villes.

    Pour illustrer le coup de poignard dans le dos que représentent les rebelles, il suffit de regarder les nouvelles d’hier. Un raid rebelle a tué plusieurs soldats de l’armée syrienne et enlevé des civils ; à Alep, les combats ont repris entre armée syrienne et rebelles et cela malgré la trêve.

    « Ma priorité est de régler cette crise à travers un dialogue politique » a annoncé hier le secrétaire général des Nations unies. Néanmoins, résoudre ce conflit « pourrait prendre du temps », a‑t‑il ajouté. Vladimir Poutine a pourtant dû essuyer le refus d’ajouter sur la liste noire de l’ONU certains groupes rebelles. Le paradoxe de la position américaine est saisissant.

  • Rappel : La France a payé 58 millions de dollars à Al-Qaïda depuis 2008

    Selon une enquête du New York Times du 29 juillet 2014, Al Quaïda a reçu depuis 2008, plus de 125 millions de dollars !!! Quoi ? Comment ? Et oui, 125 millions de dollars récoltés uniquement grâce aux rançons payés par les occidentaux pour obtenir la libération de leurs otages. 
    Toujours selon cette enquête, la France est le principal pourvoyeur de fonds de l’organisation terroriste. Elle aurait versé à elle seule 58 millions de dollars. Ces sommes, toujours selon le New York Times seraient versées directement par l’état ou alors par des intermédiaires comme Areva ou les pays amis du golf, au premier rang desquels le Qatar. 
    Dans cet article, Vicki Huddleston, ancienne ambassadrice des États-Unis au Mali dénonce : « Les Européens ont beaucoup de comptes à rendre. Ils mènent une politique hypocrite. Ils paient des rançons et ensuite nient les avoir payées. Le danger n’est pas seulement que ça fait grandir le mouvement terroriste, c’est aussi que ça rend tous nos citoyens vulnérables ». Déclaration effroyablement prémonitoire. Le 13 septembre 2014, très énervé par l’exécution de 3 otages anglo-saxons, Barack Obama lui-même confirme: « Le président français, François Hollande, dit que son pays ne paie pas de rançons aux terroristes, alors qu’en réalité, il le fait »
    Dimanche, la plupart des dirigeants européens vont venir verser des larmes de crocodile sur les morts provoqués par des mouvements terroristes qu’ils ont largement contribué à financer. François Hollande, accusé par Obama de payer des rançons aux terroristes sera à la tête de cette grande marche contre… le terrorisme. Comprenne qui pourra. 
    Inconséquence ou incompétence ? 
    Quoi que… Cette fois, ce n’est pas seulement une minute de silence qu’on va nous demander, mais plutôt 2 ans et demi de silence, le temps d’arriver aux prochaines élections. Avec un « Patriot Act » à la française si besoin. Hollande n’est pas plus bête que Bush et les français ne sont pas plus intelligents que les américains. 
    Nous sommes tous des charlots. 
    Vive la République, Vive la France, Vive l’hypocrisie
    Source

  • François Belliot - La guerre en Syrie la manipulation médiatique des médias français - Meta TV 2/3

  • Moscovici-Ramadan, même combat !

    Quoi de plus normal de s’entendre dire que l’Europe n’est pas d’ascendance chrétienne ?

    Dans un monde où l’on fait semblant de découvrir, stupéfait, un lien entre l’eau et l’humidité, le feu et la chaleur, le gel et le froid, ou alors où l’on vous expose le contraire, que l’eau ne peut mouiller ni la flamme brûler, quoi de plus normal de s’entendre dire que l’Europe n’est pas d’ascendance chrétienne ? Il n’est écrit nulle part que Pierre Moscovici appartient à l’une ou l’autre loge, nous savons qu’il fréquenta Bilderberg et cela suffit pour le soupçonner d’être un fanatique défricheur identitaire, un extracteur de racines, un mondialiste démolisseur de murs, un pourfendeur de frontières, bref, un maçon européen, « Boa constructor » européen, enfant du serpent monétaire international.

    Bien sûr, Pierrot, bien sûr, un continent couvert de cathédrales, d’églises, de monastères et de tant de témoignages d’un passé chrétien ne peut être d’ascendance chrétienne.

    C’est vrai, en un sens, il a raison le Pierrot, les véritables racines du christianisme se situent au Moyen-Orient (on se calme, Pierrot, je ne vous parle pas du Grand Orient, je vous parle du vrai Orient).

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  • Terrorisme : Présomption républicaine

    La république est présomptueuse. Elle pense déradicaliser les terroristes potentiels. Cela a été annoncé à grand renfort de trompes médiatiques.

    Radical, déradicalisation : c’est, au sens étymologique, arracher les racines. La question se pose donc de savoir si les intéressés ont des racines, ce dont on peut douter. Nés en France pour la plupart, ils s’inventent  en réalité des racines qu’ils supposent être celles de leur origine ethnoculturelle. En revanche leur structure psychologique est simpliste : une dose de fascination pour la violence, beaucoup de frustration, une eschatologie vague sur le retour du califat et l’illusion qu’ils se déterminent seuls alors qu’ils sont le jouet des puissances du théâtre de la guerre en Syrie : Turquie, Qatar et Arabie saoudite. Mais ils sont aussi le jouet des puissances occidentales qui sont allées chercher au Proche-Orient des succès militaires aventureux pour détourner l’attention sur leurs problèmes internes. Il suffit de considérer la gourmandise avec laquelle notre président de la République s’est emparé des attentats de 2015. Enfin, le terroriste potentiel se sent «  autre », étranger au pays où il est né : le rejet de l’altérité non islamique va chez lui jusqu’à la névrose.

    Echec prévisible

    Le résultat est prévisible : la « déradicalisation » sera un échec. On peut cesser d’être djihadiste, on peut difficilement modifier sa façon de l’être. La taqyia aidant, les  « travailleurs sociaux » créés à cette fin seront dupes de la dissimulation. D’ailleurs, nos radicaux  «  indigènes » ne le sont-ils pas toujours ? Voyez Jean-Marc Rouillan. L’assassin d’Action directe a déclaré que les petits gars du Bataclan avaient bien travaillé mais qu’ils auraient pu faire mieux… Nous ne savons pas si ce sinistre personnage, qui était en liberté surveillée, est retourné en prison. Dans son cas, on aurait tendance à soupçonner les juges de quelque indulgence. Car la vraie question est là. La déradicalisation étant vouée à l’échec, il faut incarcérer ou expulser. Seulement, les juges si prompts à traquer des arrière-pensées racistes chez le péquin lambda, ne peuvent agir contre les terroristes islamistes qu’en cas de passage à l’acte. Et pourtant, imaginons, ce qu’à Dieu ne plaise, qu’un militant d’extrême droite soit soupçonné de radicalisation… Pas besoin d’être Jérémie comme disait ce cher Brassens pour deviner le sort qui lui serait réservé !

    Impuissance du catéchisme républicain

    Nous baignons ainsi dans la plus totale hypocrisie. La marâtre républicaine a ses chouchous. Elle va servir à ces graines de radicaux un prêchi prêcha sur les fameuses mais introuvables valeurs de la république ! Catéchisme bien pauvre qui, précisément, sera de nature à renforcer leur radicalité puisque c’est justement ce moralisme à deux sous qui les révulse.

    En plus, le terrorisme étant totalement décentralisé, ses acteurs agissent de façon indépendante, aléatoire voire improvisée. Ils ne sont pas des soldats ou des militants d’un parti, construits sur la rationalité de la guerre idéologique ou militaire.  Inutile de vouloir les «  retourner » ou les «  convertir ». Les chances de conversion sont d’autant plus minces que la République n’a, en ce domaine, absolument pas les moyens de ses ambitions. Son corpus idéologique, proposé comme prix de la conversion, est trop faible, trop léger.

     Il reste une solution, mais celle-là n’appartient pas à la République. C’est la conversion de Dismas, le bon larron, au Golgotha : «  Ce soir tu seras avec moi en paradis ! ». Ce paradis n’est certes pas celui du Coran. Quant au paradis terrestre socialiste et républicain, nous avons déjà donné pour les lendemains qui chantent…   

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/