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islamisme - Page 364

  • Fusillade à Bruxelles dans le cadre de l’enquête sur les attentats islamistes de Paris

    Une enquête liée aux attentats du 13 novembre à Paris a provoqué une fusillade au fusil à pompe et à la kalachnikov et l’assaut d’un appartement, mardi, dans la capitale belge. Quatre policiers, dont une Française, ont été blessés. L’homme abattu a été identifié ce matin comme étant Mohamed Belkaid, un Algérien en séjour illégal, condamné pour des faits mineurs en 2014, et qui ne figurait pas dans les fichiers des services antiterroristes. Il ne s’agit donc ni de Salah Abdeslam ni de trois autres hommes recherchés dans le cadre des enquêtes sur les attentats de Paris. Deux complices seraient en fuite, selon les médias belges.

    http://fr.novopress.info/

     

  • Syrie : le joueur d’échecs

    En prenant ses distances, Moscou dissipe les soupçons et les accusations.

    Objectifs atteints ? Il y a cinq mois, l’immixtion spectaculaire de la Russie dans le conflit syrien faisait penser à celle d’un médecin, ou d’un chirurgien, appelé trop tard au chevet d’un malade condamné. À bout de force, à bout de souffle, exsangue, le régime syrien, abandonné à son sort par les Occidentaux comme par ses voisins sunnites, chancelait sur des bases progressivement rétrécies. En dépit de l’engagement à leur côté des volontaires du Hezbollah et de leurs alliés iraniens, les forces gouvernementales cédaient peu à peu du terrain. Le pouvoir de Bachar el-Assad tendait à se circonscrire aux dernières grandes villes qu’il tenait tant bien que mal. Le réduit alaouite même, autour de Lattaquié et de Tartous, n’était plus sûr. La fin, inéluctable, semblait proche.

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  • Russes en Syrie : ils font du bon boulot… mais ils s’en vont !

    Coup de théâtre ! L’intervention russe qui a remis en selle le gouvernement de Bachar El Assad et l’armée régulière syrienne prendrait fin prochainement. Trop tôt ?

    Poutine a ordonné hier soir le retrait de la majeure partie du contingent militaire, essentiellement aérien, déployé en Syrie depuis le 30 septembre. Les milliers de raids de l’aviation et les bombardements de la marine russes ont permis à l’armée syrienne de reprendre l’avantage sur le terrain. Ils ont aussi démontré par le contre-exemple la duplicité de la coalition occidentale dirigée par les États-Unis qui prétendait combattre l’État islamique, mais n’ont jamais obtenu de résultat significatif.

    Le Kremlin souligne que la décision du président russe fait l’objet d’un accord avec son homologue syrien :

    Les dirigeants ont souligné que l’intervention des forces aériennes russes avait permis de radicalement changer la situation dans la lutte contre le terrorisme, de désorganiser les infrastructures des combattants (ennemis) et de leur porter un coup important.

    Cette annonce-surprise s’explique par la volonté de Moscou de promouvoir un règlement politique du conflit, a affirmé l’ambassadeur russe à l’ONU Vitali Tchourkine. Il s’agit « d’intensifier nos efforts pour aboutir à un règlement politique en Syrie. »
    C’est en effet un signal fort envoyé au moment où a débuté à Genève un nouveau cycle de négociations entre des représentants du président Bachar El-Assad et de la très hétéroclite opposition syrienne représentée par le Haut comité des négociations (HCN). Signal fort et prématuré ? Alors que toutes les composantes de l’opposition sont sous pression militaire et acceptaient peu à peu le principe d’un dialogue avec Assad – sous l’impulsion aussi de leurs mentors américains, déboussolés par l’intervention russe — ce retrait subit risque de leur redonner des ailes.
    Dès le premier jour, en effet, le sort réservé au président Bachar El-Assad faisait déjà débat et menaçait de faire capoter le processus de paix. Le HCN veut la mise en place dans les six mois qui viennent d’un « organe de transition » doté de tous les pouvoirs, une solution qui implique le départ d’Assad « vivant ou mort », selon les opposants. « Nous voulons un dialogue entre Syriens, mais sans condition préalable », a rétorqué M. Jaafari, ambassadeur de la Syrie à l’ONU. En effet, pour Damas, il est hors de question de parler du sort du président Assad et la transition ne doit être qu’un simple remaniement ministériel avec un « gouvernement d’union » élargi à des opposants.

    Ces discussions sont rendues possibles par l’entrée en vigueur d’une trêve entre les belligérants, signée sous l’impulsion de la Russie et des États-Unis. Hormis quelques violations, elle tient, notamment par la menace directe de bombardements russes sur tous les groupes qui n’adhéreraient pas à son principe : s’engager dans un dialogue politique avec le pouvoir légal syrien. De même, la volonté turque d’intervenir directement en Syrie est pour le moment freinée par la présence dissuasive des forces russes. Le retrait russe risque de mettre à bas ce fragile équilibre… à moins que son annonce ne constitue un piège destiné à éprouver la sincérité de ces ralliements au processus politique.

    C’est l’hypothèse optimiste. L’option plus réaliste est que la Russie a rempli ses objectifs stratégiques en sécurisant sa base navale de Tartous, le seul point de ravitaillement et de réparation de la Marine russe en mer Méditerranée. Elle permet aux navires de guerre russes d’éviter d’avoir à regagner leurs bases de la mer Noire en passant par les Détroits turcs et se trouvait menacée par l’avancée des différents groupes « d’opposition », plus ou moins djihadistes. Du point de vue russe, l’intégrité territoriale de la Syrie n’est pas forcément un objectif majeur (Poutine avait d’ailleurs fait des déclarations dans ce sens), tant que la « Syrie utile » reste aux mains de son allié Bachar El Assad.
    L’avenir de la Syrie reste donc plus incertain que jamais.

    C.D.

    http://fr.novopress.info/199430/russes-en-syrie-font-du-bon-boulot-sen-vont/#more-199430

  • Le double jeu de la Turquie

    L’Union européenne joue un jeu très dangereux avec la Turquie. Croyant pouvoir se fier à cet allié bien encombrant, prisonniers de leurs mensonges, de leur bêtise et de leur lâcheté, les dirigeants européens se trouvent incapables d’être fermes avec les Turcs.

    La Turquie islamiste d’Erdogan porte une lourde responsabilité dans la tragédie syrienne. Alliée inconditionnelle de l’Arabie Saoudite, des États-Unis et des rebelles extrémistes sunnites luttant contre le régime de Bachar El-Assad, la Turquie semble être devenue un allié plus qu’encombrant pour l’Union européenne. Ennemis héréditaires des Peshmergas kurdes, pourtant principaux adversaires à Daesh, les Turcs, malgré nos timides recommandations, n’hésitent plus à fragiliser directement les adversaires des islamistes et autres djihadistes opérant en Syrie.
    À présent que le drame syrien touche en pleine face le continent européen, avec la menace grandissante liée aux pseudo-réfugiés, la Turquie a trouvé un moyen de pression supplémentaire pour faire plier nos faibles politiques. Rackettant sans aucune honte les États européens, sous la promesse, jamais tenue, de contrôler et réguler la masse de migrants transitant par son territoire, les dirigeants turcs démontrent, par leurs actions et leurs demandes successives, la dangerosité qu’il y a à être dépendant d’un tel pays.

    Pourtant, l’Union européenne ne retient aucune leçon. Non seulement, elle minimise grandement les faux pas et les trahisons de notre soi-disant allié turc, mais en plus elle néglige, au détriment de la sécurité des peuples européens, la volonté hégémonique de la politique turque au Proche Orient et le prosélytisme islamiste des dirigeants turcs au sein des communautés turques établies en Europe occidentale.

    La France, dans tout ça, a pris la fâcheuse habitude de disparaître de la scène internationale pour laisser l’Allemagne d’Angela Merkel et les États-Unis de Barack Obama de décider pour elle. Absente des grandes décisions, la France du soldat Hollande abdique toute idée de souveraineté et désir d’indépendance face aux décisions de ses nouveaux maîtres.

    Il paraît tout bonnement incroyable que l’Europe puisse encore hésiter entre la Turquie de l’islamiste Erdogan et la Russie de Poutine. Le bourbier syrien, que nous avons entretenu avec la politique étrangère irresponsable de Laurent Fabius, démontre à tous les Européens l’incapacité de l’Union européenne à devenir un grand de ce monde. La France est devenue la simple banlieue de Berlin et cette dernière la nouvelle capitale d’une Europe malade, incapable de s’émanciper des directives américaines, même quand son avenir est en jeu !

    À quand une réaction salvatrice ? Au vu de l’ampleur du désastre, s’annonçant à la suite de la gestion calamiteuse de l’invasion de l’Europe par des clandestins venus en très grand nombre de pays musulmans, les patriotes européens ont vraiment de quoi s’inquiéter.

    Vincent Revel

    NDLR : L’article relatant la sortie du livre de Vincent Revel, Le chant de la terre, mentionnait sa page Facebook pour plus de détails.L’auteur nous fait savoir que celle-ci est momentanément bloquée, mais qu’il est toujours possible de le joindre par mail (vincentrevel9@gmail.com).

    http://fr.novopress.info/199403/double-jeu-turquie/#more-199403

  • La pénétration de l’islamisme n’épargne ni la police ni l’armée

    (NOVOpress via FigaroVox)
    Une note confidentielle de la préfecture de police a récemment révèlé une progression préoccupante du fondamentalisme religieux dans les commissariats tandis qu’un ancien militaire radicalisé a été arrêté au Maroc.

    Pour Thibault de Montbrial, avocat au barreau de Paris et spécialiste des questions de terrorisme, cette tendance est inquiétante.

    Concernant l’ancien militaire, Thibault de Montbrial est loin d’être étonné :

    le recrutement de l’armée est le reflet de la population française. La communauté musulmane y est très présente. La DPSD (Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense), dont la mission est d’anticiper les comportements à risque, est aux aguets.

    Va-t-on vers des cas de «Green on green» ?

    L’un des scénarii d’attentats que l’on a vu en Afghanistan est ce que les Américains appellent le «Green on green» (armée) ou le «Blue on blue» (police): des représentants des forces de l’ordre s’en prennent à leurs collègues. Quelqu’un qui porte l’uniforme s’en prend à quelqu’un d’autre, qui porte le même uniforme. Un tel scénario n’est pas impossible en France. Les forces de sécurité doivent avoir ce risque présent à l’esprit.

    http://fr.novopress.info/199344/penetration-lislamisme-nepargne-police-larmee/

  • Piero San Giorgio - Djihad dans les campagnes de France et d'Europe?

  • Les Chevaliers de Colomb demandent la reconnaissance du génocide des chrétiens

    Les Knights of Colombus demandentà John Kerry, chef de la diplomatie américaine, de qualifier de génocide les atrocités commises par l'État islamique envers les chrétiens d'Orient. La célèbre organisation catholique, qui compte près de deux millions de membres, a publié unrapport détaillé de 278 pages, dénombrant 1131 chrétiens irakiens tués entre 2003 et le 9 juin 2014, décrivant précisément où et quand ils ont été exécutés. Il présente également 24 pages de témoignages collectés entre février et mars 2016, relatant 200 cas d'attaques (destructions de maison, viols, mise en esclavage, torture, etc..), ainsi que 125 cas d'attaques contre des églises irakiennes. En Syrie, les chrétiens qui ont composé jusqu'à 10 % de la population, seraient aujourd'hui moins d'un million.

    Avec l'association In Defense of Christians, les Chevaliers de Colomb (Knights of Columbus) ont lancé, le 22 février, une pétition intitulée Stop the Christian Genocide (Halte au génocide des chrétiens) destinée, notamment, à faire pression sur le gouvernement Obama pour qu’il reconnaisse formellement que les atrocités commises contre les chrétiens d’Orient portent un nom : génocide. Le secrétaire d’État John Kerry tergiverse. On peut signer ici (plus de 90 000 signataires).

    Pour appuyer cette pétition, les deux organisations ont réalisé une courte vidéo qu’elles diffusent, comme publicité, sur les chaînes de télévision aux États-Unis:

    Michel Janva

  • DEBOUT ! (par Luc Sommeyre)

    Après de laborieuses mises au point, consultations et préparatifs, je suis en mesure aujourd’hui de fixer le départ de mon tour de France dans le cadre de l’Opération Rémora aux alentours de la fin de la semaine prochaine.

    Nombre de nos lecteurs, pour la plupart anciens cadres des CVR [1], ont été informés depuis plusieurs semaines de ces microcontacts amicaux que j’entends tenir partout en France dès avant la Fête de Jeanne d’Arc, le 1er mai. Je rencontrerai volontiers toute personne désireuse d’approfondir ce qui suit mais je ne suis pas « une institution ». Raclant les fonds de tiroir, je ne suis financé par personne et sollicite simplement de pouvoir être hébergé à chaque halte. Mes moyens personnels ne me permettent pas, seuls, de subvenir à une telle entreprise. Vous pouvez aisément me contacter pour tout renseignement complémentaire à mon adresse figurant en bas d’article.

    Attention ! Pour user du langage populaire, je n’ai pas « la grosse tête ». J’ai conscience bien au contraire d’avoir tout autant à apprendre de vous que réciproquement, voire davantage. Pour autant, une certaine expérience de terrain et les conseils d’amis plus qualifiés que moi dans les techniques de la guerre contrerévolutionnaire, font que nos rencontres et nos séances de travaux pratiques en commun pourront être l’un des éléments déclenchants de la Résistance Française.

    Résistance à quoi ? – Si vous vous posez cette question, il est inutile que nous nous rencontrions. Je vous ferais perdre votre temps qui est sans doute précieux. Là n’est pas mon objectif.

    À l’endroit « des autres »… À l’endroit de celles et de ceux qui passeront l’épreuve du miroir, à l’endroit de celles et de ceux qui oseront se jurer fidélité dans le silence de leur âme, poussés par cette vibration incoercible qui les appelle, sans haine, à la mission sacrée de la défense notre Patrie, de notre Race et de notre Civilisation (sans oublier l’avenir de nos enfants) j’éprouverai un immense plaisir à partager quelques moments où nous nous apprendrons mutuellement ce que veut dire « être une Femme » ou « un Homme ». Avoir essayé de faire quelque chose sera mon salaire. J’ai conscience de mes limites et me retirerai du devant de la scène dès que des Hommes plus habiles et qualifiés que moi ranimeront la flamme de la Résistance.

    LE MONDE

    « La situation », au plan national comme dans le concert des Nations du Monde, glisse aujourd’hui sur l’asymptote du drame shakespearo-wagnérien que nous allons vivre tous ensemble à notre corps défendant. Cette fois, nous n’en serons pas les spectateurs mais les acteurs. Toutes et tous. Jeunes, âgés, de quelque condition que nous soyons. Du Général le plus puissant à l’Employé le plus modeste. De l’Avocat le plus écouté à la Petite-main d’un atelier de couture. Du Médecin le plus éminent au Manœuvre le plus obscur dont notre société ne sait pas qu’il a un cœur. Du noble Paysan au bord du suicide à l’Ouvrier métallurgiste écrasé par les soucis de chaque jour… Nous sommes tous sur un pied d’égalité.

    Si Donald Trump emportait les Présidentielles aux États-Unis, nul doute qu’il s’entendrait à merveille avec Vladimir Poutine, rééquilibrant avec bonheur toute la géostratégie mondiale dans le sens du Bien, chacun préservant les intérêts des Peuples qu’il dirige. Fassent les Dieux que Monsieur Trump  ne soit pas assassiné au mois d’août. Ni après…

    L’AFRIQUE DU NORD

    « La situation » s’envenime chaque jour. L’État Islamique a métastasé en Libye. Les barbares se sont quasiment emparés du sud de la Tunisie, jadis l’un des pays arabes les plus modernes et tolérants. En Algérie, la SM [2], organisation pourtant puissante et bien constituée, pousse des cris d’alarme. L’armée algérienne ne pourra tenir bien longtemps devant l’invasion massive des barbares et le réveil des cellules dormantes disséminées dans les villes, cachés jusqu’au fond des douars et des replis des djebels.

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    Cliquez sur l’image ci-dessus pour visionner la vidéo (04:20)

    Vous avez aimé les feuilletons tournés sur l’Adriatique ? – Vous allez adorer le scénario qu’on prépare en Méditerranée.

    LA FRANCE

    Le sud de l’Italie va être touché en premier. Bientôt, sur les rivages de Provence et du Languedoc, vont s’échouer des bateaux entiers, débarquer des dizaines de milliers de « réfugiés » ou prétendus tels, dont la masse cachera de nombreux commandos, bien entraînés par l’État Islamique. Comme dans Le Camp des Saints, la pusillanimité du gouvernement cachera la panique de nos édiles en fuite. Pour limiter la casse au nom de je ne sais quelle utopie mortifère, les Forces de l’Ordre recevront consigne d’écraser les mouvements de la Résistance. Mais dites-moi… les Forces de l’Ordre ne sont-elles pas constituées d’hommes et de femmes comme vous et moi ? Sans doute, des commissaires politiques adroitement placés aux postes-clés s’efforceront-ils de les exhorter à obéir aveuglément aux « ordres reçus ». – Oui. Jusqu’au point de rupture où la visière du casque ne pourra plus masquer à l’homme qui le porte la vision de son Devoir d’Homme. Et je ne parle pas de l’Armée Française où l’on évoque à voix de moins en moins feutrée la théorie des Baïonnettes Intelligentes… En son article 122-4 § 2, le Code Pénal ne prévoit-il pas que « N’est pas pénalement responsable la personne qui accomplit un acte commandé par l’autorité légitime, sauf si cet acte est manifestement illégal » ? OÙ SE SITUE LA LIMITE DE LA LÉGALITÉ ?

    J’enjoints ardemment à toutes et à tous de se conformer à la légalité républicaine la plus stricte. Je recommande à toutes et à tous de ne pas se laisser aller à des propos publics imprudents qui marquent leur effroi devant la situation dramatique : « il vaut mieux passer pour un con que pour une cible ». Tel est le slogan majeur de l’Opération Rémora. Une cible, en effet, peut être touchée. Et une cible touchée n’est plus opérationnelle.

    Relisez quand même le document RÉSISTANCE, sommaire incomplet de la conduite à tenir dès aujourd’hui.

    J’invite les plus conscients et les plus déterminés d’entre nous à étudier deux ouvrages essentiels du Colonel Pierre Château-Jobert : La Confrontation Révolution-Contrerévolution et Doctrine d’action contrerévolutionnaireouvrages de base denses et pragmatiques. Dans la bouche de Conan, la « révolution » représente ce Système diabolique que nous subissons au goutte-à-goutte sans nous en apercevoir : la “Bienpensance” et le “Politiquement Correct” si vous préférez. La « Contrerévolution », elle, est ce qui nous anime tous : le rétablissement de l’Ordre Naturel, Ordre Chrétien pour Château-Jobert qui était un Croyant fervent, pratiquant et honnête à l’endroit de lui-même. Pour autant, les Païens de Tradition comme Votre Serviteur s’y reconnaîtront sans peine.

    Vous n’avez qu’un tort : celui d’être Français. Celui de vouloir conserver et faire prospérer notre héritage culturel. Je pense d’abord aux Français de souche bien sûr, mais aussi tout autant à ces Français d’adoption de toutes races et de toutes confessions, qui respectent la Terre où ils vivent et se conforment à nos Lois et Coutumes qu’ils ont fait leurs en bonne intelligence.

    Des Héros vont surgir de nos rangs et monteront aux murs de nos villes. L’air des remparts est plus pur que celui des caves pestilentielles où depuis longtemps déjà, se sont entassés les traîtres et les lâches.

    Ceci n’engage que moi bien sûr : « je ferai Camerone ».

    LS
    luc.sommeyre@minurne.org

    http://www.minurne.org/?p=6824

  • Incertitudes autour des négociations politiques pour la Syrie

    NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Plus d’une semaine après le cessez-le-feu, la situation syrienne reste incertaine
    Le cessez-le-feu tient bon pour le moment, offrant un répit aux combattants et aux civils syriens. Dans ce climat relativement apaisé, les acteurs internationaux espèrent pouvoir animer des négociations décisives entre le gouvernement et l’opposition afin d’arriver à une solution politique acceptable pour la Syrie. Allant dans ce sens, Moscou avait même évoqué la possibilité d’une solution fédérale au problème syrien. Mais ces négociations sont, pour le moment, loin d’être une certitude pour tous les acteurs en jeu.

    L’opposition freine des quatre fers face à ces négociations
    Si les représentants du gouvernement syrien ont annoncé leur présence aux négociations, la question est plus épineuse du côté de l’opposition. En effet, si le porte-parole du Haut comité des négociations, la structure qui rassemble les acteurs clefs de l’opposition et de la rébellion, a annoncé qu’ils seraient présents à Genève dès vendredi pour les négociations, c’est pour mieux être contredit quelques heures plus tard par le coordinateur général de cette même structure.
    Pour ce dernier, la décision est loin d’être prise et le HCN va « évaluer la situation dans les prochains jours et prendre la décision adéquate ». Dans cette optique, une délégation du HCN doit rencontrer à Genève dans les prochains jours l’équipe chargée de surveiller le bon déroulement du cessez-le-feu.

    Dans le collimateur du HCN, on retrouve la trêve et le rôle de Bachar Al Assad
    Parmi les raisons invoquées par l’opposition pour freiner ces négociations on retrouve bien sûr le rôle de Bachar Al Assad dans la Syrie post-conflit. En effet, là où l’opposition et ses soutiens saoudiens réclament tout bonnement un gouvernement de transition où Bachar Al Assad n’aurait aucun rôle, les autres acteurs sont moins catégoriques.

     

    http://fr.novopress.info/

  • L'islam radical est entré dans la police

    Le Parisien s'est procuré une note de la préfecture de police en exclusivité : 

    "Diffusion de chants religieux en patrouille, refus de participer à une minute de silence ou de protéger une synagogue, voire incitation, sur Facebook, à commettre des attentats : la police est confrontée à des actes de gravité variable, en nombre limité, mais qui illustrent une progression préoccupante du fondamentalisme religieux dans ses rangs.

    C'est un fait : la Grande Maison n'est plus imperméable au communautarisme. Des comportements qui, en plus de malmener le principe de laïcité, posent de réels problèmes de sécurité. Comme leurs collègues, les fonctionnaires en voie de radicalisation sont en effet équipés d'une arme de service et ont accès à la plupart des fichiers de police.

    Même s'ils restent très marginaux, ces incidents mobilisent les services de renseignement et préoccupent la préfecture de police (PP) de Paris. A tel point qu'elle recense désormais de manière hebdomadaire les « comportements de transgression du principe de laïcité ». Une note confidentielle dont nous avons eu connaissance, rédigée à la fin de l'année dernière par la Direction de la sécurité de proximité de l'agglomération, détaille 17 cas, survenus entre 2012 et 2015 avec une accélération en 2014, au sein de la PP, forte de plus de 27 000 policiers et agents de surveillance.

    La plupart des incidents portent sur l'exercice de la religion musulmane au sein des commissariats, notamment lors des prières quotidiennes. Ou encore sur les signes extérieurs de religiosité, comme l'habillement. Les femmes sont impliquées dans environ un tiers des affaires et affichent souvent une détermination plus marquée que les hommes. Au moins quatre des affaires recensées concernent des convertis à l'islam".

    Mais surtout, pas d'inquiétude, padamalgam, déséquilibrés en vue : 

    "« Il faut être attentif aux termes employés, insiste le sociologue Farhad Khosrokhavar. La radicalisation suppose un passage à l'acte violent. C'est pourquoi je parlerais plutôt ici de fondamentalisme.Cette forme d'enfermement relève rarement d'une attitude mûrement réfléchie mais révèle une impulsivité et une fragilité mentale. En se comportant ainsi, ces personnes savent qu'elles s'exposent à une sanction et, à terme, à une exclusion. Il s'agit ni plus ni moins que d'un suicide professionnel. »

    Lahire

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