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lobby - Page 1102

  • Non seulement l’abaissement de la vitesse ne réduit pas les accidents, mais elle les augmente

    Reportage d’Armel Joubert des Ouches sur RITV concernant la mesure visant à abaisser, sur toutes les routes secondaires françaises, la vitesse de 90 à 80 km/h.

    La limitation de vitesse à 80 km/h sur les routes : un projet nocif pour les Français, la France et son économie from Reinformation.tv on Vimeo.

    Parce qu’il dit vouloir lutter contre le nombre d’accidents et le nombre de morts – 3 522 tués sur les routes de France en 2017 – certain que la vitesse est la première cause de mortalité au volant, le gouvernement avait tenté une expérimentation dans plusieurs départements dont la Haute-Saône. De juin 2015 à juin 2017, l’étude avait consisté à réduire la vitesse de 90 à 80 km/h entre Vesoul et Besançon, et ce sur un tronçon de 14 km. Parce que le gouvernement refusait de rendre public les résultats de son expérimentation – sans doute trahi par de mauvais chiffres – l’association 40 millions d’automobilistes avait repris l’étude à son compte. Elle est parvenue à démontrer que non seulement l’abaissement de la vitesse ne réduisait pas les accidents, mais qu’elle les augmentait… Pour Pierre Chasseray, délégué général de l’association, « Le gouvernement a cherché à cacher les résultats de son expérimentation ».

    Mardi 6 mars 2018, Bernard Darniche, l’ancien pilote de rallye aux multiples victoires a été auditionné par un groupe de travail au Sénat. Il était accompagné de Thierry Modolo. Durant près d’une heure, ce dernier a tenté d’expliquer l’absurdité d’un projet qui provoquerait l’inverse du résultat recherché. Depuis des mois, Bernard Darniche fulmine contre le gouvernement estimant que l’on ment aux automobilistes.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Pour François-Bernard Huyghe, la loi contre les fake news pourrait «renforcer la méfiance chez beaucoup de gens»

    RT France propose un entretien avec François-Bernard Huyghe après les premières fuites sur la loi Macron contre les fake news.

    «Chez beaucoup de gens, ça peut renforcer la méfiance et inciter encore plus à aller chercher de l’information “alternative“» selon le directeur de recherche à l’IRIS.

  • Le dîner du CRIF à 900 euros le couvert déductible d’impôts

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    Comme nous l’avions annoncé, le 7 mars au soir s’est tenu, en présence du président de la république Emmanuel Macron, le 33ème dîner annuel du CRIF. Le lieu ? La pyramide du Louvre. Ça ne s’invente pas…

    Le couvert était facturé 900 euros ! Habilement, le CRIF présente la facture du dîner en signalant que 800 euros seront considérés comme un don ouvrant droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %.  Ainsi, les participants-donateurs peuvent potentiellement déduire du fisc 528 euros. Les contribuables sont de cette manière mis à contribution pour financer la soirée du CRIF.

    Seuls les 100 euros restants correspondent véritablement au prix du repas.

    Mais le vice-président du Crif, Yonathan Arfi, tient à préciser que de nombreuses personnalités (ministres, religieux, diplomates, députés, maires, politiques…) sont invitées et ne versent ainsi pas un centime au bénéfice du CRIF. On verserait presque une larme devant tant de générosité désintéressée.

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    Le dîner du CRIF a été instauré en 1985. «L’ambition de l’organisation créée en 1943 est clairement affichée: il s’agit de porter la voix politique des juifs de France et d’instaurer un dialogue avec les pouvoirs publics. Dès sa création, le Crif a voulu s’inspirer de l’exemple américain de l’American Jewish Committee pour exister en tant que lobby.», lit-on sur le site de la chambre de commerce franco-israélienne.

    «C’est un moment de rencontre et de dialogue entre les institutions juives et les responsables politiques», confirme au Figaro Hervé Mariton, député-maire Les Républicains de Crest (Drôme), et lui-même de confession juive.

  • Notre-Dame-des-Landes: qui a le plus menti, finalement?

    L’annonce de l’abandon du projet d’aéroport du Grand Ouest a résonné comme une victoire des zadistes installés illégalement à Notre-Dame-des-Landes. Mais le mythe d’un retour à la nature cache des réalités moins reluisantes. Dix questions sur un abandon.

    Édouard Philippe a tranché, l’aéroport de Nantes-Atlantique sera agrandi. La zone d’aménagement différé de 1 600 hectares (ZAD, rebaptisée « zone à défendre »), gelés depuis les années 1970 dans la perspective d’un nouvel équipement, n’a plus de raison d’être. Les élus locaux, les quatre exploitants agricoles qui refusaient l’expropriation et les zadistes ont fait plier les pouvoirs publics. Reste maintenant à faire plier quelques faits, particulièrement têtus. Le tour en dix questions.

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  • « Fake news » : la proposition de loi est prête, par Pierre Malpouge

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    9068-20180310.jpgLa future loi contre les « fake news » (fausses informations) est dans les tuyaux. Diffusé mercredi, le texte de cette future proposition de loi voulue par un Emmanuel Macron qui ne supporte pas « le bobard inventé pour salir », vise à endiguer leur diffusion, spécialement lors des périodes électorales. Le texte, qui prévoit des sanctions pouvant aller jusqu’à un an de prison et 75 000 euros d’amende, comporte deux parties : une proposition de loi classique et une proposition de loi organique.

    Le texte prévoit que durant les périodes d’élections, les obligations de transparence des plateformes comme Facebook, Twitter ou encore Google et YouTube, soient renforcées. Le code électoral sera modifié pour obliger les opérateurs, pendant cette période, à donner une information « loyale, claire et transparente » sur l’identité de ceux qui payent pour promouvoir des contenus d’information, et « à rendre public le montant des rémunérations » (à partir d’un certain seuil) fixé par décret. A noter que ces dispositions pourraient – devraient – s’appliquer dès les élections européennes.

    Comment ça marche(ra) ?

    Si « des fausses informations de nature à altérer la sincérité du scrutin à venir sont diffusées artificiellement et de manière massive », le juge des référés pourra être saisi « à la demande du ministère public ou de toute personne ayant intérêt à agir ». Ce dernier pourra alors se prononcer « dans un délai de 48 heures » et ordonner le déréférencement du site visé, le retrait du contenu en cause ainsi que l’interdiction de sa remise en ligne, la fermeture du compte d’un utilisateur ayant contribué de manière répétée à la diffusion de ce contenu. Maître absolu, le juge, qui qualifiera la fausse nouvelle, pourra même ordonner le blocage d’accès au site Internet.

    Une mainmise liberticide qui devrait s’étendre hors périodes électorales. Ainsi, il est demandé aux plateformes de coopérer et de mettre en place un « dispositif facilement accessible et visible, permettant à toute personne » de signaler les fausses informations, et de « rendre publics les moyens qu’elles consacrent à la lutte contre la diffusion de fausses informations ».

    Par ailleurs, un autre volet du texte prévoit d’étendre les pouvoirs du CSA en modifiant la loi de 1986 relative à la liberté de communication. Le CSA pourrait alors refuser de conventionner une chaîne de télévision « lorsqu’elle est liée à un Etat étranger dont les activités sont de nature à gravement perturber la vie de la nation » – disposition qui fait notamment référence aux médias russes RT et Sputnik avec lesquels Emmanuel Macron avait eu des démêlés lors de sa campagne présidentielle.

    Pour Françoise Nyssen, la ministre de la Culture, cette mesure phare qui sera déposée « dans quelques semaines » par un député de la commission culture, « c’est une loi nécessaire pour protéger notre démocratie contre les ingérences extérieures ». Reste à appliquer tout ça : l’avocat socialiste Jean-Pierre Mignard, spécialiste du droit de la presse et intime de Hollande, Valls, Ségolène Royal et Emmanuel Macron, estime que « cela promet de ne pas être évident ».

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 9 mars 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Le FN disparaîtra samedi, c’est acquis…

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    Marine Le Pen n’en est plus à une contradiction près. Les résultats du grand questionnaire de la refondation adressé aux adhérents du Front national devaient initialement être rendus publics il y a déjà quelques semaines. Le FN annonça ensuite que, les réponses étant plus nombreuses qu’il ne l’avait prévu, il faudrait encore attendre. Mais une fuite interne signalait que les opposants au changement de nom du parti l’emportaient jusqu’à présent. Puis il fut dit que les résultats de la consultation des membres du parti ne seraient présentés qu’en ouverture du XVIe congrès du Front national. Et finalement le FN a organisé les fuites auprès de certains journalistes, deux jours avant le congrès, histoire de préparer le terrain et de déjà faire savoir que les adhérents souhaitaient « à une courte majorité » abandonner l’appellation Front National.

    Samedi, sans surprise, Marine Le Pen proposera donc un nouveau nom pour le Front National. Les membres devront ensuite approuver ce choix par la voie postale, une nouvelle fois sans aucun autre contrôle que celui de l’état-major de Marine Le Pen.

    http://www.medias-presse.info/le-fn-disparaitra-samedi-cest-acquis/88521/

  • MÉMOIRES DE JEAN-MARIE LE PEN : LA PRESSE S’ATTAQUE À SES LECTEURS

    À défaut de pouvoir empêcher le succès de ses Mémoires, une certaine presse, qui n’est pas la plus objective, s’en prend aux lecteurs de Jean-Marie Le Pen en utilisant des procédés que la défunte Stasi n’aurait pas reniés. C’est ainsi que, dans sa version numérique du 2 mars, un quotidien recense « ce que les lecteurs de Jean-Marie Le Pen ont également acheté », d’après les indications données par le site Amazon.

    Dans un bandeau initial, ces cinq titres : Autres pamphlets, de Louis-Ferdinand Céline, Le Grand Remplacement, de Renaud Camus, Le Suicide français, d’Éric Zemmour, L’Ordre et le Désordrede Charles Maurras, Mon Testament politique et privé, d’Adolf Hitler. Un échantillon sans doute destiné à insinuer que les lecteurs de Le Pen sont tous d’incorrigibles fachos.

    Pour paraître faire un travail de journaliste, l’auteur de ce brillant article déclare avoir contacté Amazon, qui « n’a pas souhaité répondre à [ses] questions sur le fonctionnement de ces recommandations ». En revanche, il n’hésite pas à affirmer péremptoirement que « les thèmes défendus par l’homme politique controversé depuis des décennies semblent coller à ceux de ses lecteurs ».

    Et de préciser que Charles Maurras est un « antisémite d’extrême-droite assumé et Vichyste notoire », que même Marine Le Pen a pris ses distances avec les thèses de Renaud Camus, que son père qualifie la torture en Algérie d’« interrogatoires spéciaux » et autres amabilités pour discréditer ce ramassis de factieux.

    Il n’oublie pas d’écorcher L’Histoire de France de l’historien Jean-Christian Petitfils, cher « aux adeptes de l’identité nationale ». Bizarrement, il ne cite pas Notre patrie, de Charles Péguy, De Lattre, d’Ivan Cadeau, ni L’Archipel du goulag, d’Alexandre Soljenitsyne. Encore moins Rivière sans retour, film avec Robert Mitchum. Sans doute ces exemples ne s’adaptaient-ils pas suffisamment à sa démonstration simpliste ?

    Ce n’est pas parce qu’on lit un ouvrage d’Hitler qu’on est nazi, tout comme on n’est pas nécessairement marxiste parce qu’on lit Marx. Quant à Maurras, dont il rappelle avec délectation qu’il a été retiré du Livre des commémorations 2018, l’auteur de l’article ne l’a manifestement pas lu. Sans quoi il saurait qu’il fut profondément anti-allemand et hostile aux collaborationnistes.

    Ce qu’il y a de sûr, c’est que l’emploi de citations hors contexte ou de formules assassines ne suffit pas à faire un bon journaliste. Ce type de papier est un exemple de ce qu’il ne faut pas faire si l’on veut garder quelque crédit : sectarisme, désinformation, amalgame, insinuation, voire délation. Tous procédés qui sont plus le propre des régimes totalitaires que de la liberté de l’esprit.

    La curiosité intellectuelle, ça existe ! Elle vaut toujours mieux que l’adhésion aveugle à la pensée unique, qui dispense de penser et de réfléchir.

    http://www.bvoltaire.fr/memoires-de-jean-marie-pen-presse-sattaque-a-lecteurs/

  • La France se défait [2]

    Quelques réflexions, encore, sur la France qui se défait, entre bien d'autres facteurs, par la démographie et l'immigration. Sans-doute est-ce là ce qui se voit, se ressent, avec la plus grande netteté. Et suscite cette « formidable colère » que nous voyons monter partout en Europe.

    Nous ne sommes pas seuls à le penser. Les sondeurs, pourtant si volontiers conformistes, le reconnaissent : malgré la pression des médias, à vrai dire leur propagande, deux tiers des Français considèrent qu’ « il  y a trop d'étrangers en France ». Tout un monde de personnalités, d'auteurs, d'intellectuels, de journalistes, appréciés de l’opinion, tirent la sonnette d'alarme, s'expriment dans les médias, ces derniers ne peuvent plus les ignorer parce que leur audience est grande, que leurs livres connaissent le succès. Et que leur présence sur les plateaux de télévision, ou dans les studios de radio, fait grimper l'audimat. Inutile de citer leurs noms : ils sont connus de tous. En quelque manière, ils ont brisé, sinon l’hégémonie culturelle et politique de la gauche, du moins le mur du silence et du mépris. Au point que les politiques doivent désormais en tenir compte. Ou faire semblant. Ainsi de la déclaration d'Emmanuel Macron, à la suite des élections italiennes dont le résultat le plus clair est l'euroscepticisme et le refus de l'immigration. Largement majoritaires. « Il faudra en tenir compte » a dit laconiquement le Chef de l'Etat. C'est évident ! 

    Nous ne sommes pas seuls non plus en Europe et dans le monde, à nous alarmer des conséquences de l'immigration massive. On sait qu'avec Donald Trump l'Amérique entend à la fois la freiner et la choisir. Ne nous y trompons pas : le slogan « America first » répond au vœu de l'Amérique profonde. Une bonne partie de l'Europe refuse aussi l'immigration massive (les pays de Visegrad, l'Autriche ...). En Allemagne même, un courant grandissant - pas seulement l'AfD - en fait autant. L'Italie à son tour, vient de marquer son choix. A vrai dire, l’afflux massif des migrants est devenu la préoccupation citoyenne centrale en Europe. Elle fait éclater les forces politiques traditionnelles et contredit l’idéologie dominante. Elle la déstabilise. Un grand basculement des politiques migratoires européennes pourrait bien s'imposer à terme... 

    La natalité française - et plus encore celle de nos voisins - faiblit, les démographes s'en alertent ; la proportion de vieillards augmente ; au contraire, les courants migratoires ont été et demeurent massifs. Les jeunes y sont nombreux. Et souvent haïssent la France ou même la combattent. Eventuellement, les armes à la main. La faiblesse de notre démographie autochtone comparée à la puissance invasive des populations immigrées nourrit leur volonté de domination. L'on nous serine que nous avons accueilli ces deux dernières années beaucoup moins de réfugiés ou de migrants que nos voisins. Mais on ne nous dit pas combien s'étaient déjà établis chez nous depuis quarante ans. Les Français le savent. 

    De sorte que le remplacement progressif de ceux que Finkielkraut appelle drôlement les « souchiens » par des populations principalement africaines ou proche-orientales et très généralement musulmanes est en train de s'opérer. A terme donc, si rien n'est fait pour s'y opposer, quelques décennies suffiront pour que, selon la formule du général De Gaulle, la France ne soit plus la France.  Et ce sur le triple plan du peuplement, de la culture et des mœurs qui s'en trouvent déjà lourdement transformés. Ce n'est pas notre vocation ici d'accepter cette perspective d'un cœur léger. 

    On a parfois abusé â l'Action Française de la formule de Bainville : « la France c’est mieux qu'une race, c’est une nation ». Mais il écrivait en un temps où la France n'avait guère connu que des migrations intra-européennes et encore dans des proportions qui n'avaient pas vraiment entamé le vieux fond celtibère et gallo-romain qui constituait l'essentiel de la population française jusqu'à la deuxième moitié du siècle dernier. Bainville et Maurras n'ont pas eu à juger du danger qu'eût représenté pour la France une invasion semblable à celle que nous vivons. Nous doutons fort qu'ils l'eussent acceptée sans broncher. 

    Un courant d'inspiration chrétienne voudrait par ailleurs nous faire accroire qu'une France en grande partie peuplée d'Africains et d'Orientaux, serait acceptable si ces derniers - hypothèse sans vraisemblance - étaient catholiques. Nous ne sommes pas d'accord. Fussent-ils catholiques, nous les préférons chez eux. La France ne serait plus la France si elle avait les couleurs, l'esprit, les mœurs de l'Afrique ou de l'Orient. Ce qui nous en différencie ne tient pas seulement à l'appartenance religieuse.  

    C’est la dose qui fait le poison. La France d'aujourd'hui se défait - entre autres causes - en raison d'une immigration dont la dose excessive devient un poison.  

    Il conviendrait donc si nous voulons survivre de la ramener au minimum incompressible et de la choisir selon nos intérêts et nos besoins. Car une certaine immigration qualitative pourrait être utile à la France et servir son rayonnement. Il faudrait en parallèle définir une politique de remigration efficace et rigoureusement appliquée : expulsion systématique des délinquants étrangers, des naturalisés, ou devenus Français par bénéfice du seul droit du sol, avec déchéance de la nationalité française pour ces deux dernières catégories ; réaménagement des droits sociaux (chômage, sécurité sociale, aides diverses) qui ne pourraient plus être équivalents à ceux des Français ayant cotisé pendant de longues années, ou, si ce n'est eux, leurs parents ou grands-parents. Le bénéfice des droits sociaux pour les nouveaux arrivants pourrait par exemple leur être accordé pro rata temporis de leurs années ou périodes de cotisation ; obligation de respecter les lois et coutumes françaises comme condition de résidence en France ... Une telle politique devrait être, s'il le faut, traduite juridiquement. 

    Nous savons bien que la France se défait de diverses autres façons. Qu'entre elles, elles interagissent et accélèrent le processus de délitement dont nous parlons. Nous savons encore que le mal est d'abord en nous-mêmes et que les insultes, les hauts-cris, à l'encontre des immigrés ne constituent pas une politique, sont vains et, en ce sens, déplacés.  

    Nous aurons à revenir sur tout cela. 

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    En deux mots, réflexion sur l'actualité

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