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  • Les Iles Fidji qui président la COP23 sont-elles en situation de vulnérabilité ?

    6a00d83451619c69e201b7c9319f2e970b-200wi.jpgLa COP23 a démarré avec son lot de contrevérités. Louis Daufresne a invité Stanislas de Larminat comme grand témoin sur Radio-Notre Dame ce 7 novembre. Une émission à réécouter en différé.

    Stanislas de Larminat a expliqué pourquoi la cause humaine des variations climatiques est loin d'être démontrée. Il a révélé pendant son émission que l’Académie Pontificale avait refusé tout débat contradictoire sur la question climatique.

    Les Iles Fidji qui président la COP23 sont-elles en situation de vulnérabilité ? L’invité de RND a mis en perspective l’idée de la hausse des océans. Certes quand ils se réchauffent, les océans se dilatent. Mais les mesures satellitaires chiffrent à quelques 1,8 ou 3,1 mm la dite hausse. Mais dans le même temps,

    • dans un mouvement horizontal, la dérive des continents les font se déplacer de 12 cm /an soit cent fois plus.
    • dans un mouvement vertical, un séisme peut les faire se soulever de 50 cm, puis rebaisser lentement au fil des années de 12 cm. C’est ce qui est arrivé après le séisme de 1997 et jusqu’en 2009
    • dans des mouvements oscillatoires, El Nino fait varier le niveau des océans le faisant passer périodiquement de 50 cm entre l’est et l’ouest du pacifique.

    Le niveau de la mer est loin d’être homogène.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Bientôt un signe distinctif pour les membres de l’AfD ?

    Nous avions vu dans un précédent article la liste des persécutions commises contre les membres du parti populiste AfD (Alternative für Deutschland), qui ne sont pas sans rappeler ce que les militants du Front National ont subi pendant des années, avec l’approbation de ceux-là même qui couinent aujourd’hui quand on les chahute un petit peu…

    Le 2 novembre, le site de Lionel Baland annonçait la nouvelle suivante :

    « Une juridiction de Göttingen en Basse-Saxe a décidé qu’un locataire doit annoncer lors de la conclusion du contrat de bail au propriétaire, en raison des dangers que représentent les attaques gauchistes contre les immeubles, qu’il est membre de l’AfD. Sinon, il s’agit d’une « tromperie » qui annule le contrat de bail.  La personne victime de cette décision judiciaire est le président de la Junge Alternative, l’organisation de jeunesse de l’AfD de Basse-Saxe Lars Steinke. Il doit donc chercher un nouvel appartement ». Et bientôt un symbole pour désigner à la police de la pensée les membres AfD ?

    Depuis le précédent article, la persécution contre le parti populiste allemand, pourtant parfaitement républicain et indéfectiblement pro-israélien, comme l’a admis Raphael Ahren dans le Times of Israel du 24 septembre 2017,  n’a pas décrue. Rappels de quelques faits depuis la dernière recension :

    – Le 30 décembre 2016, à Cologne, l’AfD est interdite de manifester pour le nouvel an contre la présence de colonies de peuplement en Allemagne.

    – Le 24 janvier 2017 ; à Coblence, lors du Congrès des élus ENL.  Sept hôtels, de Coblence à Wiesbaden, ont annulé les réservations. Dans le huitième, Frauke Petry a dû se rendre directement du garage à sa chambre sans pouvoir passer par le restaurant. Le réceptionniste a refusé l’enregistrement de Marcus Pretzell. Un peu comme les Juifs qui étaient interdits de présence dans plusieurs catégories d’établissement en Allemagne…

    – Le 18 février 2017, à Paderborn, les nostalgiques de la RDA ont bloqué l’accès à un stand de l’AfD.

    – Le 5 mars 2017, à Elberfeld, Un stand de l’AfD a été détruit par des gauchistes et un membre de l’AfD âgé de 61 ans a été légèrement blessé.

    – Le 21 avril 2017, à Essen, la maison du candidat AfD au parlement régional Guideo Reila été taguée et sa voiture endommagée.

    – Le 22 avril 2017, les ennemis de la liberté tentent d’empêcher le congrès du Parti à l’hôtel Maritim de Cologne. La milice auxiliaire de Merkel a insulté des journalistes, confondus avec des membres de l’AfD, ont été insultés par des gauchistes. D’autres hôtels ont été assiégés par les contre-manifestants, car ils sont supposés héberger des délégués de l’AfD.  Les appels à perturber le Congrès avait été lancé par les partis des collabos de l’occupant américain (CDU, FDP et SPD), le parti des collabos de l’ancien occupant soviétique (Die Linke) et le parti pro-pédophile des Verts. Deux policiers seront blessés par les gauchistes. Ce fut lors de ce congrès que la ligne inutile et nuisible de la « dédiabolisation » fut mise en minorité.

    – Le 29 avril 2017, à Francfort-sur-le-Main, la façade de l’immeuble de Dominik Class, cadre de l’AfD, est dégradée.

    – Le 30 avril 2017 à Stuttgart, des gauchistes ont tagué la façade du cadre de l’AfD Udo Abzieher en pleine journée alors qu’il se trouvait chez lui. Des tracts ont été distribués dans les boites-aux-lettres des voisins et collés sur la façade d’Udo Abzieher. Les gauchistes ont distribué des tracts sur une place de la ville et un passant qui n’était pas d’accord avec cela a été frappé et a dû être hospitalisé.

    – Le 1er mai 2017, à Gaarden, La police a interdit la tenue d’un stand de l’AfD car elle estime ne pas être en mesure d’en assurer la sécurité.

    – Le 5 juin 2017, à Bitterfeld, Les vitres du bureau de l’AfD ont été fortement endommagées. Cinq suspects ont été arrêtés.

    – Le 11 juin 2017, il est révélé qu’à Duisbourg, le dirigeant de PEGIDA en Rhénanie du Nord-Westphalie, Marco Schneidereit, a vu, début juin 2017, sa voiture être incendiée par des gauchistes et l’extérieur et l’intérieur de sa maison attaqués à la peinture après que des vitres aient été brisées. Dans cette même ville, Frank Betke membre du parti social-démocrate SPD et tenancier d’un restaurant qui autorise l’AfD à y tenir chaque mois une réunion [comme tous les partis, syndicats ,..] a vu des gauchistes attaquer fin mai 2017 son bistrot à la hache et au marteau. Les huit vitres de l’établissement ont été touchées. Il avait auparavant reçu des lettres de menace. Frank Betke ferme donc son restaurant et licencie les cinq personnes qui y travaillent.

    – Le 12 juin 2017, il est révélé que plus de soixante attaques ont été conduites contre des bureaux de l’AfD situés en Saxe, depuis que ce parti est entré, en août 2014, au sein du Parlement du Land et dispose de bureaux dans chacune des circonscriptions électorales de Saxe afin d’y accueillir des citoyens.

    – Le 1er juillet 2017, à Augsbourg, ville si appréciée de Georges Marchais, un stand de l’AfD a été attaqué par plusieurs individus. Deux personnes ont été blessées, dont un homme de 68 ans qui a dû être hospitalisé. Plusieurs agresseurs ont été arrêtés.

    – Le 2 juillet 2017, à Lichtenberg, un membre de l’AfD a été attaqué et frappé par un individu devant un stand du parti. L’agresseur a été interpellé par la police.

    – Le 9 juillet 2017, à Taunustein, Une voiture de campagne de l’AfD a été attaquée à la peinture.

    – En août 2017, pendant la campagne des législatives, de nombreuses affiches de l’AfD ont été détruites quotidiennement par des gauchistes Rappelons que leurs idées ont été au pouvoir dans un tiers de l’Allemagne de 1945 à 1990, avec les horreurs que l’on sait, et sans qu’il n’y ait eu de véritable épuration. Pas étonnant que la mauvaise herbe stasiste repousse, elle squatte jusqu’à la Chancellerie…

    – Le 27 août 2017, les nostalgiques de la RDA parviennent à faire annuler le congrès de l’AfD en Saxe-Anhalt.

    – Petite anecdote plus amusante. Début septembre 2017, l’AfD avait décidé de placer son affiche dite « Lili » (on y voit une fillette blonde riante avec ce slogan : « « Lorsqu’elle aura 18 ans, Lili se réjouira encore plus du fait que ses parents aient voté pour l’AfD ») derrière une vitre blindée. 11 abrutis gauchistes se sont blessés en essayant de casser la vitre…

    – Le 8 septembre 2017, Le président de l’AfD de Basse-Saxe Armin-Paul Hampel a été agressé après un rassemblement électoral. Des apprentis dictateurs lui ont craché dessus et il a reçu un coup de poing au visage.

    – Le 5 octobre 2017, à Berlin, La voiture et la façade du chef de file des élus de l’AfD au sein du Parlement de Berlin Georg Pazderski ont été attaquées. Les pneus de la voiture ont été crevés et les vitres brisées. La façade a été attaquée à la peinture.

    • Suite à l’élection de 94 députés patriotes au Bundestag, s’en est suivi des campagnes de contestation du scrutin démocratique par des gens qui n’ont pas compris que l’ère du SED et du Parti Unique était révolue.

    Notons que le 26 janvier 2017, un document interne de l’AfD étudiait la possibilité de se doter d’un studio de télévision, d’une radio, d’un quotidien ou d’une revue et de livres d’auteurs favorables à l’AfD afin que le parti soit représenté adéquatement dans le domaine médiatique…

    Message personnel à la journaliste algérienne Nadia Daam : « Wesh, grosse, c’est ÇA du vrai harcèlement… »

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/bientot-un-signe-distinctif-pour-les-membres-de-lafd/82699/

  • Où est passée la France « d'en bas » ?

    Par   

    1955827291.jpgTRIBUNE - Maxime Tandonnet, expose ici en termes très concrets comment, tandis que la France d'en haut s'étourdit avec le phénomène#balancetonporc et bientôt avec les célébrations de mai 68 et des JO, ou d'autres encore, la France d'en bas et ses millions de chômeurs et de pauvres est oubliée [Figarovox, 24.10]. Cette fracture nous semble relever d'une certaine façon, tout en l'actualisant, de la vieille distinction maurrassienne entre Pays Légal et Pays Réel, si souvent reprise en toute occasion. Elle est annonciatrice d'affrontements et de violence. Maxime Tandonnet n'y apporte sans-doute pas les réponses qui seraient les nôtres. Mais il pose avec lucidité et pertinence les justes questions.  Lafautearousseau   

     « Tout cela va très mal finir » aurait déclaré en privé le président Sarkozy. Que voulait-il dire par là ? Deux France évoluent en parallèle et l'abîme entre elles, ne cesse jour après jour de se creuser un peu plus. 

    La France dite « d'en haut », ses milieux dirigeants, ses responsables publics et politiques, ses réseaux d'influence, ses médias radio-télévision, ses experts, ses milieux financiers, se porte plutôt bien.

    La personnalisation médiatique du pouvoir, autour du plus jeune président de l'histoire, atteint un niveau vertigineux, jamais égalé, oscillant entre l'exaltation et l'exaspération, dans un monde factice, illusoire, surmédiatisé, où le culte du chef est l'écran de fumée qui recouvre, de quinquennat en quinquennat, l'impuissance publique à régler les problèmes des Français.

    De même, les crises d'hystérie s'enchaînent à un rythme endiablé, venues des Etats-Unis, après l'affaire des statues dites racistes, la dernière en date autour des scandales sexuels et du « balancetonporc » comme le montre si bien M. Gilles Goldnadel.

    La course aux lynchages bat son plein comme dans un jeu de « soft terreur » ayant le déshonneur public pour guillotine. Dernier « suspect », dernier lynché: le député M. Lassale, longtemps coqueluche des médias. Nul n'échappe désormais au syndrome de l'arroseur arrosé, au spectre d'une dénonciation, pas même les bourreaux eux-mêmes, comme le couperet s'est un jour abattu sur la nuque des Robespierre, Saint Just et Fouquier-Tinville

    La fuite dans les commémorations solennelles est elle aussi de routine. Il est logique que cette France dite d'en haut s'apprête à célébrer mai 1968, son acte de naissance, avec son culte du nivellement et de la table rase, son « interdit d'interdire », ses « CRS = SS » et son individu-roi qui s'exprime dans le célèbre - et ambigu - « jouissez sans entraves ». De même, la France dite d'en haut s'enivre par avance dans l'éblouissement des jeux olympiques de Paris 2024, comme pour oublier le présent et le monde des réalités.

    Mais au-dessous du grand maelström hystérique, où en est la France dite « d'en bas », celle de la majorité silencieuse et des tracas de la vie réelle ?

    Où sont passés les 5 à 6 millions de chômeurs ? Les 2 millions de bénéficiaires du RSA ?, les 8 à 9 millions de pauvres et les 3,2 millions de mal logés ?

    Que ne ferait-on pas pour noyer dans un tumulte stérile la pire tragédie de l'histoire de notre pays depuis 1945, celle d'une France ensanglantée par le terrorisme islamiste ?

    Et qui parle encore des squats et des bidonvilles qui prolifèrent sur le territoire ? Où en est la crise migratoire, les arrivées incontrôlées en Europe de centaines de milliers de personnes victimes des passeurs criminels ? Où en est l'aéroport de Nantes, voulu par l'Etat, confirmé par référendum, mais bloqué par les zadistes ?

    Et la situation des cités sensibles, les territoires perdus de la République, les trafics qui y règnent, les phénomènes de communautarisme et de repli identitaire, la tragédie de leurs habitants surexposés à la violence et qui ne demandent qu'à vivre en paix ?

    Où en sont les milliers de collèges et de lycées en crise, où les professeurs débordés par le chaos, insultés, giflés, ne parviennent plus à faire leur métier de transmission des savoirs fondamentaux ?

    En 2017 s'est déroulé un événement politique d'une portée capitale, historique, passé quasi inaperçu : le taux d'abstention aux élections législatives, le cœur de toute démocratie, pour la première fois dans l'histoire, a dépassé les 50% signant ainsi le naufrage de la démocratie française, dans l'indifférence générale.

    Cette fracture entre les deux France, la France dite d'en haut qui se noie dans les gesticulations de sa bulle médiatique et la France dite d'en bas confrontée à la tragédie du monde réel, est la source de tensions explosives, qui peuvent s'enflammer à tout moment, sous une forme ou sous une autre, dans la rue ou par un vote de destruction en 2022. Certes, aucun signe d'une explosion imminente n'est aujourd'hui décelable mais rien n'est plus calme qu'un magasin de poudre, une demi-seconde avant l'étincelle.  

    Maxime Tandonnet est historien. Auteur de nombreux ouvrages, dont Histoire des présidents de la République (éd. Perrin, 2013) et Au cœur du Volcan, carnet de l'Élysée(éd. Flammarion, 2014), il vient de publier Les parias de la République (éd. Perrin, 2017). Découvrez également ses chroniques sur son blog.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • FABIEN ENGELMANN : « BEAUCOUP DE MÉDIAS VIENNENT DANS LES MAIRIES FN COMME ON VA AU ZOO »

    À lire un article du journal Libération, paru dimanche soir, on pourrait croire que Fabien Engelmann, maire FN d’Hayange (Moselle), veut évincer le Secours populaire de sa ville. Dans cet article sont notamment rapportés les propos du responsable local de cette association : « Le maire FN n’en a rien à foutre des habitants dans le besoin. » Propos que le maire d’Hayange juge diffamatoires. Réaction de Fabien Engelmann au micro de Boulevard Voltaire.

    Fabien Engelmann, d’après l’article de Libération, vous auriez l’intention de dégager le Secours populaire d’Hayange.
    Est-ce exact ?

    Je n’ai rien contre le Secours populaire en règle général. C’est le Secours populaire local qui s’est mis de lui-même en dehors des associations hayangeoises.
    Dans mon programme électoral de 2014, j’ai toujours été clair sur le fait que je ne subventionnerais pas d’associations politisées qui utilisent l’image de leur propre association à des fins politiques.
    La secrétaire départementale du Secours populaire, madame Thull, m’avait donné raison. Dans un article du Républicain lorrain, en page région, elle indiquait ne plus supporter l’entrisme du Parti communiste au sein du secours populaire hayangeois.

    La responsable locale vous accuse, je cite, « de n’en avoir rien à foutre des habitants dans le besoin« .
    Réfutez-vous cette accusation ?

    Je trouve ces propos diffamatoires.
    Ils ont en plus été relayés par Libération. Tout le monde connaît Libération. C’est un journal militant. D’ailleurs, qui lit encore ce quotidien à part des bobos parisiens ? Plus grand monde.

    J’ai informé le journaliste de Libération que j’avais augmenté la subvention des Restaurants du coeur et donné des nouveaux locaux au Secours catholique. Nous sommes l’une des seules mairies à avoir un chantier d’insertion avec le CCAS. De plus, nous faisons beaucoup pour le social, pour les jeunes, les moins jeunes et les seniors.

    Je n’ai donc vraiment pas de leçons de morale à recevoir de la part de cette personne qui n’a eu de cesse de salir la majorité municipale, d’indiquer que nous diabolisions une partie de la population et que nous étions des gens d’extrême droite…
    Je lui propose simplement d’aller dans une autre mairie, peut-être communiste.
    Dans ma vallée, il y a des mairies de gauche qui n’ont aucune association caritative dans leur commune.
    Si nous avons autant de médias sur Hayange, c’est uniquement parce que nous sommes au Front national.

    Ce n’est pas la première fois que vous êtes ciblé par la presse nationale.
    Appelez-vous cela un acharnement ?
    Maintenez-vous votre position Front national ?

    Evidemment, il y a un acharnement.
    Des affaires scandaleuses se passent dans des mairies de gauche, de droite ou du centre et pourtant on n’en lit que deux ou trois lignes dans le journal local.
    J’ai été élu sur une liste Front national. Je reste fidèle au Front national et à Marine Le Pen.

    Ce n’est évidemment pas facile tous les jours, parce que les médias viennent dans les mairies gérées par le Front comme on va au zoo.
    Marine Le Pen l’avait indiqué il y a un an ou deux.
    Je suis vacciné et je tiens le coup avec mon équipe.
    Les gens ont l’air satisfaits puisque d’élections en élection, nous augmentons notre nombre de voix.

    Lors d’une élection municipale, vous votez pour une liste et après pour la personne et son équipe. Aux élections locales, certains électeurs votent pour moi en tant que Fabien Engelmann, en revanche à une élection nationale ils vont peut-être plutôt voter pour un autre candidat qui n’est pas au Front.

    L’article a été publié hier soir dans Libération. Son manque d’objectivité est très clair. Tout cela est assez affligeant, mais on reconnaît aussi que très peu de personnes lisent encore ce genre de torchons.

     Maire d'Hayange
  • Pierre Bergé, l’épine dans le pied de la bien-pensance - Journal du lundi 6 novembre 2017

  • Tariq Ramadan, accusé de viol : Natacha Polony dénonce le silence de certaines féministes

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    Les autorités musulmanes restent silencieuses autour du cas Tariq Ramadan, accusé de viols et violences. Les militantes féministes, pourtant sans retenue avec d’autres, restent elles-mêmes bien inactives.

    Natacha Polony revient notamment sur l’attitude ambiguë de Clémentine Autain.

  • l’Hebdo Politique avec Jean-Yves Le Gallou : Le Conseil d’Etat, les Sages chasseurs de croix ?

  • Déjà en 2016 : 'l’obligation vaccinale, c’est pour le profit et pas pour la santé publique"

    C'est le témoignage de Brandy Vaugham, ancienne représentante de ventes pour le fabricant de vaccins Merck & Co : 

    "Elle explique en détails comment les fabricants de vaccins se servent précisément des vaccins pour réaliser d’énormes profits et non pour la Santé publique. Brandy a effectué des recherches sur la sécurité des vaccins. Elle a trouvé que, non seulement les vaccins contenaient des produits toxiques connus qui pouvaient provoquer des dégâts neurologiques, mais aussi que les fabricants de vaccins ne réalisaient pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font pour les autres médicaments.

    Ce manque de recherches sur la sécurité des vaccins ajouté aux effets secondaires de la vaccination a contribué à faire prendre à Brandy la décision de ne jamais faire vacciner son enfant. Brandy déclare qu’administrer des vaccins à nos enfants, c’est comme jouer à la roulette russe avec eux. Elle ajoute que la vaccination obligatoire est simplement un moyen pour les fabricants de vaccins de faire de plus amples bénéfices encore sur le dos de nos enfants. S’il vous plaît, ne soyez pas dupes : nous n’avons aucun besoin de vaccination obligatoire".

    Lahire

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  • Faut-il remplacer Renaud Camus?

    camus-bis-300x200.jpgHuit morts et onze blessés, principalement des touristes argentins mais aussi belges, l’attentat à la voiture-bélier commis mardi à New-York au cri de Allah Akbar a bénéficié des répercussions médiatiques mondiales qu’attendaient les terroristes islamistes. Son auteur est un immigré ouzbek, Sayfullo Saipov, 29 ans,  un chauffeur de la compagnie Uber qui se serait auto-radicalisé depuis son arrivée sur le sol américain en 2010. Blessé par balle par la police lors de sa neutralisation, hospitalisé, il a confirmé aux enquêteurs avoir fait allégeance  à l’Etat Islamique (EI) et avoir préparé son méfait  depuis plusieurs semaines. Donald Trump a dénoncé à cette occasion la loterie à la carte verte initiée en 1990 pour favoriser une immigration diversifiée. Une disposition mise en place en 1990 par le Congrès et validée par le président républicain, George W. H. Bush, permettant d’obtenir ce sésame pour s’installer et travailler aux Etats-Unis. En France, ce sont ceux qui s’inquiètent des effets pervers de la babélisation, du multiculturalisme, de la dilution de notre identité nationale qui sont visés par les gardiens du dogme antiraciste. A l’image ces derniers jours de l’écrivain Renaud Camus poursuivi par deux ectoplasmes, deux  pseudopodes  du PS (ou de ce qu’il en reste) à savoir sos racisme et l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) qui se sont portés parties civiles. Il lui est reproché ce tweet en date du 22 octobre: « le génocide du juif était sans doute le plus criminel mais parait tout de même un peu petit bras auprès du remplacisme global ».

    Si  la formulation  est  peut-être  sujette à caution (la justice nous le dira?) et ambiguë, elle a cependant sa cohérence pour Renaud Camus,  auteur d’une formule  choc qui est quasiment rentrée dans le langage courant, reprise par ses adversaires comme par ses soutiens, celle du Grand Remplacement (titre d’un de ses  livres paru en 2011). En l’espèce celui  des Français autochtones, de souche par des flux migratoires  en provenance des pays du sud. Ce   « Grand Remplacement» écrivait-il,  «le changement de peuple que seul rend possible la grande déculturation, est le phénomène le plus considérable de l’Histoire de France depuis des siècles, et probablement depuis toujours. »

    Les petits pions de sos  racisme se sont étranglés et se sont livrés à une exégèse tortueuse des propos de l’écrivain: « Camus sous-entend ici que l’arrivée d’immigrés et la présence de descendants d’immigrés fera plus de victimes que la Shoah. Ses propos sont une façon de banaliser sans le dire l’ampleur du crime de la Shoah… Ils sont ouvertement racistes envers les personnes Noires et Arabes en plus d’être puants envers les Juifs.» Même son de cloche des  Torquemada de  l’UEJF  qui  « déposera plainte contre Renaud Camus pour contestation de crime contre l’humanité et provocation publique à la haine raciale. Renaud Camus, idéologue d’extrême-droite a déjà été condamné par la justice pour sa théorie du grand remplacement (…).  Non content d’inciter à la haine envers ceux qu’il juge responsables du  remplacisme global, Renaud Camus y ajoute une forme de révisionnisme pernicieuse consistant à minimiser le processus d’extermination de plus de 6 millions de juifs en Europe.» Ces deux officines exigent en outre une nouvelle fois que les hébergeurs de plateformes censurent et fassent défensivement taire les refuzniks, les dissidents et autres déviants à la pensée unique.

    Ne pas être d’accord avec la politique d’immigration massive implique t-il qu’on incite à la haine contre les responsables du remplacisme global, à savoir non pas les immigrés eux mêmes mais la classe politicienne  au pouvoir depuis 1976, année de la mise en place du regroupement familial? Même Laurent Wauquiez qui a avalé sans moufter et même en les dégustant  avec plaisir  toutes les couleuvres euromondialistes, immigrationnistes,  multiplie ces derniers mois  les clins d’œil identitaires à l’électorat  frontiste et droitier.

    Invité le  29 octobre du Grand Jury RTL / Le Figaro / LCI , M. Wauquiez, archétype du  progressiste du sérail  adoptant un langage dur à des fins clientélistes,   a repris une nouvelle fois  le discours du FN.  «La réalité, a-t-il dit, c’est que vous avez, aujourd’hui en France des quartiers qui sont les quartiers perdus de la France. Sortez du plateau de RTL, venez avec moi. Je vous emmène à Saint-Étienne, on ira à Firminy. Et vous verrez rapidement que la réalité va vous sauter au visage. » La réaction de son ami Gaël Perdriau, maire LR de Saint-Etienne  et président de Saint-Etienne Métropole ne s’est pas faite attendre: « je ne peux pas accepter cette assimilation hâtive, reposant sur une théorie identitaire (sic), subitement élevée au rang de réalité révélée, qui en fait le seul facteur explicatif des difficultés de certains quartiers de nos villes (…) ses propos sont inadmissibles par la stigmatisation des habitants de certains quartiers et parce qu’ils ouvrent la voie aux tenants de la théorie du grand remplacement culturel, tels Renaud Camus. Ces théories constituent le véritable socle idéologique de l’extrême-droite et de ses alliés comme Nicolas Dupont-Aignan

    Alain  Wauquiez  suspecté de complicité idéologique avec La Bête… l’heure est grave! Notons qu’ Alain Finkielkraut, ami de longue date de Renaud Camus, a été longuement interrogé sur son tweet par Elisabeth Lévy  dimanche dernier sur l’antenne de Radio RCJ. «Je souffre de voir Renaud Camus s’égarer de cette manière »  a affirmé l’académicien.  « Il faut se garder comme de la peste de toute comparaison (avec la shoah, NDLR),  avec les sombres temps du XXe siècle, et s’efforcer de penser le présent dans ses propres termes (…). Les ignorants qui l’accablent enterrent vivant un très grand écrivain. Je confirme. Voici la tragédie : c’est que celui-ci leur apporte son concours. Avec ses analogies et ses raccourcis, il creuse sa tombe, il est son propre fossoyeur. Il veut provoquer un sursaut, résultat, il provoque un haut-le-cœur, même chez les plus clairvoyants.»

    Pour autant, M. Finkielkraut lui donne raison sur le fond: « comme l’a écrit Elisabeth Badinter, sur la foi des témoignages terrifiants et édifiants collectés par Georges Bensoussan dans Une France soumise : Une seconde société tente de s’imposer au sein de notre République, tournant le dos à celle-ci, visant explicitement le séparatisme, voire la sécession. C’est un crève-cœur pour lui de savoir que tant de Français vivent à Saint-Denis, Sevran, La Courneuve, Tourcoing et même certains quartiers de Paris comme dans une terre étrangère (…). Quant au remplacisme global dénoncé à juste titre par Renaud Camus, qui consiste à vouloir compenser par l’immigration la baisse de fécondité des pays d’Europe, il procède de l’universalisation de l’idée du semblable. C’est parce qu’aucune différence n’est insurmontable que n’importe qui, partout, peut faire l’affaire. On peut dire que la vision démocratique du monde a enfanté un monstre, mais que ce monstre n’est pas génocidaire. Car le génocide n’est pensable que par contestation de l’unité de l’espèce humaine.»

    Invité de RFI le 6 octobre dernier,  Bruno Gollnisch avait été questionné sur cette notion de Grand Remplacement:  «Il y a des invasions qui ne sont pas nécessairement accompagnées de manœuvres militaires. Dans l’histoire de l’humanité, vous avez des transferts de population qui aboutissent progressivement à la disparition d’une population qui est remplacée par une autre. C’est ce qui s’est passé au moment les invasions barbares, etc. La théorie du Grand Remplacement ne me choque pas parce qu’il est certain que sous l’effet de l’immigration massive d’une part, et de la dénatalité française qui n’est masquée que par nos fausses statistiques, que par notre code de la nationalité, on observe progressivement un changement dans la population française.Si ça doit aboutir à la disparition ou à la régression de la population française d’origine, je m’en inquiète.»

    Immigration massive qui s’accompagne chez nous d’un discours, d’un racisme antifrançais proprement insupportable. Nous évoquions sur ce blogue les propos de Malika Sorel-Sutter, proche de la droite républicaine, ancien membre du collège du Haut Conseil à l’Intégration et de sa mission Laïcité. En février 2014, réagissant au rapport  de Thierry Tuot portant notamment sur la lutte contre les discriminations, elle avait dénoncé un lobby immigrationniste dont le discours «consiste à attribuer la responsabilité de l’échec de l’intégration aux Français ».  « Ce sont ceux  qui entraveraient la réussite des immigrés et de leurs descendants et c’est à ce titre qu’il convient de lutter contre les discriminations. Des Français de souche européenne seront mis de côté uniquement parce qu’ils ne sont pas de la bonne ascendance biologique. C’est du racisme anti-Français. Oui, le pouvoir bascule vers la préférence étrangère. »

    Dans son livre parue en 2015,  Décomposition française - comment en est-on arrivé là?Mme Sorel-Sutter sonnait le tocsin. La France ne survivra pas à la politique migratoire menée jusqu’alors par  les différents gouvernements du Système prévenait-elle.  Notre nation est sur le chemin de l’implosion, du fait de l’aveuglement de nos élites, de gauche comme de droite, sur les problèmes migratoires. Élites composées d’arrivistes fonctionnant par cooptation et écartant tout esprit indépendant, rebelle à la doxa multiculturaliste; personnel politicien privilégiant le court terme, le clientélisme communautaire – faites du lobbying comme les autres  religions et venez travailler avec nous déclarait Valérie Pécresse il y a quelques années aux responsables musulmans… Élites  incapables d’appréhender la dimension ethno-culturelle de l’immigration de peuplement, se fourvoyant dans la discrimination positivel’assistanat plutôt  que la méritocratie, incapables de faire aimer la France et précipitant l’avènement  d’un communautarisme à l’américaine,  mais sans la capacité intégratrice des Etats-Unis.

    Dans son livre, Malika Soral-Sutter, tout en énonçant de solides vérités dont nous avons donné un très bref aperçu,  faisait part de sa grande peur – partagée aussi par M. Finkielkraut -  de voir dans ces conditions un  Front National qui, lui, refuse de se voiler la face, être porté au pouvoir par les Français. Une frayeur qui parait bien dérisoire, pusillanime, aberrante même, au regard de la situation et de l’avenir sombre qu’elle nous décrit.  En s’opposant au seul grand mouvement politique luttant frontalement, sans esprit de recul, contre la submersion migratoire, les intellectuels et personnalités qui le combatte ne se comportent-ils pas comme des alliés de revers des politiques remplacistes qu’ils dénoncent?

    https://gollnisch.com/2017/11/03/faut-remplacer-renaud-camus/

  • PUIGDEMONT, ABDELKADER MERAH : MÊME COMBAT, VOTRE LOI, JE M’EN BATS L’ŒIL ! (2)

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    Abdelkader Merah, le frère de l’assassin de Toulouse et Montauban, vit en France depuis 1982. Il a bénéficié, comme l’ensemble de sa famille, des avantages que notre pays accorde, en termes de protection des lois et d’assistance sociale, par exemple. En 2007, il se vantait de « vivre du RMI et du Coran ». Comme pour la plupart des membres de sa famille, sa présence en France, et sa nationalité française alors qu’il déteste notre pays, sont des contradictions vécues sans vergogne. Le seul à avoir échappé au mécanisme est le frère aîné, Abdelghani, qui résume en deux phrases le contexte familial : « Dans la famille, il y avait un terreau fertile à la haine » et « Cet islam sectaire, cet islam politique veut la mort de la France ». Ainsi donc, un îlot familial habité par la détestation de la terre d’accueil a pu s’insérer en France, passer par la case « délinquance » pour plusieurs de ses membres et finir par le crime terroriste, antifrançais et antisémite, suscité par le fanatisme islamique.

    On peut opposer deux visages de femmes, de mères, musulmanes, chacune à leur manière : Latifa Ibn Ziaten, la mère d’un des parachutistes assassinés, et Zoulikha Aziri. La première incarne l’assimilation, la volonté d’être en France comme les Français, et peut-être même plus qu’eux, en aimant le pays avec ferveur et en souhaitant que ses fils le servent. Elle regrettera la décision en demi-teinte des juges en considérant que la France fait preuve de naïveté lorsqu’elle applique avec retenue ses règles juridiques à des ennemis acharnés qui lui font la guerre. La seconde est la mère de l’assassin, qui se disait fière de son fils « qui avait mis la France à genoux ». Elle a eu recours, comme Abdelkader, à la « taqiya », la dissimulation, c’est-à-dire cette conception typiquement musulmane du « pieux mensonge », lorsqu’elle s’est exprimée à l’audience. La famille, et l’islam haineux qui l’a pénétrée, sont au-dessus de la France. Abdelkader le dira avec arrogance : il n’obéit qu’à Dieu, et non aux lois des hommes. Échange de courriels entre Abdelkader et Mohammed lorsque ce dernier est au Pakistan, alors que la mère dit que le frère aîné ignorait où se trouvait son frère ; visite d’Abdelkader et non de Mohammed chez la mère le jour où y parvient la réponse d’une des victimes : la complicité des deux frères était étayée par des faits. En ne les retenant pas, les juges, drapés dans leur fierté professionnelle, ont ignoré la nature du problème. Il y a, en France, des noyaux de gens qui y vivent en voulant lui faire la guerre. Ce ne sont pas des délinquants, des criminels, mais des ennemis infiltrés, des traîtres qui doivent subir les peines les plus lourdes. Celui qui a vécu à l’abri de nos lois doit en sentir le poids à proportion de sa trahison, lorsqu’il les trahit.

    Une démocratie exige qu’on obéisse aux lois que l’on peut critiquer et remettre légalement en cause. Elle ne peut et ne doit tolérer qu’on les ignore ou qu’on les brise par la violence.

    http://www.bvoltaire.fr/puigdemont-abdelkader-merah-meme-combat-loi-men-bats-loeil-2/