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lobby - Page 1437

  • Laïcistes, lobbies LGBT et francs-maçons crient victoire pour avoir obtenu que Bercy s’en prenne à Civitas

    L’Union des Familles Laïques (UFAL), organisation laïciste regroupant, selon ses dires, 2.900 familles, et très très proche du Grand Orient de France (GODF), crie victoire, par communiqué, pour avoir obtenu que Bercy s’en prenne à Civitas et lui inflige un redressement fiscal de 55.000 euros.

    Le site Yagg, l’une des principales plateformes LGBT en France, se réjouit également.

    Selon le communiqué de l’UFAL, il faut y voir le résultat de sa pétition adressée aux services fiscaux. Cette pétition lancée le 29 novembre 2012 a réuni péniblement un peu moins de 16.000 signatures en plus de trois ans de multiples rappels. C’est loin d’être un succès populaire. Mais on y retrouvait dès les premières signatures tout le magma haineusement anti-chrétien.

    Voici un aperçu des premiers signataires :

    Jamila Alla (Présidente Ni Putes Ni Soumises Gironde Aquitaine), Gérard Aschieri (membre du CESE), Isabelle Attard (Députée de la 5e circonscription du Calvados, EELV), Vincent Autin (Président Lesbian & Gay Pride Montpellier LR, Directeur Interpride World Région France – Belgique – Luxembourg – Monaco – Pays-Bas), Yann Barte (jour­na­liste), Tony Bernard (Maire (Parti de Gauche – Front de Gauche) de Châteldon (63 Puy-de-Dôme)), Jean-Jacques Candelier (député du Nord, PCF), Michel Canet (Président de l’Ufal), Alexis Corbière (Conseiller de Paris, PG), Jacques Débans (Maire de Le Grés),Patrice Decorte (Ufal du Var), Olivier Desbordes (Directeur artistique, Metteur en scène), Delia Fernandez (co-animatrice du mouvement des Indignés),Nicolas Gavrilenko (resp. Politiques familiales à l’Ufal), Christian Gaudray (Secrétaire général de l’Ufal), Raoul Marc Jennar (essayiste), Cathe­rine Kintz­ler (Phi­lo­sophe), Laurent Klajnbaum (responsable national de la communication du PCF), Françoise Laborde (Sénatrice, PRG), Jean-Charles Lallemand (Secrétaire national à l’Égalité des droits du PG), Ligue des Droits de l’Homme de ManosqueSafia Lebdi (Conseillère régionale Ile de France, EELV), Yves Le Bihan (Trésorier d’Egale), Catherine Lemorton (Présidente de la commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale, Députée de la Haute-Garonne), Pascale Le Néouannic (Parti de Gauche, commission Laïcité),Michel Ménard (Député de la 5ème circonscription de Loire-Atlantique, PS),Catherine Michaud (Présidente de GayLib), Jean-Jacques Mitterrand(délégué général de l’UFFEJ, union française du film pour l’enfance et la jeunesse),Serge Pey (poète, écrivain), Christian PicquetChristelle Raspolini(Présidente du Comité Ni Putes Ni Soumises Guadeloupe), Françoise Rény(Conseillère Régionale d’Aquitaine et Adjointe au Maire de Bergerac – Parti Radical de Gauche), Jean Rie­din­ger (secré­taire de l’OCL – Obser­va­toire chré­tien de la laï­cité), Jean-Luc Roméro (conseiller régional apparenté PS), Jean-Michel Sahut (Président du Comité de réflexion et d’action laïque de la Seine-Maritime), Danielle Simonnet (Conseillère de paris PG), Bernard Teper (Co-animateur du Réseau Education Populaire), Alexandre Urwicz (Coprésident de l’Association des familles homoparentales), Monique Vézinet (Présidente Ufal Ile de France) et Yannis Youlountas (écrivain franco-grec).

    Rappelons que Civitas a plus que jamais besoin de votre témoignage de soutien !

    L’Etat maçonnique veut étrangler Civitas

    Civitas a fait l’objet ces jours-ci d’un contrôle fiscal aux évidents relents politiques. L’administration fiscale, agissant sur ordre, vient de décider de priver Civitas de la possibilité d’émettre des reçus fiscaux permettant à ses donateurs une déduction partielle de leurs impôts. Mais ce qui est plus grave, c’est que cette mesure est prise avec effet rétroactif, en conséquence de quoi l’administration fiscale nous réclame 55.000 euros !

     Voilà un long moment que des organisations laïcistes associées au lobby LGBT, aux loges maçonniques et à des mouvements politiques de gauche et d’extrême gauche exigeaient de l’Etat que les dons faits à Civitas ne puissent plus être partiellement déductibles des impôts, déductibilité pourtant pratiquée par de très nombreuses associations de tous bords. Soulignons que les plaignants représentent des organisations qui, elles, ne bénéficient pas simplement de la déductibilité fiscale mais aussi et surtout de larges subventions prélevées sur l’argent versé par le contribuable sans le consentement de celui-ci.

     L’Etat ne s’est pas contenté de donner gain de cause à ces organisations de l’anti-France, il veut nous serrer à la gorge et nous étrangler financièrement. Les55.000 euros qu’il nous réclame vont mettre nos caisses à plat et nous dépouiller de nos moyens de fonctionnement.

     La loi interdit de faire appel à votre générosité pour payer une amende.

     Mais vous pouvez choisir de nous montrer votre soutien et vos encouragements à continuer le combat qui est le nôtre. Vos adhésions, vos abonnements, vos dons (non déductibles d’impôt) peuvent renflouer les caisses de Civitas et permettre à notre mouvement de se relever de cette épreuve et de se remettre en ordre de bataille.

     . Vous ne partagez peut-être pas toutes les convictions de Civitas mais vous avez à cœur de nous témoigner votre solidarité ?

    . Vous avez depuis longtemps remis au lendemain votre adhésion à Civitas mais vous comprenez que c’est le moment ou jamais de le faire ?

    . Vous appréciez le travail de Civitas et vous refusez de laisser nos adversaires triompher ?

     Alors, de grâce, secourez-nous par un don, un abonnement à la revue Civitas ou une adhésion à Civitas.

     Civitas dérange ? C’est bon signe. Il est hors de question que nous courbions l’échine. Je sais que je peux compter sur vous. Ensemble, si Dieu veut, nous relèverons l’étendard de la Chrétienté. Notre volonté ne faiblira pas, quels que soient les coups bas du Pouvoir et de ses séides.

    Alain Escada,

    président de Civitas

    http://www.medias-presse.info/laicistes-lobbies-lgbt-et-francs-macons-crient-victoire-pour-avoir-obtenu-que-bercy-sen-prenne-a-civitas/48304

  • Si le FN passe, Ruquier prend ses cliques et ses claques

    FN ou pas, peut-être que cela commence à le titiller, lui aussi, de mettre à l'abri ses économies...
    « Si, demain, le Front national passe, je prends mes cliques et mes claques et je me tire […] »
    Une variante de « Si le FN passe, j’me casse », de Yannick Noah. C’est de Laurent Ruquier, qui s’emballe tout seul, interviewé par le JDD. C’est comme ça : si les Français élisent Marine Le Pen, le démocrate Ruquier mettra les voiles. Pourquoi, pour quoi faire, où ? Mystère et boule de gomme.
    Quelqu’un pourrait-il lui apprendre, au sieur Ruquier, que les 1,5 à 2 millions de Français vivant à l’étranger, selon les estimations de la Chambre de Commerce et dindustrie, n’ont pas attendu l’arrivée au pouvoir du FN pour s’expatrier ?
    Jeunes diplômés, cadres supérieurs, entrepreneurs, retraités, ils sont chaque année entre 60.000 et 80.000 Français à quitter leur patrie parce que l’herbe, ailleurs, leur semble plus verte et l’atmosphère plus respirable. Occasions professionnelles plus attractives, machines administratives qui ne broient pas l’esprit d’entreprise, conditions fiscales ou de vie incitatives, mais aussi fuite de certains quartiers où règnent homophobie et antisémitisme grandissants – Laurent Ruquier ne doit pas les fréquenter -, voilà l’essentiel des raisons évoquées par ceux qui en ont ras la casquette, de la gouvernance droite-gauche depuis trop longtemps.

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  • Pourquoi la campagne anti-TTIP est-elle plus efficace en Allemagne qu’en France?

    Le 10 octobre 2015, des manifestations ont été organisées dans les grandes capitales Européennes par les opposants au « partenariat transatlantique pour le commerce et l’investissement » (TTIP ou TAFTA) qui vise à supprimer les barrières douanières et règlementaires entre les États-Unis et l’Europe.  Alors que 150 000 à 250 000 personnes défilaient à Berlin, seules quelques centaines de personnes se sont rassemblées à Paris.
    Bien que 66% des Allemands soient favorable à la mondialisation pour les opportunités de croissance économique (47% pour les Français), seulement 31% des Allemands sont favorables à un accord de libre-échange et d’investissement entre l’Europe et les Etats-Unis (53% pour les Français). La pétition en ligne « Stop TTIP and CETA » totalise 3,2 millions de signatures dont 1,5 en Allemagne et seulement 0,3 en France. L’Allemagne qui profite beaucoup de la mondialisation est donc paradoxalement à la tête de la contestation et la société civile française pour l’instant en retrait. Quels sont les axes d’attaque des Anti-TTIP qui expliquent ce paradoxe ?

    Premier axe d’attaque des anti-TTIP: arguments sociétaux traditionnels de la gauche altermondialiste et écologiste

    Le cercle initial appelant à manifester comprend : Les altermondialistes (Attac, Campact,…), les écologistes (Greenpeace, les Amis de la Terre,…), les partis politiques écologistes et de gauche (Verts, die Linke, PC, Front de Gauche). Le Front National et les partis souverainistes de droite, hostiles au TTIP, n’ont pas appelé à manifester.
    Ces organisations de gauche altermondialiste et écologiste mettent en avant les arguments sociétaux traditionnels. Les principaux arguments sont la dégradation de la réglementation sanitaire européenne » avec entre autres l’introduction du fameux «poulet au chlore» et des OGM, l’ouverture des marchés qui a tendance à favoriser le « moins-disant social », la destruction des monopoles publics au profit d’entreprises capitalistes cherchant à générer des bénéfices plutôt qu’à servir les citoyens. Mais les Allemands hostiles au TTIP fédèrent largement au-delà de la gauche altermondialiste et écologiste. Les arguments traditionnels de la gauche altermondialiste et écologiste ne suffisent donc pas à expliquer la mobilisation outre-Rhin. Il faut aller chercher des axes d’attaque plus fédérateurs.

    Second axe d’attaque des anti-TTIP: les contre-arguments économiques

    L’appel à la marche contestataire à Berlin ne concernait pas que ce cercle initial altermondialiste et écologiste. En effet, la Confédération des syndicats allemands (DGB), proche du parti social-démocrate SPD (dans la coalition au pouvoir) avait appelé à manifester. Il y avait même un collectif de PME allemandes motivé par la crainte de voir des multinationales leur verrouiller la porte des marchés. Pour fédérer au-delà du cercle initial les anti-TTIP attaquent les arguments économiques de la commission  Européenne en diffusant largement les analyses contradictoires, notamment celle de Jacques Sapir qui prévoit une dégradation des indices économiques en Europe. Cependant toutes les analyses économiques montrent que l’Allemagne à moins à craindre que la France de la signature du TTIP (exemple : CEPII). Ce n’est donc pas sur l’échiquier économique que s’explique la prédominance allemande dans la lutte anti-TTIP.

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  • La guerre civile inconcevable

    Pendant que l’on amuse le peuple de débats oiseux, l’Etat recule. De renoncement en renoncement, la libanisation de notre pays semble inexorable.

    Le psychodrame national actuel au sujet de la déchéance de nationalité constitue une synthèse pratiquement parfaite des faiblesses de nos institutions et de notre vie politique. Confronté à l’imprévu, le président réagit précipitamment par une combinaison d’astuce tacticienne, d’effets de communication et de récupération politique. Ses frondeurs en profitent pour le mettre dans l’embarras en affichant leurs « valeurs » et leur « conscience de gauche », devant des médias friands de scandales artificiels.

    Les Français cèdent à leur penchant habituel pour les débats idéologiques, tandis que l’opposition cherche à utiliser la dernière polémique pour faciliter son retour au pouvoir.

    Rien donc de nouveau dans l’affaire, et le second élément ne l’est pas davantage ; c’est la peur, celle-là même qui est responsable de la confusion actuelle : peur d’appliquer les lois, peur de nommer les choses, peur d’être accusé de racisme ou d’islamophobie, peur de sanctionner, peur de perdre les élections, peur de la condamnation des instances supranationales, et surtout peur de s’attaquer aux véritables problèmes qui minent le pays.

    L’engrenage

    C’est précisément cette crainte de sévir, de trancher et d’affirmer l’autorité de l’Etat qui explique la pérennité et la multiplication des zones de non-droit, le développement des trafics d’armes, de drogue et d’êtres humains, le délitement du système scolaire, l’envolée des « incivilités » et de la délinquance, l’anarchie du système carcéral, l’immigration incontrôlée, la naturalisation bradée, le communautarisme rampant, les prêches de haine dans les mosquées intégristes et la quasi-absence d’expulsions de déboutés du droit d’asile – ou même de terroristes.

    Il suffit de suivre l’enchaînement et l’imbrication de tous ces facteurs pour comprendre l’impasse actuelle : l’immigration incontrôlée a provoqué entassement, chômage, déracinement, déscolarisation, haine de la France, phénomènes de bandes et petite délinquance. D’abord non sanctionnée, celle-ci a prospéré dans les zones de non-droit, puis elle a abouti à une criminalité plus dure, débouchant souvent sur la case prison ; que ce soit durant une incarcération mal contrôlée, dans les mosquées ou sur Internet, les délinquants sont tombés sous l’influence des intégristes prêcheurs de haine, qui leur ont donné une raison de vivre – et même de mourir. Ce n’est là que le schéma « standard », auquel s’ajoutent les « copy cat killings », crimes d’imitation commis par des esprits faibles ou perturbés. Les autorités étant incapables d’intervenir efficacement à l’une quelconque des étapes de ce processus infernal, il ne pourra que s’amplifier à l’avenir – d’autant que les enfants de ces intégristes, élevés dans une ambiance de haine, risquent d’être encore plus féroces et meurtriers que leurs parents…

    Peur de la peur

    Ce sombre tableau sera rejeté par bien des lecteurs, non parce qu’il ne correspond pas à la réalité, mais parce que l’admettre obligerait à avoir peur. Or, non seulement nous craignons la peur, mais encore nous craignons d’admettre que nous avons peur. Dès lors, la suite prévisible des événements se verra opposer un déni encore plus catégorique ; cette suite, c’est la conséquence logique de la faiblesse des autorités et de l’expansion du communautarisme dans les zones de non-droit. « La charia s’applique là où nous sommes majoritaires ! » a-t-on entendu en Allemagne et aux Pays-Bas. « Les agents de l’Etat français ne peuvent pas entrer chez nous ! » entend-on de plus en plus fréquemment dans certaines banlieues françaises. Quel que soit l’avenir de Daech – qui finira par disparaître, victime à la fois de ses ennemis et de ses dissensions internes –, la France connaîtra inévitablement l’accentuation d’un processus de communautarisme et de libanisation.

    Des scénarios « inconcevables »

    Bien entendu, ce processus ne mènera pas à la guerre civile, car ce serait inacceptable et, dans la pensée magique, l’inacceptable ne saurait se produire. D’autant que la perspective d’une telle guerre alarmerait le peuple, et rien n’est plus dangereux qu’un peuple alarmé – sinon un terroriste fanatisé. C’est d’ailleurs dans l’espoir de « rassurer les populations » que les autorités envoient des militaires en uniforme patrouiller et servir de gardes statiques – tout en sachant parfaitement qu’ils ne peuvent rien prévenir et constituent des cibles idéales pour un tueur bénéficiant de l’effet de surprise.

    Bref, cette guerre civile impossible, impensable et inacceptable peut se déclencher de l’une des quatre manières suivantes :

    • le premier scénario, un affrontement entre l’extrême droite et les salafistes, est aussi le moins vraisemblable ; en France, comme partout en Europe, les extrémistes s’en prennent rarement aux extrémistes, préférant les affrontements à moindre risque contre les modérés et l’Etat désarmé – même si l’on peut craindre des actions de représailles pour remédier à une démission trop ostensible des autorités.

    • dans le deuxième cas, certaines banlieues, villes ou conurbations du pays entreront en dissidence, hissant le drapeau noir de Daech, le drapeau blanc et noir d’Al-Qaïda, le drapeau jaune du Hezbollah ou le drapeau vert des nouveaux islamistes qui auront émergé dans l’intervalle ; même un gouvernement faible ne pourra le tolérer, et les opérations de reconquête par l’armée, la gendarmerie et les groupes d’intervention seront longues et sanglantes.

    • le troisième scénario est celui d’un effondrement de l’économie française, consécutif aux multiples errements que nous connaissons déjà ; dans un tel cas, les innombrables allocations assurant la paix sociale devront être réduites ou supprimées, ce qui provoquera des émeutes difficilement contrôlables, eu égard à la masse des bénéficiaires de l’assistanat, à l’échauffement des esprits, à l’effervescence religieuse et à la libre circulation des armes de guerre…

    Les conflits importés

    Le dernier cas est celui d’une dérive fatale des affrontements intercommunautaires, précipitée ou non par des événements extérieurs ; les hostilités déjà familières – et minimisées – entre Roms et Beurs, musulmans et juifs, Corses et Marocains, Kurdes et Turcs, Tamouls et Sri-Lankais, mafias italiennes et tchétchènes peuvent se doubler à l’avenir de conflits ouverts entre chiites et sunnites, Serbes et Kosovars, Erythréens et Somaliens, Indiens et Pakistanais, ajoutés à de possibles règlements de comptes d’ampleur entre Nigérians partisans ou non de Boko Haram, Syriens alaouites et opposants à Assad, Iraniens proches des ayatollahs et activistes des Moujaheddines du Peuple, Libyens affidés à Tripoli ou à Tobrouk, Afghans pro- et anti-talibans, Pakistanais de diverses confessions, voire Hutus et Tutsis rwandais si les guerres tribales devaient reprendre en Afrique de l’Est.

    A tout cela s’ajoute que les nouvelles vagues d’immigration massives vont sans doute charrier quelques courants de haines mortelles encore inconnues sous nos latitudes. Bien sûr, beaucoup de ces affrontements importés ne se produiront pas, mais qui osera affirmer qu’aucun n’éclatera ? Et que pourra faire dans cette éventualité une armée française épuisée par les gardes statiques, peu sûre de ses effectifs et moins encore de ses matériels ? (Ce qui ne signifie pas qu’elle ignore le danger : dès 2006, elle a ouvert dans l’Aisne le CENZUB, Centre d’entraînement aux actions en zone urbaine).

    Les naïfs diront que ces déchaînements de violence se produisent certes en Afrique, au Proche- et au Moyen-Orient, mais qu’ils ne peuvent s’exporter en France, pays du vivre-ensemble et des droits de l’Homme ; les craintifs trembleront et se réfugieront dans un silence assourdissant ; les attardés et les indignés hurleront au contraire que le seul fait d’évoquer de telles possibilités pourrait les amener à se produire – tout comme au Moyen Age on s’interdisait de prononcer le mot de peste par crainte de la convoquer… Et comme nous sommes en France, tout cela se terminera par des procès futiles et des joutes verbales stériles à visées électoralistes.

    Le salut dans l’improbable

    Pourtant, il faut bien ménager une place au hasard, car dans les destinées humaines, c’est souvent le plus imprévu qui est le plus certain. Dans ce cas, les scénarios probables nous seront épargnés, et la France trouvera finalement son salut dans la survenue de l’improbable…

    François Kersaudy, 13/01/2016

    Source : Le Point.fr (13/01/2016)

    http://www.polemia.com/la-guerre-civile-inconcevable/

  • Quand Christian Estrosi perd son sang froid au Conseil Régional PACA

  • Intervention de Marion-Maréchal Le Pen à propos de la création d'une "assemblée parallèle".

  • La Russie accuse l’Allemagne de cacher le viol d’une enfant de 13 ans par des clandestins

    Sources:TV 1 / BBC

    Le viol présumé d’une jeune fille russe de 13 ans à Berlin, par des demandeurs d’asile, a provoqué de fortes réactions de l’importante communauté russe d’Allemagne.
    Mais le scandale a été déclenché par la machine de propagande médiatique russe avec l’appui du Kremlin. Des milliers de russophones sont descendus dans les rues dans toute l’Allemagne ce week-end pour protester contre ce qu’ils pensent être une dissimulation de la police. « Nos enfants sont en danger, » peut-on lire sur une pancarte, « Touche pas à mon enfant, » sur une autre.

    700 manifestants se sont rassemblés devant la chancellerie samedi dernier et d’autres manifestations ont eu lieu devant des foyers de demandeurs d’asile à Berlin et dans le sud de l’Allemagne.
    Les manifestants étaient en colère après que la télévision russe Channel One ait signalé qu’une enfant russe de 13 ans avait été enlevée sur le chemin de l’école et violée par les demandeurs d’asile « d’origine arabe ».
    Mais la police allemande a indiqué qu’après un interrogatoire et des examens, il était clair que Lisa F. n’avait pas été enlevée et violée. Les rapports sexuels n’avaient pas été forcés a expliqué la police.
    Cependant vu l’âge de la jeune fille, seulement 13 ans, le procureur va poursuivre deux hommes pour maltraitance sur enfant. L’âge du consentement sexuel en Allemagne est de 14 ans et des relations sexuelles avec un enfant mineur sont considérées techniquement comme un viol, mais si la force n’est pas utilisée cela sera généralement classé comme de la simple maltraitance.

    Le 11 janvier, Lisa F. a été portée disparue par sa famille auprès de la police. Elle est réapparue le lendemain. Mais une interview télévisée donnée par la tante supposée de la jeune fille a laissé entendre que la jeune fille avait été violée par plusieurs hommes pendant les 30 heures de sa disparition. Cette intervention s’est répandue sur les réseaux sociaux et a été vue plus d’un million de fois sur Facebook.
    L’Avocat allemand Martin Luithle a déposé plainte à la police pour incitation à la haine raciale contre le journaliste russe qui a lancé cette histoire, Ivan Blagoy.
    L’affaire a été reprise avec enthousiasme par les extrémistes de droite pour discriminer encore plus les migrants qui est récemment devenu un sujet explosif en Allemagne.
    L’extrême-droite du NPD et la branche berlinoise du mouvement anti-Islam PEGIDA ont aidé à organiser des manifestations. Les liens entre la Russie et des groupes d’extrême-droite en Allemagne ne sont pas inhabituels. Les drapeaux russes sont souvent brandis aux manifestations de PEGIDA. Le quartier de Marzahn, où vit la famille de Lisa F., peuplée de russophones, est connu pour ses tendances xénophobes et extrémistes de droite.
    Mais maintenant, l’affaire pourrait se transformer en un contentieux diplomatique entre l’Allemagne et la Russie. « Il est clair que la jeune fille n’a pas disparu volontairement pendant 30 heures, » a lancé le ministre russe des Affaires étrangères Sergei Lavrov au cours d’une conférence de presse mardi à Moscou, accusant les responsables allemands de couvrir cette agression.
    « J’espère que ces crimes ne sont pas cachés sous le tapis et qu’il n’y a pas d’autres cas comme celui de notre Lisa. »

    Mais en parlant aussi crûment sur qui est connu comme l’« affaire Lisa », M. Lavrov souligne la faillite des autorités allemandes sur le problème de la délinquance immigrée. Ces allégations sont particulièrement solides depuis la débâcle de Cologne, lorsque la police a été incapable de protéger des centaines de femmes contre les agressions sexuelles du réveillon du Nouvel An.
    Le ministre de l’Intérieur de Berlin, Frank Henke, a répondu en disant qu’il était surpris par l’intervention de Moscou sur une enquête de police en cours, et que la police allemande se conformait à la loi en vigueur.
    « L’accusation selon laquelle les enquêteurs dissimulent quelque chose n’est pas vraie même si on le répète sans cesse », a-t-il déclaré. D’autres politiciens allemands ont exprimé leur indignation, accusant Moscou d’alimenter les théories du complot de l’extrême-droite en Allemagne.
    Le ministre des Affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier est catégorique, il n’y a aucune justification à utiliser cette affaire « pour la propagande politique et pour enflammer et influencer ce qui est déjà un débat difficile sur l’immigration en Allemagne ».
    Le porte-parole de la chancelière Angela Merkel, Steffen Seibert, demande à ce que les autorités puissent enquêter sans pression extérieure. « Il n’y a aucune raison, et c’est même inadmissible, de faire un usage politique de cette affaire, » dit-il de son côté.
    Le Président de la Commission des affaires étrangères du gouvernement allemand, Norbert Roettgen, s’est plaint que « manipulations et mensonges sont des méthodes courantes dans la propagande utilisée par les dirigeants russes. Le cas montre que les questions nationales en Russie semblent être plus importantes que les relations avec les autres pays. »

    Mais certains commentateurs allemands ont critiqué la police de Berlin pour son manque de communication. Bien que les enquêteurs gardent les accusations de violence contre un enfant, les critiques disent que ce n’était ne pas clairement indiqué dans la déclaration initiale de la police.
    Cette imprécision a été reprise par les militants anti-immigrations dans l’espoir d’attiser les tensions.
    Les médias soutenus par le Kremlin ont souvent été accusés de propagande pour semer le trouble chez les russophones vivant dans les pays baltes. Mais maintenant, certains craignent que la même tactique puisse être utilisée en Allemagne, peut-être pour déstabiliser la chancelière Angela Merkel à propos des sanctions européennes imposées à la Russie en raison du conflit dans l’est de l’Ukraine.

    http://fr.novopress.info/197623/russie-accuse-lallemagne-cacher-viol-dune-enfant-13-ans-immigrants-illegaux/

  • Mondialisme : en route vers le paradis du Nouvel Ordre Mondial !

    Une nouvelle phase du Nouvel Ordre Mondial (N.O.M.) est sur le point de débuter.
    Le prix du pétrole n’a rien à voir avec les radotages des fonctionnaires. Chacun sait qu’il fut fixé dès 1928 par un cartel que l’on a appelé les 7 sœurs, puis il permit de répandre la fausse monnaie vétérotestamentaire, le dollar, à partir de 1973 car il fut accepté que tout achat de pétrole se paierait en cette devise. Ce fut donc un pactole pour les étatsuniens qui financèrent avec leur propre émission monétaire l’expansion de leur inhumanité.
    Aujourd’hui, le prix est de nouveau à la baisse, comme après la seconde guerre mondiale. A ce moment là, il s’agissait de mettre en pratique la méthode du « gangster vendeur » de drogue : donner les premiers joints, le pétrole, pour intoxiquer et rendre dépendant. Ainsi la technologie et l’industrialisation s’étendirent en utilisant le pétrole. Une fois le monde intoxiqué, alors le prix fut monté par le cartel des 7 soeurs et ce fut le pactole….
    La chute actuelle est tout aussi coordonnée
    Il est probable qu’il y ait plusieurs victimes volontaires, totalement ou en partie, à condition qu’elles gagnent quelque chose par ailleurs ; un droit d’entrée au paradis sur terre, le nouvel ordre mondial du non-être. D’autres victimes, par contre, sont vues comme réfractaires à l’esclavage proposé et doivent être rabrouées pour ne pas enseigner le mauvais exemple. On pense ici à ces pays qui ont découvert, peu à peu, l’horreur derrière les discours des organisations internationales, puis décidèrent de sortir de la médiocrité en se préoccupant du droit des peuples, en premier lieu du leur, plutôt que de remplir les poches des voyous. La Russie, le Vénézuela entrent dans ce cadre, jusqu’à un certain point. D’autres, comme les saoudiens, koweitiens etc. achètent leur survie pour la prochaine phase du N.O.M. L’Iran se réintroduit dans les circuits dont on avait voulu les éjecter…
    Dans la catégorie des avantages collatéraux, il convient de noter la possibilité de faire exploser la bulle des schistes bitumeux, avant qu’elle ne soit trop gonflée, et un petit coup de pousse aux larbins européens qui peuvent continuer le génocide de leur peuple en disposant du pouvoir d’achat temporaire qu’offre un prix très bas. En France par exemple, nul doute que les bipèdes à la tête de l’Etat affirmeront que l’État d’urgence n’a que des vertus puisque l’économie se maintient au taux zéro de la croissance mais sans récession grâce au pétrole si bas. A terme, l’aspect financier va devenir l’essentiel. Les financiers pourront installer la nouvelle divinité, le N.O.M.
    On doit à Brandon Smith d’avoir donné l’alerte sur la volonté de passer à une nouvelle étape, manifestée par la finance mondialiste. Ceux qui ont lu et médité les derniers textes d’Alexandre Zinoviev, peu avant son décès, savent que la supra-société ne se construit que sur la ruine des États et de leurs économies.
    Le Federal Reserve Sistem n’est pas au service de l’Amérique mais de ceux qui l’ont mis en place et pensent désormais crocheter toutes les bourses en installant un système monétaire international plus global, plus centralisé, auquel d’ailleurs Christine Lagarde ne comprend rien puiqu’elle affirme, par mimétisme bêta, adorer la numérologie kabbalistique, petite pitrerie monothéiste qui cherche à cacher le néant de la pensée. La(ha)garde connaît le mot, RESET, mais pas la chose. Nous non plus, certes, mais on peut faire deux observations sur le processus en cours.
    – La FED – comme la BCE ou la banque du Japon pour leurs monnaies respectives – veut liquider la monnaie nationale, le dollar. Elle a inondé le monde de cette monnaie et continue à le faire en rachetant les titres émis par l’Etat américain, lorsque ceux-ci arrivent à échéance. Elle relèvera peu à peu les taux d’intérêt pour dégonfler la valeur (en dollar) de toutes les obligations lancées dans la nature au cours des années récentes. La richesse se concentre ainsi, un peu plus chaque jour, entre les mains des détrousseurs des Hedge Funds qui avaient profité de la monnaie gratuite et des taux nuls pour inciter les épargnants à acheter toutes sortes d’obligations qui ont enrichi les émetteurs et peuvent désormais être dévaluées.
    – la B.R.I, sait que la chute du prix du pétrole réduit la demande de dollars. La tendance à terme est donc une baisse de la valeur de cette monnaie, quoique de temps à autre, à cause des turbulences causées dans tous les pays, la devise saute à un niveau qui paraît élevé. Ce n’est que du brouillard. Il est probable que les Ecumeurs de la BRI préparent une future cotation du pétrole en une devise construite à partir d’un panier, processus d’émission des D.T.S au F.M.I. De plus, tant les BRICS que les domestiques zélés de l’Empire du non-être accepteront la nouvelle donne du panier de devises avec le FMI et la BRI comme Souteneurs. Et l’humanité s’approchera du paradis infernal, la vie de château décrite par Kafka.

    Auran Derien

    Metamag :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuVuplZVuFQXakYZvc.shtml

  • Prison à vie requise pour des journalistes turcs dissidents

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    Ceux-ci sont enfermés depuis le 26 novembre pour avoir diffusé une vidéo prouvant le soutien militaire turc à des rebelles islamistes. Ils publiaient auparavant pour un des principaux journaux turcs dissident.

    Qualifiant l’acte de trahison, le président Erdogan lui-même serait plaignant avec le chef de ses services secrets. Il avait promis à la télévision turque que les deux hommes paieraient le prix fort pour avoir dévoilé cette vidéo.

    Les procureurs du tribunal d’Istanbul ont requis à l’encontre des deux hommes une peine de réclusion à perpétuité aggravée, ainsi qu’une peine de perpétuité ordinaire.

    http://fr.novopress.info/

  • Avortement : les graves et justes propos de Mgr Aillet

    Communiqué de Mgr Aillet, du jeudi 28 janvier 2016 : "Avortement : le débat est-il permis ?"

    « Ouvrons nos yeux pour voir les misères du monde, les blessures de tant de frères et sœurs privés de dignité, et sentons-nous appelés à entendre leur cri qui appelle à l’aide.

    Que nos mains serrent leurs mains et les attirent vers nous afin qu’ils sentent la chaleur de notre présence, de l’amitié et de la fraternité. Que leur cri devienne le nôtre et qu’ensemble, nous puissions briser la barrière d’indifférence qui règne souvent en souveraine pour cacher l’hypocrisie et l’égoïsme. » (Pape François, extrait de la Bulle d’indiction de l’Année Sainte de la Miséricorde)

    Alors que le gouvernement amorce de nouvelles mesures pour faciliter l’accès à l’avortement, nous appelons de nos vœux que ce débat, trop longtemps ostracisé, caricaturé, voire interdit, soit ouvert à nouveau. Parce qu’il engage l’avenir de notre pays dans une logique que le pape François appelle la « culture du déchet », ce combat assumé et mené par la classe politique doit être interrogé honnêtement, sans devenir un tabou social dont même les dérives ne peuvent être soumises à la critique. […]

    La suite sur le site du Diocèse de Bayonne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Avortement-les-graves-propos-de