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lobby - Page 1740

  • L’islamisme politique est mort

    Frédéric Pichon, docteur en histoire contemporaine (ne pas confondre avec l'avocat), spécialiste de la Syrie et des minorités, chercheur associé au sein de l’équipe EMAM de l’université François Rabelais (Tours), est interrogé dans l'Action française 2000. Extraits :

    A"Je vois mal la Syrie jouer un rôle régional, elle n’est effectivement qu’un pivot. Cela dit, la Syrie, dans les limites qu’on lui avait tracées, est-elle un État viable ? Chaque fois qu’on a voulu redessiner des cartes sur une base communautaire, ça a été des flots de sang – ce qui n’enlève pas l’arbitraire de ce découpage colonial. Mais la Syrie a su bâtir un modèle original.L’islamisme politique est mort, il ne triomphera pas, même si ça prend un certain tempsL’idée de nation, au sens d’un État souverain et jaloux de sa souveraineté, est une chose à la mode dans le monde arabe. La construction héritée des frontières coloniales est aberrante, mais la région ne peut se constituer uniquement sur des bases ethniques, peu pertinentes économiquement. Le modèle syrien, ce qui explique sa résilience, est un module supra-communautaire.

    Il y aurait donc un retour des nationalismes arabes ?

    Oui, même si c’est paradoxal. Les printemps arabes viennent couronner le lent effritement des modèles nationalistes, avec le parti Baas, etc., car les régimes n’ont pas réussi à bâtir un État qui ne soit pas clientéliste ; mais il est peut-être resté comme un sentiment national, de fierté, qui se repère dans l’espèce de contre-révolution à laquelle on assiste dans des pays comme l’Égypte ou la Tunisie, qui préfèrent des solutions nationalistes aux solutions islamistes.

    La défense des chrétiens d’Orient a-t-elle un véritable avenir ?

    Cela paraît surréaliste que l’Occident postchrétien, posthistorique puisse jouer sur le levier des chrétiens d’Orient comme la France ou l’Autriche avaient pu le faire aux siècles derniers. Dans la question des chrétiens persécutés, on a surtout joué sur la fibre compassionnelle envers des minorités exotiques menacées. Mais l’Occident et la France, qui sont lâches et impuissants sur ce dossier, ne feront rien : il suffit de voir le traitement différencié entre les chrétiens de Syrie et ceux d’Irak. Les premiers n’ont reçu aucun soutien contrairement aux seconds, présentés (à juste titre) comme de pauvres persécutés quand les premiers sont censées être des suppôts du régime. Les chrétiens ne peuvent plus constituer un levier diplomatique de l’Occident dans ces régions, surtout avec des présupposés faux, comme la mise en balance des musulmans en Europe et des chrétiens en terre musulmane, accréditant ainsi l’idée de chrétiens qui seraient une greffe ou un élément exogène, alors que leur histoire millénaire démontre le contraire."

    Michel Janva

  • Des piétons fauchés à Dijon par un automobiliste criant « Allah Akbar »

    Et ça continue… Après Joué-lès-Tours voici Dijon ! La dernière vidéo des barbus de l’EI appelant les musulmans de France à faire « exploser la tête de ces Kouffars » semble avoir provoquée l’effet escompté.

    Lu sur Le Figaro : « Selon une source policière, trois hommes dans une voiture ont renversé une dizaine de piétons en fin de journée à Dijon en hurlant «Allah Akbar». L’agression a eu lieu à quelques centaines de mètres de la Place Wilson. Il y aurait onze blessés dont deux grave. Selon la police, les hommes visaient des membres des forces de l’ordre, le commissariat étant proche. »

    Le Dauphiné donne plus de détails :

    22h14 : L’homme a foncé à cinq endroits différents sur des passants. «Neuf personnes ont été légèrement blessées et deux autres sérieusement mais leur pronostic vital ne semble pas engagé», a expliqué une source policière.
    Selon les témoignages recueillis par la police, «l’homme a crié +Allahou Akbar+ et a dit avoir agi pour les enfants de Palestine», a ajouté une source proche de l’enquête.

    22 heures : l’automobiliste est probablement un déséquilibré. «L’homme, né en 1974, présente le profil d’un déséquilibré et serait suivi en hôpital psychiatrique», a déclaré un source policière cette source, indiquant que «pour l’heure ses revendications semblent encore floues».

    21h29 : Quatre piétons auraient été percutés par un véhicule dans un premier accident en plein centre ville de Dijon relate le site le Bien Public.com avant que sept autres personnes ne soient renversées quelques minutes plus tard dans trois autres collisions survenues rue des Godrans, rue Monge et rue du Transvaal. Le conducteur s’est enfui après l’accident avant d’être interpellé par les forces de l’ordre et conduit place Suquet. En revanche, deux autres personnes se trouvaient dans le véhicule et sont actuellement recherchées.

    Deux des victimes sont grièvement blessés tandis que les autres sont blessées plus légèrement.

    Le préfet de Côte-d’Or, Eric Delzant, est sur place. La préfecture indique que les collisions sont « volontaires ».

    Selon une source policière, un homme en djellaba accompagné de deux autres personnes était au volant et aurait percuté les passants en hurlant « »Allah Akbar »». Le conducteur a été interpellé par la police révèle Le Figaro.fr. Selon la police, les hommes visaient des membres des forces de l’ordre, le commissariat étant proche.

    http://www.contre-info.com/

  • A.F [Communiqué] Opération "Crèches pour tous" [Vidéo]

    Depuis le vendredi 12 décembre, des étudiants parisiens de l’Action française ont commencé une distribution de crèches devant les grands magasins, afin de rappeler que Noël n’est pas la fête de la consommation, mais celle de la Sainte Famille, et l’occasion donnée aux familles de se rassembler.

    Une centaine de crèches ont ainsi été données gracieusement aux passants le souhaitant, à des familles dont les enfants jubilaient et à des sans-abri pour qui, ce fut une occasion de parler longuement.

    Cette initiative, accueillie avec enthousiasme par les Parisiens, a été ponctuée par le dépôt d’une crèche devant la librairie de la « Libre Pensée », pour mettre en garde nos compatriotes contre un laïcisme liberticide et intolérant qui fait peu de cas de l’héritage, des traditions et de l’âme françaises.

    L’Action française encourage tous les patriotes de bonne volonté à offrir des crèches à leurs prochains, notamment aux plus démunis, et à en afficher dans tous les lieux, en signe de résistance et d’Espérance.

    En cet Avent 2014, alors que la guerre des crèches fait rage, toute l’Action française vous souhaite par avance un saint et joyeux Noël.

    Action française

     

  • Un journaliste fait retirer une crèche au CHU de Nancy

    Lu sur l'Est Républicain :

    "Service de neurologie à l’hôpital central de Nancy. Au 3e étage entre l’aile A et la partie « épilepsilogie », un petit hall par où arrivent les visiteurs, les patients et le personnel. Sur une table, un sapin décoré et juste en-dessous, à droite, une crèche de Noël en papier rocher de dimension modeste : une vingtaine de centimètres de large, une douzaine en hauteur et un peu moins en profondeur. À l’intérieur, quelques personnages dont Jésus, Marie et Joseph.

    Informé de ce tableau, un journaliste de L’Est Républicain constate, de visu, la réalité de la chose, alors que la polémique sur les crèches dans des bâtiments publics bat son plein.

    Vendredi 15 h 50. Ce même journaliste contacte la directrice de la communication du CHU et demande quelle est la position officielle de l’établissement. Gwendaline Henry lui suggère d’envoyer un mail. « Vous aurez la réponse avant ce soir », lui indique-t-elle.

    À 16 h 27, le mail est expédié. Dans une première partie figure un rappel des affaires de la crèche du Conseil général de Vendée, interdite par le tribunal administratif de Nantes, pour atteinte à la laïcité, de celle de Béziers autorisée par les juges de Montpellier, de celle de Melun enfin avec une décision qui tombera lundi.

    Puis, le journaliste pose deux questions : «Pourquoi une crèche dans un service d’un hôpital public qui accueille des malades de toutes confessions ou sans confession et emploie des personnels de toutes confessions ou sans confession ? Quelle est la position de la direction du CHU à ce sujet sachant que si les hôpitaux peuvent disposer d’aumôneries, conformément à la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, celles-ci ne peuvent en aucun cas faire de prosélytisme ?»

    Sans doute un vent de panique a-t-il soufflé sur l’hôpital central. Plainte ? Procès ? Que n’a-ton probablement pas imaginé !Vendredi à 17 h 30, le journaliste se rend à nouveau au 3e étage du bâtiment neurologie. À sa grande surprise, il constate que la crèche, comme par miracle, a disparu. Selon nos informations, elle a été enlevée entre 16 h 45 et 17 h 15."

    Michel Janva

  • Une découverte macabre dans une loge maçonnique (1941)

    « En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans.

    Commis par M. le procureur de l’Etat français, M. le docteur Roulaud, médecin légiste, se rendit le 19 décembre 1941, à 16 heures, à la Loge et dressa un rapport.

    « Le cadavre examiné, y lit-on, est celui d’une fillette mesurant cent trois centimètres, et par conséquent, âgée d’environ sept ans. »

    Le médecin légiste décrit ensuite minutieusement ce cadavre qui pesait deux kilos, dont les parties molles étaient « absolument desséchées, ligneuses et légères« . Les viscères avaient été enlevés. Il ne restait que le « squelette, les muscles des membres, avec des morceaux de peau parcheminée« .

     

    Les vaisseaux artériels avaient été « colorés en rouge vif« , et les veines « injectées en bleu« . On avait conservé « la vessie et le rectum béants et parcheminés« .

    Deux trous pratiqués dans le vertax permettaient de suspendre ce cadavre au mur, ajoutant à l’horreur du spectacle.

    On avait, détail horrible, « respecté les paupières qui portaient encore leurs cils longs et blonds » et les lèvres qui bordaient « d’un mince liseré desséché une rangée presque intacte de petites dents jaunies ».

    On pourra trouver deux reproductions photographiques du cadavre de la loge de Béziers dans les Documents maçonniques d’août 1942, p. 23.

    Toutes les loges n’avaient sans doute pas les moyens de pousser l’usage de l’horrible aussi loin que la loge de Béziers, mais dans tous les cabinets de réflexion, on trouve des crânes, des tibias, des tentures de deuil, des transparents lumineux faisant apparaître un corps d’homme, des silhouettes en matières luminescentes, des squelettes en fer forgé peint, etc…

    De toute manière, il s’agit d’inspirer l’horreur.
    La découverte du cadavre de la loge de Béziers indigna, à l’époque, un public qui ignorait tout des cérémonies initiatiques dans la Franc-maçonnerie. « Sans aucune nécessité scientifique, écrivaient les Documents maçonniques, sans aucun droit, contrairement aux lois, la Maçonnerie s’est appropriée le malheureux cadavre d’une petite fille pour le faire figurer dans ses cérémonies macabres afin d’impressionner les Frères. »Le but était, évidemment, de placer ses adeptes dans un « état spécial d’hypnose intellectuelle et d’énervement physique », nécessaires à la préparation à l’initiation.
    Jacques Ploncard d’Assac – Le secret des Francs-maçons (1979) – p. 131

    Source

    http://www.contre-info.com/une-decouverte-macabre-dans-une-loge-maconnique-1941#more-35972

  • Théorie "qui n'existe pas" : la différence des sexes fait de la résistance

    A lire sur le Figarovox, un entretien avec Bérénice Levet, docteur en philosophie et professeur de philosophie à l'Ecole Polytechnique et au Centre Sèvres. Son dernier livre «La théorie du genre, ou le monde rêvé des anges» a été publié chez Grasset (Novembre 2014, 202 p., 18 €). Une analyse frappée au coin du bon sens (extrait) :

    "FigaroVox: Un rapport, remis au Sénat, propose de lutter contre les stéréotypes de genre présents dans les jouets, qui alimenteraient les inégalités hommes/femmes. «L'égalité commence avec les jouets», proclame l'avant-propos. Partagez-vous cette idée?

    Bérénice LEVET: Non, et l'expérience le prouve: les pères d'aujourd'hui qui se consacrent toujours plus aux tâches domestiques et familiales n'ont pas reçu pour cadeaux des poupons, des dînettes et des poussettes. Et pourtant - et le rapport lui même est forcé de le reconnaître, l'égalité est acquise. Quant à nous, nées dans les années 70, nos parents ont continué à nous offrir des poupées, des dînettes et nous ne sommes pas devenues pour autant des femmes au foyer. «L'égalité se construit dès le plus jeune âge» dit le rapport… Mais l'identité sexuée aussi! Et que les jouets destinés aux petites filles et aux petits garçons restent distincts est un simple principe de réalité. Ce rapport est sans prise sur le réel. On y lit que les jouets doivent contribuer à «construire une société d'égalité où filles et garçons, hommes et femmes se verraient proposer les mêmes chances d'épanouissement personnel et professionnel»: mais c'est exactement le monde dans lequel nous vivons! Ce ne sont pas les inégalités qui perdurent, c'est la différence des sexes.L'idéologie qui préside à ce rapport ne doit pas nous échapper…" [...]

    Marie Bethanie

  • Théorie "qui n'existe pas" : la différence des sexes fait de la résistance

    A lire sur le Figarovox, un entretien avec Bérénice Levet, docteur en philosophie et professeur de philosophie à l'Ecole Polytechnique et au Centre Sèvres. Son dernier livre «La théorie du genre, ou le monde rêvé des anges» a été publié chez Grasset (Novembre 2014, 202 p., 18 €). Une analyse frappée au coin du bon sens (extrait) :

    "FigaroVox: Un rapport, remis au Sénat, propose de lutter contre les stéréotypes de genre présents dans les jouets, qui alimenteraient les inégalités hommes/femmes. «L'égalité commence avec les jouets», proclame l'avant-propos. Partagez-vous cette idée?

    Bérénice LEVET: Non, et l'expérience le prouve: les pères d'aujourd'hui qui se consacrent toujours plus aux tâches domestiques et familiales n'ont pas reçu pour cadeaux des poupons, des dînettes et des poussettes. Et pourtant - et le rapport lui même est forcé de le reconnaître, l'égalité est acquise. Quant à nous, nées dans les années 70, nos parents ont continué à nous offrir des poupées, des dînettes et nous ne sommes pas devenues pour autant des femmes au foyer. «L'égalité se construit dès le plus jeune âge» dit le rapport… Mais l'identité sexuée aussi! Et que les jouets destinés aux petites filles et aux petits garçons restent distincts est un simple principe de réalité. Ce rapport est sans prise sur le réel. On y lit que les jouets doivent contribuer à «construire une société d'égalité où filles et garçons, hommes et femmes se verraient proposer les mêmes chances d'épanouissement personnel et professionnel»: mais c'est exactement le monde dans lequel nous vivons! Ce ne sont pas les inégalités qui perdurent, c'est la différence des sexes.L'idéologie qui préside à ce rapport ne doit pas nous échapper…" [...]

    Marie Bethanie

  • Bilâl Nzohabonayo, l’islamiste qui a voulu tuer trois policiers à Joué-lès-Tours

    Bertrand Nzohabonayo, un converti à l’islam sous le nom de Bilâl Nzohabonayo, a attaqué samedi des policiers en plein commissariat de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire). Il a tenté de tuer ses cibles en criant “Allahou Akbar”.

    Les autorités ne veulent pas faire le lien entre cette tentative de meurtre et les appels récurrents lancés via YouTube depuis la Syrie et l’Irak par les djihadistes de l’État islamique. Même si le drapeau de cette organisation sert justement de photo de profil sur le compte Facebook de Bilâl Nzohabonayo…

    Selon une source proche de l’enquête, l’attentat d’hier « ressemble au mode d’action préconisé par le groupe État islamique », qui mène le jihad en Syrie et en Irak, « de s’en prendre ainsi aux forces de l’ordre ». Sur une vidéo de propagande de l’EI diffusée cette semaine, l’on voit des djihadistes inciter les musulmans de France à imiter Mohamed Merah : “Si tu n’arrives pas à te procurer un pistolet, il y a des pierres, des couteaux…”.

    Toutefois, nous allons probablement avoir droit à la version de l’acte isolé mené par un déséquilibré… L’islam doir rester une chance pour la France. Donc, un seul mot d’ordre : surtout pas d’amalgames !…

    http://fr.novopress.info/180197/bilal-nzohabonayo-lislamiste-voulu-tuer-trois-policiers-joue-les-tours/

  • Convention entre la SNCF et SOS Racisme

    L'AGRIF dénonce la signature d’une convention entre SOS Racisme et la SNCF :

    "Nous découvrons le bulletin Flashcom de la direction de la sûreté de la SNCF daté du 2 décembre nous apprenant la signature d’une convention par le président de SOS Racisme Dominique Sopo et le secrétaire général de la SNCF, Stéphane Volant.

    Désormais l’organisation idéologique SOS Racisme sera appelée à intervenir dans les journées-formation des agents de la SNCF sur les questions de « déconstruction des préjugés » (sic !) et des actes de racisme ou de discrimination.

    Quand on connaît l’histoire de SOS Racisme, de son utilisation partisane et subversive sous le couvert du soi-disant antiracisme, l’histoire encore de ses détournements financiers et de ses querelles internes proprement racistes entre juifs et musulmans, cela constitue un véritable scandale. C’est en effet un détournement de l‘argent des voyageurs dont l’immense majorité ne partage certainement pas le drôle d’antiracisme de l’organisation néo-trotsyste jadis mise sur pied par Harlem Désir avec l’appui sous Mitterrand du parti socialiste et du gouvernement.

    Nous demanderons dès lundi un rendez-vous à Stéphane Volant afin que l‘AGRIF, qui est totalement indépendante de tous les partis, puisse, pour le moins, tout autant que SOS Racisme participer à la formation des agents de la SNCF."

    Marie Bethanie

  • Le remplacement est d’abord culturel

    Zemmour, Camus ou Le Gallou le répètent à l'envi : la pire attaque contre notre civilisation est dans la langue qui s'appauvrit.

     

    De Lunel, petite ville de l’Hérault, une bonne dizaine de musulmans sont partis rejoindre les rangs de l’État islamique. Six n’en reviendront pas. 

    La Dépêche du Midi (Jean-Michel Baylet, radical de gauche) titre sur ces « jeunes tués en faisant le djihad ». En 2014, « on part faire le djihad » contre Bachar el-Assad, comme on s’engageait dans les Brigades internationales contre Franco en 1936. 

    Les édiles socialistes locaux appelèrent les musulmans à condamner ces départs, sans en chercher les causes. Lahoucine Goumri, président de l’association qui gère la mosquée, leur répondit, non sans malice, que « la première filière djihadiste, c’est Francois Hollande ».

    Lire la suite