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lobby - Page 1738

  • “Déséquilibrés”, par l’islam ? (Présent 8258)

    Joué-lès-Tours, Dijon, Nantes où lundi soir un homme a foncé en voiture dans le marché de Noël, faisant une dizaine de blessés : tous ces actes sont le fait de « déséquilibrés ». C’est officiel, garanti par le gouvernement PS avec l’appui de l’UMP et le soutien des écologistes. C’est certifié par les procureurs, soutenu par les experts et répété par les journalistes. Lundi soir, le 20 heures de France 2 ouvrait sur le drame de Dijon, mais pour nous parler pathologie. Rien sur ce qui venait de se passer à Nantes : la version officielle et médicale n’était pas encore tenue à disposition des médias.

    "Déséquilibrés", par l’islam ? (Présent 8258)Autant, au premier attentat, le Système concédait des tendances islamiques, autant la précipitation des attaques (trois en trois jours) a nécessité une relecture de l’ensemble de ces « actes isolés »qui se multiplient.

    Les drapeaux islamiques, les Allah Akbar ? Des symptômes psychiatriques. Le conducteur de Dijon souffrait même de « délire mystique ». Un soufisme automobile, douloureux pour les victimes mais aussi pour le malade : « il dit qu’il n’a pas fait ça de gaîté de cœur », expliquait avec complaisance le procureur de la République à Dijon, Marie-Christine Tarrare.

     

    Avec tout cela, comment ne pas avoir des doutes sur ce qui s’est passé à Glasgow ? Lundi soir, un camion de poubelles a tué six personnes dans une rue commerçante. Le conducteur aurait eu une crise cardiaque. Même pas une petite schizophrénie ? Une islamite foudroyante ?

    Lundi après-midi, visitant le marché de Noël des Champs-Elysées, Marine Le Pen dénonçait « les tentatives de minimiser au maximum les faits ». C’était avant Nantes… Depuis, on ne minimise plus, on nie. La propagande islamique qui pousse les musulmans à l’action s’accompagne d’une propagande gouvernementale à l’usage des infidèles. La réalité doit à tout prix concorder avec trente ans d’immigrationnisme résumés par le si généreux discours qu’a prononcé François Hollande en inaugurant le musée de l’Immigration. Un éloge de l’immigré et de l’islam qui remonte au 15 décembre, cinq petits jours avant l’attaque de Joué-lès-Tours.

    Samuel Martin

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    http://fr.novopress.info/180317/desequilibres-lislam-present-8258/#more-180317

  • Allemagne : « Les chrétiens doivent chanter des chants musulmans à l’office de Noël »

    « Des hommes politiques exigent : les chrétiens doivent chanter des chants musulmans à l’office de Noël ». C’était le titre initial de Bild, le plus grand quotidien allemand, dans l’édition papier. Devant la polémique, il a été changé en un moins agressif : « Proposition de réconciliation : des chants musulmans dans l’office de Noël ».

    Omid Nouripour, « expert en droits de l’homme du Parti des Verts » (et titulaire de la nationalité allemande depuis 2002), explique ainsi l’idée à Bild « Ce serait un signe merveilleux de la cohabitation pacifique des religions, si un chant islamique était chanté à l’église » lors des différents offices chrétiens de Noël (pour les catholiques, à la messe de minuit). Le député social-démocrate Thomas Funk est séduit : « Nous avons besoin de compréhension, de respect et de tolérance ».

    Aiman Mazyek, chef du conseil central des musulmans d’Allemagne, a même son idée sur le chant qui s’imposerait : « Tala’a al-badru alayna du chanteur Yusuf Islam » (nouveau nom de Cat Stevens depuis sa conversion à l’Islam).

    La proposition a été immédiatement relayée avec enthousiasme par tous les gros médias. Pour le Spiegel, ce serait une réponse « au mouvement islamophobe Pegida » : « des hommes politiques incitent à chanter un chant musulman à l’office de Noël en signe de solidarité avec les musulmans ».

    Certains, plus lucides sur l’état de l’opinion publique, ont cependant compris que ce genre de provocations risquaient d’être contre-productives. Pour Christian Lindner, président du Parti libéral-démocrate (FDP), « ceux qui exigent des chants musulmans à l’office de Noël jettent les gens dans les bras des populistes dePegida. Le respect et la tolérance ne doivent pas être confondus avec l’effacement des différences et la perte de l’identité ».

    De fait, les commentaires sur le site de Bild et les réactions sur les réseaux sociauxont été très majoritairement hostiles. Par exemple : « Je préfère aller chanter des chants allemands avec Pegida ». Ou bien : « Nous sommes encore en Allemagne ou pas ? Nous devrions protéger notre culture au lieu de nous adapter aux autres dans notre propre pays ». Et encore : « Comme le disait un certain Sarrazin : “L’Allemagne disparaît” ».

    Allemagne : « Les chrétiens doivent chanter des chants musulmans à l’office de Noël »

    Sondage effectué par le même plus grand quotidien allemand, Bild, qui avait fait un jour auparavant la publication que nous citons au début de notre article. Copie d’écran effectuée mardi soir : 96% d’opposants (Nein) sur plus de 38.000 votants, au fait de chanter des chants musulmans pendant l’office de Noël. Le sondage était encore en cours mardi soir.

     

    Omid Nouripour a alors expliqué qu’on l’avait mal compris. Il s’est plaint que les journaux « aient donné l’impression que les hommes politiques cités réclamaient exclusivement la reprise de l’héritage culturel musulman [sic] par les églises chrétiennes », et a soutenu qu’il voulait parler d’un « échange réciproque, par exemple : des chants musulmans dans l’église, des chants chrétiens à la mosquée ».

    Les journaux allemands (Bild, le Spiegel et aussi la Frankfurter Allgemeine Zeitungont immédiatement corrigé leurs articles pour introduire cette supposée réciprocité, dont il n’était nullement question au départ. Sera-ce suffisant pour désamorcer la polémique ?

    http://fr.novopress.info/180326/allemagne-les-chretiens-doivent-chanter-chants-musulmans-loffice-noel/

  • Laïcité républicaine : crèches non, chandeliers juifs géants oui !

    crif2Alors que les laïcistes franc-maçons s’étranglent devant le spectacle de quelques crèches trop visibles ça et là en cette période de Noël, on entend moins parler, du côté des médias et des politicards, des chandeliers juifs géants allumés sur les espaces publics à l’occasion de la fête juive de « Hanoucca ».

    Et pour cause : dans de nombreuses villes de France, des responsables juifs et des politiciens flagorneurs ont allumé des bougies, dans des lieux publics symboliques.

    A Strasbourg

    A Paris (photo ci-dessus), le président du CRIF Roger Cukierman « a participé, dimanche 21 décembre 2014 au Champ de Mars, à un allumage des bougies de Hanuka organisé par le mouvement Loubavitch, en présence de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, de Jean Daubigny, Préfet de Région, du Grand Rabbin de France Haim Korsia, du Président du Consistoire Joel Mergui et du président du FSJU Ariel Goldmann. »

    La tradition juive d’allumer des bougies remonte à … 1977 ! Créée de toute pièce à New-York, elle s’est ensuite étendue progressivement à l’Amérique puis à l’Europe.

    Comment voulez-vous que nos crèches millénaires rivalisent ?!


    PS : prudent, le maire de Béziers Robert Ménard essaie de se couvrir (après avoir été pris à partie pour l’installation publique d’une crèche) et d’apaiser l’hostilité médiatique en se collant à cette « tradition ».

    http://www.contre-info.com/

  • La chute de Mossoul: le complot enfin dévoilé

    Un membre de la commission spéciale chargée d’enquêter sur les raisons de la chute de la ville de Mossoul, la capitale de la province de Ninive, au nord de l’Irak, a révélé lundi que certaines personnalités politiques irakiennes ont empêché cette commission d’achever son travail.

    Cité par le site d’information iranien Irib, Majed al-Gharawi a expliqué que les personnalités politiques en question ne veulent pas que leur coopération avec le groupe takfiriste Daesh dans la chute de Mossoul soit dévoilée.

    Al-Gharawi a fait savoir que cette commission d’enquête, qui a été mise en place sur l’ordre du chef du parlement, a jusqu’à présent interpelé quelques chefs militaires et responsables de la direction de la province de Ninive. Elle doit présenter bientôt les résultats de son enquête au chef du parlement Salim al-Jabouri.

    Ce dernier a demandé dimanche à cette commission de faire toute la lumière sur les raisons de la chute de Mossoul, et d’accélérer les efforts pour en trouver les véritables auteurs.

    Daesh a pris le contrôle de Mossoul, le 10 juin 2014, avec la coopération du parti Baath (de l’ancien président déchu Saddam Hussein) et du soutien de leurs alliés étrangers, à savoir les Etats-Unis, la Turquie et l’Arabie saoudite.

    Avant cette alliance entre Daesh et le parti baathiste, le groupe takfiriste avait essayé de s’emparer de la province d’AlAnbar et de la ville de Samarra, mais ce complot a échoué grâce à la réaction appropriée de l’armée irakienne et des forces populaires.

    Mais, selon les rapports irakiens, l’occupation de la ville de Mossoul s’est avérée plus simple, en raison de la trahison du parti baathiste et de quelques militaires corrompus de l’armée irakienne.

    Selon Nouri al-Maliki, le vice-président irakien, la chute de Mossoul était le résultat d’un complot, et on ne peut pas dire que l’armée a perdu, mais qu’elle s’est retirée, conformément à des accords passés entre des partis.

    Maliki a ajouté que ce qui s’est passé à Mossoul était le résultat d’un accord conclu dans une chambre d’opération commune entre des groupes politiques pour faire tomber cette ville.

    Selon ses dires, la tête de cette chambre d’opération commune est Ezzat Ibrahim al-Douri, l’adjoint de Saddam, l’ex-dictateur d’Irak.

    A part Al-Douri, quelques responsables de la province de Ninive et des militaires liés au parti baathiste, qui s’étaient infiltrés dans l’armée irakienne sont également accusés de collaboration avec Daesh, dans la chute de Mossoul.

    En réaction, le Premier-ministre irakien, Haïdar Abadi, a procédé à une purge au sein de l’armée irakienne, et a mis à l’écart plusieurs généraux et chefs de l’armée.

    Soutenus par des pays étrangers, quelques groupes irakiens ont essayé de profiter de l’occasion de la chute de Mossoul pour déclencher une guerre tribale et religieuse, mais ce complot a été mis en échec lorsque les musulmans sunnites ont été visés par Daesh.

    Reste à dire que la chute de Mossoul est sans doute le résultat d’un complot, compte tenu des efforts visant à entraver l’enquête en cours.

    al manar avec irib :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuEAFklZFEVzcYKgNB.shtml

  • Najat Vallaud-Belkacem s'acharne contre les étudiants méritants

    Un article de Sophie Coignard dans Le Point, qui démontre, si besoin était, la duplicité de Najat Vallaud-Belkacem, qui n'aime les pauvres que s'ils ne sont pas trop brillants :

    "En octobre 2014, quelques nouveaux étudiants remportent une grande victoire. Alors que le gouvernement a décidé de supprimer en douce, au creux de l'été, les bourses au mérite pour les bacheliers de l'année (1 800 euros par an pour les boursiers qui ont obtenu mention très bien), le Conseil d'État ordonne, en référé, de payer. Enjeu : un peu plus de 15 millions d'euros. Deux mois plus tard, le gouvernement n'a pas bougé. Les étudiants d'origine modeste méritants se voient privés depuis la rentrée universitaire de près de 200 euros de revenu chaque mois.

    Pendant ce temps,Najat Vallaud-Belkacemne cesse de répéter qu'elle prend "à bras-le-corps" le problème des inégalités scolaires. Au lieu de beaux discours, de coûteux états généraux sur l'évaluation, pour savoir s'il faut noter les élèves avec des chiffres, des lettres ou des pastilles de couleur, la ministre pourrait commencer par lutter concrètement contre les inégalités sociologiques. Et permettre aux étudiants d'excellence issus de milieux modestes de ne pas s'épuiser en petits boulots en même temps qu'ils entament leurs études supérieures.

    L'État méprise les décisions de justice

    Son immobilisme représente un triple scandale.Scandale matériel tout d'abord. Les étudiants, en attendant cette allocation qu'ils ont méritée et qui leur est due, recherchent des emplois à temps partiel ou contractent des emprunts - quand ils peuvent, car les banques ne se précipitent pas pour leur prêter de l'argent.Scandale judiciaire ensuite. Leministère de l'Éducationnationale s'assoit confortablement sur une décision de justice, rendue par la plus haute juridiction administrative. Cet arrêt a été pris en référé, autrement dit selon une procédure d'urgence : les juges ont estimé qu'au regard de la situation matérielle de ces étudiants, chaque semaine compte. L'État, lui, n'a cure.Scandale symbolique enfin. Quel message envoie un gouvernement qui refuse d'aider ceux qui incarnent l'espoir de mobilité sociale, et qui tient tellement à ne pas leur tendre la main qu'il méprise une décision de justice ?

    Il est impossible que la ministre de l'Éducation nationale ne soit pas informée de ce triple scandale. Me Henri de Beauregard, l'avocat des étudiants, lui a envoyé un courrier pour lui rappeler qu'elle était dans l'obligation de verser ces bourses au plus vite pour ne pas se mettre hors la loi. Il la prévenait qu'un "référé provision" serait déposé au Conseil d'État en cas de non-paiement. Cette procédure, employée contre les mauvais payeurs, avec astreinte à la clé, devrait être engagée fin janvier. Il reste à espérer qu'une telle perspective réveillera Mme Vallaud-Belkacem, l'amie des pauvres (à condition qu'ils ne soient pas excellents)."

    Marie Bethanie

  • Théorie du genre : pour la Noël offensive des sénateurs UDI sur les enfants

    20/12/2014 – PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
    Avant-hier, la délégation aux droits des femmes présidée par Chantal Jouanno, sénatrice UDI, a rendu public un rapport d’information consacré aux jouets

    Ce rapport, plus qu’un simple document informatif, est un réel outil de promotion de la théorie du genre. Ce rapport propose notamment la création d’un label pour les jouets, intitulé « Première initiation à l’égalité». Selon le rapport, ce label permettrait«  d’en finir avec les stéréotypes sexués véhiculés par l’industrie du jeu ». Cette labellisation pourrait également être associée à un système de dénonciation  avec l’attribution d’un « carton rouge » ou d’un « prix citron » pour distinguer les mauvais des bons fabricants.

    Il est prévu par ailleurs la suppression des signalétiques « garçons » et « filles » des magazines et des magasins de jouets…

    Un site officiel sera mis en place sur lequel les internautes pourront dénoncerpubliquement les fabricants et vendeurs qui ne respecteraient pas ces « bonnes »  pratiques.

    Les auteurs du rapport prétendent que ces mesures contribueront à la « construction de l’identité de l’enfant ».

    Pour Chantal Jouanno : « Le problème est que les jeux et jouets exercent une grande influence sur la construction de l’identité de l’enfant et sur ses apprentissages ».
    Comment, par des jouets indifférenciés, les enfants peuvent-ils se construire et se définir en tant qu’homme ou femme. Nos « élites » essaient d’imposer la théorie du genre aux enfants, par la sanction, la dénonciation et le chantage commercial. Le Sénat devra très bientôt se prononcer sur ce rapport.

    http://fr.novopress.info/page/2/

  • Bernard Cazeneuve ouvre la porte aux imâms algériens

    L'Algérie, pays où l'islam officiel est liberticide. L'Observatoire de l'islamisation :

    "Lu dans Le Figaro du 18 décembre : 

    "Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, chargé des cultes, s'est rendu le 18 décembre en Algérie pour signer une convention avec le ministre algérien des Affaires religieuses, Mohamed Aïssa, visant notamment à renforcer la formation à la laïcité des imams algériens. Cette mesure touche des promotions annuelles de 120 imams algériens qui traversent la Méditerranée pour exercer pendant quatre ans en France, avant de s'en retourner. On les appelle les imams «détachés»."

    Eclairage de l'Observatoire :

    L'islam officiel en Algérie est le malékisme, une école juridique sunnite radicale dont les livres de bases, disponibles dans toutes les librairies musulmanes, enseignent de tuer les homosexuels et de faire le djihâd contre les mécréants qui refusent de se convertir. Le rite malékite fondé par Malik Ibn Anas (710-795) et vulgarisé par Zayd al-Qayrawani (922 - 996) dit « Le petit Malik »  enseigné dans toutes les écoles coraniques et universités islamiques d'Algérie inclut :

    • Le jihâd offensif (cf  Zayd al-Qayrawani , La Risâla, chapitre 30)
    • L’exécution des apostats (cf , Malik Ibn Anas Al-Muwatta’’ point 1444 )
    • L’exécution des chanoines faisant de l’apostolat (cf , Al-Muwatta’,point 982)
    • La légalité de l’esclavage (cf , Al-Muwatta’ , livre 21)
    • L’inclusion des femmes dans la composition du butin de guerre, alors licitement violées  (cf , Al-Muwatta’, point 1265 )
    • Durant le ramadan, les Algériens ont interdiction formelle de manger, il y a eu des arrestations.
    • Sur une chaîne nationale publique les imâms-fonctionnaires légitiment la pédophilie.
    • Les missionnaires chrétiens sont fréquemment expulsés du pays en vertu de la loi de mars 2006 qui punit de prison et de lourdes amendes ceux qui osent parler du Christ aux Algériens. 

    Ce partenariat avec l'Etat FLN est une trahison nationale de plus."

    Marie Bethanie

  • Pascal Bruckner : «L’affaire Zemmour révèle que le débat est devenu impossible en France»

    L’essayiste Pascal Bruckner a souhaité réagir à l’affaire Zemmour ainsi qu’à l’attaque qui a frappé le commissariat de Joué-lès-Tours samedi dernier.

    Que vous inspire l’«affaire Zemmour»?

    Cet incident dérisoire est révélateur de l’état du débat en France qui est pratiquement devenu impossible. On ne discute plus, on scrute les moindres propos des personnes publiques. On traque le dérapage et la sphère politico-médiatique se transforme en club de sémanticiens fous. Le moindre mot qui porte à contestation est immédiatement soumis au tribunal de la correction politique. Tout ça se fait au détriment de la liberté d’expression. Je suis pour ma part un libéral à l’anglo-saxonne, opposé à toute restriction de l’expression publique et de la parole. Même les plus bêtes et les plus odieuses. D’autant que la censure aboutit inévitablement au résultat inverse de ce qu’elle recherche.

    Que vous inspire l’attentat de Joué-lès-Tours?

    C’était malheureusement prévisible. Dans une interview au Figaro, au lendemain de la mort d’Hervé Gourdelle, j’avais annoncé de telles tragédies. L’État islamique a commandé explicitement à tous les croyants de tuer à n’importe quel prix. De Sydney à Joué-lès-Tours et de Peshawar à Londres, la planète entière est devenue une zone à risque. Le nihilisme djihadiste menace partout et tout le temps et d’abord les musulmans eux-mêmes. L’année 2014 restera celle où nous avons pris la mesure de cette menace concrète et mondiale

    http://fr.novopress.info/180242/pascal-bruckner-laffaire-zemmour-revele-debat-devenu-impossible-en-france/

  • Alain Juppé, le candidat des journalistes de gauche

    Lu dans Figaro Vox :

    "la «Juppémania» en dit long surtout sur les milieux journalistiques de gauche qui décident de mettre cette idée paradoxale en avant. J'ai d'ailleurs vu passer sur twitter des appels à témoignage en ce sens. Cela traduit le fait que, pour ceux qui réfléchissent un minimum à l'avenir électoral de la gauche, l'horizon est totalement bouché. Logiquement, les défaites électorales du PS et de ses alliés de 2012 vont se poursuivre avec une belle constance: départementales et régionales en 2015, pour finir par la présidentielle de 2017 avec élimination probable de la gauche du second tour. Dans ce cadre-là, certains bons samaritains cherchent un moyen de «réduction des risques» en rêvant d'un homme de droite élu en 2017 qui ne ferait pas une politique trop à droite."

    Louise Tudy  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Michel Onfray : « Eric Zemmour est un bouc émissaire idéal pour la gauche »

    Michel Onfray réagit à l’éviction d’Eric Zemmour d’I-télé. Le philosophe considère qu’en France, la controverse a été remplacée par un discours uniforme et snob qui étouffe le mouvement des idées.

    Après l’éviction d’Eric Zemmour d’I-télé vous avez tweeté. « Désormais on licencie, on pétitionne, on vitupère au plus haut niveau de l’Etat pour raisons idéologiques. Permanence du bûcher ! ». Pensez-vous vraiment que la « tête » d’Eric Zemmour ait été exigée au plus haut niveau de l’Etat ?

    Michel ONFRAY : Je ne sais pas, car si c’est le cas, seules quelques personnes le savent vraiment… Mais je me souviens que le porte-parole de l’Elysée a affirmé de quoi nourrir cette idée. Je ne sais ce qui a motivé cette chaîne à agir ainsi, mais elle est en phase avec ce que le gouvernement a souhaité.

    En diabolisant Eric Zemmour, le gouvernement cherche-t-il à faire oublier son bilan ?

    La gauche qui est au pouvoir depuis 1983 n’est plus de gauche parce qu’elle s’est convertie au libéralisme et que, dans le libéralisme, ce sont les marchés qui font la loi, pas les politiques - qui se contentent de l’accompagner et de le favoriser plus ou moins… Le bilan, c’est celui du libéralisme, donc celui de Mitterrand après 83, de Chirac pendant deux mandats, de Sarkozy pendant un quinquennat, de Hollande depuis son accès au pouvoir. Si ces gens-là veulent se distinguer, il faut qu’ils le fassent sur d’autres sujets que l’économie libérale, les fameux sujets de société bien clivants : mariage homosexuel, procréation médicalement assistée, vote des immigrés, théorie du genre sous prétexte de féminisme, euthanasie ou soins palliatifs, dépénalisation du cannabis, vote des étrangers, etc.

    Zemmour est une excellente aubaine pour la gauche : il suffit d’en faire l’homme de droite par excellence, le représentant du « bloc réactionnaire » comme le martèle Cambadélis, (ancien trotskyste, condamné par la justice, mais néanmoins patron du PS…) le spécimen du penseur d’extrême-droite, pour se trouver un bouc émissaire qu’on égorge en famille, en chantant ses propres louanges pour une si belle occasion. « Nous sommes donc bien de gauche, nous, puisqu’il est de droite, lui ! » vocifèrent-ils en aiguisant le couteau.

    Ce que la gauche veut faire oublier c’est moins son bilan que son appartenance, avec la droite libérale, au club de ceux qui font le monde comme il est. Autrement dit : au club de ceux qui nourrissent le Front National qui ne vit que des souffrances générées par le marché. Il y a donc intérêt pour eux tous, droite libérale et gauche libérale, à se retrouver comme un seul homme pour égorger la victime émissaire qui dit que le FN progresse avec un quart de siècle de la politique de ces gens-là. [....]

    La suite sur Le Figarovox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Michel-Onfray-Eric-Zemmour-est-un