Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 1737

  • Critique de l’islam censurée : balayage des causes historiques

    L’oligarchie mondialiste s’obstine à vouloir faire rentrer une pièce carrée dans un trou rond.

    De qui, de quoi la France est-elle la victime ? De l’idéalisme messianique et de l’affairisme, unis dans les loges et dans un intérêt commun : l’entreprise coloniale. Apport des Lumières aux « races inférieures » et mercantilisme, dont « Ferry-Tonkin » fut la parfaite synthèse. La chose eut une suite via le plan Marshall et l’imposition du multiculturalisme, inadapté aux sociétés anciennes ayant tant de siècles de stabilité et d’homogénéité humaine et culturelle. Car cette immigration, aujourd’hui source de tous les interdits d’expression, naît avec la révolution industrielle, ne concernant d’abord que des migrants européens dotés d’un fond culturel commun. 

    Lire la suite

  • Avortement : pourquoi l'Espagne a reculé

    Jeanne Smits a traduit un texte de Mgr Reig Pla, dont voici un extrait :

    "[...] Récemment le président du gouvernement espagnol et du Partido Popular a retiré la réforme de la loi de l’avortement qui prétendait « limiter » quantitativement l’horrifique saignée des« enfants assassinés avant de naître » (pape François, 25-11-2014), certainement un crime abominable (Concile Vatican II, Gaudium et Spes, 51), un holocauste continu de vies humaines innocentes(saint Jean-Paul II, 29-12-1997). Sur tout cela je me suis déjà exprimé dans un message du 24 septembre dernier : « Appeler les choses par leur nom. Une véritable tâche pour les catholiques. » Mais quels sont les véritables motifs de ce retrait ?

    Le plat de lentilles : aujourd’hui un poste au Conseil de Sécurité des Nations unies, mais également l’accès à d’autres sphères de pouvoir et au financement

    Pour bien comprendre cette décision du président du gouvernement il ne suffit pas de recourir à des analyses électoralistes. Avec tout le respect dû à sa personne, il faut dire qu’une décision aussi grave répond à d’autres exigences comme nous le montre le document : « Priorités de l’Espagne aux Nations unies. 69e période de sessions de l’Assemblée plénière », un document que l’on peut trouver sur le site web du ministère des Affaires étrangères. Ces « priorités » font partie de ce que le gouvernement de l’Espagne était disposé à faire (il le faisait déjà en parfaite continuité avec les législatures qui l’ont précédé) pour obtenir un place au Conseil de sécurité des Nations unies. La place a été obtenue, aujourd’hui nous savons pourquoi : ils ont fait ce qu’ils viennent de faire et ce qu’ils vont continuer de faire avec entière diligence, tant au niveau national qu’à celui des gouvernements autonomes. [...]

    Avec le document Priorités de l'Espagne aux Nations Unies, 69ème période de session de l'Assemblée plénière que nous sommes en train de commenter, se confirmer une fois de plus ce que nous savions tous : nous nous sommes convertis en serviteurs des institutions internationales pour la promotion de ce qu'on appelle la gouvernance globale ou Nouvel Ordre mondial au service de l'impérialisme transnational de l'argent, qui a forcément fait pression pour que l'Espagne ne soit jamais un exemple pour l'Amérique latine et pour l'Europe pour ce qu'il considère comme une « régression » inadmissible en matière d'avortement est pour ce qu'on appelle les droits LGBTIQ.

    [...] C'est pour cela que notre combat, comme nous le rappelle l'apôtre Paul, « n’est pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés et les puissances, contre les dominateurs de ce monde de ténèbres » (Eph. 6, 12). C'est pour cela qu'il est nécessaire, comme nous y exhortait le même apôtre, de nous revêtir des armes de Dieu : « Tenez donc ferme, ayant vos reins ceints de la vérité, revêtus de la cuirasse de la justice, les pieds chaussés de zèle pour l’Evangile de la paix, prenant par-dessus tout le bouclier de la foi, au moyen duquel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du malin » (Eph, 6, 14-16). Nous catholiques, en ce moment nous sommes devant une véritable croisée des chemins, et il est nécessaire de nous demander qui nous sommes disposés à servir : ou bien les dieux et leur messagers de cette nouvelle religion laïque, ou le Dieu véritable. Comme aux temps de Josué notre réponse ne peut-être autre que celle-ci : « Moi-même et ma maison, nous servirons le Seigneur » (Jos. 24,15)."

    Michel Janva

  • Alain Finkielkraut : "On ne peut pas m'interdire de débattre avec Zemmour"

    L'écrivain et philosophe réagit à l'éviction d'Éric Zemmour d'i>Télé. Et si désormais ne débattaient que des gens qui sont d'accord entre eux ?

    La chaîne de télévision i>Télé a décidé vendredi 19 décembre de mettre un terme à l'émission Ça se dispute dans laquelle Éric Zemmour intervenait depuis dix ans, au nom d'une obscure polémique provoquée par des propos sur l'islam que Zemmour n'aurait même pas tenus ! Après Michel Onfray, Philippe Tesson, Jean-Luc Mélenchon, ou encore Charles Consigny, c'est au tour de l'écrivain et philosophe Alain Finkielkraut de venir défendre le polémiste. Et c'est parce qu'il n'est pas d'accord avec Éric Zemmour qu'Alain Finkielkraut réclame le droit de débattre avec lui. La démocratie médiatique exigerait-elle désormais que l'on mette aux prises des gens du même avis ou, mieux, des intervenants qui débattent avec eux-mêmes ? C'est au nom de ce non-sens intellectuel, de cette imposture de la bien-pensance que Finkielkraut s'élève contre l'éviction d'Éric Zemmour de l'antenne d'i>Télé.

    D'ailleurs, si Finkielkraut devait débattre avec Éric Zemmour, il lui opposerait quelques solides arguments dont il est désormais privé... Alors, les voici...

    Lien video

    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EuEAVluupyggTtHiUo.shtml

  • Catéchisme socialiste du réveillon de Noël et du jour de l’an

    Pour les fêtes, le service de communication du gouvernement met à disposition un kit de survie constitué de réponses toutes faites à destination des derniers irréductibles qui défendront l’action gouvernementale lors des repas de famille. 

    Conscient que ceux qui auront en charge leur défense risquent d’avoir des difficultés à trouver la phrase qui égaiera le cousin grognon qui refuse obstinément de chausser ses lunettes roses pour voir la vie du bon côté socialiste, l’incurie gouvernementale devra être masquée par une propagande digne des services soviétiques d’une époque pas si lointaine grâce à un argumentaire cuisiné aux petits oignons intitulé  « Bingo de Noël repas de famille » que l’étudiant gauchiste de la famille aura en charge de répéter au long de la soirée afin de sauver l’image décrépie de l’exécutif. 

    Lire la suite

  • Ces journalistes que d’aucuns appellent journaleux

    Les futurs révolutionnaires devront investir les radios et télés en premier avant même les ministères.

    Il y avait, dans le passé, hors les temps de guerre, une presse où les opinions s’exprimaient assez librement. Nous avions, en ce temps-là, les informations fausses, tronquées, orientées par un ministère de l’Information, les opinions malveillantes, voire criminelles, mais il y avait aussi sur d’autres « supports » l’information de contre-pied. Avec l’envers, il y avait aussi l’endroit. On pouvait être submergé par la rhétorique du PCF, on n’en était pas moins suffisamment libre pour trouver ailleurs un écho différent aux actualités du moment.

    Les choses ont changé au cours des dernières décennies. On a découvert la langue de bois. 

    Lire la suite

  • Le cadeau de Noël du gouvernement aux internautes : un décret sur la surveillance du web

    C’est un cadeau de Noël dont les internautes et les opérateurs français se seraient bien passés. Le gouvernement a publié mercredi 24 décembre, à la faveur des fêtes de Noël, le décret d’application du très contesté article 20 de la loi de programmation militaire (LPM). Ce texte prévoit un accès très vaste des services de l’État aux télécommunications (téléphone, SMS, Internet, etc.) des Français, et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux

    La loi de programmation militaire a mis en place un outil de surveillance de la population française qui aurait fait pâlir d’envie les pires dictateurs de l’histoire. Si nous sommes très loin d’un régime totalitaire en France, il n’est pas exclu que des leaders extrémistes disent demain merci au gouvernement Valls pour leur avoir fourni un tel outil clé en main. 

    Trois ministères sont habilités à émettre des demandes : ministère de l’Intérieur ministère de la Défense, ministère des Finances et des Comptes. Le décret détaille le nombre impressionnant de services pour lesquels les vannes du Web français sont ouvertes.

    La mesure de surveillance, pudiquement nommée « accès administratif aux données de connexion », avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par notre excellent confrère Next INpact, qui évoque « un décret qui sent le sapin », ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

    Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d’information de plus en plus performants afin de surveiller la population. [...]

    Sans surprise, le décret se réfère à l’article 20 de la LPM, sans vraiment le préciser. Peuvent donc être interceptés les « informations ou documents traités ou conservés par les réseaux ou services de communications électroniques, y compris les données techniques relatives à l’identification des numéros d’abonnement ou de connexion à des services de communications électroniques, au recensement de l’ensemble des numéros d’abonnement ou de connexion d’une personne désignée, à la localisation des équipements terminaux utilisés ainsi qu’aux communications d’un abonné portant sur la liste des numéros appelés et appelants, la durée et la date des communications ». On notera l’utilisation de la formule « y compris », qui n’est aucunement exhaustive : difficile de faire plus vaste. [...]

    Face aux critiques sur l’intrusion dans la vie privée, le gouvernement invoque la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS), un organe très joli sur le papier mais qui n’a jusqu’à présent pas été doté d’un réel pouvoir. Cette commission « dispose d’un accès permanent aux traitements automatisés », et « l’autorité ayant approuvé une demande de recueil d’informations ou de documents fournit à la commission tous les éclaircissements que celle-ci sollicite », promet le décret, plein de bons sentiments.

    Néanmoins, la CNCIS n’a toujours pas le pouvoir de sanction et ne peut même pas alerter la justice en cas de manquement sur un dossier couvert par le secret de la défense nationale. Habile …

    La mesure de surveillance, pudiquement nommée « accès administratif aux données de connexion », avait été votée fin 2013 et entrera en vigueur le 1er janvier 2015. Dénichées par notre excellent confrère Next INpact, qui évoque « un décret qui sent le sapin », ce sont les modalités de sa mise en oeuvre, tout aussi importantes, qui ont été dévoilées pour Noël.

    Comme dans de nombreuses démocraties, le spectre terroriste permet au gouvernement de faire passer des mesures très floues et de tirer pleinement parti des systèmes d’information de plus en plus performants afin de surveiller la population. [...]

    source Le Point via Fdesouche :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAyEyVluqCqDJCMZ.shtml

  • Une révolution colorée imminente en Russie

    La manipulation coordonnée des prix de l’énergie, sous l’égide de l’OTAN en Europe de l’est, et le retour des actions terroristes dans le sud Caucase apparaissent comme les éléments d’un scénario d’un événement plus large qui vise un renversement de pouvoir en Russie sur le modèle d’un « Maïdan russe ».

    Les composantes nécessaires d’une action occidentale pour renverser l’ordre politique russe incluent un front politique de protestation dans les grandes villes du pays, aussi bien qu’une guerre économique globale destinée à mettre la population sous pression, le soutien à la dissidence aussi bien que l’organisation de manifestations par Washington et Wall Street dans les rues de la Russie. Une autre composante inclus l’armement des « opposants pacifiques » dans le but d’entraîner une escalade des manifestations, d’empêcher les forces de sécurité de rétablir l’ordre, afin de mener à bien leur renversement physique.

    Ces éléments ont tous pu être observés dans l’Ukraine voisine – une nation dans laquelle les ingérences de l’OTAN et de l’Amérique constituent un sujet d’étude de longue date. Le journal The Guardian l’admettait dans un article de 2004 : « La campagne américaine derrière les tourments à Kiev », l’article ajoutait également :

    « Alors que les avancées obtenues par la « révolution orange » sont ukrainiennes, la campagne est une création américaine,un exercice brillant et sophistiqué conçu par les agences de communication et de marketing occidentales, qui ont été utilisées en quatre ans dans quatre pays pour manipuler des élections truquées et renverser des régimes peu recommandables.

    Fondé et organisé par le gouvernement US, utilisant des consultants US, des sondeurs et des diplomates, les deux grands partis politiques américains et des organisations non gouvernementales, ce type de campagne a d’abord été utilisée en Europe à Belgrade pour provoquer la défaite électorale de Slobodan Milosevic.

    Richard Miles, l’ambassadeur américain à Belgrade, a joué un rôle clé. Et l’année dernière, en tant qu’ambassadeur à Tbilissi, il a répété l’opération en Géorgie, en aidant Mikhail Saakashvili à faire tomber Eduard Shevardnadze.

    Dix mois après le succès de Belgrade, l’ambassadeur américain à Minsk, Michael Kozak, qui avait déjà conduit des opérations similaires en Amérique Centrale, notamment au Nicaragua, a organisé une campagne identique pour faire tomber l’homme fort de la Biélorussie, Alexander Lukashenko.

    Cette opération échoua. « Il n’y aura pas de Kostunica en Biélorussie » déclara la président biélorusse en se référant au changement de régime à Belgrade.

    Mais l’expérience accumulée lors des opérations en Serbie, Géorgie et Biélorussie, a été inestimable dans la tentative de renverser le régime de Léonid Kuchma à Kiev.

    L’opération, de l’ingénierie démocratique passant par des scrutins électoraux et la désobéissance civile, est maintenant parfaitement au point et la méthode fait figure de modèle pour gagner n’importe quelle élection. »

    Comme le révèlent d’autres sources du Guardian, ce n’est pas seulement l’Ukraine qui a souffert ces dernières années de la déstabilisation américaine, de ces changements de régime, des manipulations et subversions, mais toute l’Europe de l’est. Lorsqu’on considère ces faits documentés, de telles manœuvres de Wall Street et Washington contre la Russie n’apparaissent plus seulement comme un fait envisageable, elles ont déjà eu lieu par le passé, et sont inévitables à l’avenir.

    Il y a déjà une manipulation coordonnée des prix du pétrole. La chute des cours du pétrole révèle que l’industrie pétrolière entière est manipulée non pas par les forces du marché mais par l’agenda US et ses partenaires au Moyen-Orient et particulièrement la dictature saoudienne. Bien que toute nation possède les capacités de supporter de telles mesures économiques sur le long terme comme l’ont prouvé l’Iran et Cuba, sur le court terme, l’instabilité économique est un signe avant-coureur de la subversion politique et les manifestations de mécontentement peuvent être imputées par ceux qui perçoivent cette instabilité comme relevant de la responsabilité du gouvernement en place plutôt que comme la conséquence des attaques économiques étrangères.

    Le front politique russe

    Le front politique qui aura la charge de descendre dans les rues de Russie a été identifié depuis longtemps. Il inclut les mêmes branches de nationalistes extrémistes et les groupuscules d’extrême droite qui ont détruit l’ordre politique ukrainien. Cela inclut des néo-nazis. L’une des figures à la solde des états-unis et régnant sur l’ultra-droite russe s’appelle Alexey Navalny, présenté par l’occident comme un « activiste anti-corruption ». Il s’agit en réalité d’un néo-fasciste qui opère ouvertement pour le compte de Wall Street. Navalny est membre du programme YaleWordfellows (NDT : il s’agit d’un programme de séminaires développé par l’université de Yale et destiné aux jeunes leaders étrangers dans le but de « créer un réseau de partenaires ayant les mêmes opinions ». On retrouve parmi les sponsors du programme l’Open Society de Georges Soros…)

    Voici sa présentation telle qu’elle apparaît sur son profil :

    « Navalny est le fer de lance des actions juridiques menées au nom des actionnaires minoritaires dans les grandes entreprises russes, incluant Gazprom, BankVTB, Sberbank, Rosneft, Transneft, et Surgutneftegaz, à travers l’Union des Actionnaires Minoritaires. Il a forcé avec succès des entreprises à communiquer davantage d’information à leurs actionnaires minoritaires et a poursuivi plusieurs cadres de grandes entreprises pour des pratiques alléguées de corruption. Navalny est également le cofondateur du mouvement pour l’Alternative Démocratique et a été vice-président de la branche moscovite du parti Yabloko. Il a lancé RosPil, un projet public financé par une campagne d’appel de fonds sans précédent. En 2011, Nvalny a lancé RosYama, qui combat la fraude dans le secteur de la construction routière. »

    L’Alternative démocratique, DA!, est financée par la Natinoal Endowment for Démocratie, NED, qui dépend du département d’état, ce qui implique qu’Alexey Navalny est un agent de sédition US. Le département d’état mentionne lui même DA! parmi la liste des mouvements de la jeunesse qu’il soutient en Russie.

    « DA! : Mariya Gaydar, la fille de l’ancien premier ministre Yegor Gaydar, dirige DA!. Elle est un ardent promoteur de la démocratie mais réaliste quant aux obstacles auxquels elle doit faire face. Gaydar affirme que DA! mène des activités non partisanes conçues pour sensibiliser le monde politique. Elle a reçu des financements de la NED, un fait dont elle ne souhaite pas faire la publicité pour ne pas paraître compromise avec les états-unis. »

    Le fait que ce financement n’apparaisse nulle part sur le site web de la NED indique qu’il ne s’agit pas d’une opération transparente et que la NED est engagée dans un financement clandestin.

    Navalny a été directement impliqué dans la création d’un mouvement financé par le département d’état et à ce jour les mêmes personnes qui ont fondé DA! le défendent à travers les médias occidentaux. La mention du co-fondateur Mariya Gaydar est également révélatrice, du fait qu’elle ait collaboré depuis longtemps, et occasionnellement été arrêtée avec Ilia Yashin, un autre leader d’un groupe d’opposition russe financé par la NED.

    Ilia Yashin dirige la branche moscovite du Parti pour la Liberté du Peuple et est un des leaders de la campagne « Stratégie 31 » dont les rangs sont infiltrés par des activistes entraînés et coordonnés par des ONG financées par la NED. La référence au financement de « Stratégie 31 » a été supprimée du site web officiel de la NED :

    « Groupe d’assistance de Moscou pour la mise en place des accords d’Helsinki : 50000$

    Pour focaliser davantage l’attention sur les résultats de l’Assemblée de la Liberté en Russie et le mouvement « Stratégie 31 »qui cherche à protéger ce droit fondamental. L’organisation va promouvoir un réseau d’activistes régionaux et coordonner leurs activités à travers des mini séminaires et des visites sur le terrain et conduire une campagne d’information par des conférences de presse, des posters, et des documents éducatifs relatifs à l’Assemblée de la Liberté distribués au grand public par des partenaires régionaux. »

    Egalement supprimé, « Democraty Digest », un article intitulé « Stratégie 31 : un signe de résilience de la société civile ». A l’intérieur, le « groupe de Moscou-Helsinki » est explicitement déclaré comme l’initiateur des marches de Stratégie 31 et comme un « bénéficiaire de longue date de la NED ».

    Les multiples suppressions concernant les connexions de la NED avec les activistes russes, leur financement massif et leur téléguidage, sont également un autre signe de subversion imminente. Ce nettoyage a été effectué dans l’espoir que les liens avec les activistes ne pourront pas être établis aussi vite que l’agitation se déroulera et qu’ils ne pourront pas saper la légitimité d’une nouvelle subversion pilotée par les états-unis.

    Le Parti de la Liberté du Peuple de Yashin est lié non seulement avec les financements de la NED pour la « jeunesse » mais également avec des politiciens de carrière et des businessmen oeuvrant pour des intérêts étrangers. Parmi eux on trouve Vladimir Ryzkhov, un membre du Mouvement Mondial pour la Démocratie, financé par la NED et basé à Washington (dont le profil a été également supprimé récemment). Il y a aussi Boris Nemtsov dont le conseiller, Vladimir Kara-Murza (de Solidarnost) a participé à un événement sponsorisé par la NED le 14 septembre 2011 intitulé « Les élections en Russie : votes et perspectives ».

    Il s’agit d’un front politique entièrement créé par le département d’état US et qui se positionne comme le porteur des aspirations du peuple russe alors qu’il s’agit en réalité de la création et de la perpétuation des aspirations de Wall Street et Washington.

    Sous l’agitation créée par ce front se trouve un autre front armé constitué de l’ultra-droite et de néo-nazis, sur le modèle ukrainien, mais également des terroristes armés chapeautés par l’Arabie Saoudite.

    Un petit aperçu du manuel de « sédition » américain

    L’usage d’éléments armés pour assister les tentatives de subversion politique US n’est pas une invention. Au contraire, il s’agit d’une stratégie documentée incluse dans les plans établis pour saper et renverser les gouvernements étrangers. Dans un document de politique US de 2009 intitulé « Quel chemin pour l’Iran ? » publié par la Brookings Institution et qui concerne le changement de régime en Iran il est spécifiquement mentionné :

    « Une méthode qui pourrait avoir des chances de succès consisterait à augmenter les actions par procuration visant à un changement de régime dans l’espoir que Téhéran conduise des représailles ouvertes ou semi-ouvertes qui pourraient être ensuite présentées comme des agressions iraniennes infondées. »

    Les stratèges US conspirent ici ouvertement pour organiser une provocation envers une nation étrangère par la subversion politique. L’ « acte d’agression » qui doit en résulter sera présenté comme sans rapport avec la politique étrangère US exactement comme l’a été l’implication de la Russie vis à vis de l’Ukraine ainsi que toutes les actions entreprises par Moscou depuis que les états-unis et l’OTAN ont décidé de déclencher une confrontation militaire.

    Le document aborde également ouvertement les conditions pour fomenter des troubles politiques. Dans une section intitulée littéralement « Trouver les bonnes procurations », on peut lire :

    « L’un des points les plus ardus pour fomenter une révolution, ou seulement des troubles, consiste à trouver les bons partenaires locaux. »

    Après avoir admis ouvertement l’objectif de « fomenter une révolution »ou des « troubles » le document détaille quels soutiens apporter à ces partenaires locaux :

    « … les étudiants et les autres groupes ont besoin d’un support officieux pour leurs manifestations. Ils ont besoin de fax. Ils ont besoin d’accès Internet, de financements pour photocopier des documents, et de financements pour rester vigilants quant à leur sécurité. Au delà de ça, les médias sous notre influence peuvent mettre en lumière les lacunes du régime et donner de l’importance aux critiques du régime. Les états-unis pilotent déjà des satellites de télévision en langue iranienne (La Voix de l’Amérique) et des radios (Radio Farda) qui donnent des informations non filtrées aux iraniens (ces dernières années ces médias ont absorbé la majeur partie des fonds américains pour promouvoir la démocratie en Iran). La pression économique US (et peut-être également militaire) peut discréditer le régime et rendre la population désireuse d’un changement politique. »

    Le rapport mentionne finalement les groupes armés en soutien de la subversion américaine :

    « Ceux qui souhaitent fomenter un changement de régime en Iran mettent en avant le fait qu’il est utopique d’espérer une révolution de velours. A l’inverse, ils estiment que les états-unis devraient se tourner vers les groupes d’opposition qui existent déjà, qui ont déjà montré leur volonté de combattre le régime et qui semblent disposés à accepter l’assistance américaine. Cette stratégie fait le pari que ces groupes d’opposition hétéroclites pourront se transformer en un puissant mouvement qui pourrait être capable de renverser le régime. »

    Ce qui est troublant à propos de ce rapport de 2009, c’est que chaque conspiration qu’il contient est non seulement confirmée par ces auteurs comme devant être utilisée contre l’Iran, mais qu’il est maintenant clair que des stratégies similaires ont été utilisées contre la Syrie, la Chine, et la Russie elle-même. Le « printemps arabe » était un peu plus complexe que ce mode opératoire utilisé à l’échelle régionale, mais ce qui a été fait en Syrie et en Ukraine est presque un Verbatim tiré des pages de ce manuel.

    Concernant la campagne menée contre Moscou, c’est probablement le même manuel qui sera employé une fois encore. Exposer la criminalité insidieuse des géostratèges US qui conspirent ouvertement sur la manière de provoquer les autres nations et de les entraîner dans des conflits, qui manipulent la perception de l’opinion publique afin de maintenir leur primauté morale, constitue une première étape afin d’éviter la déstabilisation et l’ébranlement de la Russie et de toutes les autres nations qui se trouvent dans le collimateur de Wall Street et Washington.

    Alors que l’Ouest continue à présenter la Russie comme l’agresseur, selon le script de la politique étrangère américaine, on peut voir que ces accusations constituent seulement une petite partie d’un plan gigantesque, insidieux et trompeur. Dépeindre la Russie comme l’agresseur permet de justifier de nouvelles mesures destinées à engager des actions de subversion politique contre cette dernière.

    Cela vise également à justifier les liens directs avec les groupes d’opposition lorsque ceux-ci sont finalement révélés, mais aussi les interventions extraordinairement agressives de supplétifs armés et des forces de l’OTAN elles-mêmes destinées à soutenir les groupes d’opposition.

    Les « invasions » spectaculaires telles que nous les imaginons, comme le blitzkrieg nazi en Europe de l’Ouest, appartiennent au passé. Les invasions au sein de la guerre de quatrième génération utilisent des faux groupes d’opposition, des soutiens militaires agissant sous couverture, et une guerre économique, politique et informationnelle à large spectre. La Russie a construit des défenses contre ce type de guerre, confondant l’occident, mais en définitive la morale et tous les avantages qui en découlent ne peuvent être l’apanage que d’un seul camp. Peut-être qu’en exposant la vérité, les procédés et l’agenda de l’occident, la Russie pourra sortir victorieuse, sinon l’Ouest continuera ses manœuvres de déstabilisation et dans ce cas elle sera laminée.

    Tony Cartalucci

    notes

    Traduction Ender : http://landdestroyer.blogspot.fr/2014/12/the-impending-russian-maidan.html

    source

    Euro-synergies lien

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EuEAuElZFVqBmLAueH.shtml

  • Deux poids, deux mesures

    Voici quelques exemples récents de deux poids deux mesures...

    Michel Sardou a demandé à certains d’arrêter d’être cons. Plus que de l’être, il faudrait arrêter de nous prendre pour des cons. Voici quelques exemples récents de deux poids deux mesures qui renforcent ces propos.

    Le maire Front national d’Hayange (Moselle), Fabien Engelmann, a été condamné, vendredi 19 décembre, par le tribunal administratif de Strasbourg à un an d’inéligibilité pour des irrégularités dans ses comptes de campagne. Jusque-là, rien à redire, toute malversation doit être sanctionnée. Plus incompréhensible est l’attendu du tribunal qui a estimé que l’intéressé avait « commis un manquement d’une particulière gravité aux règles relatives au financement des campagnes électorales », ceci pour le chiffre exorbitant de 1.575 €. Oui, vous avez bien lu : le jeune maire a omis d’intégrer à ses comptes de campagne, s’élevant à 12.000 €, cette somme pharaonique. Vu le jugement, si j’étais parlementaire, je serrerais les fesses ! Cette somme est à rapprocher de celle de M. Marcel Dassault. Lui, ce n’est pas un millier et demi d’euros qu’il a escamotés, c’est 53 millions d’euros versés en liquide au maire de Corbeil-Essonnes pour acheter des votes, dixit un comptable suisse. Soit près de 34.000 fois le montant imputé à Engelmann. Pourtant, après sa mise en examen, il aura fallu attendre plus d’un an et trois décisions du bureau du Sénat pour voir lever l’immunité parlementaire du Marcel.

    Lire la suite

  • BHL, un mythe qui s’exporte mal...

    Pire, BHL, en bon mondialiste, tente même d’exporter sa méthode... avec cependant nettement moins de succès. Ainsi, dépêché par le président Jacques Chirac en Afghanistan, au printemps 2002, BHL dépose une stèle à la mémoire du fameux commandant Massoud, assassiné le 9 septembre 2001 par un commando d’al-Qaïda... Sans le moindre complexe, il fait graver dans le marbre le message suivant : « Au commandant Massoud, au combattant de la liberté, au résistant, à l’ami de la France, l’hommage de ses amis de vingt ans : Bernard-Henry Lévy, Gilles Hertzog. » Seul problème, alors que tous les médias français embraient sur cette formidable amitié forgée en 1981 – au plus fort des combats entre les partisans afghans et l’Armée rouge soviétique – un témoin explique que cette histoire est une pure invention. Celui qui ose égratigner BHL c’est Mehrabodin Mastan... principal conseiller et interprète du commandant Massoud ! Selon ses souvenirs, ce n’est qu’en 1998 – sept ans après la chute de l’URSS – que BHL a pu approcher, durant 48 heures, les troupes de Massoud stationnées à la frontière, sur un territoire parfaitement sécurisé. Durant ce laps de temps, le philosophe qui écrit avec de la poudre (de perlimpinpin), n’a pas obtenu plus de deux heures d’entretien avec le chef afghan ! Un peu court, pour un ami de vingt ans... 

         Dans un autre genre, après l’assassinat du journaliste américain Daniel Pearl – lui, un véritable reporter de guerre du Wall Street Journal – Bernard-Henry Lévy se rend en Afghanistan (par la pensée ?) et mène son « enquête ». Sur son propre blog, l’éditorialiste vedette du Point annonce sa démarche : « Bernard-Henri Lévy (sic) prend la triple décision : a) de partir sur les traces des tueurs afin de découvrir leur identité et, si possible, leurs mobiles ; b) de partir sur les traces de Daniel Pearl lui-même afin de reprendre l’enquête que celui-ci était en train de mener au moment de son enlèvement ; c) d’élever à ‘cet homme ordinaire et exemplaire’, à ce ‘juif magnifique’, un ‘mémorial de mots’ qui lui rende enfin justice, l’article non écrit de Daniel Pearl. » Cela donnera Qui a tué Daniel Pearl, un livre salué par toute la critique française, notamment Edwy Plenel (sur LCI) et Jean-Marie Colombani (sur France Culture et dans Le Monde)... Mais qui, à l’étranger, est sévèrement assaisonné. Ainsi, le spécialiste du sous-continent indien William Dalrymple estime que l’ouvrage « pâtit de défauts rédhibitoires et fourmille d’erreurs factuelles de première importance ». Il est « dépourvu de toute fiabilité quant au respect des faits » et « relève de la pure invention » car « dès lors qu’aucune preuve n’est disponible, l’auteur fait comme si elle existait ». Pour l’indianiste, BHL « a visé beaucoup trop haut, eu égard à ses compétences » ; il « étale son ignorance crasse de la vie politique de l’Asie du Sud, [...] élabore une série de théories de complots, mais sans l’ombre d’une démonstration » car pour lui, « la répétition des ragots et des rumeurs les transforme en réalités ». Conclusion : « un livre de haine [...] le comble du ridicule » (New York Review of Books, 4.12.03, traduit dans Le Monde diplomatique, décembre 2003). 

         Marianne Pearl, épouse du journaliste décapité par les islamistes, a parlé de « viol littéraire » pour évoquer la manière dont BHL a traité la mémoire de son époux. Elle parle du philosophe germanopratin comme d’un homme « dont l’ego détruit l’intelligence ». Et signale au passage que, contrairement à ce qu’a prétendu BHL, il n’était nullement l’ami de Daniel Pearl, qu’il ne connaissait même pas ! En mars 2003, lors d’un entretien donné à Paris Match, Bernard-Henri Lévy réglera ce léger malentendu en qualifiant Pearl « d’ami posthume » ! 

    Jean-Yves Le Gallou, La tyrannie médiatique

    http://www.oragesdacier.info/

  • La délation, arme totalitaire, bientôt de retour en France au profit du Gender?

    D'une lectrice :

    "Bulletin de réinformation sur radio courtoisie :

    Offensive des partisans de la théorie du genre au Sénat.

    Cette semaine la délégation aux droits des femmes, présidée par Chantal Jouanno sénatrice UDI, a rendu public un rapport d’information consacré aux jouets.

    Ce rapport propose la création d’un label pour les jouets intitulé, je cite, première initiation à l’égalité. Cela permettrait, je cite encore, d’en finir avec les stéréotypes sexués véhiculés par l’industrie du jeu. Il est prévu par ailleurs la suppression des signalétiques « garçon » et « fille » dans les magazines et les magasins de jouets. Je cite toujours : la présentation des métiers devra être faite sur un modèle égalitaire de type infirmier infirmière. Un site officiel sera même mis en place sur lequel les internautes pourront dénoncer publiquement les fabricants et vendeurs qui ne respecteraient pas ces bonnes pratiques.

    Nos élites essaient d’imposer la théorie du genre par  la sanction , la dénonciation ou le chantage commercial .

    Le sénat va bientôt se prononcer sur ce rapport (rapport sénat).

    Elle est jugée suffisamment préoccupante pour que la délégation aux droits des femmes du Sénat, présidée par Chantal Jouanno (UDI), se penche sur le sujet dans un rapport publié jeudi 18 décembre.

    La délégation propose une série de mesures pour y parvenir : mettre en place une charte de bonnes pratiques dans les grandes enseignes, valoriser celles qui la mettent en œuvre et, au contraire, dénoncer les pratiques contestables, privilégier les jouets non sexistes dans les commandes publiques ou encore formerdes professionnels de l’enfance sur les moyens de favoriser le « jouer ensemble ».

    voici venu le temps du site qui dénonce les vendeurs de jouets sexistes sur Internet. Et l’initiative ne vient pas d’une quelconque association féministe mais de 2 sénateurs via un rapport parlementaire".

    Le Salon Beige