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lobby - Page 1831

  • "ABCD de la complémentarité" contre le gender

    Lu ici :

    ""ABCD de la complémentarité". Voilà le nom de la nouvelle action qu'a lancée ce week-end Farida Belghoul, l'égérie des Journées de retrait de l'école. Au programme, des lectures collectives de "contes traditionnels", suivies de séances de questions-réponses. [...] Pour participer à ces "ABCD de la complémentarité", parents, grands-parents, adultes sont invités à regrouper des enfants "entre 4 et 12 ans ou plus", "dans un domicile privé, en salle ou dans un parc", hors temps scolaire, pour leur lire des contes préalablement sélectionnés par l'équipe de Farida Belghoul. A la suite de quoi les adultes sont incités à poser toute une série de questions issus d'un questionnaire également proposé sur le site internet des JRE. "Ces échanges revêtent une importance considérable: compte tenu de la dissimulation des idées pro-genre à l'école, vos enfants seront les seuls à témoigner de la vérité" précise d'entrée le communiqué. "S'ils veulent sauver leurs enfants, les parents doivent trouver le temps et l'énergie de s'organiser et de se consacrer à des têtes-à-tête avec 'le fruit de leurs entrailles'" explique encore Farida Belghoul."

    Michel Janva

  • Professions réglementées : pourquoi il faut préserver le système notarial français

    Le gouvernement de Manuel Valls compte bien s’attaquer à la question épineuse de la réforme des professions réglementée. Hervé Jay, notaire, explique pourquoi il ne faut pas abandonner le système notarial français.

    Les anglo-saxons, bien aidés par les Commissaires et fonctionnaires européens, souhaitent que s’opère une unification des systèmes juridiques de l’atlantique Nord, laquelle ne peut selon eux s’effectuer que par une soumission à leurs propres normes et l’abandon du système notariat français et ultérieurement, de la langue française.

    Avant de coopérer à un nouvel abandon de notre souveraineté, nos décideurs devraient saisir l’esprit qui anime ces opposants au principe législatif.

    Dans un excellent ouvrage de M. Jean-Marc Daniel intitulé Ricardo reviens !, ils sont restés Keynésiens, François Bourin Editeur 2012, l’auteur analyse très justement : "Il y a le constat que les Etats-Unis sont passé d’une économie de création de richesse à une économie de prédation par la chicane. Comme le souligne l’actuel président américain, l’ingénieur qui fut le personnage de référence au début du XXème siècle a été remplacé par le lawyer, l’avocat.

    Le surdéveloppement du juridisme est devenu un moyen pour une partie de la population américaine d’accaparer le fruit du travail productif de l’autre partie. Aux Etats-Unis, le droit a cessé d’être un instrument d’apaisement pour devenir une arme de combat dans la redistribution des richesses. Les procès s’enchaînent, où sous des prétextes divers et variés, chaque plaideur cherche à s’attribuer une partie du revenu d’autres acteurs économiques. Le droit est devenu une composante des transferts sociaux, la chicane un mode de répartition des revenus."

    "Quant au monde anglo-saxon, il (O.Spengler) le décrivait comme l’héritier de l’esprit de rapine des Vikings, qui par vagues successives, furent les vrais fondateurs de l’Angleterre. Il opposait déjà, comme c’est devenu assez courant de nos jours, dans les écrits sur le rôle du droit, le droit continental européen issu du Code justinien, fait de rigueur et de respect des grands principes, au droit de Comon Law, le droit du partage, le droit du compromis, le droit de la chicane anglaise dont le but est de répartir le butin acquis dans le pillage des organisé des peuples voisins. [....]

    La suite sur L’Express.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Professions-reglementees-pourquoi

  • Les lobbies LGBT s’introduisent dans les rouages de l’ONU pour en détourner les résolutions

    Selon le Catholic Family and human rights institute:

    « les pressions sont devenues de plus en plus fréquentes et soutenues depuis le milieu des années 1990, époque où les organisations pro IVG ont établi leur nouvelle stratégie, consistant à se servir des institutions de l’ONU comme forum de promotion de l’avortement. Les militants ont trouvé le moyen de s’introduire subrepticement dans les institutions de protection des droits de l’homme à l’ONU en faisant nommer leurs alliés idéologiques aux organes de suivi des traités. »

    Ce sont les organes féministes « qui ont le plus souvent attaqué les législations protégeant l’enfant à naître. » Ils s’en sont pris à la fête des mères prétextant qu’elle « perpétuait les stéréotypes négatifs sur les femmes, ou que les Etats devaient dépénaliser la prostitution. » On remarquera que le lobby féministe qui œuvre à l’ONU se moque éperdument de l’esclavage sexuel auquel sont soumis(es) très souvent les prostitué(e)s. Mais c’est dans le domaine de l’avortement que leurs pressions sont les plus insinuantes, malhonnêtes et graves.

    Il  prétend que « toute pénalisation de l’avortement constitue une violation de la convention de l’Onu sur les droits des femmes ». En réalité « aucun traité de l’ONU ne fait mention de l’IVG », ou peut être interprété comme contenant un tel droit. « Au contraire, les résolutions de l’Onu reconnaissent que les Etats ont le droit de pénaliser ou restreindre l’accès à l’avortement. »

    Lire la suite 

  • Libération d’Esteban Morillo

    Une libération qui intervient deux mois et demi après celle de Samuel Dufour, un autre suspect. Esteban Morillo, principal suspect dans la mort du gauchiste à particule Clément Méric de Bellefon, le 5 juin 2013 à Paris lors d’une rixe entre « natios » et « antifascistes », Esteban Morillo a été remis en liberté mardi par la cour d’appel de Paris. Il reste mis en examen pour “violences volontaires en réunion et avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner” et sera soumis à un contrôle judiciaire strict qui lui interdit notamment de quitter son département de résidence. Depuis un an, ses avocats avaient plusieurs fois demandé, en vain, sa remise en liberté.

    Impossible de résumer cette affaire dans le cadre de ce kiosque. On pourra en lire un exposé factuel et complet sur Wikipédia. Il en ressort que les « antifas » ont délibérément provoqué les « natios », avec la claire volonté d’en découdre. Une vidéo découverte quelques jours après les faits, mais pour l’instant non publique [pourquoi ? ], montrerait même Méric de Bellefon agressant Esteban par derrière, ce dernier ne faisant que se défendre. Cette affaire a été l’occasion pour le pouvoir socialiste de dissoudre plusieurs mouvements de la mouvance nationaliste.

    Mais naturellement, pas touche aux mouvements d’extrême gauche, que le régime socialiste utilise volontiers comme réserves de tontons macoutes… Dès le lendemain, 6 juin, Manuel Valls, à l’époque ministre de l’intérieur, exprimait sa « totale détermination à éradiquer cette violence qui porte la marque de l’extrême droite ». Pour le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon « la violence sauvage qui a assassiné Clément Méric n’est pas fortuite » et met en cause « une culture méthodiquement inculquée et entretenue par des groupes d’extrême droite » liés, selon lui, au Front national. Quant au Premier ministre Jean-Marc Ayrault il déclarait vouloir « tailler en pièces les groupes d’extrême droite », mais, ajoutait-il, « de façon démocratique » !

     

    Quand même, quand même… Le Conseil des ministres du 10 juillet 2013 prononce la dissolution de Troisième Voie et des Jeunesses nationalistes révolutionnaires, les JNR, ainsi que de l’association Envie de rêver, au motif que « ces trois entités propagent une idéologie incitant à la haine et à la discrimination envers les personnes à raison de leur non-appartenance à la nation française et de leur qualité d’immigrés » Le 24 juillet 2013, à l’issue du Conseil des ministres, Valls annonce également la dissolution de L’Œuvre française. Un an plus tard, le 30 juillet dernier, le Conseil d’État valide la dissolution des JNR et de Troisième Voie, mais ne retient pas le motif d’incitation à la haine invoqué par le décret du gouvernement. Quant à la dissolution de l’association Envie de rêver, elle est jugée illégale et est annulée, l’État étant condamné à lui verser 2 000 euros au titre de ses frais de justice. Superbe opération de diversion, donc, mais qui a fait flop…

    A force de proclamer urbi et orbi que les méchants skinheads ou encore les Dieudonné, Soral, Varg Viekernes, mettent « la République en danger », le pouvoir socialiste a fini par se couvrir de ridicule. Les faits sont têtus, disait Lénine. Les Français jugent l’action du gouvernement non sur ces pitoyables moulinets, mais sur sa capacité à juguler la crise qui frappe le pays. Or là, le constat est sans appel. Depuis l’élection de François Hollande à la présidence de la République, plus de 500 000 chômeurs supplémentaires ont été recensés et les Français ont fini par comprendre que le pouvoir n’était pas en mesure de faire face à la dégradation accélérée de la situation économique du pays. Pour l’exécutif, c’est la descente aux enfers selon le dernier baromètre du Figaro Magazine — TNS Sofres, publié jeudi. Les Français qui lui font encore « tout à fait confiance » ne sont plus que 1 % ! Record absolu d’impopularité : aucun président de la 5ème République n’était tombé aussi bas.

    http://fr.novopress.info/174442/liberation-desteban-morillo/

  • Décès de la géostratégie française

    Entretien avec Richard Labévière

    Ex: http://zejournal.mobi

    La France renonce de plus en plus à ce qu’a fait les grandes heures de sa gloire militaire et diplomatique, à savoir une politique équilibrée et indépendante ? Entraînée dans l’orbite des décisions étrangères à ses propres intérêts, elle vit les heures les plus sombres de son histoire millénaire. 

    On serait presque tenté de dire : La Grandeur de la France n’est plus ! A plus forte raison cela concerne la région du Proche et Moyen-Orient. Spécialiste de la problématique, expert militaire chevronné et patriote par ses convictions, Richard Labévière nous a fait l’immense honneur de décortiquer les tenants et les aboutissants des affaires épineuses du wahhabisme et présence américaine dans la région de la Syrie.

    Voix de la Russie. Que pensez-vous de l’éventuel retour des wahhabites ? Vous avez rédigé un article sur l’Etat islamique et le renseignement américain… Pourriez-vous nous expliquer de quoi il retourne ?

    Richard Labévière. L’usage de l’islamisme politique radical et de l’islamisme armé est une vieille histoire qui commence avec la signature du Pacte de Quincy entre le Président Roosevelt qui rentre de la Conférence de Yalta en 1945 et le roi Ibn Séoud. Il s’agit du premier accord « pétrole contre la sécurité »… Comme ça les Américains avaient le feu vert pour exploiter la plus grande réserve d’hydrocarbures du monde contre le f ait qu’ils protégeraient la politique de la dynastie séoudienne y compris sa diplomatie en direction de la plupart de pays arabo-musulmans dans leur volonté d’hégémonie du monde arabo-musulman.

    Donc les Américains ont commencé effectivement par soutenir la monarchie saoudienne et l’idéologie wahhabite… A la clé de cette posture l’utilisation, dès le milieu des années 50, de la confrérie égyptienne des Frères musulmans financés par l’Arabie Saoudite. Mais à l’instant où Nasser rompt avec les Etats-Unis sur l’affaire du barrage d’Assouan, et se tourne vers l’URSS (et il soutient peu ou prou le nationalisme arabe), les services américains vont beaucoup utiliser les Frères musulmans. Et les Frères Musulmans seront choyés par les administrations successives démocrates et républicaines, et pour une bonne raison ! Parce que là où vous avez les Frères Musulmans, vous n’avez pas de syndicat ni parti communiste ! Pas de parti nationaliste ! Et les gens font l’aller-retour entre la mosquée et le Mac Donald ! Donc les Frères Musulmans sont les vecteurs de libéralisme économique, versus Washington ! On l’a vu avec le déclenchement des révolutions arabes : une thèse de l’effondrement du régime autoritaire qui était jusqu’à maintenant soutenue par les Etats-Unis et dont, pensaient les Américains, l’alternative sera justement les Frères Musulmans.

    Malheureusement, les Frères Musulmans au pouvoir en Egypte et en Tunisie n’ont pas su gérer l’économie, et, un an après l’arrivée au pouvoir de Morsi en Egypte, il y avait 30 Millions d’Egyptiens dans la rue !

    Il fallait autre chose ! Et l’administration américaine qui réellement a tourné la page d’Al-Qaïda et de Ben-Laden, exécute ce dernier au Pakistan, en mai 2011, pour éviter une convergence entre ces malmenées révolutions arabes et la mouvance Al-Qaïda pour essayer de tourner cette page d’Al-Qaïda. Les relations de Ben-Laden avaient été beaucoup utilisées contre l’Armée soviétique en Afghanistan…Et après la fin de la Guerre Froide les services américains avaient continué à instrumentaliser cette nébuleuse Al-Qaïda un peu partout dans le monde : en Tchétchénie, en Bosnie, en Afghanistan, en Chine…

    A un moment donné l’administration Obama veut tourner la page. Et c’est pour ça qu’ils vont essayer de syphonner le djihadisme global pour favoriser la formation des djihadistes locaux prétendant à gérer les territoires ou constituer des Etats. Et c’est comme ça que durant l’hiver 2012-2013 les services américains vont favoriser l’émergence de DAISH, de l’Etat Islamique de l’Iraq et du Levant qui va prendre Môssoul le 9 juin dernier.

    Et donc les services américains avaient signalé à plusieurs reprises qu’il fallait soutenir ces djihadistes locaux contre les djihadistes globaux d’Al-Qaïda pour en finir avec Al-Qaïda !

    Malheureusement, nouvelle déconvenue américaine : des djihadistes locaux vont s’avérer absolument ingérables… Et ils se mettent à menacer l’ensemble de la région ! En juin dernier ils se sont constitués en Califat. Donc la signification politique du Califat, c’est qu’ils prétendent avoir un droit de regard sur la gestion de la communauté musulmane comme la Mecque ou Médine. Et là on a un raidissement des monarchies wahhabites qui prennent peur ! Et c’est seulement à ce moment-là que l’administration américaine envisage les bombardements sur les djihadistes dans le Kurdistan, en Iraq, voire en Syrie…

    Donc là on assiste à un fabuleux retournement et à un nouveau revers de l’improvisation politique et diplomatique au Proche-Orient qui dure depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale ! Tout ça nous ramène à une très vieille histoire qui est le financement et le soutien logistique de ces mouvements islamiques de sunnisme radical financés par l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats et le Koweït et avec l’aval des services pakistanais, de l’Afghanistan sans parler de la bienveillance des services américains qui se sont toujours trompés sur cette mouvance qui a toujours créé des effets néfastes aussi bien pour les intérêts arabes qu’américains sinon russes pour tout la région du Proche et Moyen Orient !

    VDLR. Et la France là-dedans ? Y a-t-il quelque chose à craindre pour la France ?

    Richard Labévière. Malheureusement pour mon pays, la décadence a commencé avec le deuxième mandat de Chirac et la résolution 2539 en septembre 2004 où la France a eu son sursaut gaullien, à l’occasion du discours du 14 février 2003 au Conseil de Sécurité condamnant la deuxième Guerre d’Iraq. Les Américains nous ont fait payer très cher ce geste dans toutes les enceintes internationales et dans tous les hauts-lieux de l’économie importants ! Et on a fini par prêter allégeance aux Etats-Unis avec cette résolution dont l’effet était absolument désastreux ! Il s’agissait du retrait syrien du Liban avec le résultat que l’on connaît et le désarmement du Hezbollah… Cela a été inséré dans un cadre plus large : à savoir une Conférence Globale pour traiter l’épicentre de ces crises… Malheureusement, quand vous tronçonnez le Proche et Moyen Orient, vous donnez ra ison à l’agenda américano-israélien… Chirac a commencé à le faire. Sarkozy s’est totalement aligné. La politique et la diplomatie françaises étaient beaucoup par trop pro-arabes et qu’il fallait rééquilibrer à la faveur de l’Etat d’Israël. Sarkozy a réintégré la France au commandement intégré de l’OTAN… Et on pensait qu’avec François Hollande les choses seraient un peu différentes et qu’on reviendrait à une certaine vision gaulliste. Malheureusement, il n’en a rien été ! Et François Hollande avec Laurent Fabius ont fait pire que Nicolas Sarkozy dans l’alignement sur la position américano-israélienne ! Maintenant on peut considérer que pratiquement il n’y a plus de diplomatie française pour le monde arabe ! La France prend systématiquement parti pour Israël ! On l’a vu lors de la dernière opération de Gaza. Elle prend aussi systématiquement parti contre l’Iran et contre la négociation américano-iranienne. Lorsque Barak Obama a déclenché les bombardements sur la Syrie à propos des armements chimiques dont on sait aujourd’hui qu’ils étaient aussi utilisés par l’Alliance sunnite, la France n’a pas réagi ! Ainsi on voit que l’on a une politique française qui s’appuie principalement sur l’Arabie Saoudite maintenant dans le monde arabe… Pourquoi ? Espérant peut-être signer des contrats importants avec l’Arabie Saoudite. Cela me semble une vision politique de courte vue et cela finira par un isolement diplomatique de la France, sinon la fin de la diplomatie française dans le monde arabe au Proche et Moyen-Orient !

    Commentaire. Les arabes en veulent à la France et ils ont raison quelque peu. Même pendant la période Vichy il restait un peu de dignité au régime qui se disait défenseur du pays et de sa population. A l’heure qu’il est, toutes les décisions de la diplomatie française sont écrites et prises à Washington. Quelle honte ! 

    - Source : Alexandre Artamonov

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2014/09/05/deces-de-la-geostrategie-francaise.html

  • Skyrock et son fond de commerce : la pédophilie

    Livre en vente sur le site de la Librairie Française.
    « Ce livre est une enquête sur la radio Skyrock et son fondateur P. Bellanger ainsi que son entourage. Il se veut de prouver que les 13 condamnations successives de Skyrock par le CSA, pour corruption de mineur, depuis plus de 20 ans, sont en corrélation avec la condamnation pénale de son PDG dont l’idéologie ou plus exactement l’ésotérisme occulte évidente, comme le démontre au fil des pages ce livre, est essentiel à développer ici, pour permettre la compréhension de la dérive de la jeunesse d’aujourd’hui. Il se propose de poser les bonnes questions, afin de remédier au désordre ambiant.
    Faisant suite à son dernier ouvrage, La faillite du monde moderne, l’auteur démontre avec des faits clairs et précis, comment une certaine élite décadente et incestueuse, subvertit une nation, avec une insistance et une impunité des plus troublantes. 
    »

    http://www.contre-info.com/skyrock-et-son-fond-de-commerce-la-pedophilie

  • Manifestation des "sans-dents" devant l'Elysée, VIOLENCE avec la POLICE

  • Comment les banques centrales provoquent les crises financières

    Nous disons et écrivons très souvent que l’économie est largement financiarisée depuis plus de 15 ans. Nous vivons dans une économie de bulles d’actifs financiers. En fait, lorsqu’une bulle éclate sur un actif, on assiste généralement à la naissance d’une nouvelle bulle sur un autre actif car l’argent abondamment créé par les banques centrales ne peut, en général, être repris sous peine de provoquer d’énormes pertes en patrimoine chez les investisseurs privés ou de créer une crise bancaire.

    Nous sommes donc en plein aléa moral puisque certains acteurs financiers ne sont pas assez rigoureux dans l’analyse du risque de leurs investissements ; ils se reposent sur le fait qu’ils ont une capacité de nuisance systémique et qu’en conséquence il y aura toujours un prêteur/sauveur en dernier ressort (en l’occurrence la banque centrale de sa zone monétaire).

    C’est l’une des principales origines des crises financières que nous connaissons depuis les années 2000 : des politiques monétaires trop accommodantes pour ne pas dire laxistes avec un environnement de taux “anormalement” bas et donc de coûts de financement très avantageux (taux emprunts d’Etat de plus en plus ridicules, écarts de taux vis-à-vis des taux de swap ne rémunérant que très peu ou même pas du tout le risque bancaire ou d’entreprise).

    La crise financière est inévitable lorsque l’investisseur va chercher du rendement sur des classes d’actifs de plus en plus risquées parce que les actifs prétendus les plus sûrs — comme les emprunts d’Etat (Etats-Unis, Royaume-Uni et grands Etats de la Zone euro) — rapportent de moins en moins.

    La crise financière peut devenir particulièrement violente — comme en 2007-2008 — lorsque de surcroît les produits de placement classiques (y compris les plus risqués) rapportent moins alors même que les exigences de rentabilité restent inchangées ; d’où l’innovation financière pour fabriquer des produits structurés sophistiqués et complexes censés procurer du rendement avec un risque maîtrisé.

    La séquence de crise est la suivante

    Phase 1 : un investisseur institutionnel achète des titres d’Etat AAA (actifs refuge) à un taux moyen de 3% en empruntant à 1%, soit une marge nette d’intérêt de 2%. Sur les marchés financiers tout le monde fait la même chose en même temps avec peu ou prou les mêmes objectifs de rentabilité et les mêmes contraintes comptables et réglementaires.

    La demande sur ces titres d’Etat AAA reste très soutenue car les banques centrales les rachètent dans le cadre de leurs mesures non conventionnelles et la réglementation incite les banques commerciales à en avoir ; les prix s’envolent et les rendements baissent jusqu’à 2%. De nouveaux achats réduiraient donc la marge de transformation à 1% en supposant inchangées les conditions de refinancement. Problème : la rentabilité exigée par les clients ou actionnaires reste la même à 2% de marge.

    Phase 2 : ainsi, quels que soient son aversion au risque, son opinion des fondamentaux macroéconomiques, son jugement sur la solvabilité des émetteurs qu’il va rentrer en portefeuille, notre investisseur institutionnel doit rechercher des actifs qui rapporteront au moins 3%. Il pourra alors choisir d’investir sur de la dette souveraine moins bien notée (A voire BBB) et de la dette d’entreprise. Il prendra donc plus de risque pour maintenir sa marge.

    Vous commencez à comprendre pourquoi les emprunts d’Etat à 10 ans de pays tels que l’Espagne ou l’Italie rapportent aussi peu (respectivement 2,60% et 2,80% début août) ; pourquoi également les écarts de taux sont aussi resserrés.

    Les professionnels de l’investissement sur les marchés financiers vous expliquent qu’ils sont “benchmarkés”, c’est-à-dire comparés entre eux, et obligés d’aller investir leurs excédents de liquidité sur tout actif qui surperformerait les taux prétendus sans risque. On peut considérer aujourd’hui comme taux réellement “sans risque” le taux monétaire Eonia mais plus nécessairement une obligation d’Etat même à court terme. Seulement voilà, l’expérience prouve qu’investir de manière insouciante pour des raisons réglementaires, comptables ou psychologiques (faire comme tout le monde), crée justement des bulles dont l’éclatement aura vite fait d’anéantir le rendement attendu.

    Phase 3 : la poursuite de la course au rendement va provoquer une hausse continue des prix des actifs et donc une baisse de leurs rendements. Ainsi les titres d’Etat achetés à 3% dans la phase 1 et rapportant 2% dans la phase 2 vont se renchérir avec des rendements s’effondrant à 1%. Tandis que les obligations d’Etats (notées de A à BBB) et d’entreprises acquises à 3% de rendement durant la phase 2 ne rapporteront plus que 2% en phase 3.

    Au-delà de la surévaluation des actifs financiers, la course au rendement débouche sur des risques de course au levier et à l’endettement. C’est exactement ce qui s’est passé en 2006 et 2007. Nous sommes donc installés dans un système de crises financières successives parce que la course au rendement reste déconnectée du risque pris.

    Les fondamentaux économiques sont dans le meilleur des cas ignorés, dans le pire des cas méprisés ; ce qui crée des situations totalement délirantes sur l’évaluation de certains actifs financiers. Le risque est amplifié avec la persistance du recours à l’emprunt pour répondre aux contraintes de rentabilité.

    La BCE schizophrène

    La Banque centrale européenne (BCE) le dit ouvertement mais a mis en place de nouvelles mesures dites non conventionnelles lors de sa réunion mensuelle du 5 juin 2014 — ce qui conforte les investisseurs dans leurs choix dangereux.

    N’oublions pas le second visage de la BCE et son futur rôle de superviseur des banques de la Zone euro à partir du 4 novembre 2014. Ainsi dans la nouvelle édition de sa Revue sur la stabilité financière, la banque centrale met en garde contre l’éventualité d’une brusque inversion de tendance sur les marchés financiers.

    “En même temps que la recherche de rendement, les préoccupations concernant la formation de déséquilibres et la possibilité d’une remise en cause brusque et désordonnée des flux d’investissement récents s’intensifient“.

    Aussi les banques, assureurs et fonds de pensions devraient constituer “des coussins suffisants pour amortir une normalisation des rendements”. Oui la Banque centrale européenne schizophrène reconnaît officiellement l’anomalie des rendements.

    Et elle semble bien impuissante tant il est difficile de choisir entre l’éclatement brutal de bulles d’actifs financiers (générateurs de krachs sans précédent) et la persistance de l’inefficacité financière (une liquidité anormalement abondante qui ne sert économiquement et socialement à rien).

    Economie Matin

    http://fortune.fdesouche.com/353843-comment-les-banques-centrales-provoquent-les-crises-financieres#more-353843

  • Ardennes : pseudo-scandale autour d’images drôles chez un pharmacien

    Dans le bourg ardennais de Rouvroy-sur-Audry, le pharmacien a accroché dans son officine, deux images humoristiques au milieu « de petites annonces, de photocopies de textes issus de la presse et de caricatures ».

    La presse locale fait semblant de s’indigner et n’arrête pas d’évoquer du « racisme » (alors qu’il n’est pas question d’un peuple), tandis que le pharmacien signale que sa clientèle trouve ça « rigolo ». Jugez-en :

    http://www.contre-info.com/