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lobby - Page 1831

  • Manuel Valls veut la peau d’Egalité et Réconciliation

    Plusieurs médias du système ont été mobilisés pour mener une charge contre Egalité et Réconciliation (E&R) afin d’obtenir son interdiction. Objet de l’offensive du moment : Egalité et Réconciliation organiserait des camps d’entraînement para-militaires !

    De quoi s’agit-il en vérité ? Prenons le Maquis, présentée comme une structure partenaire d’E&R, organise, comme elle le fait depuis longtemps, un stage de survie et de premiers soins. Avec également au programme quelques cours de self-defense. Sur ces quelques maigres éléments, un montage se met en place afin de faire croire que les participants s’entraînaient à prendre d’assaut la République qui en tremble déjà. Le Canard enchaîné a tiré la première salve, le Parti socialiste a suivi par un communiqué indigné, et les médias sont invités à faire du bruit autour de « l’affaire » et à faire frissonner le Français moyen.

    Cela tombe à pic. Pour faire bonne mesure, le ministère de l’Intérieur avait précédemment évoqué la dissolution de la Ligue de Défense Juive (LDJ). Compte-tenu du fait qu’il s’agit d’une milice qui n’a pas d’existence légale en France, Maître Goldnadel avait expliqué l’ineptie d’une procédure de dissolution.

    Médias Presse Info avait également signalé comment la France préparait la censure d’internet. Bien sûr au nom de prétextes plus louables les uns que les autres…

    Qui plus est, il n’est un secret pour personne que Manuel Valls a désigné Alain Soral comme une cible prioritaire. Les discours tenus à ce sujet par l’actuel premier ministre devant des organisations communautaires sont explicites.

    Pourquoi tant de hargne ? Il suffit de savoir que le site Egalité et Réconciliation se classe 174ème site internet le plus consulté en France, mais surtout le premier site d’information le plus consulté, bien devant les sites des médias du système, pour comprendre qu’une telle influence est inadmissible pour l’homme de Matignon.

    http://medias-presse.info/manuel-valls-veut-la-peau-degalite-et-reconciliation/13988

  • Pas d’état d’âme dans le marchandage

    Nous voici devant l'une des conséquences dramatiques et parfaitement prévisibles de l'autorisation de la GPA.

    Chateau


    Il était une fois un couple d’homosexuels australiens qui passèrent commande auprès d’une jeune femme thaïlandaise, pour leur faire un bel enfant. Des examens en cours de grossesse révélèrent la présence non pas d’un bébé mais de deux : une petite fille en bonne et due forme et un petit garçon atteint de trisomie 21. Ah ben non, alors ! Mais, croyante, la maman porteuse âgée de 21 ans refusa d’avorter, en d’autres termes ne voulut pas subir de triage d’embryon et, comme la nature l’avait prévu, mit au monde les jumeaux.
    Eh bien, non seulement les Australiens mécontents embarqueront la petite fille en abandonnant le petit garçon malchanceux aux bons soin de sa mère, mais ils ne paieront que pour la bonne moitié de la transaction. À la jeune Thaïlandaise de prendre en charge les frais du bébé handicapé.
    Ne pensez pas qu’il ne s’agit que d’argent, confie-t-elle au Sydney Morning Herald. Si quelque chose tourne mal, personne ne vous vient en aide et si le bébé est abandonné de la société, nous devons en prendre la responsabilité. »
    Nous voici donc devant l’une des conséquences dramatiques et parfaitement prévisibles de l’autorisation de la GPA. Mais pourquoi, me direz-vous, être choqué par cette demande d’avortement quand elle émane d’un couple d’homosexuels et la comprendre quand il s’agit d’un père et d’une mère ? Parce que dans le premier cas, qu’on le déplore ou non, on est face à une situation de marchandage : un client, un produit. Alors que pour les seconds, il s’agit avant tout d’un problème de conscience : « Est-on assez solides pour faire face ? » « L’amour suffira-t-il ou trop de difficultés finiront-elles par l’éroder ? » « Et les frères et les sœurs ? »
    Bref, à des questions d’ordre existentiel et moral s’oppose le « satisfait ou remboursé » qui est le critère unique du marchandage.
    La procréation est devenue une pratique consumériste : l’enfant est un produit auquel on a droit », confiait Jacques Testart – l’un des pères d’Amandine, le premier bébé-éprouvette – au journal La Croix, en avril dernier. Un droit qui passe par celui de vouloir obtenir un enfant « de qualité », et de « façon manufacturée » (dérives déjà observées dans des pays étrangers), ne croyait pas si bien dire le professeur de biomédecine. La procréation médicale avec le triage des embryons qui s’ensuit, si elle permet aux couples à risque d’éviter de transmettre de graves maladies génétiques, aboutirait à sélectionner le futur enfant selon le sexe, des critères esthétiques spécifiques, lesquels – dans l’hypothèse pessimiste – engendreraient « une restriction de la diversité avec, à terme, l’anéantissement de l’espèce humaine », prévient encore le professeur.
    Et pas d’élitisme esthétique et physique sans moyens financiers : « Nous irions ainsi vers une humanité à deux vitesses. Certains hommes seraient améliorés par diverses techniques, tandis que d’autres resteraient sur le bord de la route. »
    Exactement ce que vient de faire ce couple d’Australiens homosexuels à leur petit garçon. Pas d’état d’âme dans le marchandage.

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EupZkyAVklokFEKzsl.shtml

  • Le plan de Ségolène Royal : parsemer la France d’éoliennes

    Ségolène Royal a l’intention de transformer le paysage français en dressant un peu partout des éoliennes. Surtout le long du littoral français. Les projets déjà en cours prévoient 62 éoliennes au large de l’île d’Yeu, 83 éoliennes devant Fécamp et Etrebat, une centaine d’éoliennes en baie de Saint-Brieuc. Ça, c’est l’entrée.

    Le plat de consistance imaginé par madame le ministre de l’Environnement devrait s’étaler jusqu’en 2030. A cette date, entre 3.500 et 4.000 éoliennes devraient avoir envahi le littoral français.

    Ségolène Royal s’enthousiasme : il s’agit « de faire de la France le chef de file en Europe des énergies marines renouvelables « . Pourtant, un fait étonne : si madame le ministre planterait volontiers une éolienne dans votre jardin, elle n’en veut pas pour La Rochelle, son fief électoral !

    Il faut dire que la controverse persiste à propos des nuisances des éoliennes. Les plus alarmistes rappellent que les alternateurs qui équipent les éoliennes contiennent du néodyme, un métal rare extrait et raffiné essentiellement dans la région de Baotou en Mongolie. Ce qui provoque là-bas une telle pollution radioactive que la population locale présente une proportion très anormale de cancers et ostéoporoses, sans parler des malformations à la naissance.

    Quant à l’intérêt écologique des éoliennes, il est tout relatif puisqu’il est indispensable de compléter le dispositif des éoliennes par des centrales thermiques qui fonctionnent généralement avec du combustible fossile et relâchent dans l’atmosphère un taux conséquent de CO2.

    Enfin, il faut ajouter que l’électricité produite par les éoliennes est vendue à EDF (ou à ses concurrents) à un prix garanti par l’Etat, largement au-dessus de celui du marché. Ce qui signifie que le surcoût est payé au final par le consommateur.

    http://medias-presse.info/le-plan-de-segolene-royal-parsemer-la-france-deoliennes/13961

  • En Argentine, l'antenne volante de la mort

    En Argentine, le gouvernement a créé une équipe mobile chargée de pratiquer des avortements partout où les femmes seraient confrontées à des médecins objecteurs de conscience. Le blog de Jeanne Smits :

    "Le ministre de la Santé de la province de Buenos Aires, en Argentine, a annoncé le 4 août lors d'une formation de l'équipe de santé de l'université de La Matanza la création d'une équipe mobile chargée de réaliser des avortements dépénalisés dans le cadre de la réglementation argentine en vigueur, fixée par la jurisprudence de la Cour suprême, partout où des femmes se heurteraient au refus des médecins objecteurs de conscience.
     
    Les équipes déployées dans la province capitale interviendront dans les cas « controversés » d'avortement non punissable – en cas de grossesse résultant d'un viol – a indiqué le ministre Alejandro Collia, qui a également annoncé la création d'une consultation ouverte aux femmes « victimes » jusqu'à 12 semaines de gestation.
     
    C'était la première d'une série de six formations dispensées dans des universités nationales, visant principalement les gynécologues et obstétriciens, en vue de deux objectifs affichés : « garantir » l'accès à ces avortements légaux et à réduire le nombre de morts maternelles liées à l'avortement.
     
    Il s'agit de mettre fin aux « controverses, aux atermoiements et aux doutes des professionnels sur le moment et la manière de pratiquer l'avortement » qui se sont fait jour malgré la confirmation par la Cour du fait qu'il n'est pas nécessaire de passer devant la justice pour obtenir un avortement dépénalisé. « En définitive, on a dressé des obstacles à l'accès aux services de santé ».
     
    Désormais, si tous les médecins d'un hôpital sont objecteurs, l'équipe mobile se déplacera afin d'éviter de « revictimiser » la femme, en « résolvant son problème » dans l'hôpital où elle se présente pour lui éviter d'être renvoyée vers un autre établissement dans des circonstances déjà si angoissantes, a expliqué une responsable locale du Programme de santé sexuelle et de procréation responsable. Le ministre Collia a précisé de son côté qu'il n'était pas question de donner la priorité au droit de la femme ou à celui du médecin objecteur – pour des raisons « morales ou religieuses » – mais de les respecter tous les deux.
     
    Au fait, « Universidad de La Matanza » pourrait se traduire par « université de la tuerie »…  (Larousse : "matanza", nom féminin, "tuerie", "abattage" [NDMB] ) "

    Marie Bethanie

  • Les délires judiciaires de l’immigration – invasion

    Magistrats de gauche et médias marchent la main dans la main pour promouvoir le Grand Remplacement.   

    Le tsunami migratoire prend de l’ampleur. Des milliers d’Érythréens venus par l’Italie franchissent la frontière à Menton. Les hôpitaux de Lyon sont saturés de « réfugiés médicaux ». Le nombre des (faux) demandeurs d’asile explose. Les départements protègent de moins en moins bien les mineurs français en danger car les services sociaux d’aide à l’enfance prennent prioritairement en charge les (souvent faux) mineurs étrangers.

    Le système est devenu fou : la France (2.000 milliards de dette) ouvre ses droits sociaux à quiconque lui raconte une histoire à dormir debout (persécutions politiques ou sexuelles le plus souvent imaginaires). La Cour nationale du droit d’asile (CNDA) fournit même des « kits » officiels de rédaction des demandes…

    Lire la suite 

  • Affaire du bébé trisomique : la Manif pour Tous communique

    Suite au scandale suscité par l'affaire de Gammy, le petit jumeau trisomique "commandé" puis abandonné par ses commanditaires, La Manif Pour Tous communique :

    Affaire Gammy : La Manif Pour Tous dénonce une polémique qui dissimule le véritable scandale des mères porteuses (GPA) en général.
    L’abandon de Gammy, petit garçon trisomique abandonné à sa mère (porteuse) par le couple l’ayant commandé, soulève à travers le monde une vague d’émotion et de solidarité pour aider sa véritable mère à l’élever dans les meilleures conditions. 
    Cette affaire sordide révèle à ceux qui l’ignoraient la triste réalité des mères porteuses et de son business : un couple souhaitant avoir un enfant le commande à une femme qui est alors priée de le livrer neuf mois plus tard ! 
    Mais la polémique actuelle qui va jusqu’à s’afficher en une des quotidiens prend une tournure dramatique car le cas de Gammy fait progressivement l’objet d’une manipulation de la part des promoteurs de la GPA (Gestation ou Grosssesse Pour Autrui, donc les mères porteuses). On commence à voir de plus en plus de « commentaires » liés à l’affaire Grammy dénonçant « les dérives » des mères porteuses et de ce business qui repose sur l’asservissement de la femme, la marchandisation de l’enfant et la destruction volontaire et programmée du lien Père-Mère-Enfant ! « La polémique qui entoure cette affaire est en train de faire fausse route » s’inquiète Ludovine de La Rochère, Présidente de La manif Pour Tous. « Alors que la sort de Gammy devrait inciter la France et la communauté internationale à lutter de toute urgence contre cette traite humaine qu’est la GPA (mères porteuses), les partisans de cette pratique inhumaine cherchent à pointer les « dérives » de la GPA pour encadrer la pratique et donc la légaliser : c’est écœurant mais nous ne sommes pas prêts de baisser les bras ! » prévient-elle. 
    La Manif Pour Tous demande le retrait de la circulaire Taubira qui permet à des couples français (homosexuels comme hétérosexuels) de "régulariser" les enfants issus de GPA réalisées à l’étranger dans des pays où les mères porteuses sont tolérées. Le Conseil d’Etat - dont on peut se demander s il a volontairement attendu les arrêts de la CEDH sur la GPA - se prononcera vraisemblablement à la rentrée sur cette circulaire qui facilite de fait le développement des mères porteuses. Depuis un an, on estime à une centaine le nombre de bébés fabriqués à l’étranger et arrachés à leur mère au profit de couples français. 
    La France, patrie des droits de l’Homme, opposée de longue date à la traite des humains et défendant la dignité de la femme, doit adresser à la communauté internationale un signal fort en retirant la circulaire Taubira, en agissant au niveau national pour dissuader et au niveau international pour faire adopter des protocoles additionnels aux conventions internationales qui interdisent la GPA. Ainsi, l’article de la Convention internationale des droits de l ’enfant (CIDE) interdisant la traite des enfants doit inclure au plus vite la mention complémentaire "y compris par la GPA". 

    La familiphobie visant à déconstruire le lien Père-Mère-Enfant et à fragiliser l’identité sexuelle Homme-Femme doit cesser ! C’est le message qui sera porté le dimanche 5 octobre à Paris et Bordeaux à l’occasion des prochaines Manifs Pour Tous. « La naissance de Gammy et de sa soeur touche chacun d’entre nous. Ne laissons pas les partisans de la GPA utiliser son sort et le manipuler : aucune polémique ne doit aujourd’hui dissimuler le véritable scandale des mères porteuses en général. Nous allons continuer notre action de sensibilisation dans les prochaines semaines et jusqu’au 5 octobre. Nous ne resterons pas passifs devant cette nouvelle menace qui pèse sur l’intérêt supérieur de l’enfant » conclut Ludovine de La Rochère.

    Pour en savoir plus : http://www.lamanifpourtous.fr/fr/

    Marie Bethanie

  • Ecologie : La peste verte ?

    Dans un ouvrage prophétique paru en 1991, La Peste verte, Gérard Bramoullé dénonçait la dérive idéologique de l’écologie. Mais il était malheureusement en dessous de la vérité. Car, devenue une religion, l’écologie se situe désormais au delà de l’idéologie – MG

    Comme religion de l’oligarchie, au même titre que la religion antiraciste, l’écologie se place dans le registre de la révélation, du dogme et des anathèmes contre ceux qui ne partagent pas la foi nouvelle : elle est devenue inaccessible à la raison et en particulier à la raison scientifique.

    La foi écologique consiste à croire que la nature se porterait mieux en l’absence de l’homme occidental, responsable notamment du réchauffement climatique qui résulterait des émissions de CO2. On ne reviendra pas sur le fait que ce diagnostic du réchauffement climatique n’est nullement avéré. Par définition la révélation se situe au-delà de la vulgaire preuve scientifique. Intéressons-nous seulement aux effets concrets du dogme vert.

    Le néant vert

    Quel est le bilan réel des politiques conduites depuis la fin du siècle dernier au nom de cette religion ? Tout simplement nul ou catastrophique pour les Européens.

    Pensons à tous ces « Grenelle » ou conférences internationales censés nous prémunir contre les périls climatiques en faisant diminuer notre empreinte carbone, qui joue le rôle de premier Satan dans cette nouvelle religion. Mais ses adeptes oublient de nous dire que les efforts que cela implique pour nous se trouvent immédiatement annulés par le développement économique de tous les pays émergents et notamment de la Chine. Par conséquent tout ce que l’on nous demande de faire pour diminuer nos émissions de CO2 ne sert absolument à rien par rapport au but affiché.

    L’enfer vert

    Cela rend-il au moins notre vie plus agréable ou plus facile en Europe ?

    On peut en douter car, au concret, le prêche écolo débouche avant tout sur deux choses : une avalanche de réglementations et de normes qui ne font que compliquer l’existence et renchérir le coût des produits et des services, d’une part ; une augmentation continue des prélèvements publics, d’autre part.

    Ces deux fléaux se conjuguent pour réduire la liberté d’initiative des Européens et leur capacité à affronter un monde de plus en plus concurrentiel. Car les adeptes de la nouvelle religion ne se bornent pas, hélas, à proférer des idées bizarres dans des colloques : ils veulent surtout faire le bien de la planète malgré nous.

    Le tableau noir des Verts

    La liste ne cesse de s’allonger, en effet, des méfaits déjà imputables à la nouvelle religion verte en Europe :

    - l’affirmation d’un principe de précaution généralisé qui handicape toute prise de risque ;

    - la lutte active contre l’énergie nucléaire, et plus récemment contre le « gaz de schiste », c’est-à-dire contre ce qui permet d’assurer l’indépendance énergétique à moindre coût ;

    - des dépenses publiques massives au bénéfice de prétendues énergies ou moyens de transport « propres » comme le photovoltaïque, les éoliennes ou les réseaux ferrés dont la productivité est aléatoire et le coût élevé. Grâce aux zélotes écolos, les Européens sont en tout cas assurés de payer leur énergie toujours plus cher !

    - la réduction continue de la liberté de circulation automobile. Car l’auto, inventée par les Européens justement pour faciliter les déplacements, est l’autre grand Satan de la religion verte. Grâce aux écolos, les villes sont ainsi devenues autophobes : des millions d’Européens se trouvent désormais contraints de dépendre de transports collectifs ou de se déplacer à pied ou à vélo pour faire leurs courses, se distraire ou se rendre à leur travail. Retour au XIXe siècle, à la différence notable toutefois que les lieux de domicile et de travail se trouvent aujourd’hui beaucoup plus éloignés !

    - l’apparition d’une « fiscalité écologique » qui représente quand même déjà 1,86% du PIB en France et qui s’ajoute par conséquent à un niveau de prélèvements publics et sociaux élevé (46%) et que les charmants élus verts veulent bien sûr augmenter à des fins « pédagogiques » ;

    - des paysages européens dénaturés par les champs d’éoliennes ;

    - la difficulté croissante d’entreprendre et de conduire de grandes opérations d’aménagement, en raison du harcèlement auquel se livrent les associations au nom de la défense de l’environnement ;

    - le ralentissement de la recherche dans certains domaines (ex : les OGM) ;

    - les troubles d’ores et déjà apportés à l’écologie animale et à l’environnement humain du fait d’une ingénierie « verte » brouillonne, comme en témoignent par exemple les perturbations croissantes apportées par la multiplication des loups et des sangliers en Europe, espèces que les zélotes verts voulaient « protéger ».

    Une idéologie au service de l’oligarchie

    Comme toujours en matière de croyances, celles-ci reflètent certains intérêts bien précis.

    La rhétorique écolo sert ainsi à merveille l’oligarchie pour justifier tout à la fois un renforcement du contrôle social de la population et une relance artificielle de la consommation.

    Dans certains pays européens le tri des déchets ménagers, de même que l’utilisation de voitures aux heures de pointe, fait déjà l’objet d’un contrôle répressif des personnes. Et il suffit de penser à la phrase inoubliable de J. Chirac lors du sommet de Johannesburg en 2002 pour qui nous nous rendrions coupables d’un crime contre l’humanité future, pour comprendre tout ce que recèle en puissance cette sympathique philosophie de la culpabilisation de l’action humaine.

    Le mot écologie, capable d’annihiler tout sens commun chez le récepteur, est devenu un argument publicitaire de première importance. L’argument « vert » (dans l’industrie), « bio » (dans l’alimentaire) ou « durable » (dans les services) a eu une fonction capitalistique bien précise : relancer la commercialisation de nouveaux produits. Le système marchand doit impérativement stimuler en permanence le consommateur, en effet. La religion verte y pourvoit.

    Ainsi le consommateur sera tout content d’acquérir une voiture « hybride » dont le coût d’acquisition est en réalité très supérieur à un produit normal et ne sera que très exceptionnellement amorti par l’heureux propriétaire. Bien entendu le discours sur les énergies « propres » convient à merveille aux vendeurs de matériel idoine qui se trouvent par un heureux hasard financer aussi les ONG écolo.

    La justification verte a permis de transférer au surplus sur le consommateur final des charges auparavant supportées par l’entreprise. C’est donc double bénéfice ! Le consommateur peut ainsi acheter des yaourts, des œufs ou des légumes « bio » plus chers, mais il aura le plaisir en plus de ne pas recevoir d’emballage : s’il veut un sac on lui demandera de le payer. Mais heureusement, au nom d’une noble cause : sauver la planète ! Les publicitaires doivent bien rire.

    La religion du déclin européen

    Plus fondamentalement, la religion verte s’analyse comme un des nombreux symptômes de la décadence européenne : cette religion traduit la peur de l’avenir des vieux Européens, au sein du grand hôpital qu’est devenu l’Occident.

    Elle ne présente les évolutions de notre environnement que sous un jour apocalyptique, alors que celles-ci peuvent constituer, au contraire, de nouvelles opportunités humaines.

    Elle sous estime totalement la capacité de l’homme européen à surmonter, grâce à la science et à la technique, qui sont une création de son génie propre, les défis environnementaux.

    La religion verte réussit aussi la performance de promouvoir le paradigme de la décroissance en Europe, alors que notre continent est le seul à souffrir du chômage structurel et de la désindustrialisation ! Elle condamne enfin l’agriculture moderne dont les rendements permettent seuls de nourrir une population croissante.

    A entendre les zélotes verts, notre avenir européen passerait par le vélo, les éoliennes et le chauffage au bois. Un avenir de réserve folklorique.

    Les Chinois et les Indiens, eux, misent sur l’atome, l’informatique, la génétique et la recherche spatiale.

    Merci les Verts !

    Michel Geoffroy, 16/11/2012

    http://www.polemia.com/ecologie-la-peste-verte/

  • Patrons et entreprises britanniques contre les sanctions antirusses

    Sans surprise, la Grande-Bretagne est en Europe à la pointe dans l’agressivité vis-à-vis de la Russie. Le premier ministre « conservateur » David Cameron s’est, par exemple, joint à ses amis américains pour réclamer de la France qu’elle renonce à son contrat de livraison de deux navires de projection et de commandement de classe Mistral à la Russie. La France perdrait alors un contrat s’élevant à 1,2 milliards d’euros et faisant vivre des centaines de salariés ; de plus, elle s’exposerait au risque de devoir payer des pénalités pour non-respect de ses engagements commerciaux.

    Mais cette russophobie dont fait preuve le gouvernement du Royaume-Uni semble loin d’être partagée dans l’industrie britannique.

    Cette semaine, le quotidien d’outre-Manche The Telegraph a publié une lettre ouverte signée par les PDG de sept entreprises (SH Landes LLPThe Russia HouseDG LeadershipClassical BrandsExport ExplorerRFIB Groupet Focus on Russia). « Le crash d’un avion de Malaysia Airlines est un crime et ses auteurs doivent être traduits en justice. Toutefois, ni les simples citoyens russes, ni les hommes d’affaires occidentaux qui ont déployé des efforts pour bâtir des relations avec la Russie ne doivent payer le prix de cette tragédie. Les sanctions que l’UE et les USA introduisent à l’encontre de la Russie n’empêcheront pas les autorités russes de s’ingérer dans la situation en Ukraine. Bien plus, le gouvernement russe rendra les sanctions responsables de la dégradation de l’économie nationale. » peut-on lire dans cette tribune.

    Quelques jours plus tôt, Anthony Bamford, PDG du groupe JCB, un des principaux fabricants d’engins de construction dans le monde, avait qualifié les sanctions occidentales d’absurdes. « La Russie constitue depuis 30 ans un marché important pour JCB, est tout porte à croire que les sanctions se répercuteront sur nos activités en Russie, mais il est impossible pour le moment d’évaluer leur impact. Il semble absurde que l’un des principaux exportateurs britanniques, qui réalise avec succès les livraisons d’équipements aux agriculteurs et entreprises russes, soit si sérieusement touché par les sanctions de Bruxelles. » avait-il déclaré au même journal The Telegraph.

    Le 29 juillet, c’est la société pétrolière BP (British Petroleum) qui communiquait son opposition à tout élargissement des sanctions visant la Russie.

    En somme, on n’assiste à rien d’autre qu’à un conflit entre politiciens professionnels aveuglés par l’idéologie et le pragmatisme d’acteurs de l’économie réelle.

    Baudouin Lefranc

    http://medias-presse.info/patrons-et-entreprises-britanniques-contre-les-sanctions-antirusses/13958

  • Le Refuge agrémenté par le gouvernement pour aller dans les écoles


    Après avoir déguisé les ABCD de l’égalité afin de faire taire les familles engagées dans les « Journées de Retrait de l’école », le gouvernement poursuit sa propagande homosexualiste dans les écoles et lycées au motif de la « lutte contre l’homophobie ».

     Cette fois-ci, ce sont les membres du Refuge qui en profitent : à l’issue de deux années de procédures, le ministre de l’Education Nationale Benoît Hamon vient de leur octroyé l’agrément national des associations éducatives complémentaires de l’enseignement public.  

    L’association de « lutte contre l’homophobie et la transphobie » pourra donc désormais étendre ses actions de sensibilisation en milieu scolaire, ce qu’elle faisait déjà depuis 2010 sans la reconnaissance du ministère. En 2013 l’association était déjà intervenue dans 15000 établissements soit 400 de plus que l’année précédente.

    Son directeur, Frédéric Gal confie que son but est d’augmenter le nombre d’interventions mais également de développer d’autres activités : « Nous aimerions par exemple lancer un projet avec le ministère dans les quartiers en difficulté, où la question de la sexualité – même pas celle de l’homosexualité – est encore un tabou. Le deuxième objectif, c’est la formation des enseignants et des travailleurs sociaux : quand des jeunes vont mal, c’est vers eux qu’ils se tournent, il faut donc les rendre à l’aise sur ce sujet et leur donner des clés pour qu’ils puissent répondre à leurs interrogations. Et surtout, démystifier et banaliser l’homosexualité ».

    http://www.contre-info.com/le-refuge-agremente-par-le-gouvernement-pour-aller-dans-les-ecoles