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lobby - Page 1833

  • La convention qui lie le ministère de l’Intérieur à la LICRA…

    Le mardi 29 juillet 2014, Alain Jakubowicz, président de la LICRA, a été reçu par Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur (PS) afin de renouveler la convention liant la Licra au Ministère de l’Intérieur. Une convention entre le ministère de l’Intérieur et la Licra ? De quoi s’agit-il ?

    Le 1er décembre 2010, Brice Hortefeux, ministre de l’Intérieur (UMP) et Alain Jakubowicz, président de la Licra, signaient une convention aux fins que ministère de l’Intérieur et Licra « conjuguent leurs efforts dans la lutte contre le racisme et l’antisémitisme ».

    Réunion et signature d'une convention avec la LICRA.

    Yves-Marie Laulan, économiste et démographe, avait parfaitement décrypté les conséquences de cette convention dans un communiqué toujours d’actualité.

    (…) En vertu de cet accord, chaque commissariat de police, chaque gendarmerie recevra pour diffusion la documentation de la LICRA. Une formation à l’antiracisme est prévue dans les écoles de police et de gendarmerie. Une coopération avec la LICRA est prévue en matière de « veille sur internet » pour prévenir les « dérives » sur la Toile complétée par des « échanges de statistiques ».

    Voilà que le ministère de l’Intérieur devient ainsi formellement non seulement le financier de la Licra au travers des subventions versées à cette association, mais au surplus, son informateur.

    En outre, cette démarche ne manque pas de soulever un certain nombre de questions, notamment de nature juridique. Est-il légal que le gouvernement passe une convention avec une association de la loi de 1901 en l’associant étroitement aux prérogatives de la puissance publique en matière de répression des dérives alléguées du racisme ? (…) Est-il légal que policiers et gendarmes, dont ce ne sont pas les fonctions reconnues par l’Etat, se fassent les agents involontaires de la publicité de la LICRA

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  • Abdel Bari Atwan, célèbre éditorialiste de la presse arabe: "Certains dirigeants arabes sont pires que Netanyahou" (vidéo)

  • Paul Singer : une ordure capitaliste et homosexualiste

    Qui est Paul Singer ? C’est le patron de NML Capital qui est une filiale du fonds d’investissement Elliott Management Corporation enregistré dans les îles Caïman. Ce sont les fameux « fonds vautours » qui ont mis l’Argentine en défaut de paiement partiel et qui s’attaque à l’Espagne.

    Qu’est ce qu’un fond vautour ?

    « Les fonds vautours se font de l’argent en spéculant sur les pays en difficultés, comme en Argentine durant la crise de 2001. Ils achètent alors des bons de la dette à bon prix avant d’en exiger, le moment opportun, le remboursement à un prix élevé par voie judiciaire, en y incluant des intérêts de retard et des frais de justice. Ils spéculent ainsi sur la dette publique, en compromettant les dépenses sociales pour la grande majorité de la population. Ces fonds vautours ont choisi le litige après avoir refusé de faire partie des 93% des créanciers qui avaient négocié avec le gouvernement argentin. Et maintenant le juge du district de New-York Thomas Griesa, donne la priorité au paiement aux fonds vautours. Ce qui ouvre la porte à une avalanche de demandes en justice qui pourrait déboucher sur le défaut de paiement de l’Argentine le 30 juillet. (Note de CI : L’Argentine est bien en défaut de paiement partiel aujourd’hui)
    Comme le dit bien Julio C. Gambina, « Personne ne sait avec exactitude à combien peut s’élever la demande des créanciers de la dette impayable », mais nous savons que le prix pour le peuple argentin peut être catastrophique. » Source tlaxcala-int.org via LME

     

    Paul Singer militant acharné

    En plus d’être l’artisan de ce pillage des nations, Paul Singer est un militant inverti fanatique. Il plume les peuples mais il donne des fortunes aux associations homosexualistes.

    Merci à Walfroy d’avoir trouvé et traduit ce passage du Wikipédia anglais pour Contre-Info :

     

     

    Singer a contribué à la cause des droits des homosexuels et aux campagnes en faveur du mariage homosexuel et a aussi activement cherché à persuader d’autres conservateurs de soutenir le mariage homosexuel. Il s’est joint à d’autres cadres de Wall Street pour appuyer l’égalité LGBT dans le lieu de travail comme un moyen de conserver des salariés et améliorer des résultats globaux d’affaires.
    Il a dit que le mariage homosexuel promeut « la stabilité familiale » et a dit que dans un temps où « l’institution de mariage en Amérique s’est tout à fait effondré, le fait que les couples homosexuels veulent se marier « est une sorte de charmante chose et une chose cool et une merveilleuse chose. »

    Singer, dont le fils a épousé son partenaire dans le Massachusetts, a aussi fait don 425,000 $ de son propre argent, augmenté de 500,000 $ pour supporter la légalisation de mariage homosexuel à New York et en octobre 2012, Singer a fait don de 250,000 $ à la campagne du Mariage [inverti] en Maryland.

    En 2012,Singer a fourni 1 million de $ pour commencer un PAC (Political action commitee) nommé l’Américan Unity PAC. Selon le New York Times, sa mission sera d’encourager des candidats Républicains à soutenir le mariage homosexuel, en parti en les aidant pour se sentir financièrement protégé de n’importe quel « retour de flamme » (en anglais : blowback) des groupes bien financés qui s’y opposent. »

    En 2014, Singer a contribué à hauteur de 375,000 $ pour soutenir le groupe d’activistes gays  » Americans for Workplace Opportunity » pour faire passer la loi de de Non-discrimination en matière d’emploi. ce projet de loi exige que des protections de lieu de travail s’étendent à la communauté LGBT.
    Singer a dépensé plus de 10 millions de $, depuis 2010, afin d’inciter des Républicains et des Etats à soutenir la légalisation du mariage homosexuel.

     

    Cerise sur le gâteau

    Le Président George W. Bush a nommé Singer au sein de la Délégation Honoraire pour l’accompagner à Jérusalem pour la célébration du 60ème anniversaire de l’État Israël en mai 2008.

    http://www.contre-info.com/paul-singer-ruine-des-peuples-et-militant-sodomite#more-34025

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva

  • La ville de Nancy ne sait pas comment dépenser son argent

    La ville de Nancy va prochainement s’équiper d’une maison LGBT. André Rossinot, ancien maire (UDI) de Nancy a initié le projet.

    Addendum 

    Pourtant la ville de Nancy avait une dette de 109 millions au 31 décembre 2013, et la communauté urbaine du grand Nancy de 667 millions, soit une dette supérieure à 3 500 € par habitant...ce qui doit placer Nancy dans le peloton des villes les plus endettées.

    Michel Janva

  • La peine capitale : un non-sens dans un monde sécularisé

    Gérard Guyon, professeur émérite de l'Université de Bordeaux (droit, sciences politiques), historien des institutions et des idées politiques, ayant travailléprincipalement sur le rôle du christianisme dans les fondations de l'Europe, a publié un ouvrage politiquement très incorrect dont l'intitulé donne le ton :Plaidoyer pour une peine capitale. Le crime d'homicide est inscrit dans le coeur des hommes avant d'être le produit de la société, et la peine capitale a pour but de mettre en évidence le caractère exceptionnel du droit de punir. Elle révèle, en outre, la plénitude sacrée du pouvoir des juges et leur écrasante responsabilité dans la protection de la vie. Un discours inaudible aujourd'hui. Extrait :

    C"[C]ela signifie-t-il que la peine capitale serait dépourvue de sens hors de tout univers religieux ? La réponse ne peut qu'être positive. On le constate, la désacralisation de la mort est presque achevée. Ses conséquences sont observables dans la disparition de la peine capitale. La justice a perdu depuis déjà longtemps ses symboles religieux. Ses nouveaux bâtiments le montrent d'un seul coup d'oeil. Et une distorsion qui n'est pas simplement d'ordre technique est de plus en plus visible entre ce qui reste de majesté dans l'apparat des juges et leur appareillage juridique ; dans l'atmosphère qui règne dans les tribunaux, l'attitude des justiciables, le mensonge permanent, le parjure, l'impossible réception, au mieux la difficulté ou même le refus d'acquiescer aux verdicts ; dans la recherche de voies d'appel et de recours sans fin qui signent, mieux que tout le reste, l'incapacité de juger et d'imposer une peine. Le sacerdoce ne préside plus les audiences tout comme il tend à déserter le choeur des autels. Dans l'un comme dans l'autre, le sacrifice n'est plus de mise. On l'a volontairement fait disparaître. Comment pourrait-on continuer à croire que les fautes des hommes puissent être encore punies par des peines, alors qu'il n'y a plus de coupable ni de victime, plus de sacrifice et plus de sacrificateur ? Donc plus de peine, plus de mort. Plus de prix de la vie."

    Michel Janva

  • Le gouvernement lance la mobilisation pour tuer

    Le nombre de chômeurs explose, la dette du pays augmente, la criminalité n'a jamais été aussi importante... mais la seule préoccupation de ce gouvernement est l'avorter.

    L’accès à l’avortement se complique pendant l’été avec la fermeture de nombreuses structures pour les congés, au point que le gouvernement a lancé vendredi un appel à la «mobilisation». En cet anniversaire du début de la Grande guerre, cet instinct morbide est stupéfiant. Marisol Touraine a rappelé aux Agences régionales de santé (ARS) sa «détermination à ce qu’une permanence soit assurée dans chaque territoire» pour la pratique des avortements pendant l’été. Elle entend ainsi

    «lever les obstacles territoriaux qui peuvent encore se dresser contre l’égalité d’accès des femmes à ce droit fondamental».

    Planquez les femmes enceintes dans des tranchées, bientôt ils viendront les éventrer à la baïonnette.

    Michel Janva

  • Najat Belkacem et le triple mensonge de l’IVG

    Le Conseil constitutionnel a validé la suppression de la notion de « situation de détresse » pour avoir recours à l'avortement. Le Nouvel Observateur a demandé laréaction de Najat Vallaud-Belkacem, ministre des Droits de la femme. Naturellement, elle s’en félicite, et en profite pour réitérer le triple mensonge, la triple imposture du droit à l’avortement, dans une seule phrase :

    « Je considère moi que pouvoir disposer librement de son corps est non seulement un droit mais est même le préalable à l'autonomie et à la liberté véritable des femmes. Ce texte permet de véritablement consacrer le droit à l'IVG. »

    Non, Madame Belkacem. Comme on le sait encore dans votre (autre) pays, avec l’avortement la femme ne dispose pas de son corps mais du corps et de la vie d’un autre, d’un tout petit être humain sans défense.

    Non, Madame Belkacem. Ce n’est pas une liberté véritable que de pouvoir légalement tuer un enfant, son propre enfant.

    Non, Madame Belkacem. On n’a pas le droit d’utiliser le mot « consacrer » quand il s’agit d’un meurtre, et rien ne peut consacrer un droit qui n’existe que dans une législation illicite, car on n’a jamais le droit de tuer des innocents, et de camoufler le meurtre sous le sigle mensonger IVG. Comme s’il s’agissait de seulement interrompre un processus que l’on pourrait reprendre...

    Tout à l’heure dans mon épicerie préférée j’entendais deux jeunes femmes qui se disaient l’une à l’autre qu’elles ne voulaient pas d’enfants. L’une parlait d’une de ses amies qui avait eu un enfant « par accident », et qui était tombée enceinte une nouvelle fois « par accident ». Eh bien « celui-là aussi elle l’a gardé ». Elle a gardé quoi ? sinon son enfant, et non pas une excroissance de son corps.

    Mais ce qui m’a choqué était l’insouciance du propos. Cette amie pouvait garder ou ne pas garder son enfant. L’une ou l’autre possibilité était envisagée avec le même sourire. Elle pouvait le garder ou le jeter. C’est moralement équivalent.

    Et l’on parle encore de civilisation…

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2014/08/01/najat-belkacem-et-le-triple-mensonge-de-l-ivg-5421283.html

  • La Ligue de Défense Juive bientôt dissoute par le ministère de l’Intérieur ?

    Le ministère de l’Intérieur étudie la possibilité de dissoudre la Ligue de défense juive (LDJ), milice communautaire, a annoncé Libération qui cite « une source policière haut placée » et révèle que « la DLPAJ (Direction des libertés publiques et des affaires juridiques du ministère de l’Intérieur) travaille à temps plein pour étudier la possibilité d’une interdiction de la LDJ« .

    « Nous procédons à l’analyse juridique la plus fine possible dans le respect du droit« , a-t-il été confirmé à l’AFP. La dissolution pourrait être prononcée malgré que la LDJ n’est pas une association légalement constituée, mais un groupement de fait.

    Même le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, avait jugé cette organisation « dans l’excès« , « dans des actes qui peuvent être répréhensibles et qui doivent être condamnés« .

    La LDJ s’inspire de la Jewish Defense League, qualifiée de « groupe terroriste » par le FBI en 2001 et arbore l’emblème (un poing brandi dans une étoile de David noire sur fond jaune) d’un parti nationaliste religieux interdit en Israël, le Kach. Certains de ses membres, comme ceux du Betar, autre milice communaitaire présente en France, sont formés au krav maga, un sport de combat d’origine israélienne.

    http://medias-presse.info/la-ligue-de-defense-juive-bientot-dissoute-par-le-ministere-de-linterieur/13715

  • Les idéologues du gender n'assument pas leur radicalisme

    Mathieu Bock-Côté est sociologue, chargé de cours à HEC Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal ainsi qu'à la radio de Radio-Canada. Dans une tribune publiée sur Figarovox, il dénonce le gender. Extrait :

    "Un autre combat se profile devant les tribunaux: celui visant à démonter l'obligation légale d'assigner aux enfants un sexe à leur enfant à la naissance. Elle est accusée de «transphobie». C'est aussi dans cet esprit, d'ailleurs, qu'on célèbre les innovations faisant la promotion d'une éducation non-genrée. L'école est évidemment un terrain de bataille, et cela depuis quelques années déjà. On se souviendra ainsi de ce manuel scolaire qui en 2009, offrait aux enfants du primaire trois manière de définir leur identité sexuelle: je suis 1) un garçon 2) une fille 3) je ne sais pas encore. Comment ne pas y voir une forme d'endoctrinement qui pousse, au nom de réalités marginales, à la déconstruction des repères humains les plus fondamentaux?

    Étrangement, les partisans de la théorie du genre n'assument jamais leur radicalisme et vont jusqu'à contester son existence. Ils présentent chacune de ces propositions comme autant d'ajustements inévitables et nécessaires du droit, de l'administration et de la pédagogie à une société plurielle entendant lutter contre toutes les discriminations. Il n'est pas interdit d'y voir une terrible hypocrisie. Chose certaine, on touche ici la question anthropologique. Quoi qu'en pensent les adeptes d'une réduction matérialiste de la vie politique, cette dernière ne saurait se réduire aux seuls enjeux économique. On s'imagine mal les hommes de bon sens consentir à la dissolution de la question anthropologique dans l'individualisme extrême camouflées dans la rhétorique des droits."

    Michel Janva