Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2107

  • L’immigration, marqueur politique paradoxal

    Au désespoir des adeptes de controverses argumentées, le débat public est généralement structuré par des polémiques autour de marqueurs symboliques. On discute moins de choix de politiques publiques qu’on ne campe dans un espace de polarité idéologique.

    L’immigration contemporaine, désormais associée à la religion musulmane, se hisse au tout premier plan de ces marqueurs. Il est fascinant de constater à quel point les positions des uns et des autres sur ce sujet se rangent selon un axe d’un implacable simplisme droite-gauche.

    Plus une force politique se classe à gauche et plus elle manifeste une position de principe favorable à l’immigration. Ainsi, Jean-Luc Mélenchon se prononce clairement en faveur de la régularisation de «tous les travailleurs sans-papiers». Au sein du PS, l’aile gauche professe la plus grande ferveur immigrationniste tandis que l’aile droite, incarnée par Manuel Valls, est la plus réservée. Un phénomène symétrique se manifeste au sein de l’UMP tandis que le FN est naturellement le plus hostile à l’immigration, accusée de tous les maux.

    Lire la suite

  • Les dix commandements du bon citoyen

    Le Français doit être abruti par la télévision, abêti par les médias, écervelé par le politique et lobotomisé par les lobbies. Une fois cette réduction de tête réalisée, son code de vie devient le suivant : 

    "En réponse à la très inquiétante explosion de l’incivilité électorale et idéologique, cette charte du bon citoyen sera placardée dans tous les lieux publics du pays à compter du 1er brumaire An II du règne d’Hollandouille Ier.

    1 . Le bon citoyen vote pour le parti socialiste. Il peut voter pour EELV ou le Front de gauche lorsque cela ne nuit pas au candidat PS.

    2 . Le bon citoyen ne manifeste qu’à l’appel des syndicats officiels et tout particulièrement de la CFDT et de la CGT. En revanche, il se détourne des manifestations incontrôlées qui émanent de la société civile.

    3 . Le bon citoyen regarde les chaînes du groupe France télévision ; il écoute France Inter et lit Le Nouvel Obs. S’il s’identifie aux classes populaires, il peut néanmoins regarder TF1, écouter Jean-Jacques Bourdin et lire Le Parisien.

    4 . Le bon citoyen plébiscite Omar Sy et Jamel Debbouze. Ses hommes politiques préférés sont Bertrand Delanoë et Manuel Valls. S’il est un peu âgé, il peut cependant leur préférer Yannick Noah et Jack Lang.

    5 . Le bon citoyen fait un don annuel au Téléthon et au Sidaction. Le reste du temps il ne s’occupe que de lui-même. Il ne rate jamais les soldes ni la fête de la Musique mais sans perdre de vue que « l’abus d’alcool est dangereux » et que « fumer tue » (suite).

    Si déjà à ce stade, vous ne vous reconnaissez pas dans ces articles ou vous sentez que vous êtes sur une mauvaise pente, rien n'est perdu : restez éveillé et actif contre l'hypnose du politiquement correct!

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/les-dix-commandements-du-bon-citoyen.html

  • Une militante de l’Unef avoue une agression imaginaire

    PARIS (NOVOpress) - Patatras pour la gauche, plusieurs semaines après avoir fait croire à des violences contre elle, une militante de l’Unef reconnait que cette agression “raciste” était parfaitement imaginaire. Elle est même poursuivie pour “dénonciation de délit imaginaire”. Un aveu qui tombe au plus mal pour certains journalistes qui tiennent tant à faire passer ces militants pour des anges, victime d’une extrême droite fantasmée et inexistante…

    http://fr.novopress.info/143930/une-militante-de-lunef-avoue-une-agression-imaginaire/

  • La chute annoncée de la Morgan Chase

    Que se passe-t-il autour de la JP Morgan Chase ? Hier toute-puissante, elle est quasi agonisante. Goldman Sachs, comme le Trésor américain, jouent avec le feu. Celui qui annonce les guerres.

    Les coups pleuvent sur la prin­cipale rivale de la ban­que Goldman-Sachs. Le dé­but de ses malheurs survint en mai 2012 dans l’affaire connue sous le nom de « la baleine de Londres ». Un des traders de la direction des investissements, Bru­no Iksil, de la banque, basée dans la City, avait pris des positions tellement importantes que cela s’était vu, qu’il s’était fait contrer par des spéculateurs avisés et que la JP Morgan avait dû abandonner ses positions en perdant 6,2 milliards de dollars.

    Des poursuites soudaines et très coûteuses
    De ce jour funeste pour elle, il semble que la banque ait perdu tous ses appuis politiques. Et des dizaines d’actions judiciaires lui ont été in­tentées, alors que les autorités de con­trôle, pour l’heure, ne se sont pas montrées particulièrement vindicatives contre le monde de la finance, si l’on excepte Madoff qui n’était qu’un petit poisson dans la piscine aux requins.

    abonnement
    La suite de cet article est réservée aux abonnés. Découvrez nos offres d'abonnements !
  • Amiens aux Français ! Le Parti de la France a décidé de descendre dans la rue.


    Amiens aux Français ! par ThomasJoly60

  • Ce sont les Blancs les premières victimes de la haine raciale en France

    Gérald Pichon, auteur de «Sale Blanc !», déclare sur Nouvelles de France :

    "[J]e démontre clairement que ce sont les Blancs les premières victimes de la haine raciale. Mon livre traite également des origines de cette haine, comme l’impérative nécessité pour les gouvernants de transformer « la France en Brésil de demain » selon les déclarations de l’ancien ministre Azouz Begag. Mon ouvrage est le fruit de plus d’une dizaine d’années de travail, j’ai amassé des centaines de coupures de journaux, de rapports, de témoignages, lu tout autant de livres traitant indirectement de ce sujet (immigration, intégration, violence, phénomène de bandes, etc). Mon objectif est qu’après la lecture de cet ouvrage, plus personne ne puisse dire que la haine anti-blanche n’existe pas ou qu’il s’agit d’un phénomène marginal. [...]

    L’élément principal de la haine antiblanche est, selon moi, la transformation de l’Europe en société ouverte et sans identité. Il y a clairement la volonté de la part du Système à tuer les peuples, de métamorphoser les peuples européens en masse de consommateurs dociles et décérébrés et de faire exploser la civilisation européenne. Pour cela, il mène d’un côté une guerre culturelle totale en inoculant le poison de la mauvaise conscience occidentale afin de maintenir les européens dans une camisole mentale ; et de l’autre, il se sert de l’immigration de masse comme d’un lance-flamme, allumant partout les foyers d’incendie pour consumer l’Europe.

    [...] [P]our ne pas voir la maladie, l’État préfère casser le thermomètre. Le racisme anti-blancs n’a pas encore l’assentiment des instances dirigeantes pour être perçu et comptabilisé. Le député-maire d’Orange, Jacques Bompard, avait questionné il y a quelques mois le ministre de l’Intérieur sur les statistiques du racisme anti-blancs. Manuel Valls s’en était sorti en bottant en touche en préfèrant évoqué une lutte contre le racisme dans sa globalité et que le gouvernement ne faisait aucune distinction entre les communautés touchées. Ce qui est absolument faux car le rapport de la Commission nationale consultative des droits de l’homme fait le distinguo entre actes anti-musulmans/maghrébins et antisémites. En fait, tout est fait pour empêcher les statistiques sur le racisme anti-blancs car elles montreraient que les visages pâles sont les premières victimes de la haine raciale en France et qu’on leur a menti depuis des décennies. [...]"

    Michel Janva

  • En un an, 30% de salariés low cost en plus en France

    Autorisé par le droit européen, le recours à des travailleurs dits « détachés » venus de toute l’Europe explose. Au prix de nombreux abus.

    Ne tirez plus sur le plombier polonais : la France, à présent, doit composer avec des maçons bulgares, des cueilleurs roumains ou des chauffeurs de poids lourds slovaques. Des salariés que l’on appelle « détachés », censés travailler pendant quelques semaines ou quelques mois dans un autre pays, en conformité avec la directive européenne sur le détachement. Leur rémunération nette est alignée sur celle de la branche dans laquelle ils travaillent.

    En revanche, leurs cotisations sociales sont versées dans leur pays d’origine. Avec de solides économies à la clé : en 2011, les seules charges patronales se montaient à 38,9% du salaire en France, mais à 6,3% à Chypre… De la main-d’œuvre low cost, comme les centaines de travailleurs (polonais pour la plupart) qui ont été embauchés sur le chantier de l’EPR à Flamanville. Nombre d’entre eux étaient salariés de la société Atlanco, dont l’une des filiales est à Chypre.

    Concurrence faussée

    Ce procédé reste difficilement quantifiable, car il est sous-déclaré. Une chose est certaine, il n’est plus marginal.

    En 2011, la Direction générale du travail a recensé 145.000 salariés détachés, pour un nombre d’heures équivalant à 21.000 jobs à temps plein (+30% par rapport à l’année précédente).

    Et elle a estimé à 300.000 le nombre réel de travailleurs détachés. Plusieurs fédérations professionnelles ont alerté les pouvoirs publics. Au printemps, deux rapports parlementaires sont parus sur le sujet : celui d’Eric Bocquet au Sénat, et celui cosigné par Gilles Savary, Chantal Guittet et Michel Piron à l’Assemblée nationale….

    Challenges via http://fortune.fdesouche.com/331531-la-france-un-pays-au-bord-de-linsurrection#more-331531

  • La France, un pays au bord de l’insurrection

    Les socialistes au gouvernement ne parviennent plus à imposer leurs décisions. Un vent de fronde souffle sur le pays et le rend ingouvernable, dramatise le quotidien allemand [Frankfurter Allgemeine Zeitung].

    La France est au bord de l’insurrection. Les socialistes au pouvoir à Paris ne parviennent plus à imposer leurs décisions. Qu’il s’agisse de l’introduction d’une écotaxe, de la taxation (rétroactive) des assurances-vie et de l’épargne logement ou d’une hausse de la fiscalité des entreprises, aussitôt une vague de contestation balaie le pays et au bout de quelques jours le gouvernement renonce à ses mesures.

    Ainsi, au reproche d’incompétence s’ajoute maintenant une impression de faiblesse. A juste titre : le Parti socialiste est traversé par des batailles de courants. Jour après jour, les alliés écologistes prennent leurs distances vis-à-vis de la formation au pouvoir. Les ministres se disputent publiquement, il n’y a plus de discipline de gouvernement, aucune ligne politique n’est discernable. Le président François Hollande est plus impopulaire qu’aucun autre chef de l’Etat avant lui. Son Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a perdu toute autorité. Hollande avait envisagé de changer de chef du gouvernement une fois passé les municipales de 2014. Mais il paraît douteux qu’il puisse attendre jusque-là.

    Quant aux municipales [des 23 et 30 mars], elles devraient logiquement aboutir à un fiasco. Dans les communes, les socialistes, qui tiennent la mairie de la plupart des grandes villes, pourraient être sévèrement battus. A en croire les spécialistes des instituts de sondage, aux législatives européennes [du 25 mai], le Front national de Marine Le Pen risque de terminer en tête, devant l’UMP, le parti de droite dans l’opposition. Et les socialistes n’arriveraient qu’ensuite, selon les prévisions du moment.

    Hollande paie aujourd’hui le prix d’une victoire présidentielle remportée à l’aide d’un programme complètement utopiste, promettant que la France surmonterait la crise financière et économique sans exiger de sacrifices de ses citoyens et sans réformes en profondeur, notamment dans les services publics. Grâce à une croissance soutenue par l’Etat et financée par une hausse des impôts sur les riches.

    La croissance tarde toujours à se montrer. Les impôts et les taxes, en revanche, ont brutalement augmenté, surtout pour les revenus moyens. Les économistes et les sociologues mettent déjà en garde contre la menace d’une grève fiscale. Les agriculteurs et les chauffeurs routiers qui manifestaient en Bretagne arboraient des bonnets phrygiens*. Ça sent la révolte.

    —————————-

    * En réalité, des bonnets rouges, symbole non de la Révolution française de 1789, mais de la Révolte du papier timbré de 1675, qui a vu se lever les Bretons contre une nouvelle taxe imposée par Colbert, au mépris de l’autonomie fiscale en vigueur en Bretagne depuis 1532. (Ndt)
    - Article original en allemand : Frankfurter Allgemeine Zeitung
    - Traduction : Courrier International
  • Fiscalisme confiscatoire, parasitisme…: l’Etat UMPS doit retirer les mains de nos poches!

    Marins-pêcheurs, chefs d’entreprises, artisans, agriculteurs, commerçants, ouvriers, notamment ceux de Gad…: entre 15 000 et 30 000 personnes étaient rassemblées samedi à Quimper sous une forêt de drapeaux Gwenn ha Du pour la manifestation Vivre, décider et travailler en Bretagne. Ils entendaient dénoncer bien sûr l’écotaxe (finalement suspendu par le gouvernement) et plus largement l’injustice fiscale. Seules quelques violences marginales ont éclaté près du lieu de rassemblement des manifestants, la bien  nommée place de la Résistance. Mais un quatrième portique (coût unitaire 500 000 euros…)  permettant d’identifier les camions soumis à l’écotaxe,  a été détruit dimanche par les Bonnets rouges à Lanrodec, entre Saint-Brieuc et Guingamp. 
    Cette levée de boucliers contre le matraque fiscal n’est pas sans similitude avec le formidable élan de la Manif pour tous.  La mobilisation  des familles qui ont défilé à cette occasion  ne s’expliquait pas seulement en effet par  la simple question du mariage et de l’adoption pour les couples homosexuels.  Elle  relevait plus largement d’un cri du cœur,  d’un refus de la disparition des repères,  d’un attachement résolu à une  identité culturelle  et civilisationnelle que l’Etat non seulement ne défend plus mais s’acharne  bien  souvent à détruire.
    Or, cette fronde fiscale  traduit aussi plus profondément  une remise en cause de la légitimité du Système en place, notamment dans une  Bretagne  où le PS détient désormais le haut du pavé. Dans sa remarquable Histoire de France, Jacques Bainville notait que « La question des impôts, lorsque l’imposition doit être très lourde, est redoutable parce quelle provoque des résistances et favorise la démagogie: c’est le cas qui s’est présenté à plus d’un moment de notre Histoire«  .
    Cette analyse nous la partageons,  mais ici  cette résistance, cette remise en cause du consentement à l’impôt, aux impôts qui accablent  nos compatriotes  est totalement fondée et même vitale. Elle  s’explique par  la découverte par le plus grand nombre que   l’Etat n’assure plus en  contrepartie ce qui doit être son rôle premier , à savoir la PROTECTION et la DÉFENSE DES  LIBERTÉS des Français, notamment dans le domaine social et économique. 
    L’image du pays réel  dressé contre un Système qui tue la France, son peuple et ses forces vives, défilant dans toutes ses composantes dans les rues de Quimper ne peut que faire bouillir de rage celles et ceux qui s’acharnent à diviser  les Français pour mieux régner,  par idéologie et/ou par intérêts boutiquiers.   On l’a constaté avec Jean-Luc Mélenchon qui a éructé la semaine dernière contre  la manifestation de ce samedi, fustigeant   »les esclaves (qui) manifesteront pour les droits de leurs maîtres(…). Le patronat et les cléricaux vont faire manifester les nigauds…« 
    Un patron d’un  Front de Gauche miné par les stratégies antagonistes , notamment par les vœux des gamellards communistes de continuer à en croquer en s’alliant  aux municipales avec le PS, et qui ne sait plus quoi dire,  quoi faire pour reprendre la main. Un Mélenchon, et cela explique aussi la violence de ses saillies verbales,   qui constate que la colère qui gronde, qui  enfle, contre le socialo-mondialisme gonfle surtout les voiles du FN, y compris sur les terres d’une  Bretagne  sociale-démocrate, jusqu’alors rétive à l’opposition nationale…
    Alors  oui,  la question de l’impôt est centrale. La réalité c’est que nos compatriotes constatent depuis des décennies l ‘incapacité de la gauche et de la droite à juguler la fuite en avant budgétaire. Cette  année  la dette publique  de la France va atteindre le taux record de 95% de notre richesse nationale,  environ 2 000 milliards d’euros!
    Cela, implique que l’Etat  doit trouver quotidiennement 800 millions d’euros par jour à emprunter pour répondre aux impératifs de financement et les trois quarts de cette somme proviennent  de prêteurs étrangers, des  marchés financiers  dont nous sommes dépendants. Une dette qui  sert à enrichir des intérêts privés au détriment du Bien commun, notamment depuis la loi Pompidou-Giscard du 3 janvier 1973 -dénoncée par Marine Le Pen lors de la campagne présidentielle- qui interdit à l’Etat de se financer au plus bas taux auprès du Trésor.
    Ainsi, le  « service de la dette », c’est-à-dire le  remboursement du capital emprunté plus le paiement des intérêts, représente le  premier poste du budget de l’Etat (hors dépenses de sécurité sociale), devant l’Education nationale, les retraites et la Défense nationale.
    Le   remboursement de la dette pèse de manière colossale sur les finances publiques. Sachant que  la France emprunte cette année en moyenne à 2,3%,   cela veut dire que  l’Etat  affecte 2,3% de son PIB (richesse nationale produite) aux frais financiers alors que dans le même temps  notre  croissance économique nominale (prise en compte de l’inflation)  s’établit autour de  de 1%.   Dans ces conditions, il n’est pas difficile de comprendre que  le différentiel entraîne mécaniquement   une augmentation du montant  de la dette  car la charge de celle-ci  est plus élevée que le rythme d’accumulation des richesses .
     Est-ce en créant et/ou en alourdissant 84 taxes ces trois dernières années que l’UMPS  a su inverser ce processus désastreux? Est-ce en augmentant les charges pesant  sur les entreprises  de plus 30 milliards d’euros  entre 2010 et 2013 (record mondial!),  que l’UMPS initiera un cercle vertueux pour sortir la France du marasme? La réponse à ces deux questions est évidemment non!
     Bruno Gollnisch le répète depuis des années, fidèle notamment aux enseignements du (seul) prix Nobel d’économie français, Maurice Allais, la baisse du coût du travail est une des réponses  contre le  chômage.  Pareillement quand on défend le peuple on se doit de défendre  l’entreprise -les Français sont un peuple d’entrepreneurs .
    Si la liberté entrepreneuriale est une des conditions de la croissance, et de facto de la réduction de la dette, celle-ci  nécessite  bien évidemment de mettre fin à un   fiscalisme confiscatoire qui devrait être une  priorité du FN au pouvoir;   au même titre que la mise en place d’un  protectionnisme  intelligent et  la disparition d’un  Etat providence dévoyé qui encourage  l’assistanat, le parasitisme, l’immigration de masse et accable en retour tous les Français, à commencer par les plus modestes. 

     

  • Le vote ethnique c’est maintenant : lancement du Parti de la banlieue

    PARIS (NOVOpress) – Le lancement de cette nouvelle formation politique s’est effectué dans un lieu symbolique et emblématique du Grand Remplacement. A Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le 31 octobre dernier, est ainsi né le Parti de la banlieue, qui milite pour le multiculturalisme. Dirigé par Abdel-Malik Djermoune, ce parti milite notamment pour la promotion encore plus forte du multiculturalisme – comme si ce n’était déjà pas la politique mise en oeuvre au quotidien par François Hollande et Jean-Marc Ayrault, pour l’instauration du droit de vote des étrangers et pour la légalisation du cannabis.

    Reconnaissant qu’un Français sur 4 est d’origine étrangère, le Parti de la banlieue souhaite incarner cette société multiculturelle et lui donner une expression politique loin des émeutes ou de la récupération par les grands partis. Un avant-goût de cette représentation politique du multiculturalisme – en somme le vote ethnique – a été donné lors de la primaire socialiste pour l’élection municipale à Marseille…

    Disposant de quelques sections en Ile-de-France et en Martinique, ce parti compte présenter quelques candidats lors des prochaines élections municipales et être présent sur l’ensemble du territoire français d’ici un an.

    http://www.youtube.com/watch?v=-4V54n248ZY

    http://fr.novopress.info/143826/le-vote-ethnique-cest-maintenant-lancement-du-parti-de-la-banlieue/#more-143826