Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 2106

  • La gauche récolte ce qu’elle a semé [Vidéo]


    La gauche récolte ce qu'elle a semé par rtl-fr

  • Entre Bonnets Rouges et policiers, bientôt la « coagulation » ?

    Manuel Valls a du souci à se faire, lui qui craint la « coagulation » des mécontents. Des policiers ont manifesté il y a quelques heures en scandant des slogans qui faisaient référence aux Bonnets Rouges et à la fronde générale anti-Hollande.

     En fin d’après-midi, ce sont les policiers qui ont manifesté devant l’Assemblée nationale à l’appel du syndicat Alliance. Après des manifestations à Ajaccio et à Marseille le 5 novembre dernier, voici la police sous les fenêtres des députés ! Les policiers dénoncent leurs conditions de travail :

    Lire la suite

  • Pourquoi j’étais sur les Champs-Elysées ce 11 novembre

    « La mémoire n’interdit pas l’action. Elle la justifie ».
    Pourquoi me suis-je retrouvée ce lundi matin vers 11 heures sur les Champs-Elysées ? Parce que j’avais déniché un bonnet rouge dans un sac de montagne ? Oui, mais pas seulement. Parce que j’aime les chevaux, les fanfares et les beaux militaires ? Oui, mais pas seulement. Parce qu’un beau soleil d’automne flamboyait sur Paris ? Oui, mais pas seulement. Parce que quelques alertes avaient sonné ici ou là, annonçant un peu de chahut après les commémorations ? Oui, mais pas seulement. (A.L.B)
    J’étais sur les Champs-Elysées parce que je subodorais que les médias allaient vite faire œuvre de désinformation. Des « très méchants » auraient voulu, ont-ils dit, s’approcher du président. Vous voulez rire, avec une double rangée de barrières tout du long de l’avenue et des gendarmes ou des CRS tous les cinq mètres ! Avec des barrières dès la rue de Tilsitt et la rue Balzac ? Avec des dizaines de fourgons dans les rues adjacentes ? Avec les vitres teintées, allez donc savoir dans quelle voiture Hollande a redescendu les Champs…
    En fait, « pourquoi ? », ce n’est pas la bonne question. La vraie question, c’était : « Pour qui ? »
    Pour ceux et celles qui, refoulés sur simple délit de faciès, n’ont même pas pu arriver sur les Champs-Elysées. Pour ces jeunes gens en colère qui ont été violemment jetés à terre par des policiers en civil puis embarqués vers le commissariat de la rue de l’Evangile. Parce qu’ils portaient ce fameux bonnet rouge. Voire parce que leur drapeau – français ou breton – était un peu trop voyant, leur coupe de cheveux un peu courte, leur démarche trop volontaire… Pour ces familles et ces couples plus âgés qui, n’osant ni siffler ni huer, chuchotaient en assistant, l’air désemparé, à ces interpellations musclées.
    Mais, répètent en chœur les médias du système, on ne manifeste pas les jours de commémoration. Cela ne se fait pas. Le 11-Novembre, ce n’est pas le 14-Juillet. En effet. Sauf que personne n’a bougé lors de la cérémonie. Sauf que les petits « bleuets » de France fleurissaient au revers des manteaux. Sauf que ni les ambassadeurs, ni les grands invalides, ni la Garde républicaine n’ont été hués. La France bien élevée a des principes et le sifflet sélectif.
    Mais aussi, et surtout, si j’étais ce 11 novembre sur les Champs-Elysées, c’est que je tenais à défendre la mémoire de ceux qui ont façonné cette France que nous aimons. A défendre le souvenir de ceux dont j’ai vu passer les ombres, il y a quelques semaines, en arpentant les coteaux des Eparges. Pour que la France de demain, celle dont nos enfants et petits-enfants hériteront, ne soit pas trop différente de celle que nos aïeux nous ont transmise. Parce que la mémoire n’interdit pas l’action. Elle la justifie.
    Anne-Laure Blanc, Mère… et grand-mère, 1/11/2013
    Source : Boulevard Voltaire
    http://www.polemia.com/pourquoi-jetais-sur-les-champs-elysees-ce-11-novembre/

  • L’ETAT SOCIALISTE INTERDIT LE RASSEMBLEMENT DU PDF A AMIENS

     

    COMMUNIQUE DE PRESSE DU PARTI DE LA FRANCE :

    La répression et les interdictions du pouvoir socialiste contre les patriotes français prennent une dimension de plus en plus inquiétante et totalitaire.

    Après des dissolutions arbitraires et injustifiées et des méthodes d’interpellation dignes des anciennes démocraties populaires de l’Est lors de différentes manifestations de rue, un arrêté du préfet de la Somme en date du 7 novembre interdit le rassemblement prévu par le Parti de la France le 16 novembre à Amiens-Nord contre l’islamisation de la France. Cette soumission du représentant de l’État aux islamistes et aux bandes ethniques qui ont fait de ce quartier une zone de non-droit est révélatrice de l’esprit de collaboration et d’abandon du pouvoir socialiste.

    Alors que, l’organisation révolutionnaire et djihadiste des Frères musulmans a été autorisée à manifester à Paris, par deux fois au mois de juillet, les patriotes français sont dans leur propre pays interdits de manifestation.

    Les motifs invoqués sont sidérants puisque, selon le préfet de la Somme, affirmer notre droit à rester maître chez nous constitue « une provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’un groupe de personne en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée. »

    Cerise sur le gâteau, le représentant de l’État socialiste, avoue qu’il est absolument incapable de maintenir l’ordre dans un quartier où « des fonctionnaires de police ont essuyé des tirs à l’arme de chasse. »

    Cet aveu caractérisé d’impuissance à maintenir l’ordre à Amiens-Nord, doublé d’une volonté politique de museler les défenseurs de la France des terroirs et des clochers, s’inscrit dans la tradition socialiste de destruction de l’identité française.

    Le Parti de la France appelle ses militants et ses sympathisants à ne pas braver l’arrêté préfectoral afin de ne pas prendre le risque d’encourir les persécutions policières et judiciaires annoncées et de ne pas donner à Manuel Valls le motif pour dissoudre notre mouvement.

    D’autres initiatives, sous d’autres formes, seront prises afin de poursuivre notre action de résistance nationale et européenne contre l’islamisation et la colonisation de la France et de l’Europe.
    Aidez-nous à mener cette bataille de civilisation pour la défense de nos libertés et de notre identité. Rejoignez le Parti de la France !

     http://www.national-hebdo.net/L-ETAT-SOCIALISTE-INTERDIT-LE

  • Manifestation de La Manif Pour Tous à Nantes le 23 novembre

  • Les élus face à l'objection de conscience

    Les maires français revendiquent d'user d'une clause de conscience, sujet politique délicat depuis toujours, face au Mariage pour tous.
    L'objection de conscience, en politique, a toujours posé des dilemmes aux élus. Tout d'abord celui de la démission. Jusqu'où cautionner une politique ou des lois que l'on n'approuve pas ? Comment articuler responsabilité politique et conscience morale ? On se souvient de la phrase restée célèbre prononcée par Jean-Pierre Chevènement en 1983 : « Un ministre, ça ferme sa gueule. Et si ça veut l'ouvrir, ça démissionne. » Au final, Jean-Pierre Chevènement démissionnera deux fois... Le dernier ministre à avoir démissionné est la socialiste Delphine Batho, ancien membre de l'actuel gouvernement. La chose n'est pas nouvelle : les légitimistes français se barricadèrent dans leurs châteaux entre 1830 et 1870, comme l'évoquait volontiers Jean de La Varende dans ses œuvres. Ils ne voulaient collaborer ni avec Louis-Philippe, ni avec Napoléon III. De même en 1905, la crise des inventaires, la persécution des catholiques par la République(1) poussa nombre d'officiers, de fonctionnaires ou d'élus à démissionner de leurs fonctions (une attitude là encore évoquée par La Varende dans Le non de M. Rudel). La question fut encore d'actualité durant l'Occupation où les maires et les fonctionnaires durent souvent faire face à des cas de conscience extrêmement grave.
    Maires pour l'enfance
    Les maires sont évidemment concernés par l'objection de conscience quand la loi heurte leurs convictions en matière d'état-civil. Si le divorce ou le PACS sont des actes juridiques (le divorce étant néanmoins mentionné à l’État-civil), le mariage ouvert aux couples de même sexe, autorisé par la loi Taubira, place les élus opposés pour des raisons morales à cette évolution plus que contestable de la législation, devant un choix cornélien : légitimer cette aberration anthropologique ou se mettre hors la loi puisque le pouvoir ! et le Conseil constitutionnel refusent l'objection de conscience pour les élus locaux après qu'il ait été saisi d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC). Seule reste ouverte la saisine de la cour européenne des droits de l'homme. Comme l'a laissé entendre le maire UMP d'Arcangues (Pyrénées-Atlantiques), Jean-Michel Colo : « Nous allons faire dire à l'Europe ce que le Conseil constitutionnel n'a pas dit. Nous allons saisir la Cour européenne des droits de l'homme. » À la tête de ce combat, on trouve Frank Meyer, responsable du collectif des Maires pour l'enfance, évangéliste protestant et maire UDI de Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime). Lors de l'audience du Conseil constitutionnel, il a notamment déclaré : « La question est de savoir si la loi Taubira sur le mariage pour tous n'enfreint pas l'une des libertés fondamentales, à savoir la liberté de conscience, et si elle n 'est pas contraire aux droits de l'homme, qui garantissent que nul ne peut être inquiété pour ses opinions, mêmes religieuses si elles ne troublent pas l'ordre public. » À ses côtés, on trouvait le maire CNIP du Chesnay, Philippe Brillault, porte-parole de la Manif pour tous et donc très en pointe sur le sujet. Il a déclaré à la télévision France 24 : « La vraie question c'est : la décision du Conseil constitutionnel est-elle juridique ou politique ? À mon avis, elle est politique. »
    Agents de l’État ?
    Que peut faire un maire face à un mariage entre personnes de même sexe, alors qu'il en réprouve le principe ? Déléguer la chose à l'un de ses adjoints, comme pour n'importe quel autre mariage, ou sinon à un élu de l'opposition. Que souhaiteraient-ils ? Que le préfet règle la question au nom de l’État. Comme officier d’État-civil, comme officier de police judiciaire, le maire n'est pas seulement un représentant du peuple, il est aussi un agent de l’État. Pour autant, il n'est pas un fonctionnaire, il n'a pas d'obligation morale de servir l’État. Il y aurait une grave contradiction interne à la démocratie de priver un élu de sa liberté d'opinion ou de conscience au prétexte qu'il serait un agent de l’État. Autant alors que ce dernier nomme les maires, comme ce fut le cas au XIXe siècle.
    Pour les élus qui se battent en faveur de la liberté de conscience, il s'agit là de défendre le caractère propre du politique face à l'empiétement étatiste. Le mariage homosexuel a créé un clivage profond dans la société française. Là où l'on ne peut contraindre un médecin à pratiquer un avortement, là où un citoyen pouvait refuser de faire son service militaire, au profit d'un service civil, on pourrait contraindre un élu local à faire fi de ses convictions profondes, de sa conception anthropologique ? Voilà la question que soulèvent de courageux élus malgré la pression médiatique et les menaces des préfets aux ordres du système (on l'a vu notamment dans le Vaucluse, face à la volonté de résistance des époux Bompard). Les catholiques se heurtent aujourd'hui à un totalitarisme rampant qui souhaite changer l'homme. L'objection de conscience va devenir un enjeu majeur de notre société. Il faut souhaiter que de nombreux élus prolongent leur réflexion sur le sujet, aidés en cela par des philosophes et des juristes. Nous sommes là au cœur des enjeux et des ambiguïtés de la laïcité, qu'on ne saurait réduire comme certains sont tentés de le faire à la seule question de l'islam.
    Jacques Cognerais monde & vie 12 novembre 2013
    1 Jean Sévillia, Quand les catholiques étaient hors-la-loi, Perrin, 2005.

  • Le naturalisé Valls insulte les Français de souche !

    Un lecteur de Cours-la-ville nous

    fait part de son indignation :

    Tous nos amis ont sûrement apprécié la déclaration de Valls : « l’extrême-droite n’aime pas la France ».

    Ce petit maître n’a jamais dû entendre parler de René Fonck et de sa Croix de guerre à 28 palmes, ni de Franchet d’Espèrey ou de Scapini, aveugle de guerre, ni de Vallat qui avait laissé une jambe sur le champ de bataille, etc.

    Combien de gars qui conchiaient la république et aimaient la France sont restés sur le carreau en 14-18 ? Et dire que les grands-pères de Valls n’ont dû entendre parler de Verdun que par la Vanguardia de Barcelone ou par la presse italienne ! Il faudrait aussi lui causer de Salan ou de Chateau-Jobert (onze citations, dix palmes). Ou lui rappeler que les Croix de Feu avaient 500 000 membres en 36 quand Blum a dissous le mouvement comme « fasciste » – et que pour être membre, il fallait être ancien combattant de l’avant ou blessé cité pour action d’éclat… Vraiment dommage que personne de chez nous n’ait accès aux grands médias pour clore le bec des types de ce genre !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2013/11/12/le-naturalise-valls-insulte-les-francais-de-souche-5219966.html

    Via http://www.altermedia.info/france-belgique/synthesenationale/le-naturalise-valls-insulte-les-francais-de-souche_89006.html

  • Laurent Fabius : nouveau Ministre des Affaires Etrangères d’Israël ?

    f130825ffmis06Les négociations de Genève sur le nucléaire iranien se sont terminées sans qu’aucun accord n’ait été trouvé. A qui la faute ? Laurent Fabius.

    Quel est l’intérêt de la France dans cette affaire ? Elle a tout à gagner dans la normalisation des relations avec l’Iran. Même si elle a déjà beaucoup perdu à cause de son hostilité difficilement justifiable vis-à-vis de l’Iran, le statu quo ne peut qu’aggraver ses pertes. Alors, qu’est-ce qui anime  Laurent Fabius ?

    Depuis quelques semaines, Benyamin Netanyahou se démène comme un beau diable pour donner ses directives à ses négociateurs, c’est-à-dire les Etats-Unis, la Grande Bretagne, l’Allemagne et la France, menaçant, amadouant, usant même peut-être du chantage, pour faire capoter les pourparlers. Il l’a dit lui-même ouvertement, qu’Israël ferait tout pour convaincre les grandes puissances de ne pas conclure un accord avec Téhéran et qu’il ne reconnaîtrait aucun accord. La seule décision acceptable pour lui, concernant Téhéran, est un renforcement des sanctions.

    Selon Maariv, « Israël est furieux contre l’administration américaine en raison de son interaction avec le gouvernement iranien, si bien que les messages rassurants de Barack Obama destinés à Benyamin Netanyahou ne sont même pas arrivés à le soulager ». Comme un gamin capricieux, Netanyahou serait donc  en train de faire un caca nerveux qui ne pourra se calmer qu’avec au moins une petite sanction supplémentaire contre l’Iran. La chaîne dix de la télévision israélienne insiste :  « Le régime sioniste est en colère vis-à-vis de Barack Obama car celui-ci fait pression sur les membres du groupe 5+1 pour qu’ils parviennent à un accord avec Téhéran, décrit comme un mauvais accord  par le quotidien  Israël Al-Youm ». Tenons-nous-le pour dit. Netanyahou n’est pas content.

    Malgré l’échec des négociations, sa fureur reste intacte. Selon les médias israéliens, l’équipe de Netanyahou reste sur le qui-vive et reste vigilante contre les ‘’manœuvres’’ de Barack Obama, en gardant sous contrôle la France et l’Allemagne.

    Sachant tout cela, on pourrait logiquement penser que l’échec de Genève  est le résultat des manœuvres israéliennes et que les manœuvres Fabiusiennes rencontrent point par point les vœux de Netanyahou.

    Eh bien non. La chaîne de télévision Al-Mayadine révèle que les tergiversations de la France dans le processus des discussions de Genève sont faites sous la pression de l’Arabie saoudite. La chaîne dix de la télévision israélienne précise « C’est l’Arabie saoudite qui a contraint la France à empêcher l’obtention d’un accord pendant les négociations de Genève car la France entretient de vastes relations commerciales avec l’Arabie saoudite ».

    Si je comprends bien, c’est Netanyahou qui jure ses grands dieux que, lui vivant, aucun accord ne se fera, qui menace de tout casser, et c’est le roi Abdallah d’Arabie qui, ému par le gros chagrin de Bibi, convoque Laurent Fabius au nom de ses bonnes relations commerciales avec la France, pour lui intimer l’ordre de consoler le petit désespéré en lui redonnant son jouet.  Mais dites-moi, quelle est la capitale d’Israël ? Tel-Aviv, Jérusalem ou Ryad ? Pourquoi, dès qu’il s’agit d’Israël, tout le monde est atteint de strabisme ? Il est la cause de tout ce qui se passe dans la région, et pourtant tout le monde regarde à côté, avec des discours savants et des analyses aussi sophistiquées qu’alembiquées, incluant jusqu’au prix du pétrole, rendant ce petit état invisible comme par magie. Israël passe son temps à se plaindre, à dénoncer, à tempêter et à menacer. Mais dès que ses menaces sont mises à exécution, c’est quelqu’un d’autre qui en est l’auteur, jamais Israël lui-même, à croire que chacun s’empresse d’offrir ses services  pour éviter au peuple élu d’avoir à se salir les mains.

    Ainsi, Netanyahou  remue ciel et terre pour saboter les négociations avec l’Iran, l’annonce à grands cris, mais en cas de succès on louche chez les voisins pour chercher le responsable du sabotage. Et bien sûr, on trouve toujours. Pourtant, le seul fait que Fabius soit impliqué dans l’échec des pourparlers devrait être une indication. Les boucs émissaires habituels, le Qatar naguère et l’Arabie Saoudite aujourd’hui, ont bon dos.  Laurent Fabius, pour lequel les intérêts d’Israël  priment sur tout, a fait exactement ce qu’aurait fait Netanyahou s’il avait été lui-même à Genève. Il a taclé ses alliés, ignoré les intérêts de la France, et cela juste parce que Benjamin Netanyahou ne veut pas entendre parler d’une solution de paix. Le pire dans tout ça, c’est que Laurent Fabius se comporte comme le vrai président, François Hollande n’étant qu’un suiveur obéissant qui n’aurait été mis à la tête de la France que pour lui servir de caution, puisque les français ne l’auraient jamais porté au sommet à cause de son passé au sujet du sang contaminé.

    Ancien premier ministre, véritable président, ministre des affaires étrangères en France et en Israël, ne pourrait-il pas, de temps en temps, travailler pour les intérêts français, ou au moins faire semblant ? Trop d’arrogance peut coûter cher.

    Avic

     http://reseauinternational.net/2013/11/12/laurent-fabius-nouveau-ministre-des-affaires-etrangeres-disrael/

  • Le génocide de notre temps

    Déclaration du Dr Dor, Président de SOS Tout-Petits, annonçant le 27éme anniversaire de la création du mouvement :

    "Le plus grand et le plus indigne massacre jamais commis par l’humanité contre la loi divine et contre elle-même, est celui de l’avortement volontaire, entré dans la loi. Ses victimes, toutes petites et innocentes se comptent non plus par millions mais, si on les additionne, par milliards (50 millions par an dans le monde, selon le FNUAP, année 2000, et sans doute bien davantage). En France, selon l’INSEE, leur nombre est environ de 225000 par an, soit plus de 600 par jour, dont une bonne partie par voie chimique, (le chiffre serait actuellement de 54% - par RU 486 ou Mifégyne), sans compter celles innombrables, par contraception hormonale –pilule, implant- et par stérilet, l’avortement passant le plus souvent inaperçu car très précoce. L’existence d’un tel génocide ne peut être nié, il est à notre porte. Le plus étonnant est qu’on ne le voit pas, ou plus, ou qu’on préfère ne pas le voir, il est trop effrayant, ou que l’on voit mal sa véritable origine, celle d’un complot orchestré à l’échelle planétaire, celui de la culture de mort, et plus précisément de la vie prise à sa source. Sa force vient de notre aveuglement et de notre faiblesse.

    L’agent le plus redoutable de cette entreprise est l’IPPF (Internationnal Planned Parenthood Federation), mais tout est coordonné essentiellement par la Franc-maçonnerie.

    L’IPPF. Première des ONG, répandu presque partout, notamment dans les pays pauvres, introduit dans les rouages de l’ONU et dans les États, financé par le grand capitalisme et les gouvernements, dont celui de la France, il a pour programme, la libération et l’éducation sexuelle, la contraception et l’avortement.

    La Franc-maçonnerie. Son culte est luciférien, sa doctrine est la Gnose qui s’identifie, non à un péché, mais au péché lui-même, celui de Lucifer et d’Ève : « Vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal ».( Gn 3.5.) Dressée contre Dieu, contre sa Création et son Incarnation, ivre de transgression, de ténèbres, de blasphèmes, de mensonges et de pouvoir, elle cherche à dissoudre les consciences pour effacer en elles, l’image de Dieu et la raison droite. Sa méthode est le glissement sémantique, modifiant le sens des mots. Nombreuses sont ses ramifications, Fondation Rockfeller, CFR, Population Council, Bildelberg, Trilatérale, Club de Rome... Elle est à la fois maître et agent du NOM- Nouvel Ordre Mondial - préfiguré par le revers du Grand sceau des États unis, sceau emprunté par les Pères fondateurs aux Illuminés de Bavière, peu après leur apparition en 1776 et imprimé depuis 1933 sur le billet de un dollar.

    Le péché est immense. Si nous fermons les yeux, c’est pour nous confier à Dieu, Le prier et répondre à son appel. Nous serons présents dans 24 villes de France, 3 villes des Philippines, à Abidjan, en Cote d’Ivoire et aux États-unis, à Milwaukee (Wisconsin) Prières publiques de réparation, d’intercession et de conversion.

    « Continuez votre bonne bataille », Jean Paul II, à Castel Gondolfo, le 27 Juillet 1998. Venez…"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Vous trouvez ça drôle ?

    C’est hier que le MRAP a officiellement porté plainte, une première pour un ministre de gauche, contre Manuel Valls, coupable aux yeux de cette officine antiraciste d’obédience communiste d’avoir enfoncé une porte ouverte en déclarant que les populations Roms  ont vocation à rentrer en Bulgarie et en Roumanie. Et ce, précisait le ministre de l’Intérieur, parce qu’elles «ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation». Les habitants des quartiers pluriels pourraient certes en soumettre d’autres à M. Valls…

     Coïncidence (?) des dates, c’était hier aussi qu’à l’ initiative des parlementaires socialistes du courant dit de La Gauche forte, était organisé dans la soirée un débat à l’Assemblée consacré aux  « réponses que la gauche doit apporter face à la montée du FN», en présence de Manuel Valls et du ministre de la Justice Christiane Taubira. Ces deux là se sont embrassés chaleureusement,  ostensiblement, pour manifester symboliquement l’unité du gouvernement face à l’adversité.

     En fait des réponses à apporter à la montée du FN, rien n’a filtré puisque ce n’était pas tant le but de ce débat bidon que d’essayer une nouvelle fois de ressouder les rangs contre le péril frontiste, de faire peur dans les chaumières. La formule est toujours peu ou prou la même: faire croire que la République est menacée par les factieux, pratiquer l’amalgame entre l’extrême droite et le Front National.

     Comme il l’avait fait lors de l’université d‘été du PS, M. Valls a attaqué  nommément ses deux têtes de turcs, l’humoriste Dieudonné et l’essayiste Alain Soral –ça ne mange pas de pain- et a enchaîné  les formules toutes faites, appelé la gauche « à se ressaisir face au racisme.»

     « Quand on siffle le président de la République et que les sifflets viennent de l’extrême droite, il faut que la gauche se ressaisisse, il faut que les républicains s’unissent et disent ça suffit ». Autre pensée forte du ministre de l’Intérieur : la réponse face à l’extrême droite, c’est « l’efficacité » de la politique. «Vous croyez que nous n’agissons pas ensemble avec Christiane Taubira ? (…). Vous croyez que nous nous laissons impressionner par ceux qui veulent nous opposer ? ». On reste pantois devant la fulgurance et l’intelligence du propos …

     Certes, dans l’enfilage de perles, Mme Taubira n ’a pas été en reste en demandant « aux voix de la France (de) couvrir » celles du racisme et en affirmant :  « Nous devons rappeler que la gauche a su construire des réponses de progrès » (sic) . Formidable…

     Bien sûr l’affaire du moment était la Une volontairement provocatrice de l’hebdomadaire Minute consacrée au garde des sceaux, « Maligne comme un singe Taubira retrouve la banane »,  dont on peut en effet ne pas goûter « la finesse » et les clins d’oeil à l’actualité récente, mais qui a déchaîné une tempête assez ahurissante. L’unanimisme des indignations n’est en fait pas tellement pour surprendre chez les mutins de panurge (dixit Philippe Murray) de la caste politico-médiatique, dont le grégarisme ne se dément pas.

     Manuel Valls a affirmé que le gouvernement étudiait « les moyens d’agir contre la diffusion » de Minute ; le ministre de la Santé, Marisol Touraine, y a une « incitation à la haine raciale »; Jean-Marc Ayrault a saisi le procureur de la République de Paris en portant à sa connaissance « ces faits susceptibles de constituer l’infraction d’injure publique à caractère racial»; le premier secrétaire du Parti socialiste, Harlem Désir, a dénoncé une « ignoble Une » ;  l’UEJF et SOS racisme ont annoncé des dépôts de plainte…

     « Ils n’ont donc pas de limites. C’est même à ça qu’on les reconnaît. Pas une #Minute à perdre. Les nazes en cage  », a affirmé Jean-Luc Mélenchon avec sa mesure légendaire dans un tweet. Le chef de file des députés PS, Bruno Le Roux a appelé la société à faire « rempart contre ces extrémismes » et au nom de l’UMP, le député filloniste  Eric Ciotti a dénoncé « une dérive ».

     En l’espèce, la réaction la plus maline et politique est bien celle de Christiane Taubira «qui a fait savoir qu’elle n’engagera pas d’action juridique contre Minute. Réagir d’une manière ou d’une autre, c’est faire augmenter les ventes de l’hebdomadaire de 10%, explique l’entourage de Christiane Taubira au Lab (blog d’Europe 1), se disant convaincu que l‘hebdomadaire a élaboré sa une en s’entourant des conseils d’un avocat. »

     « Si des associations veulent le monter en sauce, c’est leur problème (…) Nous trouvons que c’est indécent, il y a plein d’autres problèmes dans ce pays, a réagi de son côté la porte-parole de Minute, Hélène Valette. Nous assumons cette Une, c’est satirique, personne ne s’offusque des Unes de Charlie Hebdo. »

    Dont certaines furent en effet  particulièrement gratinées se rappelle Bruno Gollnisch, preuves à l’appui, y compris sur le terrain du racisme (de l’humour ?) supposé. Ajoutons que tout ce beau monde préfère aussi ne pas entendre les toutes dernières critiques adressées par Dieudonné, via une vidéo diffusée sur internet, à Mme Taubira. Propos autrement plus carabinés que les formules de Minute, mais il est vrai que sa couleur de peau similaire à celle du garde des sceaux le protège ici de l’accusation de racisme.

     On peut aussi difficilement reprocher à la présidente du FN comme à Bruno Gollnisch d’être racistes -« Je suis heureuse de me faire cracher dessus chaque semaine par Minute quand je vois ce que c’est devenu » a twitté hier Marine .

     Jamais le FN n’a attaqué quiconque du fait de sa couleur de peau, de ses origines ethniques ou religieuses. Le FN combat l’immigration pas les immigrés, des programmes politiques, des idées qu’il juge erronés, néfastes, jamais un individu en tant que tel,  sachant qu’une  personne par ailleurs n’est  pas  entièrement réductible aux idées qu’elle professe.

     Bruno Gollnisch le réaffirmait dans un entretien accordé au site La voix de la Russie  que nous mettrons en ligne demain sur ce blog,   « Nous ne sommes pas des racistes ou des xénophobes mais nous considérons que ceux qui viennent en France pour bénéficier de notre système social, doivent s’adapter à la culture française  (…). » 

     « Nous aimons bien sûr la France poursuit le député européen frontiste et je ne peux pas dire que monsieur Ayrault déteste la France. Il est prisonnier d’un système mondialiste qui veut le brassage universel des individus, des marchandises et des capitaux. Ce système globaliste détruit les nations, les solidarités familiales et les particularités des peuples et, par conséquent, déracine des êtres humains. Je crois que le Front National est le meilleur défenseur de l’identité française et de tous les peuples. Nous n’avons pas l’intention de partir en guerre contre personne, nous voulons tout simplement rester maîtres chez nous. » Est-ce trop demandé ?

    http://www.gollnisch.com/2013/11/13/vous-trouvez-ca-drole/