
La Commission européenne a financé un projet à plus de 100 000 € pour lutter contre l’islamophobie sur les réseaux sociaux. Ce projet vise l’Espagne dans un premier temps mais ses résultats ont vocation à être utilisés dans toute l’Europe :
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La Commission européenne a financé un projet à plus de 100 000 € pour lutter contre l’islamophobie sur les réseaux sociaux. Ce projet vise l’Espagne dans un premier temps mais ses résultats ont vocation à être utilisés dans toute l’Europe :
Michel Festivi
On pourra faire toutes les plus belles déclarations du monde, lancer les plus vivifiantes pétitions de principe, la France et les français ne s’en sortiront pas sans que des mesures énergiques et radicales soient prises.
Deux essentiellement et très vite doivent être décidées. Tout d’abord quitter la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), en dénonçant le plus rapidement possible ces traités, et deuxièmement partir avec pertes et fracas du Conseil de l’Europe qui soutant toute cette jurisprudence. Au passage, la France et les français feront des économies substantielles, comme l’importante rémunération de Monsieur Pap Ndiaye par exemple.
Mathieu Block-Côté
On apprenait jeudi qu’une vaste coalition parlementaire transpartisane, excluant toutefois le RN, entend présenter en janvier une proposition de loi visant à bannir le « climatoscepticisme » des médias. L’objectif de cette proposition de loi est d’interdire dans le débat public toute remise en question des dérèglements climatiques, tout comme de leur cause anthropique. Ce point de départ devrait « échapper au débat contradictoire », cela au nom de la science, ou plus exactement, du « consensus scientifique ». Il s’agit donc, explicitement, de structurer le débat public de telle manière qu’il ne soit plus permis de questionner cette affirmation fondamentale.
Depuis trois ans qu’elle publie des textes sur sa vie d’enfant au milieu de la guerre du Donbass, Faina Savenkova a souvent fait face à l’indifférence des institutions internationales et occidentales, qui vantent tant les principes de la démocratie et des droits de l’homme. Mais désormais l’indifférence a laissé la place à des mesures plus radicales contre tous ceux qui oseraient lui donner la parole. Tant en Ukraine qu’en Occident, il semble que les autorités ont peur de ce qu’une adolescente de 14 ans peut dire sur leurs crimes respectifs, allant jusqu’aux menaces et à la censure, tant contre Faina Savenkova, que contre tous ceux qui essayent de l’aider à briser le blocus informationnel du Donbass.
Au commencement l'éco-extrémisme se nourrit d'une autre nuisance que l'on qualifiera d'éco-catastrophisme. Il copie ainsi le modèle des prophéties de Karl Marx, annonçant en 1864, dans son Adresse inaugurale à la Première internationale, la paupérisation de la classe ouvrière.
Pour ne citer qu'un exemple, rappelons ici les prévisions que formulait en 1989, le bureau de l'environnement des Nations unies : le réchauffement climatique était censé faire disparaître, pour 1999 au plus tard, les Pays-Bas, les Maldives, les Seychelles, les Caraïbes, noyer le Bengladesh et bien d'autres régions(1)⇓.
Le titre de cet article peut surprendre tant le libéralisme et le socialisme semblent s’opposer.
Le « socialisme libéral » a d’abord été imaginé il y a un siècle, et théorisé en Italie (notamment dans les années 1930 face à la montée du fascisme), comme une forme de socialisme privé de ses excès collectivistes : une façon de maintenir les objectifs de répartition des richesses et d’égalité républicaine, mais en permettant aux initiatives privées d’éclore plutôt que par une planification centrale.
Camille Galic
Une attaque stupide
Attaqué de toutes parts car président du Front national, Jean-Marie Le Pen déplorait naguère de devoir ingurgiter « tous les matins un bol de crapauds au petit déjeuner ». Même si elle a récemment renoncé à sa fonction pour ne présider que le groupe parlementaire RN à l’Assemblée nationale, sa fille et « successeuse » n’est pas mieux lotie. Le remboursement anticipé du prêt russe qu’elle avait obtenu en 2017 — après refus catégorique de toutes les banques françaises — n’empêche pas les accusations sur sa proximité avec Poutine et, visiblement inquiet du score des nationaux aux prochaines élections européennes, Olivier Marleix, président du groupe LR au Palais-Bourbon, a lourdement daubé le 19 septembre au micro de France Info sur le népotisme pratiqué par Marine Le Pen puisque « sa nièce Marion Maréchal est la tête de liste de Reconquête ! et son neveu par alliance Jordan Bardella tête de liste du RN ».
Intoxiqués par une idéologie de gauche, tous les gouvernements, de Mitterrand à Macron en passant par cet imbécile de radical-socialiste qu’était Chirac, nous ont fait le coup d’un sourd complot d’extrême droite. C’est même devenu le marronnier de l’été dans la presse de gauche. La droite dite républicaine aussi impuissante que l’ensemble de la marre aux canards socialo-gauchiste, non contents de s’entretuer, se retrouvent pour dénoncer une extrême droite fantasmagorique dont ils ne comprennent rien. Et pour cause, ils ne savent pas lire. Mais comme le soulignait avec raison le grand juriste allemand Carl Schmitt, la politique consiste d’abord à désigner l’ennemi. On renvoie tous ces imbéciles à la lecture éclairante de Julien Freund sur le sujet.