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lobby - Page 2202

  • « Affaire Cypel »: en attendant la mise au point de Bruno Gollnisch…

    « La mesure est excellence » : cet adage de la pensée grecque antique reste décidément bien étranger aux différentes tribus qui composent le PS et le lobby cosmopolite politico-médiatique. En témoignent les réactions délirantes au commentaire de Bruno Gollnisch faisant état des propos déplacés du député de Seine-et-Marne et porte-parole du PS Eduardo Rihan Cypel. « Non, M. Eduardo Rihan Cypel, la France n’est pas un pays raciste » relevait le député européen sur son blog. « La preuve elle vous a accueilli, elle a accueilli votre famille, elle a financé des cours pour que vous puissiez apprendre le français. » « Ne vous croyez pas autorisés à stigmatiser ceux qui trouvent quand même qu’il y a un peu trop de nomades qui viennent en France ».

    N’ayant pas peur du ridicule, Eduardo Rihan Cypel a annoncé hier sa décision « d’engager des poursuites judiciaires contre M. Gollnisch » au motif que « lorsqu’on est victime de propos à caractère raciste et xénophobe (?!), on ne doit jamais laisser passer ni sur le plan politique, ni sur le plan judiciaire ».

    Notons, et le site du Figaro évoquant cette « affaire » en est un exemple probant parmi d’autres, que les commentaires des internautes soulignent le décalage existant entre un pays réel apportant son soutien au dirigeant frontiste et les indignations de la Caste représentant le pays légal ou à tout le moins défendant ses intérêts et sa position dominante.

    Dans un entretien accordé le 5 août au site de L’Express, Eduardo Rihan Cypel expliquait gravement que « Le racisme et la lutte contre l’extrême-droite est au fondement de (son) engagement politique. Je suis rentré au PS après le 21 avril 2002 (jour de l’accession au second tour de la présidentielle de Jean-Marie Le Pen, NDLR) ». Comme c’est original…

    Il expliquait aussi la vraie raison de cette montée au créneau du parti de l’étranger , à savoir la peur d’une réaction du peuple français bien décidé à reprendre en main son destin en votant massivement pour l’opposition nationale l’année prochaine : « Je ne pressens rien de bon pour les municipales » confiait-il. « Il faut qui il y ait un réveil pour ne pas laisser un millimètre d’espace à ce genre d’injures à la république et à ses valeurs ». Il y a beaucoup de culot dans cette dernière affirmation tant il est vrai que c’est bien la politique euromondialiste menée par le PS qui est à contrario et à proprement parler une injure permanente aux valeurs de notre pays.

    Avec leurs gros sabots, les garde-chiourmes du Système ont logiquement multiplié les déclarations pour se solidariser avec M. Cypel en feignant de ne pas comprendre (?) la nature des propos de Bruno Gollnisch et se sont bousculés pour conspuer à travers celui-ci tous les Français qui entendent le rester.

    Les éléphants ont multiplié les tweets indignés, notamment le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone qui a conspué « les propos abjects de B. Gollnisch », ou encore l’obscur ministre Guillaume Garot qui a évoqué des « propos misérables aux relents d’avant-guerre ».

    Pour sa part, le sénateur PS David Assouline a inspiré (à moins que cela ne soit l’inverse) le premier secrétaire du PS Harlem Désir qui avec la finesse qui le caractérise a pondu un communiqué pour dénoncer les « propos insupportables » de Bruno Gollnisch qui « s’inscrivent dans la plus ignoble tradition de l’extrême droite française ». Le brave Harlem et ses acolytes ont décidément du mal à se renouveler et font entendre le même disque rayé dans toutes les circonstances.

    Pierre Kanuty, conseiller régional PS d’Ile-de-France, puise-lui aussi dans la boîte à fantasmes pour expliquer qu’« en quelques jours, Frédéric Haziza puis Eduardo Rihan Cypel sont les cibles de l’extrême droite. Ceux qui ont cru qu’elle avait tourné la page de l’antisémitisme en sont aussi pour leurs frais. »

    Exploitant jusqu’à la corde le même nauséabond filon, M. Kanuty s’est essayé à la métaphore en notant que « sous le vernis bleu marine demeure, intacte, la réalité brune ou vert de gris d’une extrême droite passionnément raciste », avant d’expliquer que M Cypel a fui la dictature au Brésil pour laquelle le FN aurait eu comme de bien entendu les yeux de Chimène. Pathétiquement con… venu.

    « La gauche ferait bien de faire front face à cet ennemi qui veut disloquer la société » avance-t-il encore, même si les Français constatent plutôt que c’est la gauche immigrationniste (et une droite du même tonneau) qui est la première responsable de la désagrégation de notre pays.

    Il est ainsi dans l’ordre des choses que le délicat Conseiller régional Geoffroy Didier, alter ego de Guillaume Peltier, cofondateur du courant de la Droite forte (sic) au sein de l’UMP et proche Jean-François Copé, se soit fendu d’un tweet de soutien à M Cypel, à l’instar de la « conseillère politique » de l’UMP Aurore Bergé…

    Tout aussi peu surprenant, l’inénarrable journaliste Claude Askolovitch a « remercié » Bruno Gollnisch de « nous restituer le frisson salvateur de l’antifascisme », son confrère Frédéric Haziza a évoqué « la peste brune en action », une « France rance et pétainiste » tandis que le plagiaire de la loge Cambacérès, Joseph-Macé Scaron, dénonçait « un nouveau dérapage » du député frontiste…

    Dans un entretien qui sera enregistré aujourd’hui et mis en ligne demain sur ce blog, Bruno Gollnisch fera le point sur cette affaire…

    http://www.gollnisch.com

  • Trop, c’est trop : vers une révolte des Français de souche ?

    Toutes les enquêtes d’opinion convergent : les Français de souche en ont assez. Ils ne supportent plus ce qu’il y a de « trop » dans notre société désormais : trop d’immigration, trop de culpabilisation, trop d’insécurité, trop de politiquement correct, trop de déni de démocratie, trop de violences et de dégradations à l’école, trop de chômage, trop de « réformes » inutiles, trop d’inquiétudes sur l’avenir, trop de diabolisation. Michel Geoffroy décrit pour Polémia les raisons de la révolte qui monte.
    1) Trop d’immigrés qui ne manifestent aucune volonté de « s’intégrer » et de devenir de vrais Français par la civilisation et la culture ; trop d’immigrés qui cultivent leurs particularismes d’une façon ostentatoire, et qui affirment de plus en plus leur religion – l’islam – dans l’espace public, au mépris de la laïcité et avec la lâche complicité des pouvoirs publics ; trop d’Africains qui se constituent en communautés.
    2) Trop de culpabilisation et de repentance à l’encontre des seuls Européens et des seuls Français de sang et de souche ; trop de mépris de la nation française et de son histoire ; trop de parti pris en faveur de nombreux allogènes, dont il est interdit de critiquer le comportement même délictueux, sous peine de « racisme » ; trop de discrimination à l’encontre des Français de souche.
    3) Trop d’insécurité pour les honnêtes gens, trop de bienveillance pour les criminels et délinquants récidivistes ; trop de délinquants d’origine immigrée ; trop de « zones de non-droit » ; trop de corruption dans la classe politique ; trop de police, trop de radars et trop de juges mais pas assez de sécurité et de moins en moins de liberté pour le citoyen.
    4) Trop de politiquement correct ; trop de répression de la liberté de parole, trop de propagande et de travestissement de la réalité dans les médias ; trop de publicité cynique et agressive ; trop d’américanisation de la culture.
    5) Trop de déni de démocratie ; trop de « minorités » bruyantes, trop de « communautés », trop « d’autorités morales », trop de lobbies qui prétendent imposer leurs préjugés et leurs seuls intérêts à la majorité des Français ; trop de mépris du peuple français de la part de l’oligarchie politico-médiatique ; trop de promesses non tenues par les politiques, qu’ils soient de gauche comme de droite.
    6) Trop de violences et de dégradations à l’école ; trop de maîtres qui capitulent devant les élèves et devant leurs parents ; trop de laxisme éducatif et universitaire ; trop de diplômes qui ne valent plus rien sur le marché du travail.
    7) Trop de chômage, trop de petits boulots, trop de contrats à durée déterminée, trop de délocalisations, trop de désindustrialisation ; trop d’inégalités sociales, trop de profits pour les uns, trop d’insécurité économique pour les autres ; trop de difficultés à se loger lorsqu’on est jeune ; trop d’impôts et de taxes pesant sur les classes moyennes et populaires.
    8) Trop de « réformes » inutiles qui ne s’attaquent pas aux vraies questions qui préoccupent les Français ; trop de services publics « reformés » mais qui ne fonctionnent plus ; trop de fonctionnaires découragés ; trop de fermetures de services publics de proximité.
    9) Trop d’inquiétudes sur l’avenir : trop de dépenses sociales que les actifs ne peuvent plus financer, trop de menaces sur les économies et les retraites ; trop de dettes publiques et privées.
    10) Trop de diabolisation des Français qui respectent les lois, qui demandent que cesse cette situation qui les révolte, qui ne sont ni « racistes », ni « fascistes », ni « d’extrême droite » mais qui veulent enfin être entendus de la classe politique et voir leur opinion représentée dans les médias.
    Michel Geoffroy, 04/10/2011 http://www.polemia.com

  • "Pour lutter contre l'homophobie, il faut dissoudre Act Up"

    Les jours se suivent et ne se ressemblent pas au Nouvel Obs. Excellente tribune de Pascal Bories dont voici la conclusion :

    "Act Up, en revanche, est connue depuis longtemps pour ses opérations coup de poing portant souvent atteinte à l’ordre public et aux individus, qu’elle préfère toujours attaquer personnellement.

     Problème : comme le groupuscule prétend agir au nom de la communauté LGBT, c’est à celle-ci qu’elle fait le plus de mal, en la rendant toute entière coupable de ses propres dérapages aux yeux de l’opinion. Une opinion, en l’occurrence, déjà échaudée par le passage d’une loi après un long processus législatif et plusieurs manifestations. Sans compter que la majorité des Français était opposée à l'adoption d'enfants par les couples homosexuels

    La capacité de nuisance de certains au sein des mouvements LGBT ne doit pas être sous-estimée, alors même que le sentiment homophobe ne cesse de diminuer dans notre pays. Comme l’égalitarisme – avec un grand "isme" – met au jour de plus en plus d’inégalités, les groupuscules LGBT radicaux exacerbent le ressentiment et la haine à l’égard des lesbiennes, gays, bi et trans. Et pour cause : il s’agit de leur principal fond de commerce, sans lequel ils risqueraient de ne plus pouvoir justifier les subventions publiques dont ils bénéficient.

    De la part du président et du gouvernement ou de personnalités de gauche comme Pierre Bergé, qui soutiennent plus ou moins explicitement ces groupes aux méthodes volontairement illégales, le calcul est limpide : plus une certaine droite traditionnelle et catholique se sentira agressée, plus elle est susceptible de se radicaliser, et donc de rallier l’extrême-droite.

     La gauche a retenu la leçon du 21 avril 2002, lorsque le PS avait été mis en échec par le FN, et compte tout simplement faire subir la même humiliation à ses adversaires de l’UMP en 2017. Quitte à instrumentaliser la communauté LGBT pour parvenir à ses fins.

     Si tel n’était pas le cas, le fait de vandaliser la façade d’une organisation reconnue d’utilité publique suffirait à déclencher les foudres de nos ministres, au premier rang desquels M. Valls.

     On se souvient de la manière dont un collage d’affiches du Printemps français sur le bâtiment accueillant le Printemps des associations LGBT avait été condamné comme un crime odieux. Par la suite, le ministre de l’intérieur avait menacé de dissolution le réseau de Béatrice Bourges. Espérons donc, s'il souhaite aussi lutter contre l'homophobie, qu'il en fasse autant au sujet de l'association Act Up".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Minute N°2627: C’est quoi, être français ? Le sale procès fait à Bruno Gollnisch

     

    minute.aout.2013Parce qu’il a traité un député socialiste naturalisé de « Français de relativement fraîche date », Bruno Gollnisch se fait une fois de plus lyncher. Ses propos montreraient que le FN n’est pas un parti « républicain ». Il serait « xénophobe ». Désolé, les censeurs, mais Bruno Gollnisch a ouvert un vrai débat. Et il est le seul.

    Dans une vidéo publiée le 1er août sur son site internet, Bruno Gollnisch est no­tamment revenu sur l’af­faire Méric (1), commentant un débat télévisé récemment rediffusé. De ce débat, il a surtout retenu la prestation – caricaturale – du dé­puté de Seine-et-Marne et porte-parole du PS, Eduardo Rihan Cy­pel. A ce dernier, Bruno Gollnisch a jugé nécessaire de rappeler que « Français de relativement fraîche da­te », il serait assez bien avisé de distribuer avec parcimonie ses avis et con­seils. Et le député européen du FN d’en remettre une louche, déclarant qu’Eduardo Rihan Cypel lui fait « penser à ces gens que vous invitez chez vous et qui, une fois qu’ils y ont pris pied, veulent y faire venir un petit peu tout le monde ». Puis, s’adressant directement au socialiste : « Ne vous croyez pas autorisé à stigmatiser ceux qui trouvent quand même qu’il y a un peu trop de nomades qui viennent en France. »

    (…)

    Retrouvez l’article qui paraîtra dans l’édition papier de demain, mais déjà disponible sur le site internet de l’hebdomadaire MINUTE

    http://www.gollnisch.com

  • Violences d'Act-Up : la Fondation Lejeune porte plainte à son tour

    Communiqué de presse : 

    "L’attaque par Act Up de sa consultation médicale n’intimide pas la Fondation Jérôme Lejeune mais choque le monde du handicap

    Après l’agression violente d’Act up dont elle a été victime, la Fondation Jérôme Lejeune a immédiatement porté plainte contre l’association militante extrémiste.

    Ce matin, en arrivant, les médecins et les patients devaient passer devant des affiches injurieuses et marcher parmi des préservatifs et poches remplis de peinture rouge sang lancés contre les murs portes et fenêtres. Le Pr. Marie-Odile Réthoré, directrice de la consultation médicale, présente sur les lieux à 7h30, a considéré que ce spectacle était de nature à choquer les enfants et les familles en consultation aujourd’hui.

    Pour Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation : « Je dénonce cet acte d’intimidation d’autant plus scandaleux qu’il porte sur un espace médical accueillant des personnes atteintes de déficience intellectuelle et leur famille. Il est toujours plus facile de s’attaquer aux plus faibles et de les prendre comme bouc émissaire

    La Fondation souligne également sa totale solidarité avec sa salariée Ludovine de la Rochère par ailleurs présidente de La Manif pour tous. Elle note la confusion du message véhiculé par l’agression d’Act Up qui n’apporte aucun élément en mesure de faire comprendre cette violence gratuite.

    La Fondation attend des responsables de l’ordre public une réaction officielle contre ce terrorisme d’Act Up : 

    Ø  dont la violence porte en germe des éléments de stigmatisation et d’handiphobie qui se développent depuis 20 ans en France, particulièrement à l’encontre des personnes trisomiques,

    Ø  qui porte atteinte à l’image d’une fondation reconnue d’utilité publique qui assure une mission capitale en matière de recherche et de soins au profit des plus déshérités.

    Elle remercie les nombreux sympathisants qui lui témoignent depuis hier leur soutien et les assure de son intention de continuer l’ensemble de ses engagements, notamment ceux consistant à participer au débat sur les enjeux bioéthiques".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • L’inquiétante islamisation des facs françaises

    PARIS (NOVOpress) – Le Haut Conseil à l’intégration (HCI) vient de transmettre un rapport à l’Observatoire de la laïcité. Il note que les directeurs de l’enseignement supérieur sont confrontés à de « nombreux contentieux (liés aux religions) intervenus dans tous les secteurs de la vie universitaire ». Le cœur du problème : l’islamisation des facs devient alarmante. De plus en plus d’universités « font face à des demandes de dérogation pour justifier une absence, au port de signes d’appartenance religieuse, à des actes de prosélytisme, à la récusation de la mixité tant au niveau des étudiants que des enseignants, à la contestation du contenu des enseignements, à l’exigence de respect des interdits alimentaires, à l’octroi de lieux de culte ou de locaux de réunion à usage communautaire… », peut-on lire.

     

    « Les problèmes n’ont pas disparu, ne se sont pas raréfiés mais se sont banalisés ». Des « actions souterraines (associations cultuelles masquées, conférences à contenu politico-religieux, etc.) », sont révélées dans le rapport et des professeurs se plaignent de « la difficulté qu’ils éprouvent parfois à organiser des binômes d’étudiants des deux sexes ». Le Haut Conseil à l’intégration milite pour l’adoption d’une loi interdisant « dans les salles de cours, lieux et situations d’enseignement et de recherche des établissements publics d’enseignement supérieur, les signes et tenues manifestant ostensiblement une appartenance religieuse ». Cette mesure vise directement le port du voile islamique. Mais elle semble dérisoire tant cette revendication musulmane a colonisé le quotidien des Français, grâce au laxisme des gouvernants. En revanche, stopper l’immigration de masse permettrait de lutter efficacement contre la propagation islamique en France.

    http://fr.novopress.info

  • Tout pour les « quartiers », rien pour la France pauvre

    La France va concentrer ses efforts sur 1.200 quartiers défavorisés au lieu de 2.400 actuellement, a déclaré vendredi la porte-parole du gouvernement. L’État va y investir 5 milliards d’euros.

    « Il s’agit de mettre fin à un certain saupoudrage et de se concentrer sur les territoires qui en ont le plus besoin », a déclaré Najat Vallaud-Belkacem, précisant : « Ces nouveaux quartiers prioritaires seront définis sur la base d’un critère unique et global de revenu des habitants – pour le dire autrement : de la pauvreté des habitants. »

    Question : pourquoi les quartiers et pas les départements les plus défavorisés ?

    On nous dit que seul le revenu des habitants doit être pris en compte, mais alors il faut privilégier le Cantal, l’Ariège et l’Aude, les trois départements les plus pauvres. D’après une étude du Secours catholique, corroborée par les autres associations caritatives, dans ces départements 80 % des personnes aidées par ces organisations sont de nationalité française. Est-ce pour cela que l’on n’en parle jamais ?

    86,1 % des demandes exprimées portent essentiellement sur l’alimentation, mais le plus bouleversant est le besoin d’écoute des gens faisant l’objet d’une séparation, d’un divorce, d’un abandon ou encore souffrant d’isolement. Ils sont ainsi 67,4 % à attendre un peu de chaleur humaine. Ils sont loin d’être retraités : 41,5 % des personnes les plus touchées sont âgées de 25 à 40 ans ; leur dénuement est souvent la conséquence du chômage, lui-même essentiellement provoqué par une maladie de longue durée ou un accident. Il faut savoir que dans ces coins de l’Hexagone, 30 % des habitants ne touchent aucun revenu, et même lorsqu’ils bénéficient du RSA (50 % d’entre eux), leurs problèmes sont souvent insurmontables.

    Cette situation est elle tolérable ? Est il tolérable, par exemple, que Lyliane, retraitée de 62 ans, sans argent et sans domicile, ait dormi en juin dans un cimetière de Vineuil-Saint-Firmin, dans l’Oise, après avoir erré dans la région ? Est il tolérable qu’elle ne vive plus chez elle depuis 2006, victime de fraudes bancaires l’ayant laissée sans ressources ?

    Abandon ou désintérêt, cela fait longtemps que nos gouvernements successifs ont laissé tomber les Français de régions perdues. Comment tolérer de voir une partie de la France au bord de la mendicité alors que des sommes considérables sont déversées dans les cités de la petite couronne, et de Seine-Saint-Denis notamment ? Comment tolérer que les voitures brûlées, les trafics de drogues ou d’armes prospèrent dans ces mêmes quartiers « défavorisés » quand les ruraux des villages, malgré leur misère, paient leurs impôts et leur loyer ? Comment tolérer que le Qatar aide en priorité, dans notre pays, ces mêmes zones souvent de « non-droit » au détriment de départements totalement sinistrés ?

    Madame Vallaud-Belkacem, on attend avec intérêt la rentrée pour connaître le nom de vos quartiers et combien se situeront dans les départements les plus pauvres. Hélas, on se fait peu d’illusions !

    J.-P. Fabre Bernadac dans Boulevard-voltaire

    http://fr.altermedia.info/

  • Le déraillement du RER de Brétigny expliqué par Michel Chevalet : le sabotage est une évidence

  • Benoist Apparu (UMP) a demandé à rencontrer les Veilleurs et a cru pouvoir leur vendre du rêve

    Bien sûr, ça ne prend pas : il serait temps de comprendre qui est cette génération de mai 2013.

    Communiqué :

    "Questions au député UMP Benoit Apparu sur son vote POUR le mariage pour tous

    Le député UMP Benoist Apparu a rencontré les veilleurs de Châlons-en-Champagne le 29 juillet 2013.

    M. Apparu est l’un des deux députés UMP à avoir voté POUR la loi Taubira, pour le mariage et l’adoption pour tous.

    A quelques mois des municipales pour lesquelles il vient d’annoncer sa candidature à Châlons-en-Champagne, Benoist Apparu a demandé à rencontrer les responsables des veilleurs de Châlons. 

    Sa position : il est POUR le mariage et l’adoption pour les personnes de même sexe. Il pense qu’il y a une barrière qui n’est pas prête d’être franchie en faveur de la GPA-PMA pour les couples homosexuels, puisque ces droits ne sont pas ouverts aux couples hétérosexuels. Il assure qu’un président normalement « vertébré » (je cite) ne fera pas passer cette réforme avant la fin de son mandat en 2017. Réforme qui d’après M. Apparu prendra 10 ou 20 ans car pour lui, un changement de civilisation se réalise sur un temps qui se compte en décennies. Il relie les lobbies de la théorie du genre à la chute du communisme pour dire que leur influence est décroissante depuis une vingtaine d’années. 

    Notre avis : Nous aimerions partager son optimisme mais nous ne le pouvons pas. Que fait-il de la proposition de loi déposé le 19 Juillet dernier par 5 sénateurs socialistes pour « ouvrir l’assistance médicale à la procréation à tous les couples infertiles, qu’il s’agisse d’une infertilité médicale ou ‘sociale’ ». On voit bien là que la « barrière » qu’il pense ne pas pouvoir être franchie vole en éclats ! Encore une fois, l’influence de LGBT n’est pas loin puisque le dépôt de cette proposition intervient au lendemain de la rencontre, le 18 juillet, entre l’Association des parents et futurs parents gays et lesbiens (APGL) et Dominique Bertinotti. La ministre déléguée chargée de la famille affirmait alors que « la PMA ne sera pas renvoyée aux oubliettes ».

    Inutile de se voiler la face : le gouvernement avance vers la PMA et la GPA pour tous. On ne lâche rien !

    Notre demande à M. Apparu : M. Apparu, allez-vous reconnaître que le mariage pour tous entraîne la PMA et la GPA ? Allez-vous reconnaître votre erreur d’avoir voté ce texte qui marque un changement de civilisation ? Allez-vous vous opposer publiquement à la PMA pour tous et à la diffusion subreptice de la théorie du genre, notamment à l’école ? Nous l’espérons".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Une quasi-relaxe pour “les 19 de Solferino” – Le verre à moitié vide ou à moitié plein

    Une quasi-relaxe pour “les 19 de Solferino” – Le verre à moitié vide ou à moitié plein

    C’est le verre à moitié vide ou à moitié plein selon la façon dont on le regarde. Génération Identitaire considère que les peines financières sont lourdes (voir son article) et c’est vrai que les amendes et les frais le sont pour des jeunes garçons et filles qui sont montés très temporairement sur un toit (mais quel toit ! ) sans violence et sans dégâts. A l’opposé certains avocats pensent qu’il s’agit d’une quasi-relaxe face à un procureur sous l’autorité du ministre de la justice, qui demandait de la prison ferme, et face à des hommes politiques socialistes qui réclamaient rien de moins que la dissolution de Génération Identitaire.

    Le gouvernement, Manuel Valls, et le Parti Socialiste, eux ne seront condamnés qu’au ridicule pour leur incompétence : au  moment où des centaines de milliers de manifestants hostiles à la politique socialiste étaient réunis à Paris, où des milliers de policiers, de CRS, de gendarmes étaient mobilisés, ne pas avoir fait garder le siège national du PS par deux policiers, il faut le faire! Remercions ces jeunes gens de nous avoir bien fait rire aux dépens du pouvoir et d’avoir continué lors du procès.
    Novopress

    ———————————————-

    Le dimanche 26 mai, en marge de la dernière grande « Manif Pour Tous », 19 jeunes militants de Génération identitaire étaient montés sur la terrasse du siège du Parti socialiste, rue de Solferino, pour déployer une immense banderole « Hollande démission ». Délogés par les CRS, ils avaient ensuite passé 54 heures en garde à vue avant de se voir placés sous contrôle judiciaire, ce qui semblait déjà un brin disproportionné pour une action menée sans aucune violence ni casse, les jeunes gens étant montés à l’aide d’une grande échelle. Les policiers avaient eux-mêmes signalé le bon comportement des interpellés dans leurs procès-verbaux.

    Appel à la dissolution de Génération identitaire

    Les déclarations des responsables socialistes, elles, avaient nettement manqué de proportion. Le compte Twitter officiel du PS évoquait une « atteinte inacceptable envers la démocratie », propos auxquels faisait écho Harlem Désir en ajoutant : « Attaquer un parti politique, c’est s’attaquer à la démocratie. » Rien que ça ! Le leader des jeunes socialistes Thierry Marchal-Beck et le porte-parole du PS Eduardo Rihan Cypel en avaient même appelé à la dissolution de Génération identitaire.

    Le 25 juillet, les 19 jeunes rebelles ont donc été jugés par la 12e cham bre du tribunal correctionnel de Paris. Après des débats parfois drôles (les identitaires affirmant être montés sur ce toit par hasard après s’être perdus dans Paris – certains déclarant même qu’ils pensaient participer à une journée de découverte du patrimoine ! –, manifestement dans l’optique de protéger leur organisation des délires de Valls, ce qui a fait sourire le président du tribunal mais moins le procureur de la République), quinze militants ont été condamnés à des peines d’amende avec sursis, et quatre autres à des amendes allant de 500 à 900 euros. Tous devront payer 190 euros au titre des frais de justice du PS.

    Les peines sont bien en deçà de celles réclamées par le procureur qui n’a pas hésité à requérir de la prison ferme et s’est vautré dans les poncifs en évoquant « les heures les plus sombres de notre histoire ».

    Le PS, finalement, n’avait demandé qu’un euro symbolique, se rappelant peut-être juste à temps, comme l’ont signalé plusieurs avocats de la défense, que lorsque des clandestins avaient occupé ses locaux en janvier, aucune plainte n’avait été déposée…

    Ces condamnations légères s’apparenteraient presque, selon certains avocats, à une relaxe. On comprend bien qu’une relaxe pure et simple, en ces temps de “grande popularité” du pouvoir socialiste, aurait pu être perçue comme une invitation à la réitération par certaines jeunes activistes. Faut-il voir dans ce jugement une preuve d’indépendance de la magistrature ou bien de la volonté du régime de ne pas offrir à l’opposition de nouveaux symboles après la faute qu’a constituée l’incarcération du jeune Nicolas ?

    L. H.

    Article de l’hebdomadaire “Minute” du 31 juillet 2013 reproduit avec son aimable autorisation. Minute disponible en kiosque ou sur Internet.

    Pour soutenir Génération Identitaire, c’est ici.

    Une quasi-relaxe pour "les 19 de Solferino" - Le verre à moitié vide ou à moitié pleinhttp://fr.novopress.info/