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lobby - Page 2200

  • Justice: encore 14 détenus libérés

    Quatorze détenus viennent encore d’être remis en liberté sur décision de la Cour de cassation en raison, dit celle-ci, d’une « vieille erreur administrative ». L’aveu en a été fait vendredi par le ministère de la Justice lui-même.
    Au total, 1.784 des 3.499 condamnations susceptibles d’être concernées par les décisions de la Cour de cassation ont été examinées, a indiqué la Chancellerie dans un communiqué. Sur ces cas, 14 personnes ont été remises en liberté.
    Onze d'entre elles purgeaient des peines inférieures ou égales à 8 mois, deux inférieures ou égales à 1 an et une égale à 3 ans, selon le ministère qui souligne que "14 autres condamnés ont pu être maintenus en détention pour purger d’autres peines d'emprisonnement".
    Le ministère indique qu'un nouveau point chiffré sera fait lundi sur ce dossier, qui a donné lieu à une vive attaque de la ministre Christiane Taubira contre l'opposition UMP, au pouvoir lorsque « l'erreur » ayant conduit à ces libérations a été commise.
    La Cour de cassation, plus haute juridiction française, avait le 26 juin donné raison a un Franco-Arménien, condamné par contumace en 1989, et qui souhaitait regagner la France après la prescription (délai à l'issue duquel la peine ne peut plus être exécutée) de 20 ans en matière criminelle.
    Il lui avait été opposé une série d'actes interrompant cette prescription. Or, la définition de ceux-ci avait été fixée par un décret de décembre 2004 et la Cour de cassation a souligné qu'une telle liste ne pouvait être fixée que par la loi.
    Elle a depuis été transcrite par une loi en mars 2012, mais la Cour de cassation a donné raison au demandeur, qui contestait la validité des actes interruptifs opposés à sa demande de prescription au titre du décret de 2004.
    Le ministère de la Justice a dû vérifier toutes les condamnations dont la prescription avait été rejetée aux mêmes motifs entre le décret de 2004 et la loi de 2012.¢

    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • Mineurs étrangers en France : l’alerte de Jean Arthuis

    LAVAL (NOVOpress) – Jean Arthuis, le président du conseil général de Mayenne (UDI) veut mettre fin à tout nouvel accueil de mineurs isolés étrangers dans le département. Un arrêté du 24 juillet signé par le sénateur et ancien ministre met fin « à tout nouvel accueil de jeunes étrangers isolés par le service de l’aide sociale à l’enfance » dans la Mayenne. Pour Jean Arthuis, cet arrêté est « une alerte adressée au gouvernement car nous sommes arrivés à saturation » en matière d’accueil d’étrangers.

     

    « Le problème rencontré ici est la saturation des lieux d’hébergement. Il y a 5 ans, j’en recevais cinq par an, aujourd’hui 57 », a déclaré Jean Arthuis à l’Express. Le président du conseil général de Mayenne précise les coûts aux frais du contribuable : « La prise en charge coûte entre 130 et 150 euros par jour. Pendant les 5 premiers jours, l’État rembourse à hauteur de 250 euros ». Selon lui, face à ce déferlement de déracinés « l’État refuse de s’attaquer au problème par le bon bout. Il s’évertue à s’attaquer à la répartition entre les départements, alors que selon moi, le problème, c’est plutôt le contrôle de l’immigration ».

    Les ministres de la Justice, Christiane Taubira et de l’Intérieur, Manuel Valls, ont « déploré » mardi la décision « illégale » de Jean Arthuis. « L’Etat ne saurait accepter de distinguer les mineurs accueillis en fonction de leur nationalité », affirment les ministres. Une prise de position de nouveau en faveur de l’invasion migratoire alors que les Français, au nom du respect de leur identité, de leur sécurité et d’une grave crise économique, ne peuvent accueillir toute la détresse du monde.

    http://fr.novopress.info/

  • Qui veut la peau de la Rochère ?

    Alors même qu'elle est dénigrée publiquement par une de ses anciennes porte-parole, la présidente de la Manif pour Tous, Ludovine de la Rochère a aussi essuyé les foudres d'Act-Up. Tentative de réponse à l'épineuse question en titre par 24heuresactu :

    "Aucune place n’est laissée au doute : les affiches placardées sur le bâtiment de la fondation Jérôme Lejeune représentent bien la présidente de la Manif Pour Tous. Les nazillons d’Act Up ont écrit le nom de leur victime en toutes lettres : « Ludovine de la Rochère » avec le motif de leur rage : « présidente de la Manif Pour Tous ». L’insulte est en caractères grands et gras, telle une étoile jaune bien discriminatoire : « homophobe », et dramatisée par la mise en scène d’une peinture rouge aspergée sur le bâtiment, sensée représenter du sang. Fiers de leur méfait, les milices du parti socialiste le signent : « Act Up Paris ».

    Libé se charge ensuite de la sale besogne : désinformer l’opinion publique. Selon le titre de l’article paru dans le quotidien, « Act up affole les opposants au mariage homo ». Voilà qui est instructif, car l’info n’était pas sur l’affiche : il y a donc bien un lien avec les manifestations populaires massives de mai-juin 2013 et surtout avec celles qui se préparent pour la rentrée de septembre 2013. En réalité, ce ne sont pas les opposants au mariage homo qui s’affolent comme le prétend Libé, mais le gouvernement socialiste sous influence, qui commence à redouter une mobilisation populaire massive dès la rentrée de septembre 2013.

    Les options idéologiques de Libé transparaissent à toutes les lignes : Act up est présentée comme une association légitime, car luttant contre le sida. La fondation Jérôme Lejeune serait « très pieuse », ironie toute voltairienne, et Ludovine de la Rochère aurait « fait les frais de l’agitation des esprits » selon le quotidien. Libé va jusqu’à donner la parole à l’agresseur, Aurélien Selle, chargé de communication d’Act Up, qui essaye de se justifier : « La fondation Lejeune est un lieu doublement intéressant. D’une part en raison des liens personnels de Ludovine de la Rochère, et d’autre part en raison du soutien officiel que la fondation a apporté à la Manif pour tous

    Voilà donc dévoilée la motivation de cette association de malfaiteurs : il s’agit bien d’une attaque ciblée contre Ludovine de la Rochère : une entreprise de démolition de l’individu. La stratégie de démolition est classique : de la même manière que le lobby Bergé-Augier-Valls avait réussi à faire craquer Frigide Barjot en juin 2013, il va maintenant mettre la pression sur Ludovine de la Rochère en espérant un faux pas ou une démobilisation de la militante pacifique. Cette tentative de démolition est préventive, car la rentrée s’annonce chaude : C’est bien La Manif Pour Tous qui affole le gouvernement socialiste, et non l’inverse comme titre Libé" (suite).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Obama, un président sous l’influence du “puissant lobby de la guerre froide”

    L’asile accordé à Edward Snowden était la goutte de trop : le président des Etats-Unis annule sa visite à Moscou. Sur place, la presse est deçue et craint deux ans d’âge de glace dans les relations américano-russes.

     

    C’est une événement sans précédent depuis la fin de la guerre froide. Barack Obama refuse de rencontrer le président russe Vladimir Poutine après que Moscou ait attribué l’asile pour une année au lanceur d’alerte américain Edward Snowden. L’homme, dont Washington demande l’extradition depuis des semaines, n’est pourtant que le dernier litige en date, après plusieurs mois de tensions.

    Les Etat-Unis déplorent notamment l’interdiction faites aux familles américaines d’adopter des enfants russes, l’obligation des ONG recevant des financements étrangers de s’enregistrer comme “agents de l’étranger et l’adoption d’une législation sanctionnant la “propagande homosexuelle” devant mineurs de peines de prison.

    Mais à Moscou, les réactions sont réservées, teintées de déception et de politesse.

     

    La décision de Barack Obama “est liée au cas de l’ex-collaborateur des services secrets américains Edward Snowden, une situation qui n’a pas été créée par nous“, a déclaré Youri Ouchakov, conseiller du président Vladimir Poutine, cité par le journal en ligne Vzgliad. Pour lui, “cela prouve que les Etats-Unis ne sont pas prêts à construire les relations avec la Russie sur des bases d’égalité“.

     

    Le refroidissement entre Washington et Moscou va retarder la discussion sur des questions importantes [la défense anti-missile, la réduction d’armes conventionnels, la guerre en Syrie, le programme nucléaire iranien, l'affaire Snowden, etc.] jusqu’à ce qu’une nouvelle ‘fenêtre d’opportunité’ s’ouvre, mais cela n’arrivera pas avant un à deux ans“, analyse le quotidien russe Nezavissimaïa Gazeta.

     

    De son côté, le directeur de l’Institut russe des Etats-Unis et du Canada, Serguéï Rogov, constate que “la crise dans les relations bilatérales n’a pas pu être évitée, et une chance a été perdue de donner une nouvelle impulsion à l’agenda russo-américain“.

     

    Le quotidien russe Izvestia qualifie la réaction d’Obama d’ “asymétrique, qui “met en péril la relance des relations bilatérales“. L’expert de la Fondation russe pour le développement de la société civile, Maxime Minaev, rappelle qu’en 2010, “la traîtrise de l’agent du service de contre-espionnage russe Alexandre Poteev et l’arrestation d’un groupe d’espions russes qui s’en est suivie, n’ont pas conduit à l’annulation de la visite aux Etats-Unis du président Dmitri Medvedev“.

     

    Pour le directeur de l’Institut de recherche politique russe Serguéï Markov, Obama a été victime du “puissant lobby de la guerre froide au Sénat et au Congrès, et qui l’empêche d’améliorer les relations avec la Russie“.

     

    L’optimisme raisonnable est pourtant de mise, estime dans les pages de Nezavissimaïa Gazeta l’académicien Alexéï Arbatov, car “dès qu’une nouvelle porte politique s’ouvrira, on pourra trouver un compromis, il n’existe pas d’obstacles infranchissables. Par le passé, il y avait aussi des problèmes complexes, mais les deux pays les ont résolus.

     

    Le conseiller du président Youri Ouchakov ajoute que “dans les relations russo-américaines, il y a beaucoup d’émotions négatives, et une discussion entre les deux présidents aurait été utile, mais – hélas – le refus d’Obama de venir à Moscou ne permet pas d’entamer le dialogue“. Mais le spécialiste de tempérer : “Il faut accepter cette décision [d'Obama] calmement. Le monde ne se retournera pas, et le ciel ne tombera pas sur la terre“.

     

    Courrier International   http://fortune.fdesouche.com

  • Potemkine-en-France ou la dérive tyrannique du pouvoir

     

    Et puisqu'on parle de la Roche-Sur-Yon, voici un nouveau témoignage des répressions policières subies par les manifestants : 

     

    "Selon ce qui semble n’avoir été, à l’époque, qu’une légende, Grigori Potemkine, ministre et favori de la tsarine Catherine II, aurait fait ériger, en carton pâte, des « villages Potemkine » d’apparence opulente, pour masquer à l’impératrice la misère des villages de Crimée. Quand il ne fait pas référence à un célèbre cuirassé, ce nom de Potemkine est devenu synonyme de mensonge d’un pouvoir refusant de voir le peuple réel.

    Et c’est un peu ce qui s’est passé ce matin du 6 août 2013, à la Roche-sur-Yon, en Vendée.

    * *
    Le message avait été répandu par le biais d’internet et par SMS : le président serait, ce mardi, en déplacement chez nous, à la Roche. Rendez-vous avait été donné pour l’accueillir comme il se doit, à 9h30, au nord de la ville, devant le « Pôle emploi » de la rue Benjamin Franklin (qui, en son temps, avait été aimé des Français qui voyaient en cet ambassadeur américain un symbole de liberté). Sans trop d’illusions sur nos chances d’approcher le locataire de l’Elysée, nous y sommes allés parce que tout le monde (et lui en premier) doit savoir, ici comme ailleurs, qu’on ne lâchera jamais rien.
    En ce qui me concerne, je suis arrivé un peu en avance, muni de 3 petits drapeaux, de mon T-shirt porteur du même logo réputé subversif, d’un drapeau français monté sur un manche de bois, et de mon sifflet. Je m’approche de l’attroupement déjà conséquent devant le bâtiment, et, voyant, de l’autre côté de cet attroupement, quelques collègues manifestement venus pour la même raison que moi, je décide de rester de mon côté, afin que nous soyons plus dispersés, donc plus visibles. Mais très vite, deux hommes me demandent de les suivre jusqu’à mes collègues. Je comprends alors que s’ils sont réunis là-bas, ce n’est pas de leur plein gré… D’abord, je refuse : je n’ai aucune raison de suivre ces messieurs, d’autant qu’ils ne portent aucun signe distinctif. Je comprend qu’ils n’ont pas l’intention de céder, mais finissent tout de même par me montrer discrètement des cartes de police. Je décide d’obtempérer, et me voici réuni au groupe des opposants que déjà, un cordon de CRS (munis de leurs protections habituelles et de boucliers) empêche d’avancer vers le bâtiment.
    Mais très vite, un ordre vient : nous devons reculer. Alors les CRS avancent, poussant sans retenue les récalcitrants avec leurs boucliers. Je crois comprendre que déjà ceux qui avaient été mis là auparavant avaient déjà du reculer, parce qu’un collègue crie au non-respect de la parole donnée. On nous fait reculer jusqu’au niveau d’un bus de ville garé ici.
    Alors, pendant un bon moment, et dans une ambiance parfois houleuse, souvent de bonne humeur, nous alternons slogans, remarques ironiques (qui feront sourire quelques CRS). Je suggère aux enfants d’éviter d’agresser ces messieurs avec leurs doudous… Nous apostrophons parfois les quelques automobilistes ébahis qui, parfois, semblent ignorer jusqu’à la présence du Corrézien.
    Petit à petit, notre groupe est augmenté de gens bariolés comme moi, mais aussi de gens que seul un délit de faciès a pu condamner à rejoindre ce que, déjà, j’appelle le « ghetto des opposants ». Et encore, des gens arrivent sans que je puisse comprendre la raison de leur « délocalisation ». Un groupe est amené, parmi eux, un jeune homme, torse nu, est porté par quatre personne dont une femme. Il a refusé d’obtempérer, et, en se débattant, s’est fait arracher son T-shirt… Mais quel crime avons-nous commis ? Certains essaient de jouer au chat et à la souris, mais les chats sont trop nombreux (1 pour 2 manifestants environ). De loin, je vois un jeune homme qu’on emmène vers un fourgon de CRS… J’apprendrai plus tard qu’il y a eu deux gardes à vues.
    Un collègue, à un moment donné, sort l’immense drapeau bleu-blanc-rose que j’avais déjà remarqué lors des manifestations parisiennes : nous avons des renforts, les parisiens en vacances par chez nous sont venus. Mais au bout d’un certain temps, arrive un ordre : le drapeau n’est pas au goût de ces messieurs. Devant le refus opposé par le propriétaire du drapeau, les CRS optent pour la manière forte ! S’ensuit une cohue générale, le manche du drapeau est brisé… Pour nous, un drapeau est un symbole, que nous entendons défendre" (suite).
  • Chronique d’été …

    Chronique de Laurence Maugest.
    Période estivale. La nature exhale ses fondamentaux, parfois repris par les médias qui nous ont montré des milliers de personnes dans les rues britanniques portées par une  question de fond touchant le ventre rond de leur jolie princesse  : « S’agira-t-il d’un garçon ou d’une fille ? »
    Le peuple semble bien ignorant de l’avancée égalitaire censée nous libérer de ces considérations simplistes ! Heureusement, l’avenir est assuré par nos élites  qui  parlent d’homosexualité à nos enfants dès la maternelle pour leur éviter la pathologie de la discrimination.
    Béotiennes de l’idéologie du genre, parfaitement rétrogrades, ces foules incultes  ne lisent pas les livres de leurs progénitures. Car, en effet, l’unique question légitime qu’elles devraient se poser est : quel sexe se choisira lui-même l’enfant roi dans 12 ou 15 ans ?
    Nos amis britanniques doivent attendre que le bébé « bien né » grandisse et  choisisse, pour ses jeux, une panoplie de cow-boy ou des robes de princesse. Suspense… Cet enfant sera peut-être reine.
    Les presses britanniques et mondiales s’emballent, les satellites frétillent, « the royal baby is born », belle fortune pour les enseignes mondialisées qui vont se mettre à l’heure du nouveau-né.
    Du vin et des jeux pour amuser le peuple, du « buzz » pour le divertir jusqu’à l’abrutissement : rien ne change sous nos cieux où flottent les chansonnettes  de l’égalitarisme qui dissimulent, derrière leurs mélodies faciles de supermarché, les chiffres disharmonieux de l’avortement qui atteignent leur acmé européenne (*)  dans cette île britannique à genoux devant son enfant roi.
    C’est un bel été ! Un peu mouvementé dans les banlieues parisiennes, certes, mais nos instances veillent.
    La complémentarité police-justice est accomplie. Là où la police prend des coups sur la tête, la justice apaise les petits jeunes qui brûlent et saccagent leur cité. Nicolas Bernard-Buss doit réaliser combien la vie peut être douce si l’on accepte d’être tout simplement traité en criminel lorsque l’on est innocent et en victime lorsque l’on est coupable.
    Le ciel est bleu, la plage ou les vallées de nos montagnes nous attendent mais un vent de spiritualité persiste. Depuis novembre 2012, les jeunes et moins jeunes Français, veilleurs, marcheurs ou « klaxonneurs », nous ont signifié avec ferveur que l’âme existe encore et que l’asservissement « médiatico-déraciné pour globalisation rapide »  n’est pas encore parvenu à la victoire d’un gouvernement mondial régenté par les  grands manitous de la finance.
    Laissez-nous respirer, Messieurs, Mesdames (parité oblige !) les journalistes que l’on entend trop ! Ne venez pas gâcher nos jolies matinées d’été par vos chroniques allergènes.
    Voilà que le sable chaud de l’été se gonfle au passage pernicieux de vos tentacules de boas constrictors ! L’étouffement guette le vacancier ou le travailleur fatigué à l’écoute de chroniques formatées jusqu’à l’outrance. A l’aube des JMJ, le ton assuré d’un chroniqueur nous tétanise lorsqu’il assène sa grande révélation du jour : « Ce n’est pas un hasard si le président parfaitement normal   et le pape partagent le même prénom, mais c’est un  signe… ! » Voilà, c’est dit, message touchant, à la frontière de l’ésotérisme, entendu sur une radio à audience nationale.
    Dans un contexte acidulé, la grande farce des médias confond le cosmopolitisme, véritable rouleau compresseur des cultures singulières de nos nations, et l’universalisme intemporel de la chrétienté basée, en premier lieu, sur le sacré de la vie et sur la part de divinité en l’homme.
    Ces valeurs, M. François Hollande les bafoue allégrement, du mariage homosexuel aux expérimentations sur l’embryon, en passant par la négation de la  complémentarité des sexes ou bien par la PMA déjà en gestation dans la torpeur estivale.
    Profitons du soleil qui dissimule les ombres, oublions les radios bruyantes à fort potentiel commercial, contemplons le monde réel et allons en chœur préparer nos bannières pour septembre en nous souvenant bien que l’union fait la force !
     Laurence Maugest
    23/07/2013 http://www.polemia.com
     (*) Le Royaume Uni, la France et  la Roumanie arrivent en tête du nombre d’avortements dans les pays de l’Union européenne des 27, avec respectivement 215.975, 209.913 et 127.907 interruptions volontaires de grossesse (chiffres de 2008 répertoriés dans l’étude de l’Institut de politique familiale de 2010) : http://www.cpdh.info/~cpdhpdf/RapportIPF2010.pdf

  • La Manif pour tous Italia ne lâche rien

    Depuis le 22 juillet, le Parlement italien débat d'une mesure contre les discriminations envers les LGBT. Il s'agit de modifier une loi italienne en matière de lutte contre les discriminations, la loi Mancino. Cette loi adoptée en 1993 condamne les actes de discriminations, les violences et les incitations à la haine fondées sur la religion, de l'origine ou de la couleur de peau. Aujourd'hui, elle pourrait donc être modifiée afin que l'homophobie et la transphobie y soient incluses et traitées.

    Les défenseurs de la famille ne lâchent rien:

    Legge-omofobia-manif-pour-tous-italia-5-agosto_1Malgré les vacances quelque 400 personnes (selon la presse) brandissant des drapeaux de la « Manif pour tous Italia » qui revendique des liens étroits avec la Manif pour tous française ont manifesté à proximité de l’Assemblée italienne lundi soir à Rome pour dénoncer le flou du texte qui en fait, selon Il Tempo, une « loi bâillon » qui aurait pour effet d’empêcher toute critique raisonnée du « mariage » des homosexuels et de l’adoption par des couples homosexuelles. Six mois à 4 ans de prison : voilà le tarif qui pourrait s’appliquer à ceux qui continueraient de définir le mariage comme l’union entre un homme et une femme et à revendiquer le droit pour l’enfant d’avoir un père et une mère.

    En France, la loi "anti-homophobie", première étape vers la légalisation du mariage homosexuel, date de 2004, sous l'ère Chirac/Raffarin.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • En Hollandie, l'arbre norvégien a du mal à cacher la forêt de d'jeunes

  • Des musulmans profanent le site de la bataille de Poitiers

    Des musulmans profanent le site de la bataille de Poitiers

    POITIERS (NOVOpress) – L’Observatoire de l’islamisation rapporte le 8 août une nouvelle provocation musulmane. Un groupe de mahométans vient de profaner un haut lieu de l’identité française : le site de la bataille de Poitiers. Les “voyous” posent fièrement devant un panneau commémoratif de la victoire des Francs contre les envahisseurs islamiques en 732.

    Trois hommes, dont un barbu islamique et un autre portant un t-shirt à la gloire de l’islam (photo), font le signe de la « quenelle ». Popularisé par l’humoriste Dieudonné, l’acte de glisser une quenelle signifie entuber quelqu’un, le mettre à l’amende, l’humilier. On imagine l’indignation immédiate du gouvernement socialiste si des individus diffusaient une photo sur Internet où on les verrait faire un bras d’honneur devant la mosquée de Paris…

    Crédit photo : DR http://fr.novopress.info

  • J-2 avant le lancement de la Marche des Veilleurs !

    Tout ce que vous voulez savoir sur la Marche des Veilleurs : 

    J-4 avant le lancement de la Marche des Veilleurs ! Nous vous attendons nombreux samedi à 21h à Rochefort, place Colbert ! 

    « La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera. » Emile Zola
    Toutes les informations
    Informations pratiques pour s'organiser
    Pour être tenu au courant de la Marche, inscrivez-vous à la newsletter
    Les rendez-vous d'une journée de la Marche des Veilleurs :
    • 9h : départ de la Marche sur le lieu de la veillée de la veille
    • 17h : arrivée de la Marche sur le lieu de la veillée du soir même
    • 21h : Veillée
    Chaque soir à 21h se tiendra une veillée dans les villes suivantes (les 3 premiers lieux sont précisés, pour les autres, regardez régulièrement ici ) :
    • Rochefort - Samedi 10 août 2013 - place Colbert
    • Châtelaillon – Dimanche 11 août 2013 - plage des Bouchôleurs
    • L’Ile de Ré – Lundi 12 août 2013 - plage de la Flotte
    • Charron - Mardi 13 août 2013
    • Luçon – Mercredi 14 août 2013
    • La Faute sur Mer – Jeudi 15 août 2013
    • La Tranche sur Mer – Vendredi 16 août 2013
    • Jard sur Mer – Samedi 17 août 2013
    • Sables d’Olonne – Dimanche 18 août 2013
    • Bretignolles sur Mer – Lundi 19 août 2013
    • Saint-Gilles Croix de Vie – Mardi 20 août 2013
    • Challans – Mercredi 21 août 2013
    • Bourgneuf en Retz – Jeudi 22 août 2013
    • Pornic – Vendredi 23 août 2013
    • Saint-Michel Chef-Chef – Samedi 24 août 2013
    • Saint-Nazaire – Dimanche 25 août 2013
    • Paimbœuf – Lundi 26 août 2013
    • Couëron – Mardi 27 août 2013
    • Nantes – Mercredi 28 août 2013
    • Sartrouville – Jeudi 29 août 2013
    • Bondy – Vendredi 30 août 2013
    • Paris – Samedi 31 août 2013 - 17h30 la Défense - 21h30 Concorde

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