Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Après de nombreux articles très critiques sur la mandature d’Emmanuel Macron, Michel Geoffroy dresse un bilan sans concession des 30 mois de présidence du roi du « en même temps » et de la répression.
Polémia
La super classe mondiale a promu en 2017 Emmanuel Macron pour qu’il conduise les changements qu’elle souhaitait imposer à la France.
Hélas, sa présidence tourne au mauvais vaudeville. Et les oligarques commencent à se demander s’ils n’ont pas fait le mauvais choix.
Macron n’est pas Thatcher
Il ne faut pas oublier qu’Emmanuel Macron a été élu grâce à un coup d’état médiatique et judiciaire qui a éliminé François Fillon du second tour de l’élection présidentielle.
Cette manœuvre a réussi mais elle a eu cependant deux lourdes conséquences pour l’avenir politique d’Emmanuel Macron :
– D’abord, son élection de 2017 ne résulte d’aucun mouvement populaire en sa faveur. Le premier parti de France ce n’est pas LREM – qui n’a pas dépassé 16 % des inscrits en moyenne – mais… les abstentionnistes et le Rassemblement national !