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  • Se relever après un avortement : c’est possible

    Se relever après un avortement : c’est possible

    L’abbé Laurent Spriet ayant, comme beaucoup de ses confrères, rencontré des femmes ayant connu un avortement dans leur vie, vient de publier un ouvrage intitulé Se relever après un avortement. Il offre un rappel de l’enseignement de l’Eglise, une réflexion chrétienne ainsi que les témoignages de sept femmes qui se sont relevées grâce à leur rencontre avec le Christ Jésus. L’avortement est une épreuve d’autant plus douloureuse qu’elle est reconnue aujourd’hui comme un droit mais la femme, face à sa conscience, sait un jour ou l’autre la vérité. Cette épreuve peut aussi être un chemin pour rencontrer celui qui libère l’homme de ses chaines. Libérer la parole de ces femmes en souffrance (et qui n’ont pas le droit de l’exprimer) est nécessaire, mais cela n’est pas suffisant pour l’auteur qui veut exprimer dans ce livre le message d’espérance de l’évangile pour tant de femmes de France d’aujourd’hui. L’abbé Spriet a accepté de répondre à nos questions :

    Vous publiez des témoignages de femmes blessées par leur avortement. Avez-vous rencontré des femmes qui n’ont absolument aucun regret d’avoir avorté ? 

    Il existe des femmes qui disent qu’elles n’ont aucun regret de leur avortement. J’ai déjà été en contact avec quelques unes d’entre elles. Cependant, après un avortement, de façon générale : soit les femmes se taisent et souffrent en silence, soit elles expriment très vite leur mal-être et leur souffrance. La plupart exprime leur besoin d’en parler. Mais à qui ?

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  • Injures racistes par deux policiers et sanglant attentat terroriste par un islamiste : étrange traitement médiatique

    Injures racistes par deux policiers et sanglant attentat terroriste par un islamiste : étrange traitement médiatique

    Réaction de l’AGRIF :

    Bien sûr, il est inacceptable de traiter qui que ce soit de « bicot » et plus encore lorsque c’est le fait de policiers dont la colère, compréhensible en elle-même, ne saurait être une excuse. Leur propos mérite donc une sanction disciplinaire.

    Mais, il n’en est pas moins stupéfiant et scandaleux que l’injurié, doublement délinquant, puisque sans papiers et auteur de délits de vol, ait été précédemment libéré par le parquet de Nanterre alors qu’il était sous le coup d’un « OQTF » (Obligation de Quitter le Territoire Français).

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  • TEMOIGNAGE. “La grande distribution profite du confinement pour écraser les prix” Des éleveurs arrêtent leurs ventes

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    Depuis le début du confinement, la fermeture des restaurants et de beaucoup d'entreprises, la grande distribution est devenue le seul débouché pour les producteurs. Mais selon les éleveurs, elle en profite pour baisser encore les prix. Des éleveurs ont décidé de cesser de vendre leurs bêtes.

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  • Coronavirus – Très hostile au Professeur Raoult, BFM TV a beaucoup d’actionnaires communs avec le laboratoire Gilead…

    BFM TV est l’un des médias les plus hostiles au Professeur Didier Raoult et au traitement qu’il propose comme remède au coronavirus (hydroxychloroquine et Azithromycine), traitement pourtant efficace et peu coûteux.

    Or, Idriss Aberkane, auteur de livres sur les neurosciences et de chroniques pour le magazine Le Point, souligne que BFM TV (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD – qui espère se faire un pactole en commercialisant un coûteux vaccin contre le coronavirus – ont en commun de nombreux actionnaires.

    Quel hasard…

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  • Le Coronavirus Covid-19 peut dire merci à la mondialisation, à l'Union européenne, et à Macron

  • Mineurs isolés étrangers : tout est bon pour justifier l’invasion !

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    Lors du débat récent qui a opposé, sur Russia Today, J.-Y. Le Gallou à l’experte immigrationniste Catherine Wihtol de Wenden, directrice de recherche au CNRS, et l’avocate africaine de clandestins Danielle Babin, Mme de Wenden a invoqué la Convention des droits de l’enfant adoptée par les Nations unis en 1989 comme la référence juridique imposant des règles incontestables et incontournables concernant l’accueil des mineurs isolés étrangers-mineurs non accompagnés (MIE-MNA). Il est cependant loisible de s’apercevoir que les instances de justice nationales comme internationales ont interprété dans un esprit militant d’une manière abusivement extensive des textes et des préambules ambigus et fumeux, notamment ceux de la Convention des droits de l’enfant, afin de fournir un prétexte juridique au déferlement de MIE-MNA sur le territoire français.

    La Convention internationale des droits de l’enfant, fondement de la duperie

    Un texte onusien

    En 1989, la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE), elle-même inspirée de la Déclaration des droits de l’enfant du 20 novembre 1959, a été adoptée à l’unanimité par l’Assemblée générale des Nations unies. Elle a été signée par tous les pays, dont la France en 1990, à l’exception des États-Unis.

    C’est en se référant au texte de cette convention que les immigrationnistes ont entendu légitimer juridiquement l’accueil sans filtre de dizaines de milliers de mineurs, le plus souvent africains, très souvent majeurs en réalité. La France a signé une convention internationale et doit la respecter, clament-ils !

    Les interprétations militantes de la convention

    Trois articles de la convention pourraient être évoqués pour plaider en faveur de la politique actuelle de gestion des MIE-MNA en France :

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  • Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »

    Youssef fonce en voiture sur des policiers : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. »

    A Colombes (92), un équipage de la police nationale à motos, déployé pour effectuer des contrôles routiers, a pris en chasse un homme à scooter qui refusait d’obtempérer. Celui-ci a abandonné son deux-roues pour prendre la fuite à bord d’une voiture. Quand un second véhicule BMW surgit et est venu les percuter de plein fouet.

    Deux policiers sont blessés dont l’un grièvement – il s’est retrouvé coincé entre une voiture de la police municipale et celle du forcené. Le premier est conduit à l’hôpital en urgence relative tandis que le second se trouve en urgence absolue, souffrant de graves blessures, dont une fracture de la jambe.

    Le conducteur de la BMW est interpellé et se présente comme Youssef T., un homme de 29 ans domicilié à Colombes et né à Lunéville (Meurthe-et-Moselle). Il est connu des services de police pour outrages à agent en 2014 mais inconnu de la DGSI. Il a déclaré qu’il vient de voir une vidéo sur la Palestine et qu’il voulait s’en prendre aux policiers. Il indique aussi : « Je l’ai fait pour l’Etat islamique. » Une lettre expliquant son geste avec des allusions possiblement terroristes est retrouvée dans le pare-sol de sa voiture ainsi qu’un couteau. Le suspect a été placé en garde à vue au service départemental de la police judiciaire des Hauts-de-Seine.

    https://www.lesalonbeige.fr/youssef-fonce-en-voiture-sur-des-policiers-je-lai-fait-pour-letat-islamique/

  • Le gouvernement par la peur a de beaux jours devant lui, à moins que….

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    Par Dominique Muselet

    Comme chacun sait, les sentiments se divisent en deux catégories, les positifs et les négatifs. Les deux ont leur utilité et d’une certaine manière se complètent. Les sentiments positifs, l’amour (agapé), la gratitude, l’admiration, engendrent une forme de symbiose qui nous permet d’acquérir les qualités de ceux envers qui nous les éprouvons. Les sentiments négatifs nous alertent sur ce qui ne va pas, en nous ou à l’extérieur. Ainsi l’envie nous indique que nous souhaiterions jouir de ce que nous envions, mais que nous ne nous sentons pas capables ou dignes de l’obtenir. La peur, quant à elle, nous signale un danger. Cependant, le danger peut être imaginaire, il faut alors, sans paniquer, faire appel à notre jugement pour s’assurer de sa réalité.

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  • Immortalité, égalité, liberté : fin des illusions !

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    Le délire transhumaniste de l’homme immortel, augmenté, prolongé, remplacé pièce par pièce, se fait plus discret face au retour de la mort dans une société qui s’évertuait à l’oublier. La mort arrive en moyenne plus tard, la médecine peut en reculer la date, mais elle demeure tellement inéluctable qu’on permet même au médecin d’en adoucir la venue, sinon de la précipiter. Le lien statistique évident entre l’âge des malades et le risque mortel introduit une inégalité naturelle qu’on avait tendance à oublier dans les idéologies obsédées par la non-discrimination.

    Cette discrimination naturelle est, d’ailleurs, reprise par la société amenée à être moins égalitaire qu’elle le prétend, lorsque la rareté des moyens, des lits ou des respirateurs, par exemple, amène à faire un « tri » entre les malades que l’on va soigner et ceux pour lesquels on choisit d’arrêter les thérapeutiques actives. Cette inégalité n’est, d’ailleurs, pas la seule qui apparaît crûment dans la parenthèse désenchantée que nous vivons. Le choix du médecin, de l’hôpital, du traitement, le lieu où l’on est confiné, les obligations professionnelles ou encore les conséquences sociales de la cessation d’une activité créent de nombreuses variations sur le thème du confinement égal pour tous. Faut-il ajouter que l’État n’est manifestement pas capable de le faire appliquer à tous et partout !

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  • Halte à l’hypocrisie des juges et des media : le racisme est très différent de ce que l’on dit !

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    Bernard Plouvier

    Une vidéo prise à Paris, ces dernières heures, aurait ému les milieux immigrationistes, dans laquelle un policier aurait émis - le conditionnel est de rigueur quand l’on connaît la virtuosité de certains truqueurs - des propos « racistes ».

    Si la chose était avérée, ce serait regrettable : toute manifestation de racisme est une stupidité, en plus de tomber sous le coup de la loi – du moins théoriquement, car certains propos racistes sont occultés par nos talentueux hommes et femmes des media et nos remarquables juristes.

    En l’occurrence, la « victime » serait un honorable voleur issu d’Afrique, opérant au sein d’une bande, qui se serait jeté dans la Seine pour échapper aux policiers puis aurait hurlé quand on l’a repêché... et les hurlements ne témoignent pas obligatoirement de « mauvais traitements », à moins de qualifier ainsi des gestes visant à éviter une noyade.

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