Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lobby - Page 875

  • Mysticisme et réalisme : les deux voies du discours populiste

    zpage060-1024x507.gif

    Bernard Plouvier

    Grand Président Macron poursuit sa destruction à rythme accéléré des valeurs nationales, celles qui forment notre identité de Français, par opposition à la bouillie mondialiste et au pot-pourri multiracial (en anglais : le melting pot, variante sociologique du Chaudron des sorcières).

    Il multiplie les lois liberticides, au nom de sa mystique tiers-mondiste et de l’exaltation des minorités. Il le fait, bien sûr, sans prendre l’avis du seul souverain de l’État : la Nation. Grand Président est l’Attila de notre Bien Commun et se donne même bonne conscience, estimant œuvrer pour l’avenir. Là encore, il ne précise pas s’il s’agit de l’avenir de la Nation française ou de celui des millions d’immigrés d’origine extra-européenne. À dire vrai, il lui est inutile de s’exprimer sur ce point : ses actes parlent pour lui.  

    En Macronie, on ne réprime pas ou de façon exceptionnelle l’omniprésent racisme antiblancs, mais les hystériques font leurs crises de nerfs au moindre tag dit « antisémite » (alors qu’on n’en connaît généralement pas la provenance) ou à la moindre remarque sur le ridicule des travestis. Parallèlement, on assume pleinement la très antidémocratique discrimination positive et les manifestations répugnantes de prévarication (l’actualité en fournit des exemples de façon quasi-hebdomadaire), de copinage maçonnique et de favoritisme ethnique.

    À cette mystique faisandée, il est indispensable d’opposer une véritable mystique nationale. Puisqu’après tout, la politique fait surtout appel à l’irrationnel, à cette mentalité pré-logique qui n’est nullement l’apanage des « primitifs ».

    Encore ne faut-il pas se tromper de mystique : on ne peut opposer la religion chrétienne au culte des droits de l’homme. La seule mesure positive du « régime abject » qui suivit l’affaire Dreyfus fut de séparer nettement l’État des cultes et des sectes, même si l’islamo-pétrodollar a beaucoup modifié les règles du jeu depuis trente ans et si la Ripoublique reste une chasse gardée du Grand-Orient.

    Le discours très réaliste, sur l’immigration-invasion et la certitude mathématique d’un remplacement de population dominante sur le sol français, doit être couplé à l’évocation de nos valeurs propres, en un mot à la mystique nationale, comme Poutine le fait avec succès en Russie ou comme le font les Turcs avec leur mouvement pantouranien.

    Les froids raisonnements et les savants calculs n’ébranlent pas les foules, à la différence de l’émotion. Rien ne nous empêche de rêver d’une France rebâtie en mêlant la technologie moderne à notre culture française, aux indispensables réformes démocratiques (l’égalité de tous devant la loi, la lutte contre la pourriture politico-administrative, l’instauration d’une authentique liberté d’expression d’où seraient bannies seules la pornographie et la calomnie) et au nécessaire retour vers leurs continents d’origine des millions d’extra-européens qui n’ont rien à faire en Europe.

    Mélanger le rationnel à l’irrationnel, c’est le B – A - BA de la propagande politique. Pour l’instant, seuls les écolo-verdâtres et les partisans du libéralisme dur le font avec succès, utilisant les ficelles de la plus basse démagogie : diabolisation de l’ennemi et promesses à la pelle pour les gogos.         

    Rien n’empêche le milieu populiste de faire une bonne propagande : honnête et dépourvue de crainte, ne proposant que des mesures saines et applicables. Pour cela, il faut des êtres prêts à l’action une fois conquis démocratiquement le pouvoir. Surtout pas des opportunistes cherchant un « créneau porteur » !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/11/mysticisme-et-realisme%C2%A0-les-deux-voies-du-discours-populiste-6163450.html

  • Santé : l’argent des Français détourné pour satisfaire les désirs de la société libertaire

    Santé : l’argent des Français détourné pour satisfaire les désirs de la société libertaire

    Selon l’Assurance maladie, les PMA ont coûté un peu moins de 300 millions d’euros en 2014. Le Pr Grynberg avance un chiffre de 5 000 euros environ par PMA. Les actes de PMA sont intégralement remboursés par l’Assurance maladie. En juin 2019, Agnès Buzyn, ministre de la Santé, a confirmé que la PMA, étendue aux paires de femmes, serait également remboursée.

    La prise en charge à 100 % par l’Assurance maladie est normalement réservée aux médicaments reconnus « irremplaçables » ou encore aux affections portant un traitement prolongé pour les affections dites de « longue durée ». « On vient de décider la fin du remboursement de l’homéopathie, car son efficacité thérapeutique ne serait pas prouvée. Mais pourquoi rembourser la PMA, qui n’a aucun objectif thérapeutique et n’a donc, en conséquence, par le moindre effet thérapeutique, ni prouvé ni même allégué  ? L’infertilité, qui est une inaptitude à avoir des enfants après une année de rapports sexuels réguliers, est un dysfonctionnement pathologique, mais n’engage pas l’état de santé, ni l’espérance de vie.

    Selon les derniers chiffres fournis en 2014 par l’Assurance maladie, une insémination artificielle coûte en moyenne 950 euros, et une tentative de fécondation in vitro 2 883 euros. Ces chiffres représentent des moyennes, car les coûts diffèrent selon le mode de prise en charge. L’Assurance maladie estime que, en 2014, les actes d’insémination artificielle, de FIV, de transferts d’embryons congelés et d’injections intracytoplasmiques (qui consiste en l’injection d’un seul spermatozoïde dans l’ovocyte), lui auraient en moyenne coûté près de 300 millions d’euros. En 2016, il y a eu 147 730 tentatives d’insémination artificielle, de FIV ou de transferts d’embryons congelés en intraconjugal ou avec tiers donneurs, contre 102 601 en 2014. Michaël Grynberg, professeur en gynécologie-obstétrique et spécialiste des questions de fertilité, explique :

    « Cette augmentation tient au fait que nous sommes dans une société de consommation. Les gens n’attendent plus pour avoir un enfant. Ils veulent tout, tout de suite, et certains médecins précipitent le recours aux FIV, plus coûteuses que l’insémination artificielle, car elles nécessitent un passage au bloc opératoire ».

    Aude Mirkovic ajoute :

    « Il est clair que la prise en charge à 100 % a un effet d’entraînement : les médecins ont affaire à des patients très demandeurs et prêts à tout supporter pour avoir un enfant, et ceci d’autant plus facilement que c’est remboursé à 100 %. Il en résulte un surrecours à la PMA très facilement observable : engagement hâtif dans le processus, FIV privilégiée sur l’insémination – pourtant moins invasive et moins dangereuse – en raison de ses meilleurs résultats ».

    Pour une PMA, la Sécurité sociale comprend tout ce qui suit le diagnostic : les injections d’hormones, le suivi, les prises de sang, la ponction d’ovocytes au bloc opératoire et les actes d’inséminations en eux-mêmes. L’extension de la PMA à toutes les femmes devrait a priori conserver ces mêmes critères.

  • Stéphane Ravier : « On sent bien là qu’il y a une volonté de rejet de la France en brandissant le drapeau d’une nation étrangère »

    331e27f9b065f9abf7ffd0fab04762ef.jpg

    Stéphane Ravier, sénateur des Bouches-du-Rhône, réagit au micro de Boulevard Voltaire après les violences qui ont eu lieu à Marseille à l’issue de la demi-finale de la Coupe d’Afrique des nations, emportée par l’équipe d’Algérie.

    https://www.bvoltaire.fr/stephane-ravier-on-sent-bien-la-quil-y-a-une-volonte-de-rejet-de-la-france-en-brandissant-le-drapeau-dune-nation-etrangere/

  • UNION EUROPEENNE : ARRANGEMENTS INCESTUEUX ENTRE PETITS AMIS !

    550px-European_Parliament_Strasbourg_Hemicycle_-_Diliff.jpg

    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Les arrangements entre  petits amis semblent avoir pris fin à Bruxelles, chacun ayant trouvé ou retrouvé son beefsteak, son rond de serviette à la table de l’UE après le désormais traditionnel petit exercice de « chaises musicales ». L’ami des alcools forts quitte la tête de la Commission pour rejoindre son confetti luxembourgeois, remplacé par dame Ursula Von der Leyen, ministre allemand de la Défense, un temps pressentie pour succéder à Angéla Merkel. Christine Lagarde pourra continuer à défendre les puissances d’argent à la tête de la BCE comme elle l’a fait au FMI, le Belge Charles Michel remplace le Polonais Tusk, un libéral part, un libéral arrive, RAS ! Le socialiste espagnol Josep Borrell devient le « monsieur affaires étrangères » de l’Union, un poste qui ne sert a à rien, puisque chaque Etat membre, - et c’est encore heureux ! -, a sa propre politique étrangère. Tout juste une coordination sur certains dossiers serait souhaitable, car les Etats sont des monstres froids qui ont des intérêts qu’ils n’entendent pas, à raison, partager. En tout cas, c’est comme cela que ça devrait fonctionner dans une libre Union d’Etats souverains.

    Mais nous avons vu que dans l’affaire iranienne, quoique l’on puisse penser de mal de la clique islamiste au pouvoir à Téhéran, l’Europe s’est couchée devant Trump : Adios nos investissements, adios le business pétrolier et les commandes d’automobiles !

    Une entente incestueuse

    Le signe le plus manifeste de l’entente contre nature  entre les conservateurs du PPE, c’est à dire tout ce que l’Europe compte comme élus de la droite molle, - dont le jeune espoir des beaux quartiers et des dames patronnesses Versaillaises Bellamy -, et les socialistes, a été l’élection du camarade David Sassoli comme Président du Parlement européen. Les Populistes, identitaires et autres nationalistes ou eurosceptiques n’ont pas connu, hélas, une assez forte poussée dans leurs pays respectifs, même si en France, -  et encore -, ou en Italie, les scores ont été honorables. Chacun siège dans son groupe, pas d’union : Nigel Farage et ses «  Brexiteurs » s’en iront, probablement, fin octobre, les Hongrois du FIDESZ de Viktor Orban s’accrochent au PPE, ce dernier groupe trop content de « niquer », pardonnez-moi l’expression, les groupes nationalistes et de les amputer d’une bonne dizaine de parlementaires. Pas de quoi pavoiser pour les partisans, comme nous, d’une Europe des nations, d’une Europe des patries, d’une Europe à la carte où chaque pays membre choisirait, souverainement, le degré d’intégration qu’il est prêt à consentir à l’Union européenne.

    Etait-ce mieux avant ?

    Qui est ce David Sassoli, dont je viens d’évoquer le nom à l’instant ? Ce monsieur est un journaliste connu de la RAI, marqué à gauche, l’anti-Salvini parfait. Lequel Mattéo Salvini, une fois de plus, vient de s’illustrer en faisant arrêter la capitaine d’un bateau pirate, le Sea Watch 3, recueillant tout ce qu’il est possible de ramasser comme pseudos naufragés dans les eaux libyennes. Bien entendu, Macron s’est cru obligé de prendre une bonne poignée de ces faux naufragés mais vrais migrants. Lesquels viennent s’ajouter à la masse d’immigrés subventionnés que la France héberge. Il n’est que de se promener dans certains quartiers de Paris ou dans la France profonde, dans des petites villes comme la mienne, pour constater que notre pays, qu’on le veuille ou non, s’africanise, lentement mais sûrement.

    Où est-il le temps des colonies, le temps glorieux de l’Empire où tous ces peuples vivant sous le pavillon tricolore, avaient, à juste titre, droit de cité ? Au moins, à cette époque, la France contrôlait les flux migratoires internes de son espace géopolitique. Mais assez de nostalgie, car je parle d’un temps que les moins de soixante ans n’ont pas connu ! Laissons de côté le fameux « c’était mieux avant » et constatons, à regrets, que les relations franco-italiennes ne s’améliorent pas ! Macron est un immigrationniste convaincu, un serviteur du mondialisme apatride, Salvini tout le contraire. Ces deux-là sont faits pour être les étendards de deux visions du monde, de deux espérances contradictoires pour l’avenir de leurs peuples respectifs. Malheureusement pour nous, pour l’instant, nous sommes du mauvais côté, « du côté obscur de la force » !

    Si la nature avait voulu donner comme un signe à cet antagonisme profond entre les deux sœurs latines, il n’est qu’à voir, comme un symbole,  les énormes glissements de terrain qui ont coupé l’axe ferroviaire franco-italien au cœur des Alpes. De plus, quand on pense que la France officielle, qui bloque à Menton des hordes de migrants économiques pour mieux les laisser filer par la montagne, ose donner des leçons de morale à l’Italie, décidément, on se dit que ce pays, notre pays, marche sur la tête et, qu’à terme, il  faut changer, et vite, de dirigeants !

    47690235.jpg

  • Lagarde, le candidat idéal à la BCE pour accompagner l’effondrement du Système

    1200px-women_in_economic_decision-making_christine_lagarde_8414041294-845x475.jpg

    Marc Rousset

    17,8 % de hausse pour le CAC 40 depuis le 1er janvier 2019. L’AMF, gendarme de la Bourse de Paris, redoute une correction sur les marchés financiers : « Le ralentissement économique et les incertitudes politiques »sont toujours présents et l’extrême faiblesse des taux qui laisse peu de marge de manœuvre aux banques centrales incite à l’endettement avec risque accru d’insolvabilité.

    Les mauvaises nouvelles en économie, suite aux actions correctrices des banques centrales, deviennent de bonnes nouvelles pour les boursiers, et inversement. Le monde boursier marche sur la tête. C’est ainsi que la bonne nouvelle de 224.000 emplois créés aux États-Unis, alors que l’attente était de 160.000, a fait très légèrement reculer, ce vendredi 5 juin, le CAC 40, le Dow Jones, le NASDAQ et le S&P. Tout comme Trump, les boursiers se réjouissent des taux d’intérêt bas générateurs de profits et d’un dollar faible qui permet d’exporter davantage.

    Lagarde arrive à la BCE avec la réputation d’une colombe habile, politicienne qui sait bien naviguer, toujours bien orientée dans le vent. Elle est entrée dans la combine Tapie pour plaire à Nicolas Sarkozy et a réussi le tour de force d’être condamnée (pour négligence) sans être condamnée car la cour avait jugé que sa réputation internationale plaidait en sa faveur. La réalité, c’est que Lagarde a un simple vernis en économie, suite à ses fonctions en France et à la tête du FMI, mais fondamentalement, c’est une juriste qui s’appuie sur l’avis de ses collaborateurs car elle n’a aucune formation en économie, aucune expérience dans les politiques monétaires et n’a jamais dirigé une banque ou le moindre service bancaire opérationnel. Lagarde, c’est l’anti-Benoît Cœuré, Français hyper compétent, membre actuel du directoire de la BCE, qui a la malchance d’être un homme – nouvelle maladie du siècle.

    Lagarde ne fait que confirmer la politisation et la perte d’indépendance de la BCE face au tsunami financier qui se prépare à l’horizon. Lagarde sera, en fait, la responsable de la communication de la BCE pour bien-pensants. Les banques centrales sont prises au piège des taux négatifs et des assouplissements quantitatifs à gogo. Sa mission consistera à endormir les foules, accorder des prêts LTRO aux banques italiennes insolvables, poursuivre la politique laxiste monétaire actuelle jusqu’à ce que tout explose. Lagarde a tout à fait sa place au milieu des absurdités de la théorie monétaire moderne.

    Lagarde va imprimer de plus en plus de monnaie avec, comme contrepartie à l’actif de la BCE, le rachat d’obligations pourries des États, des banques et des entreprises en Europe. Lagarde va exceller à repousser l’explosion, mais elle sera le dos au mur, complètement désarmée si, malgré tout, la récession s’accroît dans le monde.

    On risque, en fait, d’assister à un schisme au sein de la zone euro. D’un côté, les partisans de la baisse des taux d’intérêt négatifs de dépôts par les banques à la BCE de -0,4 % à -0,5 %, la reprise de l’assouplissement quantitatif au premier trimestre 2020. De l’autre côté, l’Europe du Nord et l’Allemagne, dont la dette publique est inférieure à 60 % du PIB, mais aussi tous les épargnants européens laminés et spoliés par la baisse des taux, ainsi que les banques européennes dont les marges sont tout autant laminées avec la politique des taux zéro. Chaque émission de monnaie supplémentaire par Mme Lagarde devra être considérée comme une destruction supplémentaire de la valeur de la monnaie euro, un baril de poudre supplémentaire susceptible d’exploser le jour J ! L’économiste de renom Jean-Luc Ginder, dans Le Huffington Post, n’a pas hésité à parler d’« une crise à venir trente fois plus puissante qu’en 2008 ».

    En 2011-2012, la Grèce empruntait à 33 %, contre 2,8 % aujourd’hui, l’Italie à 7 %, contre 1,85 % aujourd’hui, tandis que l’Allemagne et la France en quasi-faillite, avec un endettement du PIB à 100 %, empruntent à des taux négatifs pour la première fois de leur histoire. Tout cela se terminera par l’effondrement de la monnaie et du Système, la ruine des épargnants, Mme Lagarde étant toujours à la tête de la BCE après avoir simplement retardé le plus longtemps possible le moment de l’explosion.

     
  • LAETITIA AVIA A-T-ELLE UNE DENT CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION ?

  • Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

     
    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

    De Bernard Antony :

    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger et des autres grandes villes d’Algérie pour « fêter », avec les formes motorisées de la fantasia, une victoire de l’équipe de France de fouteballe ? Et si, un très grand nombre des plus excités de ces supporters s’avisaient de briser des vitrines, de piller les magasins et d’incendier des dizaines de voitures ? Et si, de plus, cela se produisait le jour de la célébration de la fête nationale algérienne ?

    On imagine sans mal les réactions :

    – des Algériens bien sûr, qui d’ailleurs ont été très fellaghalement éduqués à commémorer ce jour (1er novembre 1954) sans aucune repentance de ce qu’en fut l’atroce réalité, à savoir des assassinats de pieds-noirs et de musulmans patriotes français,

    – de la police et des autorités judiciaires algériennes : les casseurs et incendiaires, de surcroît jugés comme traîtres puisque brandissant des drapeaux français, ne seraient pas prêts de sortir de prison avant des mois, des années et peut-être pas vivants…

    Mais c’est bien la peine pour l’État français d’organiser un beau défilé du 14 juillet avec notre admirable armée et d’inaugurer la veille à Cherbourg le premier d’une série de sous-marins ultra-perfectionnés alors que tant de rues sont livrées à la faune de casseurs, de pillards et d’incendiaires algériens brandissant, conquérants, leurs drapeaux.

    On imagine comment seraient traités de pareils transgresseurs de la paix civile en Russie, aux États-Unis, en Israël ou au Japon…

    La politique qui s’impose à l’égard de ces vandales tient en deux mots : « dedans ! », puis « dehors ! ». D’abord « dedans », c’est-à-dire « au trou » après les justes condamnations qui s’imposent pour saccages, vols et incendies. Ensuite « dehors », c’est-à-dire à leur sortie de prison le renvoi dans leur si prospère Algérie de tous ceux parmi ces délinquants ayant la nationalité algérienne, étant donné que dans les cas très fréquents de doubles nationalité, ils doivent être déchus de la nationalité française.

    Quand donc s’exprimera à la tête de l’État la détermination d’en finir avec les barbares de « Nique la France » ?

    Lire la suite

  • Un 14 juillet placé sous le signe de l’invasion

    Quel pays accepterait que le centre de sa capitale et de ses plus grandes villes soit ravagé par les supporters d’un pays étranger ? Un seul au monde, peut-être, la France.

    Le Rassemblement national, après la casse de jeudi, avait pourtant demandé au gouvernement d’interdire aux supporters algériens de venir sur les Champs-Elysées. On se doutait que le risque était que ces derniers ajoutent le plaisir du pillage au plaisir de la victoire, dans le match Algérie-Nigéria. Ces manifestations violentes derrière le drapeau algérien avaient l’allure de provocations en haine de la France. Les Champs-Elysées avaient vu le matin même le défilé de nos troupes, puis des tensions avec les Gilets jaunes, mais derrière le drapeau tricolore, quand même. L’invasion de la même avenue par des masses étrangères, et cette marée de drapeaux algériens était une vision parfaitement insupportable.

    Des violences, nous y avons eu droit, à nouveau, non seulement sur les Champs, à partir de 2 heures du matin environ (25 arrestations), mais aussi à Marseille vers la Porte d’Aix, où des bandes masquées ont affronté la police jusque tard dans la nuit, et à Lyon ainsi que dans plusieurs communes de sa banlieue. Dans le Rhône, de très nombreuses voitures ont en outre été incendiées. Lundi matin, les médias officiels s’efforçaient de minimiser la casse, mais les images étaient là, et on commence à se demander ce que peut nous réserver la finale.

    Délinquants à double titre

    L’invasion algérienne des Champs-Elysées n’est pas le seul évènement à avoir gravement terni les cérémonies. Nous avons en effet assisté, le vendredi soir précédant ce week-end du 14 juillet, à l’assaut du Panthéon par 400 à 700 immigrés clandestins. Ces hommes étaient encadrés par des militants (blancs) d’extrême gauche, réunis au sein de divers collectifs, des collectifs bénéficiant de financements eux-mêmes étrangers. Envahissant cette ancienne église du quartier latin, volée à l’Eglise par la Révolution, et transformée en mausolée pour les grandes figures du système, ils ont occupé les lieux jusqu’au soir, chassant les touristes du quartier. Ces envahisseurs étaient délinquants à double titre : ils n’avaient aucune qualité pour séjourner dans notre pays. En outre ils s’étaient emparés d’un bâtiment public, qu’ils ont donc occupé plusieurs heures. Pour moins que ça, des mouvements identitaires ont été dissous, et des militants condamnés à de la prison ferme. L’objectif des doubles délinquants : « obtenir des papiers et des logements pour tous ».

    Certes ils n’ont pas profité de leur séjour pour violer le cercueil de Simone Veil ou de quelques autres panthéonisés, mais même s‘ils l’avaient fait, nul doute que des circonstances atténuantes leur auraient été trouvées.

    La manifestation s’est poursuivie à l’extérieur du bâtiment. Ils ont reçu le soutien d’élus mélenchonistes et de militants écologistes. Evidemment, à plusieurs centaines, et certains de leur impunité, ces commandos peuvent réitérer sans problème leurs actions. 37 arrestations ont été opérées, au cours des affrontements, mais « uniquement pour vérifier les identités », ont pris la précaution de préciser les autorités, trop inquiètes de voir dégénérer une situation qu’elles reconnaissent ne plus être capables de maîtriser.

    Emeutes d’Africains par ici, d’Algériens par-là, c’était un 14 juillet classique, unissant les Français dans la ferveur républicaine, en somme.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 15 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • 1, 2, 3, viva l’Algérie ! – Journal du lundi 15 juillet 2019

    1, 2, 3, viva l’Algérie !

    Alors que les deux derniers matchs de l’Algérie ont donné lieu à des scènes de violences et de pillages, les supporters des fennecs ont remis ça dimanche soir lors de la qualification de leur équipe de coeur pour la finale de la coupe d’Afrique des Nations. Un scénario qui laisse présager le pire en cas de victoire vendredi prochain.

    Un 14 juillet délicat pour Macron

    La fête nationale n’a pas été de tout repos pour Emmanuel Macron. Alors que la crise des Gilets Jaunes se poursuit, un comité d’accueil était au rendez-vous pour huer le président et faire du rassemblement une nouvelle tribune de la colère.

    Union Européenne : cordon sanitaire contre les eurosceptiques

    Le Rassemblement National et ses alliés du groupe Identité et Démocratie n’auront pas de responsabilités institutionnelles à Bruxelles. Un revers après les bons résultats électoraux… mais qui peut également s’avérer être un atout pour l’avenir.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/can-les-fennecs-sement-le-chaos-journal-du-lundi-15-juillet-2019