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  • UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques – Journal du lundi 20 mai 2019

     

    UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques

    Influence supposée des Etats-Unis et de la Russie dans les élections européennes, démission du premier ministre nationaliste autrichien… la dernière semaine avant les élections européenne est l’occasion d’une grande offensive contre les mouvement patriotes et populistes.

    Nick Conrad réitère sa haine de la France

    Nouvel appel à la haine pour Nick Conrad. Quelques mois après avoir incité à prendre des blancs, le rappeur de Seine-Saint-Denis a dévoilé sa nouvelle chanson dans laquelle il dit “baiser la France”. Face à ses nouvelles provocations, le ministre de l’Intérieur a saisi le procureur de la République.

    Eurovision : le triomphe de la normalité ?

    Après des semaines de propagande pour faire accepter le candidat français Bilal Hassani, le verdict de l’Eurovision est tombé : les votants ont finalement préféré une chanson ordinaire sans revendication communautaire et un chanteur non travesti. La fin d’un temps ? Peut-être bien !

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/ue-rassemblement-des-nationalistes-sur-fond-de-polemiques-journal-du-lundi-20-mai-2019

  • Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”

    Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :

    “Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.

    1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.

    Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.

    Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste.  C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”

    https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-ce-nest-pas-a-nous-de-decider-qui-est-digne-de-vivre-ou-de-mourir-mais-cest-a-nous-en-revanche-de-prendre-soin-des-plus-faibles-et-dependants-dentre-n/

  • Femmes voilées en sortie scolaire : Blanquer se couche, Schiappa se prosterne

    Le 15 mai dernier, au Sénat, la majorité LR a fait voter un amendement à la loi Blanquer sur « l’École de la confiance » interdisant les signes religieux ostentatoires lors des sorties scolaires. 
    Le ministre s’est dit favorable à la neutralité religieuse dans ce genre de circonstances, mais le gouvernement a voté contre cet amendement qui clarifierait les choses, fixerait une ligne, une frontière et, surtout, permettrait de protéger les directeurs et directrices d’école.
    Seulement voilà, il y a un électorat musulman et des associations islamiques très actives qu’il ne faut pas mécontenter, surtout à la veille des élections.
    Le ministre s’est encore une fois réfugié derrière ses arguments habituels : ce serait « contre-productif », il préfère une approche « pragmatique ».
    En clair : la soumission.
    Depuis décembre 2017, on savait que Jean-Michel Blanquer s’était couché devant le voile islamique.
    L’École que nous prépare M. Blanquer et sa philosophie molle à l’égard de l’islam ne sont pas celles de la confiance.
    Et encore moins du courage.
    Vous pensez que j’exagère en parlant de soumission à l’égard des associations musulmanes ?
    Que nenni.
    L’inénarrable Marlène Schiappa vient d’en donner une confirmation stupéfiante.
    Devant l’agitation suscitée sur les réseaux sociaux de la communauté musulmane par cet amendement qui ne faisait que rappeler et renforcer l’exigence de neutralité religieuse dans les activités de l’école publique, le ministre à l’Égalité entre les femmes et les hommes a répondu par un tweet.
    Petit extrait de cette soumission ordinaire avec ce dialogue entre AssoLallab et le ministre Schiappa :
    « Bonjour @MarleneSchiappa nous espérons une condamnation de cet amendement de votre part. Ce dernier discrimine et marginalise clairement une partie de la population : les femmes et notamment les mères de familles.
    – Bonjour, J’y suis personnellement opposée (discrimination) et je pense qu’il sera supprimé en CMP ou à l’Assemblée nationale. »
    Comme c’est touchant, ce dialogue matinal entre femmes : quelle gentillesse, quelle confiance, on dirait presque un épisode de Charlotte aux fraises au Fraisi-Paradis.
    Ben oui, la loi s’intitule « Pour une École de la confiance », et certains l’ont bien compris.
    Au moins, les choses sont claires : avec Blanquer et Schiappa, la confiance – pardon : la soumission – est en marche au sein de l’École publique.
    Frédéric Sirgant

  • Tribune libre : Les libéraux et le travail : hypocrisie ou ignorance ?

    4030241506.jpgFranck Abed, essayiste

    En utilisant le principe de réalité auquel je suis très attaché, force est de constater après plusieurs années d'expérience que les libéraux rencontrés au cours de mes différentes activités, et qui sintéressent tous de près ou de loin aux questions intellectuelles et politiques, sont le plus souvent, des rentiers, des fonctionnaires, des héritiers. Concrètement, il sagit dindividus qui ne connaissent pas linsécurité matérielle et financière, le chômage ainsi que la précarité de lemploi. Dans ces conditions, il y a une certaine tartuferie à parler du travail et de la condition ouvrière quand on na jamais porté un carton de sa vie. Ecrire cela ne constitue pas une attaque ad hominem. Il sagit tout simplement dun constat. Il suffit d’étudier le parcours des grands libéraux contemporains pour valider ou non mon propos

    En se basant sur celui-ci, je remarque donc que les libéraux et les communistes constituent les deux faces dune même pièce. En effet, les communistes - lecteurs assidus de Marx et Engels pour les plus sérieux dentre eux - ne savent pas diriger des entreprises. Pourtant, ils passent leurs temps à expliquer aux entrepreneurs comment ils devraient agir. Au lieu de déclamer constamment ce propos telle une sentence irrévocable, créer des entreprises et les administrer comme bon leur semble serait plus judicieux que de donner des (mauvais) conseils. Il est toujours plus facile dexproprier que de fonder

    Nous retrouvons chez les libéraux le même phénomène : parler dun sujet sans le connaître. Ils maîtrisent certes pour certains sur le bout des doigts les canons du libéralisme, car ils ont dévoré les ouvrages de Bastiat, Friedman, Hayek et Smith. Toutefois, les défenseurs de cette école de pensée ignorent les conditions de vie de la classe ouvrière, comme ils méconnaissent la dureté du travail salarié et les incertitudes professionnelles du lendemain. Malgré tout, ils veulent quand même nous éclairer de leurs lumières.

    Les libéraux évoquent beaucoup le travail et prétendent même vouloir le revaloriser. Derrière cette formule vague, aux relents de slogan politique, se cache une ambiguïté quils entretiennent volontairement. Nimporte quel travailleur ne peut quentendre favorablement cette notion de « revalorisation du travail ». Mais parler de revalorisation du travail reste en réalité, dans son expression, synonyme de « défendre des valeurs ». Effectivement, dans les deux cas il sagit de phrases courtes et percutantes. Elles peuvent même se montrer extrêmement séduisantes de prime abord. Cependant, elles ne masquent pas les manques, les incohérences, ni même les ambivalences qui les escortent.

    Etudions précisément la volonté des libéraux de défiscaliser les heures supplémentaires pour soi-disant « revaloriser le travail ». Ils nous exposent que cette mesure permet à « ceux qui travaillent plus de gagner plus », selon ladage sarkoyste bien connu. De fait, cette proposition esquive le point essentiel du sujet : les travailleurs ayant recours aux heures supplémentaires agissent ainsi parce que leur salaire mensuel savère bien trop bas pour faire vivre correctement leur famille. Ils sont donc obligés de sacrifier du temps personnel et donc familial pour recevoir en échange une paie un peu plus convenable. Par conséquent, les « faire travailler plus pour les payer plus » sapparente en somme à une dévalorisation de leur travail journalier. Cela signifie bien sûr que le salaire reçu ne leur permet pas de vivre décemment, mais surtout et plus profondément que leur labeur quotidien ne se trouve pas valorisé à sa juste valeur. Difficile en effet d’être motivé chaque jour pour accomplir une tâche, à partir du moment où on a connaissance que celle-ci pourrait être payée plus, non pas en fonction de sa nature propre mais selon le contexte fiscal. Sans compter que ces heures supplémentaires pourraient rendre heureux un chômeur. Mais comme chacun sait « tous les chômeurs sont fainéants » …

    Le souhait de réduire les cotisations patronales participe également de cette ambivalence insupportable, car leur baisse ne valorise pas le travail mais le capital. Je ne suis pas contre la valorisation du capital, bien au contraire, sous réserve que celle-ci ne relève pas de la pure spéculation en se trouvant complètement déconnectée dune valeur réelle, concrète et « objective ». En revanche, je napprécie guère que les libéraux en arrivent à justifier une idée ayant des attendus différents de ceux qui sont affichés. Dans la plupart des entreprises, il y a dun côté les propriétaires, les actionnaires et de lautre les employés. La rhétorique est bien connue : les premiers - au choix - prêtent, louent, mettent à disposition des locaux, des machines, une marque, pendant que les seconds y travaillent et reçoivent un salaire - bien souvent trop faible en comparaison de leur investissement - déduits dun tas dimpôts servant à alimenter le Tonneau des Danaïdes. Sur le principe, les frais déduits de la fiche de paie reçue par les employés servent généralement à financer les aides sociales et les frais de santé auxquels ils ont recours, et leur redistribution nationale. Concrètement, la baisse des cotisations patronales profite donc « aux patrons » et non aux salariés, car loin daugmenter les salaires elle valorise, sans coup férir, le capital bien trop souvent mal redistribué. Clamer « on va baisser les cotisations patronales » dans le but daider les employéà gagner plus savère un mensonge économique.

    Certes, ils nous rétorqueront sûrement que les chefs dentreprise prennent des risques en investissant des capitaux (propres ou non). Ceci est parfaitement vrai ! Mais quils arrêtent de ne voir quune des deux faces de la même pièce. Les risques sont partagés. Louvrier montant sur des échafaudages pour réaliser des travaux de maçonnerie ou pour remplacer des tuiles sur un toit, lemployé œuvrant dans un entrepôt pour déplacer des produits chimiques, lagent de sécurité surveillant des immeubles ou protégeant des personnalités, etc., prennent également des réels risques qui pour le coup ne sont pas financiers. Dans le cas dune maison, celle-ci est-elle construite par les capitaux ou par les maçons ? En définitive, la valeur ajoutée doit-elle être définie par largent ou par le travail ? Je suis intimement convaincu quil savère impératif de revaloriser le travail et surtout le résultat du travail. Quant à ceux qui « permettent » le travail, ils possèdent le plus souvent déjà énormément

    Tout travail ne repose pas que sur du capital financier, et heureusement. Le militaire au service du pays faisant le sacrifice de sa vie ne se lève pas chaque matin en étant animé par une quelconque augmentation de capital. Les nourrices et toutes les assistantes maternelles accomplissent un vrai travail, me semble-t-il. Néanmoins, la notion de « capital » est ici aussi inexistante. Je mentionne également tous les enseignants de France et de Navarre transpirant du lundi au vendredi (parfois le samedi) pour transmettre aux enfants des connaissances et des savoirs. Tout ceci ne rapporte aucun argent à quelque « capital » que ce soit.

    Il nest pas question pour moi de défendre lesprit soviétique en expliquant que les entreprises doivent être dirigées par lensemble de ceux qui y travaillent. Lhistoire a montré que ce genre didée tourne très aisément très mal. Le chapelet de morts provoqué par les expériences collectivistes est là pour nous le rappeler. Nulle tentation pour moi de défendre lidée que le capital devrait être redistribué aux uns et aux autres sans prendre en compte une notion essentielle à mes yeux : le mérite. Simplement, j’écris que depuis trop dannées les salaires versés en France sont bien trop bas, car le travail nest pas valorisé à sa juste mesure. A force de trop tirer sur la corde, elle finit toujours par casser. Que les financiers internationalistes et autres libéraux ne tiennent pas pour éternellement acquise la situation dans laquelle nous sommes. Ils risquent de sen mordre les doigts quand les chaînes de lesclavage se briseront.
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  • En plein ramadan, un commando de femmes en burkini investit une piscine de Grenoble en toute illégalité

    femme-burkini-piscine.jpgA Grenoble, une dizaine de femmes musulmanes sont allées se baigner en maillot de bain couvrant, alors que le règlement l’interdit. Elles se sont baignées une heure malgré les injonctions de sortir.
    Il y a quelques mois, j’avais été scandalisé par la présence d’une femme en burkini dans la piscine municipale que je fréquente, près de Toulouse, et par l’absence de réactions alors qu’avec ses vêtements en tissu plus qu’amples, elle prenait le frais dans le bassin réservé aux enfants en général et aux PMR (en fauteuil roulant). Depuis, la réponse apportée par le responsable a consisté à étirer le maillot de bain une ou deux pièces cité dans le règlement jusqu’au maillot de bain intégral, sans statuer sur la violation de la laïcité, second argument – et pas des moindres – que j’évoquais, après l’hygiène évidemment.
    La semaine dernière, on est allé plus loin encore, à Grenoble : une dizaine de femmes musulmanes sont allées se baigner en maillot de bain couvrant, alors que le règlement l’interdit. Elles se sont baignées une heure malgré les injonctions de sortir. C’était une action militante délibérée et soutenue par une association subventionnée. Elles ont imposé le burkini.
    Ceux qui les soutiennent précisent que, 65 ans après Rosa Parks, qui a désobéi aux règles interdisant aux Noirs de s’asseoir dans certaines parties du bus, elles utilisent la désobéissance civile pour les droits des femmes musulmanes en France. Pour le porte-parole de l’alliance dite citoyenne , « l’accès aux piscines publiques est notre premier combat mais nous continuerons avec le salles de sports, les entreprises, les médecins qui refusent les femmes voilées ».
    Consternant de voir, en premier lieu, que la loi ne s’applique pas à tous, et que les règlements sont faits pour les autres mais pas pour elles. Essayez donc d’aller vous baigner en short dans une piscine, ou avec un sous-pull manches longues car votre peau est fragile, par exemple.
    Consternant de voir, aussi, que bafouer la laïcité, et la loi de 1905, est aussi facile pour certaines qu’interdit pour d’autres. Il faudra ajouter le « deux poids deux mesures » dans le préambule de la Constitution.
    Enfin, comparer la cause des femmes noires, qui appelaient à la désobéissance civile pour avoir le droit de s’asseoir dans un bus, est nauséabond, car la couleur de peau ne se choisit pas, le combat de ces femmes noires était juste et constituait une aspiration à l’égalité, non à la différence, et ne cherchait aucunement à imposer une idéologie. Or, personne n’empêche ces femmes musulmanes d’accéder à la piscine, elles ne subissent aucune discrimination, le choix d’une religion restant personnel et devant, dans la République laïque, se soumettre aux lois et règlements en vigueur : dans le cas présent, on ne se baigne pas, ou bien on se baigne sans voile ; beaucoup de femmes musulmanes se baignent d’ailleurs en piscine, et on n’y voit que des baigneuses, qu’elles soient chrétiennes, protestantes, juives, bouddhistes ou athées. Le vivre ensemble ne consiste pas à affirmer sans cesse sa différence et à porter sa religion en étendard partout, mais à savoir, dans les lieux publics, dans un pays laïque, la laisser aux vestiaires.
    La médiocrité de ce combat pervers ne rend pas service à la mixité des religions qui, en dehors de l’islam, en France, restent à leur place.
    La liste musulmane, rajoutée in extremis, aux européennes, et validée par je ne sais quel grand mystère, relève du même anachronisme, qui tend à communautariser la France au lieu de réunir les différences, en commençant par respecter la loi, et celle de 1905 en particulier.
    Ma piscine préférée, c’est celle où il n’y a que des baigneurs et des baigneuses… C’est une piscine républicaine. Mais, visiblement, la République est en train de renoncer à ses valeurs. Et pas qu’à la piscine.
    Michel Bickel pour bvoltaire.fr
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  • Tulle renferme, comme ailleurs, son inévitable quota de bisounours garantis pure acrylique.

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    Une cinquantaine au dernier recensement.
    Tous se sont réunis devant la préfecture de Corrèze pour protester contre l’expulsion d’un ancien pirate somalien tout juste sorti de prison, après huit années passées à l’intérieur.
    Le bien nommé Mohamed Mousse (!) Farah avait été condamné pour sa participation à l’attaque d’un catamaran, suivie de l’assassinat du capitaine et de la prise en otage de son épouse.
    Bisou, bisou…
    Main sur le cœur, l’une des peluches opposées au renvoi du personnage, entonne sa comptine préférée : « Ca fait partie des droits de l’homme ».
    Et ron et ron petit patapon.
    La famille brisée par l’attaque ne figure pas dans la liste.
    L’effaceur de casier judiciaire ajoute : « Ce jeune a purgé sa peine, il a donc droit comme tout condamné à avoir la liberté et à faire exercer son droit d’asile.”
    Toute la compassion pour l’ex-flibustier est contenue dans l’expression « Ce jeune »…
    Un bon p’tit gars.
    Avec son CV, il trouverait un emploi sur un bateau-mouche !
    Le romantisme du bisounours s’active de préférence pour la souffrance lointaine.
    L’injustice exotique est son royaume.
    En rupture de mouchoirs pour la supposée victime venue d’un pays chaud, l’humaniste bobo enjambe le SDF, lui emprunte son carton sur lequel est inscrit « Une pièce pour manger », écrit au dos, en patois corrézien : « Welcome refugees » et se précipite sur les lieux du drame.
    Le sort du tiers monde est entre ses mains.
    Il fera barrage de son corps, se privera de tiramisu s’il le faut mais le Somalien restera là.
    Et puis, oser expulser un Africain dans la ville où règne « Sa rondeur Bisounours 1er » est un scandale puissance douze.
    Le saint homme, assisté de trois nains qui l’éventent en permanence, répand la bonne parole sur la population, bénit les fidèles, lance l’incantation du soir à la gloire du dieu Joey Starr.
    Il pourrait fuir, épouvanté par tant d’inhumanité.
    Migrer vers d’autres contrées…
    Emporter dans ses bagages toute la bonne conscience de la commune…
    De la préfecture assiégée par ces militants tout droit sortis de la collection Harlequin, le maître des lieux a expliqué que la demande d’asile avait été refusée par l’OFPRA (Office français des réfugiés et apatrides) notamment « parce qu’il n’a pu apporter la preuve que sa vie était menacée en Somalie ». La représentante du groupe CIMADE de Peyrelevade argumente avec vigueur : “Il a donné des noms, il a expliqué ce que chacun faisait dans le bateau, il a donné les noms des chefs”.
    Sous entendu, un comité d’accueil « spécial balance » l’attend de pied ferme.
    La Peyrelevadoise est en émoi.
    De toutes les violences du monde, celle qui pourrait se produire sur un individu à 6.000 km de son clocher la renverse.
    Résultat d’un tirage au sort ?
    D’une tombola ?
    La roue ne s’est pas arrêtée sur la case « agressions et meurtres commis par des migrants sur le sol européen ».
    Peut-être la prochaine fois.
    À la prochaine kermesse.
    Jany Leroy
  • Grand remplacement : « la France c’est pas aux Français », « toute l’Afrique a le droit d’être ici »

    Grand remplacement : « la France c’est pas aux Français », « toute l’Afrique a le droit d’être ici »

    Plusieurs centaines d’immigrés clandestins ont envahi le terminal 2 de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, dimanche 19 mai, à l’appel du collectif La Chapelle debout.Ce collectif dénonce les expulsions de personnes en situation irrégulière et indique :

    “Ce lieu est avant tout une frontière, sans murs ni barbelés. Pourtant elle marque des corps”.

    Une délégation de “gilets noirs” (sic) a été reçue par des responsables de la compagnie Air France, à laquelle ils demandent de “stopper toute participation financière, matérielle, logistique ou politique” à ce qu’ils désignent comme des “déportations”.

    Un immigré soudanais et son traducteur déclarent que « la France c’est pas aux Français » et que « toute l’Afrique a le droit d’être ici ».

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  • Une prison mentale nommée Facebook

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    Ce n’était qu’une question temps comme je l’écrivais dans le quotidien Présentavant que la Fédération des Québécois de souche ne soit victime de la censure sur le réseau FacebookPersona non grata au Parlement de Québec à cause d’idées « non-parlementaires », la Fédération est désormais dans le collimateur des censeurs, ce qui fera plaisir au nébuleux organisme Canadian Anti-Hate Network qui avait demandé dans le New York Times au réseau social de sévir contre la Fédération. Cette semaine, c’était au tour du réseau gouvernemental CBC d’exiger la censure des groupes québécois sur les réseaux sociaux.

    Pour le moment, Facebook accuse la Fédération de propagande haineuse à cause de la publication d’un lien présentant diverses statistiques sur l’immigration de masse accompagné du commentaire : « L’aspect invasion de l’immigration est de plus en plus indéniable. » On n’explique pas en quoi celle-ci fait la promotion de la haine. Il s’agit d’une critique du système d’immigration, ce qui est tout à fait légal, même au Canada de Justin Trudeau où justement l’immigration fait les manchettes depuis quelques semaines. Il faut le noter, ni la Fédération, ni ses membres n’ont été reconnus coupables, ou même accusés de propagande haineuse. Facebookfait du zèle au niveau de la censure.

    Mais ça, rien de nouveau.

    La semaine dernière, le chroniqueur laïciste Richard Martineau du Journal de Montréal, avait été censuré pour avoir osé dire que seule une femme pouvait accoucher. Commentaire évidemment hautement « transphobe » qui valut au haineux personnage une punition d’une semaine loin des réseaux sociaux.

    Début avril, c’était la commentatrice et youtubeuse conservatrice Faith Goldy qui avait été expulsée de Facebook suite aux nouvelles politiques mises en place par le géant du Web pour combattre le « nationalisme blanc », en réaction aux attaques de Christchurch. Par contre, on pourrait noter qu’après les attaques hautement plus meurtrières de Pâques au Sri Lanka, aucune mesure du genre ne fut prise. On ne se décida pas à bannir quiconque faisait la promotion du voile ou de la Charia, alors qu’on cible toute personnalité conservatrice ou nationaliste à cause de la tuerie néo-zélandaise. La censure est à sens unique.

    Le danger de la politique liberticide de Facebook n’est pas tant pour ceux qui sont exclus que pour ceux qui restent. Les gens comme Faith Goldy n’ont pas besoin des réseaux sociaux et ne cesseront pas d’être qui ils sont ou de dire ce qu’ils disent parce qu’ils ont été expulsés du réseau social. Ils se trouveront d’autres moyens d’expression et rejoindront, avec peut-être plus d’efforts, un public intéressé. La menace pèse sur ceux qui restent.

    Il y a un an, Facebook s’en prenait au « suprématisme blanc », puis cette année au « nationalisme blanc ». Dans les deux cas, il s’agit de termes vagues qui permettent à Facebook d’exercer un contrôle sur les commentaires et d’éviter toute critique, car lorsque quelqu’un est banni, personne n’oser venir le défendre, car ce serait s’associer au « suprématisme blanc ». L’usage de ce terme a comme objectif de sidérer les adversaires tout en se donnant un air vertueux. Mais, on constate qu’il y a une gradation théorique. La guerre aux « suprématistes » fait maintenant place à la lutte aux « nationalistes ». Et est « nationaliste blanc » quiconque, soit-il blanc, jaune ou noir, qui remet en question les politiques migratoires mises en place par les traîtres qui ne pensent pas à l’avenir et au bien-être des peuples qu’ils gouvernent.

    Cette gradation relève de la stratégie du saucisson ou de la grenouille dans l’eau chaude. C’est par petits pas que la liberté d’expression est assassinée. Si du jour au lendemain on avait annoncé que toute critique de l’immigration était illégale, il y aurait eu une levée de boucliers et des dénonciations. Mais en y allant goutte par goutte, on rend la chose moins révoltante et on évite la contestation.

    Le danger à long terme, c’est que ceux encore présents sur les réseaux sociaux risquent de modifier leur discours pour s’adapter aux nouvelles règles arbitraires mises en place par l’équipe de Zuckerberg. On évite de parler d’immigration, on recule pour garder le droit de s’exprimer sur les réseaux sociaux sans comprendre qu’on a le droit de parler, mais qu’on ne peut plus rien dire. Ce contrôle du discours n’est pas sans rappeler la philosophie derrière l’imposition de la novlangue dans le prophétique roman d’Orwell.

    D’ailleurs les comparatifs entre Facebook et Big Brother, qui épie, surveille, note, endoctrine, limite la parole, sont trop évidents pour qu’il vaille la peine de les énumérer ici.

    Être banni de ces réseaux n’est pas une mort sociale, loin de là, c’est un premier pas pour retrouver notre liberté de dire que 2 et 2 font 4.

    Rémi Tremblay

    • D’abord mis en ligne sur EuroLibertés, le 28 avril 2019.

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2019/05/15/une-prison-mentale-nommee-facebook-6150878.html

  • « Le terrorisme intellectuel s'amplifie en France » – LE BASTION SOCIAL CONTRE-ATTAQUE

  • Suite à l'inquisition de la Commission parlementaire : la conférence de presse de la Ligue du Midi et des Brigandes

    Le nouvel album CD des Brigandes :

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