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magouille et compagnie - Page 1154

  • La grande arnaque en débat

    pinochio-300x199.pngCe n’est pas faute de l’avoir dit, il est plus facile d’entrer dans l’Union Européenne que d’en sortir, quand bien même un Etat y aurait   posé un pied prudent et aurait  conservé sa monnaie nationale. Le Royaume-Uni en fait aujourd’hui l’expérience, tant il est vrai que le cas d’Albion, forcément perfide aux yeux  des Bruxellois les plus enragés, doit servir d’exemple et dissuader tous ceux  qui seraient tentés de s’en évader. A   J-17 avant la date officielle du Brexit, une large majorité de 391 députés britanniques (contre 242) ont infligé hier un nouveau désaveu cinglant à la pugnace Theresa May,  en rejetant son accord de rupture avec l’UE. Un nouveau vote aura lieu aujourd’hui qui jugera de la possibilité d’une sortie sans accord et demain ces mêmes députés devront se prononcer sur la proposition d’un report (limité) du Brexit. On admirera dans ce contexte ce tweet  de Michel Barnier, négociateur en chef pour l’Union européenne chargé de mener les négociations liées au Brexit, jouant le  registre de la bonne volonté et de la sincérité douloureuse: «L’Union européenne a fait tout son possible pour que l’accord soit adopté.  L’impasse ne peut être résolue qu’au Royaume-Uni. Nos préparatifs en vue d’une sortie sans accord sont maintenant plus importants que jamais.» Euronews rapporte pareillement les avertissements de Donald Tusk, le président du Conseil européen: «s’ils doivent demander le report du Brexit il faudra qu’ils  se justifient de manière crédible pour ne pas perturber le bon (sic) fonctionnement de l’Union européenne.»

    Telle est  l’actualité européenne qui sert de toile de fond aux derniers jours de  ce Grand débat national initié par Emmanuel Macron, lequel  doit officiellement s’achever vendredi. Grand débat ou plutôt grande arnaque  d’un représentant  d’un Système  aux abois qui a trouvé ce moyen, cette diversion,  au plus fort de la crise des Gilets Jaunes (mais le feu couve toujours)  pour gagner du temps, tout en affirmant qu’il ne dérivera pas du cap politique, économique et idéologique qui est le sien. Félicitons nous tout de même de ce que le  Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), saisi notamment par le Rassemblement National, ait officiellement confirmé lundi  sur son site que les interventions fleuves  de M Macron  dans le cadre du Grand débat (plus de 140 heures de prose élyséenne et jupitérienne ont été  diffusées sur l’ensemble des chaînes d’information!) seraient  décomptées  du temps de parole de l’exécutif. Voilà qui devrait également réjouir le juriste Régis de Castelnau, opposant de la première heure au nouveau monde macroniste   qui voyait dans ce  Grand débat, un «Macron Tour  »  de soutien à la liste LREM aux élections européennes,  «strictement illégal et qui  caractérise un comportement pénal. »

    Les Français, certes, ne sont plus dupes de grand chose.  Un récent  sondage Ifop-Fiducial indique que 62% des personnes interrogées  pensent qu’Emmanuel Macron et le gouvernement ne prendront pas en compte les propositions et demandes formulées par les Français dans le cadre du grand débatEt BFMTV notait hier que les  cinq  garants  désignés du grand débat (Jean-Paul Bailly, Nadia Bellaoui, Guy Canivet, Isabelle Falque-Pierrotin, Pascal Perrineau) «ont déploré ce mardi les interventions répétées d’Emmanuel Macron et des membres du gouvernement dans la consultation, qui ont selon eux pu renforcer la méfiance des Français (…). Il était peut-être utile qu’il y ait une communication présidentielle et gouvernementale importante au début du processus pour mobiliser les citoyens, a souligné (le politologue) Pascal Perrineau au cours d’un point de presse du collège des cinq garants. Mais, la manière dont ça s’est prolongé a pu contribuer, après avoir mobilisé, à entraver la mobilisation. » Bref, autrement dit, cette manœuvre  a manqué singulièrement de finesse.

    Pascal Perrineau, est-il dit encore,  a souligné à ce propos «des difficultés pour rassembler ces échantillons de citoyens dans certaines régions. La participation moyenne pourrait, selon lui, se situer plutôt aux alentours de 50 à 70 citoyens par conférence au lieu d’une centaine prévue au départ.»  RT, citant ici un article du Parisien, a précisé par ailleurs, dixit un autre politologue, Jérôme Fourquet,  que «la France qui a participé à cette vaste enquête est celle qui a voté pour Emmanuel Macron au premier tour de l’élection présidentielle. Par voie de conséquence, il note des disparités entre la participation des départements les plus riches et celle des moins aisés (…) Aussi, le Grand débat initié par Emmanuel Macron, et organisé par le gouvernement en dehors d’un cadre indépendant (comme le souhaitait à l’origine la Commission nationale du débat public) semble être, d’abord, une affaire macronienne. La carte des non-contributeurs correspond à celle du non à Maastricht, résume par ailleurs Jérôme Fourquet qui constate une fracture civique et démocratique».

    Lors de l’émission 20 heures politique sur BFM hier soir, le sondage en ligne repris sur son compte twitter était sans appel et balayait d’un revers de la main les «10 000 réunions organisées, les 1,4 million de contributions récoltées en ligne et les 16 000 cahiers de doléances ont été remplis par des citoyens.». À la question posée aux auditeurs Etes-vous optimistes quant aux réponses que le gouvernement va apporter ? , 87% des sondés répondaient NON… Et Jean-Paul Bailly enfonçait le clou en estimant que le compte-rendu (du grand débat) ne sera pas un sondage représentatif de l’opinion des Français.»

    D’autant que la crédibilité de ce gouvernement, dans sa capacité à dire le vrai, a été très largement  anéantie par sa gestion de la crise des Gilets Jaunes. Déni pathétique du chef de l’Etat , infox, fausses nouvelles véhiculées à la tête de l’Etat et par ses relais,  diabolisation, reductio ad hitlerum, délires verbaux des Griveaux, Schiappa, Castaner…: des sommets dans la propagande mensongère à gros sabots ont été atteints.

    Laurent Dauré l’a (d)écrit longuement sur le site Les crises, «la synthèse des délires macronistes à propos des Gilets jaunes » parle d’elle même  : «il s’agit d’un mouvement de factieux néonazis incendiaires dont le mouvement est orchestré en sous-main par Stephen (dit Steve) Bannon, Vladimir Poutine et le gouvernement italien. La pensée complexe, ça décoiffe (…). Les médias dominants ont maintes fois condamné les Gilets Jaunes pour les fausses informations diffusées sur les réseaux sociaux, ils en ont proposé des compilations (quelques exemples : BFM-TV, France Inter, Le Parisien, TF1, CNews, RTL), en occultant presque systématiquement leurs pendants macronistes. Pourtant, si on prétend s’intéresser avec honnêteté et rigueur aux phénomènes des fake news et du conspirationnisme – qui ne sont pas récents –, il convient de se pencher aussi et peut-être même en priorité à l’abondante production du pouvoir..»

    Quitte en effet  à se pencher sur le sujet (bien réel) de la pensée conspirationniste et de son impact sur nos comportements, notamment électoraux, «On attend avec impatience des études sur la perméabilité de la petite et grande bourgeoisies à certaines théories du complot (en particulier sur la Russie), la spécificité de leurs biais intellectuels et la faible dilection des  classes éduquées  à l’égard de la démocratie. À ce sujet, on a pu constater que les médias dominants se sont abstenus de rendre compte d’une étude importante exposée dans le New York Times le 23 mai 2018 : « Les centristes sont les plus hostiles à la démocratie, pas les extrémistesDifficile de ne pas reconnaître le macronisme sous les traits de ce  centrisme totalitaire ».

    Difficile en tout état de cause  de croire encore aux lendemains qui chantent et de penser printemps. Et ce, affirme Bruno Gollnisch en cette période ou les défis qui attendent la France et les Français (ils vont atteindre leur taille critique dans les mois et les années  à venir),    certainement  les plus dangereux  que nous aurons à affronter depuis les commencements de notre longue histoire, commanderaient de rompre,  définitivement et urgemment , avec la  catastrophique utopie euromondialiste.

    https://gollnisch.com/2019/03/13/la-grande-arnaque-en-debat/

  • Marine Le Pen continue d'affirmer qu'un retraité français modeste est "moins bien traité qu'un migrant"

    marine-le-pen.jpgLa présidente du Rassemblement national affirme notamment que les migrants, "fraîchement débarqués" ou non, sont aidés en priorité au détriment des Français.
    "Je pense que les Français ont plus de droits que n'importe qui d'autre dans leur propre pays", estime Marine Le Pen.
    Invitée de BFMTV ce mardi matin, la présidente du Rassemblement est revenue sur l'injustice majeure que subiraient, d'après elles, les Français les plus modestes vis-à-vis des immigrés arrivant sur notre sol.
    "Il faut réserver la solidarité nationale, y compris en matière de logement, à nos propres compatriotes", a-t-elle déclaré, affirmant que la totalité des logements d'urgence était aujourd'hui attribuée aux "migrants fraîchement débarqués". 

    "Combien de retraités modestes, mais qui ont un petit capital, ne demandent pas le minimum vieillesse parce qu'ils veulent laisser quelque chose à leurs enfants? (...) Ils préfèrent vivre extrêmement chichement, en dessous (...) du seuil de pauvreté pour pouvoir laisser le petit capital qu'ils ont réussi à se constituer par leur travail durant toute leur vie à leurs enfants", estime Marine Le Pen.
    [...]
    En savoir plus sur bfmtv.com

    https://www.peupledefrance.com/2019/03/marine-le-pen-continue-daffirmer-retraite-francais-moins-bien-traite-quun-migrant.html#more

  • La BCE ouvre les vannes pour retarder l’explosion à venir

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    Par Marc Rousset    

    L’économie mondiale va tout droit dans le mur car elle ralentit en dépit du laxisme monétaire des banques centrales, de l’hyper-endettement et des déficits publics des États.

    Au terme de sa réunion du 7 mars 2019, la BCE vient de laisser ses taux directeurs inchangés à 0 % jusqu’à la fin de 2019, au lieu de l’été 2019, et même très probablement jusqu’à 2020. Elle s’engage également à réinvestir sur le marché obligataire l’intégralité des remboursements de titres arrivant à l’échéance déjà à l’actif de son bilan,« pendant une période prolongée après la date à laquelle elle commencera à rehausser ses taux » , ce qui, en langage clair, signifie : pas avant 2021 ! Il est même précisé :« aussi longtemps que nécessaire pour maintenir les liquidités favorables et un degré élevé de soutien monétaire », ce que l’on pourrait traduire par : « pour l’éternité ».

    Et, cerise sur le gâteau, pressentant l’explosion à venir du côté des banques et de l’État italien, la BCE va encore beaucoup plus loin que la Fed américaine. Elle s’engage à perpétuer, de septembre 2019 jusqu’à mars 2021, une série d’opérations de refinancement exceptionnels TLTRO (Targeted longer-term refinancing operations) à taux zéro, voire négatifs, pour sauver les banques européennes, et plus particulièrement italiennes, menacées de faillite immédiate. La BCE nous assure qu’elle n’est pas à court d’instruments, mais ses digues semblent bien fragiles face à l’endettement public et privé qui continue d’augmenter tandis que la croissance économique ralentit de la zone euro jusqu’à la Chine et au Japon.

    En réalité, la crise économique a déjà commencé depuis 2015, date du premier ralentissement de la Chine. La situation se dégrade lentement d’une façon inexorable, tout comme la grenouille dans la casserole d’eau froide qui ne prend pas conscience de la mort qui approche lorsque l’on augmente d’une façon faible mais continuelle la température. Suite au surendettement mondial, le cygne noir déclencheur peut apparaître n’importe où. L’OCDE vient de constater, par exemple, que la dette obligataire des entreprises dans le monde a doublé en dix ans et met en doute leur capacité à rembourser les obligations. Le ratio d’endettement mondial est de 318 % du PIB, soit 49 % de plus qu’avant le pic de la faillite de Lehman Brothers. Selon certains experts, l’épargne mondiale serait en train de s’assécher.

    Bruxelles presse Rome de redresser la barre « avec des perspectives économiques qui s’assombrissent » et « une dette publique qui ne devrait pas diminuer dans les années à venir », tandis que le revenu citoyen démagogique du Mouvement 5 étoiles est lancé. La mesure devrait profiter à 1,3 million de personnes pour un revenu de 421 euros. Le risque est de détourner du travail de nombreux bénéficiaires, d’alimenter le travail au noir et d’enrichir la mafia, très impliquée dans des activités de main-d’œuvre pas chère. Quant à la banque Carige, elle supprime un quart de ses effectifs, souhaite réaliser une augmentation de capital de 630 millions d’euros, mais a échoué à lever 400 millions.

    Les États-Unis, malgré la hausse de droits de douanes, affichent un déséquilibre commercial, en 2018, de 621 milliards de dollars tandis que le déficit commercial avec la Chine s’est aggravé à 419,2 milliards de dollars. La croissance chinoise, qui était de 14,2 % en 1992, sera de seulement 6,2 % en 2019. Le montant des prêts intérieurs chinois dépasse les 230 % du PIB. Les États-Unis ralentissent tandis que l’empire du Milieu s’essouffle et empile les dettes, avec 50 millions d’appartements inoccupés, soit 22 % du parc immobilier national. Les exportations japonaises de composants et robots vers la Chine ont diminué de 17,4 %, nonobstant les menaces douanières de Donald Trump aux États-Unis.

    Le monde entier est tombé dans le piège des taux bas et de l’argent gratuit. Quand l’argent n’a plus de prix, tout le monde s’endette ! La croissance ne repose plus que sur la dette et l’émission laxiste de monnaie par les banques centrales pour injecter des liquidités. Sans les banques centrales, l’épargne ne pourrait pas financer les déficits publics des États et les besoins d’investissement des entreprises. Les taux d’intérêt devraient être aujourd’hui à 20 % et non pas à 0 % ! Avec 250.000 milliards de dollars de dettes à travers la planète, 1 % d’augmentation des taux d’intérêt correspond au PIB de la France ; le remboursement devient donc impossible.

    Le monde et la zone euro sont entrés dans une période où les banques centrales ne peuvent plus remonter les taux, ce qui prendra fin par l’explosion du Système, l’hyper-inflation vénézuélienne et la perte totale de la valeur des monnaies, avec un seul survivant : l’or.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La grande mascarade du grand débat, par Ivan Rioufol

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    Le grand débat national s’achemine vers la grande débâcle annoncée (blog du 9 janvier). En dépit de la propagande d’Etat qui survend le “succès” de l’initiative présidentielle, les chiffres apportent un sérieux bémol à l’euphorie. S’il y a eu 1,4 million de contributions, elles ne proviennent que de 300.000 contributeurs. Cette faible participation, au regard des 46 millions d’électeurs inscrits, relativise l’auto-contentement d’Emmanuel Macron. D’autant que c’est une France “urbaine, favorisée et retraitée” qui s’est majoritairement exprimée, aux dires de Jérôme Fourquet (IFOP) : c’est-à-dire une population éloignée des préoccupations des Gilets jaunes, éléments déclencheurs de la manoeuvre élyséenne. 10.000 communes ont également ouvert 16.000 cahiers de doléances. 7000 réunions ont été tenues, sans qu’il soit possible de savoir si elles ont été suivies par beaucoup de citoyens.

    Au total, l’opération aura surtout été le prétexte pour Macron de s’inviter à plusieurs reprises, et sur la longueur, dans des débats encadrés et retransmis en direct sur les chaines d’information. Il a trouvé là l’occasion de se laisser aller à un one man show, en mettant en scène une incontestable maîtrise des dossiers techniques. Mais, trois mois après le lancement du grand débat, qui se termine cette fin de semaine, que faut-il retenir ? La semaine dernière, Macron a demandé à ses ministres de lui transmettre “des propositions le plus rockn’roll possible“. Cette infantilisation des enjeux laisse perplexe. La grande mascarade colle aux basques de la macronie.

    Le point de départ est, rappelons-le, de répondre à la révolte existentielle des Français oubliés. Quand, mardi dernier à Milan, Bernard-Henri Lévy dépeint les Gilets jaunes qui manifestent à Paris chaque samedi comme des types qui ne pensent qu’à “casser du flic, du juif et du pédé“, l’écrivain proche de Macron laisse voir sa profonde incompréhension de la révolte et sa rupture avec la France périphérique et rurale. Dans son outrance, incroyablement haineuse, BHL fait aussi comprendre que seule lui importe la défense du chef de l’Etat. Or cet esprit de meute est partagé par le reste de la cour. Elle se montre incapable d’entendre les critiques qui lui portées. Le désarroi du camp présidentiel s’observe aux crocs montrés par la garde rapprochée, mais aussi au manque d’imagination des politiques.

    Alors qu’une partie des Français réclame moins de taxes, d’impôts et de technocratie, le pouvoir ne cesse de raisonner en terme de fiscalité supplémentaire et d’usines à gaz. La dernière idée en date serait, selon le député LREM Cédric Villani entendu ce lundi matin sur Europe 1, d’augmenter les impôts pour les riches. Il n’était pas utile de faire tout ce tintouin pour en arriver à cette banalité démagogique. En fait. Depuis la première manifestation des Gilets jaunes le 17 novembre, rien n’a bougé. A la (bonne) question initiale posée par Jacline Mouraud à l’adresse de Macron : “Qu’est-ce que vous faites du pognon des Français ?“, aucune réponse n’a été apportée à ce jour. Oui, les prochaines semaines s’annoncent rockn’roll … pour Macron.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 11 mars 2019 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • 12 fausses nouvelles macronistes sur les Gilets jaunes

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    Tout est daté et extrêmement documenté si vous suivez les liens :

    Fake news n°1 : Les Gilets jaunes réunis sur les Champs-Élysées sont des séditieux d’ultradroite

    – Qui ? : Christophe Castaner (ministre de l’Intérieur)
    – Quand ? : 24 novembre 2018

    Fake news n°2 : Un Gilet jaune a fait un salut nazi sur les Champs-Élysées

    – Qui ? : Team Macron (un important compte Twitter semi-officiel dédié à la défense de la Macronie), Naïma Moutchou (députée LREM, rapporteur de la loi relative à la lutte contre les fausses informations)
    – Quand ? : 24 novembre 2018

    Fake news n°3 : C’est la peste brune qui a manifesté sur les Champs-Élysées

    – Qui ? : Gérald Darmanin (ministre de l’Action et des Comptes publics)
    – Quand ? : 25 novembre 2018

    Fake news n°4 : Des Gilets jaunes ont incendié le Musée du Jeu de paume

    – Qui ? : Team Macron
    – Quand ? : 1er décembre 2018

    Fake news n°5 : Plusieurs milliers de personnes vont se rendre à Paris pour casser et tuer

    – Qui ? : L’Élysée, Jacqueline Gourault (ministre de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales)
    – Quand ? : 5 décembre 2018

    Fake news n°6 : Steve Bannon a orchestré le mouvement des Gilets jaunes

    – Qui ? : Team Macron, Émilie Chalas (députée LREM), Coralie Dubost (députée LREM), Aurore Bergé (députée LREM, porte-parole du groupe à l’Assemblée nationale)
    – Quand ? : 5 décembre 2018

    Fake news n° 7 : Des comptes Twitter liés à la Russie attisent la révolte des Gilets jaunes

    – Qui ? : Différentes sources gouvernementales anonymes, Team Macron (comme nous l’avons vu dans la 1re partie, il s’agit d’un important compte Twitter semi-officiel dédié à la défense de la Macronie ; il a changé de nom en février et s’appelle désormais – de façon aussi pompeuse qu’usurpée – « Team Progressistes. »)
    – Quand ? : 8 décembre 2018

    Fake news n° 8 : Le SMIC va augmenter de 100 euros en 2019

    – Qui ? : Emmanuel Macron (président de la République), puis l’ensemble de la macronsphère
    – Quand ? : 10 décembre 2018

    Fake news n° 9 : Le mouvement des Gilets jaunes n’aurait pas existé sans BFM

    – Qui ? :Emmanuel Macron, Richard Ferrand (député LREM, président de l’Assemblée nationale), Team Macron
    – Quand ? : 26 décembre 2018

    Fake news n° 10 : Des Gilets jaunes ont mis le feu à des voitures devant les locaux du Parisien et des Échos

    – Qui ? : Richard Ferrand, Hugues Renson (député LREM, vice-président de l’Assemblée nationale), Olivia Grégoire (députée LREM), Cédric Villani (député LREM), Jean François Mbaye (député LREM), Anne-Christine Lang (députée LREM)
    – Quand ? : 29 décembre 2018

    Fake news n°11 : L’Italie finance les casseurs qui agissent lors des manifestations des Gilets jaunes

    – Qui ? : Marlène Schiappa (secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes)
    – Quand ? : 10 janvier 2019

    Fake news n° 12 : Les forces de l’ordre ne sont responsables d’aucun mort pendant le mouvement des Gilets jaunes

    – Qui ? : Emmanuel Macron
    – Quand ? : 28 janvier 2019

  • L'appel contre la menace de dissolution du Bastion social rassemble des nouvelles signatures

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    Plusieurs centaines de patriotes indignés cliquez ici par l'annonce faite par le président de la République, Emmanuel Macron, lors du dernier dîner du Crif (un conseil prétendu "représentatif" des juifs de France) au mois de février de dissoudre le Bastion social, ont d'ores et déjà signé l'appel lancé par Synthèse nationale contre cette menace inconsidérée.

    Le Bastion social est en effet un mouvement de jeunes nationalistes qui a, comme d'autres, l'audace de s'élever contre l'assassinat programmé par l'hyperclasse (politique, économique et médiatique) de notre nation et celui de notre civilisation. Lorsqu'il a été créé, il y a deux ans, le BS a fait beaucoup parler de lui en occupant, durant quelques semaines, avant d'en être délogé par la police, un immeuble abandonné dans le centre de Lyon. Il voulait en faire un foyer d'accueil pour Français en détresse. Le BS appliquait ainsi concrètement les principes solidarises identitaires. Depuis, il a ouvert dans plusieurs villes (Chambéry, Strasbourg, Clermont-Ferrand...) des locaux dans lesquelles des permanences sociales sont tenues. Certains de ces locaux ont été attaqués par les chiens de garde du Système que sont les antifas sans que cela n'émeuve les "bien-pensants institutionnalisés".

    En fait, le combat mené par ces jeunes gens est apparemment insupportable pour le Pouvoir en place car il met le doigt là où cela fait mal, à savoir la paupérisation grandissante du peuple français. La Défense des intérêts des nôtres avant ceux des autres étant, pour les nationalistes, une priorité absolue.

    Nous ne pouvions donc pas rester muets face à la prétention présidentielle de dissoudre le BS. Voilà pourquoi nous avons pris l'initiative, à quelques uns, de lancer il y a une semaine cet appel qui a déjà reçu de nombreux soutiens aussi bien de personnalités (élus, responsables politiques, associatifs, écrivains, journalistes, éditeurs, artistes... cliquez ici) que de patriotes et de non-conformistes.

    Enfin, il faut savoir que le Président Jean-Marie Le Pen recevra en fin d'après-midi ce mardi une délégation du Bastion social à Strasbourg où il siège actuellement au Parlement européen.

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Si vous souhaitez signer cet appel cliquez ici

    ou retournez-nous ce bulletin cliquez là

    Aujourd'hui, nous publions quelques noms de nouveaux signataires : 

    Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris (Rome)

    Gaston Alcide, écrivain

    Serge Ayoub, ancien président du mouvement Troisième voie, lui-même dissout en 2013

    Alain de Benoist, éditorialiste de la revue Eléments

    François Bousquet, directeur de la Nouvelle librairie

    Patrick Cocriamont, ancien député belge

    Thierry Dreschmann, libraire

    Franck Buleux, écrivain normand, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme

    Pascal Eysseric, directeur de la rédaction d'Eléments

    Philippe Josselin, mathématicien

    Patrick Lusinchi, directeur artistique d'Eléments

    Massimo Magliaro, directeur de Nova Historica (Rome)

    Jacques Mayadoux, ancien responsable de l'Union des lycéens nationalistes

    Bernard Plouvier, écrivain

    Joël Provansal, Afrique du Sud

    Claudette Rose, retraitée de l'Aviation civile

    Alain Sanders, écrivain et journaliste à Présent.

    Pour en savoir plus cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Robert Ménard : « les Gilets jaunes ne sont pas complètement abrutis ! »

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    Gilets jaunes, union des droites, vie de Béziers, état du journalisme : Robert Ménard a répondu aux questions d’Edouard Chanot.

    Entretien avec le maire le plus polémique de France.

  • Vandalisme à la basilique de Saint-Denis : le grand silence du gouvernement et des médias

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    Un communiqué du MNR :

    Dans la nuit du 2 au 3 mars derniers, l'un des vitraux de la basilique de Saint-Denis, près de Paris, a été cassé, les portes du buffet du grand orgue (l'un des plus beaux de France) ont été endommagées, ainsi que le moteur. On ignore l'identité et les mobiles du ou des malfaiteurs. Cependant, compte tenu du prestige de cet édifice (nécropole des rois de France), on est éberlué par le silence total des « grands » médias et de nos gouvernants, contrastant avec le battage effectué dès que les lieux de culte musulmans ou israélites sont touchés, si peu soit-il. Comment s'étonner d'une certaine désaffection du public à l'égard des médias ?
    Avec tous les défenseurs de notre civilisation, battons-nous pour que cesse le « deux poids, deux mesures » dont est victime le christianisme dans le traitement des (nombreux) faits divers le concernant.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/03/12/vandalisme-a-la-basilique-de-saint-denis-le-grand-silence-du-6135331.html

  • Macron : l’Européen au service des lobbys ? – Journal du mardi 12 mars 2019

     

    Macron : l’Européen au service des lobbys ?

    Marine Le Pen avait jeté un pavé dans la mare la semaine dernière. La présidente du RN affirmait que la ALDE, l’alliance des Libéraux et Démocrates pour l’Europe, où siègent les eurodéputés ralliés à la République en Marche était financée par les multinationales. Une information confirmée qui prouve encore combien le Parlement Européen est gangréné par le lobbying.

    Algérie : la dangereuse pirouette de Bouteflika

    Face à une contestation puissante dans son pays, le président Abdelaziz Bouteflika a finalement annoncé qu’il ne se représenterait pas pour un 5ème mandat… Pour autant, il retarde la prochaine élection présidentielle et prolonge sine die son pouvoir. De quoi calmer la révolte ? Pas sûr !

    Brexit : jeux dangereux

    Alors que Theresa May rentre de Strasbourg avec quelques nouveautés, son opposition a bien décidé de mettre des bâtons dans les roues du premier ministre. L’objectif devient de plus en plus clair : obtenir un nouveau référendum pour balayer le Brexit.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/macron-leuropeen-au-service-des-lobbys-journal-du-mardi-12-mars-2019

  • Les fesses de Marlène et le principe d'égalité.