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magouille et compagnie - Page 1154

  • Crimes, violences et terreur : comment l’islam détruit l’Allemagne


    ISLAM, risque pour la sécurité : crime, violence et terreur – Comment l’islam menace l’Allemagne
    Le danger dramatiquement sous-estimé : l’islam et la violence.
    Documenté avec des données, des chiffres et des faits exclusifs.
    L’auteur allemand de best-sellers et expert en sécurité Stefan Schubert a compilé une mine de faits que vous n’avez jamais vus auparavant.
    C’est une chronologie effrayante de la propagation de la criminalité, de la violence et de la terreur par l’Islam en Europe.
    Stefan Schubert brosse un tableau détaillé de la situation actuelle en matière de sécurité et convainc par ses recherches minutieuses.
    Ceci est vérifiable par tout le monde à travers environ 600 sources, statistiques et études.
    Certaines des informations générales proviennent directement du ministère allemand de l’Intérieur et de l’Office fédéral de la police criminelle.Les migrants musulmans commettent des crimes d’une ampleur sans précédent.
    Ceux qui dénoncent cela sont diffamés par le courant dominant de gauche, mis à l’écart et souvent ruinés professionnellement.
    Une lecture captivante pour tous ceux qui ont le courage de penser au-delà du courant dominant et de ne pas se laisser interdire de se forger une opinion libre et indépendante.
    Pour la première fois et en exclusivité, Stefan Schubert révèle que :
    Selon les statistiques du BKA, les réfugiés musulmans ont commis une vague de plus d’un million de crimes en seulement 4 ans en Allemagne !!!!!!!!
    En 2013, le Procureur général fédéral n’a engagé que 70 procédures pour terrorisme, mais en 2018, le nombre de ces procédures a atteint un nouveau record de 1300 !!!!!!!!!

    Saviez-vous, par exemple,
    – qu’il y a un mélange alarmant entre le milieu des migrants criminels et les terroristes islamiques ?
    – que le Bureau pour la protection de la Constitution ne peut pas contrôler de manière cohérente les organisations islamistes parce que la politique exige que l’AfD fasse l’objet d’une plus grande attention ?
    – que la chancelière Angela Merkel courtise les loups gris nationalistes et islamistes (Frères musulmans turcs) ?
    – que le gouvernement allemand coopère avec les antisémites musulmans ?
    – que des milliers de criminels de guerre musulmans ont immigré en Allemagne en tant que réfugiés ?
    – que tout débat sur l’islam est empêché par des campagnes de désinformation ciblées menées par les politiciens et les médias ?
    – que les clans arabes criminels apparaissent comme une mafia musulmane en Allemagne ?
    – que des hommes syriens et irakiens ayant l’expérience de la guerre ont depuis longtemps formé des clans criminels en Allemagne et sont actifs dans le crime organisé ?
    – qu’il y a une infiltration ciblée des autorités de sécurité par les islamistes et les clans arabes ?
    – que le ministère de l’Intérieur met en garde contre de graves troubles dans des publications secrètes ?
    – que les observateurs parlent d’une « guerre civile moléculaire » contre la population indigène par les immigrants musulmans ?
    Source : Kopp Verlag.
    Traduction : Julien Martel.

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/crimes-violences-et-terreur-comment.html

  • Le fonds de commerce de la colonisation et de l’esclavage

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    La chronique de Philippe Randa

    Fatou Diome (ci-dessus) est une franco-sénégalaise, auteur d’une dizaine de livres que Le Monde décrit comme « piégée dans le désir d’Europe et ses mirages tragiques » et dont il présente son pamphlet Marianne porte plainte ! (paru en en 2017 chez Flammarion), comme un « véritable pamphlet contre les discours identitaires, racistes, sexistes et islamophobes » !

    Toutefois, dans un entretien publié en ce mois d’août, celle-ci précise sa pensée. Une pensée pour le moins inhabituelle dans les colonnes de ce quotidien.

    Ainsi, sur sa couleur de peau qui n’est « n’est ni une tare ni une compétence » ou sur la France, « cette France brillante, je l’ai bien trouvée, mais on n’arrête pas de la trahir ! Il faut toujours s’y référer, la rappeler aux mémoires courtes »…

    Quand le journaliste l’interroge sur les discriminations frappant les Africains dans notre pays, Fatou Diome lui rétorque : « Vous savez, au Sénégal, un jeune né en province aura moins de chance de réussir que celui issu d’une famille aisée de la capitale. La différence, c’est qu’en France, cette inégalité se trouve aggravée par la couleur. Ici, être noir est une épreuve et cela vous condamne à l’excellence. »

    Quant à l’urgence de « la décolonisation de la pensée et des savoirs, porté par un certain nombre d’intellectuels africains et de la diaspora » qui semble fortement interpeller le journaliste, sa réponse est cinglante : « C’est une urgence pour ceux qui ne savent pas encore qu’ils sont libres. Je ne me considère pas colonisée, donc ce baratin ne m’intéresse pas. La rengaine sur la colonisation et l’esclavage est devenue un fonds de commerce (…) En sommes-nous encore à nous demander comment nous libérer de l’esclavage et de la colonisation ? Pendant ce temps où nous stagnons, les Européens envoient Philae dans l’espace… (…) Pourquoi se positionner toujours en fonction de l’Occident ? Il nous faut valoriser, consommer et, surtout, transformer nos produits sur place. C’est cela l’anticolonisation qui changera la vie des Africains. »

    Et bien qu’elle soit sensée dénoncer les discours identitaires, elle n’en affirme pas moins que « la peur de vaciller au contact des autres ne peut vous atteindre quand vous êtes sûr de votre identité. »

    S’il y en a un qui a vacillé, c’est peut-être ce malheureux journaliste du Monde

    EuroLibertés cliquez là

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/09/01/le-fonds-de-commerce-de-la-colonisation-et-de-l-esclavage-6173163.html

  • LREM a beau jeu de dénoncer les violences contre les femmes

    LREM a beau jeu de dénoncer les violences contre les femmes

    Le député LREM Pierre Cabaré, Vice-Président de la Délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, est donc poursuivi pour agression sexuelle.

    Mediapart révèle :

    les anciens collaborateurs du député de Toulouse Pierre Cabaré, visé par une plainte pour harcèlement et agression sexuels, avaient écrit à Richard Ferrand, Gilles Legendre et Stanislas Guérini pour dénoncer les agissements de leur employeur. Un courrier resté sans réponse.

    Marlène Schiappa est restée sans voix.

    Dans la série, faites ce que je dis mais pas ce que je fais, LREM est passée maître. Depuis l’affaire Benalla, nous savons que LREM est capable de tout, surtout du pire.

    https://www.lesalonbeige.fr/lrem-a-beau-jeu-de-denoncer-les-violences-contre-les-femmes/

  • Agression au couteau dans une école à Marseille: "une véritable épidémie de déséquilibrés dans notre pays !”, selon Stéphane Ravier

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    Vendredi matin, un individu a fait irruption dans  une cantine scolaire de Marseille et blessé deux cantinières à l’arme blanche. L’homme, dont les propos étaient confus, aurait proféré “Allahou Akbar”.

    Stéphane Ravier réagit au micro de Boulevard Voltaire.

    Stéphane Ravier
    Président du groupe RN au conseil municipal de Marseille
    Sénateur des Bouches-du-Rhône (13)
    Source: bvoltaire.fr

    https://www.peupledefrance.com/2019/09/agression-couteau-ecole-marseille-stephane-ravier.html#more

  • Charles Prats : « La fraude aux prestations sociales est massive, mais l’évoquer nous expose à des insultes ! »

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    La députée Carole Grandjean et la sénatrice Nathalie Goulet ont mené une mission parlementaire sur la fraude sociale. Elles ont présenté, ce mardi 3 septembre, leurs premières propositions pour lutter contre le phénomène grandissant : sur 450 milliards de prestations versées, la fraude est estimée entre 3 et 10 %.

    Explications du magistrat Charles Prats au micro de Boulevard Voltaire.

    Entre trois 3 et 10 % de fraude, soit jusqu’à 20 milliards d’euros de fraude annuelle rien que sur le périmètre de la CNAM. Cela confirme-t-il ce que vous redoutiez ?

    Le principal scoop du rapport d’État rendu avant-hier était le nombre de numéros de Sécurité sociale. 84,2 millions de personnes réputées en vie, dont 3,1 millions de centenaires. Cela ne veut pas dire qu’il y a 84 millions de personnes qui touchent des prestations, mais cela signifie qu’il faut évidemment regarder ce qu’il se passe lorsqu’on a un écart de 17 millions de numéros de Sécurité sociale. Cela mérite tout de même qu’on vérifie.
    Je rappelle qu’en 2013, un rapport conjoint de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale des affaires sociales avait détecté 7 millions de bénéficiaires supplémentaires par rapport aux personnes qui étaient censées être sur le territoire. Depuis, nous n’avons pas eu beaucoup de nouvelles sur ce qui a été entrepris pour vérifier ce point.
    Aujourd’hui, on découvre qu’il y a de nouveau un « gap » entre les numéros de Sécurité sociale existants et le nombre de gens qui sont censés être sur le territoire. C’est très inquiétant.
    Ce soir, sur Twitter, on vient de découvrir que des documents à en-tête de la Cour des comptes circulaient. Il semblerait que le chiffrage de 3 à 10 % de taux de fraude au niveau de l’assurance maladie émane de la Cour des comptes. Je ne sais pas si ce document est officiel ou provisoire. Mais les dépenses d’assurance maladie représentant 200 milliards d’euros par an, 3 à 10 % de fraude sur l’assurance maladie pourrait représenter jusqu’à 20 milliards de fraudes. C’est assez cohérent. Cela correspond au chiffrage qu’avait déjà fait un réseau anti-fraude européen de l’assurance maladie. Il chiffrait déjà la fraude de l’assurance maladie entre 5,5 et 7,3 % annuellement. On est dans les mêmes ordres de grandeur.
    En 2010, 10,5 milliards de fraudes ont été estimés pour la France. Un an ou deux après, on était à 14 milliards, rien que pour la branche maladie.
    Pour la Cour des comptes, on serait entre 6 et 20 milliards. Cela corrobore les chiffres qui ont été donnés par les parlementaires. Ils se font, d’ailleurs, très violemment agresser et de manière assez incompréhensible dans la presse et par les organismes sociaux. Ces derniers ont sorti des communiqués très violents contre les deux parlementaires qui sont missionnées par le gouvernement. C’est très étonnant. Je pense qu’elles doivent poursuivre leur travail.

    Comment est-il possible que la Sécurité sociale enregistre 3 millions de centenaires en France ?

    Cette histoire des 3,1 millions de centenaires, 1,5 million nés en France et 1,6 million nés à l’étranger, est très surprenante et inquiétante.
    Cela peut s’expliquer pour les gens nés à l’étranger. Ils sont considérés comme décédés dans le registre national lorsqu’un acte de décès est transmis à l’INSEE ou à l’assurance vieillesse. Pour des personnes nées à l’étranger, on peut comprendre que l’acte de décès soit difficilement transmissible ou pas transmis du tout.
    En revanche, pour les gens nés en France et qui, a priori, vivent en France, l’INSEE explique que la mise à jour est hebdomadaire. Il y a un tel différentiel que c’est assez incompréhensible !
    À la suite de cette mission, les parlementaires doivent aller dans le répertoire national commun de la protection sociale pour faire des requêtes informatiques et voir combien de personnes de plus de cent ans perçoivent des prestations sociales. Cela permet de voir si cela correspond à la démographie ou s’il y a un vrai souci.
    Ces requêtes devront être faites. Elles sont d’ailleurs prévues par le Code de la Sécurité sociale.
    Très objectivement, je ne pense pas qu’un grand nombre de centenaires touchent des prestations. On est davantage en phase d’un problème de mise à jour du système. Cela est révélateur de la nécessité d’avoir un système moderne. Avoir 20 % des identités réputées en vie en supplément par rapport aux gens qui vivent en France, c’est juste pas possible !

    La première partie de ce rapport s’appelle « Une politique en apparence active, aux résultats modestes et aux ressources fragmentées ». En termes très polis, cela veut dire « on ne sait pas vraiment ce qui s’y passe, rien n’est vraiment fait pour que cela change ». Comment la Sécurité sociale a-t-elle pu laisser passer cela ? Pourquoi ne fait-elle pas énormément d’efforts pour juguler ces fraudes ?

    Je ne connais pas ce document de la Cour des comptes. J’ai simplement vu passer une photo. Les parlementaires ne me donnent pas leurs documents. J’ai été entendu par cette mission comme d’autres experts. Il se trouve que je connais un peu le sujet. C’est mon métier. Je lutte contre la fraude fiscale et sociale depuis 25 ans. Il faut attendre qu’il soit peut-être publié pour qu’on puisse l’analyser.
    La Cour des comptes faisait un constat très alarmiste sur le niveau de la fraude en matière d’assurance maladie. On peut se dire que c’est peut-être la même chose dans les autres branches.
    On dit depuis très longtemps que la fraude aux prestations sociales est massive.
    Dès qu’on parle de lutter contre la fraude aux prestations sociales, la levée de boucliers médiatique et politique est impressionnante. Depuis 48 heures, nous sommes insultés et traînés dans la boue pour avoir simplement évoqué la possibilité de l’existence de fraudes aux prestations sociales.

    Charles Prats

    https://www.bvoltaire.fr/charles-prats-la-fraude-aux-prestations-sociales-est-massive-mais-levoquer-nous-expose-a-des-insultes/

  • Google : ton univers impitoyable. Le cas Breizh-Info

    Google : ton univers impitoyable. Le cas Breizh-Info

    Après avoir permis l’émergence d’une information alternative de qualité, Google est-il en train de la tuer ? Les mésaventures rencontrées par nos confrères de Breizh-Info semblent faire pencher la balance en faveur du “oui”.

    NOVOpress 05/09/2019 – Créé en 2013, Breizh-Info est un site web d’actualités traitant “de l’information bretonne et internationale”. Fort de plusieurs centaines de milliers de visites mensuelles, réalisant un travail quotidien d’information de qualité, factuelle, sourcée, le site était jusqu’à il y a peu indexé dans Google Actualités, au même titre que Le FigaroLe Télégramme ou Ouest-France. Cela n’est plus le cas depuis cet été.

    Dans un appel à ses lecteurs paru ce jour, le média breton s’interroge sur les raisons qui ont poussé Google à le bâillonner : “Plusieurs techniciens de la société nous ont d’abord assuré qu’il s’agissait d’un souci technique. Un détail non corrigé en trois semaines ? Techniquement, Google nous a habitués à plus d’efficacité ! Selon toute probabilité, le déréférencement résulte en fait d’une campagne de pressions menée auprès de la société américaine afin de nous exclure de Google Actualités.”

    Victime de son succès ?

    Fort de son influence, Breizh-Info s’est créé de très forte inimitiés, certainement justifiées : une ligne éditoriale de droite assumée, très critique de l’immigration, dans un paysage médiatique breton ouvertement marqué à gauche ; et un lectorat conséquent, émiettant le monopole d’une PQR en difficulté, quand elle n’est pas sous perfusion…

    Cela n’a pas échappé au “grand quotidien de référence” Le Monde qui, fort de ses millions de subventions, s’en est même pris à plusieurs reprises au média local breton, qualifié de “vrai faux site d’info” par “Les Décodeurs” (Breizh-Info n’a pourtant jamais publié de “fake news” contrairement à Ouest-France ou au Monde).

    De là à penser que Google aurait cédé à une forme de pression idéologique, il n’y a qu’un pas, que n’hésitent pas à franchir les rédacteurs de Breizh-Info : “Jamais condamné, jamais poursuivi, bien informé, notre site est clairement victime d’une discrimination idéologique.”

    Pot de terre (breton, donc solide) contre pot de fer “Google”

    Quelles parades mettre en œuvre ? Comment un “petit” média breton pourrait-il forcer la main du géant américain ?

    Les rédacteurs de Breizh-Info ont bien l’intention d’aller jusqu’au bout avec Google : en poursuivant leur travail irréprochable tout d’abord, qui leur permettra de justifier de leur présence dans Google News.

    Ensuite, par la mise en lumière de cette situation, qui n’est pas vraiment au bénéfice de Google (ces grandes plateformes n’apprécient pas que soient publiquement exposés les cas censures qu’elles pratiquent, comme ce fut récemment le cas avec Facebook pour l’Observatoire du journalisme).

    Enfin, par la recherche d’alternatives techniques à Google et aux réseaux sociaux : à ce titre, la newsletter, qui semblait passée de mode, semble l’ultime rempart à la censure arbitraire des GAFAM.

    Pour aller plus loin, ne pas hésiter à consulter les dossiers et actualités de l’Observatoire du journalisme : ojim.fr

    https://fr.novopress.info/

  • Retraites : inquiétant, 66 % des Français ne font pas confiance à l’exécutif pour réformer

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    66 % : chez les numérologues du macronisme – il y aurait bien des cours de macronologie à Sciences Po, une astrologie macronienne centrée sur Jupiter alors pourquoi pas une numérologie macronienne ? -, c’est le chiffre magique. En 2017, Emmanuel Macron fut élu par 66 % des Français (mais seulement 44 % des inscrits. Tiens, et si, la prochaine fois, les Français décidaient que 44 % serait dorénavant le chiffre magique d’Emmanuel Macron, pour le second tour ?).

    Deux ans et demi plus tard, le même 66 % fait un retour significatif : selon un sondage IFOP publié par Le Journal du dimanche, ce 1er septembre, seuls 34 % des Français déclarent faire confiance à l’exécutif pour réformer les retraites. Mais on retrouve ce même 66 % de Français pour souhaiter la suppression des régimes spéciaux et la création d’un régime universel, « au nom de l’égalité entre les cotisants ». Autrement dit, les Français sont bien d’accord sur le constat du gouvernement, mais sont très méfiants sur les mesures qu’il compte prendre et qui ont commencé à être révélées : le point, la durée de cotisation, l’âge pivot, les bonifications familiales, etc.

    L’analyse du détail du sondage met en relief des clivages intéressants : les plus ouverts sont les 18-24 ans (50 %), les professions libérales et cadres supérieurs (49 %) et les sympathisants de La République en marche (90 %). Les plus méfiants sont les ouvriers (82 %), les proches du Rassemblement national (90 %) et les 35-49 ans (77 %). Si l’on résumait, la fracture se fait entre ceux que la réforme impactera peu (classes supérieures, retraités et très jeunes) et les autres, directement concernés, soit en tant que cotisants, soit en tant que futurs retraités. D’ailleurs, le clivage recoupe aussi celui de l’élection présidentielle et celui de la crise des gilets jaunes.

    L’exécutif prendrait un gros risque en s’appuyant sur la France aisée et nullement concernée pour imposer à l’autre des efforts et des réductions de droits. Cela ne ferait qu’exacerber les frustrations et les rancœurs et remettrait le pays en état de révolte.

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/retraites-inquietant-66-des-francais-ne-font-pas-confiance-a-lexecutif-pour-reformer/

  • Yannick Jadot : « l’écologie au service de l’immigration »

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    « Oui, on a le melon ». Les mots sont du secrétaire général d’Europe-Écologie les Verts, David Cormand, mais reflètent parfaitement l’état d’esprit du candidat aux Européennes, Yannick Jadot. Depuis ses 13,5% et sa troisième place en mai 2019, ce dernier ne touche plus terre.

    Dans un entretien au Monde début juin, il s’imagine même « conquérir et exercer le pouvoir » en 2022 en remportant l’élection présidentielle. Une boursouflure de l’égo qu’il est nécessaire de dégonfler en rappelant le parcours et les idées de Yannick Jadot.

    1) De la défense d’une Europe « multiculturelle » à l’islam

    Soutien de Daniel Cohn-Bendit aux Européennes en 1999, Jadot défend le « oui » au Référendum sur la Constitution européenne en 2005, à rebours du choix des Français. Parfaitement à l’aise dans le système en place, il fait passer sa vision de l’Europe avant l’identité nationale.

    Dans une tribune pour les élections européennes en 2014, le Vert dénonce le « pouvoir strictement national »et défend une Europe « subversive et multiculturelle ».

    Après avoir évoqué les étudiants qui doivent avoir la liberté d’aller à « Varsovie, Rome, Lille ou Coimbra », il enchaîne sur la liberté de « tomber amoureux d’un enfant de Tunisien né à Lampedusa ». La grande arnaque se dévoile au fil des mots : l’apologie de « l’Europe » n’est qu’un prétexte afin d’éliminer toute défense contre l’immigration massive.

    Aucune identité historique propre n’est défendue, malgré la richesse de notre héritage civilisationnel. L’Europe n’est vue que comme un immense terrain vague, baignant dans le relativisme culturel.

    « Le discours de la jeunesse, c’est le métissage » affirme Yannick Jadot le 12 avril 2017. C’est oublier la réalité des votes. Aux régionales en 2014, le Front National fait 35% dans les 18-24 ans, là où les écologistes ne font que 9%.

    En mars 2017, une étude du Cevipof révèle que ceux qui vont voter pour la première fois choisissent en priorité Marine Le Pen : 29,3% d’entre eux disent vouloir voter pour elle. Et cela se confirme à la présidentielle : les 18/34 ans sont 25,7% à avoir voté FN au premier tour, selon Opinionway.

    La « jeunesse » que se figure Yannick Jadot, c’est celle des grandes villes, où se concentrent les avantages économiques et dont les dirigeants ne cessent de faire du clientélisme avec les populations immigrées qui les entourent. Le système est international.

    En novembre 2012, des organisations islamiques signent un accord avec la ville de Hambourg afin d’offrir des jours fériés aux musulmans, une première en Allemagne. L’initiative est qualifiée d’ « intéressante » par Yannick Jadot qui « avait fait inscrire une proposition similaire dans le programme d’Eva Joly pour l’élection présidentielle » de 2012 rappelle Le Parisien.

    2) Un aveuglement total sur l’immigration

    « Il n’y a pas de submersion migratoire ». Les mots sont de Yannick Jadot au lancement de sa campagne pour les élections européennes, le 24 août 2018.

    Une position qu’il maintient jusqu’à la fin de la campagne, prétendant qu’il n’y a pas d’immigration massive en France, dans l’Émission politique sur France 2 le 4 avril 2019. Alors que huit Français sur dix considèrent que notre pays ne doit plus accueillir d’étrangers supplémentaires (sondage Ifop pour le JDD, 2018), Jadot n’en a cure.

    En septembre 2016, Yannick Jadot défend l’arrivée de « réfugiés » sur BFMTV. Il s’en prend notamment à Laurent Wauquiez, président LR de la région Rhône-Alpes, qui « nous explique qu’il ne peut pas accueillir 1000 réfugiés » dans sa région. Et de dérouler l’argument d’une simple arrivée de « 50 000 réfugiés dans notre pays », qu’il serait largement possible de « se répartir ». Mais comme tous les immigrationnistes, Jadot vit dans l’enfumage et l’amnésie permanente concernant la réalité de l’immigration.

    En 2014, près de 96% des déboutés du droit d’asile restent en France et ne sont pas reconduits à la frontière, selon les chiffres de la Cour des comptes rapportés sur LCI. Un pourcentage énorme et stable depuis lors, comme si nos lois n’avaient aucune importance, aucune effectivité.

    Loin des quelques centaines ou milliers de « migrants » que Jadot voudrait répartir, rien qu’en 2017, la France c’est 262 000 personnes admises au titre de séjour, 100 000 demandeurs d’asile, près de 300 000 clandestins et 54 000 « mineurs isolés ».

    Concernant ces derniers, « un rapport sénatorial publié en juin 2017 évalue à 40% au mieux la proportion d’individus vraiment mineurs et vraiment isolés » selon Le Figaro Magazine, précisant que « le système de protection des mineurs est massivement détourné par des adultes ».

    Pendant ce temps, le coût pour le contribuable français est estimé à 1,9 milliard d’euros par an selon Jean-Louis Thiériot, député et président du conseil départemental de Seine-et-Marne. Et le gouffre économique ne cesse de se creuser. « Les services d’aide sociale à l’enfance ont pris en charge plus de 25 000 “enfants migrants” en 2017, soit 92 % de plus qu’en 2016 » poursuit Le Figaro.

    3) L’écologisme contre les frontières nationales

    Confronté à la journaliste Charlotte d’Ornellas en mai 2018 sur LCI, Yannick Jadot réfute le terme de « clandestins » pour qualifier ceux qui traversent la frontière française illégalement. Le combat sur les mots est essentiel. En 2015, le terme de « migrants » a été imposé dans le discours médiatique afin de laisser croire à un mouvement indolore, inéluctable et naturel comme pour la « migration » des oiseaux selon les saisons.

    Lire aussi:  Le porno responsable du «désastre écologique»? Un think tank sonne le branle-bas de combat

    Néanmoins, devant la multiplication des exactions commises par les « migrants » en Europe, le mot est rapidement devenu péjoratif. Afin de pouvoir continuer à manipuler l’opinion, de nombreux intervenants médiatiques se mettent donc à désigner automatiquement ces « migrants » de « réfugiés ».

    En avril 2019, Yannick Jadot réclame la mise en place d’un statut européen pour les « réfugiés climatiques ». Sachant que 26 millions de personnes ont été déplacées chaque année de chez elles par des phénomènes climatiques entre 2008 et 2014, tous les prétextes sont bons pour faire de l’Europe un centre d’accueil sans limites.

    Accolé à « réfugié », l’adjectif « climatique » succède à « de guerre », beaucoup moins à la mode. Et pour cause : dans le rapport 2016 de Médecins du Monde, seuls 13,7% des « migrants » déclarent avoir fui la guerre. Au contraire, 53,1% d’entre eux citent avant tout des raisons économiques.

    L’idéologie immigrationniste est aux fondements d’Europe-Écologie les Verts. Et l’on en vient à se demander si l’écologie n’y est pas qu’un simple prétexte afin de défendre l’immigration. Pour l’essayiste Laurent Alexandre,

    « Les écologistes proposent en réalité la disparition de la civilisation occidentale pour laisser la place aux migrants ». Au cours d’une conférence de Valeurs actuelles en avril 2019, l’écrivain Michel Houellebecq renchérit : « on parle de biodiversité , mais on ne parle jamais de sauver les civilisations, les cultures, les modes de vie humains ».

    L’obsession médiatique d’une apocalypse climatique autour de Greta Thunberg masque les arguments les plus rationnels sur la situation. « La France émet 0.9% de CO² dans le monde » rappelle André Bercoff sur CNEWS, avant d’ajouter sur Macron :

    « Quand ce crétin a fait de l’écologie punitive en disant “Vous allez payer un peu plus de taxes pour la transition écologique”, il prenait les gens pour qui ? Pour des brêles ! ».

    En mai 2019, Éric Zemmour résume sur Paris Première :

    « Les écolos sont des mondialistes et le mondialisme est le pire ennemi de l’écologie ».

    Mais pendant ce temps, Yannick Jadot gardait ses soutiens là où il faut. Chroniqueuse sur RTL, Isabelle Saporta cache sa relation avec la tête de liste des Verts durant la campagne des européennes tout en préparant ses interventions et en écrivant une partie de ses discours.

    Un mélange des genres habituel au royaume du politiquement correct, mais qui rappelle au public à quel point les médias prétendument « neutres » dans le traitement de l’actualité sont en réalité biaisés et formatés, notamment sur les questions d’immigration et d’écologie.

    Reste aux Français à faire dégonfler le « melon » des Verts et de Yannick Jadot aux prochaines élections.

    Source : Damocles

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/31/yannick-jadot-lecologie-au-service-de-limmigration/

  • L’État freine volontairement la construction de maisons individuelles

     
    Julien Denormandie, le ministre du Logement, vient de le reconnaître : l’État freine la construction de maisons individuelles au profit d’une hypothétique rénovation des centres-villes.
    Pour arriver à ce résultat, le gouvernement a diminué le prêt à taux zéro et l’a même supprimé dans des zones dites détendues, c’est-à-dire celles où l’offre est considérée comme suffisante (en gros, toutes celles où on bâtissait jusque-là des maisons individuelles). 
    Le marché a aussitôt réagi et la mise en chantier des logements individuels a baissé de 10 % tandis qu’en parallèle, celle des logements collectifs ne progressait pas.
    Les promoteurs immobiliers, en effet, sont soumis à de multiples contraintes qui retardent, voire font annuler les permis de construire. 
    On ignore quand la construction d’immeubles redémarrera, si même elle va redémarrer un jour, vu les obstacles rencontrés. 
    Emmanuel Macron, dans sa campagne électorale, avait promis un choc de construction. 
    Cette promesse de Gascon, comme tant d’autres, est tombée à l’eau et ne sera sans doute pas tenue pendant le quinquennat. 
    Or, le bâtiment est une composante essentielle de la croissance. 
    Quand il se porte mal, comme maintenant, le PIB ne croît plus, la récession est proche. 
    La crise de 2008 aux États-Unis est due, en grande partie, à la chute de la construction de maisons individuelles consécutive à l’effondrement des subprimes.
    La politique de M. Denormandie choque, tant elle est empreinte d’un fort mépris social : les ménages des classes moyennes inférieures (celles qui forment les gros bataillons des gilets jaunes) payent, en effet, les pots cassés : pour eux, le prêt à taux zéro était essentiel. 
    Les classes moyennes supérieures ou les classes aisées étaient exclues du dispositif et finançaient sans aide la construction de leur villa. 
    Rien ne changera pour elles. 
    Le pouvoir retire donc aux « pauvres » le droit de vivre dans un environnement verdoyant. 
    Pour lui, ils doivent s’entasser dans des immeubles situés dans les centres-villes. 
    Certes, le mitage de bonnes terres agricoles au profit d’un habitat individuel est un problème qu’il faut traiter. 
    On ne peut pas laisser les banlieues s’étendre à l’infini tandis que les centres des villes deviendraient déserts. 
    Mais la politique de Julien Denormandie aurait dû être plus équilibrée, la suppression et la diminution du prêt à taux zéro moins brutale. 
    On pouvait à la fois vouloir redynamiser les centres-villes, interdire aux lotissements de pousser d’une manière trop anarchique et continuer à financer le logement individuel des classes moyennes inférieures.
    Dans le domaine du logement, le gouvernement mène une politique incohérente et injuste : incapable de faire de vraies économies en diminuant le nombre de fonctionnaires dans les nombreux services où il y en a trop, il a sabré sans réfléchir dans une dépense sociale au détriment de ceux qui se sont révoltés pendant l’épisode des gilets jaunes. 
    Christian de Moliner

  • Face aux juges, mieux vaut être une racaille islamisée qu’un Identitaire français

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    Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici
    En France, comme en Allemagne, en Grande-Bretagne ou en Suède, il ne fait pas bon être un patriote amoureux de son pays, soucieux de protéger sa culture et son identité.
    La sévérité du jugement condamnant trois membres de Génération identitaire, pour avoir voulu barrer la route aux migrants venus d’Italie, en bloquant le col de l’Échelle dans les Hautes-Alpes, est une ignominie aux relents de justice politique.
    Six mois de prison ferme, cinq ans de privation des droits civiques et 75 000 euros d’amende pour l’association, pour avoir voulu protéger leur pays de l’invasion de clandestins, c’est du jamais vu. Un total renversement des valeurs.
    Y a-t-il eu des menaces, des violences ou des insultes racistes ? Non, puisque le procureur avait dans un premier temps classé l’affaire.
    Mais Génération identitaire étant dans le collimateur du pouvoir et des ayatollahs de la bien-pensance, il eût été surprenant que l’enquête soit définitivement enterrée.
    C’est ainsi que le parquet de Gap a épluché le Code pénal et sorti de la naphtaline l’article 433-13, qui punit d’un an de prison l’« exercice d’une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».
    Les trois prévenus ont donc été jugés coupables d’avoir entretenu une « confusion avec l’exercice d’une fonction publique ». Ce que conteste leur avocat, Me Lambert, puisque le sigle « Defend Europe » apparaissait partout et qu’aucune confusion avec la police ou la gendarmerie n’était possible. Il n’y a jamais eu usurpation de fonction. D’ailleurs, les prévenus font appel.
    Mais si ce jugement très sévère scandalise la sphère patriote et identitaire, il irrite fortement les associations pro-migrants, qui estiment que les juges n’ont pas suffisamment sanctionné la mise en danger d’autrui et l’incitation à la haine raciale ! LIRE
    Éternel refrain. Le patriotisme, c’est devenu une incitation à la haine raciale !  Et c’est précisément ce qui est gravissime pour l’avenir des générations futures.
    Car au pays de la liberté et des droits de l’homme, il n’est plus possible de s’opposer à la pensée unique, plus possible de défendre ses racines et son identité, plus possible de protéger son patrimoine culturel hérité de ses ancêtres, sans être cloué au pilori par les Fouquier-Tinville du politiquement correct, qui bêlent au racisme, à la xénophobie et à l’islamophobie.
    Tous les peuples du monde ont le droit de protéger leur identité, sauf les Occidentaux,  éternels  détenteurs du monopole du Mal.
    Trois jeunes patriotes ont été condamnés à de la prison ferme, alors que des racailles multirécidivistes, arrêtées maintes fois, subissent un simple rappel à la loi avant d’être remises en liberté.
    Et que dire des cinq années de perte des droits civiques, alors que les centaines de jihadistes français, qui ont combattu nos soldats et trahi la France, n’ont même pas été déchus de leur nationalité !
    Rappelons que les citoyens sont victimes de 1 000 agressions gratuites par jour, qui se traduisent régulièrement par des morts et des blessés graves.
    Les jeunes patriotes ont-ils blessé ou tué quelqu’un ? Non.
    Est-il interdit d’avoir peur de cet islam conquérant qui veut s’imposer dans notre quotidien ? Devons-nous oublier que nos racines sont judéo-chrétiennes et que la France a 15 siècles de chrétienté derrière elle, depuis le baptême de Clovis ?
    Les Français, bouleversés et profondément émus devant l’incendie de Notre-Dame, ont montré combien ils étaient attachés à leur histoire et à  leur patrimoine culturel.
    Faut-il oublier les paroles de Gérard Collomb, seul homme politique en exercice ayant eu le courage de dire la vérité aux Français, en évoquant une sérieuse menace de guerre civile dans un proche avenir ?
    Tous les sondages montrent que les Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration. Ce qui en fait obligatoirement des racistes et des islamophobes, comme chacun sait.
    Mais peut-on encore être patriote en France sans être traité de xénophobe ? Peut-on être souverainiste sans être taxé de racisme ? Peut-on défendre l’État-nation sans être accusé de prêcher la haine des autres ?
    Non, à en juger par la sévérité de la justice envers ceux qui s’opposent à l’immigration de masse et à l’islamisation du pays.
    Ce jugement, loin de défendre les valeurs républicaines, ne fait qu’aggraver la fracture identitaire de plus en plus béante. On ne répondra pas au cri d’alarme de Collomb en niant le choc des cultures et la menace de désintégration de la nation.

    Voici ce que disait Gérard Collomb en quittant ses fonctions. Certains feraient bien de s’en imprégner, au lieu de bêler au racisme à tout propos.

    « Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre. »

    « Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face. »

    Et dans un article paru dans Valeurs Actuelles, il ajoutait :

    « Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… je crains la sécession. »

    VA : Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?

    GC : Énorme…

    VA : Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?

    GC : Oui, absolument. Des communautés s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent.

    « Je dirais que, d’ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »

    Voilà ce que disait il y a un an l’homme le mieux renseigné de France. Un discours de bon sens et un cri d’alarme avant la désintégration de la nation.

    C’est ce discours de vérité que les juges enterrent en condamnant ceux qui s’opposent pacifiquement à l’invasion migratoire qui va détruire le pays.

    Peut-on être fier d’une justice qui condamne de jeunes  patriotes qui refusent de subir l’effacement culturel de leur pays ? À chacun d’en juger…