
Article publié le 04.08.2019 sur lesobservateurs.ch
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Après-midi d’été tranquille. Je passe la tondeuse dans mon jardin quand soudain retentit l’alarme anti-intrusion de mes voisins partis en vacances. Je cours dans la rue et je surprends deux individus – deux racailles bien connues ayant pignon sur rue – enjamber la clôture pour quitter la propriété. L’un d’eux a même le temps et le culot de me lancer : « On voulait juste profiter de la piscine. » J’appelle immédiatement la police, qui intervient très rapidement. Je préviens nos voisins. Nous faisons le tour de la propriété et constatons qu’il n’y a pas eu effraction. La police m’explique que, sans effraction, on ne pourra rien contre eux. Alors que le déclenchement de l’alarme montre qu’ils se sont approchés d’une ouverture et que c’était visiblement autre chose que la piscine qui les intéressait.
Je reprends ma tondeuse en me disant que la loi est parfois étrange. J’en viens donc à me dire qu’on peut, en France, pénétrer impunément dans le jardin d’autrui. Respect de la propriété privée ? De la vie privée ? Violation de domicile ? J’ai dû rêver trop fort et m’inventer des grands principes délirants.
Désabusé, je me dis pour me consoler qu’on devrait ainsi enjamber les clôtures de juristes, de juges, de parlementaires, tous ces gens chargés de faire et de faire appliquer la loi. Peut-être que ces intrusions légales les pousseraient à modifier la loi. Peut-être, aussi, que ce ne serait pas inutile pour lutter contre les cambriolages, qui explosent en ce moment.
Je souris déjà en imaginant les déclarations de Christophe Castaner quand je tombe sur l’information suivante : dans le Doubs, un gilet jaune a été condamné à huit mois de prison pour avoir divulgué vendredi sur Facebook l’adresse privée d’un procureur. Jugé en comparution immédiate devant le tribunal de Vesoul, cet homme de 32 ans a reconnu avoir fait une bêtise : « J’ai fait cela dans un but de contestation, je n’ai pas réfléchi. Je regrette. Je n’avais pas conscience des conséquences. »
Mais ces regrets sincères n’ont pas ému le procureur de la République de Vesoul, Emmanuel Dupic, volant au secours du procureur de la République de Besançon, Étienne Manteaux. Et M. Dupic s’est indigné en ces termes :
« On ne s’en prend pas à la vie privée d’un procureur. »
Avant de requérir neuf mois de prison, dont six avec sursis, assortis de l’obligation d’effectuer un stage de citoyenneté. Le gilet jaune a été condamné à huit mois de prison, dont cinq avec sursis. Décidément, en France, on ne plaisante pas avec le respect de la vie et du domicile privés… des procureurs.
Quand les historiens se pencheront sur le mouvement des gilets jaunes, le chapitre sur la Justice et les procureurs sera particulièrement fourni, vous entraînant dans un incroyable tour de France de Nice à La Roche-sur-Yon, de Vesoul à Besançon jusqu’à Paris.
Mais, au fait, si on enjambe la clôture et on profite tranquillement du jardin d’un procureur – sans effraction -, on risque quoi, Monsieur le procureur ?
Les migrants ne resteront pas à Malte et seront accueillis dans plusieurs pays européens en vertu d’un accord de répartition.
La France aurait proposé d’accueillir certains d’entre eux. Les 40 migrants à bord du navire humanitaire allemand Alan Kurdi sont arrivés ce dimanche dans la matinée à Malte à la suite d’un accord de répartition, a annoncé le gouvernement maltais. Les autorités avaient déclaré tard samedi soir avoir donné leur accord au débarquement des migrants après des discussions menées notamment entre le gouvernement allemand et la Commission européenne sur une répartition des migrants « entre un certain nombre de pays européens ».
Aucun des 40 migrants ne restera à Malte et comme dans les cas précédents, le navire Alan Kurdi n’a pas été autorisé à entrer dans les eaux territoriales maltaises mais ce sont les gardes-côtes maltais qui ont pris en charge les migrants dans les eaux internationales avant de les amener à La Valette. […]
Un autre navire humanitaire, Open Arms, est lui encore à la recherche d’un port pour débarquer 121 migrants secourus lors de deux opérations distinctes. L’ONG espagnole Proactiva Open Arms avait secouru jeudi au large de la Libye un premier groupe de 55 personnes puis vendredi un second groupe de 69 autres personnes. […]
En Allemagne, ces derniers jours, deux faits divers, peu relatés en France, ont marqué les esprits : un enfant poussé sous un train, à Francfort, par un Érythréen (qui était, par ailleurs, apparu dans une publicité suisse vantant une intégration réussie…) et un homme tué au sabre en pleine rue, à Stuttgart, par son ex-colocataire. Dans les deux cas, des immigrés sont mis en cause.
Au micro de Boulevard Voltaire, Jean Messiha dénonce « le tabou lié à l’immigration en France et en Europe » qui conduit à cacher l’identité des coupables, souvent qualifiés de simples déséquilibrés.
Deux faits divers sordides se sont déroulés en Allemagne à quelques jours d’intervalle.
D’abord, un enfant de huit ans et sa mère ont été poussés sur les rails au moment du passage d’un train. La mère a survécu, mais pas l’enfant.
Ensuite, en pleine rue, un Syrien tue au sabre son ancien colocataire.
Que vous inspire la concomitance de ces deux faits divers ?
Il y a une criminalité d’immigrés qui ne doit pas être niée. Ces crimes absolument atroces et abjects qui touchent des personnes innocentes doivent être dénoncés.
Je suis toutefois très étonné de la façon dont les médias mainstream et les partis dits « de gouvernement » traitent ces affaires. On a l’impression qu’à chaque fois qu’il s’agit de crimes commis par des immigrés, une espèce d’immunité phraséologique se met en place. Elle a pour but de protéger le dogme d’une immigration pure de toute espèce de criminalité et de défauts. On essaie de conserver le mythe d’une immigration qui serait toujours, partout, et d’où qu’elle vienne une chance pour les pays européens. C’est ainsi qu’on nous sert des « pas d’amalgame », « pas d’instrumentalisation des faits divers », etc. Lorsqu’il s’agit de crimes de droit commun commis par des Européens de souche, ils ne vont pas hésiter un seul instant à instrumentaliser, comme c’est le cas pour la mort de Steve. Sa mort est sur-instrumentalisée et récupérée de manière honteuse par l’extrême gauche depuis plusieurs jours.
Le taux de criminalité de l’Allemagne augmente de façon assez sensible. On a du mal à ne pas faire de lien entre la hausse de la criminalité et la hausse subite de population migratoire.
Je n’ai pas de chiffres exacts pour établir la causalité directe. Le moins qu’on puisse dire c’est que cette coïncidence est troublante.
Toutefois, je tiens de pas mal d’amis allemands que de nombreuses zones où il faisait bon vivre et où il n’y avait pas la moindre criminalité pendant des années enregistrent aujourd’hui subitement des vols, des cambriolages, des agressions, voire des agressions sexuelles.
Lorsqu’on ouvre son pays vers le monde à tout va, un monde dont les frontières nous protégeaient de sa dangerosité et de ses incertitudes, on l’ouvre aussi à tous les dangers qui peuvent guetter vos citoyens.
Le devoir des élites politiques qui décident de la destinée des pays européens est avant tout de protéger les citoyens européens. Ce n’est pas de protéger les migrants et de veiller à leur bien-être. Ceux qui élisent ces responsables sont les citoyens européens. Ce sont eux qui leur confient leur destinée. La moindre des choses c’est qu’ils soient dignes de la confiance que les citoyens placent en eux en prenant toutes les mesures de sauvegarde pour les protéger de l’ensemble de ces dangers non seulement migratoires, mais aussi commerciaux, économiques et financiers.
Le migrant ayant tué cet enfant avait un métier et s’était a priori intégré…
On assiste à une véritable entreprise de déification, d’idéalisation de l’immigration. Il n’est pas question de faire un constat inverse en disant que toute l’immigration en tant que telle est mauvaise. Mais le principe de réalité et celui de précaution commanderaient qu’on puisse jauger l’immigration à l’aune de ce qu’elle est.
Une certaine immigration est certes une chance pour les Européens. Une immigration qui apporte et qui crée. Mais, malheureusement, l’essentiel de l’immigration d’aujourd’hui est économique et vient de territoires parfois en guerre. Aucun principe de précaution n’étant appliqué, on ne connaît donc pas le profil des gens qui arrivent sur le territoire européen.
Pour organiser les attentats du Bataclan, des terroristes s’étaient infiltrés dans les colonnes de migrants pour faire plusieurs allez et retours et organiser en toute tranquillité ces attentats.
Une certaine déification de l’immigration fait qu’on prend l’immigration en exemple en tant que tel, quelle que soit l’époque et quel que soit les gens.
Cela aboutit à ce genre de phénomène.
Le terroriste de l’hyper casher, Coulibaly, avait lui aussi figuré quelques années auparavant dans une revue française sur l’immigration et la diversité. Il n’y a pas de discernement. Face à l’immigration, nous sommes face à un dogme immigrationniste qui interdit de réfléchir, de critiquer et, comme toute idéologie, de présenter les faits tels qu’ils sont et non pas tels qu’on aimerait qu’ils le soient.
Jean Messiha
Membre du Bureau national du Rassemblement National, délégué national aux études et argumentaire
http://by-jipp.blogspot.com/2019/08/ceta-de-la-colere-aux-attentats-en.html
Les médias français aux ordres du lobby LGBT oublient de faire leur travail :
« La Pologne rongée par la haine anti-LGBT » (La Croix), « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes » (Le Figaro), « Une Marche des fiertés LGBT à Bialystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (Le Monde). Le bilan de ce « cauchemar », ou de ce « pogrom » pour reprendre le terme utilisé par Robert Biedron, le leader du parti LGBTiste Wiosna (Printemps) ? Zéro mort, un adolescent de 14 ans blessé à la clavicule par un hooligan (qui a été arrêté), un autre victime de vol avec menaces, une policière blessée à la jambe, zéro voiture brûlée et zéro vitrine brisée à la Marche des égalités organisée le 20 juillet dernier, pour la première fois dans la ville de Bialystok, dans l’est de la Pologne. Une gay pride qui a effectivement suscité des contre-manifestations nombreuses. Face aux quelques centaines de militants LGBT, des milliers de personnes venues s’y opposer après les provocations anticatholiques et les profanations commises lors d’autres manifestations du même type à Gdansk, Varsovie et Czestochowa (voir Présent du 19 juin).
La contre-manifestation qui a fait du bruit, et qui est à l’origine des violences, c’est celle organisée par des supporters de foot, souvent proches des milieux nationalistes, venus de toute la Pologne pour « défendre la ville contre les pervers », car « tous ont vu leurs homoparades à Varsovie, Gdańsk et Częstochowa où les symboles religieux de la foi chrétienne ont été ouvertement profanés et moqués ». Résultat des courses : quelques heurts avec la police qui protégeait les manifestants et plusieurs dizaines d’arrestation. Puis la gauche en a profité pour lancer sa campagne électorale en organisant, huit jours plus tard à Bialystok, une manifestation contre la haine et la violence, mais apparemment uniquement lorsqu’elles visent les milieux LGBT. […]
https://www.lesalonbeige.fr/les-medias-ronges-par-la-haine-anti-pologne/
Par André Posokhow, consultant ♦ Depuis plusieurs années le juge Charles Prats, un des spécialistes français de la criminalité financière, est apparu comme un lanceur d’alerte particulièrement documenté et tenace concernant les fraudes et plus particulièrement la fraude sociale. Il a dénoncé la fraude documentaire comme constituant la source d’une grande partie de la fraude sociale. Il a mis en exergue son ampleur qu’il a évaluée à environ 14 Md€.
Il a été relayé au Parlement par la sénatrice centriste Nathalie Goulet qui a fait le siège des ministres des affaires sociales successifs sans succès, l’attitude de la classe politique à l’égard de cette question allant de l’indifférence à une forme de complicité.
Depuis un an, le débat a été porté sur la place publique par les médias et s’est avéré d’autant plus polémique qu’il était concomitant avec la crise des « gilets jaunes ».
Une enquête menée par la commission des affaires sociales du Sénat a conduit son rapporteur à contester sèchement les chiffres communiqués par le magistrat.
C’est l’objet du premier texte présenté ci-dessous aux lecteurs de Polémia qui montre la gravité et l’importance du sujet.
Les conclusions de la commission sont elles-mêmes contestées par le juge Prats et par N.Goulet, à qui le premier ministre a confié récemment une mission d’enquête sur la fraude sociale et ses conséquences sur nos finances publiques, dont le rapport doit être remis en septembre prochain. Ce sera le thème du deuxième article qui sera présenté sur le site de Polémia à ce moment-là.
Un enjeu financier d’environ 14 Md€ ?
Le juge Prats dans de nombreuses interviews et au cours d’un passage récent sur TV Libertés ainsi que la sénatrice centriste Nathalie Goulet, insistent depuis longtemps sur cette question particulièrement grave de l’immatriculation sociale frauduleuse qui figurerait parmi les premières causes de la fraude sociale.
En 2011, un inventaire a permis de faire apparaître qu’il y avait en France 17,6 millions de personnes possédant un Numéro d’Identification du Répertoire (NIR) nées à l’étranger. (20,8 millions en 2018).
Deux observations :
A la suite d’une étude sur un échantillon représentatif, policiers et statisticiens ont abouti en 2011 à un taux de fraude de 10,4 % soit 1,8 millions de personnes qui posséderaient aujourd’hui un NIR qui leur a été attribué sur la base de faux documents.
Quel pourrait être le coût ? Sur la base de dépenses de sécurité sociale à hauteur de 483 Md€ et d’un nombre de cartes Vitale de 53 millions, l’enjeu considérable du coût potentiel de la fraude pourrait être de plus de 14 Md€ comme annoncé par C. Prats, si tous les titulaires de ces faux documents étaient actifs ou fraudaient, ce qui n’est pas certain.
Il serait inexact d’affirmer que rien n’a été fait contre la fraude sociale
L’administration et les opposants aux points de vue et aux questions exprimés par C. Prats et Nathalie Goulet, contestent ceux-ci, entre autres, de la manière suivante :
Selon la DNLF, les fraudes aux prestations détectées et non pas évaluées atteignent 700,83 M€ en 2017 (et 589 M€ pour les cotisations).
Ces chiffres qui se comptent en millions d’euros sont sans commune mesure avec ceux qu’annonce le juge Prats qui se compte en Md€.
Les réticences à répondre aux interrogations des lanceurs d’alerte
Tout d’abord il y a une part d’idéologie :
Il n’en demeure pas moins que l’incohérence béante qui existe entre les chiffres des deux parties en présence suscite des interrogations dont l’enjeu financier est considérable.
Or ces réponses ne sont pas à ce jour satisfaisantes et il apparaît clairement que le juge Prats et la sénatrice Nathalie Goulet se heurtent depuis des années à de fortes réticences perceptibles aux questions orales du Sénat :
-là-dessus le Figaro a annoncé à la fin de 2018 que 500 000 faux comptes avaient été identifiés et neutralisés. Le Figaro attend des pièces justificatives mais surtout il est étonnant depuis le temps qu’on en parle que l’on ne l’ait pas su plus tôt.
Ce sont les raisons pour lesquelles le juge Prats a parlé d’une omerta et au moins d’une gêne visible de l’administration et a affirmé que cette affaire pouvait être considérée comme un scandale d’Etat.
La polémique actuelle
La commission des affaires sociale du Sénat a confié récemment à son rapporteur général, Jean-Marie Vanlerenberghe (MoDem) le soin d’approfondir l’estimation du magistrat, mission à laquelle n’a pas été associée N.Goulet. Dans son rapport remis le mercredi 4 juin, il arrive à une estimation du risque comprise entre 200 à 800 millions de prestations frauduleuses, c’est à dire très en dessous de l’estimation du juge Prats. Le sénateur annonce qu’il sera en mesure de donner un chiffre affiné à la fin du mois de juillet.
Il convient de noter que Jean-Marie Vanlerenberghe apparaît sur des vidéos où on peut le voir en train d’échanger avec des responsables administratifs de l’immatriculation. On y peut constater le climat d’empathie et de compréhension mutuelle qui a régné au cours de ces entretiens.
En réalité, la controverse fait toujours rage.
Nathalie Goulet et C.Prats considèrent que le rapport du Sénat ne fait « que minimiser momentanément » l’ampleur de la fraude aux prestations sociales des personnes nées à l’étranger. En effet, à leurs yeux, ce rapport fait apparaître, par différence entre le stock d’immatriculations actives et les chiffres INSEE de personnes vivant en France et nées à l’étranger ou retraitées vivant à l’étranger, 2,35 millions de NIR actifs excédentaires en trop dans le système, au lieu de 1,8 millions, sans explication du rapporteur.
Si ce chiffre était confirmé l’enjeu de la fraude aux prestations sociales pourrait être plus élevé qu’avant le rapport sénatorial.
C’est ce que doit déterminer la mission d’enquête sur la fraude sociale et son impact sur les finances publiques confiée à Nathalie Goulet par le premier Ministre qui devrait remettre ses conclusions en septembre prochain..
En conclusion
En définitive, on peut retenir de ce dossier en cours quelques conclusions importantes.
L’enjeu financier de la fraude sociale et plus particulièrement de la fraude documentaire peut être très élevé.
L’indifférence de la classe politique et de l’administration à l’égard de cet enjeu chiffré a été abyssale jusqu’à une date récente. On a tout fait pour tenir les Français dans l’ignorance.
Le rapport du Sénat confirme les faiblesses historiques de gestion et de sécurisation de ce dossier des NIR dénoncées par les lanceurs d’alerte, malgré les efforts fournis.
Le sénateur Vanlerenberghe arbore devant ses pairs de la commission la morgue habituelle de sa caste à l’égard du juge Prats et des chiffres que celui-ci avance. Qu’il n’oublie pas que c’est grâce à l’insistance de Prats et à la ténacité de la sénatrice Goulet que le problème crucial de la fraude sociale a enfin été exposé sur la place publique et dans les médias et que des enquêtes parlementaires ont été déclenchées.
André Posokhow 03/08/2019
https://www.polemia.com/fraude-documentaire-enorme-cout-potentiel-ocultee/
Macron fait l'impasse sur les deux problèmes principaux de l'Union Européenne.
Immigration et sécurité.
Alors, canicule, changement climatique, sont les leurres qui évitent de parler des vrais problèmes. Tous les moyens sont bons pour distraire l'opinion publique. On a même fait appel à sainte GRETA qui du haut de ses 16 ans nous menace des pires fléaux. Certains députés Français l'ont appelée au secours. Greta Thunberg invitée d’honneur des QAG : l’Assemblée se couvre de ridicule. L’écologie a besoin de savants, pas d’une ado manipulée et manipulatrice. Pourtant le constat fait à l'échelle européenne est évident. Pour les états de l’U.E la réponse est massive et sans ambiguïté. Le problème N°1 est l'immigration et cela depuis 3 ans consécutifs dans les enquêtes.
L'« enquête Eurobaromètre standard de l'automne 2018 » (EB90) s'est fondée sur des entretiens individuels menés entre le 8 et le 22 novembre 2018. 32.600 personnes ont été interrogées dans les États membres de l'UE et dans les pays candidats.
Constat non partagé par Macron, silence total ou presque sur le sujet. 4 mois de débat, ou plutôt de show de campagne, et ces deux problèmes essentiels sont occultés. Ces inquiétudes, et la politique immigrationniste des technocrates de l'U.E avec l'aval de certains dirigeants sont la cause de la vague populiste qui ne cesse de grandir.
De nombreux dirigeants comme en France Macron, ne sont pas en phase avec le peuple. Dernier sondage, seulement 28% des français approuvent sa politique. Ces dirigeants tenants de la mondialisation, du multiculturalisme, font en sorte que ces discussions disparaissent des débats. Préoccupation première des états européens pour l’Europe, loin devant toute autre préoccupation ' L'immigration '
La population Française comme d'autre pays de l'U.E vit donc très mal cette immigration massive incontrôlée, elle craint une issue comme celle prévue par l'ancien ministre de l'intérieur, G. Collomb, le face à face entre communautés ou le partage du territoire dont parlait Hollande.
L'immigration telle qu'elle se pratique depuis quelques années est un problème crucial pour les Français !
On n'a pas pu ni su intégrer les immigrations antérieures et on continue à augmenter le flot d'immigrés. Le seuil de saturation est atteint et l'intégration devient une gageure, Blanquer en est conscient
C'est bien de faire des constats Monsieur Blanquer, mais on fait quoi ?
Alors deux interrogations, pourquoi le problème de l'immigration non contrôlée ressenti par les populations de l'UE comme un problème essentiel est mis sous le tapis ? Pourquoi cette montée des populismes, et ce rejet massif de l'immigration dans l'U.E ? A la première interrogation, on peut répondre que Mondialistes et Populistes ont deux visions antagonistes du monde. Pour les mondialistes de l'U.E comme pour Macron, la nation, la culture, l'identité n'existent pas et le migrant interchangeable et malléable à merci est la variable d'ajustement, c'est cela la projection de leur monde nouveau.
Rien n'est fait chez nous et dans l'U.E pour renouveler les générations de manière endogène. Contrairement à nous, certains pays comme la Hongrie prennent des mesures contre la dénatalité. La France elle, fait de l'immigration la variable d'ajustement avec les conséquences que l'on connaît. Pour stimuler sa natalité, entre autres mesures, la Hongrie offre 30.000 euros aux couples faisant trois enfants
Le profit, unique objet des préoccupations des mondialistes. Merkel, ce n'est pas une folle générosité qui l'a incitée à faire venir un million de migrants, ânerie dont elle paye les conséquences politiques, et son peuple les conséquences sociales et sécuritaires. Elle aussi a fait le constat que le multiculturalisme était un échec.
A la seconde interrogation sur les populistes et le rejet de ce projet, on peut dire que le populiste a une réaction de survie, il ne veut pas mourir, être sacrifié sur l'autel du mondialisme.
Il se rend compte tous les jours que plus le migrant est éloigné de nos cultures, plus son nombre est important et incontrôlé, plus son intégration devient difficile, voire impossible.
Les populistes sont uniquement dans un raisonnement de bon sens, ni dans la xénophobie, le racisme, ou autres balivernes ânonnées par les bobos et les mondialistes qui veulent culpabiliser tous ceux qui ne pensent pas comme eux et qui sont aujourd'hui la majorité.
Le multiculturalisme devient multi conflictuel c'est ce que les français constatent dans leur quotidien. C'est une évidence pour tous les pays de l'U.E Tout cela pour une raison évidente, nous n'avons pas respecté une règle d'or <On ne peut recevoir plus d'immigrés qu'on ne peut intégrer.>
Dans l'intérêt de ceux qui arrivent et celui de ceux qui reçoivent.
Ce n'est que du bons sens !
Si cette règle d'or n'est pas appliquée, alors, le résultat est celui que nous connaissons en France. Le communautarisme gagne du terrain, des ghettos, des rivalités entre ethnies se multiplient, le vivre ensemble devient impossible.
Nous continuons de recevoir des gens dans des conditions inhumaines. Le seuil de tolérance est déjà atteint et le rejet est majoritaire, alors qu'une immigration contrôlée, choisie est et a toujours été positive.
La France a toujours été un pays d'accueil, d'immigration, mais pas de submersion migratoire incontrôlée formant des archipels communautaires.
Aucun pays ne peut y résister il y perd son âme et son identité.
On se rend compte que les communautés fonctionnent en autarcie, certaines communautés ne se sentent pas impliquées dans les drames nationaux.
Elles ne se sentent pas plus Notre dame, ou Gilets Jaunes qu'elles ne se sentaient Charlie. Elles brandissent des drapeaux de pays qu'elles ne connaissent souvent pas. Plus grave, de nombreux jeunes issus de diverses ethnies et pays disent qu'ils sont français par leurs papiers, mais qu'ils ne se sentent pas français. On a échoué à leur faire aimer notre pays.
Comment construire une cohésion nationale dans ces conditions ?
Il faut prendre les mesures adéquates, mesures adéquates pour intégrer ceux qui sont en France et établir contrôles et quotas pour des nouveaux migrants. Ces quotas ne peuvent en aucun cas être définis par une supranationalité Européenne, mais par la nation seulement et son parlement, sinon on ira vers le chaos. Nous devons être souverains pour ce type de décision qui engage l'avenir de la nation.
Je crois sincèrement que dans la communauté la plus nombreuse chez nous, la majorité des musulmans a souhaité et souhaite encore s’intégrer, mais ce qui les éloigne de plus en de cette intégration et les pousse au communautarisme, c'est la faiblesse de nos réponses face aux exigences communautaires culturelles ou cultuelles comme celles de l'Islam radical politique.
On laisse les salafistes prospérer dans les banlieues.
On n'applique pas ni les lois sur les tenues interdites dans les piscines, ni sur la burqa, l'interdiction de la Burqa n'est pas appliquée, Ridoine l'évadé de prison en hélicoptère, pour échapper aux forces de police portait une burqa dans un quartier difficile pour échapper aux contrôles de police.
On négocie sans cesse sur des demandes communautaires radicales qui affaiblissent la république, pour des raisons idéologiques ou bassement éléctoralistes ; dans les hôpitaux, dans les écoles, dans les services publics la radicalisation n'est pas réprimée.
On laisse ouvertes des mosquées ou certains Imams radicaux prêchent le suprématie de la religion sur la république.
Alors devant notre faiblesse, comment voulez-vous que les musulmans choisissent ?
La France n'aura encore le choix que dans un délai court, au delà duquel ce sera le non retour.
D'après Gérard Collomb, dans 5 ou 6 ans la situation serait irréversible, d’autant plus que les communauté concernées relèvent en général de religions qui s’accommodent difficilement de toutes les mesures sociétales récentes jugées beaucoup trop libérales et incompatibles avec leurs prescriptions religieuses !
C'est Macron aujourd'hui qui a les clés entre ses mains, mais semble bien timoré quand on voit son rejet du plan banlieue et ses manœuvres de banalisation et minimisation des vrais problèmes.
Le premier défi à relever est la reconquête de ces territoires perdus de la république. Le travail est immense, mais c'est une condition sine qua non.
https://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/societe-multiculturelle-ou-multi-217025
Un tweet du magazine Closer suscite à juste titre de vives réactions. Le magazine people (et il n’est pas le seul) écrit que l’animateur de télévision homosexuel Christophe Beaugrand et son “mari” “attendent un enfant”. L’expression est ridicule. Que l’on sache, aucun de ces deux homosexuels ne va accoucher. La vérité est plus crue. Et les mots justes dérangent. Christophe Beaugrand et son acolyte ont loué le ventre d’une femme et vont acheter un enfant. C’est cela la GPA. Et, à l’heure actuelle, c’est interdit en France.
Invité de BFMTV lundi soir, François de Rugy a dénoncé :
«Je suis la victime d’une cabale, d’un lynchage». «Ils ne se sont pas emparés d’un sujet mais d’une cible».
Il était moins hostile à ces méthodes lorsque la victime était François Fillon ou Nicolas Sarkozy…
Persuadé que cela «peut arriver à n’importe qui d’autre demain», l’ex-ministre de la Transition écologique et solidaire a jugé qu’
«on ne peut pas raconter tout et n’importe quoi dans l’impunité». Si un problème se pose sur une chaîne de télévision, n’importe quel citoyen peut saisir le CSA. (…) Bizarrement, cela n’existe pas pour internet».
Et donc il plaide pour une autorité étatique…
«Moi je crois en une forme de régulation». «J’ai toujours dit que, en effet, j’étais attaché à la liberté de la presse. Vous ne m’entendrez jamais dire qu’il faut censurer la presse. Mais je suis aussi attaché au respect des principes».
https://www.lesalonbeige.fr/vous-reprendrez-bien-un-peu-de-censure-2/