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magouille et compagnie - Page 1150

  • RICHARD FERRAND DOIT DEMISSIONNER ! par Marc Rousset

    3919228288.2.jpgNous disons à Richard Ferrand qu’il a définitivement perdu toute autorité morale pour présider l’Assemblée nationale…

    Ce « nous » n’est pas de majesté, qu’on se rassure ! Il n’est que de circonstance. Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale, quatrième personnage de l’État, vient donc d’être mis en examen pour prise illégale d’intérêts dans la fameuse affaire des Mutuelles de Bretagne. Selon la formule consacrée, bien évidemment, Richard Ferrand est présumé innocent. Cela va sans dire, mais on va le dire quand même.

    Immédiatement, à l’annonce de cette mise en examen, la Macronie a fait meute. Gilles Le Gendre, gardien du troupeau de La République en marche à l’Assemblée, l’a dit, avec le ton docte de ceux qui ont – pardon, qui sont – la vérité : « Je ne vois pas en quoi le maintien de Richard Ferrand à ses fonctions puisse en rien abîmer l’institution et empêcher son fonctionnement normal. » Et c’est vrai que, sur le plan strict du droit, rien n’impose à un élu mis en examen de démissionner. D’ailleurs, Gilles Le Gendre évoque une « tradition politique » qui « a perverti le sens de cet élément de procédure : la mise en examen, c’est d’abord une disposition pour protéger les droits de la défense dans une procédure judiciaire ». Mettons.

    Il y a un mois, on nous expliquait que si le ministre d’État François de Rugy démissionnait, alors qu’il n’était même pas mis en examen, rappelons-le, c’était pour mieux préparer sa défense dans le « Homardgate » et ne pas nuire à l’action du gouvernement. Mettons, encore.

    En 2017, François Bayrou, éphémère garde des Sceaux, mis en cause dans une affaire d’emplois fictifs, mais non mis en examen, lui aussi démissionnait pour ne « pas exposer le gouvernement et le président de la République ». Il avait notamment expliqué cette décision par sa volonté de « préserver » la loi de moralisation de la vie publique, son enfant à lui qu’il avait apporté dans la corbeille de mariage avec Emmanuel Macron. On sait ce qu’il advint de cette loi de moralisation. Moralisation, ça faisait ringard, morale à papa – mouche ton nez, dis bonjour à la dame -, alors on transforma cela en loi (en fait, deux lois : une ordinaire, une organique) « pour la confiance dans la vie politique ». Toute une usine à gaz pour, finalement et faire court, interdire à un député d’embaucher sa femme – sa maîtresse, c’est encore possible. Mais mettons, encore et toujours…

    Rien n’oblige légalement Richard Ferrand à démissionner. « La justice suit son cours, la vie politique continue dans le cadre qui est le sien », affirme Gille Le Gendre. Il va d’ailleurs être intéressant de voir ce que la Justice, qui est indépendante, comme chacun sait, va faire dans les prochaines semaines. Le procureur de la République va-t-il demander la levée de l’immunité parlementaire du député Ferrand ? Et, dans ce cas, quelle sera la décision du bureau de l’Assemblée nationale ? Ce bureau qui avait décidé, rappelons-le, en novembre 2018, de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, accusée d’avoir diffusé, sur Twitter, des photos de victimes de Daech. Le bureau avait alors justifié sa décision en déclarant qu’il ne se prononçait « ni sur la qualification pénale, ni sur la réalité des faits invoqués » mais qu’il ne devait apprécier que « le caractère sérieux, loyal et sincère » de la demande de la Justice, ce qu’il avait estimé être le cas. Il avait donc conclu froidement qu’il autorisait « le juge à délivrer un mandat d’amener à l’encontre de Mme Le Pen ». S’il arrivait la même chose à M. Ferrand, ce serait donc probablement une première d’avoir au perchoir un mis en examen et dont l’immunité parlementaire a été levée.

    Concluons sur une citation désormais historique : « Nous disons à François Fillon qu’il a définitivement perdu toute autorité morale pour diriger l’État et parler au nom de la France. » Un tweet daté du 14 avril 2017 et signé Richard Ferrand.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/09/14/richard-ferrand-doit-demissionner-par-marc-rousset-6175765.html

  • France : l’aide au départ volontaire pour les migrants est portée de 650 à 2.500€ jusqu’à fin 2019

    L’aide au départ volontaire pour les sans-papiers et les demandeurs d’asile déboutés en première instance va passer de 650 à 2.500 € jusqu’à la fin de l’année 2019. Cette prime exceptionnelle du ministère de l’Intérieur vise à réduire le nombre d’expulsions forcées, qui coûtent très cher et sont peu efficaces. La France prend aussi en charge le billet d’avion.

    Selon l’Office français de l’immigration et de l’intégration(OFII), en 2018, 10.678 étrangers dont 2.709 mineurs ont bénéficié d’un retour volontaire, ce qui représente une augmentation de 50% par rapport à 2017. Côté expulsions, 15.677 éloignements forcés ont été effectués par la police l’an dernier. Le nombre de retours volontaires pourrait donc bientôt dépasser celui des départs forcés.

    Pour rappel, en juin dernier, deux députés du Modem et de LREM, Jean-Noël Barrot et Alexandre Holroyd, révélaient dans un rapport le coût très élevé des éloignements forcés, 14.000 € en moyenne, alors qu’un retour volontaire coûte de 2.500 à 4.000 euros, voyage compris.

    Le Dauphiné

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-france-va-offrir-2500-euros-et-le-billet-davion-aux-migrants-qui-acceptent-de-rentrer-volontairement-dans-leurs-pays

  • Hymne de France-Albanie, un couac qui aurait été évité… par des militaires !

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    Thierry Decruzy, Polémia cliquez ici 

    A force de tirer sur les budgets, de vouloir faire des économies, de n’écouter que les technocrates, on en arrive à l’incident diplomatique et le Président de la République se trouve obligé d’intervenir, sans éviter l’humiliation. La musique n’est pas une simple affaire d’argent...

    France-Albanie au Stade de France, samedi 7 septembre. Dans la cérémonie d’ouverture du match la sono fait entendre l’hymne de l’Andorre, stupeur sur la pelouse où les joueurs sont alignés et dans les gradins où attendent les supporters. Stupeur doublée de scandale quand le présentateur du Stade de France, ancien animateur radio, confond dans ses excuses l’Albanie avec l’Arménie !

    La France ridiculisée

    L’organisation et la Fédération française de football sont ridiculisées. 80 000 spectateurs plus les télévisions du monde entier, l’ambassadeur d’Albanie, les représentants du football européen… le scandale est immense. Le match va débuter avec sept minutes de retard. Ils se sont tous confondus en excuses, président de la Fédération, sélectionneur de l’équipe de France… Le Premier ministre albanais parle de « gaffe scandaleuse », obligeant le Président de la République lui-même à présenter les excuses de la France.

    Les ministres et les médias savent très bien donner des leçons sur la prétendue homophobie des supporters, les uns comme les autres sont incapables d’assurer une prestation internationale.

    Se défausser sur un lampiste

    Ce que les médias se gardent bien de dire, c’est que l’incompétence n’est pas celle du technicien qui se serait trompé de nom de fichier — faut toujours accuser un lampiste –, il n’est pas censé connaitre les hymnes et n’a pas à écouter les fichiers-sons qui lui sont fournis. Et d’ailleurs, distinguer l’hymne de l’Albanie de celui de la Principauté d’Andore, même à “Question pour un champion” ils n’auraient pas osé !

    La responsabilité de cette erreur colossale incombe aux plus hautes instances de la FFF qui ont accepté la dégradation du cérémonial. En effet, ces prestations étaient traditionnellement fournies par des orchestres militaires, des musiciens professionnels connaissant parfaitement les hymnes et donc incapables de commettre de telles bévues. Sauf que dans la logique financière actuelle, les orchestres militaires facturent leurs prestations. Pour les technocrates, une simple bande-son libre de droits fait largement l’affaire. Et tout le monde sait que les journalistes n’aiment pas la musique militaire. On peut constater le lamentable résultat et ses conséquences internationales en matière d’image de marque pour la France et sa diplomatie.

    Remplacer des musiciens par un enregistrement

    La prestation d’un orchestre est un spectacle apprécié du public. En juin 2017, la musique de la Garde républicaine avait mis le feu au Stade de France pour l’ouverture du match France-Angleterre avec une chanson en hommage aux victimes de l’attentat de Manchester. Ces musiciens savent s’adapter, ils préparent une mise en scène et exécutent une chorégraphie dans une tenue irréprochable, ce service a un coût. Sa contrepartie se traduit par une qualité et une émotion qu’un enregistrement envoyé dans les circuits de sonorisation ne peut transmettre, surtout pas avec une inversion de fichier, mais ce sont des critères qui n’entrent pas dans les calculs des technocrates.

    Il ne faudrait pas trop les pousser dans cette voie pour que ces individus nous proposent de mettre en place des matchs virtuels sur écrans géants. Dame ! terminés les cachets stratosphériques des joueurs, leurs déclarations jugées racistes et l’homophobie des supporters…

    Nul doute qu’un “crâne d’œuf” du ministère des Sports a déjà conçu une nouvelle nomenclature performante pour gérer des hymnes nationaux enregistrés et libres de droits, jusqu’à la prochaine erreur du technicien. Qui pourrait leur dire que la musique n’est pas une affaire de techniciens, mais d’artistes ?

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Reportage : « Éoliennes, le vent de la colère »

    Trouvé sur Boulevard Voltaire : Les projets d’implantation d’éoliennes se multiplient un peu partout en France. Parmi les derniers projets en cours, les Hautes-Alpes. Les Hautes-Alpes, c’est pourtant le lac de Serre-Ponçon, c’est un département à la nature préservée, c’est le parc naturel des Écrins, les parcs régionaux du Queyras, des Baronnies. Une centaine d’éoliennes sont prévues. Il y a les Pyrénées, le Maine-et-Loire, le Centre-Val de Loire.

    Il y a Chartres. Même le site emblématique de la cathédrale de Chartres, premier site classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO, est menacé d’encerclement par des éoliennes. De nombreuses associations appellent à une manifestation, le 21 septembre prochain, pour s’opposer au projet.

    Il y a l’Ille-et-Vilaine, en Bretagne, il y a aussi la Dordogne. Le 24 août 2019, près de 600 personnes ont défilé dans les rues de la commune de Saint-Aulaye. Dans le cortège, beaucoup d’élus. Des maires, des députés, des conseillers départementaux. Il y a aussi beaucoup d’associations de protection de l’environnement (la FED, la fédération Environnement durable, Association 3D, Forces Périgord 24, Stop Éolien 16, Vent du bocage). Il y a aussi l’association Chasse, pêche, nature et traditions. Le projet qui porte sur cinq éoliennes de 182 mètres de hauteur fait hurler une bonne partie de la population dispersées sur trois communes – 94 % des habitants concernés se sont prononcés contre.

    « Une affaire d’argent »

    Pour Jean-Louis Butré le président fondateur de la FED, l’association Environnement durable, « il s’agit d’une affaire d’argent. C’est subventionné ! À partir du moment où des promoteurs installent des éoliennes sur la France, ils gagent beaucoup d’argent qui est pompé sur la facture d’électricité des contribuables français. Les fonds financiers qui alimentent les sociétés éoliennes, il y en a partout ! Il y a des promoteurs d’éoliens qui sont partis avec un milliard d’euros ! »

    Pour Julien Aubert, député LR de Vaucluse et rapporteur spécial sur le budget de l’énergie, « il y a des promoteurs qui ont des attitudes de cow-boys et qui ne disent pas toute la vérité sur la manière dont les choses se déroulent. Certains m’ont raconté qu’on leur avait proposé de l’argent pour régler un problème sans avoir à passer par des tribunaux… »

    20.000 éoliennes prévues… pas aussi « propres » qu’ont le dit ?

    Avec la loi sur la transition énergique, l’État prévoit la mise en place de 20.000 éoliennes partout dans l’Hexagone. Il en existe 8.000, actuellement, dans le pays.

    http://www.contre-info.com/reportage-eoliennes-le-vent-de-la-colere#more-59260

  • En pleine grève et de sa « voiture de fonction », Sibeth Ndiaye soutient les usagers des transports en commun !

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    Le vendredi 13 est connu pour porter la poisse ; mais à ce point, qui aurait pu imaginer ?

    Ainsi, cette déclaration de Sibeth Ndiaye, sémillante porte-parole du gouvernement, concernant les grèves des transports en commun du lendemain : « Demain matin, j’utilise ma voiture de fonction, comme tous les jours. Donc, je serai de tout cœur avec les Franciliens qui galéreront dans les couloirs du métro. »

    Si Sibeth Ndiaye n’existait pas, faudrait-il l’inventer ? Telle est la question qui doit actuellement occuper des cervelles du Château, déjà fort mobilisées par l’immédiate actualité.

    L’autrice de ces mots, désormais immortels, « Yes, la meuf est dead ! », lorsque devant officialiser la mort de Simone Veil devant des journalistes un brin incrédules devant tant de virtuosité sémantique, n’en est donc pas à son premier coup d’éclat en matière de stand-up.

    Déjà, au défilé du 14 Juillet, elle débarque en pyjama, le haut arborant cette punchline : « Tous les garçons et les filles… » À croire que son tee-shirt Hello Kitty était en transit à la buanderie de Matignon dévolue aux élites républicaines. Puis, en pleine affaire François de Rugy, elle imagine malin de tweeter : « Nous avons conscience que nos concitoyens ne mangent pas du homard tous les jours. Bien souvent, c’est plutôt des kebabs. »

    Là, une fois de plus, caramba et encore raté, à en croire la très fouillée enquête de nos confrères du Point, la consommation de cette chose à manger, créée en Allemagne en 1970, ne participerait que de loin à la diversité culturelle de nos assiettes : « Les 360 millions de kebabs écoulés en 2018 arrivent loin derrière les 2,4 milliards de sandwiches, les 1,2 milliard de burgers et le milliard de pizzas vendus en 2018. »

    Voilà qui aurait de quoi faire méditer Sibeth Ndiaye sur ces considération politico-gastronomiques, qui, tranquillement véhiculée dans les fauteuils plein cuir – que foutent les militants vegan, on se le demande ? – de sa « voiture de fonction », alors que tant d’autres clampins s’entassent sur ces quais desquels on ne voit rien venir, ni sœur Anne, ni métros et encore moins de RER.

    Comme il fallait s’y attendre, les réseaux sociaux n’ont pas tardé à réagir, avec l’ironie glaciale qui, parfois, peut être la leur. Il est vrai que la principale intéressée aurait un peu tendance à leur mâcher le travail, surtout quand, dans la foulée, elle défend un Richard Ferrand, président de l’Assemblée nationale venant tout juste d’être mis en examen et qui n’en demandait sûrement pas tant.

    Sibeth Ndiaye : « C’est un homme loyal, droit, qui a eu un parcours politique exemplaire. » Certes. Le meilleure reste pourtant à venir : « C’est un homme qui comme beaucoup d’autres a fait un choix qui n’est pas évident, quitter sa famille politique, en cohérence avec ses idées. Dans la vie d’un homme c’est quelque chose qu’il faut noter. »

    Si l’on résume, Richard est un « homme loyal » parce qu’il a trahi ses amis. Cela doit participer d’une certaine forme de sagesse exotique que nous, pauvres Gaulois, sommes incapables de saisir.

    En attendant, nous sommes bien heureux d’apprendre que, de sa voiture de fonction, cette grande dame puisse compatir à nos petits malheurs.

    Ne reste plus qu’à lui offrir une chaise à porteurs, moyen de locomotion susceptible d’alléger son bilan carbone et de rehausser celui de sa proximité politique vis-à-vis du bas peuple.

    Nicolas Gauthier

    https://www.bvoltaire.fr/en-pleine-greve-et-de-sa-voiture-de-fonction-sibeth-ndiaye-soutient-les-usagers-des-transports-en-commun/

  • Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    Déjà des dizaines de trains, bus, covoiturages pour venir à Paris le 6 octobre

    De toute la France, des moyens de transport sont réservés pour se rendre à Paris le jour de la mobilisation.

    L’AFC du Rhône propose dès à présent d’acheter une ou des places dans les bus en partance de Lyon, Villefranche et Belleville. Une partie du billet est pris en charge par l’AFC pour ses adhérents à jour de cotisation, profitez-en ici !

    De l’ouest de la France partiront également des cars : Lorient, Vannes, Locminé, Ploërmel et Guer. Pour plus d’info, contactez l’AFC du Morbihan.

    Beaucoup d’autres inscriptions en ligne sur ce site :

  • Racisme anti-Blanc : merci Thuram, merci Diallo !

    Une tribune libre de Bertrand Estienne pour Contre Info : Après les propos insultants du footballeur au QI de poule, Lilian Thuram, sur les Blancs, c’est au tour de la militante « indigéniste » [sic] Rokhaya Diallo d’en ajouter une couche.

    Dans un entretien au magazine bobo les Inrocks, tout en parlant de « fragilité blanche » face au « stress racial », elle affirme que que ce n’est pas la même chose de traiter quelqu’un de « sale Noir » ou de « sale Blanc ». Selon elle, les Blancs, par manque d’habitude, sont chancelant à la moindre évocation de la race.

    A contrario, les extra-européens auraient l’habitude de subir des discriminations, des humiliations à cause de leurs origines. Mais dans le monde selon Diallo, c’est justement par ce que nous sommes des « privilégiés » que l’insulte raciste n’est pas vraiment une offense. Passons sur l’ineptie du raisonnement, notamment sur la valeur objective d’un acte ou bien sur la contradiction qu’il renferme, pour nous arrêter sur l’essentiel.

    Grâce aux Diallo, Thuram, Dhorasoo et consort, il n’est plus possible pour un esprit qui cherche ardemment la vérité, de ne pas se rendre à l’évidence. Cette génération d’extra-européens pourtant gâtée (2 footballeurs, 1 universitaire, etc.), se retourne aujourd’hui vers la main qui l’a nourri pour la mordre à pleine dents ! L’heure n’est plus à réclamer l’égalité des droits – qui était déjà une aberration en soi – mais ils exigent désormais la soumission de l’Homme blanc.

    Si ces discours racistes ont comme bénéfice de réveiller certaines consciences, ils participent également à l’écroulement d’un mythe, celui de la conception révolutionnaire de la nationalité. Selon le dogme républicain, peu importe le sang, l’antériorité historique sur le territoire ou même les services rendus à l’Etat, ce sont les papiers qui font foi.
    Un Érythréen détenteur du RSA avec la double nationalité depuis 2 mois est « autant français » que le petit-fils d’un Poilu mort à Verdun.
    Car dans la mythologie progressiste, la race n’existe pas. Elle ne peut donc pas faire partie de l’identité d’un individu, et ne peut être un élément constitutif de l’appartenance à une nation.

    Si la race n’est pas à elle seule l’identité, si elle n’est pas non plus un absolu, elle est une part de notre héritage. Elle en est la matière, le support physique. Son altération irréversible par le métissage généralisé, signerait la disparition définitive de la France.

    C’est en ce sens que nous pouvons remercier Diallo et sa clique d’abrutis. Leur idéologie dangereuse (pour nous) et l’échos qu’en fait une certaine presse, rappellent à la réalité de doux rêveurs.
    Le « Vivre ensemble » est un mensonge, il n’a jamais existé et n’existera jamais. Si les Français de sang ne veulent pas maîtriser et dominer l’apport allogène, ce sera une partie du corps étranger qui s’emparera du pouvoir. Si les Français ne désirent pas assumer la maîtrise de leur destin, Diallo et Thuram s’en occuperont.

    Bernanos écrivait en son temps : « Peut-être le vice est-il moins dangereux pour nous qu’une certaine fadeur ? Il y a des ramollissements du cerveau. Le ramollissement du cœur est pire. »

    http://www.contre-info.com/racisme-anti-blanc-mercithuram-mercidiallo#more-59245

  • Les migrants viennent pour « nous sauver » : pourquoi les écolos de gauche aiment tant les immigrés

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    Comment expliquer que les écologistes radicaux embrassent à ce point la cause du multiculturalisme ?

    La planète se meurt. C’est parce qu’il concerne l’humanité entière que l’environnement devrait transcender les clivages politiques. Au Canada, même le Parti conservateur – une formation jugée climatosceptique – a fini par présenter un plan environnemental.

    Il existe évidemment un courant écologiste de droite. En France, le Rassemblement national estime qu’il n’y a pas de nation sans terroir, et que ce pays ne serait pas lui-même s’il devait renoncer à ses paysages.

    Sans eux, la France ne serait plus la France, mais un grand square bétonné et désenchanté. La France ne sera plus la France quand ses vignobles seront recouverts de serres affreuses abritant des poivrons à destination de la Chine.

    La gauche veut le monopole de l’écologisme  

    Pourtant, l’écologisme continue d’être perçu comme ancré à gauche. Malgré qu’il puisse s’harmoniser avec l’amour de la patrie, l’écologisme dominant demeure profondément antinationaliste. En Amérique du Nord, aucun parti vert n’a encore cru bon de défendre le peuple en tant que tel, sinon pour l’encourager à abandonner l’usage de l’automobile.

    Le peuple est bon quand il fait pousser des carottes sur le toit de son immeuble, mais dangereux quand il entend protéger sa culture. Le peuple est progressiste quand il réduit sa consommation de viande, mais intolérant quand il se méfie de l’islamisme.

    A gauche, les démocrates Ilhan Omar (avec le foulard) et Bernie Sanders. Devant les micros, la démocrate Alexandria Ocasio-Cortez. Le 24 juin 2019 à Washington. © J. Scott Applewhite/AP/SIPA Numéro de reportage: AP22350636_000005

    Il existe une explication au préjugé multiculturaliste des écologistes radicaux. Ces derniers détestent l’Occident, qu’ils accusent d’avoir engendré la crise écologique en inventant le progrès. Le progrès sous sa forme technologique, bien sûr, mais aussi sous sa forme idéologique appelant au constant dépassement.

    Dieu les bénit et leur dit : Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et soumettez-la, dominez sur les poissons de la mer, les oiseaux du ciel et tous les animaux qui rampent sur la terre. (Gn 1.28)

    Tous les grands théoriciens de l’écologisme radical, ou presque, font de l’anthropocentrisme judéo-chrétien la source ultime de la crise actuelle. Dans son bestseller catastrophique Earth in the Balance (1992), le baptiste Al Gore reconnaissait lui-même la critique adressée à l’humanisme chrétien, tout en s’efforçant de la relativiser.

    Cette vanité humaine aurait plus tard engendré l’appel du progrès technologique et de la croissance économique. Dieu a fait l’Homme à son image, qui s’est fait Dieu en retour. L’Occident chrétien, capitaliste et matérialiste devrait être remplacé par quelque chose d’autre.

    Les immigrés comme sauveurs climatiques

    Ainsi, les cultures étrangères ont commencé à être perçues comme des instruments destinés à sauver l’Occident de lui-même. Le marxisme avait fait des immigrés le nouveau prolétariat, l’écologisme en fait le nouvel éco-peuple. L’attrait actuel pour les religions asiatiques comme le bouddhisme s’inscrit d’ailleurs dans cette dynamique.

    Le multiculturalisme devient une politique écologique, il freinerait la pollution en bloquant l’assimilation de groupes qui n’ont pas encore été infectés par l’Occident prométhéen. Les gens dans le besoin ne peuvent pas surconsommer…

    Il faut notamment revoir le film Avatar (2009) pour constater à quel point ce mythe est présent dans la culture populaire. En 2154, des méchants Terriens (Occidentaux) débarquent sur la planète Pandora habitée par d’innocents extraterrestres (Indigènes). Le personnage principal, Jake Sully, laissera tomber sa culture productiviste pour trouver l’amour et embrasser l’animisme.

    On retrouvait déjà une logique similaire dans The Last Samurai (2003). Dans ce film, un militaire américain (Tom Cruise) allait joindre le camp adverse, celui des valeureux Samouraï, pour retrouver la paix intérieure. Entre la paix intérieure et la paix écologique, il n’y avait qu’un pas à faire.

    Le retour du bon sauvage

    L’écologisme radical, dans son imaginaire irrationnel, essentialise les immigrés qu’il voit comme de potentiels bonhommes écologiques. Au Canada, cette vision xénophile se traduit depuis longtemps par la défense inconditionnelle des Premières Nations (qui ne sont toutefois pas des communautés immigrées)

    Les Amérindiens seraient naturellement prédisposés à conserver la nature, ils ne seraient au fond que les éternels jardiniers de notre fragile existence. Que les personnes autochtones conduisent maintenant des voitures ne change rien à l’affaire : le mythe du bon sauvage n’est jamais très loin.

    Évidemment, il suffit de voyager un peu pour constater à quel point il s’agit d’un énorme fantasme. Le confucianisme est loin d’avoir préservé la Chine de la pollution. La crise écologique ne pourra être réglée qu’en développant des technologies vertes, et non en demandant aux populations de redévelopper des modes de vie austères supposément apparentés à ceux des immigrés, qui au contraire cherchent à améliorer leur sort économique.

    La solution viendra de l’Occident et non des contrées exotiques. Pour se payer le luxe de l’écologisme, il faut d’abord pouvoir se nourrir convenablement.

    Source : Le Causeur

    https://www.alterinfo.ch/2019/09/13/les-migrants-viennent-pour-nous-sauver-pourquoi-les-ecolos-de-gauche-aiment-tant-les-immigres/

  • Réforme des retraites : le tournant du quinquennat Macron ?

    La grève massive dans les transports parisiens marque le début du premier bras de fer du gouvernement avec les syndicats dans le cadre de sa réforme des retraites. Pour parvenir à ses fins et mettre à plat les avantages exorbitants de la RATP, la majorité dispose d’une étroite fenêtre de tir et devra composer avec l’arrivée des élections municipales.

    Paris bloqué

    L’immense majorité des lignes de métro ainsi que des RER ne fonctionnent pas ce vendredi. La grève annoncée sème une petite pagaille dans la capitale. Comme pour la canicule, la disproportion entre la panique des franciliens et les difficultés rencontrées montre l’absence totale de résilience de nombreux français ou habitants du pays.

    Quoiqu’il en soit, la grève a un peu bouleversé le quotidien de millions de personnes et paralysé une partie de l’activité économique même si, télétravail et développement numérique oblige, ce genre de mouvement est moins nuisible qu’il y a quelques années.
    Les raisons de la mobilisation de la RATP ? L’harmonisation des régimes de retraite voulue par le gouvernement, un nouveau système que le premier ministre Edouard Philippe veut « universel », ce qui en réalité veut plutôt dire « équitable », puisque tous les travailleurs ou presque seraient logés à la même enseigne.

    Une mise à plat pour plus de justice sociale ?

    Une mise à plat des systèmes de retraites qui agace les corporations privilégiées et leurs syndicats mais qui dans le principe permettrait de favoriser une certaine justice sociale. Le travailleur manutentionnaire, le carreleur et le commerçant, dont la tâche est bien souvent autrement plus fatigante que celle de l’employé de la RATP, n’aurait ainsi plus à payer les petits avantages d’une minorité.

    Le régime de retraite de la RATP a d’ailleurs été pointé du doigt à de nombreuses reprises par la Cour des comptes… dans cette structure, 42.000 salariés peuvent partir à la retraite à 57 ans et même 52 pour le personnel roulant et celui en souterrain. En 2017 l’âge de départ à la retraite à la RATP était en moyenne de 56 ans environ contre 63 dans le privé et 61 dans le public…

    En plus de cet avantage non négligeable, les pensions à la RATP sont bien coquettes, ainsi les retraités de 2017 ont une pension brute moyenne de 3 705 euros contre 2206 pour un fonctionnaire d’Etat.

    Des avantages tout à fait appréciables pour les agents RATP payés par… les contribuables français, c’est-à-dire par vous ! Notamment par les jeunes générations qui n’ont aucune assurance de toucher un jour une retraite et qui n’ont pas nécessairement envie de régler l’ardoise de baby boomer en uniforme vert…

    Cette première journée de mobilisation a donc tout du round d’observation pour le gouvernement qui a indiqué sa feuille de route calendaire jeudi au CESE. L’épreuve de force sera cruciale pour le gouvernement Philippe et pourrait même constituer un tournant dans le quinquennat Macron. Une mission pas facile alors qu’un sondage indiquait récemment que plus de 70 % des français pensent que le Premier ministre n’est pas à même de mener une bonne réforme.

    Ce sujet sera abordé lors du JT de TV Libertés de ce soir

    https://www.tvlibertes.com/actus/reforme-des-retraites-le-tournant-du-quinquennat-macron

  • Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite

    Le «Monsieur Retraite» du gouvernement cumule son salaire avec plusieurs pensions... de retraite
    Jean-Paul Delevoye, le 10 septembre 2019, à Paris (image d'illutration).
    Alors qu'il est en charge d'offrir des pistes au gouvernement sur la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye bénéficie en plus de son salaire de différentes pensions de retraite.
    Une méthode qui n'est pourtant pas illégale.                      
    Dans son édition du 10 septembre, la publication numérique La Lettre A révèle que depuis son entrée au gouvernement, le 3 septembre dernier, le haut-commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye, bénéficie, en plus de son salaire, de plusieurs pensions de retraite.
    L’ancien ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’Etat et de l’Aménagement du territoire sous Jacques Chirac percevra sa retraite du régime général en plus de celle d’ancien élu local.
    Néanmoins, celui qui a été député et sénateur, actuellement engagé dans une réforme des retraites de grande ampleur, ne touchera aucune des deux pensions auxquelles il aurait le droit en tant qu’ancien parlementaire.
    Celles-ci seront, comme le prévoit la loi, suspendues pendant toute la durée de son passage au gouvernement.
    En effet, les règlements des deux institutions ne permettent pas de les agréger à un salaire de ministre.                   
    En tant que ministre délégué auprès de la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, Jean-Paul Delevoye touchera un salaire brut mensuel de 10 135 euros auxquels s’ajouteront donc ces quelques émoluments. La pratique n’a rien d’illégal puisque, comme le rappelle La Lettre A, cette possibilité de double rémunération, cumulant salaire et pension de retraite, n’est pas encadrée légalement.
    L'ancien président de l’Association des maires de France, qui exerçait en dehors du gouvernement, avait dans un premier temps renoncé à bénéficier de ces sommes.
    Lorsqu’il avait été nommé haut-commissaire à la réforme des retraites, en septembre 2017, il avait choisi de déduire ses pensions de retraites de sa rémunération individuelle.
    Il lui aura fallu deux ans pour changer d’avis.
    «En tant que ministre, sa rémunération est indexée à celles des autres membres du gouvernement, et arrêtée par décret», explique son cabinet auprès de La Lettre A.
    «Sa mission étant par essence temporaire, il ne voulait pas abandonner définitivement ses droits», confirme son entourage.
    RT France