Deux vidéos qui décryptent le phénomène mondial autre que spontané qu’est devenue la climato-fanatique Greta Thunberg, nouvelle coqueluche des médias. Et l’imposture du réchauffement climatique anthropique.
Francesca de Villasmundo
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Deux vidéos qui décryptent le phénomène mondial autre que spontané qu’est devenue la climato-fanatique Greta Thunberg, nouvelle coqueluche des médias. Et l’imposture du réchauffement climatique anthropique.
Francesca de Villasmundo
Bernard Plouvier
Samedi 16 mars 2019, vers 22h25, sur France Ô (TNT-19, pour les amateurs de sigles), dans un spot publicitaire annonçant une émission branchée de la semaine à venir, une actrice noire vient se plaindre de n’avoir pas assez de grands rôles et dit : « Dans un pays métissé comme la France, Y en a marre ».
Effectivement, il y en a marre des macroneries, après les Hollandouilleries et le cirque bling-bling de Sarkozy, qui faisait suite à la France Black-Beur de l’écœurant Chirac !
Où, quand, comment nos politicards ont-ils pris l’avis de la Nation quant à cette arrivée massive d’extra-européens sur notre terre, arrivée massive qui aboutit à cette « France métissée », dont parle l’obscure comédienne ?
Cessons d’enfiler les lieux communs sur la charge fiscale, qui ne baissera jamais sauf pour les amis et sponsors du titulaire provisoire du Pouvoir, ou sur des problèmes écologiques qui se poseront de moins en moins en une France devenue un Désert industriel. Que l’on cesse de nous casser les pieds (pour rester courtois) avec la pollution industrielle : il n’y a pratiquement plus d’industrie en France, ce qui est d’ailleurs la principale cause structurelle du chômage de longue durée qui atteint désormais 6 millions de Français.
Commençons par le seul vrai problème, celui qui met en cause l’avenir de notre Nation et son intégrité : ce brassage par apport massif de populations non-européennes, dont a parlé l’actrice noire. Avant de poursuivre cette politique, anthropologiquement suicidaire, il est absolument indispensable de prendre l’avis du peuple souverain, car ni Macron ni son successeur ne sont ni ne seront jamais les maîtres de la République française : seul le corps électoral est souverain-maître de l’État.
Une fois ce referendum réalisé, soit notre Nation aura décidé sa mort par brassage généralisé, soit elle l’aura repoussé et l’on pourra commencer le grand rembarquement des nouveaux arrivants vers leur continent d’origine.
C’est cela et cela seul, le vrai Grand Débat, le vrai problème à résoudre de façon démocratique. En cas de refus persistant des politiciens de la faction dominante à organiser ce plébiscite, la Nation – se sentant en danger de mort et se proclamant victime d’une tyrannie – sera autorisée à déclencher une Révolution... ce qui est toujours la pire éventualité à envisager, à l’exception de celle de la mort de la Nation : c’est l’amputation du membre gangrené pour éviter l’issue fatale du malade.
L’alternative est simple, comme très souvent dans les cas de force majeure : ou l’on prend enfin l’avis de la Nation souveraine sur l’unique menace qui obère son avenir ou la Nation se révolte.
Éric Drouet est incontestablement une figure majeure des gilets jaunes, que cela nous plaise ou pas. Il a été surveillé de près et arrêté par le pouvoir en décembre. Et, ces derniers temps, il a semblé vouloir infléchir le mouvement. La semaine dernière, il appelait, à la surprise de tous – mais peut-être pas de l’extrême gauche –, à l’union gilets jaunes/banlieues en soutenant les deux jeunes de Grenoble qui s’étaient tués accidentellement en tentant d’échapper à la police. Pour beaucoup d’observateurs, comme Olivier Damien le disait ici, c’était dénaturer et assassiner le mouvement des gilets jaunes. C’était l’un des pièges pointés ici par Lucien Paillet.
Et voici que, vendredi, il publie sur Facebook une vidéo où il assure que cet acte XVIII sera pour lui le dernier : « Après cette journée, en tout cas pour moi, ça sera fini les manifestations […] Marcher, on a prouvé que ça fonctionnait pas. » Il appelle désormais à « de vraies actions », comme le blocage de certains sites spécifiques, susceptible de toucher directement à l’économie française. Dès le 8 mars, il publiait une vidéo au titre évocateur : « Blocage national complet raffineries-ports. » L’idée étant d’« avoir un vrai impact d’un coup », avec un « blocage total ».
Si l’idée de fédérer gilets jaunes et banlieues en révolte laissait pantois, le constat sur l’usure et l’inefficacité du mouvement est lucide. Et Éric Drouet, comme beaucoup d’autres leaders de mouvements sociaux, découvre cette réalité de fer : l’inefficacité des manifestations. Dernier exemple en date : LMPT et son incapacité à obtenir quoi que ce soit, autant en manifestant qu’en se structurant ou en entrant dans le jeu des partis. Et la lucidité d’Éric Drouet est bienvenue, même si les gilets jaunes ont, eux, réellement fait peur au pouvoir et obtenu tout de même des satisfactions : dix milliards et un grand bazar de débat. Ce n’est pas rien.
C’est un phénomène général que l’on trouve, d’ailleurs, dans des mouvements sociaux plus traditionnels par leur aspect corporatiste. Par exemple, chez les enseignants : les journées de grève ponctuelles aux motifs fourre-tout ne font plus recette et l’idée fait son chemin chez beaucoup que, pour obtenir quelque chose, pour faire peur à l’administration, il faut toucher où ça peut lui faire mal, notamment vis-à-vis de l’opinion publique. D’où, par exemple, l’idée de grève les jours d’examen, la seule action qui dérangerait vraiment le gouvernement. Un syndicat, le SNALC, a déposé un préavis de grève de février à juillet couvrant tous les enseignants qui se mettraient en grève ces jours-là.
Désormais, le mouvement des gilets jaunes est mis en demeure, par sa nature même, de se réinventer, et dans ses revendications, et dans ses modes d’action, et dans sa stratégie vis-à-vis du pouvoir. Éric Drouet n’apporte peut-être pas les bonnes réponses. Mais il pose parfois de bonnes questions.
En ce soir de l’acte XVIII, devant les images des violences parisiennes, on avait le sentiment d’être revenu en décembre. Et le prix des carburants est lui aussi revenu exactement à son niveau d’il y a six mois. On a comme l’impression que rien n’a changé. Si, une chose : Emmanuel Macron pouvait tranquillement skier à La Mongie.
Le feuilleton du Brexit[1] continue donc. La complication extrême de la procédure et celle du débat le rendent presque incompréhensible.
L'une des clefs des comportements politiques résulte certes, en démocratie, de la tendance à privilégier les considérations partisanes, sur l'intérêt national. Mrs May se préoccupe d'abord, depuis son arrivée au pouvoir 2016, de l'unité factice de son parti, profondément divisé. Et ceci vaut encore plus pour le comportement hypocrite de Jeremy Corbyn à la tête des travaillistes.
Les partis avant la patrie : nous connaissons bien cela en France.
Le vote intervenu le 14 mars à la chambre des Communes ouvre en effet la voie, sous réserve du ralliement d'une partie des Brexitteurs, et d'une confirmation unanime des 27 Continentaux[2], à un report, de quelques mois et peut-être même de deux ans.
Si Thérésa May n'obtient pas l’aval de ses députés le 20 mars, le risque de "no deal", crainte commune à Londres comme à Bruxelles, ne doit pas être sous-estimé. Si elle n'obtenait pas du Conseil européen des 21 et 22 mars un report jusqu'à fin juin, le temps de faire voter les lois d’application du traité, de la date butoir du 29 mars... alors c'est un report nettement plus long qui risquerait de s'imposer. On parlait de 21 mois supplémentaires il y a quelques semaines... Comme le discord euro-britannique existait déjà en 1979, il y a 40 ans, lors de la création du serpent monétaire, pourquoi pas attendre encore 40 ans, jusqu’en 2059.
Rappelons quelques données politiques intérieures au Royaume-Uni, résultant des précédentes péripéties.
Le 11 mars, un dernier accord était intervenu entre Thérésa May et les Continentaux. Il comportait de légères retouches par rapport aux conclusions des longues et méticuleuses négociations conduites, du côté de l'Union européenne par Michel Barnier.
Le soir même il était repoussé à la chambre des Communes par 391 voix contre 242. Entre-temps la locataire du 10 Downing Street avait obtenu ralliement de 42 parlementaires qui avaient voté contre la précédente mouture le 14 janvier, mais on doit aussi rappeler que les tories détiennent depuis les élections, pourtant calamiteuses, de juin 2017, 317 sièges.
La majorité très courte de Mrs May, au sein d'une chambre des communes comptant 650 membres, englobe par ailleurs 10 unionistes nord-irlandais.
Lui font donc toujours défaut 327-242 = 75 bréxiteurs...
Le lendemain 12 mars, les parlementaires se prononçaient sur un amendement très important. Il prévoit d'exclure un Brexit sans qu'ait été conclu un accord avec l’Union européenne. Ceci s'entend : à quelque moment que ce soit. Pas seulement le 29 mars. Autrement dit, pas de sortie sans la conclusion d'un traité avec l'Europe.
Ceci change tout.
Cette évolution va dans le sens du discours tenu, assez hypocritement d'ailleurs, par le chef actuel des travaillistes le très suspect Jeremy Corbyn. Celui-ci déclare : "Des choix doivent maintenant être faits." Et d'annoncer qu'il "remettra en avant sa proposition"tendant à maintenir le Royaume-Uni au sein d’une union douanière avec l’Union européenne.
Or, jusque-là, le gouvernement n'en voulait pas. Mais la coalition conservatrice a été mise en minorité, le Parlement adoptant cette nouvelle ligne par 312 voix contre 308.
Au soir du 11 mars, Mrs May s’était dite très déçue par le vote.
Pour elle cependant, la voie semble désormais libre pour demander, et probablement obtenir, des Continentaux un délai qui risque de se révéler substantiel. Étonnamment ressoudés par toute cette crise, les 27 ont laissé entendre ces derniers temps qu'ils s'y résoudraient.
Ainsi, contre toute attente, et contre les résultats du référendum de 2016, il ne s'agirait pas seulement de retarder la date du Brexit, mais peut-être même d'y renoncer.
JG Malliarakis
Apostilles
tnref1" name="_ftn1">[1] Lire aussi nos chroniques du 19 février "Devant l'imbroglio du Brexit" et du 14 mars "Ce que démontre le débat britannique"
[2] Je m'autorise à nommer ainsi les 27 États actuellement membres de l'Union européenne, bien que 3 d'entre eux, l'Irlande, Chypre et Malte soient eux aussi insulaires. L'Europe étant une autre réalité que les institutions de l'UE, l'Angleterre et l'Écosse resteront "européennes" quoiqu'il advienne.
Géraldine Woessner (Europe 1) est une journaliste spécialisée dans la « vérification des faits ».
Tandis qu’Emmanuel Macron s’offre quelques jours à la station de ski de La Mongie (Hautes-Pyrénées), Paris connaît de sombres violences :
Loïc Lecouplier, secrétaire national du syndicat de police Alliance estime que c’était prévisible :
“Nos indicateurs savaient aussi que les black blocs allaient venir ainsi que des gens de nationalités étrangères. On savait donc que cela risquait d’être très fortement agité.”
Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ Selon les médias subventionnés, c’était hier encore une grossière “Fake news”. Aujourd’hui, la transformation du siège de la France au Conseil de sécurité de l’ONU en un siège partagé est ouvertement évoquée par l’Allemagne.
On connait depuis longtemps la perfide Albion, égale à elle-même ; mais voici maintenant la perfide Allemagne de Merkel.
Signé dans une discrétion suspecte, le traité d’Aix-la-Chapelle a été pour les médias du système un moyen d’attaquer les droites souverainistes françaises en les accusant de véhiculer des fake news.
Il est vrai qu’ annoncer la vente à l’Allemagne de l’Alsace et de la Lorraine au-delà même de la Moselle de 1870 était assez surréaliste.
Moins évident, le renforcement de l’Allemand sur cette terre française d’influence historique germanique, sur lequel règne un flou inquiétant.
Mais voila que le dernier point, c’est-à-dire la suppression du siège de sécurité donné à la France à la fin de la Seconde Guerre mondiale, revient en force. Et là, pas d’infox mais une offensive Merkel. Une OPA hostile sur notre statut de grande puissance. Certes, ce n’est pas l’Allemagne vaincue qui va remplacer la France soi disant victorieuse. Mais le siège cent pour cent français depuis 1945 deviendrait un siège européen à la demande de Berlin. Nous risquons de perdre la seule chose qui compte dans le « Machin », le droit de veto. On attend une réaction de Macron.
La chancelière allemande a en effet apporté le 11 mars son soutien à des propositions pour l’Europe de son parti conservateur, qui se démarquent de celles du président français, prônant notamment un siège européen unique au Conseil de sécurité de l’ONU.
Angela Merkel a souligné que ce siège devait avoir pour vocation de « réunir les voix européennes au Conseil de sécurité de l’ONU », et donc de faire disparaître le siège dont dispose la France pour elle seule ?
« Je pense qu’il s’agit d’un très bon concept pour l’avenir », a déclaré la chancelière à Berlin à propos des propositions de réformes de l’Union européenne publiées au cours du week-end par celle qui l’a remplacée en décembre à la tête du parti démocrate-chrétien allemand (CDU), Mme Annegret Kramp-Karrenbauer, surnommée AKK.
Cela ressemble à une gifle aux propositions européennes du président Macron qui ont été un bide absolu chez nos partenaires d’Ouest en Est. Sa lettre aux Européens démontre finalement que sa stratégie d’être le guide de l’Europe des progressistes est mort-née.
A cela on peut ajouter que l’Allemagne souhaite la suppression du parlement de Strasbourg si cher aux Français. Emmanuel Macron a quant à lui proposé la création d’un « bouclier social » pour les Européens et évoqué dans ce contexte une (illusoire) « même rémunération sur le même lieu de travail et un salaire minimum européen, adapté à chaque pays ». L’Allemagne est contre.
Finalement, Angela Merkel apparaît comme plus hostile à Macron que le Hongrois Orban et l’Italien Salvini. On voit bien qu’un siège européen au Conseil de sécurité, dans l’état actuel de division de l’Europe, est une stupidité.
Les Anglais, grâce au Brexit, ne sont pas concernés et vont sauver leur veto mondial… Mais ils n’auraient de toute façon jamais accepté la proposition Merkel. Espérons que la France aura la fermeté de dire non à un recul supplémentaire de son rôle mondial déjà si affaibli.
Quand au « renouveau de l’Europe par le couple franco-allemand » que nous avait promis Emmanuel Macron, il est interdit d’en rire.
Pierre Boisghilbert 12/03/2019
https://www.polemia.com/onu-la-france-privee-de-droit-de-veto-par-lallemagne/
Les autorités d’un district de l’Allemagne rurale ont dissimulé une longue liste de crimes de demandeurs d’asile, y compris le viol, les voies de fait et les abus sexuels sur enfants, afin de ne pas «susciter des préjugés», aurait-on allégué.
Selon des chiffres internes de la police, 117 infractions pénales ont été commises dans des logements de réfugiés à Boostedt, dans le nord de l'Allemagne, au cours des trois derniers mois, et des migrants du tiers monde hébergés dans d'autres logements de la municipalité ont été répertoriés comme suspects de 23 autres crimes.
Il y avait eu François Hollande à la une de Closer, en scooter et rue du Cirque, à l’occasion d’un de ses va-et-vient incessants chez Julie Gayet. Comme tout un chacun, Popaul a lui aussi le droit d’aller au cirque.
Christophe Castaner, lui, à défaut d’être le premier des Français, n’est pas le dernier des flics. Dans le rang protocolaire, il est, bien sûr, en dessous de son auguste prédécesseur. Mais quand l’un faisait la couverture d’un seul hebdomadaire à scandale, l’autre réalise le doublé : Closer et Voici. Et ce, en aussi galante compagnie. Pour Voici, elle se prénomme « Clara » ; à en croire leurs confrères de Closer, ce serait plutôt « Emma ». Quoi qu’il en soit, il ne s’agit pas d’Hélène, son épouse depuis 36 ans (version Closer) ou 25 ans (hypothèse Voici).
Que d’imprécisions… Que fait la police ? Et quid de l’appel du devoir ? Pour Christophe Castaner, c’était plutôt le devoir de la pelle, à la manière dont il embrassait goulûment « Clamma » ou « Era ». Et pas n’importe où, tel qu’il se doit.
Ainsi, et en la matière, ces deux célèbres gazettes concordent néanmoins sur le fil des événements : c’était le samedi 9 mars, au Noto, restaurant branché du VIIIe arrondissement parisien, juste au premier étage de la fameuse salle Pleyel. Le tout en compagnie de 150 happy few dont les portables dernier cri – pas loin d’un SMIC l’unité – ne demandaient évidemment qu’à être dégainés. Ce qui fut fait, et pas qu’un peu.
Là, point de poids des mots, mais surtout le choc des photos. Était-ce pour honorer la traditionnelle amitié franco-russe, mais Christophe Castaner avait un peu chargé le yack au niveau vodka. D’où de pétillants yeux vitreux, une démarche plus que chaloupée – même issus de chez Berluti, des souliers à bascule demeurent des souliers à bascule – et une chemise au col largement ouvert, histoire de faire un peu mieux circuler la chaleur humaine caractérisant ce méridional des plus expansifs. Un peu « kéké », tel que le murmure son entourage ? Ou tout juste un peu « konkon », à en croire le même entourage ?
Du coup, logique, monsieur le juge. Les mauvaises rencontres, la situation qui vous échappe, l’entourage malveillant : oui ! La pente fatale, monsieur le juge. Et c’est ainsi qu’on se retrouve à se trémousser sur Time of My Life, la chanson phare de Dirty Dancing, sorte d’acmé de la civilisation hollywoodienne. Les snobs objecteront que Christophe Castaner n’est pas tout à fait connu pour ses mœurs Grand Siècle. Mais lui, au moins, ne fait pas croire qu’il se rend chaque année à Bayreuth, tel un certain DSK.
Enfant un peu perdu, persécuté par un père militaire dont la fantaisie n’était pas au rang de ses qualités premières, notre ministre de l’Intérieur a plutôt été élevé à l’école de la rue qu’à celle de l’ENA. Joueur de poker aux fréquentations plus que limite, il n’hésite pas à confier, sur le plateau de Thierry Ardisson – l’autre grand moraliste qu’on sait -, que la belle Hélène l’aurait remis dans « le droit chemin ». À LCI, il avoue même : « J’ai la chance que mes filles aient une maman qui est hyper-disponible et me sécurise. »
« Disponible » ? Sûrement pas assez, à en croire ces clichés volés n’en finissant plus d’agiter le Landernau politico-médiatique. Qui le « sécurise » ? Que ce soit au Noto ou dans les « quartiers », la lutte contre l’insécurité ne paraît pas être encore tout à fait gagnée.
Pour le moment, Élysée et Matignon lui conservent une totale confiance. Personne n’y croit, mais c’est ainsi qu’on dit quand on ne peut pas dire autre chose. Après, cette affaire est-elle finalement si grave ? En va-t-il de l’abaissement de la France dans le monde ou de sa possible perte d’un précieux siège au Conseil de sécurité de l’ONU ? Foutre que non. Un tel épisode pourrait-il même aider à rendre ce gouvernement de start-uppers un peu plus humain ? Foutre que oui. Ça doit être le syndrome Jean-Vincent Placé.
Après, libre au lecteur et à l’électeur de préférer Aurélien Taché ou Aurore Bergé.
Dans un nouvel ouvrage mené en forme d’enquête, Philippe de Villiers revient aux sources de la construction européenne. Il plonge au cœur du mythe de ce que l’histoire a nommé les Pères Fondateurs de l’Europe, Jean Monnet et Robert Schuman, pour proposer une lecture inédite : l’ADN de l’Union Européenne porte en elle les racines de la déconstruction.
A quelques mois des élections, il décrypte les étapes successives qui ont rythmé l’UE pour la dessiner telle qu’elle est aujourd’hui : morcelée, tiraillée et dévitalisée.
https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-philippe-de-villiers-sur-la-deconstruction-europeenne