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magouille et compagnie - Page 1473

  • JEAN-LUC MÉLENCHON SOUTIENT LES PROFANATEURS DE SAINT-DENIS

    Jean-Luc Mélenchon, après Clémentine Autain, dans la tradition des pires révolutionnaires, apporte son soutien aux profanateurs.

    Suite aux exactions d’Éric Coquerel à la basilique Saint-Denis, les Français ont réagi sur les réseaux sociaux devant l’horreur de cette deuxième profanation.

    Jean-Luc Mélenchon, après Clémentine Autain, dans la tradition des pires révolutionnaires, apporte son soutien aux profanateurs. 

    Solidaire avec @ericcoquerel pris à parti par l'extrême droite pour son action de solidarité avec les réfugiés dans la basilique.

  • Les amitiés d’Emmanuel Macron et Alain Juppé avec Hashim Thaçi, accusé de trafic d’organes

    Le président Emmanuel Macron ne manque pas de surprendre en recevant à l’Elysée un chef d’Etat étranger plus que controversé, le sieur Hashim Thaçi, président du Kosovo.

    La visite date du 14 mars et, curieusement, n’apparait pas à l’agenda présidentiel. C’est Hashim Thaçi qui en a dévoilé quelques clichés via les réseaux sociaux.

    Or, un rapport du Conseil de l’Europe datant de 2011 accuse Hashim Thaçi d’avoir dirigé un trafic international d’organes, de 1998 à 2000, pendant la guerre du Kosovo. Ces organes ont été prélevés notamment sur des centaines de prisonniers serbes.

    Le rapport européen stipule que « De nombreux indices concrets et convergents confirment que des Serbes ainsi que des Kosovars albanais ont été tenus prisonniers dans des lieux de détention secrets sous contrôle de l’UÇK au Nord de l’Albanie et soumis à des traitements inhumains et dégradants, pour finalement disparaître ». Les trafiquants exécutaient les prisonniers d’une balle dans la tête, les opéraient et vendaient leurs organes à des cliniques étrangères.

  • Un scandale fait chuter Facebook : l’affaire Cambridge Analytica

    Les actionnaires de Facebook ont perdu des millions de dollars sur les marchés boursiers, la faute à un nouveau scandale qui n’est pas prêt de se calmer.

    Le réseau social a réagi en suspendant toute activité avec Cambridge Analytica, la société qui est accusée d’avoir collecté les données personnelles de 50 millions d’utilisateurs.

    Des deux côtés de l’Atlantique, des enquêtes vont être menées. En Grande-Bretagne, un mandat va être émis pour avoir accès aux serveurs de Cambridge Analytica, filiale américaine de la société britannique, SCL (Strategic Communication Laboratories). Et il a été demandé à Facebook de suspendre sa propre enquête.

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  • Faire échec aux dirigeants staliniens de la CGT

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    Le 17 mars, un ami et lecteur de longue date de L'Insolent, faisait part de sa préoccupation. Il s'inquiétait de la date de la conférence que je donnerai, quoiqu'il arrive, si Dieu nous prête vie, le jeudi 22 mars, alors que, m'écrit-il, "plus aucun métro ne marchera."(1)

    Il me donnait comme référence le lien d'un site, bien significatif de l'atmosphère, "Vos nouvelles du Val d’Oise". La page d'accueil, non datée, diffuse l'anticipation qui avait circulé les jours précédents : "Pas de RER ni de métro, jeudi 22 mars. Grève SNCF du jeudi 22 mars : les conducteurs de RER et du métro s’associent avec les grévistes de la SNCF".(2)⇓

    Votre serviteur et chroniqueur répond d’abord qu'on verra bien… Si ne nous sommes que quatre, nous n’en mourrons pas… J’apporterai un jeu de cartes… La salle est réservée et elle ne nous coûte rien.

    D’autre part l'avenir n'appartient qu'à Dieu, pas aux directions du parti communiste, de la CGT et de la prétendue France insoumise. La rumeur de cette grève à la RATP est propagée par la CGT et ses amis dans les médias. Cela crée un climat. "La" grève est supposée tout paralyser. On se rapproche mythiquement de la "grève générale".

    Cependant l'annonce de ce blocage me semble un peu contradictoire avec :

    1° Les dates de la grève perlée décidée le 15 mars, par la réunion de l’Intersyndicale. Cela commence le 3 avril et cela promet de durer jusqu'au 28 juin. Merci pour les 5 millions d'usagers quotidiens du transport ferroviaire.

    2° La manif elle-même des syndicats : comment les manifestants vont-ils se déplacer ?

    Nous devrions moins focaliser, à propos de ce sujet, sur les divisions entre centrales syndicales. Les quatre principales représentées au sein de la SNCF font, en réalité, et en ce moment, front commun.(3)⇓

    Elles sont poussées par une base qui souhaite à 93 % enrayer les perspectives du rapport Spinetta.(4)⇓

    Or, désormais cette base très large est devenue, du fait même de son élargissement, moins "révolutionnaire" que "conservatrice des avantages acquis". Le premier syndicat français n'est plus la CGT, devancée par la CFDT, talonnée par l'UNSA.

    Au sein de la CGT elle-même, Martinez n'a pris les rênes de l'organisation qu'au prix d'une manœuvre obscure qui ressemblait fort à une opération des staliniens contre les réformistes.(5)⇓

    Aujourd'hui c'est précisément au sein du syndicalisme SNCF que se situe la principale force d'opposition à la ligne jusqu'au boutiste et politisée, de Martinez et de son appareil. Rappelons par exemple que Martinez s'est, par ses prises de position très politiques, assez clairement éloigné de la tradition de la CGT, même sous contrôle communiste.

    Laurent Brun secrétaire général de la CGT cheminots, plaide surtout, de son côté, pour que soit mis en avant son "rapport sur le développement du service public ferroviaire" concocté comme contre-projet conservateur du "monopole d'État".

    Soulignons ici que le même Laurent Brun lors du 51e congrès de la CGT, en avril 2016 à Marseille, avait tenu à la tribune un discours fidèle aux positions d’ouverture relative des deux précédents secrétaires généraux, Louis Viannet et Bernard Thibault. Il avait été l'un des rares à mettre en garde contre la grève générale à tous crins.

    Le congrès avait intronisé Martinez, qui avait fait siffler ces positions par ses partisans.

    Un des enjeux de la confrontation entre la réforme gouvernementale et les appareils syndicaux se situe à ce point précis.

    Il faut donc bel et bien en finir avec le legs stalinien du prétendu modèle hexagonal.

    Si l'on veut détruire Carthage, on ne doit pas céder devant son chantage.

    JG Malliarakis 

    Lien FB de l'insolent

    Apostilles

    1. dans le cadre de l'Institut d'Histoire sociale.
    2. cf. Vos Nouvelles du Val d’Oise 
    3. cf. Chronique des événements courants sur le site de l'Institut d'Histoire sociale. 
    4. cf. la Mobilettre de Gilles Dansart, spécialiste indépendant de référence pour l'actualité ferroviaire et des transports. 
    5. cf. "CGT : Quelques questions sur l'affaire Le Paon" Chronique des événements courants du 17 août 2015.

    http://www.insolent.fr/

  • Nicolas Dhuicq : "La droite est tombée toute seule dans le piège de François Mitterrand"

    Extraits de la tribune de Nicolas Dhuicq ex-LR ayant rejoint DLF et les Amoureux de la France :

    "Les derniers jours ont montré que les barons de la droite française n’étaient pas simplement les plus bêtes du monde, ils sont aussi les plus lâches ! Les réactions pavloviennes de tout l’Etat-major des Républicains aux propos courageux et de bon sens de Thierry Marini ne m’ont pas surpris… Ils m’ont atterré !

    Ces condamnations tous azimuts montrent non seulement que les Républicains ne tirent aucune leçon de leurs défaites successives mais qu’ils entendent poursuivre leur pulsion de mort politique ! Sans même prendre le temps d’écouter ce que dit Thierry Mariani, ils se sont tous précipités pour se soumettre systématiquement à la pensée unique de leurs adversaires politiques.

    Soumis à la gauche et aux tenants de l’idéologie dominante qui ruinent la France, les Républicains se trouvent de facto inaptes à représenter la majorité silencieuse des Français qui ne supportent plus d’être gouvernés par des incapables et des hypocrites qui font au pouvoir le contraire de ce qu’ils promettent en campagne électorale.

    La droite est tombée toute seule dans le piège de François Mitterrand(...) Tant pis si cette fatwa devait couper la droite du peuple français et de ses aspirations à protéger son identité, garantir la justice sociale et affirmer son indépendance nationale.

    Laurent Wauquiez prétend que la droite est de retour en 2017 mais pense recommencer la stratégie de Nicolas Sarkozy en 2007 ! En refusant d’entendre ce que Thierry Mariani affirme, ce que le parti-Chrétien-Démocrate a affirmé en rejoignant les Amoureux de la France avec Nicolas Dupont-Aignan et ce que j’ai moi-même affirmé en quittant les Républicains pour Debout la France, Laurent Wauquiez entretient un double mensonge (...)

    Tout d’abord, l’équipe Wauquiez prétend que Thierry Mariani serait une personnalité isolée. Or, au-delà des personnalités que j’ai déjà évoquées, un récent baromètre de la Sofres montrait que les sympathisants républicains étaient désormais 43% à souhaiter une alliance avec le Front National ! Par ailleurs, plus de la moitié des sympathisants hostiles à un accord ne souhaitent pas que les Républicains combattent le Front National ! Qui, au final, est isolé de sa propre base ? (...) Ce mépris des barons LR est donc insupportable (...)

    Deuxième mensonge, celui de la ligne politique. Il est grotesque d’affirmer que le Front National serait un parti d’extrême-droite ! Lors d’une émission politique de grande écoute sur France 2 pendant la primaire de la droite, Alain Juppé a été confronté par les journalistes au programme du RPR sur l’immigration qu’il avait lui-même établi. Constatant que ce programme était plus dur que celui de Marine Le Pen, Alain Juppé n’a rien trouvé de mieux à faire que de s’excuser d’avoir défendu des mesures qui pourtant d’autant plus justifiées aujourd’hui qu’il y a trente ans ! Quant au programme de Debout la France, il correspond peu ou prou à ce que devait défendre Laurent Wauquiez et son équipe s’il était sincère dans les valeurs qu’il prétend incarner (...)

    J’appelle donc tous mes amis des Républicains à cesser de vivre dans ce double mensonge et de prendre leurs responsabilités historiques pour suivre les récents succès de nos mouvements amis en Autriche et en Italie qui ont su discuter et s’allier pour gagner les élections."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Quatre jours pour déclarer une Guerre froide

    La Syrie et la Russie avaient la certitude que des agents US préparaient depuis la Ghouta une attaque chimique contre la Ghouta

    Thierry Meyssan

    Quatre jours pour déclarer une Guerre froide

    La semaine qui vient de s’écouler a été extraordinairement riche en événements. Mais aucun média n’a été en mesure d’en rendre compte car tous ont délibérément masqué certains d’entre eux pour protéger la narration qu’en faisait leur gouvernement. Londres a tenté de provoquer un conflit majeur, mais a perdu face à la Russie, au président Trump et à la Syrie.

    Le gouvernement britannique et certains de ses alliés, dont le secrétaire d’État Rex Tillerson, ont tenté de lancer une Guerre froide contre la Russie.

    Leur plan prévoyait d’une part de mettre en scène un attentat contre un ex-agent double à Salisbury et d’autre part une attaque chimique contre les « rebelles modérés » dans la Ghouta. Les conspirateurs entendaient profiter de l’effort de la Syrie pour libérer la banlieue de sa capitale et de la désorganisation de la Russie à l’occasion de son élection présidentielle. À l’issue de ces manipulations, le Royaume-Uni aurait poussé les USA à bombarder Damas, dont le palais présidentiel syrien, et demandé à l’Assemblée générale de l’Onu d’exclure la Russie du Conseil de sécurité.

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  • Garde à vue pour Sarkozy – Explications

    Il est loin, le temps où l’homme politique était un notable respecté. Désormais, il passe fréquemment par la case « garde à vue » et « tribunal ».

    Attendu prochainement à Londres pour une conférence lucrative, l’ancien président Nicolas Sarkozy s’est retrouvé ce mardi 20 mars au matin en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre, dans le cadre de l’enquête sur le possible financement par la Libye de sa campagne présidentielle de 2007.

    Une information judiciaire avait été ouverte à ce sujet en avril 2013, et confiée à plusieurs juges d’instruction du pôle financier de Paris, dont Serge Tournaire, celui-là même qui avait déjà renvoyé Sarkozy devant le tribunal dans l’affaire Bygmalion.

    Par ailleurs, Brice Hortefeux a été convoqué comme suspect libre et est actuellement entendu lui aussi par la police.

    Tout démarre en mai 2012, lorsque le site Mediapart publie un document libyen évoquant un financement de la campagne électorale de Sarkozy par Kadhafi.

    L’affaire avait ensuite alimenté régulièrement les chroniques politiques. Comme le 20 septembre 2012, lorsque Abdallah Senoussi, ancien directeur du renseignement militaire du régime libyen, avait affirmé devant le procureur général du Conseil national de transition libyen que Kadhafi avait financé la campagne de Nicolas Sarkozy. Ou comme en novembre 2016, en pleine primaire du parti Les Républicains, lorsque un certain Ziad Takieddine avait affirmé avoir transporté 5 millions d’euros en liquide de Tripoli à Paris entre fin 2006 et début 2007 et les avoir remis à Claude Guéant et à Nicolas Sarkozy. Ce Ziad Takieddine est depuis mis en examen pour « complicité de corruption d’agent public étranger » et pour « complicité de détournements de fonds publics en Libye ».

    La presse cite aussi les carnets de Choukri Ghanem, ancien ministre libyen du pétrole, mort en 2012 dans des circonstances encore suspectes. Dans ses carnets, il évoquerait également des versements d’argent à Nicolas Sarkozy.

    Les propos de Bechir Saleh, ancien grand argentier de Kadhafi, vont dans le même sens : « Kadhafi a dit qu’il avait financé Sarkozy. Sarkozy a dit qu’il n’avait pas été financé. Je crois davantage Kadhafi que Sarkozy. »

    L’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) a remis un rapport aux magistrats qui détaille les mécanismes utilisés pour faire circuler l’argent liquide au sein de l’équipe de campagne de Nicolas Sarkozy

    De son côté, Claude Guéant a été mis en examen pour « faux et usage de faux » et pour « blanchiment de fraude fiscale » .

  • Une nouvelle loi contre le racisme : ça nous manquait !, par Francis Bergeron

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    9076-20180322.jpgCertains croyaient notre pays déjà doté du plus gigantesque empilement de lois antiracistes qui aient jamais été imaginées : loi du 23 juillet 1881, loi Pléven de 1972, loi Gayssot de 1990, loi de 1992 sur la réforme du Code pénal etc. Le dispositif semblait plus que complet, débordant, même.

    Aujourd’hui la provocation publique à la discrimination, à la haine ou à la violence raciale est sanctionnée par un an de prison et 45 000 euros d’amende. Mais même des propos racistes tenus en privé sont passibles de 1 500 euros d’amende. L’injure publique à caractère racial vaut six mois de prison et 22 500 euros d’amende, l’apologie de crime contre l’humanité est punie de cinq ans de prison. Le refus de fournir un bien pour des raisons raciales et autres est puni de trois ans de prison et 45 000 euros d’amende. La discrimination pratiquée par un représentant de l’autorité publique vaut cinq ans de prison. Une violation de sépulture à caractère racial est punie de trois à cinq ans de prison etc.

    Alors que manque-t-il à cet arsenal ? Une aggravation générale ? La peine de mort ?

    Il semble que le gouvernement ait considéré qu’il y avait « un trou dans la raquette ». C’est pourquoi le Premier ministre Edouard Philippe et huit membres de son gouvernement se sont rendus au Musée de l’histoire de l’immigration (on n’ose écrire l’ex-musée des Colonies, sous peine de tomber sous le coup de la loi et d’être à notre tour condamnés !) pour détailler les nouvelles dispositions.

    Un plan 2018-2020 a été présenté pour lutter contre la « flambée d’actes antisémites et antimusulmans » recensés ces dernières années (comme par un fait exprès, les actes antifrançais, antichrétiens, comme l’assassinat du père Hamel, n’ont pas été cités). Ce plan vise plus spécifiquement des propos tenus sur internet. Les grands réseaux sociaux qui laissent passer ce genre de propos pourraient se voir condamnés à une amende pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros. Des réseaux d’enquêteurs et de magistrats vont être recrutés pour traquer « la parole haineuse ». Un budget de 40 millions d’euros a été débloqué à cet effet. Les enquêteurs pourront prendre des pseudonymes, infiltrer des groupes de discussion, avec le risque, d’ailleurs, comme on l’avait vu après l’attentat de la synagogue de la rue Copernic, attribué à tort à des néo-nazis, de se retrouver dans des groupes… ne comportant que des policiers infiltrés !

    Les affaires Ilian Halimi, Sarah Halimi, Merah, hypercacher de Vincennes, les expulsions d’imams prêchant la haine et poussant au meurtre, montrent bien que des crimes racistes, antichrétiens, antisémites, antifrançais, sont parfois commis, mais toujours par les mêmes. Cette loi est-elle faite pour combattre ces crimes ?

    Sandwiches au porc

    Il faut craindre, dans ce domaine, le principe de précaution. Un principe de précaution qui a déjà abouti à la censure de Céline et de Maurras, au retrait des livres de l’historien de l’histoire militaire Jean Mabire de certains musées, à des procès scandaleux, comme ceux qui furent intentés contre Présent il y a une trentaine d’années.

    Les commentateurs de ce projet de loi se sont empressés de l’illustrer non par le prêche d’appel au meurtre de tel imam marseillais, mais par des propos présumés racistes d’un adhérent du FNJ, ou par la présence de sandwiches au porc distribués à des SDF toulousain ! On devine les visées totalitaires qui président en fait à ces multiplications d’interdits, à ce quadrillage de la pensée et de l’expression, sans rapport avec les vrais enjeux.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/210068/une-nouvelle-loi-contre-le-racisme-ca-nous-manquait-par-francis-bergeron/

  • A la juste question qu'Atlantico posait hier, la réponse est Oui !

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    20 mars 2018
    http://lafautearousseau.hautetfort.com/
  • L’entreprise Facebook une nouvelle fois sous le feu des projecteurs suite à la collection et l’utilisation de nombreuses données personnelles

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     INTERNATIONAL (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Suite à des révélations du New York Times la semaine dernière, le géant du numérique Facebook fait face à une nouvelle controverse. Les données personnelles de 50 millions d’utilisateurs récupérées sans leur accord auraient été utilisées par Cambridge Analytics, une entreprise de communication. Les informations personnelles de 270 000 personnes auraient tout d’abord été récupérées via une application proposant un test de personnalité. Ces données étaient collectées de manière légale, les utilisateurs ayant donné leur accord tacitement en se connectant à l’application via leur compte Facebook. Grâce à une fonctionnalité du réseau social, l’application a par la suite pu entrer en possession des informations des contacts de ces personnes, soit plusieurs dizaines de millions d’individus. Toutes ces données ont été utilisées par la suite pour cibler des publicités sur les utilisateurs concernés.

    Cette utilisation des données personnelles paraît être tristement banale dans le monde connecté du XXIe siècle.

    Ces pratiques sont en effet monnaie courante pour les entreprises du numérique moderne dont le principal argument commercial est leur nombre d’utilisateurs et les données que ceux-ci représentent. Si cette nouvelle fait néanmoins grand bruit en particulier Outre-Atlantique, c’est que Cambridge Analytics a été une des entreprises en charge d’assurer la mise en avant du candidat républicain Donald Trump durant la campagne électorale américaine. La révélation de cette affaire, tout comme celle de la prétendue ingérence russe sur les élections américaines via encore une fois les réseaux sociaux, viserait donc encore à minimiser la victoire du candidat républicain. La diligence de l’enquête du New York Times ne surprend donc guère, ce journal étant réputé pour ses prises de positions libérales.

    Cette affaire ferait donc elle aussi partie intégrante de la campagne médiatique anti Trump qui bat toujours son plein à quelques mois des cruciales élections de mi mandat.

    En effet, et sa révélation, si elle a son coût sur le cours de l’action Facebook en bourse, suit le but avoué des géants de la Silicon Valley. Ceux-ci, à l’exception notable de l’entrepreneur Elon Musk, se dressent tous unanimement et publiquement contre l’actuel président des États-Unis. Cette affaire est tout de même à double tranchant pour ces entreprises du numérique. Elle expose en effet publiquement la facilité avec laquelle les données personnelles des utilisateurs des réseaux sociaux peuvent être exploitées.

    https://fr.novopress.info/