magouille et compagnie - Page 1472
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Attentat : encore et toujours un terroriste hybride - Journal du Vendredi 23 Mars 2018
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Attaque terroriste par un islamiste près de Carcassonne. Au moins 3 morts. L'islamiste a été tué
2 hommes à bord d'une voiture ont tiré sur 4 CRS qui faisaient leur footing à Carcassonne. L'un des policiers serait blessé.
Une prise d'otage serait en cours dans un hypermarché de Trèbes près de Carcassonne. Il y aurait un mort. La gendarmerie confirme qu'une à deux personnes ont été touchées par balles dans le Super U.
Le parquet annonce que le preneur d'otage de Trèbes se revendique du groupe Etat islamique.
Add : Une à deux personnes ont été touchées par balles et seraient décédées, selon le commandant de gendarmerie. LCI évoque 2 morts et 12 blessés dans ce Super U.
13h20 : l'attaque terroriste a fait 2 morts et 12 blessés. Le preneur d'otages, qui se réclame de Daech, serait un ressortissant marocain connu des services de police. Le preneur d'otages a été vu dans sa voiture hurlant "Allah Akbar" et disant vouloir "venger ses frères en Syrie". Il est armé et porteur de grenades. Bien connu de la DGSI comme étant l'un des tous premiers candidats au djihad.
13h23 : le preneur d'otages réclame la libération de Salah Abdeslam.
13h45 : Connu pour port d’armes, cet homme d’origine marocaine né en 1992, actif sur les réseaux sociaux salafistes, était suivi par la DGSI. Il avait été incarcéré à Carcassonne en 2016. Le renseignement le suspecte d’avoir effectué un voyage en Syrie, mais n’en a pas la certitude.
14h37 : on parle désormais de 3 morts. Un lieutenant-colonel s'est échangé contre la vie des otages. Le terroriste a d'abord volé une voiture à Carcassonne, tuant un passager et blessant le conducteur, avant de toucher à l'épaule un CRS à proximité de la caserne située non loin de là. Il a ensuite tué 2 personnes au sein du supermarché.
14h45 : le Marocain a été tué.
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Grève de la SNCF : totalement illicite, par Francis Bergeron
L’aveu d’un dirigeant syndical
Certes le droit de grève est inscrit dans la Constitution. La possibilité de cesser collectivement le travail dans le cadre d’un conflit social est un droit. Et il n’y a pas de raisons particulières pour le remettre en cause.
En revanche la grève ne saurait créer une désorganisation anormale de l’entreprise. Toute la jurisprudence nous dit que « des débrayages répétés ne constituent pas un abus du droit de grève », sous réserve « qu’ils n’ont pas pour objet la désorganisation concertée de l’entreprise » (Cour de cassation, chambre sociale, 10 juillet 1991).
La grève par intermittence qui a commencé ce 22 mars 2018 et qui se poursuivra au moins jusqu’à fin juin à la SNCF est-elle licite ? Ou constitue-t-elle un abus de ce droit ?
Les juristes, les avocats, auraient pu en débattre pendant des mois, sans se mettre d’accord. Oui mais voilà : un responsable de la CGT de la gare de Lyon a vendu la mèche. Ce syndicaliste à la dialectique défaillante – ou plus certainement à l’intelligence limitée, comme souvent dans cette organisation – a envoyé aux adhérents de la CGT Paris-Gare de Lyon un message annonçant noir sur blanc que les cheminots ne « s’interdiront rien pour faire plier le gouvernement ». « Seul un rapport de force extrêmement fort les fera plier. » « Une grève deux jours sur cinq du 3 avril au 28 juin (…) permet de désorganiser fortement le plan de transport et les travaux. »
Cela, la CGT n’a pas le droit de le dire, et encore moins de l’écrire. C’est tout simplement l’aveu que ce type de grève a été choisi uniquement parce qu’il constitue un moyen de désorganiser l’entreprise, de saboter l’activité pendant les trois mois de sa durée, tout en prétendant n’avoir fait grève que deux jours par semaine, et entendant être payé les trois jours suivants.
Désorganiser la production
Sans être conscient d’avoir commis une boulette par ses propos, le chef syndicaliste cégétiste, le dénommé Bérenger Cernon, enfonce le clou : « Si jamais nous voyons que ces deux jours ne suffisent pas à désorganiser la production, alors nous pourrons toujours durcir le ton. »
Bérenger Cernon apporte ainsi sur un plateau sa propre tête à la direction de la SNCF et au gouvernement.
Il faut « désorganiser fortement le plan de transport et les travaux », ajoute le message de la fédération CGT. « Le mouvement sera INGERABLE. »
Faites-le taire ! se disait sans doute l’état-major cégétiste, bien trop habile et habitué de la parole publique pour commettre une telle erreur de propos.
Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, ne s’est pas privé de fustiger cet aveu public d’une pratique de grève illicite : « Ça n’est pas la SNCF, ce n’est par les cheminots, ce n’est pas le service public », s’est-il indigné sur une station de radio.
On ne sait pas encore si le gouvernement adoptera une attitude forte, ou s’il cédera. Gageons qu’il ne cédera pas, ne serait que parce que céder ici, en rase campagne, aux revendications des cheminots, ce sera comme sonner la fin des réformes, et pas seulement de cette réforme-là.
« Il est hors de question que nous perdions ce combat », éructait mercredi un meneur. Mais le gouvernement peut en dire autant : « Hors de question que nous perdions ce combat », car tout renoncement à cause de la rue mettrait aussi un terme définitif – ou au moins à vue humaine – au réformisme de Macron et de son équipe.
Francis Bergeron
Article repris du quotidien Présent
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Facebook et les élections américaines
Lu dans Présent :
"L’affaire est ennuyeuse pour le tout-puissant Mark Zuckerberg. Révélée par le lanceur d’alerte Christopher Wylie, elle révèle l’acquisition illégale des données de 50 millions de comptes facebook par la société Cambridge Analytica. Entreprise qui employait Christopher Wylie. Cette entreprise (comme beaucoup d’autres), propose à ses clients des algorithmes et des analyses se basant principalement sur l’étude des réseaux sociaux pour identifier besoin et tendances. Les grandes entreprises et les politiques ont bien souvent recours à ce genre de services pour analyser consommateurs et électeurs. Qui bien souvent sont les mêmes d’ailleurs.
Ainsi, il n’en fallait pas plus pour nos confrères : d’un coup l’élection de Donald Trump a été triomphale grâce à l’emploi de données facebook acquises illégalement…
Sauf que la réalité est bien plus complexe que cela et plus inquiétante. Il existe des dizaines d’entreprises comme Cambridge Analytica qui récoltent illégalement des données. Barack Obama avait utilisé les mêmes procédés pour sa campagne de 2012. Alors, ce mini tsunami qui a coûté la place du PDG de Cambridge Analytica et fait dire à Facebook qu’il était « scandalisé d’avoir été trompé » est en réalité un fait mineur dans la guerre des données. « Car l’enjeu est bien là. Des sociétés comme Cambridge Analytica ont évidemment des accointances avec d’autres organisations plus étatiques comme le MI6 ou autres… » nous affirme un expert en cybercriminologie.
En effet, au niveau mondial la data war fait rage et notre incapacité, du moins en France, à saisir qu’elle représente un enjeu autrement plus important que le nucléaire ou le pétrole pourrait bien nous coûter cher un jour.
En tout cas, dans le monde anglo-saxon, la réaction ne s’est pas fait attendre : l’autorité britannique indépendante, chargée de réguler le secteur et de protéger les données personnelles, a demandé l’autorisation d’enquêter au sein de Cambridge Analytica afin de pouvoir « fouiller les serveurs » et « effectuer une vérification des données ». [...]"
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MARINE LE PEN : « L’AFFILIATION DE CES JUGES AU SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE NE PERMET PAS LES CONDITIONS DE NEUTRALITÉ NÉCESSAIRES ! »
Dans un tweet, Marine Le Pen a mis en doute l’impartialité du juge chargé du dossier libyen de Nicolas Sarkozy, lui prêtant des accointances avec le Syndicat de la magistrature, syndicat ayant exprimé par le passé des positions politiques extrêmement fermes contre Nicolas Sarkozy et contre elle-même. Pour Marine Le Pen, il est dérangeant qu’un responsable politique tombe systématiquement sur le même juge d’instruction, surtout lorsque celui-ci soutient le Syndicat de la magistrature.
Vous avez mis en doute l’impartialité du juge s’occupant du dossier de Nicolas Sarkozy en lui prêtant une accointance avec le syndicat de la Magistrature.
Nicolas Sarkozy aura-t-il droit à un procès équitable ?J’ai posé une nouvelle fois le problème de l’affiliation d’un certain nombre de magistrats au syndicat de la Magistrature. Ce syndicat a exprimé des positions politiques extrêmement fermes. Ce fut le cas contre Nicolas Sarkozy lors de la campagne de 2012, et contre moi lors de la dernière campagne présidentielle.
Or, certains de ces magistrats sont au pôle financier. Ils ont été positionnés à cet endroit par les politiques. Il m’apparaît que leur affiliation à ce syndicat ne permet pas de remplir les conditions de neutralité nécessaires.
Nicolas Sarkozy ou nous d’ailleurs tombons étrangement toujours sur le même juge. N’y a-t-il que trois juges d’instruction en France ?
Il me semble tout de même dérangeant qu’un responsable politique tombe systématiquement sur le même juge, surtout quand ce juge exprime un soutien au syndicat de la magistrature.Votre mise en cause pour avoir dénoncé les agissements de l’État islamique relève-t-elle de la même logique ?
Cela obéit à une autre logique. Aucune affaire nous concernant n’a été engagée sans demande du Parquet, c’est à dire à la demande du pouvoir politique. C’est une preuve que la justice est manifestement instrumentalisée par le pouvoir politique contre l’opposition. C’est extrêmement grave. Dans cette affaire de tweet, c’est le ministre de l’Intérieur lui-même qui avait annoncé publiquement qu’il allait réclamer des poursuites contre moi.
En France, un député de l’opposition n’a pas le droit de condamner les exactions de Daech en tweetant les photos de ses exactions. Il est pour cela traîné devant un tribunal correctionnel.
Nombre de pays étrangers regardent évidemment cela avec des yeux ronds.Comment réagissez-vous à la volonté affichée de la majorité parlementaire de vouloir réduire la parole des députés sans groupe parlementaire ?
Cela a suscité une levée de boucliers cet après-midi dans le cadre des questions au gouvernement. L’opposition, dans sa quasi-intégralité, a quitté l’hémicycle à la suite d’une réponse de la Garde des Sceaux. Elle a indiqué avec un ton péremptoire qu’ils se considéraient capables de juger du fond des amendements déposés par les députés.
Ceci est d’abord une grave violation de la séparation des pouvoirs. Cela exprime par ailleurs la volonté mainte fois réitérée de la part du gouvernement de museler l’opposition et d’agir de manière autoritaire. Il tente ainsi d’empêcher les millions de Français qui ont voté pour les députés d’opposition d’avoir une voix et d’être défendu dans l’hémicycle.
Sous d’autres républiques, ceci aurait entraîné probablement des incidents plus lourds que celui symbolique qui s’est déroulé cet après-midi.
J’espère donc que le gouvernement va reculer sur cette atteinte très lourde au droit constitutionnel des députés et plus particulièrement des députés d’opposition.Vous sortez du congrès du Front national. Dernièrement vous avez apporté votre soutien au candidat Les Républicains des législatives à Mayotte. Maintenez-vous ce cap d’ouvrir le Front national à d’autres alliés de droite ?
J’ai surtout apporté mon soutien au candidat soutenu par Mansour Kamardine qui est un député LR ayant, sur la situation de Mayotte, un discours de lucidité et de vérité. Son discours rejoint sur beaucoup de points celui que nous tenons.
Lorsque la situation est grave et qu’il en va de l’intérêt de nos compatriotes, nous sommes capables de passer au-delà de nos étiquettes partisanes.
C’est ce que nous avions fait en Nouvelle-Calédonie lorsque nous avions appelé, lors des dernières législatives, à voter pour Monsieur Gomès. Il était alors confronté à un indépendantiste. C’est ce que j’ai cru bon de faire à Mayotte. Il me semble que l’avenir du nos compatriotes mahorais vaut mieux que les batailles de boutique.
Je note qu’un certain nombre de membres du parti Les Républicains n’arrivent eux pas à sortir de cette vision boutiquière. J’en veux pour preuve le tweet de Madame Calmels qui a rappelé qu’ils préféraient être battus plutôt que d’être élus avec les voix des électeurs du Front national. Ceci sent le Juppé à plein nez. -
Goldnadel a raison ! Et il ose dire les choses : « Le racisme anti-blanc impose l'omerta médiatique »
Marché aux esclaves noirs en Libye
Par
CHRONIQUE - Gilles-William Goldnadel évoque le racisme anti-blanc, dont très peu de médias ou d'associations osent parler. Selon lui, c'est ce tabou qui explique le silence médiatique autour du scandale d'abus sexuels révélé à Telford. Cette chronique [Figarovox, 20.03] dit avec force et un courage certain un grand nombre de simples vérités ! LFAR
Le racisme antiblanc est le trou le plus noir de l'information comme de la réflexion. Si vous aimez la tranquillité, évitez donc de le nommer. Ou utilisez si possible une circonlocution. Essayez plutôt « détestation anti-occidentale ».
Vous éviterez ainsi le chromatisme gênant. On peut parler des noirs, davantage encore du racisme qui les frappe. Mais évoquer le blanc, sauf de manière négative, voilà qui est gênant. Et très inélégant. En parler le moins possible. J'ai connu une époque, pas très lointaine, où les organisations antiracistes autoproclamées contestaient l'existence même de l'aversion du blanc. Lorsqu'on la leur mettait juste dessous leurs yeux, elles la reconnaissaient du bout des lèvres pincées en alléguant le fait que seules des organisations « d'extrême droite » se souciaient de cette question très secondaire. Bref, une pirouette assez primaire. De nos jours, lorsque le temps est clair, certaines condescendent toutefois à se saisir de cas emblématiques, pourvu que le traitement soit discret et homéopathique.
L'actualité récente me permet, à travers deux exemples, l'un en creux, l'autre en plein, de faire sonder du doigt le trou noir maudit.
Prenez Mayotte. On a tout dit sur les dernières manifestations d'exaspération de la colère populaire des Mahorais à propos de l'immigration massive et invasive.
On a dit que cette colère était légitime. On a dit que cette immigration était insupportable pour la population autochtone. On a reconnu sans barguigner le lien entre immigration excessive, illégale et criminalité. On a convenu également qu'elle était facteur de misère sociale, médicale et d'appauvrissement. On a accepté sans pousser de hauts cris de questionner la légitimité du droit du sol. On a reconnu qu'il existait effectivement « des Français de papier » qui avaient indûment instrumentalisé le droit du sol français pour devenir nos concitoyens pour de pures questions d'opportunité financière. On a tout dit, sauf que les Mahorais qui se plaignaient légitimement mais parfois violemment seraient des racistes, des xénophobes ou des populistes extrémistes.
On voudra bien à présent se donner la peine de comparer le regard compréhensif et même empathique porté par le monde médiatique et politique à l'égard des Mahorais exaspérés avec celui qui embrasse, si l'on ose dire, la population métropolitaine qui, aujourd'hui majoritairement, considère l'immigration illégale et massive comme un facteur d'inquiétude majeure. Encore que les réactions de celle-ci soient infiniment plus calmes que celle de la population mahoraise, qui peut honnêtement nier que le jugement médiatique et politique soit dans le meilleur des cas condescendant et dans le pire haineux et méprisant ? Pour ceux qui ne veulent pas comprendre ce qui explique cette différence de regard, je vais leur mettre crûment la réalité sous les yeux. La population française métropolitaine, à la différence des Comoriens musulmans de Mayotte, est majoritairement chrétienne, blanche et occidentale. Par conséquent plus facilement soupçonnable de racisme, précisément par un préjugé raciste insoupçonné et indicible.
Mais que j'ose nommer et que j'ai déjà expliqué par l'Histoire.
À présent, passons au second exemple explicite et extérieur à la France.
L'excellente revue National Geographic s'est livrée récemment à une autocritique en règle en examinant de quelle manière, au siècle dernier, elle était restée indifférente à la réalité et à la souffrance noires.
D'un siècle l'autre, d'un excès l'autre, et, parfois, d'une souffrance l'autre. Je ne crains pas en effet d'appliquer cette saine autocritique au présent et à la souffrance blanche que l'on cache, que l'on tait ou que l'on ne veut pas voir.
C'est ainsi que les exactions contre les fermiers blancs en Afrique australe font partie des territoires occultés de l'information. Au Zimbabwe, la quasi-totalité des fermiers blancs ont été expulsés. De très nombreux fermiers massacrés. L'ex-dictateur Mugabe, récemment déchu, refusait de répondre à un journaliste parce qu'il était blanc. C'est dans ces conditions que la revue Jeune Afrique (et non un journal occidental) a écrit : « Les abus et les erreurs commis par Londres, les colons britanniques et leurs descendants, pour beaucoup restés fidèles à Ian Smith, ont été nombreux. Mais en répliquant avec une politique aussi inconséquente, Mugabe aura surtout ajouté de la souffrance à l'injustice. » De la souffrance blanche. Selon la BBC, cette politique a détruit l'économie du Zimbabwe basée sur l'agriculture, qui est dans une situation catastrophique avec une hyperinflation et une réapparition du choléra.
Qui pourrait prétendre honnêtement que ce racisme-là a été condamné par la classe médiatique antiraciste ?
En République Sud-Africaine, la situation n'est aujourd'hui pas meilleure. De très rares articles dans la presse écrite française s'en saisissent pour décrire « le massacre oublié des fermiers blancs ». Les télévisions françaises s'en désintéressent complètement.
Plus indiscutable et plus récemment encore, le 22 février 2018, l'agence Reuter, dans une indifférence totale, annonçait que « dans un souci de soigner les divisions du passé, le président sud-africain fraîchement élu Cyrille Ramaphosa avait annoncé que l'expropriation de terres sans compensation était envisagée pour accélérer leur redistribution aux Sud-Africains noirs ».
Si les mots ont un sens, cette annonce aurait dû plonger tous les hommes de bonne volonté, sincèrement désireux d'harmonie entre les peuples, dans un état de consternation ou d'hébétude.
Si cette mauvaise décision est en effet menée à bien, elle tournera définitivement le dos à la politique de pardon et de réconciliation chère à Mandela et à Declercq. Elle signifiera la fin du pays « arc-en-ciel ». Plus désespérément encore, elle signifiera qu'un règlement politique pacifique basé sur la concorde et non le rapport de force est une chimère. Elle donnera raison aux pessimistes et aux cyniques.
Mais il y a peut-être encore pire: l'incroyable omerta qui couvre pour l'heure en France les crimes sexuels autour des filles blanches ayant été découverts dans la commune anglaise de Telford.
Près de mille jeunes filles ont fait l'objet de viols collectifs et de trafic de proxénétisme violent de la part d'hommes issus principalement de la communauté pakistanaise. L'affaire connue depuis plusieurs mois, vient de prendre désormais une dimension extravagante et met en cause la police et les médias.
À l'époque de « Balance ton porc », où les violences faites aux femmes font l'objet d'une attention obsessionnelle permanente, le silence qui entoure ce drame immonde prend un tour invraisemblablement obscène et scandaleux.
Je renvoie notamment aux articles du Birminghammail et du Mirror du 11 mars 2018 ainsi qu'à la note Wikipédia en français issue de la note anglaise qui vient d'être complétée: « Suite aux nouvelles révélations en mars 2018 dans le Sunday Mirror, la journaliste Johanna Williams du magazine Spiked, s'émeut que ce qui semble être le pire scandale d'abus sexuels sur des enfants de Grande-Bretagne ait reçu relativement peu de couverture et ne fasse pas la une de journaux tels que le Guardian ou le Times , alors que depuis plusieurs mois, le harcèlement des femmes est dénoncé comme par exemple par le mouvement Me Too dont elle dénonce l'hypocrisie et le silence assourdissant ». Comme de nombreux journalistes anglais le reconnaissent désormais, ces nouvelles révélations sont issues d'enquêtes du Daily Mirror et ont montré que l'étendue des abus était beaucoup plus vaste que ce qui avait été révélé auparavant.
« Comme dans les autres affaires similaires, les auteurs étaient très majoritairement d'origine pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Par crainte d'être considérées comme racistes, les autorités ont longtemps refusé d'enquêter » (Steve Bird The Télégraph du 9 décembre 2017).
Pendant ce temps, les pseudo-antiracistes hystériques et les néo-féministes frénétiques à moralisme chromatiquement variable restent calmes.
La souffrance, quand elle est blanche, demeure une zone noire interdite de visite.
Gilles-William Goldnadel est avocat et écrivain.
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La poursuite des méfaits de l’immigrationniste Blanquer
De Claude Meunier-Berthelot pour les lecteurs du Salon beige :
Le 20 février 2018, le maire de Ponthoile dans la Somme, commune de plus de 600 habitants et dont la démographie est en constante augmentation depuis les années 1990, reçoit une lettre de l’inspecteur d’académie - coursier du ministre de l’éducation Blanquer - pour lui annoncer froidement, sans concertation préalable ni pré-avis, la suppression de son école. Le fond et la forme de la lettre « valent d’autant plus le détour » que ce n’est malheureusement pas un cas isolé mais la résultante d’une politique générale menée sur l’ensemble du territoire national.
Des orientations ministérielles …
La lettre débute ainsi : « En application des orientations ministérielles, l’instruction de la carte scolaire pour la rentre 2018 a été élaborée en tenant compte des priorités suivantes … :
Notons qu’il est fait référence à une politique générale, ce courrier n’est nullement le fait d’une toquade de l’administration locale ; par ailleurs, il est stipulé que cette politique éducative comporte des « priorités ». Curieux quand JM. Blanquer, alors au micro de RTL à la rentrée 2017, faisait cette réponse à un auditeur qui lui faisait remarquer qu’en milieu rural, il supprimait des classes de 25 à 27 élèves au prétexte d’effectifs insuffisants alors qu’il créait des classes à 12 dans ce qu’il appelle les « zones sensibles », demandant au ministre ce qu’il appelait « zone sensibles » et ce qu’il comptait faire concrètement :
« Bien entendu, c’est une politique globale que nous avons… ce que vous décrivez correspond au passé…. nous avons une politique très volontariste en milieu rural… il ne faut pas opposer une France à une autre : il y a une politique générale à l’école primaire pour tous les enfants de France… » répondit le ministre BLANQUER.
Intéressant comme réponse, seulement voilà ! cela n’empêche pas - sans doute - d’avoir des priorités…
… Et quelles « priorités » ?
1 - « La mise en place des classes à effectifs réduits en CP et CE1 dans les réseaux prioritaires renforcée (REP+),
2 – « La mise en place des classes à effectifs réduits en CP dans les écoles situées en éducation prioritaire (REP),
Pas de précision sur les « effectifs réduits » et pour cause ! Ils correspondent à 12 élèves pas classe alors qu’en zones rurales sont prévues, par l’administration de l’Education nationale, des fermetures de classes comportant des effectifs à 15, 20, voire 27, avec pour motif « manque d’effectifs » !
Par ailleurs, notons que les « priorités » sont les « Réseaux d’éducation prioritaire » (REP), très majoritairement destinés aux élèves issus de l’immigration. Au nombre d’environ 1200 sur le territoire national, ils correspondent donc à une moyenne de 12 REP par département.
A la rentrée 2017, les classes de CP (cours préparatoire) ont été dédoublées pour les REP+, sachant que les REP+ sont les « réseaux d’éducation prioritaire renforcée » dans lesquels sont scolarisés ceux que nos gouvernants appellent les « migrants » et que le système éducatif appelle les « EANA - élèves allophones nouvellement arrivés » : 2500 classes et 2500 postes ont été redéployés, ce qui fait donc 5000 classes ; à raison de 12 élèves par classe, cela donne un total de 60 000 élèves.
« A la rentrée 2018, 5600 classes de CP seront dédoublées en REP et REP+… » est-il mentionné dans les documents ministériels - mais il n’est pas précisé si c’est en plus ou au total, bien que la formulation laisserait plutôt à penser qu’elles s’ajoutent à l’existant - … grâce à 3881 postes d’enseignants supplémentaires - pour qui est prévu - … une augmentation indemnitaire de 3000E par an progressivement déployée à compter de la rentrée scolaire 2018… »… « afin d’accroître l’attractivité des postes ». 5600 classes dédoublées en plus, cela fait 11 200 classes à 12 soit 134 400 élèves, ce qui porte le total à 194 400 élèves.
- 3ème priorité mentionnée : – « l’attention prêtée aux écoles en milieu rural »
Savoureux si l’on peut dire ! simplement une « attention » !
4 - Toujours faisant partie des priorités « le renforcement des moyens dédiés au remplacement » : aucune précision à ce sujet ; c’est d’autant plus compréhensible qu’il est puisé dans le vivier des instituteurs de nos enfants pour les attribuer aux immigrés, il parait légitime de se demander où vont être pris les remplaçants ? assurément, ce sera « l’arlésienne » !
5 – Dernière priorité énoncée : « le maintien de l’accompagnement des élèves à besoins particuliers », en langage décodé, cet accompagnement concerne essentiellement les élèves des REP.
Conclusion
… La lettre se termine ainsi : «…Compte-tenu de ces éléments, j’envisage de proposer au prochain conseil départemental de l’éducation nationale », la mesure suivante : « le retrait de deux moyens d’enseignement » !
Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites ! qu’appelle l’administration de l’Education nationale les « moyens d’enseignement » ?
« Le retrait de deux moyens d’enseignement » signifie la suppression de deux classes ; sachant que l’école de Ponthoile comprend deux classes pour un total de 36 élèves, avec une prévision d’effectif pouvant dépasser la quarantaine à la rentrée prochaine portant la moyenne de classe à 20, c’est l’école qui ferme sans autre forme de procès tout simplement pour cause de priorités et de priorités aux immigrés. Les motifs évoqués de la suppression ne sont même plus le manque d’effectifs !
En clair, les enfants de France sont sans importance pour JM. Blanquer, ceux qui comptent, ce sont les allogènes : ce qui correspond bien à toute sa politique éducative que nous ne cessons de dénoncer, politique masquée sous les oripeaux de la restauration d’une école de qualité pour nos enfants et qui abuse encore un beaucoup trop large public.
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POUR LE MONDE, TAGUER UNE MOSQUÉE EN CONSTRUCTION, C’EST UNE PROFANATION. HURLER DANS UNE ÉGLISE MILLÉNAIRE, NON
Une église, selon Le Monde, ne serait pas un « lieu sacré » et manifester en hurlant dans un lieu destiné au culte catholique ne marque pas « une présence indigne ».
Le Monde aime bien jouer avec les mots. Marine Le Pen qualifie de « profanation » la manifestation de migrants dans la basilique Saint-Denis ? Le journal vespéral lance alors ses décodeurs, qui n’hésitent pas à parler d’« intox ». Il n’y a pas eu profanation. Nous allons vous en donner la preuve par A plus B. Et, ainsi, nous démontrerons que Marine Le Pen dit n’importe quoi. On vous l’a d’ailleurs souvent dit et répété !
Alors, pour cette petite démo, Le Monde sort son gros dictionnaire, histoire de faire son intéressant : « Selon le Larousse, “profaner” signifie “souiller un lieu ou un objet sacré par une présence indigne ou par un acte criminel”. » Or, poursuit Le Monde, qui se fait aussi, à ses heures perdues, dame catéchiste, « occuper brièvement un lieu, même s’il s’agit d’une église, ne peut pas être qualifié de “profanation” en soi, sauf à considérer qu’un migrant n’a pas le droit de se trouver dans ces lieux. Ce qui n’a pas grand sens, les églises étant des lieux ouverts, et irait également à l’encontre du message même de l’Église catholique sur le nécessaire accueil des migrants ». Là on atteint des sommets de mauvaise foi et de tartuferie qui ne manqueront pas, bien évidemment, d’émouvoir quelques chaisières abonnées à Télérama ou à La Vie. Mais peut-être que les journalistes du Monde n’ont pas vu la vidéo. Bien évidemment, ces migrants ont le droit de se trouver dans ces lieux, mais pas pour y manifester scandaleusement.
Donc, pour résumer, une église, selon Le Monde, ne serait pas un « lieu sacré » et manifester en hurlant dans un lieu destiné au culte catholique ne marque pas « une présence indigne ». Donc, il ne faut pas parler de profanation, ce qui en découle que Marine Le Pen… CQFD.
Très bien. Mais alors, j’ai une petite remarque à faire au Monde, que d’aucuns qualifieront de malicieuse, c’est-à-dire inspirée par le Diable qui, comme chacun sait, se cache dans les détails. Le 12 janvier 2015, Le Monde consacrait un « dossier » aux actes anti-musulmans en France. Je cite le journal de référence : « Deux mosquées en chantier ont été profanées dans le Pas-de-Calais. Des croix gammées, des slogans nazis et une inscription “Charlie est vivant” ont été taguées sur la future mosquée de Liévin, en construction… » Si je comprends bien, pour Le Monde, fiche le bazar dans une église millénaire consacrée au culte catholique, ce n’est pas une profanation. Non, non. En revanche, taguer sur un bâtiment en construction, destiné à devenir une mosquée, c’est profaner. Eh oui. Il fallait le dire, c’est tout.
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Lybie.. Sarkozy, BHL, Clinton et l’or de Kadhafi
143 tonnes d’or, 7 milliards de dollars! C’est un des facteurs qui ont influencé la décision du président Nicolas Sarkozy d’engager la France dans une attaque de la Libye
De nouveaux e-mails déclassifiés d’Hillary Clinton montrent la méfiance des Américains vis-à-vis des motivations de Nicolas Sarkozy en Libye, et leur regard ironique sur Bernard-Henri Lévy.
En pleine guerre de Libye, en 2011, les Américains s’interrogeaient sur les motivations de Nicolas Sarkozy, et s’amusaient du rôle de Bernard-Henri Lévy dans cette aventure.
Cette période historique se retrouve au centre de l’« emailgate » d’Hillary Clinton, l’affaire née aux Etats-Unis de l’utilisation de sa messagerie personnelle par l’ancienne secrétaire d’Etat. Une nouvelle série d’e-mails rendue publique en début d’année par la candidate à l’investiture démocrate à la présidence américaine – et disponible sur le site du département d’Etat – contient en effet des documents relatifs à la guerre de Libye initiée par le président français de l’époque.
Le 2 avril 2011, Sydney Blumenthal (« Sid »), ancien collaborateur de Bill Clinton à la Maison Blanche, ami de longue date et confident d’Hillary Clinton, adresse à la secrétaire d’Etat (qui le fait suivre à son entourage) un mémorandum « confidentiel » contenant une évaluation des motivations de Nicolas Sarkozy dans son soutien aux rebelles libyens.
On n’y parle pas d’humanitaire ou de populations en danger, mais d’intérêts stratégiques, économiques, politiques et, surtout, d’un trésor en or franc et massif.
Collecteur d’informations non-officiel
Selon David Ignatius, du Washington Post, Blumenthal tiendrait ses informations sur la Libye d’un ancien agent de la CIA, Tyler Drumheller. D’autres sources ont exprimé des doutes sur la fiabilité des informations de « Sid », mais Hillary Clinton, qui avait voulu le prendre dans son équipe au département d’Etat mais en a été empêchée par la Maison Blanche, a continué à l’écouter : selon Foreign Policy, il était son « collecteur d’informations non-officiel ».
Le mémo liste cinq facteurs motivant l’engagement de Nicolas Sarkozy à mener cette guerre en Libye :
- « Un désir d’obtenir une plus grande partie du pétrole libyen ;
- accroître l’influence française en Afrique du Nord ;
- améliorer sa situation politique intérieure en France ;
- offrir à l’armée française une chance de rétablir sa position dans le monde ;
- répondre à l’inquiétude de ses conseillers concernant les plans à long terme de Kadhafi de supplanter la France comme puissance dominante en Afrique de l’ouest ».
Sur ce dernier point, le mémorandum fait état de l’existence d’un trésor de Kadhafi de 143 tonnes d’or et presque autant d’argent, qui aurait été transféré de Tripoli à Sebha, dans le sud de la Libye, après le déclenchement des opérations militaires quinze jours plus tôt.
- « Cet or a été accumulé avant la rébellion actuelle, et était destiné à établir une monnaie panafricaine appuyée sur un dinar or libyen. Ce plan était destiné à offrir aux pays d’Afrique francophone une alternative au franc CFA ».
7 milliards de dollars
L’auteur du mémorandum indique que ses sources évaluent ce trésor (en 2011) à quelque 7 milliards de dollars, et précise que son existence a été découverte par les services de renseignement français peu après le déclenchement de la rébellion libyenne. Il ajoute :
- « C’est un des facteurs qui ont influencé la décision du président Nicolas Sarkozy d’engager la France dans une attaque de la Libye. »
De nombreuses rumeurs ont circulé à l’époque sur ce trésor en or ayant échappé au blocage des avoirs libyens à l’étranger, et sur le plan de Kadhafi pour l’Afrique (voir ainsi ce sujet de la chaîne russe RT de 2011) ; elles continuent d’alimenter bien des spéculations et des fantasmes. En 2013, une note de blog de la Tribune de Genève était encore titrée : « L’or de Kadhafi, en veux-tu, en voilà »…
Rappelons que les opérations militaires ont débuté le 19 mars 2011, à l’initiative des Français et des Britanniques, avec le soutien américain qui fut difficile à obtenir.
Le 29 mars, trois jours avant ce mémorandum, Bernard-Henri Lévy, qui est à l’initiative de cette aventure, raconte dans le livre qu’il y a consacré, « La Guerre sans l’aimer » (Grasset, 2011), une conversation avec Nicolas Sarkozy :
- « Il est en colère contre Barack Obama qui est “en train de vouloir se retirer”. Il a eu une discussion avec lui hier soir. Très dure. Très ferme et très dure. Et il a acquis la conviction que les Etats-Unis allaient essayer de se dégager.
- “C’est bizarre,” insiste-t-il. “Ils ont été bien, au début. Très bien. C’est lui, Obama, qui a fait l’arbitrage final entre Gates et Clinton, quand la décision d’intervention a été prise. Mais là, tout d’un coup… Je ne comprends plus ce qui se passe… Il est en retrait, j’en suis convaincu.” »
BHL, « moitié utile, moitié fantaisie »
BHL est lui-même égratigné dans le mémorandum adressé à Hillary Clinton :
- « L’émissaire occasionnel de Sarkozy, l’intellectuel et auto-promoteur Bernard-Henri Lévy, est considéré par les membres du Conseil national libyen [l’organe dirigeant de la rébellion contre Kadhafi, ndlr] qui ont eu affaire à lui comme un homme à moitié utile, un personnage à moitié fantaisie. »
Au moment où cette analyse est adressée à Hillary Clinton, BHL se trouve justement à New York, en campagne médiatique en faveur de l’intervention en Libye.
Tout au long de cette période, selon les e-mails rendus publics en ce début d’année, Hillary Clinton reçoit des informations qui montrent un manque de confiance dans l’action française en Libye.
Le 19 avril, « Sid », toujours lui, cite des officiers du Conseil national de transition libyen, inquiets que ni les Britanniques, ni les Français ne fourniront à la rébellion les équipements qui lui permettront de faire la différence :
- « Ces individus sont particulièrement amers à propos de la position française, car ils soulignent qu’au tout début de la rebellion, des officiers du groupe Action de la DGSE [le service de renseignement extérieur français, ndlr] ont rencontré les leaders de la rebellion et les ont encouragés à se soulever contre Kadhafi, promettant de l’aide dès que les combats commenceraient. »
Réponse d’Hillary Clinton à cet e-mail :
- « Ah ! Vous pouvez retirer un pays des colonies, mais vous ne pouvez pas éliminer les soupçons coloniaux. »
Blumenthal souligne également que la DGSE « cultive » ses contacts avec le général Abdelfattah Younès, ancien officier de l’armée de Kadhafi passé à la rébellion, préféré au général Khalifa Haftar, jugé trop proche des Américains… Younès finira assassiné dans des conditions mystérieures en juillet 2011, tandis que Haftar est un des personnages-clés de la crise libyenne actuelle.
Molière à l’Elysée
Dans un autre e-mail à Hillary Clinton, Blumenthal s’amuse d’un article « hilarant » du journaliste du Daily Beast (ex-Newsweek), Christopher Dickey, un vieux routier du journalisme basé à Paris, et qui décrit les relations « incestueuses » entre Sarkozy, BHL « en Lawrence d’Arabie », et Carla Bruni.
« Seul Molière pourrait faire justice [à cette scène, ndlr] », écrit-il à Hillary Clinton, qui s’empresse de le faire suivre à ses conseillers…
Ces e-mails tombés accidentellement dans le domaine public par le biais de l’enquête sur la faute d’Hillary Clinton à continuer d’utiliser son e-mail personnel alors qu’elle dirigeait la diplomatie américaine, s’ajoutent au dossier de cette guerre de Libye qui ne manquera pas de ressurgir dans les prochains mois.
Le débat sur la légitimité et les modalités de cette guerre risquent fort de rebondir alors que se précise le risque de nouvelles actions militaires, notamment françaises, en Libye, afin de bloquer la progression du groupe Etat islamique.
Il rebondira également si Nicolas Sarkozy est candidat à la présidence de la République et sera inévitablement confronté au bilan de sa présidence précédente, y compris cette guerre peu orthodoxe aux conséquences désastreuses.
https://infosdanyfr.wordpress.com/2016/01/10/lybie-sarkozy-bhl-clinton-et-lor-de-kadhafi/
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Virginie Vota : « Immigration, les autres avant les nôtres ? »
Cette semaine, Virginie Vota aborde un sujet très important : la confusion qui règne au sujet de la charité et de l’amour du prochain. C’est cette confusion qui sert à justifier un accueil incessant de toujours plus d’immigrés.
Retrouvez Virginie Vota à la deuxième Fête du Pays Réel, le samedi 24 mars 2018 à Rungis. Elle y interviendra à 11h15.
http://www.medias-presse.info/virginie-vota-immigration-les-autres-avant-les-notres/88978/