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magouille et compagnie - Page 1476

  • Immigration : la droite demande un référendum

    wauquiez-lepen-dupontaignan-300x150.jpgPendant qu’on débat à l’Assemblée nationale, devant un par-terre de députés clairsemé , sur la loi asile et immigration, qui prévoit en autre l’élargissement du regroupement familial, une pétition a été lancée le mardi 17 avril par le président de Debout la France et député de l’Essonne, Nicolas Dupont-Aignan, avec le sénateur de Moselle Jean-Louis Masson, demandant l’organisation d’un référendum sur l’immigration.

    Mercredi 18, le patron des Républicains, Laurent Wauquiez, a émis la même idée sur RTL et au cours d’une convention intitulée « comment réduire l’immigration » : « Depuis trente ans, cette question a profondément changé notre pays. Jamais on n’a consulté les Français sur ce qu’ils souhaitaient », a-t-il déclaré.

    Le FN qui réclame depuis 2014 la tenue d’un tel référendum devrait donc souscrire à cette initiative.

    Pour qu’elle soit effective, il faut réunir trois conditions : recueillir la signature de 185 parlementaires, trouver le soutien de 10% du corps électoral, soit environ 4,6 millions de personnes, et pour finir, obtenir l’approbation du Conseil constitutionnel.

    Nicolas Dupont-Aignan a profité de cette occasion pour inviter à l’union des droites :

    « Cette initiative est la démonstration grandeur nature, qu’il existe une coalition majoritaire en France face à la gravité de la situation de notre pays et la politique dévastatrice d’Emmanuel Macron. (…) J’appelle les dirigeants des deux formations politiques à ne pas être dans une posture politicienne et à s’exprimer auprès de leurs Parlementaires respectifs en faveur de cette procédure. Il en va de l’intérêt de notre nation! »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/immigration-la-droite-demande-un-referendum/90578/

  • Macron renforce les zadistes, par Caroline Parmentier

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    Plus fort pour bombarder la Syrie que pour virer les zadistes et les antifas, le gouvernement s’est mis lui-même dans cette situation intenable. Où est l’autorité de l’Etat dont Emmanuel Macron disait qu’elle serait sa marque de fabrique ?

    Il fallait réagir très vite après la décision d’abandonner le projet d’aéroport. Les zadistes et la racaille étrangère venue les soutenir, sortent chaque jour renforcés des tergiversations et concessions. C’est un Hulot hagard, ravagé par ses problèmes personnels (sous anti-dépresseurs ?) que l’on a vu mercredi sortir mollement d’une « réunion cruciale » à la préfecture de Nantes qui s’est soldée par un nouvel « échec du dialogue ». En même temps, que peut-il bien leur dire sans se prendre dans la figure des cageots entier de courgettes bio, lui qui a longtemps été un de leurs plus fervents partisans avant de passer chez les « traîtres » ?

    Indéfiniment c’est l’indulgence plénière des gouvernements de gauche pour ces voyous dont Le Monde et Edwy Plenel, se sont fait les porte-voix. Chaque jour la situation s’enlise un peu plus avec des forces de l’ordre réduites à déblayer chaque matin les barricades remontées la nuit par les zadistes qui continuent de bloquer les routes. Jusqu’à ce qu’il y ait un mort ?

    Les professionnels du projet de désordre

    Le gouvernement n’avait-il pas affirmé en janvier que la zone serait évacuée et qu’il laissait déjà jusqu’au 31 mars aux occupants illégaux pour plier bagage ? On a offert la possibilité aux expulsés de déposer leurs « projets agricoles » sur des parcelles dont ils ne sont pas propriétaires, occupées pendant des années, sans jamais rien payer y compris pour l’enlèvement de leurs nombreux déchets. On a tenté de régulariser leur situation au mieux de leurs intérêts alors qu’ils auraient dû être évacués à grands coups de pied dans le train. On leur a donné des délais supplémentaires, on leur a concédé des passe-droits incroyables qui ont scandalisé les agriculteurs soumis, eux, à une législation draconienne. Mais ça n’était jamais assez. Finalement les rares qui ont voulu rentrer dans la légalité en déposant un projet para-agricole se sont fait menacer et terroriser par les professionnels du projet de désordre.

    « C’est vrai que je pensais que la délégation qui avait accepté de venir me voir avancerait vers des choses qu’on leur demande qui sont assez simples » déclare Nicole Klein, préfet de région : « donner leur nom et présenter un projet agricole. Il y a un refus absolu d’entrer dans ce qui est normal pour tout autre agriculteur en France, c’est incompréhensible et inacceptable pour tous les autres. »

    Le choc des images est insupportable. Combien de temps 200 crasseux (depuis que la Zad a été évacuée, ils sont chaque jour plus nombreux !) vont-ils tenir en en échec 2 500 policiers et gendarmes ? Macron qui proclame devant quatre millions de Français qu’ils n’ont aucune légitimité, montre l’image d’un impuissant. A Notre Dame des Landes c’est la double peine pour les riverains qui sont dans la légalité, ceux qui payent leurs impôts, ne brûlent pas et ne saccagent pas les centres-villes : non seulement le projet d’aéroport a été abandonné mais les affrontements et la chienlit sont aussi violents que s’il avait été construit.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 19 avril 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Mai 68, la révolution des imbéciles

    CSP-Mai-68-2.jpgA l’occasion du 50e anniversaire des événements du printemps 1968, Charles Saint-Prot, qui a récemment publié L’Etat-nation face à l’Europe des tribus (éd. du Cerf), signe un vigoureux pamphlet sous le titre évocateur Mai 68, la révolution des imbéciles (éditions de Flore).

    On aura compris que ce texte n’est pas tendre à l’égard de ce que l’auteur qualifie de « chamboulement abject, un mouvement littéralement antisocial conduisant à l’institution d’un individu abstrait livré à la domination du Marché mondialisé… ». Il ajoute « Sous couvert d’un gauchisme de façade qui ne fut rien d’autre que la maladie sénile du crétinisme, Mai 68 fut le terreau d’un nouveau totalitarisme qui s’épanouit aujourd’hui avec un rare cynisme. Moins qu’une révolution, ce fut le début d’un long processus de pourrissement, de renversement des valeurs ».

    On comprendra qu’aux yeux de Charles Saint-Prot, rien n’est plus urgent qu’en finir avec le mythe soixante-huitard pour remettre les idées à l’endroit. L’analyse faite par ce penseur des causes de mai 68 est particulièrement intéressante. Après avoir posé le principe qu’ « en 1789 comme en mai 1968, l’idéologie révolutionnaire n’est qu’une vision illuminée au service d’intérêts obscurs », il s’interroge sur la nature de ces intérêts. A cet égard, il rappelle ce qu’écrivait le professeur Jean Rouvier, dans son fameux ouvrage Les grandes idées politiques (1978), affirmant qu’un « lobby israélo-américain » ne fut pas étranger au déroulement de ces événements. Ainsi, tout se serait passé « dans le dos des acteurs » comme a pu le constater Régis Debray. Charles Saint-Prot soutient donc que l’agitation fut orchestrée de l’étranger pour affaiblir la France que le général de Gaulle avait relevée en proposant une vision « héroïque et futuriste ». Carnaval grotesque contre les valeurs traditionnelles, Mai 68 fut aussi « la première grande bataille des forces qui voulaient imprimer un bouleversement total de l’ordre politique et des valeurs de la société au profit de la dictature du Marché ultra-libéral et mondialisé. Bref, ce n’est pas l’imagination qui voulait prendre le pouvoir mais la finance anonyme et vagabonde ».

    Rappelant l’obsession anti-française de ceux qui pensaient comme Cohn-Bendit que « le drapeau français est fait pour être déchiré », l’auteur met en cause l’idéologie antifrançaise qui est devenue la pensée dominante à l’aube du XXIe siècle au point que tant de pseudo-élites, passées du gauchisme à l’ultralibéralisme, renoncent à la France sacrifiée aux billevesées mondialistes et européistes. D’où cette conclusion sévère :

    Libertaires et libéraux se retrouvent contre l’État-nation pour célébrer à satiété les vertus de la globalisation et de la construction européenne et encourager les tentations régionalo-séparatistes. Ils sont dans un même combat contre la pensée française, cet ultime môle de résistance contre les menaces de toute nature qui s’amoncellent au début du troisième millénaire. L’éternel enjeu consiste à réaffirmer le primat de l’homme, de la civilisation, des forces de la vie contre le nivellement matérialiste, les nuées cosmopolites, les forces de la mort. Et Mai 68 fut tout cela, sans apporter naturellement la moindre réponse aux interrogations du monde moderne.

    En fait, c’est la question de l’avenir de la France qui est posée dans ce petit livre très utile à la formation de l’esprit public..

    Michel Morès

    Tribune reprise de Theatrum Belli

    https://fr.novopress.info/

  • Loi immigration : le gouvernement se noie dans un verre d’eau - Journal du Jeudi 19 Avril 2018

  • Terrorisme : Français, réveillez vous, vous êtes gouvernés par des incompétents irresponsables

    Ce matin, je suis en colère de plaider dans le désert devant les failles évidentes de notre dispositif de lutte contre le terrorisme islamiste que je dénonce depuis plusieurs années et de ne pas être entendu. Que faudra-t-il de plus que le sacrifice suprême d’un officier supérieur de gendarmerie pour que les Français prennent conscience de ce qui se dessine sous notre nez ? L’attentat de Trèbes vient signifier de manière éclatante l’échec de notre politique de prévention des actes terroristes. Il souligne la passivité, l’incompétence et l’irresponsabilité de nos gouvernants passés et actuels. Une remise à plat complète de notre dispositif antiterroriste sur notre sol s’impose. Les Français doivent l’exiger et dénoncer la prévarication des Cazeneuve, Valls, Hollande et, aujourd’hui, Philippe, Collomb et Macron.

    Incompétence et irresponsabilité, d’abord. Redouane Lakdim, l’auteur des attaques, né au Maroc en 1992, aurait été naturalisé en 2004 car son père était devenu français. L’application de l’art 25-1 du Code civil aurait pu permettre de le déchoir de cette nationalité. Celui-ci prévoit le cas de l’individu qui « s’est livré au profit d’un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France ». Cette qualification aurait déjà dû être élargie à la radicalisation islamiste en relation avec un groupe terroriste ou encore au rejet de la laïcité et de nos valeurs républicaines.

    Si monsieur Hollande avait fait voter une loi sur la déchéance de nationalité, comme ils s’y était engagé devant le Parlement réuni à Versailles au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, Redouane Lakdim aurait pu faire l’objet de cette déchéance et être expulsé vers le Maroc. Fiché S en 2014 pour radicalisation islamiste et son appartenance à la mouvance salafiste, il était aussi un homme très actif sur les réseaux sociaux salafistes.

    C’est aussi l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Et ce n’est pas ce service de renseignement qu’il faut incriminer, mais les responsables politiques qui le mettent dans cette situation. « Nous l’avions suivi et nous pensions qu’il n’y avait pas de radicalisation, mais il est passé à l’acte brusquement », a précisé Gérard Collomb ! Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout.

    C’est aussi la grille des critères de dangerosité qui n’est plus adaptée devant le nombre en augmentation permanente des fichés S et au fichier des signalements pour la prévention et la radicalisation à caractère terroriste (FSPRT). C’est, in fine, l’échec du renseignement intérieur en général par manque de volonté politique de mener la guerre intérieure qui nous est déclarée.

    Une remise à plat de notre politique antiterroriste s’impose donc à l’évidence. Il faut impérativement dégrossir le nombre d’individus à surveiller en amont, donc utiliser les leviers administratif et judiciaire en remettant à l’ordre du jour la perte et la déchéance de nationalité ainsi que l’expulsion des étrangers fichés S et au FSPRT.

    Mais d’autres mesures s’imposent également comme le croisement de certains fichiers renseignement et judiciaire, dès lors qu’il s’agit d’analyser les métadonnées et de les croiser et permettre aux services de renseignement de continuer à surveiller un suspect même après une mise en examen par un magistrat. L’interdiction du retour des djihadistes devrait également s’imposer alors que l’on s’apprête à en recueillir encore.

    Et que dire des centaines de djihadistes emprisonnés, imprévisibles et dissimulateurs, qui vont sortir de prison dans les mois et années à venir ! Il n’y a plus, actuellement, de débat national sur le sujet de la rétention judiciaire permettant de ne pas libérer un individu tant qu’il est considéré comme dangereux. À tout cela, Emmanuel Macron et sa pseudo-task force n’y pourront rien.

    Par Philippe Franceschi Consultant en sécurité

    Source : BVoltaire via https://www.cadoitsesavoir.fr/terrorisme-francais-reveillez-vous-vous-etes-gouvernes-par-des-incompetents-irresponsables/

  • Macron reçoit les Frères Musulmans de Syria Charity à l’Elysée

    Précisions de l'Observatoire de l'islamisation, suite à notre information d'hier :

    "Syria Charity fait les tournées des mosquées fréristes et salafistes en France afin de lever des fonds. Son représentant en Champagne est le syrien Abdulhamid AL Khalifa, imâm de la mosquée de ‘L’Association de l’Institut Islamique et Culturel Rémois », qui gère une salle de prière (non déclarée comme telle) dans le quartier de la Croix-Rouge, fréquentée en son temps par Saïd Kouachi. Il s’entend très bien avec la grande mosquée UOIF de Reims (AMCIR) chez qui il peut installer sa communication pour « Syria Charity » comme nous l’avions remarqué lors de notre passage dans le cadre de notre enquête sur les Mosquées radicales (éditions DMM).

    Abdulhamid AL Khalifa est aussi membre actif de l’association «Ligue Pour une Syrie libre – Section REIMS», qui comme l’explique l’humanitaire Pierre Le Corf en Syrie, est une organisation des rebelles islamistes. Syria Charity et la Ligue pour la Syrie Libre travaillent très étroitement ensemble comme l’illustrent à la fois la personnalité de Khalifa et l’enquête dans Alep Est libérée de Le Corf."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Toulouse : le Parti de la France réagit suite aux émeutes...

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    Communiqué de Guy Jovelin, Délégué départemental du PdF de Haute-Garonne, membre du Bureau politique du Parti de la France

    Les nuits d’émeutes des 15 et 16 avril dans les quartiers « chauds » de Toulouse perpétrées par des « chances pour la France » sont inadmissibles.

    Ces violences (29 voitures brûlées, caillassage des forces de l’ordre) auraient pour justification le décès d’un détenu de la  prison de Seysses et le contrôle d’identité à Toulouse d’une femme voilée.

    Suite à ces violences la région s’embrase aussi ; à Agen et Auch, dans certains quartiers dits « sensibles », les mêmes incidents ont éclaté.

    Le laxisme des autorités, tant locales que nationales, démontre une fois de plus la volonté politique de nos dirigeants d'empêcher les forces de l'ordre d'intervenir efficacement dans de telles zones de non-droit, où le « vivre ensemble » est une utopie.

    Le Parti de la France de Haute-Garonne dénonce ces actes de guérilla urbaine, ainsi que le silence gêné de nos politiciens, et réclame une politique radicale de fermeté à l’encontre des individus de certaines cités qui se croient au-dessus des lois.   

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • GROGNE DANS LA GENDARMERIE ET LA POLICE : À QUAND, L’EXPLOSION ?

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    La campagne présidentielle menée par Macron laissait paraître de très nombreuses lacunes.

    Celles concernant la sécurité et la défense étaient patentes. Une fois élu, le seul espoir résidait donc dans le fait qu’il saurait s’entourer de personnes compétentes, et surtout qu’il saurait les écouter. Las ! Nous vîmes arriver aux Armées une illustre inconnue, aujourd’hui plus engagée dans sa lutte contre le sexisme qui sévirait dans nos écoles d’officiers que dans le cœur de ce que devrait être sa mission. Et à l’Intérieur, l’incompétence personnifiée.

    Bien plus, Jupiter, non content de jouer les « Tanguy ou Laverdure » en combinaison de vol sur une base aérienne, ne trouva rien de mieux que de rentrer en conflit avec le chef d’état-major des armées, le général de Villiers, et de le limoger. Depuis, rien ne va plus. Nos armées s’enlisent au Sahel et s’épuisent, à prix d’or, en vaines patrouilles dans le cadre de l’opération Sentinelle. Nos services de renseignement s’efforcent de colmater les brèches ouvertes à nos frontières, pour tenter de séparer le bon grain de l’ivraie. Nos CRS sont sur tous les fronts pour permettre à l’ordre républicain de subsister dans nos villes et nos universités. Et nos policiers, dans les banlieues, maintiennent, comme ils le peuvent, le couvercle sur la marmite afin d’éviter l’explosion.

    Mais Macron, si l’on en doutait encore, est bien du même bois que Hollande. Comme ce dernier, qui s’était réfugié dans sa bulle après les attentats du Bataclan, le président de la République n’a manifestement plus aucun lien avec la réalité du terrain (si tant est qu’il l’ait eu un jour). Son univers est, désormais, celui des cérémonies funèbres officielles et des grands et beaux discours devant les instances aseptisées et hors-sol de ce monde. Son dernier discours devant le Parlement européen en fut un bel exemple.

    Mais, pendant ce temps-là, la situation ne cesse de se dégrader dans notre pays. Dernière preuve en date, l’évacuation de Notre-Dame-des-Landes. L’opération commencée il y maintenant dix jours dans le bocage nantais est en voie d’enlisement et n’est plus sous contrôle. Les 2.500 gendarmes requis pour cette opération piétinent devant des zadistes toujours plus déterminés et violents sans que les ordres fermes qui s’imposeraient dans une telle situation ne soient donnés. Comme lors des manifestations contre la loi Travail, nos dirigeants sont aux abonnés absents. Pendant ce temps, le nombre des blessés augmente parmi les forces de l’ordre, et le ras-le-bol s’installe chez les gendarmes mobiles.

    L’issue qui semble se dessiner était pourtant prévisible, et c’est l’Association professionnelle nationale militaire qui tire le signal d’alarme. D’ici peu, le face-à-face sur place ne sera plus tenable et le risque d’un accident majeur grandit de jour en jour. Car s’il est une chose que tout professionnel du maintien de l’ordre sait, c’est que l’accident fatal arrive toujours lors du pourrissement d’une situation.

    Nos décideurs devraient pourtant savoir qu’une opération de maintien de l’ordre n’a rien d’une garden-party. Et que s’il est facile de commander le bombardement d’un pays lointain, décider de l’emploi de la force légitime pour permettre à son propre pays de ne pas sombrer dans le chaos demande du courage. Face au cercueil d’Arnaud Beltrame, c’est cette question qu’aurait dû se poser Macron. Ai-je, à la place qui est la mienne, le courage d’un chef ? À cet égard, Macron, manifestement, n’a encore rien prouvé.

    http://www.bvoltaire.fr/grogne-gendarmerie-police-a-lexplosion/

  • Gérard Collomb : « j’ai découvert des chiffres ahurissants. A Paris 100 000 migrants sont logés chaque nuit par l’Etat »

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    Même le très « respecté » ministre de l’intérieur n’en revient pas du niveau de colonisation en région parisienne…

    Le Point : Vous qui avez été formé à l’humanisme lyonnais, comment ressentez-vous les critiques face a votre politique de fermeté (NDCI : sic) ?

    Collomb : si j’étais un débutant, je serais atteint, évidemment. Mais, comme j’ai quelques années de vie politique derrière moi, j’ai appris à résister aux coups. Cela dit, j’ai trouvé ces attaques injustes. Il fallait bien que l’on éclaircisse la situation dans les centres d’hébergement, savoir quelles personnes y étaient accueillies – la France investit dans ce dispositif 1,2 milliard d’euros tout de même.

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  • Trèbes : la « dissimulation islamique » (taqiya) en première ligne ?

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    Par Julius Muzart, ancien haut fonctionnaire (ER), enseignant en droit public, essayiste 

    A Trèbes, comme partout où s’exprime l’islam, la pratique de la « dissimulation islamique »  (la taqiya) a tourné à plein régime ces derniers temps. Quelques jours après les attentats,  l’imam de la mosquée Essalam de Carcassonne, déclarait, en arabe : « il aurait fallu lui [Radouane Lakdim] enseigner les vraies valeurs de la religion, lui enseigner le coran. Il aurait fallu lui expliquer ce que signifie le djihad dans l’islam, le vrai, celui du messager de Dieu ».

    L’islam, une religion de paix ?

    Accordons à cet imam le bénéfice du doute, et supposons qu’il croie vraiment à ce qu’il dit. Dans ce cas, deux conclusions s’imposent.

    D’abord, c’est que Monsieur l’imam devrait se replonger dans le coran : il semble avoir oublié une partie de ce qui s’y trouve. En toutes lettres et sans ambiguïté.
    Ensuite, c’est que pour ce musulman pieux mais « de base », la Taqiya islamique est devenue une seconde nature. En quelque sorte, il pratique la dissimulation islamique comme il respire.

    Il faudrait qu’enfin, nous autres, les infidèles, les cibles élues, nous prenions clairement conscience de la manipulation que nous subissons massivement à propos de l’Islam. Manipulation qui constitue, au-delà des actions meurtrières, l’autre moitié de l’arsenal guerrier de l’islam conquérant.

    Et que nous rappelions, inlassablement les réalités :

    • Non, l’islam n’est pas, n’a jamais été une religion de paix. Il s’en défend, au contraire.
    • Non, la « guerre sainte n’est pas, n’a jamais été un combat spirituel, encore moins un combat du croyant contre lui-même.
    • Non, il ne s’agit pas (même pas !) d’une question d’interprétation, quoi qu’en disent les porte-voix de la Taqiya.

    Ces réalités, elles ne sont pas extraites de sources exclusives ni des confidences rares d’un expert.  Elles sont à la disposition de tout un chacun sur la toile, pour peu qu’on veuille bien se reporter à un des innombrables sites de propagation de l’Islam.  Ceux qui s’adressent aux fidèles, et qui le font sans la fausse pudeur de nos media sidérés.

    Toutes les informations ci-dessous sont puisées à ces « bonnes sources ». Le djihad, c’est bien la guerre armée contre les incroyants et les infidèles. C’est, en toutes lettres ce que dit le Coran. Nous allons y revenir.

    Qu’est-ce que la « taqiya » ?

    Mais d’abord, cette Taqiya, en quoi consiste-t-elle ?

    Là encore il faut aller à la « bonne » source : le Livre saint lui-même.

    Citations :

    Sourate 3, verset 28 : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».

    Sourate 13, verset 42 « la ruse appartient à Allah, en totalité »

    Sourate 8, verset 30 : (Allah) « est le plus habile à fomenter un complot »

    En d’autres termes, le livre saint lui-même, non seulement admet, mais préconise la dissimulation et la ruse aux musulmans qui se trouvent en situation hostile, c’est-à-dire sur le territoire des mécréants ( le dâr el harb, c’est-à-dire ni plus ni moins que « le « territoire de la guerre »).

    Et au-delà du Livre saint, les prescriptions de recours à la Taqiya, émanant des  autorités de l’islam abondent.

    La guerre sainte

    Ceci étant posé, venons-en à ce que dit vraiment le Coran lorsqu’il aborde la guerre sainte et plus généralement le combat à mener contre les infidèles.

    Une des escroqueries essentielles ( et ordinaires) de la propagande islamiste vise à faire croire que, quand l’islam parle de « guerre sainte », c’est d’un combat spirituel pour la propagation de la parole divine qu’il s’agit. Il n’y a rien de tel dans l’islam, et d’ailleurs les musulmans, en général, n’y croient pas.

    Le djihad comme combat spirituel, c’est au départ une idée très minoritaire (et très persécutée !) au sein de l’islam, reprise notamment par les « soufis ». Cette idée a été instrumentalisée plus récemment par l’islam de combat (et ses collaborateurs occidentaux) comme blague à servir aux idiots utiles qui nous abreuvent.

    Et les « intellectuels commentateurs » de s’en donner à cœur joie sur la question de l’interprétation du Coran. C’est à qui ferait le plus subtil.

    Or, lorsqu’il s’agit de savoir ce que dit le Coran sur la guerre sainte, il n’est nul besoin d’interprétation, il suffit de lire.

    Nous citerons donc mot à mot ( précisons pour les subtils qu’on peut faire le même exercice en arabe, mais ce n’est pas le sujet).

    Sourate 2

    Al-baqarah (La vache)

    1. Combattez dans le sentier d’Allah ceux qui vous combattent, et ne transgressez pas. Certes. Allah n’aime pas les transgresseurs!
    2. Et tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés: l’association[1] est plus grave que le meurtre

    Sourate 4

    An-nisa (Les femmes)

    1. Ô les croyants! Prenez vos précautions et partez en expédition par détachements ou en masse.
    2. Vous en trouverez d’autres qui cherchent à avoir votre confiance, et en même temps la confiance de leur propre tribu. Toutes les fois qu’on les pousse vers l’Association, (l’idolâtrie) ils y retombent en masse. (Par conséquent,) s’ils ne restent pas neutres à votre égard, ne vous offrent pas la paix et ne retiennent pas leurs mains (de vous combattre), alors saisissez-les et tuez les où que vous les trouviez.

    Sourate 5

    Al-ma-idah (La table servie)

    1. 33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s’efforcent de semer la corruption sur la terre, c’est qu’ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées[2],

    Sourate 9

    Al-tawbah (Le désaveu ou Le repentir)

    1. 5. Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade
    2. Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d’un châtiment douloureux[3] et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent .
    3. Légers ou lourds, lancez-vous au combat, et luttez avec vos biens et vos personnes[4]dans le sentier d’Allah . »

    Fin de citation.

    Il faut toute la rouerie de spécialistes de la Taqiya pour affirmer sans rire que ces versets soient sujets à interprétation ;  il faut toute la naïveté, et toute l’ignorance des journalistes occidentaux pour y croire.

    Une interprétation salafiste et une interprétation douce ?

    Allons un cran plus loin, et revenons sur « l’interprétation ».
    Depuis quelques années, on farcit les têtes occidentales avec la distinction entre les « salafistes » et « les autres » Les salafistes d’où viendrait tout le mal parce qu’ils seraient les tenants de l’interprétation  littérale du Coran, celle des « anciens » (salàf).
    On en a déduit que, face à ces salafistes bloqués, il y avait en quelque sorte des « libéraux »… Il faut quitter d’urgence cette illusion. Ceux qui se différencient des salàfs, qui sont désignés sous le vocable de « successeurs » (ou « khalàfs ») ne se distinguent des premiers que par des nuances.

    Sur l’essentiel de la question d’interprétation, ils se rejoignent pour affirmer, en chœur, que le livre est écrit « dans une langue arabe très claire », et qu’il ne peut pas comporter de contradiction. S’il se trouve (par exception) des versets sujets à interprétation, ils doivent être interprétés par référence aux versets sans équivoque.

    Bref : ne cherchez pas la difficulté, le Livre est clair. La lecture des sites de propagation est claire ; et il y a bien lieu de lire les versets cités plus haut dans toute leur clarté. Il est certain qu’un certain nombre de musulmans aimeraient beaucoup qu’il n’en aille pas ainsi. Qui aimeraient beaucoup ne pas vivre en permanence sous la menace d’être taxés d’impiété ou, pire encore, d’apostasie. D’exprimer, le cas échéant, leur désaveu des attentats. Pourquoi croit-on qu’aucune manifestation de ce désaveu ne se soit organisée en France ? Parce que, pour ceux qui n’approuvaient pas (il s’en trouve), pas question de le manifester publiquement, le risque était – réellement – trop grand. Bref de sortir, eux et leur famille, de la terreur que font régner les imams de l’ordre moral. Prompts à rappeler que les « prescriptions » qu’ils appliquent sont issues, clairement, de la parole de Dieu, éternelle et incréée

    Et c’est ainsi que s’impose et s’étend, à Carcassonne comme partout, la taqiya.

    Julius Muzart 14/04/2018

    [1] « L’association », c’est le christianisme. Les chrétiens sont désignés comme « associateurs » parcequ’ils proclament le dogme de la Sainte Trinité. Pour les musulmans, c’est une hérésie grave car ils « associent » le Fils et le Saint Esprit à Dieu le père, alors « qu’il n’y a qu’un seul Dieu »

    [2]  Pour une « guerre spirituelle », cette précision de détail est curieuse :  s’agissant des modalités de conduite de cette guerre, le Coran, descend assez loin dans le détail physique des châtiments à appliquer aux mécréants.

    [3] Ici, la menace de châtiment contre ceux qui ne combattent pas se fait plus directe et plus générale : ne pas combattre n’est pas seulement être moindre en dignité : c’est un péché qui expose à, « un châtiment douloureux »

    [4] Et une pierre de plus dans le jardin de l’interprétation pacifique : la parole de Dieu, éternelle et incréée ( c’est ainsi que les musulmans pieux considèrent le coran) est explicite : luttez avec vos biens et avec vos personnes. C’est d’un investissement physique qui est demandé. Et pourquoi préciser « légers ou lourds » s’il ne s’agissait pas d’une confrontation physique ?

    Crédit photo : Prière dans une mosquée australienne – Par Dnalyensid [CC BY-SA 3.0]

    https://www.polemia.com/trebes-la-dissimulation-islamique-taqiya-en-premiere-ligne/