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magouille et compagnie - Page 1644

  • Manifestation anti-Le Pen à Bordeaux : la stratégie de la violence

    Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre.

    Comme à Nantes il y a quelques semaines, une manifestation contre la tenue d’une réunion publique de Marine Le Pen s’est déroulée à Bordeaux dimanche après-midi. Selon un rituel maintenant solidement établi, c’est en fin de manifestation que des éléments cagoulés s’en sont pris aux commerces et aux forces de l’ordre qui sécurisaient ce rassemblement. Plusieurs casseurs ont été interpellés, sans que les motifs de ces arrestations n’aient été dévoilés par les autorités. Gageons qu’ils n’ont pas dû rester longtemps dans les locaux de la police bordelaise, ce qui n’aurait sans doute pas été le cas s’il s’était agi de militants du Front national !

    Une fois encore, c’est sous le regard bienveillant d’une classe politique complaisante – on attend encore les déclarations de monsieur Cazeneuve condamnant ces agissements – que des organisations ultra-minoritaires en voix dans le pays se permettent de contester par la violence l’expression de la démocratie. Mais il est vrai que, sous le quinquennat Hollande, la violence est devenue un mode d’expression courant. Qu’il s’agisse de mouvements sociaux, comme la loi Travail, de mouvements revendicatifs, comme actuellement en Guyane, de mouvements sociétaux, comme ceux observés à de multiples reprises contre la police, ou de toutes autres formes d’expression publique, chaque manifestation se termine immanquablement par des destructions, des dégradations et l’agression des forces de l’ordre. Notre pays, à cause de l’incapacité de ceux qui nous gouvernent à instaurer un dialogue social digne de ce nom, a fini par sombrer dans un chaos systématique dont nul ne peut dire, aujourd’hui, où il nous conduira.

    Mais les manifestations violentes contre le Front national poursuivent aussi un autre but. Elles sont destinées à instaurer, chez les Français, un climat de méfiance et de peur afin de les dissuader de voter pour Marine Le Pen.

    En effet, de nombreux électeurs tentés par ce vote craignent encore les troubles qui pourraient survenir en cas d’accession au pouvoir de la présidente du parti frontiste. Pourtant, les casseurs sont toujours du même côté. Ils proviennent de partis et de mouvements qui ont juré la perte de notre pays. Et qui, à défaut de participer loyalement au débat politique en développant des idées, ont choisi de lutter par tous les moyens contre nos institutions. Car il ne faut pas s’y tromper : Philippe Poutou, candidat à la présidentielle pour le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), et présent à Bordeaux au sein des manifestants, ne se fait aucune illusion quant à sa victoire par les urnes. Comme ses devanciers de l’extrême gauche, il sait qu’il ne pourra prendre le pouvoir que par la révolution. Ce projet est même dans l’ADN de son parti et de ceux qui lui ressemblent.

    Pour parvenir à leurs fins, ces contempteurs de la République ont parfaitement compris qu’il fallait, au préalable, neutraliser toute forme de patriotisme et marginaliser, aux yeux d’une opinion parfois bien naïve, ceux qui se battent encore pour une France libre et souveraine. Ceux-là mêmes qui renient « La Marseillaise » pour chanter « L’Internationale » ne reculeront donc devant aucun moyen pour faire gagner leur cause. Dès lors, la violence assumée, qu’ils propagent dès qu’ils en ont l’occasion, fait partie intégrante de leur stratégie. Soutenus par une classe politique de gauche, dont certains des membres sont passés par ces mouvements révolutionnaires, ils affirment ainsi, en toute impunité, leur totale capacité de nuisance.

    http://www.bvoltaire.fr/manifestation-anti-pen-a-bordeaux-strategie-de-violence/

  • Estrosi-Macron, rencontre du 3ème type

    Macron-rencontre-Estrosi-rempart-contre-le-FN-en-PACA-600x300.jpg

    Emmanuel Macron a bien conscience que s’afficher avec tous les ex de la Hollandie léthargique n’est pas bon pour son image. Samedi matin, il a donc bu un café avec Christian Estrosi afin de donner un coup de barre à droite. Estrosi, sifflé, hué par les fans de Fillon, tient sa revanche…

    Tanguy Pastureau n’est pas tendre avec le président de la région PACA :

    Christian Estrosi, président de la région PACA, fait parler de lui. Estrosi, c’est ce type au teint hâlé et à la mâchoire carrée qui aurait pu être mannequin slip pour le catalogue Daxon et tomber de la gueuse à bas de contention, mais qui a choisi la politique. Dans la vie, il aime 3 choses : lui-même, mais aussi les photos de lui, et son reflet dans la glace. Christian Estrosi inonde Twitter de clichés de lui en train de courir, faire du tennis, du vélo, du jokari les yeux bandés, de la F1 sans les mains, bref, il est à fond, et quand il joue à la pétanque, il lance le cochonnet à plus de 110 mètres, pour le suivre, tous les boulistes du coin tournent à l’EPO ou à la coke.

    Seulement, vendredi, s’est produit l’impensable : des fans de Fillon ont sifflé notre Brad Pitt, cet aimant à cagoles. Estrosi grimpe ce soir-là sur scène, à moto avec des cerceaux en feu, et d’habitude, les gens lui jettent des roses en hurlant “Cricri, si tu veux la mienne, je suis d’accord aussi !” mais là, ils le huent. Il y a un mois, il avait appelé au retrait de Fillon, là Estrosi ouvre pour Fillon, donc il reçoit l’accueil de Patrick Sébastien s’il montait sur scène interpréter sa chanson “Une p’tite pipe” juste avant un concert autour de l’œuvre de Berlioz, c’est normal.
    Sauf que ça se passe à Toulon, le fief d’Estrosi, sa terre. Il a mis 12 ans à faire pipi tout autour de la région afin de marquer son territoire. Donc il est vexé, et se dit “Fillon, je vais le plier, il va aller retrouver Pénélope à la boutique Phildar en pleurant pour qu’elle lui fasse un slip de bain en laine pour les vacances d’été”. Et dès hier matin, Christian Estrosi, qui tient sa revanche, rencontre à Marseille Emmanuel Macron…

  • Macron, copié collé de Hollande - journal du lundi 3 avril 2017

  • Quand Beauvau met le RAID au piquet pour... un livre sur le Bataclan

    Cinq mois après la parution d'un livre-témoignage sur la nuit du Bataclan, le médecin chef du RAID, Matthieu Langlois, est convoqué devant le conseil de discipline. Le patron du service, lui, a déjà été limogé. Ambiance à l'Intérieur... 
    Et pendant ce temps là, alors que l’état d’urgence se prolonge en France et que les services de renseignement britanniques et américains sentent poindre la menace, la Place Beauvau, elle, se concentre sur un livre. Oui, vous avez bien lu : un livre. 
    Le témoignage publié par le médecin-chef du RAID, Matthieu Langlois, qui a raconté ce qui s’est vraiment passé au Bataclan, dans la nuit du 13 novembre 2015 (co-écrit avec notre collaborateur à Marianne, Frédéric Ploquin). Un livre dont le projet avait été validé (oralement) par le service de communication de l’Intérieur, avant que le manuscrit n’obtienne le feu vert du chef du RAID, Jean-Michel Fauvergue, à la veille de sa publication au mois d’octobre dernier (chez Albin Michel). Sauf que ces vérités n’ont pas plu à tout le monde et que le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bernard Cazeneuve a aussitôt sommé le directeur général de la police (DGPN), Jean-Marc Falcone, de sévir. Ce qu’il a fait séance tenante en saisissant l’inspection générale de la police nationale. 
    Jean-Michel Fauvergue limogé 
    Bernard Cazeneuve envolé pour Matignon, le bras armé n’a pas molli. Et le premier couperet est tombé cinq mois plus tard, le 6 mars. Comme une urgence à régler avant l’élection présidentielle, le DGPN a convoqué le patron du RAID pour lui dire qu’il était limogé. A cause de ce livre qu’il n’a pas su, ou pas voulu, censurer, comme on le lui avait demandé oralement. Parce qu’il n’a pas su empêcher le docteur Langlois de s’exprimer dans les médias, sachant que sa première interview, au Figaro Magazine, avait été accordée avec l’aval de la direction de la communication du ministère. Limogé, donc, en pleine crise terroriste et malgré des états de service largement honorables. 
    Premier coup de fusil parti sans que Bruno Le Roux n’ait vraiment eu le temps de découvrir les tenants et aboutissants de ce dossier « sensible ». Ni de comprendre quels égos avaient été froissés par cet ouvrage au demeurant peu polémique et plutôt bon pour le moral d’une police au bord de l’épuisement et de la crise de nerfs, face à des hiérarques plus prompts à manier la matraque que la décoration –même après les coups durs. 
    Le second coup de feu est à venir, puisque le médecin-chef, qui n’est pas policier mais employé de façon contractuelle par l’Intérieur, est convoqué le 23 mars devant le conseil de discipline, entre un voyage à Londres et un autre à Oslo, pour partager avec ses homologues étrangers le savoir-faire des médecins français en matière de tuerie de masse. Il comparaitra accompagné d’un avocat et épaulé par un syndicaliste, face à un conseil en service commandé. Un coup dur pour un service, le RAID, qui a beaucoup enduré depuis les attentats de 2015, mais qui fait face à sa mission - on l’a encore vu samedi dernier lors de l’attaque perpétrée dans l’enceinte de l’aéroport d’Orly. Une maladresse de plus à l’encontre d’une police que cette gauche aura décidément peu comprise – disons tout de suite que Matthias Fekl, ministre de l’Intérieur pour les deniers instants du quinquennat, n’y est strictement pour rien !

  • DÉFENSE : D'INQUIÉTANTES NOMINATIONS

    Il se passe des choses très inquiétantes à Washington », écrivait, fin janvier, Dominique Merchet de L'Opinion où il tient le blog « Secret Défense » encore assez lu dans les Armées.

    Dans une courte vidéo, avec la mine grave et le ton angoissé qui conviendraient à l'annonce d'une guerre nucléaire, Merchet nous alerte du pire. Trump a nommé Steve Bannon au conseil de sécurité nationale : un « idéologue d'extrême droite » dont « la qualification pour occuper le poste est égale à zéro ». C'est « comme si Sarkozy avait nommé Buisson au conseil national du renseignement », poursuit-il. Nous voilà rassurés.

    L'Opinion, de Nicolas Beytout, c'est Bernard Arnaud, les Bettancourt et « quelques autres mililardaires », indique Mediapart. La rumeur signale Pierre Bergé et Xavier Niel qui démentent. Quoi qu'il en soit, L'Opinion est bien de cette presse au service de « l'Argent » qui n'en finit plus de s'étrangler depuis l'élection de Trump.

    On lira ailleurs que Steve Bannon est un « idéologue très structuré » avec une « immense culture » et une capacité reconnue à « écouter, absorber et tirer des conclusions stratégiques ». Il dit de l'establishement : « Ces gens nous haïssent mais nous avons le peuple, c'est le pays légal contre le pays réel et moi je suis avec le pays réel ». À un responsable français : « Nous sommes à la fin des Lumières, vous avez lu Maurras ? » Steve Bannon a probablement lu L'avenir de l'intelligence...

    Un peu plus tôt, Merchet avait déjà perdu son sang-froid à l'occasion de la nomination du général Mattis au poste de secrétaire à la Défense. Sans nier les éminentes et incontestables qualités de cet ancien des Marines aux allures de général Patton, il n'avait pu s'empêcher de signaler « ses propos d'adjudant-chef qui ont toujours du succès dans les casernes, moins dans les cercles diplomatiques ». Les adjudants-chefs qui lisent Secret Défense apprécieront. Ce mépris des cadres de maîtrise militaires, dont les colonels savent bien le rôle primordial, est emblématique.

    Le général Flynn, ancien patron du renseignement, avait rallié Trump après avoir été mis à la retraite. Controversé dans l'armée, il se disait victime politique d'Obama. Sa nomination par Trump au conseil de sécurité a inquiété L'Opinion : « Un dingue », selon le général français que cite Merchet, ajoutant qu'il « n'est pas le plus brillant des intellectuels » et fustigeant ses « jugements sans nuances » sur l'Islam. Pire, Flynn est partisan d'un rapprochement avec la Russie. Une cible idéale pour l'establishment. Il a été contraint de démissionner.

    La CIA a des comptes à régler avec Trump qui s'en méfie au point de l'avoir sortie du conseil de sécurité nationale. Elle a livré au Washington Post un entretien téléphonique où Flynn, avant l'investiture de Trump, aurait rassuré l'ambassadeur russe sur l'expulsion de ses diplomates par Obama qui les accusait de cyber-attaques contre Clinton. Cet entretien est inutile, il n'apprend rien aux Russes ; d'un professionnel du renseignement qui devrait se douter qu'on l'écoute, c'est une faute, mais une aubaine pour ceux qui veulent gêner Trump sur le dossier russe. Autre faute de Flynn, il nie avoir tenu ces propos au vice-président Pence, mis ainsi en difficulté devant la presse. Merchet peut être rassuré, Flynn n'aura pas duré 3 semaines au conseil de sécurité nationale d'où Trump l'a viré.

    À Paris, tout cela donne des idées à Emmanuel Macron, candidat de l'Argent, qui s'invente une théorie du complot russe par cyber-attaques contre sa candidature. Mais attention monsieur Macron, malgré le zèle de la CIA, la ficelle, un peu grosse, n'a pas réussi à madame Clinton. 

    MATHIEU ÉPINAY

    Politique magazine mars 2017 -  Consulter ... S'abonner ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Alban d'Arguin, auteur de "Eoliennes un scandale d'Etat", répond à Riposte laïque

    Riposte laïque cliquez ici

    3783962953.jpgQuel Français n’a-t-il pas constaté, ces dernières années, une prolifération des éoliennes, présentées par les écologistes et leurs soutiens comme la solution pour sortir du nucléaire. Est-ce une si bonne chose ? Quand on écoute les réponses aux questions que nous avons posées à Alban d’Arguin, auteur d’un « brûlot » sur cette question, on en doute…

    Riposte Laïque : Avant que nous n’évoquions votre livre de 180 pages « Eoliennes un scandale d’Etat », paru aux Editions Synthèse nationale, pourriez-vous rapidement vous présenter à nos lecteurs ?

    Alban d’Arguin : Je suis originaire de l’ouest de la France et, après une carrière bien remplie, j’ai décidé de « revenir plein d’usage et raison vivre entre mes parents le reste de mon âge » comme eut dit du Bellay. Avec mon épouse nous nous sommes installés en Vendée récemment pour restaurer une vieille demeure nous permettant d’accueillir une tribu familiale fournie et fourmillante aussi de petits enfants !

    Riposte Laïque : Quel a été le détonateur qui vous a poussé à écrire ce livre ?

    Alban d’Arguin : C’est justement la découverte d’un projet éolien dans notre nouveau village qui m’a convaincu d’agir et d’instruire le dossier de l’énergie du vent en France. Et, de là, effaré de mes découvertes cachées aux Français, j’ai décidé de prendre la plume pour partager le résultat de mes recherches.

    6.000 éoliennes en France, 15.000 à l’horizon 2020 !

    Riposte Laïque : Quelle est la situation actuelle ? Combien y a-t-il d’éoliennes en France, et combien y en aura-t-il dans les années à venir ?

    Alban d’Arguin : Il y a plus de  6000 éoliennes aujourd’hui en France, mais aussi un programme d’implantation considérable qui doit nous conduire à plus de 15 000 à horizon 2020. Si nous n’y prenons garde, la France des années 2020 sera bientôt hérissée d’éoliennes autant que de minarets, les deux étant, de mon point de vue, une illustration de la décadence dans laquelle nous baignons.

    La facture des éoliennes, payée par les Français, s’élève à 11 milliards d’euros en 2016, plus la TVA…

    Riposte Laïque : Et cela nous coûte vraiment cher, et occasionne de graves dégâts ?

    Alban d’Arguin : Les dommages causés par l’éolien sont, selon moi, de trois natures : une atteinte au Beau, au Bien et au Vrai.

    Elles défigurent les paysages de la belle France, voyez à titre d’exemple celles qui surplombent la ville de Coutances et sa cathédrale, si chère à Barbey d’Aurevilly ou celles qui dénaturent l’île de Beauté sur le Cap Corse.

    Quant au  mal qu’elles provoquent, et c’est le premier scandale d’Etat que je dénonce, c’est la souffrance physique à travers le syndrome éolien qui se propage pour tous les riverains. L’Académie de médecine a prescrit en 2006 qu’aucune éolienne ne soit implantée à moins de 1500 mètres d’une habitation. La France a refusé d’écouter et a choisi un périmètre de sauvegarde de seulement 500 mètres là où l’Allemagne est à 1500 mètres, le Royaume Uni entre 1800 et 2200 mètres selon les contrées, l’Espagne à 1500 mètres, les Etats Unis entre 1500 et 3000 mètres selon les Etats. Ceci engendre des pathologies redoutables et inadmissibles au nom du principe de précaution inscrit dans la constitution française. Mais les lobbies veillent !

    Enfin, sur le plan du Vrai, là encore les méfaits sont considérables : économiquement, l’éolien est un eldorado financier dont le « business model » comme dirait les technocrates devrait être enseigné dans les écoles internationales de commerce : EDF est tenu d’acheter l’électricité produite par les consortiums éoliens (tous étrangers…) à un prix conventionnel 3 à 4 fois plus cher que celui auquel elle produirait elle-même cette électricité, et ceci avec une garantie de durée de 15 ans ! Le vent ne soufflant pas en permanence, une éolienne ne produit que 20 à 25% du temps  ce qui désorganise le bouquet énergétique français (unique au monde) et accroît le besoin de recours alternatif à des énergies supplétives thermiques comme les centrales au charbon, au gaz ou au fuel, renchérissant les coûts. Tout cela n’est pas grave puisque les Français ne savent pas encore qu’ils sont les payeurs de ce scandale… La facture de l’éolien est une taxe appelée CSPE qui figure au verso de nos factures EDF et représente désormais plus de 25% du coût de notre consommation. Elle est estimée à 11 milliards d’euros pour 2016… Et cette taxe est elle-même soumise à la TVA ! Alors, non seulement l’éolien nous coûte très cher, mais il rapporte des sommes considérables aux investisseurs étrangers du fait du prix garanti ce qui permet d’alimenter une bulle financière, mais aussi un véritable système mafieux de corruption qui touche de nombreux élus et personnels de l’Etat comme l’a dénoncé avec vigueur le Service Central de Prévention de la Corruption dans un rapport au garde des sceaux et au président de la « Ripoublique française» dès 2014…

    L’Union européenne, par dogmatisme anti-nucléaire, exige de la France davantage de pollution ! 

    Riposte Laïque : Venons-en aux causes. Pourquoi notre beau pays s’est-il couvert, en quelques années, de ces magnifiques moulins à vent qui polluent nos paysages ?

    Alban d’Arguin : Au nom d’un dogme, celui du réchauffement climatique anthropique, dont les mondialistes agitent avec une terreur millénariste et quasi mystique les conséquences qui justifient un plan de bataille supra national contraignant… Ainsi, la Commission Européenne, organisme démocratique comme on le sait tous (non élue !) a émis une directive dite des trois vingt, qui impose aux états de l’union d’avoir au moins 20% d’énergie d’origine renouvelable en 2020. Pourquoi ? Pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, autrement dit de CO². Or, la France est le pays d’Europe le plus propre sur ce plan, puisque notre production d’énergie n’émet pratiquement pas de CO² : 80% de nucléaire et 14% d’hydraulique et le solde environ 6% d’électricité d’origine thermique, en variable d’ajustement pour les pointes de consommation. L’obligation tyrannique de l’Europe est donc en train de nous obliger à devenir un « Etat pollueur » puisque pour compenser la faible activité du vent nous devrons nous équiper de nouvelles centrales thermiques réactives comme l’ont fait les Allemands qui, sous l’influence des « Grunen », les verts, ont abandonné l’énergie nucléaire pour se jeter à corps perdu dans les éoliennes et ont dû accompagner ce déploiement de plus de 20 nouvelles centrales au charbon qui polluent toute l’Europe, car le nuage de CO² et de particules fines traverse les frontières.

    L’écologie politique et les ONG sont d’excellents fromages…

    Riposte Laïque : Vous évoquez, parmi les grands propagandistes de la cause éolienne, les gauchistes reconvertis en écologistes. Quel serait leur intérêt ?

    Alban d’Arguin : L’écologie politique, qui n’a rien à voir avec la vraie écologie, est composée d’hommes et de femmes qui viennent souvent du  trostkysme et des mouvements marxistes du 20e siècle. Leur désillusion à la chute du communisme les a amenés pour certains à recycler leur désir d’universalisme vers le mondialisme apatride et déraciné au nom de l’écologie. On constate que moins ils recueillent d’intention de vote dans notre système démocratique plus ils pèsent de leurs positions dogmatiques par le jeu des alliances et du chantage. L’écologie est un excellent fromage et regardez avec attention les « ONG » qui nourrissent très bien un certain nombre d’entre eux !

    D’abord arrêter les éoliennes, puis les démonter et faire payer les investisseurs étrangers

    Riposte Laïque : Avons-nous atteint une situation irréversible, vu le nombre, ou bien ce qui a été fait peut-il être défait, et pourra-t-on un jour se débarrasser de ces champs d’éoliennes ?

    Alban d’Arguin : Le désespoir en politique est une sottise. Nous devons d’abord mettre fin au scandale de santé publique en engageant les actions judiciaires et politiques appropriées. En obtenant la limite minimum de 1500 mètres. Mettre fin au scandale financier, en arrêtant de subventionner les investisseurs étrangers ; alors vous verrez, ils partiront tous aussi vite qu’ils sont venus et les programmes seront gelés. Alors, notre problématique finale se résumera à faire démonter les mâts et les aérogénérateurs des éoliennes, aux frais des constructeurs et des propriétaires fonciers qui ont participé à cette gabegie. Quant aux tonnes de béton et d’acier (1100 tonnes par pylône !) ils resteront en terre, hélas.

    Tout ce que touche l’Europe, elle le détruit…

    Riposte Laïque : Nous sommes en pleine campagne présidentielle. Y a-t-il des candidats qui partagent votre point de vue, et vous donnent de l’espoir ?

    Alban d’Arguin : Tout ce que touche l’Europe, elle le détruit… Voyez l’acier et le charbon disparus, voyez l’industrie navale en pré-disparition, voyez l’agriculture moribonde, la pêche à l’agonie. La voilà maintenant qui se mêle d’énergie, on peut donc tout craindre. Je vais donc répondre à votre question par l’élimination des candidats pro européens, que ce soit Fillon (celui du  Grenelle de l’environnement) ou  Macron, le joker de la finance apatride lancé en politique par Hollande comme on lancerait un nouveau produit de lessive dans la grande distribution ; il n’y a rien à attendre d’eux compte tenu de leur asservissement à la finance et à l’Europe. Mais ensuite, il faut aussi éliminer les candidats qui sont piégés par leurs accords officiels ou tacites avec les écologistes… Qui nous vaudraient des dizaines de milliers d’éoliennes en plus dans les années futures. Mon espoir irait vers les candidats qui portent la sortie de l’Europe, qui ne concèdent rien au dogmatisme sur le réchauffement climatique et rendraient un Etat fort à la France pour lui permettre de conserver son indépendance énergétique et dont nous aurons aussi besoin d’ailleurs pour en finir avec le délire « immigrationniste » et islamiste qui nous ronge.

    Riposte Laïque : Je présume que vous n’avez pas trop d’invitations sur les grands médias. Et ailleurs ?

    Alban d’Arguin : Pour les médias « mainstream » comme ils disent, certes non ! Pour les médias alternatifs et encore dotés d’une réelle objectivité, cela vient de plus en plus ! Le bouche à oreille est aussi en train de faire le reste, pour le plus grand plaisir de mon éditeur « Synthèse éditions » et son directeur fondateur Roland Hélie qui a su me convaincre d’écrire ce livre !

    Riposte Laïque : Etes-vous également disponible pour des conférences, et sollicité en ce sens ?

    Alban d’Arguin : Oui, et la liste s’allonge tant il y a de besoins de lutter contre les projets d’implantation éoliens partout !

    Ainsi dès dimanche prochain 9 avril je serai chez mes amis de Poitiers à l’Hôtel de France, avenue de Paris à 15 heures pour une conférence débat et dédicace organisée par le « Cercle des chats bottés » de notre ami Jacques Soulis.

    Riposte Laïque : Et ce livre, Alban, on se le procure comment ?

    Alban d’Arguin : D’abord chez l’éditeur Synthèse éditions, 9 rue Parrot – CS 72809  75012 Paris (correspondance uniquement) ou sur internet à www.synthese-editions.com

    Ensuite dans toutes les « bonnes librairies » et ensuite chez votre libraire habituel (il est diffusé dans toute la France) ou Amazon par défaut !

    Propos recueillis par Pierre Cassen

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Pour Emmanuel Macron, tous les immigrés sont des Français !

    La préférence étrangère atteint des sommets avec le discours d’Emmanuel Macron, en meeting à Marseille, prétendant donner des leçons de patriotisme, avant de conclure que lorsqu’il voit à Marseille des Algériens, des Marocains, des Tunisiens, des Ivoiriens, des Sénégalais,…, il voit… des Français.

    Brader la nationalité française, encourager le melting-pot, favoriser le cosmopolitisme, voilà le message d’Emmanuel Macron, le favori des mondialistes.


    « Être patriote… », l’anaphore d’Emmanuel… par BFMTV

  • Bistro Libertés avec Jean-Pax Méfret : Macron, cabinet noir et médias à la dérive

  • Christian Estrosi prépare probablement son ralliement à Macron

    6a00d83451619c69e201b7c8e89d3b970b-800wi.jpgSelon Nicolas Bay, suite à l'accueil d'Emmanuel Macron par Christian Estrosi à Nice :

    "Il considère que Fillon est éliminé et prépare probablement, son ralliement à Macron. C'est un retour d'ascenseur offert à la gauche pour son élection à la présidence de la région Paca, il y a un an, avec le soutien du PS. Estrosi a peut-être aussi des arrière-pensées au-delà du second tour et des ambitions ministérielles."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html