magouille et compagnie - Page 1762
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Crise de la police : il faut réarmer pénalement la France
Mercredi 26 octobre, deux manifestations de policiers étaient organisées : l’une par les syndicats de police, l’autre sans ces syndicats.Boulevard Voltaire était présent à cette seconde manifestation, qui se déroulait devant l’Assemblée nationale, et a rencontré ces policiers qui contestent ceux qui sont censés les défendre. Quelques élus étaient présents et ont bien voulu répondre à notre micro.Lien permanent Catégories : actualité, immigration, insécurité, lobby, magouille et compagnie 0 commentaire -
Délit de sale Gaule par Paul-Georges SANSONETTI
Suite à l’évocation de « nos ancêtres les Gaulois » par Nicolas Sarkozy et au tollé provoqué par cette formule, jadis première phrase des manuels scolaires du cours élémentaire, je découvre, au hasard de la presse, un certain nombre de prises de position par des penseurs qui livrent au grand public leur état d’âme oscillant, comme l’aiguille d’une boussole affolée, entre indignation et peur panique. Parmi ces cacochymes, qu’il me soit permis de citer un certain François Noudelmann, philosophe de son état et professeur à Paris-VIII, qui dénonce, je cite, « le retour du mot “ gaulois ”… » considéré comme porteur d’une « charge discriminante » car il s’agit de « métonymies […] censées identifier un peuple mais aussi des comportements et même des physionomies (1) ». Ah oui ! Pas de doute, c’est fichtrement inquiétant des physionomies européennes.
Pour un peu on aurait le délit de « sale gueule de Gaulois » ou, mieux encore, « délit de sale Gaule ». Ce qui, on en conviendra, relève du racisme le plus viscéral de la part de gens pratiquant l’antiracisme alimentaire. Il fut un temps où Georges Moustaki avait la liberté de se vouloir, tout à la fois, « métèque », « juif errant » et « pâtre grec ». Trois appartenances qui, du reste, ne sont en rien péjoratives puisque, dans la démocratie de Périclès, « métèque » désignait quelqu’un d’étranger à la cité et que le « juif errant » est un personnage mythique repris par l’écrivain populaire, natif de La Colle-sur-Loup, Eugène Sue (1804 – 1857) (2). Quant au bucolique « pâtre grec », il vient tout droit de l’Antiquité.
Mais continuons notre sélection des allergiques à la Gaule devenue France. Pour François Jullien, philosophe, « l’identité culturelle n’existe pas ». Tiens, mais on nous assure pourtant que, partout dans le vaste monde, existent des peuples fiers de leur ethno-culture, surtout lorsqu’il s’agit des Papous ou des Kanaks (que, du reste, nous respectons et saluons en tant que peuples bien décidés à sauvegarder leurs origines).
Ça nous change des jeans et tee-shirts américains made in China. Ce personnage est encore autorisé à manifester son appartenance ethnique. Espérons que ce soit vraiment pour lui et les siens et non à destination des touristes.
Il me faut également mentionner François Reynaert, auteur d’un bouquin dont le titre, Nos Ancêtres les Gaulois et autres fadaises, résume la teneur (épargnant ainsi à votre serviteur le désir de le lire). L’auteur souhaite « forger une France diverse et métissée ».
Ah, le métissage ! Ça les titille tous ces accoucheurs de poncifs politiquement obligatoires.Enfin, citons Madame la mairesse du bourg de Champtercier (près de Digne-les-Bains, Alpes de Haute-Provence), qui plaide pour la venue d’une centaine de migrants (érythréens et soudanais fuyant, probablement, le conflit syrien) en argumentant qu’« on n’est plus un village gaulois, c’est la mondialisation ! Et ça ne fait que commencer, ces migrations. Il faut qu’on soit “ ouvert ” » pour « accueillir les gens et “ vivre ensemble ” ».
Lui faisant écho, une certaine NKM, selon le Journal du Dimanche (édition du 23 octobre 2016), aurait lancé aux journalistes « Moi, j’en peux plus des Gaulois ». C’est clair ! La Gaule étant désormais confinée dans un passé rance, acceptons de bon cœur l’air frais du Grand Remplacement.
Se réclamer d’un héritage civilisationnel gaulois, c’est se référer à une appartenance historique et cette dernière option suffit à vous disqualifier aux yeux de l’Establishment. Voix discordante, le comédien et écrivain à succès, Lorant Deutsch, dans un entretien accordé ce 16 octobre à Thomas Malher (du Point), n’hésite pas : « Évidemment que nous sommes des Gaulois ! », dit-il. Et ce, à partir du moment où Vercingétorix est la première grande figure du « roman national ».
En fait, pour une hétéroclite cohorte, dans laquelle se côtoient historiens, philosophes, sociologues, journaleux et, enfin, politiques, le passé de notre nation ne commence qu’en 1789. Empruntons au Provençal (puisque né à Marseille) Edmond Rostand pour déclarer « c’est un peu court… » : deux malheureux siècles, alors que la Gaule remonte à mille ans avant notre ère. Et là, ça coince dans les cervelles de l’anti-France à partir du moment où nul n’ignore l’existence des Gaulois (merci Astérix !). « Sale Gaulois » est, du reste, une insulte courante à destination des Français « de souche » (la formule est-elle encore autorisée ?) lancée par certains « jeunes » des quartiers (supposés) « défavorisés » et (paraît-il) très « sensibles ». Car au grand dam des mixeurs de cultures, le monde gaulois fascine toujours.
1) D’abord parce qu’on le devine d’autant plus respectueux de l’environnement que plaines, montagnes, fleuves ou rivières formaient aux yeux des Celtes un sanctuaire immense (3). Charles Baudelaire s’en fait l’écho dans un poème commençant par ces mots :
« La nature est un temple où de vivants piliers (… )
L’homme y passe à travers des forêts de symboles ».L’âme celte incite à une vision magico-religieuse (et non politico-mondialiste) de l’écologie. Je ne prendrai qu’un seul exemple, pour rester en Provence, avec la cité de Sisteron, l’antique Segustero, capitale des Segontii, et dont le nom renverrait aux notions de « force », de « victoire » et de « hauteur ». Devant un tel mont, point n’est besoin de construire une pyramide. On songe à la formule bien connue attribuée à un théologien : « Tout ce qui monte converge ».
2) Puis parce que la Gaule, comme tout territoire celtique, c’était aussi un ensemble de populations ethniquement homogènes. Nous l’avons dit dans un précédent article (4), le « dieu » (le principe) Toutatis gouverne la spécificité psycho-physiologique d’un groupe humain dès lors que ce nom, signifiant « père de la tribu » ou encore « père de la nation », sous-entend la transmission d’un patrimoine génomique.
3) Enfin de par le fait que l’art celte est étonnamment unitaire, ce qui signifie que, comme dans toute société traditionnelle, les créateurs se sont unanimement conformés à un corpus d’images bien précis et dans lequel s’impose une emblématique des plus élaborées. Ainsi, parmi les symboles récurrents, apparaît un tracé identique au Yin Yang de l’Extrême-Orient qui, comme chacun le sait, traduit le concept de deux forces soit antagonistes, soit complémentaires, mais englobées et mises en contact par une troisième, totalisante, que constitue le cercle.
Thèse, antithèse, synthèse, en quelque sorte, plus de deux millénaires avant la dialectique marxiste enseignée à présent à Sciences-Po.
Autre symbole, le triskèle toujours présent dans l’iconographie bretonne.Ce signe montre la dynamique du nombre trois. Les trois points qui entourent celui du centre (invariable milieu) permettent de tracer un triangle équilatéral. Simultanément, on les voit emportés dans le mouvement continu de doubles spirales métaphoriques de la force vitale universelle. Pareil ternaire c’est, au niveau humain, le père, la mère et l’enfant, constitutifs d’une famille, ou encore les trois générations nécessaires à la transmission du savoir. Symbole tournoyant, le triskèle sera repris par l’art gothique. Dans son livre intitulé L’Art Gaulois, Jean Varagnac, ancien conservateur en chef du Musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye, affirmait, preuves à l’appui, que le monde celtique s’était prolongé sous un vêtement spirituel chrétien durant tout le Moyen Âge. Contrairement, donc, à ce qu’affirment les histrions actuels pour qui il serait vain de chercher une continuité entre la Gaule et les temps médiévaux.
Nous pourrions continuer avec le même tracé mais augmenté d’une branche comme le montrent les monnaies des Bituriges (Gaulois de Bourges) et des Suessions (tribu du Soissonais). Il symbolise alors, entre autres choses, la ronde perpétuelle des quatre saisons accompagnant le mouvement du ciel.
Ces quelques et brefs exemples montrent que l’esprit celtique s’est poursuivi bien après que la Gaule fut devenue le royaume de France. Les antiquités gauloises connurent, parallèlement au Moyen Âge, un renouveau à travers le Romantisme et le Second Empire avec, en particulier, la création par Napoléon III du Musée des Antiquités Nationales à Saint-Germain-en-Laye. Il faudrait ajouter que l’Art Nouveau ou Modern Style, en privilégiant des formes végétales composées de courbes gracieuses, avoue un cousinage direct avec l’esthétique celte.
Dans nos sociétés soumises à des élites dirigeantes qui nous imposent le déracinement des peuples, le brassage des cultures, la confusion des concepts, sans oublier la théorie du genre et l’adulation des transgenres (style chanteuse barbue lauréate de l’Eurovision), il est bien évident qu’à travers une Gaule honnie c’est la merveilleuse créativité celte, portée par un désir d’unir le vivant au spirituel, que l’on s’efforce d’assassiner.
Paul-Georges Sansonetti
Notes
1 : Définition de Métonymie selon Wikipédia : « figure de style qui remplace un concept par un autre ».
2 : Mais aussi par l’auteur Gustav Meyrink dans un prodigieux roman fantastique à caractère initiatique intitulé Le Visage Vert.
3 : Voir ce qu’en disait pertinemment Pierre Lance dans une chronique précisément consacré au thème des Gaulois.
4 : Intitulé « Les bachi-bouzouks et Toutatis ».
5 : Outre l’appartenance ethnique, l’œil bleu revêt une signification symbolique en reflétant la couleur du ciel pur et, de la sorte, exerce une véritable fascination comme le prouve la toute récente histoire d’un jeune commerçant Pakistanais, Arshad Khan, devenu célèbre du jour au lendemain grâce à ses magnifiques yeux bleus. L’auteur de l’article du Figaro (daté du 20 octobre2016) écrit que ce succès « met également en évidence des canons de beauté “ euro-centrés ”… ».
• D’abord mis en ligne sur Nice Provence Info, le 24 octobre 2016.
http://www.europemaxima.com/delit-de-sale-gaule-par-paul-georges-sansonetti/
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Affaire Lorànt Deutsch : quand les enseignants s'érigent en grands prêtres de l'Histoire
Deux professeurs d'Histoire ont mis leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch. Philippe Delorme expose ici [Figarovox, 26.10] que si les enseignants considèrent ne pas devoir « faire aimer la France » - « position surprenante » - ils ne doivent pas transformer son histoire en « cauchemar national ». Il a raison. LFAR
« Nous ne sommes pas là pour faire aimer la France à nos élèves ». Telle est la déclaration surprenante que viennent de faire deux professeurs d'Histoire de Trappes, dans les Yvelines. Ils cherchaient par là à justifier leur veto à la tenue d'une conférence de Lorànt Deutsch dans leur ville. Accusé de trop aimer « les rois et les grands personnages », le comédien s'est donc vu interdire l'accès de cette cité de la banlieue parisienne, dont la majorité des habitants sont issus de l'immigration. Pourtant, à travers ses livres à succès - dont ses deux Métronome -, Lorànt Deutsch a prouvé que les Français ont soif de connaître leur passé. Et cette évidence seule devrait interpeller nos deux censeurs trappistes…
Le rôle d'un professeur d'Histoire est-il de « faire aimer la France » ? Peut-être pas en effet. Et personnellement, je suis farouchement opposé à la réécriture d'un « roman national » comme celui de Jules Ferry, au nom duquel ont été formatées des générations de jeunes patriotes républicains, prêts à se sacrifier la fleur au fusil. Mais la mission d'un professeur n'est pas non plus d'entretenir la détestation ni la haine du pays où - quelles que soient leurs origines - ses élèves sont appelés à grandir et à vivre. Or, depuis plusieurs décennies, l'Histoire de France telle qu'elle est transmise, apparaît comme une inexpiable repentance, battant inlassablement la coulpe sur la poitrine de nos ancêtres. Inquisition, traite négrière, colonialisme, régime de Vichy, guerres d'Indochine et d'Algérie… Le « roman national » d'autrefois s'est transformé en un véritable « cauchemar national ». Le professeur d'Histoire n'est ni le grand prêtre d'une liturgie officielle, ni le juge des actions passées.
Devoir de mémoire: voilà le maître-mot de ces contempteurs de notre héritage. Mais la mémoire n'est pas l'Histoire. Car elle est sujette à manipulation, à déformation. Elle est pétrie de sentiments, de parti-pris manichéen et d'affectivité, et elle pêche souvent par anachronisme. Cette mémoire doit donc être « digérée » par les historiens, dont la tâche est d'abord d'établir les faits dans leur vérité. Cependant, si nos contemporains chérissent la « mémoire », ils se hérissent devant la notion de « vérité ». Pour beaucoup d'entre eux, tout est relatif et question de point de vue. Toutefois, sans établir préalablement les « faits têtus » du passé - selon l'expression de Lénine -, comment prétendre ensuite les analyser ou les comprendre ? Certes, l'Histoire n'est pas une science, mais c'est un art délicat qui exige une méthodologie scientifique.
Ainsi, s'il ne doit pas « faire aimer » la France - ni la faire détester bien sûr -, le professeur d'Histoire digne de sa fonction aura pour premier devoir d'en éclairer la réalité et la complexité, dans une exigence d'objectivité, même si cela reste un but inatteignable. Or, il faut bien convenir que la vision véhiculée aujourd'hui par nombre d'enseignants est non seulement biaisée, mais également tronquée. Pour beaucoup d'entre eux, la nation française naît en 1789. Auparavant, tout ne serait qu'obscurité et oppression. À cet égard, il est dommageable que les nouveaux programmes scolaires insistent à l'excès sur l'époque contemporaine, et particulièrement sur les épisodes les plus sombres de la Seconde guerre mondiale.
L'authentique « récit national », qui reste à composer devra s'inscrire dans la longue durée. Assurément chronologique, sinon strictement linéaire. Certes, le destin de la France n'était pas établi depuis l'éternité des siècles. Il doit être largement ouvert sur l'universel, et parler de « nos ancêtres les Gaulois » n'a guère de signification. Il n'empêche que notre présent est le résultat de deux millénaires et davantage d'une lente maturation, d'une aventure commune où se sont succédé les pages de gloire et celle d'infamie, une Histoire avec ses grandeurs et ses faiblesses, à l'image de ce qu'est la nature humaine. Car toute Histoire est avant tout Histoire des hommes. Des humbles, des anonymes qui ont tissé la trame des jours. Mais aussi de ces « grands hommes » - chefs d'État, capitaines illustres, savants et religieux, découvreurs, femmes d'exception -, qui peuvent offrir autant d'exemples à méditer.
Car en définitive, à quoi sert l'enseignement de l'Histoire ? Certainement pas à soumettre de jeunes cerveaux à l'inutile apprentissage de listes de dates qu'ils s'empresseront d'effacer. Encore moins à cultiver les antagonismes communautaires, non plus d'ailleurs qu'à distiller une propagande en faveur d'un hypothétique « vivre ensemble ». À l'instar des sciences exactes - comme les mathématiques ou la physique -, l'Histoire servira d'abord à faire acquérir aux élèves les bases d'un raisonnement rigoureux, les outils nécessaires pour jeter un regard critique sur les informations contradictoires dont l'univers médiatique les abreuve. La capacité de trier le bon grain de l'ivraie, la vérité du mensonge. •
Historien et journaliste, auteur de nombreux ouvrages, Philippe Delorme vient de publier Théories folles de l'Histoire (éd. Les Presses de la Cité, 2016).
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Les rubriques "décodages" des médias sont à comprendre par antiphrase
Le Rouge & Le Noir a interrogé Claude Chollet, président de l’Observatoire des Journalistes et de l’Information Médiatique (OJIM). Extrait :
"Que penser de la multiplication des rubriques « décodages » dans les médias (Les décodeurs du Monde, Libé Desintox, Le vrai du faux de France Info …) ? Leurs « décodages » sont-ils objectifs ?
Il faut prendre ces titres par antiphrase. Décoder veut dire recoder, désintoxiquer veut dire intoxiquer, dire le vrai veut dire le faux. Nous sommes en plein roman orwellien : l’amour c’est la haine, la paix c’est la guerre, la vérité c’est le mensonge. Les faux décodeurs du Monde ont publié un savoureux article où ils dénonçaient (voir l’Empire du Bien de Philippe Murray) les mauvais esprits qui spéculaient sur la santé chancelante d’Hillary Clinton… jusqu’au malaise public de celle-ci. On pourrait multiplier les exemples où à partir d’un minuscule morceau de réalité ces redresseurs de tort vont toujours dans le même sens : tordre le réel pour le rendre conforme."
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I MEDIA S03E37 Calais : réfugiés, mineurs, deux mensonges médiatiques.
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Fraude migratoire : le business de l’accueil des migrants
FRANCE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Le système très lucratif des coopératives sociales
En Italie s’est mis en place un système très lucratif dont les premiers bénéficiaires sont les coopératives sociales, un type de sociétés mutualistes (prétendument) sans but lucratif, qui dispensent des services socio sanitaires ou éducatifs et bénéficient, à ce titre, d’un consistant allègement fiscal. Jusque là, rien d’étrange, si ce n’est qu’elles ne sont en aucun cas obligées de publier leurs comptes, et que les contrôles auxquels elles devraient être soumises ont été annulés par décret ministériel, en 2015.
Dans ces circonstances, s’en mettre plein les poches est un jeu d’enfant
Les coopératives sociales italiennes reçoivent de l’Etat 35 € par jour et par demandeur d’asile pour l’hébergement, les repas et l’argent de poche de ces derniers. Un séjour tout frais payés — par vous et par moi — qui peut durer jusqu’à trois ans.
La fraude consiste donc à loger et nourrir chaque migrant à moins de 35 € par jour, le bénéfice créé finissant directement dans la poche des membres de l’association. Dix clandestins dans une chambre d’hôtel à 70 €, ou quelque structure publique encore moins chère, le tour est joué. Une petite astuce qui peut rapporter jusqu’à 5 000 € quotidiennement !
Un nombre considérable de coopératives, sous couvert de bons sentiments humanitaires, ont ainsi triplé, quintuplé, multiplié par 50, par 100, par 126, leur chiffre d’affaires depuis le début de ladite crise.Et face à l’ampleur des vagues migratoires, les autorités, complètement submergées, ferment souvent les yeux sur les incuries et autres abus avérés des coopératives
Dès lors, ce n’est pas de « crise » qu’il faut parler, mais de « fraude » : la grande fraude migratoire, dont le caractère artificiel est mis en évidence par le profil même des migrants, dont moins de 5 % d’entre eux peuvent revendiquer le statut de réfugié. Le reste étant principalement composé d’Africains subsahariens, non des plus démunis (le trajet coûte cher), attirés par l’assistanat et le consumérisme de notre modèle économique ; expulsables, mais qui, en absence d’accords avec les pays de provenance, ne seront jamais rapatriés.
http://fr.novopress.info/201303/fraude-migratoire-le-business-de-laccueil-des-migrants/#more-201303
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Après leur passage (le pouvoir prétend qu'ils ne sont que de passage), il ne restera donc plus rien ?
Calais : les « migrants » brûlent leurs logements en partant et les tordus de la préfecture expliquent que c'est normal, qu'il s'agit d'une tradition.
Quand on voit où ils sont relogés...Thibaut de Chassey
Président du Renouveau français
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France Télévisions : trop de salaires élevés et trops de cadres
Ce rapport de la Cour des Comptes va faire réaliser aux Français à quoi sert la redevance :
"La Cour des comptes aimerait bien savoir ce que font réellement les 550 personnes les mieux payées de France Télévisions (...)
Passée relativement inaperçue, la sixième des 23 recommandations des magistrats enjoint la direction à passer en revue "le contenu effectif des postes occupés par les salariés les mieux rémunérés de l’entreprise". Cette évaluation, jugée "indispensable", concernerait 550 salariés percevant un salaire supérieur "à 8.000 euros brut par mois", précise l'institution. Citant un travail similaire entrepris par la BBC, cet audit permettrait d'évacuer les doutes et "interrogations", précise la Cour des comptes à Business Insider France.
Dans le détail, 547 salariés ont bénéficié en 2015 d’une rémunération de plus de 96.000 euros annuels bruts, dont 191 une rémunération supérieure à 120.000 euros annuels bruts (...)
La Cour des comptes relève un sur-encadrement chez France Télévisions. Selon les magistrats, ce taux s'est élevé à 79 % chez les personnels techniques et administratifs (PTA) en 2014, soit 4746 des 6013 permanents.
Les journalistes ne sont en pas en reste : le nombre de journalistes affectés à des fonctions de coordination et d’encadrement est de 26 % en 2015 par rapport aux journalistes "de terrain", c’est-à-dire affectés aux reportages et au contenu de l’information.
"Cette disproportion est encore plus marquée au sein de la direction de l’information où ils atteignent 40 %, dont 149 rédacteurs en chef ou rédacteurs en chef adjoint", précisent les magistrats dans leur rapport (...)
En partant des deux taux relevés par la Cour des comptes, les cadres représentaient 62,77 % des effectifs en 2014.
Il y a donc trois fois plus de cadres chez France Télévisions que dans les entreprises françaises, la moyenne se situant entre 17 % et 18 % de la population active française"
La propagande politique d'Etat coûte cher au contribuable...
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Les Brigades Internationales ? Arte reprend les mensonges les plus éhontés de la propagande marxiste-léniniste
Ce mardi 25 octobre, Arte a présenté, en début de soirée, une émission sur les Brigades internationales. En soi, en tant que documentaire, une telle émission est forcément extrêmement intéressante. Mais, comme l'annonçaient les magazines de programmes télé, le parti-pris « pro-Brigades » était évident. Pour résumer : à ma gauche, les tout gentils, les tout bons, on n'ose pas dire les saints mais c'est l'idée : j'ai nommé, les Brigades internationales ; à ma gauche, le grand méchant loup, la bête immonde, l'horreur absolue : comprenez, Franco.
Que les marxistes - ou ce qu'il en reste - pensent cela, au fond, ce n'est pas surprenant. Mais qu'une grande chaîne de télévision, avec le recul que donnent les quatre-vingts ans qui nous séparent de la Guerre d'Espagne, reprenne ce schéma faux, tout simplement « historiquement faux », voilà qui dépasse l'entendement. On veut bien que, pour vulgariser - au bon sens du terme - les chaînes fassent des choses simples et accessibles au grand public ; c'est le but de la manœuvre. Mais, là, on passe directement du simple au simplisme, et carrément au simplet.
Qu'on nous permette donc, en deux mots, de remettre les choses à l'endroit...
En 1936, le féroce Staline règne sans partage sur l'Union soviétique ; et, avec lui, sa dictature sans pitié, la pire horreur qu'ait connu le monde depuis les origines de l'humanité. Et il a son plan, dont il ne fait pas mystère : étendre le Paradis soviétique à l'Europe entière, d'abord, puis au monde entier, ensuite. Il arrivera, en 45, par la faiblesse et la nullité politique de Roosevelt, à s'emparer de la moitié de l'Europe, et on sait ce qu'ont souffert les peuples d'Europe de l'Est - en plus du peuple russe qui, lui, la subissait déjà depuis 30 ans - de la part de cette monstruosité sans nom qu'était le marxisme-léninisme.
Mais, en 36, Staline ne martyrise « que » la Russie, devenue Union soviétique. Et il voit dans la guerre civile espagnole l'occasion rêvée de prendre l'Europe de l'Ouest à revers, par l'Espagne. Le Komintern triomphant de l'époque jette toutes ses forces - par la propagande et par les armes - dans cette bataille pour s'emparer de l'Espagne et, forcément, du Portugal : la possession de la péninsule ibérique, c'est le début de la conquête de l'Europe, du monde...
Mais - car il y a un « mais » - Staline va tomber sur un obstacle majeur : Franco. Franco va être le premier, et le seul, à vaincre militairement, sur le champ de bataille, les armées de la sinistre révolution. « En campo abierto y buena lid », comme on dit en castillan ; c'est-à-dire, "à la loyale", sur le champ de bataille, et « Cara al sol », face au soleil...
Cela, bien sûr, ne sera jamais pardonné à Franco. En dépit du simple bon sens, de la simple observation des faits, la propagande effrénée du Komintern va déverser une telle quantité de mensonges que sa grossière propagande va devenir une vérité, « la » vérité officielle. Et le reste, même quatre-vingts ans après, du moins pour ceux qui ont des oreilles pour entendre mais ne veulent pas entendre ; et des yeux pour voir, mais en veulent pas voir : Arte, en reprenant à son compte tous les clichés les plus faux sur le sujet, a dignement représenté le camp du mensonge révolutionnaire soviétique, ce mardi soir, et elle n'a vraiment pas de quoi en être fière...
Franco a écrasé la révolution marxiste-léniniste, car c'est de cela qu'il s'agit lorsqu'on parle de cette horreur que fut la République espagnole. Et il a bien fait.
Il a rendu service à son pays, d'abord, à qui il a évité les Stasi, les Ceaucescu, les désastres écologiques, les goulags et autres abominations qui furent le lot de ce que l'on a osé appeler les « démocraties populaires » !
Il a rendu service à la France, ensuite, lorsque, Hitler ayant écrasé les troupes d'une république qui n'avait su ni préparer ni éviter la guerre, il refusa à ce même Hitler, lors de son entrevue avec lui, à Hendaye, le passage des troupes nazies par l'Espagne : elles auraient alors fondu sur nos forces libres d'Afrique du Nord, et l'on imagine aisément la suite...
Il a rendu service à l'Europe et au monde, enfin, en hâtant la fin de la guerre,refusant à Hitler toutes ses demandes, n'entrant pas en guerre à ses côtés, ce qui équivalait à agir dans le sens des intérêts de la paix - en refusant une extension encore plus grande du conflit - des intérêts de l'Europe et de la Civilisation.
Constatant son échec complet, et conscient de s'être fait berner, Hitler devait d'ailleurs déclarer, en substance, qu'il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil...
En face de Franco, et contre lui, les Brigades internationales : ces hommes, jeunes pour la plupart, qui ont mis leur fougue, leur courage, leur héroïsme au service de l'Empire du Mal ; qui l'ont d'ailleurs amèrement regretté (au moins, cela, on le montre bien dans l'émission...) mais qui ont droit à tous les éloges sur Arte.
Chacun choisira son camp !...
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Migrants : l’infâme accusation du patron PS de l’Hérault
Le conseil départemental de l’Hérault est sorti de sa torpeur la semaine dernière. A ma gauche, Kléber Mesquida (photo), président socialiste et authentique dinosaure de la gauche la plus ringarde dont il n’est pas inintéressant de savoir qu’il siège aussi à l’Assemblée nationale ; à ma droite, Franck Manogil, jeune élu biterrois du Front national.
Objet de la dispute : l’accueil des migrants. Mesquida est prêt à en mettre partout. Enfin, peut-être pas dans sa commune de Saint-Pons où il est élu, mais sinon partout chez les autres. Exaspéré par la prise de parole forcément réprobatrice de Franck Manogil sur ce sujet, Mesquida lui a coupé le micro en vitupérant : « Vous voulez quoi ? Qu’on rouvre les chambres à gaz ? »
La réponse de Franck Manogil est venue à la séance suivante. L’élu du FN à qui, démocratiquement, Mesquida refusait une nouvelle fois la parole, s’est levé pour aller jusqu’au pupitre présidentiel et offrir à son occupant un exemplaire du Journal d’Anne Frank avec ces mots : « Puisque vous semblez avoir perdu tout contact avec le réel de 2016 comme avec le passé de 1944, j’ai décidé de vous faire un cadeau, de vous remettre un livre que j’espère vous avez déjà lu, mais si c’est le cas que vous avez manifestement oublié. » A peine le livre posé sur sa table, Mesquida l’a jeté au sol.
Pas un mot dans « Midi libre ». Ah, si cela avait été l’inverse, l’élu du FN jetant avec mépris le Journal de la jeune Néerlandaise…
Article paru dans l’hebdomadaire Minute du 26 octobre 2016