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magouille et compagnie - Page 1759

  • Une mosquée à Saumur Entretien avec Charles-Henri Jamin

    À Saumur, le maire Jean-Michel Marchand (gauche radicale) tente d'imposer à sa ville une nouvelle mosquée. C'est sans compter sur l'opposition d'un collectif de citoyens, en lien avec des élus de l'opposition municipale. L'un d'eux, Charles-Henri Jamin, membre du Parti Chrétien Démocrate de Christine Boutin, revient sur cette affaire et la résistance qui s'organise.

    La population musulmane est-elle si importante à Saumur, qu'elle nécessite la construction d'une nouvelle mosquée ?

    L'idée d'une nouvelle mosquée n'est pas nouvelle. Elle renvoie historiquement à une présence importante de familles de harkis qui ont trouvé dans leur exil un accueil tout particulier, de la part d'ex-compagnons d'armes ou d'anciens chefs basés à Saumur. La présence de musulmans n'est donc pas récente, et n'a pas posé de problème particulier à ma connaissance. La salle de prière telle qu'elle existe actuellement est indéniablement inadaptée, le nombre de pratiquants augmentant. Il n'est donc pas anormal que l'association des musulmans saumurois s'en préoccupe.

    En quoi la vente d'un terrain à l'association culturelle des musulmans pose problème ?

    Telle que pratiquée en l'état, la vente du terrain revient à faire bénéficier l'association d'une « subvention déguisée ». Le montant de la transaction ne correspond pas à la valeur du bien et cela pour deux raisons : par une sous-évaluation financière du bien en l'état, et une non prise en compte des coûts de démolition et dépollution que la ville s'engage à prendre à son compte au préalable. L'acquéreur se retrouve donc à acheter un terrain nu prêt à construire à un montant qui ne correspond pas au prix du marché. C'est évidemment pour des raisons électoralistes que la Municipalité contourne la loi de 1905, loi disposant qu'aucune aide financière directe ou indirecte ne peut être apportée à quelque projet de construction d'un lieu de culte que ce soit.

    Comment se sont déroulés les débats en conseil municipal ?

    Soviétiques ! J'ai demandé à Monsieur le Maire que le vote se tienne à bulletin secret, le sujet étant traité publiquement dans un contexte pour le moins tendu. Il m'a renvoyé avec mépris à mon « statut » de minoritaire. Il a voulu ainsi « verrouiller » sa propre majorité. Je pense que le vote aurait été moins monolithique si nous avions voté autrement qu'à mains levées. Nous aurions également aimé connaître le rapport de France-Domaine - organisme d'État chargé de l'évaluation avant toute transaction par une collectivité. Cela nous a été refusé sans explication, Jean-Michel Marchand, notre maire, avouant par ailleurs publiquement qu'il n'avait pas suivi cette évaluation. Enfin il a écourté le débat, se félicitant d'avoir trouvé une solution tout en nous demandant - bien sûr - d'éviter « les amalgames » !

    Où en sont les recours menés actuellement par le collectif ? Cette résistance entraîne-t-elle l'adhésion des Saumurois ?

    Le vote a donc eu lieu à mains levées. Sur 35 conseillers municipaux, seuls 3 se sont opposés avec moi, 3 autres s'abstenant par ailleurs, l'intégralité des membres de la majorité de gauche votant pour. A noter que l'élue représentant le FN était absente... Devant cette décision, des saumurois ont décidé en toute indépendance de se mobiliser. Après avoir travaillé le sujet et m'avoir contacté, ils ont décidé de déposer un recours au Tribunal Administratif de Nantes. Ce recours s'appuie sur les mêmes arguments que ceux que nous avons déployés lors des débats en Conseil Municipal : ils sont d'ordre réglementaires et financiers, rien d'autre. Ces mêmes personnes ont aussi lancé de façon informelle un collectif de contribuables saumurois qui semble recueillir des soutiens quantitativement significatifs.

    Comment réagit le maire à cette opposition ?

    Il se dit serein. Il cherche évidemment à faire glisser le débat en dénonçant ce qui serait selon lui une agitation politique manipulée par l'opposition. Notons que la gauche s'étonne toujours que des citoyens de droite puissent aussi avoir des initiatives citoyennes. Ces élus de gauche qui passent leur temps à parler des valeurs de la République, du vivre-ensemble, de la « co-construction » de nos avenirs, font preuve d'un mépris souverain lorsqu'ils rencontrent une résistance citoyenne. Je note qu'à Saumur, il y a là une nouvelle façon d'exprimer publiquement des positions de la part d'une population qui était plutôt traditionnellement silencieuse. Ce qui confirme un ras-le-bol général des Français !

    Au-delà de l'aspect financier, l'enjeu de l'opposition à cette mosquée n'est-il pas civilisationnel ?

    Cette question dépasse le dossier concernant Saumur. Mais sur un plan national, il est vrai que les dirigeants ont nié, voire combattu la réalité historique de la France, sa dimension chrétienne ayant façonné à travers les siècles sa culture et son patrimoine. Le laïcisme - ayant fait le vide par son caractère nihiliste - ouvre un boulevard à cette religion expansionniste qu'est l'islam. J'estime qu'il est venu pour ces croyants musulmans vivant en France le temps de la « contractualisation », condition sine qua non de la paix sociale à laquelle nous aspirons tous.

    Propos recueillis par Louis Lorphelin monde&vie 21 septembre 2016

  • « La guerre civile est déjà là, avec ses tensions ... »

    Nous avons aimé ce commentaire plein de sagesse et raison reçu d'Henri, hier matin, dans les colonnes de Lafautearousseau. Il y est montré avec bonheur l'absurdité des guerres étrangères ou civiles lorsqu'elles s'imposent principalement par la mécanique des situations - et parfois une série de hasards - plus que par la réflexion ou la volonté politiques proprement dites. De cette sorte de fatalité automatique et malheureuse, Jean Giraudoux avait traité jadis dans La Guerre de Troie n'aura pas lieu qui évoquait tout aussi bien la Première Guerre mondiale que la seconde, alors à venir. Comment aujourd'hui devant la montée du péril de guerre franco-islamique - plus que civile - y faire face de nouveau sans Roi ? Livrés à la doxa médiatique et à l'impéritie des gouvernants ? C'était déjà le problème de la France d'avant 1914 quand le socialiste Marcel Sembat, pour conjurer la tragédie prévisible,  destinait à ses amis socialistes son pamphlet « Faites un roi, sinon faites la paix ». Henri apporte sa réponse. A sa façon que nous ne réprouverons pas. Lisons ... LFAR     

    Alain Juppé avec sa formule homérique absurde « l'identité heureuse » craint qu'une victoire de FN entraine une guerre civile. Mais la guerre civile est déjà là avec ses tensions. Il faut être aveugle pour ne pas le voir. Que faire ? Comment réagir ? Sans Roi ou personne pouvant jouer ce rôle, je ne vois pas de solution. Comment séparer ceux qui n'en veulent pas (sûrement de nombreux Musulmans mais qu'on va laisser basculer du côté des incendiaires s'ils ne (la) sentent pas pris(e) en compte par nous et notre volonté claire de réagir). N'oublions jamais que ce sont toujours des ultra- minoritaires qui entrainent à la guerre, civile ou autre, qui se camouflent.

    Comme en Russie : en 1917. En 1914 ce fut entre autres Poincaré allié à certains ministres russes bellicistes de l'entourage du Tsar, lors d'un voyage à Moscou dont nous n'avons pas de trace dans les archives, comme c'est curieux, qui ont poussé à la guerre. Il est vrai qu'ils ont été secondés par l’état-major allemand, qui avait ses plans, qu'ils ont imposés finalement à Guillaume II, dépassé par les événements et les gens s'embrassèrent dans la rue à Paris, à Munich, à Berlin à Vienne, dans un grand élan de folle sentimentalité pour se voiler leur suicide collectif, leur arrêt de mort de l'Europe, la vraie.

    Aujourd'hui il y a aux USA un parti de la guerre hystérique, qui a ses plans et sa groupie Hillary.

    Il n'y avait pas de Roi en France pour calmer le jeu en 1914.

    En 1870 quelques imbéciles à Paris voulaient aller à Berlin pour rien ! Un entretien diplomatique écourté. On a vu plus grave comme motif pour se battre. Les incendiaires sont minoritaires, mais qui les laissent faire, impunément, agir, tisser leur toile ? Ceux-là portent une immense responsabilité.

    Actuellement en France, c'est la doxa aveugle des médias et le gouvernement. En attendant il faut veiller, regrouper ceux qui veulent réagir sans monter aux extrêmes et si nous n'avons pas de Roi, le porter dans notre cœur pour le jour où il pourra agir. Vaste programme. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Propagande politique à l’école : un nouvel exemple

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    Pour l’Education nationale, est-il inconcevable de refuser l’ouverture des frontières aux migrants ? C’est ce que suggère la capture d’écran d’un manuel scolaire – semble-t-il d’éducation civique – diffusée sur Twitter le 9 octobre. On y lit l’intitulé d’une double-page d’exercices : « Que pensez-vous de l’arrivée de migrants en France ? », suivi de l’objectif : « Trouver des arguments pour débattre ou défendre son point de vue à l’oral ». Seul hic : les trois personnalités parmi lesquelles l’élève est amené à choisir, afin de s’entraîner à défendre une opinion, sont toutes fortement susceptibles d’avoir les mêmes idées sur la question migratoire : il s’agit d’« un réfugié afghan », d’un « maire d’une commune prête à accueillir des réfugiés » et du « directeur de l’association Terre d’asile ».

    http://www.contre-info.com/

  • La guérilla afro-musulmane frappe à Viry-Châtillon

  • Nicolas Sarkozy a vidé de leur substance les dispositions constitutionnelles sur le référendum

    Ce qui ne l'empêche pas, campagne oblige, de plaider le recours au référendum. Antoine Vouillazère analyse dans Minute :

    "Gonflé, le Sarko ! Gonflé d’avoir, vendredi dernier face à Laurent Delahousse qui le recevait au « 20 heures » de France 2, expliqué avec la mine sérieuse et la parole maîtrisée de celui qui a mûrement réfléchi à la question, que, s’il était élu à la présidence de la République, il organiserait deux référendums qui se tiendraient pas plus tard que le mois suivant, lors du second tour des élections législatives, qui, coup de bol, tombe un 18-Juin. Car voyez-vous, monsieur Delahousse, « la démocratie, c’est tout de même la souveraineté populaire ». Chapeau l’artiste. Et bluffant, de la part de ce lui qui, après le non de ladite souveraineté populaire au référendum sur le traité constitutionnel de 2005 (non à 54,68 %), fit l’économie subreptice d’un nouveau référendum pour, une fois élu à l’Elysée, faire ratifier le traité de Lisbonne, sa copie conforme, par l’Assemblée nationale et le Sénat réunis en Congrès. [...]

    Entre les deux tours de la présidentielle de 2012, Patrick Buisson avait proposé à Nicolas Sarkozy d’annoncer que, s’il était réélu, il organiserait deux référendums lors des élections législatives qui suivraient ! L’un aurait porté sur l’immigration, l’autre sur les syndicats. Sa note ne rencontra pas d’écho. Il lui proposa ensuite – il le relate dans son ouvrage – d’en organiser un sur l’introduction d’une dose de proportionnelle aux élections législatives. Refus. Est-ce ces notes que Nicolas Sarkozy a ressorties en même temps qu’elles lui revenaient à l’esprit à l’occasion de la sortie de La Cause du peuple ? [...]

    En 2008, Nicolas Sarkozy a fait procéder à l’une des plus importantes révisions de la Constitution de la Ve République, qui en avait déjà connues beaucoup. Les articles 11 et 88, qui concernent la pratique référendaire, furent tous deux modifiés. Et pas dans le sens de renforcer la parole du peuple… Depuis trois ans seulement, l’article 88 disposait, en son alinéa 5, que « tout projet de loi autorisant la ratification d’un traité relatif à l’adhésion d’un Etat à l’Union européenne [devait être] soumis au référendum par le président de la République ». On avait parlé, à juste titre, de « verrou référendaire » qui avait pour but principal d’empêcher que la Turquie n’entre dans l’Union européenne, le peuple y étant opposé de longue date. Or la réforme de 2008 fit adjonction d’un « toutefois », qui fit sauter ce verrou. Depuis lors, « le vote d’une motion adoptée en termes identiques par chaque assemblée à la majorité des trois cinquièmes » peut suffire à valider l’adhésion sans passer par la case « souveraineté populaire ». [...] Quant à l’article 11, qui était supposé s’ouvrir au référendum d’initiative populaire, sur le modèle suisse, Nicolas Sarkozy fit en sorte que celui-ci soit vidé de toute substance et que la procédure soit soumise à l’initiative des représentants du peuple – un cinquième des membres du Parlement ! – et non du peuple lui-même. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Yvan Benedetti devant les tribunaux :

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    Un communiqué du CLAN :

    Depuis plusieurs années Yvan BENEDETTI fait l’objet d’une persécution judiciaire particulièrement virulente à son encontre.

    Après la dissolution de l’Œuvre Française qu’il présidait, la justice aux ordres le poursuit à titre individuel chaque fois qu’elle le peut. En effet, il a fait l’objet d’une quinzaine de procès déjà et a actuellement 6 procès en cours.

    Juste pour le mois de novembre il fait l’objet de 3 comparutions à Paris :

    – le 17 novembre, devant la Cour d’Appel, pour diffamation envers le procureur Charmatz, suite à un article de Jeune Nation le qualifiant » de tristement célèbre procureur » pour avoir nié le caractère anti-chrétien de la profanation du cimetière de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse. Il avait été condamné en 1ère instance.

    – le 17 novembre, toujours devant la Cour d’Appel, pour les délits tarte à la crème de provocation à la haine ou à la violence en raison de l’origine, l’ethnie, blablabla, blablabla… Condamné en première instance avec entre autres des dommages pour SOS Racisme et la Licra qui étaient parties civiles.

    – le 22 novembre, devant la 17e Chambre correctionnelle, pour un article de Jeune Nation dénonçant la fabrication par Gilbert Spazner des couteaux de marque Laguiole… au Pakistan.

    Concernant le procès touchant à la dissolution de l’Œuvre Française il sera très probablement courant 2017. La peine encourue est de 10 ans de prison…

    Le CLAN le soutien et vous appelle à faire bloc derrière lui afin de rendre coup pour coup. D’abord pour ceux qui le peuvent en se rendant aux procès, et ensuite en participant à hauteur de vos moyens à notre collecte.

    La justice est peut être une arme efficace pour le système mais nous avons des ressources et une armée d’avocats aussi déterminés que notre ami à ne pas plier.

    Afin de nous aider à faire face aux frais de justice et de pouvoir entreprendre la contre-attaque nous faisons appel à votre générosité.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • François Hollande: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain"

    Dans Un président ne devrait pas dire ça..., un livre enquête de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, les auteurs rapportent des propos tenus par François Hollande. Même si l'explication donnée est un peu tordue, cette citation évoque un peu le Grand remplacement (qui n'existe pas), non ?

    "(...) Alors que chacun sait que ce n'est pas la conception de la laïcité, reprend-il. Je pense que, le sujet, il est par rapport aux Français : qu'est-ce qui fait que nous sommes, en France, même si nous habitons des territoires différents, liés par quelque chose qui nous dépasse ?" [...] Il ose une formule choc: "La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain." 

    "Parce que, développe-t-il, d'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal. Finalement, quel est le pari que l'on fait ? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement. Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société."

    Il y a une autre manière de comprendre cette citation :

    Immigrationinvasion    VAIslam5

    Philippe Carhon

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  • La « crise des migrants » : une opération menée par Bruxelles avec l’aide des médias et des ONG

    Lazlo Foldi, ancien directeur des opérations des services de renseignement hongrois,a déclaré que la « crise des migrants » est uneopération menée par Bruxelles avec l’aide des médias et des ONG contre les Etats-nations afin d’instaurer une Europe multiculturelle à l’issue d’une guerre de quatrième génération.

    L’opération actuelle prend trois formes.

    « L’une est une attaque politique formelle venant de Bruxelles, l’autre est une attaque diffuse à travers les médias « mainstream », bien sûr les grands médias occidentaux, mais aussi une part des médias hongrois qui sont financés de l’extérieur. »

    La troisième est une attaque « concrète », sur le terrain, organisée par des « organisations civiles », qui, sous couvert d’aide humanitaire, instrumentalisent les migrants.

    Lazlo Foldi prend pour exemple les images milliers de migrants (sept mille) qui se sont rués cette semaine sur les barrières posées à la frontière entre la Serbie et la Hongrie. Ces migrants n’ont pas eu l’idée tout seuls de porter des pancartes rédigées en anglais à l’intention des caméras, ni de chanter leur exigence de traverser la frontière, juste après le résultat du referendum hongrois. Ils n’ont pas eu non plus l’idée de foncer soudainement sur le point de la frontière le plus proche de Belgrade : ils ont affirmé aux cameramen de télévision que des « civils européens » d’organisations humanitaires leur avaient appris qu’après le referendum « les Hongrois auraient compris et ouvriraient leur frontière ». Une fausse nouvelle soigneusement calculée pour provoquer cette marée humaine et pouvoir en diffuser l’image grâce aux télévisions occidentales. Pour l’ancien patron des opérations du renseignement, ce n’est qu’une énième désinformation menée par les « humanitaires » pour instrumentaliser les migrants.

    Sans opération militaire ni effusion de sang, il s'agit d'une guerre psychologique dont le premier ressort est la mauvaise conscience de l’Occident, soigneusement semée et cultivée grâce à la repentance. Elle vise la soumission de populations préalablement travaillées, pour qui la notion d’ennemi n’existe pratiquement plus.

    Cette guerre non déclarée, cette invasion sans armes, ne rencontre en conséquence que très peu de résistance. Et les rares individus qui songent à se défendre sont montrés du doigt et exclus d’une société dont le principe de base est qu’il est exclu d’exclure. Ce qui fait que les anticorps sont éliminés par l’organisme avant de pouvoir agir contre les bacilles qui envahissent ledit organisme. 

    Pour Lazlo Foldi, l’objectif de l’Union européenne et de tout le complexe institutionalo-médiatique qui relaie l’idéologie mondialiste, est de « transformer l’Europe en un système multiculturel au-dessus des nations ».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Viry-Châtillon, suite...

    Ce mardi 11 septembre, l'écoute de la matinale de France info, et plus particulièrement du 7-9 de Fabienne Sintès, s'est révélée extrêmement instructive.

    Pour les pessimistes, les défaitistes, les dépressifs et tous ceux qui ont mal au foie, c'était mi-hallucinant, mi-terrifiant d'entendre ces personnes qui parlaient de la « prison à ciel ouvert » qu'était cette monstruosité de Cité de la Grande Borne (au passage, quel architecte et quel gouvernement insensés ont-il pu concevoir, et laisser construire, une horreur criminogène pareille ?)

    Pour nous, qui ne sommes pas « optimistes » mais, plus sérieusement, hommes et femmes de foi et d'espérance en l'avenir de notre pays - qui en a vu d'autres - la tentative d'assassinat perpétrée contre les policiers ne fait que nous donner raison, et montrer la justesse de notre analyse.

    Une analyse que, d'ailleurs, le précédent roi du Maroc, Hassan II, avait faite, en nous prévenant, lui qui était - comme aujourd'hui son fils, Mohammed VI - « Amir-el-Moumini », « Commandeur des Croyants », et qui savait donc de quoi il parlait lorsqu'il parlait de l'Islam et des musulmans : vous n'intégrerez pas les marocains, peut-être la première génération, mais la deuxième, la troisième, vous n'y arriverez pas, dit-il en substance dans les deux très courtes vidéos* que nous vous suggérons d'écouter (2'41 et 0'57) ...

    L'erreur première vient de 1975, du regroupement familial, et de l'erreur-folie initiale de Chirac Premier ministre et de Giscard président. Dès ces sinistres "Décrets Chirac", plus de 700.000 étrangers sont entrés en une seule année, leur nombre grimpant à 200.000 puis, maintenant, 300.000 par an. Sans compter, bien sûr, les clandestins. Il y a 31 ans entre 1975 et 2016 : le compte d'étrangers reçus est facile à faire.  Mais, pourquoi les reçoit-on, pour « quoi faire », puisque, dans les cités où ils vivent, le chômage - notamment des jeunes - dépasse les 60% ? Sauf dans les activités très lucratives des divers trafics (drogue, armes, oeuvres d'art, autos-motos, prostitution...), qui génèrent - à la cité  La Castellane de Marseille par exemple - mais partout en France aussi - un chiffre d'affaires de 90.000 euros PAR JOUR : les immigrationnistes vont-ils nous dire encore longtemps que ces étrangers-là - à qui on a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que cela  en faisait des Français - sont « venus faire les travaux que les Français ne veulent pas faire » et que ce sont eux qui « vont payer nos retraites » ? Si tel était le cas, à 90.000 euros de gain par jour dans chaque cité de Marseille et de France, ni le gouvernement ni plus personne ne devrait avoir la moindre inquiétude sur l'état de nos finances, de nos Caisse de Retraites, de Sécu et autres...

    Il n'y a qu'une seule chose à faire : traiter la cause du mal, et pas seulement, dans l'urgence,  ses conséquences; remonter aux sources, et reconnaître que l'on s'est dramatiquement trompé en 1975; que Chirac et Giscard ont mené le pays sur une voie qui conduit à sa désintégration; arrêter toute nouvelle importation d'étrangers, à qui l'on n'a de toute façon rien à offrir; changer nos lois et entamer, sans délai, une politique de déchéance massive de nationalité pour tout acte de délinquance, quel qu'il soit, commis par une personne dont l'acquisition de la nationalité s'est faite à partir de 1975; déchéance suivie d'une expulsion immédiate, et bien sûr définitive, du territoire.

    Cela videra nos prisons et règlera le problème de la sur-population carcérale; cela mettra fin à l'explosion exponentielle de toute sorte de trafics évoqués plus haut : ils continueront, certes, jusqu'à la fin du monde, mais avec une intensité et une ampleur qui auront tellement diminué que les forces de police « normales » et les moyens de justice « normaux » suffiront à les « traiter »; cela fera également diminuer d'intensité le risque terroriste, qui ne disparaîtra pas, lui non plus, comme par enchantement, mais qui redeviendra moins difficile à combattre, alors que, si l'on continue comme cela, dans peu de temps, l'état d'urgence deviendra la norme et la « vie normale » ne sera plus qu'un lointain souvenir. 

    * Hassan II donne les raisons de son opposition à l'intégration

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/10/12/viry-chatillon-suite-5859140.html

  • Journal du Mercredi 12 octobre 2016 - Politique / Les confidences gênantes de F. Hollande