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magouille et compagnie - Page 1760

  • Dehors!

    L’Express publie aujourd’hui des extraits  du  livre des journalistes du Monde, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Un président ne devrait pas dire ça, condensé de leurs conversations avec François Hollande. Le président de la république, est-il rapporté, affirme qu’en cas d’affrontement  Marine Le Pen-Nicolas Sarkozy au second  tour de la présidentielle, en mai 2017, il voterait Sarkozy sans hésiter. « Oui, moi je le ferais. J’irais, pour voter contre Le Pen. Il faut se rappeler, c’était déjà très dur pour moi d’appeler à voter Chirac en 2002 (…). S’il fallait appeler à voter Sarkozy, on le ferait ». Une solidarité antinationale qui ne fait que confirmer que le vrai clivage en ce début de millénaire est bien entre défenseurs des identités et des souverainetés nationales d’un côté et euro mondialistes, atlantistes de l’autre. Faut-il s’étonner de la même façon du refus, puis de la valse-hésitation de M. Hollande sur l’opportunité de recevoir Vladimir Poutine – sa visite à Paris pour l’inauguration d’un centre orthodoxe était prévue le 19 octobre -  au motif qu’il n’entend pas desserrer l’étau militaire sur les milices islamistes anti Assad, à Alep comme ailleurs?

    Une attitude pusillanime, de soumission à Washington, humiliante pour notre pays, qui n’a bien sûr pas échappé à M. Poutine qui, cruellement, a déclaré qu’il restait « disposé à visiter Paris lorsque le président Hollande se sentira à l’aise »… MM. Hollande, Ayrault parlent de crimes de guerre pour définir les frappes aériennes russes. Toutes choses dont ils ne soufflent mot quand leurs amis saoudiens notamment soutiennent les égorgeurs, bombardent les populations au Yémen, exécutent à tour de bras…

    Même hypocrisie, même faux-semblant dans l’annonce de Manuel Valls hier, réagissant à la dramatique agression au cocktail Molotov, faite pour tuer, de policiers par des racailles, des coupeurs de route à l’africaine,  de la cité plurielle de la Grande Borne samedi dans l’Essonne. Le Premier ministre a évoqué la généralisation de tenues ignifugées pour les forces de l’ordre, de dispositifs anti-caillassage et/ou de blindages sur les voitures de police évoluant dans les quartiers babélisés. Les Français attendent autre chose d’un gouvernement confronté aux violences des bandes ethniques sur fond d’un terrorisme se nourrissant de la même haine de la France et des Français.

    On l’a appris ces dernières heures par un article du Parisien, le maire FN de Cogolin, Marc-Etienne Lansade, était visé « pour le symbole » par un projet d’attentat qui devrait être commis par une jeune convertie à l’islamisme, Sarah Hervouët. Celle-ci a été interpellée le 8 septembre en compagnie d'Amel Sakaou et Inès Madani par l’antiterrorisme, pour leur lien avec le djihadiste «français» Rachid Kassim opérant en Syrie, dans le cadre de la préparation supposée d’une attaque aux bonbonnes de gaz.

    Toutes vérités qui ne sont pas bonnes à dire ? Ainsi  Marie-Christine Arnautu, chef de l’opposition FN au conseil municipal de Nice s’est vu refuser sa tribune qu’elle dans le Journal des quartiers: « Nous avions décidé de consacrer cet espace à la dénonciation des propos de l’imam d’une des mosquées du quartier, Abdelkader Sadouni, ainsi qu’aux rapports que Christian Estrosi entretient avec celui-ci » a précisé Marie-Christine.

    L’imam Sadouni est au cœur d’une polémique depuis la publication d’un entretien  accordé par cet imam algérien vivant à Nice dans le journal italien Il Giornale, le 21 juillet 2016. Un entretien ou les propos suivants ont été notamment rapportés: « S’il y a des attentats, c’est la faute de la laïcité des Français» « La discrimination des musulmans en France, les attaques islamophobes et l’interdiction de l’utilisation publique de symboles religieux sont les motifs qui poussent ces jeunes à se sentir exclus de la communauté nationale et à décider de partir pour s’unir à qui ils retiennent être comme eux. Selon moi, la situation des musulmans en France est le premier facteur qui pousse beaucoup de jeunes au combat. Tant que les mosquées seront si peu nombreuses, tant que leur construction causera des protestations, tant que les musulmans seront discriminés, alors ces réactions existeront. »

    A suivre ce « raisonnement » ce serait donc par une immigrations-islamisation accrue que les musulmans pourraient s’intégrer dans une France…islamisée. Précisons que M. Sadouni a déclaré avoir  été « piégé » par le journaliste et que ses propos avaient été « déformés ». Il aurait porté plainte contre ce journal, propriété du frère de Silvio Berlusconi.

    Pour autant, le Niçois et Conseiller régional FN Philippe Vardon, à l’origine d’une pétition d’environ 10 000 signatures en faveur de la fermeture de la mosquée d’Abdelkader Sadouni, garde en sa possession certains posts Facebook de cet imam datant d’il y a deux ans (et aujourd’hui supprimées…) qui, déjà, « expliquent le djihad par l’absence de construction de mosquées en France et par l’islamophobie ambiante » et « émettent des doutes sur la réalité des vidéos d’égorgements deDaech » .

    Bruno Gollnisch l’affirme, tous les Français d’origine musulmane ne se reconnaissent pas dans les propos des propagandistes islamistes, et exigent eux aussi la fin d’un laxisme et d’un immigrationnisme criminels qui conduisent à la guerre civile, au chaos multiconflictuel et multiculturel. Une très grande majorité des Français partagent, parfois sans le savoir, les analyses et les vœux de l’opposition nationale sur ces questions. La lutte contre le fléau du terrorisme et de la délinquance-guérilla antifrançaise passe par l’application du programme du FN: démantèlement des mosquées et autres centres culturels salafistes, expulsions des  immigrés radicalisés et  délinquants, peines lourdes  et exemplaires contre les voyous agissant (ou non) au nom du djihad… Et plus largement refonte du Code de la nationalité, fin du regroupement familial, inversion des flux migratoires dont la poursuite interdit mécaniquement toute assimilation, fin de la repentance et de l’enseignement de la haine de la France jusque dans les manuels de l’Education nationale, interdiction des ingérences étrangères dans nos banlieues, sur fond de complaisances coupables, contaminant  jusqu’au sommet  de l’Etat, avec certaines pétromonarchies prosélytes…

    http://gollnisch.com/2016/10/12/dehors/

  • Nouvelles révélations sur l’invasion américaine de l’Irak

    Le réseau d’informations régionales intégrales a révélé des documents secrets confirmant le recours de l’armée américaine à l’uranium enrichi contre des « cibles faciles » lors de l’invasion de l’Irak en 2003.

    Selon ce réseau, basé à Nairobi la capitale du Kenya, ces documents remontent à l’an 2003. Il s’agit d’un rapport sur les résultats d’analyse d’échantillons remis à l’Université de George Washington à l’époque de l’invasion américaine de l’Irak.

    D’après les informations, des avions américains de type A-10 ont mené 1116 raids contre des « cibles faciles » comme les voitures, les camions, les positions militaires, à l’aide d’armes contenant de l’uranium enrichi, entre mars et avril 2003.

    Auparavant, ces informations avaient été remises à des chercheurs à l’organisation hollandaise non gouvernementale PAX, et à la coalition internationale pour l’interdiction des armes à l’uranium. Les résultats de deux analyses seront publiés par le réseau d’informations la semaine prochaine.
    Il est évident que l’uranium enrichi a été utilisé en Irak, mais l’horreur des Irakiens découle du fait qu’ils ne savent pas les endroits bombardés à l’uranium.

    Les informations disponibles à ce jour montrent que l’uranium enrichi a été utilisé plus de 300 mille fois en 2003.

    Les « cibles faciles »

    En 1975, la force aérienne américaine a fixé les conditions du recours à l’uranium enrichi : contre les chars, les véhicules blindés pour le transport de soldats et les autres cibles difficiles.

    Mais selon les documents précités, la majorité des cibles bombardées à l’uranium enrichi par les avions A-10 américains étaient non blindées et non armées !

    En effet, 16.5% des bâtiments, 33.2% des chars, 35.7% de voitures, 4.2% de troupes, et 10.4% des artilleries ont été bombardés à l’uranium enrichi.

    Retour à l’uranium enrichi ?

    Aujourd’hui, les mêmes avions US A-10 survolent l’Irak et la Syrie pour « frapper les positions de Daech », comme le prétend Washington. Bien que les Américains affirment ne pas avoir recouru à l’uranium enrichi dans ces pays, le Pentagone n’a pris aucune mesure de restriction en ce sens.
    Dans ce contexte, le réseau d’informations, citant le porte-parole du ministère américain de la défense, a rapporté que « la politique du recours à l’uranium enrichi ne se limite pas aux opérations contre Daech en Irak et en Syrie ».

    En mai dernier, un officier de l’armée de l’air américaine a reconnu que les forces US ont effectué 1479 tirs en Syrie contenant de l’uranium enrichi entre 18 et 23 novembre 2015.

    Sachant que l’uranium enrichi a des effets radioactifs moins que l’uranium, mais renferme des matières chimiques toxiques très nocives pour la santé de l’homme.

    Al Manar

    http://www.voxnr.com/4423/nouvelles-revelations-linvasion-americaine-de-lirak

  • Octobre 2016 : la glace maritime arctique doit avoir entièrement fondu

    Selon les prévisions des réchauffistes. Mais comme les sectes qui vous prévoient la fin du monde, les climatologues aboient et la date passe:

    6a00d83451619c69e201b7c89e88ce970b.jpg"Leurs prédictions sont à ce point erronées que l’on constate aujourd’hui une augmentation de l’emprise des classes maritimes arctiques, comme viennent de le prouver les dernières images satellites. Il y a aujourd’hui davantage et même bien davantage de glace dans l’océan Arctique qu’en 2012.

    Les dits experts n’en ont pourtant pas démordu. Largement cités par les médias, ils ont continué de faire des annonces catastrophistes soutenues par leur réputation de spécialistes : ainsi le professeur Peter Wadhams, de la prestigieuse université de Cambridge, a publié il y a peu un livre consacré à la perte de glace maritime arctique, Un adieu à la glace, où il réitérait sa prévision selon laquelle l’Arctique n’aurait plus de glace au milieu de cette décennie. Cet été encore, il annonçait un septembre sans glace.

    Comment croire que les climatologues sont capables de faire des prédictions à long terme alors que leurs prévisions d’un mois sur l’autre sont à ce point erronées ? Les chiffres présentant le minimum annuel constaté le 10 septembre, atteignent 4,14 millions de km2, soit 21 % de plus que le plus bas constaté en 2012. Globalement sur le mois de septembre, les chiffres publiés par le National Snow and Ice Data Centre font état d’une l’emprise de la glace de 31 % supérieure à celle de septembre 2012.

    [...] Les prédictions fausses récemment mises au jour ne manquent pas. Au début de la semaine, les environnementalistes ont été accusés de tromper le public à propos de la « Plaque de déchets du Pacifique » dont des images aériennes viennent de prouver qu’elle n’existe pas : non, il n’y a pas un tas d’ordures au milieu de l’océan comme on nous le racontait. En juin, on apprenait la refermeture du trou de la couche d’ozone, alors que les experts ne cessaient d’affirmer qu’il ne se refermerait jamais.

    [...] De nombreux scientifiques annoncent depuis une dizaine d’années que la glace arctique aura fondu d’ici à 2050. Le GIEC continue d’affirmer qu’il y a 66 % de chances d’arriver à un Arctique sans glace en 2050 si les émissions de CO2 continuent de croître. En 2007, Wadhams prédisait l’échéance pour 2013, après que les niveaux eurent chuté de 27 % en une seule année. Mais en 2013, le niveau était au contraire 25 % plus élevé qu’en 2007. En 2012, une nouvelle chute record amenait Wadhams à repousser sa prédiction à 2016, soutenu en cela par d’autres scientifiques prestigieux.

    On constate en 2016 que l’Arctique a connu une glaciation extrêmement rapide avec une poussée de la glace qui a atteint 1,05 million de kilomètres carrés en trois semaines seulement depuis le minimum du 10 septembre. Selon l’Institut météorologique danois, la glaciation a connu son record de rapidité depuis la mise en place d’un registre quotidien depuis 1987. [...]"

    C'est un fait avéré : les tenants du réchauffisme polluent le discours sur le respect de l'environnement.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Deux France

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    Oui, deux France : celle de Vincent, 28 ans, qui était fier de porter l’uniforme et qui le paye de sa vie. Et celle de la Grande Borne, l’un des endroits les plus dangereux du pays, 3 600 logements pour environ 12 000 habitants, le quartier d’enfance d’Amédy Coulibaly, notamment, le tueur de l’Hyper Cacher.

    Vincent est entre la vie et la mort. Brûlé à 30 % au visage, aux mains et aux poumons, ce jeune adjoint de sécurité a été grillé vif dans son véhicule de police samedi par des assaillants de la cité de la Grande Borne qui ont bloqué les portières tandis qu’il hurlait à l’intérieur. Ces tueurs hyperviolents, aux mœurs de barbares, Cazeneuve les a qualifiés de « sauvageons », il est dans les aventures de Fripounet et Marisette. Toujours cette volonté de minimiser, ce déni, ce handicap à ne jamais nommer ni identifier l’ennemi et finalement à ne jamais le combattre à la hauteur de ce qu’il est. Que fait-on de « sauvageons » ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ?

    Vincent travaillait chaque jour pour passer son concours de gardien de la paix. Ses collègues disent qu’il était particulièrement fier de porter l’uniforme de la police française. Face à lui une autre France : celle des cités, gangrenées par les trafics et l’islamisme. La France de la Grande Borne.

    « Ces individus ont voulu tuer vos collègues, je vous l’atteste », a déclaré Manuel Valls sur les lieux de l’agression, comme pour contrebalancer l’effet désastreux des déclarations de Cazeneuve. Avant d’avancer cette réplique digne du Père Noël est une ordure : « Il n’y a pas de zone de non-droit, il y a des territoires particulièrement difficiles » (cf. : « Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile. ») 

    Si vraiment il n’y a pas de zones de non-droit, pourquoi plutôt que de surveiller une caméra de surveillance régulièrement attaquée à la meuleuse, la police en force (et avec des ordres clairs) n’est-elle pas allé chercher les racailles qui frappent et dépouillent les automobilistes à ce carrefour depuis des années ? Puis qui foncent se réfugier dans la cité avec leur butin sans qu’il n’y ait jamais d’interpellation. « Aucune interpellation » a rappelé la mairie centriste. Pourtant tout le monde sait qui ils sont.

    Mais pour cela il faudrait entrer dans les quartiers et déranger les trafiquants de drogue de la Grande Borne parfaitement connus des services de police, qui dealent des centaines de kilos de stupéfiants chaque semaine. A tel point qu’on nous prévient que malgré la gravité des faits, la tâche des enquêteurs de police « s’annonce d’ores et déjà délicate », dans un quartier « sensible », « où prévaut la loi du silence ».

    Les deux syndicats policiers affiliés à la CFDT, le SCSI et Alternative-Police rappellent qu’« il existe toujours des zones de non-droit en France, aux mains de gangs délinquants et criminels ». Eux-mêmes se demandent « si les forces de l’ordre ont vraiment les moyens de pénétrer ces quartiers pour y rétablir la sécurité ».

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 11 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/200978/deux-france/#more-200978

  • Policiers brûlés à Viry-Châtillon : Passé un certain seuil de violence, autoriser la police à tirer. A balles réelles ...

    Les deux fonctionnaires les plus gravement blessés effectuaient leur mission de surveillance lorsque « une dizaine d’individus s’en sont pris à eux avec des jets de cocktails Molotov » sur leur voiture de police.  Photo AFP

    Trop, c'est trop ! Deux riveraines du carrefour où a eu lieu la tentative d'assassinat des policiers ont été interrogées sur BFM : l'une explique que pour aller à la grande surface d'à côté, elle fait un grand détour en partant d'abord vers l'autre côté de la ville, pour ne pas utiliser « son » carrefour; la seconde dit simplement « on a peur ». Voilà, non pas la France, mais l'état dans lequel le Système a mis la France ; nuance ! Pour ce qui est des policiers, l'un des deux brûlés a été plongé dans un coma artificiel, et son pronostic vital est engagé.

    Bien évidemment, aucun nom, aucun visage, à part celui des deux riveraines : les autres personnes interrogées ont un accent qui dit suffisamment leur origine; et on parle de « jeunes ». On a compris...
    On ne peut plus continuer comme cela. On ne peut plus continuer à entendre le sinistre trio Hollande-Valls-Cazeneuve débiter leurs rodomontades aussi grandiloquentes qu'inutiles : « rien ne sera toléré », mais chaque jour c'est pire; « les coupables seront arrêtés », mais de plus en plus de violences se produisent, maintenant presque chaque jour; « tout sera fait », mais tout empire...
    Pour que cela cesse, il n'y a pas trente-six mille solutions : les voyous, délinquants, terroristes-assassins doivent être prévenus et recevoir ce genre de message : attention, au-delà d'un certain seuil de violence - par exemple s'il y a jet de cocktaisl Molotov ou blocage de portières pour empêcher les policiers de sortir d'un véhicule en feu - la police, les policiers tireront. Ils tireront à balles réelles. Ils tireront pour mettre hors d'état de nuire. C'est ce qu'ils font déjà, d'ailleurs,  en face des terroristes : ils tuent des assassins avant que les assassins ne les tuent.
    Et que ceux qui ne veulent pas de cette mesure ne viennent pas se plaindre, après, si la violence augmente et si, d'aventure, ils en sont un jour victimes.
    Réagissons, ou ne nous plaignons pas !  
  • Approuvez-vous l'installation de nouveaux migrants, imposée par l'État, sans consultation du conseil municipal?

    C'est la question que Robert Ménard souhaite poser à ses administrés le 8 janvier 2017 dans le cadre d'une "consultation locale pour avis".

    Robert Ménard est néanmoins conscient que c'est l'Etat qui décide :

    "Dans un contexte économique difficile, l'arrivée prochaine de migrants, probablement dans le centre-ville, n'est pas sans conséquence sur notre commune. Que ce soit par l'augmentation du nombre d'enfants scolarisés ou par l'atteinte à la redynamisation du centre-ville", détaille la proposition que soumettra le maire.

    "Le but de la municipalité, avec cette consultation et les affiches, est de dire la vérité aux Biterrois, c'est-à-dire que l'État a décidé d'imposer, sans daigner consulter le conseil municipal et le maire, l'installation de nouveaux migrants dans le centre-ville de Béziers. Le maire n'est pas d'accord avec cette manière de fonctionner et il souhaite poser la question aux Biterrois"

    Cette annonce a été accompagnée d'une nouvelle campagne d'affichage dans les rues de Béziers...qui provoque la colère de la bien-pensance :

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    Midi-Libre publie une photo pour illustrer cette campagne d'affichage qui montre qu'ils sont déjà là :

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    Philippe Carhon

  • Découvrez la carte de répartition des migrants de Calais

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  • Ce que coûte un ancien président de la République

    A eux trois, Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy coûtent près de 10 millions d'euros à l'Etat par an. 
    Combien coûte un ancien président de la République ? Alors qu' un décret publié au Journal officiel par François Hollande instaure la réduction des privilèges accordés aux anciens chefs de l'Etat, de quoi parle-t-on vraiment ?
    En avril dernier, le député de l'Aisne René Dosière, spécialiste des questions de surveillance des dépenses publiques, a chiffré à près de dix millions d'euros par an le coût des ex-présidents de la République pris en charge par l'Etat, un chiffre proche des 10,3 millions, calculés par la Cour des comptes et du Conseil d'Etat, dans son rapport publié le 20 septembre par Mediapart . Sur ce montant, 6,8 millions sont consacrés à leur protection et 3,12 millions aux dépenses de revenus et de personnels. 
    6.000 euros par mois 
    Ce calcul prend en compte le traitement mensuel des anciens chefs d’État, d'environ 6.000 euros nets. Un défraiement pour leurs années passées à servir le pays qui, selon le rapport de la Cour des comptes et du Conseil d'Etat, revient précisément à "65.000 euros bruts par an" pour chacun des trois. A cela, il faut ajouter l'indemnité de membre du Conseil constitutionnel que seul Valéry Giscard d'Etaing (VGE) touche ( Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy n'y siégeant plus) et qui s'élève à "14.400 euros bruts mensuels". Au total, les revenus des présidents s'élèvent à 367 366 euros par an. 
    A ces traitements, il faut ajouter le coût des personnels de cabinet des trois anciens présidents (1,8 million d'euros) et tous les avantages dits de soutien : un appartement de fonction meublé, deux personnels de maison, sept collaborateurs, deux lignes de téléphone, etc... Le tout pour 912 667 euros. Les chauffeurs, deux par président, coûtent encore 377 000 euros de plus par an. 
    Quant à la protection des ex-présidents, elle comprend des policiers statiques (5,5 millions) et les gardes rapprochées (1,3 million). C'est de loin le poste le plus important. 
    Très chères propriétés 
    La raison ? La surveillance des propriétés provinciales des anciens chefs d'Etat. Ainsi, la protection du château de Valéry Giscard d'Estaing à Authon (Loir-et-Cher) par des gendarmes revient à 1,3 million d'euros par an. Tandis que celle du château de Bity, en Corrèze, propriété de Jacques Chirac, s'élève à 502.407 euros. 
    Nicolas Sarkozy n'ayant pas de propriété en province, il est tout de même l'ancien président dont la protection du domicile parisien et la sécurité rapprochée (assurée par la police nationale et les CRS) coûtent le plus : 1,79 million d'euros au total. Il est suivi par VGE (1,13 million) et Jacques Chirac (800.756 euros). 
    Valéry Giscard d'Estain, le plus cher 
    Des trois anciens présidents encore en vie, Valéry Giscard d'Estaing coûte toutefois le plus cher, avec 3,9 millions d'euros de dépenses par an. Dont 2,5 millions en protection, 1,1 million en personnel et 300.000 euros en fonctionnement. 
    Viennent ensuite Nicolas Sarkozy, avec 3,3 millions d'euros (1,8 million en protection, 1,2 million en personnel, 300.000 en fonctionnement), puis Jacques Chirac, qui coûte à l'Etat chaque année 2,4 millions d'euros (1,3 million en protection, 900.000 euros en personnel, 200.000 en fonctionnement). 

  • Petite leçon de sémantique globalo-mondialiste à l’usage des habitants de la Nouvelle-Hollandie.

    Bernard Plouvier

    Il ne faudrait en aucun cas, sous peine d’attrister notre bien-aimé et si dévoué chef de l’État, confondre acte légitime de guerre, fraiche et joyeuse, et crime de guerre, vil autant qu’abominable.

    Lorsque les aéronavales US et française, avec ou sans le secours de l’aviation turque, bombardent la ville de Mossoul, il s’agit d’une action très honorable, en quelle que sorte d’une saine leçon infligée à d’immondes barbares… et pour le coup, on ne peut qu’approuver la propagande des sieurs Obama-Erdogan-Hollande.

    Toutefois, s’il est logique, dans le contexte terroriste actuel, d’écraser sous les bombes la capitale de l’État Islamique (variantes : Daesh ou Daech, comme on voudra), il est important de constater que seuls des militaires ennemis, de vilains partisans fanatiques d’un dénommé allah, sont tués. Les chasseurs-bombardiers de la coalition du Bien, du Droit, pilotés par de preux chevaliers de Dame Démocratie, sont des gentils avions propres, qui ne touchent pas d’innocents civils… écoutez la propagande des media officiels globalo-mondialistes et vous ne pourrez qu’en être convaincus.

    En totale opposition, il importe de conspuer radicalement les bombardements des quartiers rebelles de la ville d’Alep par les avions de l’armée régulière, obéissant aux ordres du chef légitime de l’État syrien et les aéronefs de son allié russe. Ces bombardements ne font que d’innocentes victimes civiles… et notre bien-aimé président d’entonner dévotement son antienne sur la nécessité d’en appeler à l’ONU (le « machin » si utile et si cher à de Gaulle), voire au Tribunal Pénal International de La Haye.

    Car si les bombardements du premier type sont souhaitables, voire même éthiquement justes et bons, ceux du deuxième type sont ignobles, malsains, en un mot criminels. Bientôt, l’on ressortira à leur propos l’accusation infamante (et imprescriptible) de « crime contre l’humanité », soit l’horreur suprême, l’abomination de la désolation, un attentat presque aussi grave que le piratage des données les plus confidentielles de la Bourse de Wall Street.

    Cette puérile opposition manichéenne, entre des individus tout pleins bons et de très hideux méchants, fait recette depuis l’aube des temps cléricaux. Toute religion bien organisée se dote d’ennemis mortels, suppôts haïssables d’un Satan quelconque.

    En matière de politique, ces niaiseries ont envahi le cirque médiatique lors de la Révolution française de 1789 sq. Plus tard, dès les premiers jours de cette guerre qui parut Grande parce qu’on y faisait entrer un nombre ahurissant d’États et qu’on immolait des millions d’êtres humains et détruisait des milliards d’unités de compte, ce fut un délit grave, voire un crime de haute trahison, que de ne pas approuver la propagande d’État, opposant les défenseurs du (bon) Droit, de la Justice et de la Liberté aux ennemis, inspirés par le Malin. Aux vrais soldats du front des combats, ces sornettes firent très rapidement l’effet d’un « bourrage de crânes ».

    On fit bien mieux lors du conflit suivant, où, certes, les Allemands firent tout pour être aisément diabolisés, ce qui permit de passer à la trappe leur extraordinaire démonstration d’efficacité guerrière et le patriotisme héroïque de leur Nation.

    On aurait pu croire qu’après les inepties du Traité de Versailles (et des autres « traités de la région parisienne », de 1919-1920), après le déni de justice de certains procès des années 1945 sq., l’opinion publique internationale serait devenue moins crédule, moins facilement dupe. Que nenni !

    Au XXIe siècle de l’ère dite chrétienne (si l’on préfère : au premier et dernier – espérons-le – siècle de l’ère globalo-mondialiste), on réutilise les mêmes grosses ficelles, la même sottise digne d’un jardin d’enfants (et encore de jeunots pas très « cortiqués »). Et l’on en remet une couche : d’un côté le gentil Obama (et ses amis dévoués Hollande, Erdogan et consorts arabo-islamo-pétroliers), de l’autre les lucifériens Poutine et Hassad…. si l’on préfère Peter Pan et ses amis versus le capitaine Crochet et ses infects pirates.

    Quand les intérêts politico-économiques globalo-mondialistes auront changé, les agents de publicité « du Monde libre » - si l’on préfère : de la Société ultra-libérale - recadreront les cibles.

    Entre Chine, Iran, Corée du Nord, voire, pourquoi pas, de vilains Européens ayant la nausée des gentils Yankees et de leurs agents de pourrissement social – nos chers immigrés-réfugiés-envahisseurs -, il n’y aura que l’embarras du choix. On utilisera les mêmes schémas accusatoires en variant les noms des États et de leurs dirigeants… et les Margots de service viendront une nouvelle fois pleurer dans le casque du gentil capitaine des pompiers made in USA.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/