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magouille et compagnie - Page 1764

  • 323 SDF morts dans la rue depuis le 1er janvier

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    Tandis que nos braves migrants foutent le feu un peu partout avant d’être confortablement relogés chez nous (pourquoi n’utilise-t-on pas tous ces efforts et tout cet argent à les renvoyer chez eux ?), le chiffre des SDF morts dans la rue vient de tomber : au moins 323 pour les dix premiers mois de l’année.

    Mais ce chiffre pourrait en réalité être dix fois plus élevé, prévient le Collectif Les Morts de la Rue, car il ne correspond qu’aux morts qui lui ont été signalées. Age moyen des victimes : 48 ans. Des morts anonymes, dont l’association publie les noms et les prénoms rappelant qu’ils ont été des hommes et des femmes qui ont eu un jour une vie, un travail, une famille. 323 morts qui font beaucoup moins de bruit que le départ des bus de Soudanais pour Cancale. Ni battage médiatique, ni émotion publique, ni surtout aucune volonté politique. Le nombre de SDF français ne fait qu’augmenter mais la priorité sociale est donnée aux migrants. On donne aux clandestins ce que l’on refuse à nos SDF.

    Le bilan n’est que provisoire : il s’agit d’un décompte en date du 25 octobre, qui promet de s’alourdir avec les mois d’hiver et la liste dressée par l’association grâce à ses sources, « particuliers, associations, institutions, médias », est « non exhaustive ». L’association précise qu’elle apprend parfois des décès des mois après. Cécile Rocca, coordinatrice de l’association, rappelle que le froid n’est pas la première cause de la mort des SDF : « Les personnes meurent beaucoup plus de désespoir et de manque de relations humaines que du froid. Il y a plus de morts par suicide que de morts de froid dans la rue. »

    Ils n’ont jamais été aussi nombreux ni aussi jeunes que cette année à plonger dans l’extrême précarité. Les estimations évaluent à 10 000 le nombre de personnes qui couchent dehors à Paris intra-muros, contre environ 6 000 il y a six ans. Sur les 21 506 personnes ayant contacté le 115 en juillet, 11 908 « n’ont jamais été hébergées », soit 55 % selon un baromètre de la Fédération nationale des associations de réinsertion sociale (Fnars), qui dénonce un « record d’inefficacité ». Parmi les demandeurs d’abri, le Fnars constate une hausse de 6 % en un an du nombre des 18-24 ans qui n’ont pas accès à des prestations sociales.

    « Nous, ça fait cinq ans qu’on se bat contre un gouvernement totalement fantôme sur le sort des personnes SDF » précise le président du Groupe de secours catastrophe français, Thierry Velu : « Parmi celles-ci figurent des personnes que j’appelle des primo-arrivants : ce sont des personnes qui, du jour au lendemain, par un accident de la vie ou un défaut de moyens financiers pour se loger se retrouvent dehors. Ces personnes ont besoin d’un coup de pouce pour justement qu’elles puissent rebondir. Et actuellement ce coup de pouce n’existe pas (…) Le nombre de SDF actuellement en France est évalué entre 140 000 et 150 000 personnes. L’augmentation est de plus en plus criante parce qu’actuellement vous avez de plus en plus de personnes qui se retrouvent dehors mais qui travaillent. »

    Caroline Parmentier

    Article et dessin parus dans Présent daté du 28 octobre 2016

    http://fr.novopress.info/

  • L’accueil des migrants, comment ça marche ? Le business des coopératives

    Ce n’est pas de “crise” qu’il faut parler, mais de “fraude”.
    Que ce que l’on qualifie trompeusement de « crise migratoire » soit financé par l’argent public des contribuables de l’Union européenne, cela n’est plus un secret pour personne.

    Ce que l’on sait moins, c’est comment le système de l’accueil des clandestins fonctionne concrètement, et donc qui s’en enrichit et comment. Car ce déplacement de populations aux proportions gigantesques est rendu possible autant par le désarmement moral des peuples autochtones que par le colossal détournement de fonds publics – légal ou non – qu’il engendre.

    Le cas de l’Italie, principale porte d’entrée des clandestins avec la Grèce, est particulièrement intéressant à cet égard.

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  • Fraude migratoire : le business de l’accueil des migrants

    (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Le système très lucratif des coopératives sociales

    En Italie s’est mis en place un système très lucratif dont les premiers bénéficiaires sont les coopératives sociales, un type de sociétés mutualistes (prétendument) sans but lucratif, qui dispensent des services socio sanitaires ou éducatifs et bénéficient, à ce titre, d’un consistant allègement fiscal. Jusque là, rien d’étrange, si ce n’est qu’elles ne sont en aucun cas obligées de publier leurs comptes, et que les contrôles auxquels elles devraient être soumises ont été annulés par décret ministériel, en 2015.

    Dans ces circonstances, s’en mettre plein les poches est un jeu d’enfant

    Les coopératives sociales italiennes reçoivent de l’Etat 35 € par jour et par demandeur d’asile pour l’hébergement, les repas et l’argent de poche de ces derniers. Un séjour tout frais payés — par vous et par moi — qui peut durer jusqu’à trois ans.
    La fraude consiste donc à loger et nourrir chaque migrant à moins de 35 € par jour, le bénéfice créé finissant directement dans la poche des membres de l’association. Dix clandestins dans une chambre d’hôtel à 70 €, ou quelque structure publique encore moins chère, le tour est joué. Une petite astuce qui peut rapporter jusqu’à 5 000 € quotidiennement !
    Un nombre considérable de coopératives, sous couvert de bons sentiments humanitaires, ont ainsi triplé, quintuplé, multiplié par 50, par 100, par 126, leur chiffre d’affaires depuis le début de ladite crise.

    Et face à l’ampleur des vagues migratoires, les autorités, complètement submergées, ferment souvent les yeux sur les incuries et autres abus avérés des coopératives

    Dès lors, ce n’est pas de « crise » qu’il faut parler, mais de « fraude » : la grande fraude migratoire, dont le caractère artificiel est mis en évidence par le profil même des migrants, dont moins de 5 % d’entre eux peuvent revendiquer le statut de réfugié. Le reste étant principalement composé d’Africains subsahariens, non des plus démunis (le trajet coûte cher), attirés par l’assistanat et le consumérisme de notre modèle économique ; expulsables, mais qui, en absence d’accords avec les pays de provenance, ne seront jamais rapatriés.

    http://fr.novopress.info/201303/fraude-migratoire-le-business-de-laccueil-des-migrants/#more-201303

  • Journal du Jeudi 27 Octobre 2016 : Politique / F. Hollande : les élus PS sabordent le pédalo

  • En 2 mois, les ennemis d'Hillary Clinton sont tous morts naturellement

    Le 8 novembre 2016 les élections américaines vont se terminer avec le choix d’un nouveau président ou d’une nouvelle présidente. Comme tous les candidats précédents, Hillary Clinton et Donald Trump montrent au peuple un visage pacifique et ils promettent la paix mondiale. 
     Cela n’a rien à voir avec la réalité, et le passé de Hillary Clinton le montre clairement. Car c’est elle qui a soutenu la guerre en Irak avec beaucoup de zèle sous Georges Bush. De même quand elle était ministre des Affaires étrangères sous Barack Obama elle a joué un rôle clef dans les attaques de l’OTAN contre la Libye. Elle s’est aussi montrée ennemi juré de l’Iran. Elle a dit en 2008 : 
    « Si je deviens présidente, nous attaquerons l’Iran !! » 
    Il est sûr et certain que nous allons voir ce que Donald Trump et Hillary Clinton entendent par paix mondiale. En voici un petit aperçu : 
    Depuis juin 2016 les cas de décès se multiplient dans l’entourage de Hillary Clinton. Les 6 hommes dont les noms suivent sont morts parce qu’ils ont essayé de révéler les pratiques criminelles des Clinton : 
    – John Ashe, ancien président de l’Assemblée générale des Nations Unies entre 2013 et 2014, aurait dû être un témoin pour des transferts d’argent illégaux de l’homme d’affaire chinois Seng vers le Comité démocrate sous le président Bill Clinton. Il n’a jamais pu dénoncer tout cela devant la justice. Selon l’ONU il est mort le 22 juin d’un arrêt cardiaque, ce que les policiers locaux ont démenti. 
    – Mike Flynn, journaliste d’investigation, est mort le 23 juin de manière mystérieuse. Le jour de sa mort, son article sur la fondation des Clinton avec ses nombreuses succursales partout dans le monde y compris à Hong Kong, a été publié. En échange de cadeaux politiques la fondation des Clinton a été soutenue financièrement par des hommes d’affaires chinois et par le gouvernement chinois de Pékin. 
    – Seth Rich a fait des recherches sur le trucage des votes du Comité démocrate. D’après ses recherches, le Comité a manipulé les pré-élections avec des moyens criminels en faveur d’Hillary Clinton. Le 10 juillet il a été tué pour des raisons inconnues. 
    – Joe Montano, ancien dirigeant du Comité démocrate, est mort le 25 juillet à l’âge de 47 ans d’un arrêt cardiaque. Sa mort est survenue juste après que Wikileaks ait publié des informations sur les trucages des élections du Comité démocrate. Des membres de celui-ci disent que Joe Montano savait trop de choses sur le scandale du Comité. 
    – Victor Thorn a écrit des livres sur les abus sexuels de Bill Clinton et sur des preuves de plus en plus nombreuses des meurtres qui ont eu lieu dans l’entourage d’Hillary Clinton. Le 1er août, il se serait suicidé par balle. 
    – Shawn Lucas est mort le 2 août pour des raisons inconnues jusqu’à présent. Il prétendait que les élections étaient une escroquerie. 
    Chers téléspectateurs, d’un côté ces cas de morts sont tragiques, mais d’un autre côté, ce qui est aussi tragique, c’est que les grands médias occidentaux n’en parlent pas. Et pour cette raison la question se pose de savoir s’il s’agit seulement de coïncidences tragiques ou bien d’une conspiration qu’on ne peut plus nier ?

  • Centres pour migrants : le scandaleux éditorial du Monde !

    Le journal bien-pensant Le Mondevient de se surpasser. Dans son éditorial du mardi 25 octobre, il enjoint aux Français et à leurs élus d’ouvrir les yeux et de construire nombre de centres en dur pour accueillir et intégrer les migrants. Pour lui, il faut éviter à tout prix de nouvelles « jungles de Calais ».

    Le Monde a un argument prétendument imparable : les réfugiés vont continuer à déferler au même rythme. On ne peut rien faire contre « cette loi naturelle » aussi immuable que la gravitation. Il assène, en outre, que l’immigration génère de la croissance, et est indispensable (au vu de la baisse démographique).

    Mais tout ce bel édifice repose sur des mensonges éhontés.

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  • La démolition du système scolaire date du Général De Gaulle

    L'Homme Nouveau publie une passionnante enquête de Jean de Viguerie sur la crise scolaire en France. L'auteur date la décadence du système éducatif au général De Gaulle. Extrait :

    6a00d83451619c69e201bb0948f74d970d-250wi.jpg"[...] Revenu au pouvoir en 1958, élu président de la République, Charles De Gaulle se saisit du dossier « instruction publique » et impose deux réformes capitales, la « démocratisation » et la diminution des enseignements dispensés. De Gaulle s’occupe personnellement de la « démocratisation ». Il y travaille en « Conseil privé restreint » avec Jacques Narbonne, son conseiller pour ces questions, Christian Fouchet, ministre de l’Éducation nationale, et à l’occasion, le recteur Jean Capelle. Le projet à l’étude, comme l’autre, celui de la diminution des enseignements, feraient partie d’un plan d’ensemble intitulé « réforme » ou « réforme générale de l’enseignement ». Les deux expressions reviennent de temps en temps dans les notes ou les procès-verbaux. On en parle comme d’un plan déjà élaboré, et sur le point d’être appliqué. Ce plan, tout au moins la partie « démocratisation », est celui du parti communiste présenté aux deux assemblées en 1947 par les députés communistes Langevin et Wallon, et alors rejeté. Il prévoyait de faire passer en 6ème, c’est-à-dire dans le secondaire, tous les élèves de la dernière classe du primaire. De Gaulle l’adopte. Il n’a pas le choix. C’est très probablement l’une des deux conditions de la « paix sociale », l’autre étant l’abandon de l’Algérie. Nous disons « très probablement », n’ayant aucune preuve écrite d’un tel accord. La décision ne tarde pas. L’examen d’entrée en 6ème est supprimé par la circulaire ministérielle du 13 mars 1959. Les assemblées n’ont pas été consultées. C’est une mesure choc, mais on a fait en sorte que le public n’en voie pas l’importance. La propagande officielle la justifie par le principe d’égalité : le baccalauréat, dit-elle, ne sera plus réservé aux enfants de la bourgeoisie. Or, il ne l’avait jamais été. Toutes les classes du secondaire comptaient des enfants de tous les milieux sociaux. On sélectionnait les meilleurs du primaire, si leurs parents le voulaient bien. Toute sélection étant supprimée, la qualité de l’enseignement secondaire ne peut qu’en souffrir. Le ministère tente d’y parer. Il crée en 1962 des « collèges d’enseignement général », d’où les élèves venus du primaire, et s’adaptant mal, pourront accéder soit au primaire supérieur, soit aux enseignements professionnels. L’idée est sans doute ingénieuse, mais ces collèges sont supprimés en 1975.

    Diminution des savoirs

    À la démocratisation s’ajoute, nous l’avons dit plus haut, la diminution des savoirs fondamentaux. C’est l’autre réforme due au général De Gaulle, et qui est comprise dans ce qu’on appelle au ministère, « la réforme générale de l’enseignement ». Celle-ci ne semble pas avoir été évoquée au « Conseil privé restreint ». Elle est préparée au ministère et publiée ensuite au Bulletin officiel de l’Éducation nationale (B.O.E.N.) dans les années 1963, 1964 et 1965, sous la forme de circulaires ministérielles, et sans intervention (comme pour la démocratisation) du pouvoir législatif. Y sont indiquées les notions dont l’étude sera moins approfondie, ou même facultative. [...]

    Après avoir dégradé les enseignements primaire et secondaire, le pouvoir gaulliste s’en prend à l’enseignement supérieur, mais cette fois la réforme est soumise à l’approbation du Parlement et elle est votée le 11 octobre 1968 à la quasi-unanimité des députés. Edgard Faure, ministre de l’Éducation nationale en est officiellement l’auteur, mais on a la certitude que les communistes avaient mis au point le projet. Cette loi donne le gouvernement des universités à des conseils irresponsables où les professeurs sont en minorité, les étudiants, le personnel administratif et technique et les « personnalités extérieures » formant une majorité incapable de promouvoir un enseignement de qualité et de comprendre l’importance d’une recherche scientifique de haut niveau. Parti d’une agitation étudiante (le mouvement du 22 mars) une sorte de révolution mi-étudiante, mi-ouvrière avait profondément troublé et paralysé le pays au cours des mois de mai et juin 68. On a cru, on croit encore aujourd’hui, que la réforme des universités a été de la part du chef de l’État une satisfaction donnée aux « soixante- huitards ». En fait, De Gaulle ne s’était jamais inquiété pour l’université, dont il se souciait peu. S’il s’était inquiété, c’était pour son propre pouvoir. Une fois rassuré par les manifestations en sa faveur, par la promesse du général Massu de le soutenir, enfin par son succès triomphal aux élections législatives, il aurait très bien pu faire voter une réforme universitaire beaucoup moins démagogique. Mais il trouva plus sûr de céder aux directives du parti communiste et de faire adopter son plan. La loi d’orientation de 68, en dégradant l’enseignement supérieur, n’est que la suite et l’achèvement des réformes de l’enseignement préparées par le PC et accomplies depuis 1958 par le gouvernement De Gaulle. 68 n’est pas un commencement mais l’achèvement d’un premier travail de démolition. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un procès de Nuremberg pour Poutine ?

    « Les nazis russes exterminent les mutins humanitaires d’Alep ». C’est une émission de la télé française, on est le 20 octobre sur Antenne 2. Courageux, les candidats de la droite primaire expliquent comment on va châtier le tzar. Oubliée la présence sacrée et pacifiante de l’OTAN et de l’Amérique en Irak, Libye, Syrie, Colombie ou ailleurs. Il faut détruire la Russie et accueillir du réfugié à la tonne.

    Vladimir Poutine devrait se méfier : car il va finir pendu au prochain procès de Nuremberg. Il ne semble pas avoir compris à qui il avait affaire.

    Vladimir Poutine sera pendu quand nos preux chars occuperont Moscou mieux qu’Hitler et Napoléon n’avaient su le faire. Il est vrai qu’à l’époque la Russie était vaguement aidée par l’Angleterre ou par le monde anglo-saxon. Mais cette fois-ci « tout le monde » est contre elle et son tzar imprudent !

    Adolf Hitler sert ici de modèle à l’occident, et on n’a pas détruit le lieu de naissance de l’ex-monstre pour rien. Fin du repentir.

    C’est le philosophe libertarien Butler Shaffer qui explique dans son test sur Hitler (voyez en ligne son brillant The Wizards of Ozymandia) que ses étudiants démocrates pensent comme le führer : ils sont végétariens, contre le tabac, contre le harcèlement sexuel, pour les interventions humanitaires, pour la nature relookée, et pour la colonisation de la Russie annoncée dans Mein Kampf. Ils sont aussi contre la possession d’armes, comme Hillary, et comme Adolf. Des fois que les citoyens voudraient se protéger de la folie étatique en démocratie. Mais les citoyens en France sont là pour tweeter ou pour se faire écraser (impôts, lois, camion fou?).

    Hitler aussi était contre les excès de vitesse. Et il s’est allié aux islamistes rebelles du Caucase pour détruire la Russie. Un modèle je vous dis. Il était antisémite ? Mais le seul pays occidental correct avec la Russie est Israël. Benjamin Netanyahou sait mieux que Juppé ou Lemaire qui a libéré Auschwitz. Il l’a dit d’ailleurs. La France socialiste a voté les pleins pouvoirs à Pétain. Ils étaient même 666 à le faire (voyez mon Mitterrand).

    Et les Français sont bien contents, parfaitement d’accord, enthousiastes, dirait Céline en 39. Le nez dans le tweeter.

    C’est que l’occident ne recule jamais quand il s’agit de principes, d’humanité ou de conscience universelle, et il l’a déjà montré bravement au cours des dernières cent années. L’occident a bombardé l’Europe de fond en comble, il a livré la Chine et la moitié de notre continent au communisme, il a encouragé la destruction turque de notre Asie mineure grecque, saccagé ses empires coloniaux pour que se multiplient les dictatures en Algérie et ailleurs en Afrique noire, il a détruit l’Irak, armé les guerres civiles en Yougoslavie, en Libye, en Syrie (souvent au détriment des chrétiens orthodoxes), et maintenant en Ukraine où le gouvernement insurrectionnel local a établi sa tyrannie et veut déclencher la énième guerre mondiale que l’on imputera à la Russie et à son tzar éternel.

    On sera tous aussi vengeurs que l’ex-patron de l’OTAN, ce Rasmussen qui déclencha l’opération des BD sur Mahomet et imposa à son église luthérienne la bénédiction du mariage homosexuel. Il pantoufle chez Goldman Sachs depuis lors, flanqué du Barroso.

    Avant de désosser la Russie au nucléaire avec Hillary, on nous aura bien sûr fait renoncer à son gaz et tripler notre facture énergétique avec l’huile de ricin venue du fracturé Far West.

    Céline avait aussi tout dit :

    « Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »

    Cette affaire se terminera par une nouvelle session de pendaisons. On regardera tout ça à la télé. Et ce jour-là nous serons tous pendus aux cordes vocales de BHL. Tout cela fera du bruit pendant quelques heures, comme disait Voltaire.

    http://www.voxnr.com/4995/un-proces-de-nuremberg-pour-poutine

  • « Il faut dire la vérité, la plupart des migrants de la jungle de Calais ne sont pas des réfugiés »

    L’évacuation de la jungle de Calais a commencé. Pour Xavier Saincol, le gouvernement socialiste entérine son renoncement à faire appliquer les lois sur l’entrée, le séjour et l’asile alors qu’il s’agit en l’occurrence d’étrangers en situation irrégulière.

    Le drame de la Jungle de Calais n’a rien de nouveau, même s’il s’est considérablement aggravé en quatre ans. Il remonte à la fin des années 1990, lié au fonctionnement de l’espace Schengen : la France a ouvert ses frontières européennes et s’est engagée à protéger par tous les moyens celles de la Grande-Bretagne, transformant, le Calaisis en cul-de-sac, réceptacle des migrants qui ont traversé une partie de la planète dans le but de se rendre outre-Manche. L’aggravation soudaine du chaos renvoie au démantèlement de la frontière extérieure européenne, intervenu en 2015, à la suite des déclarations intempestives de plusieurs dirigeants européens, dont Mme Merkel, la chancelière allemande, et M. Junker, président de la Commission : « ouvrons leur les bras ! ». Le flux migratoire sans précédent historique, ne cesse de s’amplifier : après un million d’entrées en 2015, sans doute le même nombre en 2016 alors que plusieurs millions de personnes se pressent aux portes de l’Europe, dans l’impuissance d’une Union européenne qui ne parvient pas à s’organiser pour combattre les trafics criminels et se décompose alors qu’elle devrait au contraire unir ses forces.

    Le phénomène auquel nous assistons dans le Calaisis signe l’échec de l’État de droit dans la République française. Il est incompréhensible que l’État ait laissé se mettre en place une zone de non droit de cette ampleur. Pis : la solution qui consiste à évacuer de force la jungle et à répartir les migrants dans des centres d’accueil dans les régions est symptomatique du renoncement à faire appliquer les lois sur l’immigration irrégulière. [....]

    La suite sur Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Il-faut-dire-la-verite-la-plupart