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magouille et compagnie - Page 1927

  • Patients algériens : l’AP-HP ne veut plus payer ? C’est notre Sécu qui le fera !

    Le transfert pour soins des Algériens, qui ne concernait jusqu’à présent que les salariés actifs et leurs ayants droit, sera élargi à tous les Algériens non assurés sociaux mais détenteurs d’une carte de démuni et nécessitant des soins à l’étranger (environ 30 % de la population).

    La CNAS algérienne (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) rejette en bloc les affirmations de la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui lui réclame une facture, selon elle totalement fantaisiste et qui ne correspond à rien, de 31 millions d’euros, dont se sont fait l’écho les médias français.

    Elle défie les hôpitaux parisiens d’établir un listing des patients algériens pris en charge dont les factures sont restées impayées.

    Il y a des contentieux, certes, entre les deux parties mais ils sont réellement minimes, affirme la CNAS, qui refuse d’assumer les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés par ses soins avant leur départ.

    Forte de ces constatations, la CNAS a signifié son refus à la partie française de payer par avance les soins et de régler des factures injustifiées.

    D’après un document établi par l’AP-HP : « Aucune prise en charge d’organisme étranger ne sera plus acceptée, sauf règlement d’avance à la place du patient. Pour les patients accueillis en urgence, les prises en charge des assurances voyages seront acceptées avec un paiement a postériori sur facture. »

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  • Cantines : « Seul un tiers de leur approvisionnement vient de France »

    Hollande a déclaré ce jeudi qu’il souhaitait que les cantines scolaires et la restauration collective fassent la part belle aux produits issus de l’agriculture française, déplorant qu’à l’heure actuelle seul un tiers de leur approvisionnement vienne de France. La veille au soir, leConseil départemental de la Mayenne avait annoncé qu’à l’avenir « 100 % des produits servis dans les collèges » seraient d’origine française. Ces engagements sont-ils réellement tenables ? La question se pose car la réglementation des appels d’offres et le droit européen empêchent les cantines de s’enquérir de l’origine des produits.

    Aucune mention de l’origine géographique dans les appels d’offres

    Pour s’approvisionner, dès que le montant du contrat est supérieur à 15.000 euros H. T., le gestionnaire, qu’il s’agisse d’une collectivité, d’une entreprise ou d’une société de gestion extérieure, doit passer par une procédure d’appel d’offres. Or il est actuellement impossible de mentionner l’origine géographique des produits dans les appels d’offre.

    Certes, cette procédure n’est pas obligatoire pour les montants inférieurs à 15.000 euros H.T., et des achats de gré à gré peuvent être réalisés sur simple facture et sans publicité.

    La mention de l’origine est contraire aux règles communautaires

     

    Dans la pratique, l’acheteur public réalise des devis avec au moins trois fournisseurs. Pour la gestion concédée à Sodexo, Elior ou encore Eurest (Compass Group), qui représente 40 % de la restauration collective, comme pour la gestion directe, il lui est interdit de faire mention d’une indication géographique pour définir l’origine de son approvisionnement, notamment en viande. « Ce serait contraire aux règles communautaires », explique Dominique-Philippe Bénézet, délégué général du SNRC (syndicat national de la restauration collective).

    Même à l’intérieur du territoire français, le code des marchés publics interdit d’introduire des clauses de proximité géographique, dans la mesure où elles dérogeraient au principe de « l’égal accès à la commande publique » et à « l’égalité du traitement des candidats ».

    Des stratagèmes pour contourner cette interdiction

    Toutefois, ces gestionnaires ont parfois recours à des « stratagèmes », poursuit Dominique-Philippe Bénézet, comme « choisir des races qui ne sont que françaises ou des caractéristiques qui renvoient automatiquement à une origine France ».

    Pour encourager l’achat de viande « made in France », les acheteurs peuvent ainsi inclure des clauses de préférence qualitative, comme par exemple de la viande de « Label Rouge ». Une collectivité pourra également formuler des exigences environnementales, en s’appuyant par exemple sur le temps de transport des denrées.

    « Si je demande à voir de la viande qui est née, élevée, abattue et transformée dans le même pays, ça limite déjà quelque peu l’offre », explique de son côté Éric Lepêcheur, président de Restau’Co, l’association qui regroupe les acteurs de la restauration collective en gestion directe. « On peut aussi demander à avoir des produits de saison qui proviennent d’un lieu que je puisse faire visiter aux enfants des écoles. C’est à la limite de la légalité, mais c’est possible », affirme-t-il.

    Les cantines distribuent chaque année trois milliards de repas par an en France et le secteur éducatif représente 38 % de la restauration collective en gestion directe.

    Source

    http://www.contre-info.com/cantines-seul-un-tiers-de-leur-approvisionnement-vienne-de-france#more-38843

  • Quand le gouvernement encourage la paresse

    Depuis le 2 octobre 2014, le gouvernement expérimente la « garantie jeunes banlieues » : 434 euros par mois, versés dans un premier temps à 100.000 jeunes sans emploi et ne suivant aucune formation. En 2015, de nouveaux territoires en feront l’expérience.

    C’est dans le cadre du plan de lutte contre la pauvreté et pour l’inclusion sociale que ce pseudo-RSA, pour les 18-25 ans, avait été proposé en décembre 2012, payé finalement par le travailleur français sur ses impôts.

    Quel est l’intérêt de distribuer de l’argent à des jeunes qui ne font rien ? Est-ce dans un but purement électoral ? Est-ce du rafistolage pour éviter un embrasement de banlieue ? Triste message passé par notre gouvernement auprès d’une partie de notre jeunesse et de ceux qui gagnent leur vie à la sueur de leur front.

    Certains jeunes, de tout milieu social, en échec scolaire, veulent travailler et doivent être accompagnés dans leurs démarches, par la mise en place des formations qualifiantes, accessibles financièrement. L’apprentissage et l’éducation sont nécessaires pour tous les Français et permettent d’inculquer aux jeunes l’insertion dans le tissu social et d’aimer notre pays.

    De même, tout travail mérite salaire, principe basique de notre société au même titre que le respect de nos lois.

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  • Postures et impostures

    Réagissant à la crise des éleveurs, Marine Le Pen a prôné mardi une « re-nationalisation » de notre politique agricole. Une renationalisation qui, idéalement, devrait être étendue à tous les aspects de notre vie politique largement sous la coupe du parti de l’étranger atlanto-bruxellois. Le 8 juillet, l’ancien élu belfortain, ex ministre et ex dirigeant du MRC, Jean-Pierre Chevènement,  publiait sur son blogue une longue déclaration, intitulée « La France en grand ». Prenant acte de la «  crise historique de longue durée » subie par notre pays, qui « s’est fortement aggravée avec la dérégulation néolibérale, le choix d’une monnaie unique viciée dans son principe même et l’inféodation qui résulte des traités européens »,  il appelait au « rassemblement autour d’un projet réellement alternatif ». «C’est ce projet d’alternative républicaine que République Moderne (RM, une nouvelle structure créée pour l’occasion NDLR),  à travers des rencontres périodiques, se propose de faire surgir.»

     Jean-Pierre Chevènement propose ici  une alliance, allant de l’extrême gauche au petit parti de Nicolas Dupont-Aignan.  Il explique que RM s’adresse « au-delà des partis et des clivages politiques obsolètes, à tous ceux, socialistes, communistes, radicaux, gaullistes, démocrates, républicains, femmes et hommes de progrès (sic) qui croient que la France, loin d’être finie, a encore un rôle majeur à jouer pour équilibrer l’Europe et donner aux idées républicaines leur portée universelle face aux désordres engendrés par la globalisation. »

    Le manque de sincérité de la démarche de Jean-Pierre Chevènement, la faiblesse ontologique de son combat souverainiste, éclate une nouvelle fois ici, constate Bruno Gollnisch, avec sa posture « ni-ni » : ni RPS-ni FN…mais surtout ni FN ! Il est en effet parfaitement absurde de prôner le (nécessaire) rassemblement de tous les patriotes de bonne volonté en en excluant de facto, la première formation qui défend la souveraineté de notre pays, à savoir le Front National. De même, M. Chevènement feint encore de croire que les communistes défendent la nation, lesquels s’échinent en outre, tout comme lui-même, à minorer criminellement la question, pourtant centrale et essentielle, de l’immigration.

     Déjà, lors de la dernière campagne présidentielle, il avait refusé la main tendue par Marine en affirmant caricaturalement  que «  le Front National restera le parti de l’ethnicité et ne deviendra jamais celui de la citoyenneté. » Nous le relevions pareillement, le patriotisme du  jacobin-républicain   Jean-Pierre Chevènement achoppe historiquement   sur la question de l’identité française.

     Il est ainsi tout aussi révélateur que l’ex ministre de François Mitterrand, qui a appelé à voter pour le très bruxellois Hollande en 2012,  s’inquiète dans ce même texte d’une « une gauche et d’une droite interchangeables » qui se « (succèdent) au pouvoir pour y conduire, pour l’essentiel, la même politique néolibérale et inféodée ». Ce qui est parfaitement juste, mais sa crainte découle du fait que cette politique de l’RPS suscite chez notre peuple une réaction de défense immunitaire,  au sens ou les politiciens en question font ainsi,  écrit-il,  « le lit du Front National ».

     Et M. Chevènement, d’en rajouter une louche, en n’hésitant pas à mentir assez grossièrement en affirmant que le FN, qu’il baptise ici d’ « extrême droite », «  se nourrit de la désespérance du peuple mais ne propose aucune alternative crédible, bien au contraire. Son accession au pouvoir, ruineuse pour l’image de la France dans le monde, nourrirait le  clash des civilisations  que souhaitent les fanatiques et serait un mauvais coup porté à notre pays.»

     L’ex sénateur du Territoire de Belfort sera présent lors des universités d’été de la formation de Nicolas Dupont-Aignan a confirmé ce dernier qui vient de donner un entretien au quotidien Nord Eclair. Le dirigeant de Debout la France y présente son candidat  aux élections régionales de Nord-Pas-de-Calais-Picardie, lequel  sera opposé à Marine Le Pen, ce qui fait objectivement les affaires du républicain Xavier Bertrand, même s’il s’en défend.

    «On a énormément de différence» (avec Marine et le FN, NDLR) expose M. Dupont-Aignan dans ce journal. «Nous n’avons pas le même projet politique, pas la même vision de l’Europe ; je n’ai jamais été contre l’Europe mais pour une Europe des Nations et des projets ; je ne suis pas pour le rétablissement de la peine de mort. Qu’il y ait des points communs dans la dénonciation du système qui tue la France à petit feu, oui je l’assume, En revanche vous ne me ferez pas diaboliser le FN, car cela n’a pas de sens. Notre alternative patriotique me paraît plus sérieuse. On veut nous assimiler au FN car la pensée dirigeante ne veut surtout pas qu’il y ait des gens raisonnables capables de changer le système. Le système s’effondre mais les électeurs ne veulent pas confier la France au FN, donc ils s’abstiennent. Nous offrons la seule voie possible, la rupture raisonnable ! ».

     Le FN ne serait donc pas raisonnable –raisonnable pour qui?- capable d’une rupture censée avec ce Système délétère ? Propos qui permettent à M Dupont-Aignan de justifier lui aussi le « ni FN-ni RPS », son refus de faire alliance avec un mouvement  dont il a pourtant repris quasiment mot pour mot des pans entiers de son programme…

     Quoi qu’ils en disent, l’attitude d’ostracisme vis-à vis du FN d’un Nicolas Dupont-Aignan, d’un Jean-Pierre Chevènement ou d’autres souverainistes velléitaires, quels que soient l’intelligence et la pertinence de beaucoup de leurs analyses, revient à légitimer le Système en place en attaquant la formation politique la plus à même de le renverser.

     Sur le site de Polemia dans son avant-propos et la première section publiée du lexique « Cinq cents mots pour la dissidence », il est rappelé la définition politique du mot ami que ces derniers feraient bien de méditer. « La discrimination entre l’ami et l’ennemi est l’acte fondateur de la politique, d’après le politologue Carl Schmitt : on ne peut pas faire de la politique sans désigner son ennemi principal. Ceux qui prétendent fonder une attitude politique sur le  ni-ni  adoptent en réalité une posture impolitique : ils se condamnent à être le simple objet de ceux qui savent faire de la politique, qui sont, eux, de vrais sujets politiques ». Tout est dit.

    http://gollnisch.com/2015/07/22/postures-et-impostures/

  • Filippetti et Montebourg rappelés à l'ordre par le président du groupe PS au Sénat

    Didier Guillaume accuse les deux anciens ministres socialistes de «cracher dans la soupe».

    Ne parlez plus d'Aurélie Filippetti et d'Arnaud Montebourg à Didier Guillaume. À ses yeux, les anciens ministres socialistes, débarqués du gouvernement en août 2014 et aujourd'hui proches des frondeurs ont tourné casaque trop vite. «Chez moi on appelle ça cracher dans la soupe. Ma grand-mère disait toujours ‘il faut avoir la reconnaissance du ventre'», s'est exclamé mardi sur Public Sénat le sénateur PS.

    «Ils ont été choisis à un moment par le chef de l'Etat pour être membres d'un gouvernement, donc aujourd'hui un peu de retenue», a-t-il déclaré lors de l'émission Preuves par 3 Public Sénat/AFP/Dailymotion. «Monsieur Montebourg et Madame Filippetti ont été servis par la République (...) ils ont été ministres du Redressement productif et de la Culture. Mais quand on est membre d'un gouvernement, on doit dépasser sa petite personne, on ne s'appartient plus», a ajouté Didier Guillaume.

    Le sénateur n'apprécie pas qu'Aurélie Filippetti réclame régulièrement une primaire socialiste pour désigner le candidat de la gauche en 2017. «Je pense que des primaires, mais des primaires larges, des primaires de toute la gauche (...) sont inévitables», expliquait la députée, invitée de BFM-TV en juin. Didier Guillaume lui répond fermement que «lorsqu'un président de la République est sortant, s'il décide de se représenter, s'il est en situation, si les principaux responsables politiques autour de lui veulent aller dans cette direction, il n'y a pas besoin de primaire».

    Une analyse toutefois démentie par un sondage OpinionWay réalisé en juin pour Le Figaro et LCI où l'on apprend que 76% des sympathisants socialistes réclament une telle primaire.

    Tristan Quinault Maupoil

    source : Le Figaro  lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFZVyyVZZSXDulEqw.shtml

  • Corrélation entre les médias et les partis politiques

    Lu dans l'Action Française 2000 :

    A"Les partis politiques ont pour but la conquête, l’exercice et la conservation du pouvoir. À cet effet, ils concèdent à l’opinion publique, composent avec elle pour l’amadouer et gagner son soutien électoral. Or, l’opinion publique est tributaire des médias qui la façonnent et qui servent de relais au pouvoir républicain. C’est la raison pour laquelle il existe une corrélation entre les médias et les partis politiques, qui sont dans l’obligation d’adopter un langage “politiquement correct” pour promouvoir leur démagogie.

    Les querelles internes au sein du Front national le démontrent. En dérapant dans les médias, le président-fondateur de ce parti dérogeait à cette règle, ce qui l’a empêché d’arriver au pouvoir tout au long de sa carrière politique. En lui succédant, Marine Le Pen a procédé à une “dédiabolisation” du parti. Autrement dit, elle souhaite éviter de le compromettre, en adoptant un langage “politiquement correct”, conforme au lexique politico-médiatique, sans heurter la susceptibilité des groupes de pression qui détiennent les clefs du pouvoir médiatique (considéré comme le quatrième pouvoir au sein de la République). Cette démarche semble légitime eu égard à la logique et aux objectifs des partis politiques. Ce conflit idéologique, mais aussi stratégique, au Front national met en exergue l’existence d’une ligne rouge que les politiques ne doivent pas franchir s’ils comptent accéder au pouvoir. Cela confirme l’existence de groupes de pression, qui façonnent et maîtrisent le pouvoir politique au sein de la République, que Charles Maurras a longuement évoqués et analysés dans un mémoire, Pour réveiller le grand juge, rédigé dans sa prison de Clairvaux où il était détenu entre 1947 et 1952."

    Michel Janva

  • Valls le collabo-traître l'a dit : L'Islam est en France pour y rester !

    A l’instar d’autres collabos tels que Sarkozy ou Juppé, Valls se lance lui aussi dans une stratégie qui vise un double objectif :

    1. récupérer les faveurs des musulmans en prévision des élections régionales de cette fin d’année mais aussi et surtout celles de 2017, on se souvient que lors des dernières présidentielles les socialistes avaient manœuvré de telle manière que 93% des musulmans votants avaient donné leurs voix à Hollande.

    2. imposer l’Islam de force à l’ensemble de la population française en lui donnant tous les attributs d’une religion d’état.

    Poursuivant en cela le travail de destruction de la Nation Française entamé par ses prédécesseurs, le noyautage de toutes les institutions de l’état par les islamo-collabos et les musulmans ayant bénéficié du droit du sol permet de bloquer toute initiative privée ou collective visant à empêcher l’inexorable islamisation du pays.

    Dans l’éducation nationale, les profs gauchistes adeptes du nivellement par le bas font la promotion du « vivre-ensemble » auprès de leurs élèves, et en sorte de formater les consciences dès le plus jeune âge pour correspondre aux critères de l’anti-racisme qui n’est ni plus ni moins que la promotion de la haine du blanc ou de l’européen de souche.

    Dans la police et grâce aux promotions qui encouragent la mixité, il n’est pas rare de trouver à Paris des effectifs composés d’une majorité d’africains mâtinée d’une belle proportion de maghrébins.

    Dans l’armée de l’aveu même de la hiérarchie l’Islam pose un problème, des témoignages directs font état d’une proportion allant de 20% jusqu’à 50% de musulmans selon les régiments, y compris parmi les officiers et sous-officiers.

    Dans la justice les syndicats gauchistes tel le fameux auteur du « mur des cons », je cite le « Syndicat Nationale de la Magistrature », protègent de manière avérée la population de remplacement au détriment de la population de souche, une justice à deux vitesses qui accorde sa magnanimité de manière flagrante aux voyous issus de l’immigration à coups de remises de peines et d’aménagements, pendant que les Français de souche eux doivent plier devant des décisions implacables même pour un dépassement de vitesse de 1 km/h !

    Dans les administrations régionales et départementales ainsi que les mairies, l’aide est avant tout dispensée à la population immigrée sous la forme des allocations les plus diverses, de l’aide médicale gratuite à 100% alors qu’elle est payante pour les nationaux, et l’octroi même des retraites à ceux qui n’ont jamais cotisé pendant que les pensions des retraités Français elles diminuent comme peau de chagrin.

    48 milliards d’euros, c’est le coût de cette immigration dont on ose nous dire qu’elle permet notre enrichissement, et qu’elle est indispensable pour maintenir notre niveau de natalité…preuve s’il en fallait que le Grand Remplacement est en cours de réalisation !

    Et comme cela ne suffit pas ces mêmes régions, départements, et mairies, subventionnent des réalisations à l’étranger avec l’argent de nos taxes et construisent des mosquées sur notre sol, alors que nos routes sont mal entretenues et qu’ils augmentent de façon considérable nos impôts.

    Oui, cet état qui nous ponctionne pour nourrir ceux qui nous envahissent est un état félon.

    Depuis le plus obscur bureaucrate qui avalise en faisant avancer le dossier de subvention d’une mosquée/école islamique, en passant par le maire qui cède généreusement le terrain public à vil prix, le député qui inaugure le lycée islamique jusqu’au ministre qui célèbre par son discours la fête de l’Aïd ou du Ramadan, tous sont des collabos au même titre que ceux qui « travaillaient » avec l’occupant nazi en 1940.

    Et ne valent même pas le prix de la salive du crachat qu’ils méritent.

    Tous, du plus petit au plus grand, œuvrent pour la destruction de la France et de l’Europe, en trahissant non seulement la mémoire de ceux qui avant eux ont défendu et construit ce territoire, mais aussi en trompant les plus faibles et les plus vulnérables à l’endoctrinement.

    La démocratie a vécu, la Liberté n’existe plus dans ce pays où les pensées déviantes sont fliquées et espionnées puis condamnées par l’appareil d’état.

    La Liberté d’expression a perdu tout son sens et ne signifie plus que le droit donné à ceux qui suivent la pensée unique de s’exprimer sans tarir ni supporter la moindre contradiction, et l’interdiction de la critique et de l’exercice du consentement éclairé.

    « Être Charlie » c’est être d’accord avec le mainstream politiquement correct et suivre comme un imbécile la doctrine d’état !

    A l’instar de ceux qui, hier sont devenus des héros de la résistance et qui étaient pourtant par ce même appareil d’état déclarés comme terroristes, ceux comme nous qui ne sont pas d’accord seront traqués sans relâche et condamnés sans état d’âme au nom de la Liberté, par ces collabos, ces traîtres et ces salauds qui aujourd’hui nous dirigent depuis le banc gauche jusqu’au banc droite de l’assemblée.

    La solution devant une telle violence par le système n’engendrera que de la violence en retour, dont ceux qui se plaindront le plus seront la cause.

    Il n’existe plus de solution politique, le chemin de l’Honneur et de la Liberté sera couvert de sang.


    Pour Manuel Valls, "L’islam est en France pour... par lemondefr

    Lochaberaxe

    Voir en ligne : http://euro-jihad.com/blog/

    https://euro-reconquista.com/site/spip.php?article746

  • A lire ! ! Yanis Varoufakis sur l’Eurogroupe et sur sa démission

     

    Source : Mediapart
    Une passionnante interview-fleuve de l’ex-ministre des Finances Grec, qui donne un éclairage précieux car vraiment renseigné sur le fonctionnement dictatorial de l’eurogroupe et la volonté allemande de casser la Grèce. A lire, puis enchainer sur sa tribune expliquant pourquoi il a voté “non” à “l’accord” entre la Grèce et l’Eurogroupe et le même accord annoté par lui. 

    Interview de Yanis Varoufakis (traduit par MONICA M. pour Mediapart) accordée à la revue Newstatesman avant que Tsakalotos et Tsipras ne partent à Bruxelles négocier avec les créanciers de la Grèce.
    Cette interview est édifiante et instructive à plusieurs égards. Elle montre le fonctionnement proprement insupportable de l’UE et de la Zone Euro, et elle révèle que Varoufakis avait un autre plan que la majorité du gouvernement pour affronter l’Hydre, ce qui l’a conduit à démissionner après le référendum.

    Harry Lambert : Alors comment vous sentez-vous ?

    Yanis Varoufakis : Je me sens au dessus du monde – Je n’ai plus à vivre à travers un agenda de folie, qui est absolument inhumain, juste incroyable. J’ai dormi deux heures par jour pendant cinq mois. Je suis aussi soulagé de ne plus avoir à subir cette incroyable pression de devoir négocier pour une position que je trouve difficile à défendre, même si je me suis arrangé pour forcer l’autre partie à acquiescer, si vous voyez ce que je veux dire.

    HL : A quoi cela ressemblait-il ? Aimiez-vous quelque aspect de tout ça ?

    YV : Oh oui beaucoup de choses. Mais l’information qui arrive, qui confirme vos pires craintes…voilà qu’il est en votre “pouvoir” que cela vous soit dit directement, et que ce soit comme vous le redoutiez – la situation était pire que vous l’imaginiez ! Ainsi, ce fut bon après de n’être plus aux premières loges.

    HL : De quoi parlez-vous ?

    YV : L’absence complète de tous scrupules démocratiques, de la part des supposés défenseurs de la démocratie européenne. La très claire compréhension d’autre part que nous sommes sur la même course analytiquement – bien sûr cela n’arrivera plus à présent. Avoir ces vraies figures de pouvoir qui vous regardent dans les yeux et disent “Vous avez raison dans ce que vous dites, mais nous allons vous croquer de toute façon.”

    HL : Vous avez dit que les créanciers vous contestaient parce que vous avez parlé économie dans l’Eurogroupe, ce que personne ne fait. Qu’est-il arrivé lorsque vous l’avez fait ?

    YV : Ce n’est pas que ça n’allait pas – c’est qu’il y avait un refus total de s’engager dans des argumentations économiques. Refus total. … Vous avancez un argument sur lequel vous avez réellement travaillé – pour être sûr que c’est logiquement cohérent – et vous rencontrez des regards vides. C’est comme si vous n’aviez pas parlé. Ce que vous dites est indépendant de ce qu’ils disent. Vous auriez pu aussi bien chanter l’hymne national suédois – vous auriez eu la même réponse. Et c’est saisissant, pour quelqu’un qui est habitué aux débats académiques. … D’ordinaire l’autre partie participe toujours et là il n’ y avait aucune participation du tout… Ce n’était même pas de l’ennui, c’est comme si personne n’avait parlé.

    HL : Quand vous êtes arrivé, début février, il n’a pas pu y avoir une position commune ?

    YV : Il y avait des personnes qui étaient sympathiques à un niveau personnel – ainsi, vous savez, derrière les portes fermées, sur une base informelle, notamment avec le FMI [HL : "Aux plus hauts niveaux ?" YV : " Aux plus hauts niveaux, aux plus hauts niveaux "]. Mais ensuite dans l’Eurogroupe, quelques mots gentils et c’est tout, retour derrière le parapet de la version officielle.
    [Mais] Schäuble était d’une grande cohérence. Son option était “Je ne suis pas en train de discuter le programme – il a été accepté par le précédent gouvernement et nous ne pouvons pas permettre à une élection de changer quoi que ce soit. Parce que nous avons tout le temps des élections, nous sommes 19, si à chaque fois qu’il y a une élection quelque chose change, les contrats entre nous ne voudraient plus rien dire”.
    Aussi à ce point il ne me restait plus qu’à me lever et à dire : “Bon peut-être que nous ne devrions plus jamais organiser des élections dans les pays endettés”, et il n’y a pas eu de réponse. La seule interprétation que je puisse donner c’est “Oui, ce serait une bonne idée, mais elle serait difficile à mettre en application. Donc soit vous signez sur la ligne en pointillé, soit vous sortez.”

    HL : Et Merkel ?

    YV : Vous devez comprendre que je n’ai jamais rien eu à faire avec Merkel, les ministres des finances parlent aux ministres des finances, les premiers ministres parlent aux chanceliers. De ce que je comprends, elle était très différente. Elle tentait d’apaiser le Premier Ministre (Tsipras) – elle disait “Nous trouverons une solution, ne vous inquiétez pas, je ne veux pas qu’il arrive quelque chose de d’horrible, faites juste votre travail et travaillez avec les institutions, travaillez avec la Troïka ; il ne peut pas y avoir d’impasse ici.”

    Ce n’est pas ce que j’entendais de la part des mes interlocuteurs – à la fois de la tête de l’Eurogroupe et du Dr Schäuble, ils étaient très clairs. A un certain point il me fut signifié sans équivoque “C’est un cheval et soit vous l’enfourchez, soit il est mort”.

    HL : Quand était-ce ?

    YV : Au début, au tout début (ils se sont rencontrés la première fois début février)
    Source : Lire la suite sur Mediapart

    http://fr.novopress.info/

  • Qui a financé la campagne de François Hollande ?

    Lu dans L'Express :

    "En examinant les comptes de François Hollande pour l'élection présidentielle, les membres de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) sont restés pantois devant la faiblesse des informations fournies. Après l'élection de mai 2012, ils ont donc écrit - ils l'ont également fait pour d'autres candidats - au trésorier de la campagne, Jean-Jacques Augier, pour lui réclamer pas moins de 450 justificatifs(contrats, devis, factures) supplémentaires, concernant des frais de déplacements, de restauration, de matériel de propagande, de conseil en image. C'est ce qu'il ressort d'un échange de courriers jusqu'alors confidentiel - une décision du Conseil d'Etat vient de rendre ces documents consultables."

    APour rappel, Jean-Jacques Augier, trésorier de campagne du candidat Hollande :

    • n'est pas un élu du PS
    • est un homme d'affaires qui a investi aux Caïmans
    • est propriétaire du magazine "Têtu"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Canicule : on n’est plus dans le bobard mais dans le bourrage de crâne

    Difficile de trouver une définition générale du terme météorologue de canicule. Parce que l’Organisation Mondiale Météorologique a pris soin de faire en sorte que la chose reste suffisamment floue  pour qu’on en puisse faire ce qu’on veut au gré des circonstances.

    Théoriquement il s’agit « d’une période prolongée de fortes chaleurs diurnes et nocturnes pouvant être accompagnée d'un niveau d'humidité élevé, ce qui accroît la sensation de chaleur », selon Wikipedia. Mais aucun chiffrage géographique de la température n'est prescrit. La période dite caniculaire doit s'étendre au moins sur 72 heures d'affilée. Et selon que l’on se trouve dans le nord de l'Europe ou en Afrique on acceptera que les niveaux de chaleur soient différents ainsi que la durée du phénomène. Ce qui est décrété comme canicule en Suède n'est en Afrique qu'une température élevée. En France on s'en prévaut à 33° dans la journée et 18° pendant la nuit à Lille. A Toulouse elle commence à 36° et 21° On voit donc ce que cela peut avoir d'aléatoire pour ne pas dire de fantaisiste dans l'expression  météorologique quotidienne et d'insupportable dans l'utilisation médiatique qui en est faite par les péronnelles qui nous gavent de consignes superfétatoires dès que le mercure approche des limites "estivales ». Ce qu'elles mesurent dans la différence ressentie entre la fraîcheur de leurs studios climatisés et l'atmosphère des rues chauffées à blanc par la seule réverbération des murs et le coffrage des immeubles qui augmente considérablement l'impression de chaleur. Se perdant dans des considérations dont elles ne comprennent rien. On entendit parler de « thermomètres qui affichent des températures caniculaires au soleil ». Telle autre, accompagnant un médecin en tournée d'urgence, évoque cet enfant de douze ans qui a des difficultés respiratoires.
    On apprend ainsi qu'il fait 30° dans la maison... inondée de soleil, dont les fenêtres à double vitrage  sont hermétiquement fermées mais les persiennes grandes ouvertes !

    A cela il faut ajouter la surenchère absurde à laquelle se livre cette petite coterie devenue à la fois l'une des plus puissantes en matière d'audimat et des plus admirées par le téléspectateur de base avachi devant son petit écran et qui gobe mécaniquement la logorrhée du réchauffement climatique devenue envahissante, à mesure que l’on s’approche de la foire de la CP21. Certes les prévisions météos sont exprimées en fourchettes. Mais il revient à chacun et chacune de choisir de celle qui s’accorde le mieux à sa démonstration.

    Les mots sont les mots pourtant et les définitions les définitions. Le 3 juillet au matin les pintades lectrices de bulletins de propagande météorologiques sur toutes les radios françaises — Laurent Cabrol emmenant le troupeau surexcité qui rivalisait d'imagination dans l'emphase et l'hyperbole — répétaient à satiété la consigne émanant sans doute de la COP 21 « Au quatrième jour de canicule... ». Or, le matin même dans la plupart des régions de France la température étant tombée en dessous de 20° et la veille au moins la moitié Ouest du pays qui avait connu deux journées de fortes chaleur, ayant quitté la zone caniculaire, celle-ci, de ce fait, réduite à deux journées, ne pouvait en aucun cas être invoquée. En d'autres termes les 30 juin et 1er juillet n'ont pas connu de canicule. Non plus d'ailleurs que le lendemain dans la partie Est, à son tour retrouvant pour 24 heures des conditions de simple chaleur. Le vendredi 3 juillet, certes, une nouvelle bouffée de chaleur remontée du sud en chassant les vents océaniques allait relancer le baromètre vers un nouveau pic. Mais il dura moins d'une journée et la qualification de "caniculaire" ne pouvait se justifier.

    UNE CANICULE QUI TOMBE À PIC

    Pourquoi donner tant d'importance à un phénomène aussi dérisoire ? Parce que justement les pouvoirs publics et l'instance gouvernementale mondiale depuis quelques années ont fait du Réchauffement Climatique et des instruments de propagande de la Météorologie les vecteurs principaux de leur action de transformation des sociétés traditionnelles. Une fois * de plus Météo France a servi de catalyseur à l'immense machination climatologique, plus que jamais d'actualité avec l'opération de propagande planétaire onusienne de la COP 21. On voit bien qu'il s'agit de faire pénétrer dans l'opinion publique, par le pilonnage des esprits, le sentiment qu'en effet, et ce fut clairement exposé en d'innombrables circonstances, un épisode météorologique supposé d'une exceptionnelle magnitude, doublé d'une précocité qui ne pouvait s'expliquer que par le dérèglement climatique, s'était abattu sur la France.

    Aucune radio, au cours de ces journées, ne s'abstint plus de 5 minutes de rabâcher les consignes de sécurité dont on ne cessa de nous rappeler que le non-respect, il y a douze ans, aurait été la cause de milliers de morts de personne âgées. Nous avions montré à l’époque que la plupart de celles-ci n’avaient pas été victimes d’imprudence mais de la criminalité architecturale responsable des habitations de verre et de béton transformées en four asphyxiant. Combien de décès parmi les milliers de personnes très âgées des campagnes, protégées par des écarts de température dans leur maison de pierre aux ouvertures réduites ?

    Il n'y a donc eu aucune séquence caniculaire en France entre le 30 juin et le 5 juillet si ce n'est quelques bouffées de chaleur diurnes, largement causées par des vent de sud-est montés d'Afrique du Nord, alors que les nuits demeuraient suffisamment fraîches, autour de 20°, pour ne pas perturber le sommeil. Au point qu'on n'a guère entendu l'habituelle litanie des records de chaleur battus aux quatre coins de l'hexagone. En revanche durant quelques jours un déferlement médiatique tympanisa les auditeurs récitant sur tous les tons le mot canicule. Avec comme but de convaincre le plus grand nombre qu'en effet le climat se transforme dans le sens d'un réchauffement global dont les prémices laisseraient augurer un avenir terrifiant.

    A partir du 4 juillet, notamment dans le nord-est du pays, de fortes températures se maintinrent, et en quelques rares régions ont pu atteindre trois jours de suite des niveaux caniculaires. Mais ces derniers ne concernèrent pas l'immense majorité du territoire français. Profitant de l'aubaine, Météo-France s'empressa de maintenir pendant plusieurs jours entre 30 et 50 départements en vigilance orange/canicule. De sorte que toutes les radios, tous les commentateurs, y compris dans les émissions n'ayant aucun rapport avec la climatologie, sacrifièrent, heure après heure, à l'obligatoire mention du mot canicule ou de son adjectif. Un bruit de fond dont on a bien compris qu'il servait à la fois de caisse de résonance à la COP 21 et à la nouvelle religion civique du Réchauffement Climatique. Tandis que le lobby des Ministères se rengorgeait d'avoir triomphé de cette terrifiante situation sans hécatombe.

    Europe 1, osant même qualifier la nuit du 3 au 4 juillet de plus chaude de la séquence, mit en place un programme spécial afin de laisser l'antenne ouverte à tous ceux qui souffriraient de la chaleur.

    En tout cas on peut être assuré que, quoi qu'il arrive en août et en septembre, le mois de juin 2015 ne saurait tarder à être proclamé comme le plus chaud depuis 1823. Ainsi d'ailleurs que le second trimestre de cette année. Tout va bien, l’agit prop' climatique continue à fonctionner admirablement. Merci Orwell...

     

    René BLANC. Rivarol 9 juillet 2015