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magouille et compagnie - Page 1925

  • Vincent Lambert : les Pro-Euthanazie se sont-ils trompés de proie ?

    La stratégie est toujours la même : procéder lentement, petit à petit, pas à pas, et, par effet cliquet, essayer de rendre irréversibles des évolutions, prétendument inéluctables. Le sens de l’Histoire, le sens du Progrès, vous voyez la rengaine. Le but ultime des Pro-Euthanazie est de tuer, mais contrairement aux vrais Nazis, ils voudraient éviter un procès, une condamnation et la honte universelle qui s’y rattache. Un procès public, c’est trop sale. Il faut donc procéder pas à pas, et glisser lentement du « laisser mourir » au « tuer », en passant par le « faire mourir » et « l’aider à mourir ». Endormir les consciences lentement mais surement, l’air de rien. Voilà le plan. C’est le même qui est appliqué pour l’avortement et la démolition de la famille et du mariage.

    Mais, voilà, dans le cas de Vincent Lambert, le rouleau-compresseur de la Culture de Mort s’est embourbé. Vincent Lambert est le grain de sable qui est en train de bloquer la Machine à Tuer.

    Fin de vie ou mise à mort

    Ce jeudi 23 juillet 2015 restera sans doute un tournant dans l’histoire de l’euthanazie en France. En effet, alors qu’on s’attendait au pire, la 3ème tentative de mise à mort de Vincent Lambert a été annulée par le CHU de Reims, qui le retient prisonnier dans ses locaux, sous la garde de deux vigiles et d’une caméra de surveillance. Cette annulation in extremis a été officiellement annoncée vers 14h30 par les « médecins », Daniela Simon et Ana Oportus, qui s’emploient depuis trois ans à le mettre à mort, sans succès jusqu’à présent.

    Rappelons que Vincent Lambert a déjà survécu à deux tentatives de mise à mort ratées. Derrière l’écran de fumée du verbiage juridico-médical : protocole de fin de vie, arrêt des soins, arrêt des traitements, acharnement thérapeutique, il y a la réalité concrète, glauque, sordide, glaciale, de la mise à mort. Vincent Lambert n’est pas malade, il n’a aucune pathologie le conduisant à un décès rapide. Il n’est pas en état de mort cérébrale. Il n’est relié à aucune machine qui servirait à le maintenir en vie. D’autres personnes sont certainement plus atteintes, mais d’autres sont sorties de cet état de conscience floue, dit pauci-relationnel, après de longues années. Il n’est pas en fin de vie, son état n’est pas désespéré, il faut juste le nourrir et l’hydrater, prendre soin de lui.

    Le paradoxe de la 1ère tentative de mise à mort est de prouver que Vincent Lambert est vivant et en excellente santé. En effet, entre le 10 avril et le 9 mai 2013, il n’a reçu aucune alimentation pendant 30 jours et juste l’équivalent d’un verre d’eau par jour. Et il n’est pas mort ! Bien, au contraire, depuis lors, il a même retrouvé le réflexe de la déglutition et les essais de le faire manger et boire par la bouche ont été couronnés de succès en juin 2015. Par une sorte de miracle, il n’a même pas de séquelles des précédentes tentatives de mise à mort ratées.

    L’alibi de la soi-disant fin de vie pour le mettre à mort ne tient pas. Il n’est pas du tout en fin de vie.

    On notera aussi l’imposture consistant à parler de « traitement », alors qu’il s’agit de nourrir. Donner le sein à son enfant serait donc un « traitement médical » ? On croit rêver. Honte à la CEDH, la Commission soi-disant Européenne des Droits de l’Homme, qui a justifié les tentatives de mise à mort. Pour comble, les juges minoritaires (cinq) qui ont voté contre ne sont pas européens : géorgien,  azéri, etc. C’est tout dire sur le niveau de putréfaction mentale et morale des Européens si les seuls juges qui s’opposent à la mise à mort et à l’euthanazie sont extérieurs à l’Europe. Quelle décadence lamentable.

    La dignité pour les morts et l’anonymat pour les (doc)tueurs

    La fiche wikipédia consacré à Vincent Lambert (consultée le 26 juillet 2015) ne mentionne pas les noms des « médecins », Daniela Simon et Ana Oportus, les deux opératrices dévouées à la mise à mort. Le droit de mourir « dans la dignité », comme disent les Pro-Euthanazie, apparemment c’est le droit de mettre à mort dans l’anonymat. Tuer, oui, mais sans laisser sa carte de visite sur le cadavre. On mesure bien toute la lâcheté et l’hypocrisie de ce concept fétide de « dignité ». Qui sont ces « médecins », ces doctueurs, qui prétendent tuer « dans la dignité », sans qu’on voit ce qu’ils font, sans qu’on sache comment ils s’appellent ? On appelle ça « l’équipe médicale », c’est-à-dire personne, nobody, rien, mais à la fin, il y a la mort.

    On notera aussi que pour les Pro-Euthanazie, il est digne de tuer Vincent Lambert et il est indigne de montrer qu’il est vivant. Honte au CSA, le Comité de Sécurité Audiovisuelle, qui voulait censurer la vidéo qui le montre bien vivant et réactif. Il paraît que ses réactions ne seraient que des espèces de réflexes neuro-musculaires. Il n’en reste pas moins que cette vidéo est le début du déraillement du rouleau-compresseur de la Culture de Mort. Des millions de personnes ont pu voir que Vincent Lambert est bien vivant. Même les Polonais proposent de le soigner chez eux !! Le problème commence à prendre une ampleur mondiale.

    Panique chez les marchands de mort

    Pour les Pro-Euthanazie, il apparaît de plus en plus clairement que Vincent Lambert est une mauvaise pioche, une mauvaise proie, pour faire avancer leur agenda mortifère. En effet, l’alibi de tuer en faisant semblant de laisser mourir ne tient pas debout, car la proie est bien vivante et ne mourra pas toute seule avant longtemps. Il y a un gros hic.

    C’est la panique chez les marchands de mort. Si la 3ème tentative de mise à mort de Vincent Lambert a été annulée par le CHU de Reims, c’est parce que la situation est de plus en plus intenable sur le plan moral, juridique et médiatico-politique. Avec un sens de l’humour très particulier, l’indescriptible MST, le ministre de la Santé MariSol Touraine, et le CHU de Reims considèrent que les conditions de sérénité (sic!!) ne sont pas réunies pour prendre une décision d’arrêt de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert. En clair, il faut comprendre qu’on ne peut pas le faire crever en douce, sans que ça ne se voit trop qu’il y a un problème. Zut alors, c’est raté…

    Comment justifier de tuer quelqu’un, qui n’est pas en fin de vie ? Les 2 tentatives de mise à mort font d’ailleurs l’objet d’une plainte depuis le 18 juillet 2015 pour tentative d’assassinat, séquestration et maltraitance devant le tribunal de Reims. Pour les opératrices de la mise à mort du CHU de Reims, ça commence à chauffer. En outre, elles font aussi l’objet d’une plainte auprès du Conseil de l’ordre des Médecins. C’est raté, et en plus il y a maintenant au procès au pénal.

    Comme on dit dans les milieux de la communication, l’heure est au contrôle des dommages, au « damage control ». La situation commence à partir sérieusement en vrille. Il n’est plus possible de faire crever Vincent Lambert en douce, en s’abritant derrière du verbiage médico-légal et des procédures opaques pour emballer la mise en mort dans un paquet-cadeau présentable. Rien ne va plus dans le monde enchanté de l’euthanazie dans la dignité.

    Attendons de voir comment le Système va gérer le déraillement du rouleau-compresseur de la Culture de Mort.

    http://www.medias-presse.info/vincent-lambert-les-pro-euthanazie-se-sont-ils-trompes-de-proie/35980

  • Trafic d'organes de bébés avortés : le Planning familial américain accusé par une troisième vidéo et visé par 10 enquêtes

    14 juillet : après 30 mois d'infiltration, The Center for Medical Progress publie une première vidéo accusant le Planning familial américain (qui gère des avortoirs), de vendre des organes de bébés avortés et de pratiquer, dans certains cas, des avortements par naissance partielle pour s'assurer de récupérer ces organes intacts. Elle peut être vue, sous-titrée en français, ici.

    17 juillet : la commission des affaires énergétiques et commerciales de la Chambre des représentants convoque la directrice générale des services médicaux du Planning familial, mise en cause dans la vidéo. L'organisationrefuse que ce soit ce médecin qui soit auditionné et affirme rester dans le cadre de la loi, qui autorise le don d'organes de foetus pour la recherche médicale, et non leur vente. Les prix indiqués ne correspondraient qu'au dédommagement des frais médicaux et de transports.

    21 juillet : deuxième vidéo, dans laquelle une responsable du Planning familial américain négocie le prix d'organes de bébés avortés. La vidéo vient d'être sous-titrée en français. La voici :

     

    En l'espace de deux semaines, des membres du Congrès ainsi que neuf Etats américains annoncent avoir lancé une enquête visant l'organisation.

    28 juillet : troisième vidéo. On y voit la tarification pratiquée par une société servant d'intermédiaire entre une branche régionale du Planning familial et le monde de la recherche. Le prospectus d'une société concurrente vante quant à lui les "profits" que feront les avortoirs s'ils lui fournissent des organes. Ce que confirme une jeune femme, employée six mois dans cette entreprise. Elle décrit ce que fut son travail : identifier les femmes enceintes, hospitalisées dans un avortoir du Planning familial, qui répondaient aux critères pour les commandes et récolter les organes de foetus après leur avortement.

    Une autre séquence montre la vice-présidente du Planning familial des Montagnes rocheuses superviser la dissection d'un foetus et donner sa préférence pour un paiement par organe.

    Voici cette troisième vidéo, en anglais pour l'instant. Attention, les images sont choquantes :

     

    Louise Tudy

  • Baisse du nombre de détenus : la conséquence de la politique pénale de Taubira

    Source : Le Figaro
    En un an, la population carcérale a diminué de 2 % soit 1600 détenus de moins. Pourtant, le niveau de la criminalité atteint des chiffres record. Alexandre Giuglaris analyse ce paradoxe.

    Les derniers chiffres de la population carcérale et du milieu ouvert viennent d’être rendus publics par Le Figaro. Et le moins que l’on puisse dire est que leur courbe est clairement orientée à la baisse. En un an, le nombre de détenus diminue de 2 %, soit tout de même 1 600 détenus de moins. C’est un chiffre conséquent. Mais la tendance est là et n’est pas près de s’interrompre. Comment faut-il interpréter ces chiffres ?
    Rappelons tout d’abord que les chiffres d’une population carcérale dépendent essentiellement de deux facteurs :
    — Le niveau de la criminalité ;
    — La politique pénale mise en œuvre.
    En général, un niveau de criminalité et/ou une hausse de la criminalité se traduisent logiquement par une hausse des condamnations (en milieu ouvert et fermé). Le niveau de l’insécurité atteint des chiffres record avec plus de 5 millions de crimes et délits dans notre pays selon les chiffres de la chancellerie. À cela s’ajoute une criminalité en hausse, en particulier les cambriolages ou les atteintes physiques à la personne (agressions, coups et blessures…) qui sont les plus marquants pour les victimes et devraient être plus lourdement condamnés.
    Cette hausse de la criminalité, couplée à un niveau déjà très élevé de la délinquance dans notre pays devrait conduire à une hausse des condamnations et des incarcérations… Mais nous assistons au phénomène inverse !

    C’est là que le deuxième facteur joue pleinement son rôle, celui de la politique pénale de la garde des Sceaux et du gouvernement. En effet, c’est bien la politique de Christiane Taubira qui commence doucement à entrer en application et dont la baisse du nombre de détenus est une des conséquences directes. Plutôt que d’ergoter, il vaudrait mieux assumer cette politique de la part de ceux qui l’ont mise en œuvre.
    Sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ?

    En effet, c’est bien la circulaire pénale de septembre 2012 de Christiane Taubira qui a demandé aux magistrats de tenir compte du niveau de surpopulation carcérale avant de prononcer des peines de prison. C’est bien cette circulaire qui déconseillait aux magistrats d’avoir recours aux peines de prison, avant que la réforme pénale, adoptée l’été dernier, ne vienne graver dans le marbre législatif, le recours accru aux peines alternatives à la détention et la multiplication des expédients devant permettre d’éviter la prison, à tout prix.

    Car la diminution du nombre de détenus s’explique avant tout par la mise en œuvre de mesures, parfois techniques, et surtout moins médiatiques que la contrainte pénale, dans la diminution du nombre de détenus. Pendant des semaines, on a parlé de cette contrainte pénale, mais sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ? Sait-on qu’avec la suppression des peines plancher, les récidivistes ne sont plus automatiquement condamnés plus lourdement ?
    C’est l’application concomitante de ces différentes mesures qui conduit à une diminution du nombre de détenus et de personnes suivies en milieu ouvert depuis un an (-6 % pour les bracelets électroniques). En clair, aujourd’hui, on punit moins et on surveille moins les personnes condamnées. C’est là que l’orientation très idéologique de cette réforme pénale prend tout son sens.
    Alors que la France compte moins de détenus et surtout beaucoup moins de places de prison que la moyenne européenne, la garde des Sceaux veut faire diminuer le nombre de détenus et de condamnés, oubliant par là, que la sécurité et la protection des personnes, est au fondement du contrat social et de la légitimité de l’État.
    Ce qui est très inquiétant par ailleurs, c’est le décalage de cette politique, dont même Manuel Valls contestait les fondements, les objectifs et les mesures, avec ce que souhaitent les Français et avec ce qu’il faudrait faire. Mais n’en doutons pas, la justice pénale, aujourd’hui maillon faible de la chaîne pénale, en particulier le volet exécution des peines ; sera le grand enjeu des prochaines échéances de 2017. En attendant, les Français doivent payer les pots cassés d’une politique idéologique et inadaptée, notamment en matière de hausse de la délinquance. C’est inacceptable ! Mais il faut les rassurer. Une autre politique est possible basée sur la sanction et la responsabilité individuelle.
    Cette politique combinera prévention, dissuasion, sanctions et réinsertion, mais sera basée sur le pragmatisme, l’efficacité, la rapidité et la fermeté. Exactement ce que souhaitent les Français, toutes tendances politiques confondues…

    http://fr.novopress.info/190979/baisse-du-nombre-detenus-consequence-politique-penale-taubira/#more-190979

  • L'article qui a valu à Pierre Sautarel (FDesouche) d'être visé par une plainte

    Il est ici (via).

    Pierre Bergé (et non "Berger", merci Le Scan du Figaro qui relate l'affaire Sautarel sans évoquer l'objet de la plainte...) ne connait sans doute pas l'effet Streisand :

    "L'effet Streisand est un phénomène médiatique au cours duquel la volonté d’empêcher la divulgation d’informations que l'on aimerait garder cachées — qu'il s'agisse de simples rumeurs ou des faits véridiques — déclenche le résultat inverse. Par ses efforts, la victime encourage malgré elle l'exposition d'une publication qu'elle souhaitait voir ignorée."

    Et donc, que cherchait à cacher Pierre Bergé ? Cet article de Panamza du 29 octobre 2014 :

    "À l'occasion d'une exposition sur le Maroc, Jack Lang, président de l'IMA, a donné "carte blanche" à Pierre Bergé pour être interviewé par Frédéric Mitterrand. Décryptage et révélations.

    Certaines images laissent parfois songeur. Celle-ci, par exemple, illustrant trois amis heureux de se retrouver dans un prestigieux lieu culturel.

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    Jeudi 23 octobre, dans la salle du Haut Conseil de l'Institut du monde arabe, Jack Lang, Pierre Bergé et Frédéric Mitterrand étaient réunis. Le but? Donner "carte blanche" au multimillionnaire Pierre Bergé, 83 ans et pygmalion médiatique (actionnaire du MondeRue89L'Obs), pour relater son parcours en général et son amour de la culture marocaine en particulier. Le prétexte? L'inauguration par l'IMA -et François Hollande- d'une vaste exposition consacrée au Maroc. L'organisateur? Jack Lang, 75 ans, grand ami d'Israël, président (depuis janvier 2013) de l'Institut du monde arabe et bénéficiaire d'une rémunération mensuelle de 10 000 euros. Le maître de cérémonie? Frédéric Mitterrand, 67 ans, ancien ministre de la Culture (comme Jack Lang), ex-animateur d'une émission sur le service public de France Inter (de 2013 à 2014) et documentariste pour Arte.

    Un an plus tôt, le 24 octobre 2013, Panamza avait consacré un article spécial à Frédéric Mitterrand et son approche décomplexée du monde arabe. Comme il le relata dans un ouvrage paru en 2009, il pratiqua longtemps ce qu'il nommait "la solution Maghreb" :du tourisme sexuel en Afrique du nord en guise d'alternative à la Thaïlande. À propos de l'adoption d'un garçon tunisien, Mitterrand écrivit également ceci : "Je me demandais parfois si je serais capable de me donner tant de mal pour une petite fille. Les garçons touchaient évidemment à quelque chose de plus intime et de plus ambigu – quoique…".

    Jack Lang? Son nom était dans tous les esprits lorsque Luc Ferry relaya -sur Canal +, le 30 mai 2011- les informations cryptées d'un article du Figaro Magazine (paru deux jours plus tôt) à propos d'un "ancien ministre" arrêté dans une "villa de la palmeraie de Marrakech" pour s'être "amusé" avec de "jeunes garçons" et discrètement renvoyé en FrancePrésent sur le plateau, Alain Duhamel fit allusion à Jack Lang en usant d'un jeu de mots transparent. Détail cocasse: l'animateur était Ali Baddou, fils de diplomate marocain et ex-collaborateur de Jack Lang au ministère de l'Éducation nationale. 

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  • L’arnaque gouvernementale de la fausse simplification de la fiche de paye

    Un bulletin de paye en France peut compter jusqu’à cinquante lignes – 15 en Allemagne, 14 aux Etats-Unis, 11 en Chine – , un record de complexité, d’illisibilité, bien symptomatique de la complexité des systèmes sociaux et des cumuls de caisses et d’organismes divers et variés…

    C’est la grande nouvelle de Bercy en cette fin juillet : la simplification du bulletin de paye !

    Que personne ne s’y trompe, dans le monde UMPS ou RPS, on ne peut même pas parler d’effet d’annonce, tant il n’y a que l’annonce sans aucun effet ! Car s’il est question de supprimer des lignes sur le bulletin de paye, il n’est pour autant pas question de toucher aux organismes ou aux dispositifs correspondants à ces lignes. Ce qui veut dire que si le salarié a bien un feuille de paye « simplifiée », c’est à dire avec moins d’informations, pour autant l’entreprise sera toujours obligée de calculer l’ensemble du détail de chaque cotisation comme auparavant, ce qui ne constitue aucun gain de temps ni simplification pour l’employeur. Simplement ces détails n’apparaîtront plus sur la feuille imprimée remise au salarié.

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  • LES TROIS MENSONGES DE NAJAT VALLAUD-BELKACEM...

    Les professeurs, comme l’ensemble des Français, en ont assez qu’on veuille leur faire prendre des vessies pour des lanternes ! 
    Premier mensonge : les prétendus bienfaits de la réforme des rythmes scolaires. Depuis la rentrée 2014, les élèves de l’école primaire bénéficieraient, selon le ministère – subissent, si l’on y regarde de plus près -, de nouveaux rythmes : 


    Les trois mensonges de Najat Vallaud-Belkacem...
    mise en œuvre d’une semaine de quatre jours et demi, possibilité d’accéder à des activités périscolaires. On aurait pu penser naïvement que, pour donner la priorité à l’apprentissage des fondamentaux, le ministère en profiterait pour augmenter le temps d’enseignement qui leur est consacré. Nenni ! Les horaires restent identiques, ils sont simplement répartis différemment dans l’année. Le gain de cette réforme ? Une fatigue accrue pour les élèves, des inégalités selon les communes, un poids financier qui se répercute sur les contribuables… L’instauration d’études surveillées, où une personne compétente conseillerait les élèves en difficulté, serait bien plus efficace. Mais c’est sans doute une pratique réactionnaire. Deuxième mensonge : la réforme du collège. Contre toutes les évidences, le ministère assure sans vergogne que l’enseignement des langues anciennes n’est pas menacé, qu’il sera même étendu ; que l’enseignement de l’allemand ne sera pas réduit et que le nombre de postes aux concours de recrutement sera augmenté dans cette discipline ; que les fondamentaux pourront s’apprendre d’une autre manière à travers des enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI). En réalité, les langues anciennes disparaissent de la grille horaire des classes de collège, se limitant à un hypothétique enseignement de complément… si l’établissement a les moyens de l’organiser. Quant à l’augmentation du nombre de postes en allemand, c’est une promesse de Gascon – les vrais Gascons me pardonnent ! – quand on sait que, cette année, 62,71 % des postes seulement ont été pourvus au CAPES d’allemand. Enfin, les enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), comme on les appelle, ne pourront germer que chez les élèves disposant d’une connaissance suffisante des fondamentaux : on n’apprend pas à partir de rien, l’interdisciplinarité suppose en préalable une maîtrise des disciplines. La réforme du collège est donc une imposture qui, sous prétexte d’instaurer plus de justice et d’égalité, nuira d’abord aux enfants des familles défavorisées... 
    Suite et source  : boulevard voltaire
  • Duplicité saoudienne ? La preuve par WikiLeaks

    Si Julian Assange et son WikiLeaks n’existaient pas, certains États auraient donné un bras pour qu’on ne l’inventât point. Les Américains, bien sûr ; mais surtout les Saoudiens, voire même, aujourd’hui, les Français.

    Ces nouvelles révélations ? Rien de plus, fondamentalement, que ce que nos lecteurs lisent ici depuis des années sous la plume de votre serviteur ; mais désormais « officialisées » par WikiLeaks et dûment relayées par l’un des quotidiens américains de référence, The New York Times et Atlantico.fr, site français dont les contributeurs ne sont pas tout à fait connus pour mouiller la chemise dans le combat contre l’atlantisme et la défense de la cause palestinienne…

    Bref, toute la duplicité saoudienne y est enfin mise sous les projecteurs. Leur diplomatie du chéquier consistant à promouvoir un islamisme wahhabite dégénéré contre l’islam traditionnel – voir, à ce sujet, l’excellente analyse de Stéphane A. Brunel publiée hier. Diplomatie parallèle les poussant à déstabiliser, non seulement le monde oriental, mais aussi nos nations européennes, nos banlieues françaises et, au passage, les républiques caucasiennes musulmanes, aux marches de la Russie.

    Et Atlantico de relayer cette information des plus intéressantes : « Il s’agit d’un système d’influence que les autorités saoudiennes ont mis en place et financé par l’argent des pétrodollars. Riyad a notamment accordé des moyens financiers à des prédicateurs à l’étranger, construit des mosquées, des écoles, des centres et soutenu des campagnes pour contrer des responsables et des médias à l’étranger qui étaient susceptibles de s’opposer à l’agenda du Royaume. »

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  • Les petits profits de l’immigration

    En 1985, l’ancien ministre Bernard Stasi écrivait que « l’immigration est une chance pour la France » ! En 2015, elle peut aussi être une façon d’améliorer des bilans d’exploitation pourtant déjà largement bénéficiaires !

    Ainsi, la société privée Groupe Eurotunnel dont les ventes ont progressé de 9 %, qui enregistre une hausse de chiffre d’affaires pour le onzième semestre consécutif, qui a dégagé un profit avant impôt de 56 millions d’euros en 2014 (contre 20 millions l’année précédente) et que le quotidien Le Monde estime être « désormais une machine à cash parfaitement huilée » ! D’ailleurs, sa direction se félicite « (de s’être) fixé comme objectif d’atteindre 500 millions d’excédent brut d’exploitation en 2015 (et de réaliser) cet objectif avec un an d’avance. »

    Néanmoins, pour son PDG Jacques Gounon, Eurotunnel assure « une forme d’étanchéité du tunnel sous la Manche par rapport au passage des migrants en Grande-Bretagne, puisque le nombre de migrants interceptés par les forces britanniques se compte sur les doigts de la main. L’essentiel est intercepté en France. Ça a un coût »

    Et quel coût ! Eurotunnel réclame donc une indemnisation de 9,7 millions d’euros à la Grande-Bretagne et à la France pour « compenser ses dépenses de sécurité et sa perte d’exploitation liées à l’afflux de migrants qui tentent de rallier la Grande-Bretagne via le tunnel sous la Manche… »

    S’il n’y a pas de petites économies, il n’y a pas non plus de petites sources de profits à négliger… et on sait bien que les petites rivières font les grands fleuves ! Tout comme les petites filières de la clandestinité, les grandes marées de l’immigration, d’ailleurs !

    Philippe Randa

    notes:

    (paru dans le quotidien Présent) (Philippe.randa@present.fr)

    http://www.voxnr.com/cc/di_antiamerique/EuFlpyZVpFkfBWqxrF.shtml

  • Patients algériens : l’AP-HP ne veut plus payer ? C’est notre Sécu qui le fera !

    Le transfert pour soins des Algériens, qui ne concernait jusqu’à présent que les salariés actifs et leurs ayants droit, sera élargi à tous les Algériens non assurés sociaux mais détenteurs d’une carte de démuni et nécessitant des soins à l’étranger (environ 30 % de la population).

    La CNAS algérienne (Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés) rejette en bloc les affirmations de la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) qui lui réclame une facture, selon elle totalement fantaisiste et qui ne correspond à rien, de 31 millions d’euros, dont se sont fait l’écho les médias français.

    Elle défie les hôpitaux parisiens d’établir un listing des patients algériens pris en charge dont les factures sont restées impayées.

    Il y a des contentieux, certes, entre les deux parties mais ils sont réellement minimes, affirme la CNAS, qui refuse d’assumer les frais occasionnés par des soins prodigués à des personnes non munies d’engagements de prise en charge délivrés par ses soins avant leur départ.

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  • Gilbert Collard veut que les Français versent 60 M$ au lobby juif américain


    Shoah Business

    Nous avions évoqué le scandaleux racket de la SNCF par le lobby juif américain, qui exigeait pas moins de 60 millions de dollars – pris dans la poche des Français – en « réparations » du « rôle » des trains français dans la déportation de certains juifs américains (non couverts par les programmes français déjà existants) durant l’Occupation…

    Il faudrait d’ailleurs savoir : si le gouvernement de Vichy était une parenthèse illégale (selon la version actuelle du Système) et non pas le prédécesseur légal du gouvernement actuel, pourquoi ce dernier devrait-il payer les dettes du premier ?

    Or, alors même que la plupart des élus Républicains (ex-UMP) s’abstenaient, le député mariniste Gilbert Collard, ultra-sioniste et franc-maçon, a voté le 24 juin en faveur du projet de loi entérinant l’accord entre le gouvernement français et les Etats-Unis concernant le versement de ce pactole au gouvernement américain, qui le gèrera directement.
    Scandaleux…

    Dans le même esprit, le vice-président du FN Louis Aliot, relate sur son blog, en reprenant la logorrhée du Système, que dimanche dernier « à Perpignan, il participait à la cérémonie pour la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’état [sic]  français et d’hommage aux justes de la France. »

    Cet énième journée de « mémoire » résulte d’une loi votée le 10 juillet 2000 par l’Antifrance et fixant au 16 juillet cette nouvelle opération annuelle de repentance et de masochisme français.
    Décidément, la haine du Système contre le Maréchal est tenace : il ne faudrait pas que les Français viennent à regretter sa salutaire politique de « Révolution nationale ».

    Louis Aliot dénonçait les « passéistes » (pétainistes et autres) qui étaient encore nombreux au FN il y a quelques années, mais l’on voit, comme d’habitude, qu’il y a en réalité le bon passéisme (validé ou promu par le Système) et le mauvais passéisme (dénoncé par les médias).

    http://www.contre-info.com/